• 3 avril, la place de la République toujours occupée !

    Plus d’un millier de personnes ont participé à l’AG de ce dimanche soir et l’occupation continue !Prochaine assemblée lundi 4 avril à 18h sur la place de la République. 

    source: paris-luttes.info

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  • A propos de "l'affaire Barbarin": communiqué de la Fédération du Rhône de la Libre Pensée A l’occasion du banquet anticlérical de la Saint-Cochon, (dit «vendredi saint »)

    L’affaire dite « Barbarin » a causé ces dernières semaines une profonde émotion à Lyon, dans les communes rattachées au diocèse et bien au-delà. Nous n’en avons sans doute pas terminé avec les révélations scandaleuses qui éclaboussent, l’une après l’autre, l’Eglise de Lyon.

    Lors de la messe chrismale du mercredi 23 mars, cérémonie de bénédiction des huiles  « qui manifeste l’unité de toute la communauté diocésaine autour de son évêque », M. Philippe Barbarin alias « Monseigneur »  s’est déclaré « dans l’obligation d’assumer tout le mal commis par quelques prêtres et de demander personnellement pardon pour tout le mal qu’ils ont causés en abusant sexuellement des enfants » mettant en avant le fait qu’il n’était pas évêque au moment des faits.

    Responsable mais pas coupable, M. Barbarin reconnaît tout au plus une pieuse dissimulation de faits délictueux à la justice civile, au motif que l’Eglise serait plus à juger de ses propres crimes que les magistrats ordinaires. C’est un comportement sectaire, ce n’est pas celui d’un citoyen.

    La loi républicaine, pas le Droit Canon !

    Pour la Libre Pensée du Rhône, si la responsabilité pénale de M. Barbarin est engagée, cela relève de la seule autorité judiciaire.

    L’enquête diligentée par le parquet de Lyon doit aller à son terme sans qu’interfèrent les autorités ecclésiastiques, quelle qu’en soit l’issue (une peine qui peut aller jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende). Pas plus, mais pas moins. L’Association Internationale de la Libre Pensée a parfaitement raison d’exiger « que les responsables et les complices des crimes de l’Eglise catholique répondent de leurs actes » et de demander, par la voix d’un de ses porte-parole, un jugement exemplaire (que nous entendons au sens premier du mot : qui puisse servir d’exemple par la simple application de la loi). Keith Porteous Wood indique très bien « qu’il faut poursuivre en justice à la fois l’agresseur présumé et ceux qui pensent qu’ils peuvent bafouer la loi en toute impunité ».

    Les prières pour les victimes, les messes,  les déclarations de repentance ne suffiront pas.

    Le Droit Canon peut bien prévaloir en la cité du Vatican, pas plus que la Charia il ne saurait avoir sa place sur le territoire de la République.

    Quant à savoir si M. Barbarin doit démissionner de sa fonction d’archevêque, c’est la seule affaire des catholiques ! Du reste s’il fallait que démissionnent tous ceux qui ont couvert des actes de pédophilie, il n’y aurait même plus assez de cardinaux pour seulement élire un pape. Depuis qu’existe le célibat des prêtres, à part en Antarctique cela s’est vérifié sur tous les continents : l’Eglise catholique est devenue une usine à produire des pervers sexuels. Pas tous, certes, mais bien trop nombreux. Tous couverts par l’autorité.

    La laïcité, pas le cléricalisme !

    Le 15 dernier, le premier ministre Manuel Valls a déclaré que c’était « à Monseigneur Barbarin à prendre ses responsabilités ».

    Monsieur Valls, prenez les vôtres !

