• A NuitDebout les travailleurs allemands montrent le rôle de l’UE et saluent l’importance du mouvement pour le retrait de la LoiTravail (IC.fr 21/07/2016)Sur la place de la République à Paris mais aussi partout ailleurs en province, Nuit Debout a été un formidable moment d’expression, de débat, d’échange. Donnant la parole aux travailleurs – et les militants du PRCF sont venu apporter leur pierre à l’édifice – à des travailleurs du monde entier.

    Rassemblés, tous ensemble, Contre la Loi Travail et son monde. Une loi travail qui s’appelle Loi El Khomri en France, Job Act en Italie, Loi Peeters en Belgique. Ces lois qui servent à faire voler en éclat les droits des travailleurs, à déréguler le « marché » du travail ont toutes la même origine, les ordres de l’.  Ainsi la Loi Travail fait suite aux ordres données par la Commission Européenne au gouvernement français dans ses recommandations par pays. Des ordres confirmés par le président de la Commission Européenne, JC Juncker qui a déclaré en France que « la Loi El Khomri est le minimum que l’on puisse faire » sic.

    Cette loi travail vise au dumping social, à la mise en concurrence de tous contre tous. Et elle a des précédents en . Notamment en avec les Lois Hartz, déclinaison outre rhin de la même stratégie d’offensive du Capital contre les salaires, contre la classe des travailleurs pour une « économie toujours plus compétitive ». Alors bien sûr – comme en a déjà rendu compte www.initiative-communiste.fr, les travailleurs allemands sont solidaires de la lutte menée en France. C’est ce qu’est venu expliquer , philosophe et journaliste allemand, à Nuit Debout Paris le 30 juin dernier dans une intervention qu’il a accepté que www.initiative-communiste.fr reproduise.

    source: initiative-communiste.fr

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  • l y a un an les grecs votaient OXY à l’UE : au nom de l’Europe Sociale, Syriza PGE appliquent avec zèle les directives euro austéritaires #grece (IC.fr-23/07/2016)

    le 5 juillet 2015, il y a un an le peuple grec votait massivement NON au memorandum austéritaire UE- par referendum. Dans la foulée, et Syriza soutenu par le Parti de la Gauche Européenne piétinait le vote des grecs pour mettre en place ce 3e plan d’