    Rétablissez la laïcité constitutionnelle que vous avez mise à mal depuis que vous avez été ministre de l’Intérieur chargé des Cultes, ainsi que votre ami Gérard Collomb. On a observé régulièrement à Lyon, certains 8 septembre à l’occasion du Vœu des Echevins, les amitiés bien particulières de MM. Barbarin et Collomb, main dans la main pour célébrer la grandeur de Marie. Ou le 8 décembre dernier la distribution organisée de lumignons dans les écoles élémentaires du Grand Lyon. Ou les cadeaux fiscaux et autres détournements de fonds publics à destination des fondations Fourvière et Irénée. On en passe.
    Depuis M. Barbarin a eu l’occasion d’apprécier les ors de la République : le 4 janvier il était présent à la cérémonie des Vœux aux Corps Constitués, à l’Hôtel de Ville. Le 3 février, il  rencontrait M. le préfet de région. Le 6 février c’était le tour des élus du Rhône et du Roannais, autour de l’encyclique du pape François Laudato Si (Lecture « à trois voix » de l’encyclique sur l’écologie avec le député de l’Ain, Xavier Breton, et le maire de Grenoble, Eric Piolle). Les édiles locaux sont bien complaisants.

    Que « l’affaire Barbarin » soit l’occasion d’une prise de conscience : les relations contre nature n’ont pas lieu seulement dans le secret des sacristies, elles peuvent avoir pour cadre les salons dorés de la République.

    Justice pour les victimes !
    Dans ce domaine comme en tout autre, application stricte de la laïcité et de la neutralité républicaines !

    25/03/2012

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  • Anthropologue et économiste, célèbre pour avoir notamment anticipé la crise des subprimes en 2007, l’universitaire belge publie Le dernier qui s’en va éteint la lumière, essai sur l’extinction de l’humanité.

    Paul Jorion

    Le dernier qui s'en va éteint la lumière

    Editeur Fayard-288 pages-parution 16/03/2016-prix : 19 €         

     

    Paul Jorion : “Ce monde passe en mode cataclysmique”-entretien avec Patrick Cohen et les auditeurs de la station (France Inter 25/03/2016)

    Le genre humain se découvre, à sa très grande surprise, au bord de l’extinction. À cette menace, il ne réagit que mollement, en tentant de manière dérisoire de dégager un bénéfice commercial de toute tentative de réponse.

    Sommes-nous outillés pour empêcher notre propre extinction ? Notre constitution psychique et notre histoire jusqu’ici suggèrent malheureusement que notre espèce n’est pas à la hauteur de la tâche : la découverte que chacun d’entre nous est mortel l’a plongée dans une stupeur profonde dont plusieurs milliers d’années de rumination ne sont pas parvenues à la faire émerger.

    Le dernier qui s’en va éteint la lumière propose une description réaliste et véridique de notre espèce, de ses grandes forces et de ses immenses faiblesses. Nous comprendre nous-mêmes est la condition pour renverser la tendance qui nous conduit, si nous ne réagissons pas immédiatement avec la plus extrême vigueur, droit vers l’extinction.

    Anthropologue et sociologue de formation, Paul Jorion est connu du public pour avoir annoncé la crise des subprimes. Depuis, il a révolutionné le regard porté sur l’économie et la finance. Commentant l’actualité sur « Le blog de Paul Jorion », il est également chroniqueurier au journal Le Monde et dans divers périodiques.

     


    Paul Jorion répond aux questions des auditeurs... par franceinter

     

     

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  • A 14h au Café Le Falstaff place de la Bastille, un symbole, à l’appel du , du et du Réseau FVR-PCF les progressistes qui se prononcent pour la sortie de l’euro et de l’UE réunissent une pour débattre des perspectives politiques à l’heure où le mouvement social résiste  aux trahisons et aux agressions du grand capital, de l’UE et de ses « fondés de pouvoir ».

    Venez écouter et débattre avec :

    •  JL Pujo ( Clubs )
    •  A Bellon ( Association )
    •  Un(e) représentant(e) du réseau (FVR PCF)
    •  L Chaigneau (Site L’Affranchi)
    •  A Bernier (Essayiste)
    •  Un représentant du Front Syndical de Classe
    •   (MS21)
    •  G Gastaud ( PRCF)

    LE FALSTAFF Place de la Bastille 2 AVRIL 14H TABLE RONDE


    APPEL du Pôle de Renaissance Communiste en France (PRCF), du Mouvement pour le Socialisme du 21é siècle et du réseau Faire Vivre et Renforcer le PCF (FVR-PCF)

     

    POUR UNE TABLE RONDE DE LA GAUCHE POPULAIRE ET DES PATRIOTES ANTIFASCISTES POUR LA SORTIE DE L’EURO ET DE L’UE et de l’OTAN 

     

    Paris 2 avril : TABLE RONDE DES FORCES PROGRESSISTES ET REPUBLICAINES POUR LA SORTIE DE L’EURO DE L’UE ET DE L’OTAN!

    L’oligarchie capitaliste plonge le monde et la société française dans  des crises multiples, aggrave les inégalités et l’injustice   sociales, détruit inexorablement l’environnement, alimente les terrorismes et menace gravement  la paix du monde par des interventions militaires aventureuses, casse  les conquêtes sociales et le socle de la République Française, sa souveraineté, sa langue et ses structures administratives (communes, départements).


    ♦Cet ordre capitaliste néolibéral ne sert plus que les intérêts du grand capital (1% des plus riches possèdent 50% des richesses et 80% des plus pauvres se contentent de 5,5% des richesses*). Il  a, dans ce but,  établi un ordre institutionnel  dont les piliers sont l’UE, l’euro et l’OTAN et qui n’a pour objet  que de perpétuer cette domination de classe dans les domaines économique, politique, militaire et idéologique. Ces institutions méprisent les Nations, les Etats et les Parlements nationaux, renforcent la domination de l’oligarchie internationale au sein de l’UE.

    ♦Toute perspective de progrès social, d’indépendance nationale, de paix durable est  incompatible avec ces institutions qui ne sont que des armes de  destruction du mouvement social des classes populaires  et, comme le sort de la Grèce le démontre clairement, ne sont  pas amendables.

    ♦En  France, l’UMP (LR) et ses satellites, le PS et les siens, sont structurellement inféodés au MEDEF et à l’UE. Leurs programmes et leurs décisions ne portent aucune perspective  crédible d’amélioration du sort des classes populaires et moyennes.

     

    En conséquence le PRCF, le MS 21, le Réseau FVR-PCF appellent :

    ♦à la sortie unilatérale  de l’UE, de l’euro et de l’OTAN, en  intégrant le combat contre l’UE à celui contre le Grand Marché Transatlantique, qui n’est qu’une expression nouvelle de  l’impérialisme étasunien,

    ♦à la création des conditions  pour reconquérir la souveraineté  nationale et populaire de la France en s’appuyant sur les forces productives du pays, classe ouvrière, petits et moyens paysans, artisans, petits commerçants, petites entreprises….

    ♦l’union de l’ensemble des  forces  républicaines et démocratiques  qui partagent ces analyses,  – dans la ligne de Robespierre, de Jaurès, du Front Populaire et du Conseil National de la Résistance –  dans un  vaste Front Antifasciste, Populaire et Patriotique.

    PRCF, MS21 et FVR-PCF appellent donc à nous réunir, organisations et personnalités de la gauche anti-UE, autour d’une Table Ronde.
    Sans que quiconque se rallie à quiconque, organisons cette Table Ronde des progressistes anti-UE nationalement et à tous les niveaux  

    Nous nous adressons à des organisations et à des personnalités très diverses dont nous espérons que comme nous, elles rejettent à la fois l’UE néolibérale et atlantique, et toute forme de compromission avec le FN et ceux qui lui trouvent d’éventuelles vertus. Séparément, nous ne parvenons pas à rendre visible l’idée d’une sortie progressiste de l’UE, ensemble nous briserions le blocus médiatique conjoint de l’UMPS maastrichtien et du « rassemblement bleu marine ». être censurés séparément ou percer ensemble la censure pour rouvrir une perspective à notre peuple en souffrance, il n’y a pas de troisième possibilité.

     

    C’est pourquoi nous vous proposons d’organiser ensemble un premier tour de table le samedi 2 avril 2016 à Paris à 14h au café Le Falstaff place de la Bastille, afin de débattre des perspectives que nous pouvons proposer en commun et d’inviter les citoyens à prolonger le débat ainsi ouvert dans les départements et les localités de France.

     

    A chacun de prendre ses responsabilités et de saisir à temps les mains tendues comme nous les saisirions nous-mêmes si nous étions invités à des initiatives anti-UE de même nature. 

     

    Il y a état d’urgence pour le monde du travail, la nation, la République, le progrès social et les libertés !

     

    * rapport Oxfam 

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  • MOBILISATION - Dans la continuité des manifestations contre la loi du Travail, des milliers de personnes se sont réunies dans différentes villes de France, dans la nuit du 31 mars au 1er avril. Objectif principal : montrer leur détermination à lutter contre le projet El Khomri.

    Loi Travail : des manifestants ont passé la "#NuitDebout" dans 22 villes

     Un slogan, une phrase : "Le 31 mars après la manifestation, on ne rentre pas chez nous, on occupe une place." A l'appel du collectif Convergence des luttes, entre plusieurs centaines (police) et quelques milliers de personnes (organisation) se sont retrouvés place de la République à Paris, mais également dans une vingtaine d'autres villes (Nantes, Toulouse, Lyon, etc.) pour faire part de leur opposition à la loi Travail. Le tout avec un leitmotiv : "Nuit debout".

    Après la manif, l'occupation

    Il faut dire que la manifestation du 31 mars avait de quoi motiver les troupes : près de 400.000 personnes selon la police, plus d'un million selon les organisateurs, avaient martelé les rues pluvieuses de France. 

    Jusqu'au petit matin, le mouvement, qui avait assuré disposer d'une autorisation de la préfecture, a fait chanter la foule sous la statue de la République. Les sempiternels "Motivés" et "Bella Ciao" ont résonné autour des braseros, autour des tentes et devant un écran géant, où était diffusé le film documentaire "Merci patron !", contant le combat d'un couple de chômeurs au bord de la faillite contre leur ancien patron Bernard Arnault. 

    Discours de Frédéric Lordon à la Nuit Debout, 31/03/2016

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  • Depuis la forte mobilisation dans les entreprises et les établissements scolaires, suivi de centaines de rassemblements qui ont regroupé des milliers de manifestants, travailleurs du public et du privé, lycéens et étudiants contre la loi El Khomri, les violences et provocations policières se multiplient. Charges brutales de CRS contre des blocages de lycées, de rassemblements publics ou  manifestations pacifiques, interventions policières à coups de matraque, coups de poing et jets de bombes lacrymogènes, tabassages de jeunes mineurs pour disperser des assemblées générales dans les universités, arrestations arbitraires, etc.

    Il faut remonter des décennies en arrière, pour voir un gouvernement répondre avec une telle brutalité répressive aux revendications de la jeunesse et du monde du travail.

    Dans de nombreuses villes, ce sont des gardes à vue arbitraires, allant jusqu’à 22 h comme pour un ouvrier militant CGT de PSA, plus de 24 heures pour une lycéenne de 17 ans, à Mulhouse. Mais aussi un retraité militant CGT qui a été condamné à 250 euros d’amende, ainsi que 500 euros avec sursis, pour «outrage au Premier Ministre» lors de la venue de Valls, El Khomri et Macron en Alsace.

    À Metz, un autre ouvrier syndiqué à la CGT est convoqué au tribunal le 30 mars pour avoir manifesté pacifiquement.

    À Caen, ce sont trois lycéens qui ont été condamnés à des peines de Travaux d’Intérêt Général en comparution immédiate pour «entrave à la circulation» après avoir bloqué leurs lycées.

    À Marseille, une lycéenne de 17 ans est accusée d’avoir, toute seule, agressé quatre CRS lourdement armés lors de la du 24 mars.

    À Nantes, c’est un agent d’entretien qui a été condamné à deux mois de prison ferme et mis en détention immédiate. Il est accusé de «participation à un attroupement armé», alors même que les débats ont montré qu’il n’avait ni arme ni projectile et qu’aucune violence ne lui était reprochée !

    Face à cette fascisation en marche, la réponse du mouvement populaire ne peut être que la lutte de classe et de masse. C’est pourquoi, la Commission Luttes du PRCF et le mouvement de Jeunesse du Pôle de Renaissance Communiste en France (JRCF) proposent l’organisation d’une grande manifestation nationale contre l’ensemble de la politique de régression sociale, de guerres tous azimuts, de ce pouvoir anti-social et anti-patriotique en voie de fascisation et totalement servile envers l’UE, l’OTAN et le MEDEF !

    Tous ensemble et en même temps pour bloquer leurs profits par la grève reconductible pendant qu’il en est temps !

    Déjà le 31 mars, pas un militant ou sympathisant franchement communiste valide ne doit être absent des manifs !

    jrcf

    La commission Luttes du PRCF et la JRCF exigent la relaxe immédiate des syndicalistes condamnés par la justice de classe aux ordres de Hollande, Valls, Macron. Condamnation pour activité syndicales (Goodyear, EDF, PSA) et de toutes les manifestantes et de tous les manifestants inculpés depuis le début du mouvement contre la loi El Khomri.

    Bagneux le 31 mars 2016

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  • La manifestation contre la loi Travail a défilé ce jeudi 31 mars dans les rues de Quimper. Des centaines de jeunes quimpérois y ont pris part.

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    « Le retrait c’est maintenant ! », le discours contre la loi Travail est clair. Plus de 2 000 personnes (source policière) ont défilé dans les rues de Quimper pour protester, ce jeudi 31 mars. La moitié environ étaient des jeunes, lycéens et étudiants.

    "Il y a beaucoup plus de jeunes mobilisés en ce 31 mars"

    Beaucoup d’entre-eux étaient présents dès 9 h ce matin place de la Résistance.

    « C’est important d’être là »

    Lycée technologique Jean-Chaptal, Yves-Thépot, lycée Brizeux… Tous ont séché les cours pour dire « Non à la loi El Khomri ». Les professeurs comme les parents seraient, selon le témoignage de quelques-uns, favorables à la grève de leurs élèves et enfants. « Ils nous soutiennent dans nos décisions. Ce sont nos idées, notre avenir », dit Alix, 20 ans, étudiant en BTS Informatique.

    La plupart s’accordent sur les mêmes points sensibles :

    • licenciement facilité,
    • baisse de la majoration,
    • heures supplémentaires impayées.

    « Donner les pleins pouvoirs à l’entreprise… C’est à la limite de l’esclavagisme ! », témoigne Tom, 17 ans, élève en chaudronnerie.

    Tous ont déjà mis un pied sur le marché du travail avec des jobs d’été et des stages en entreprise. « Nous sommes inquiets pour la suite avec ce projet de loi », poursuit ce dernier.

    Présence le 9 avril

    Après les manifestations du 9, 17, 24 et aujourd’hui 31 mars, les jeunes se disent désormais mobilisés et donnent rendez-vous pour la prochaine mobilisation programmée au 9 avril. La condition : « S’il n’y a aucun changement réel, nous serons là ! », assure un élève du lycée Yves-Thépot.

    Le circuit de la manifestation s’est dirigé jusqu’à la mairie avant de revenir place de la Résistance.

     

    Des jeunes quimpérois dans les rues

     

    Juliette SELLIN

    source: Côté Quimper

     

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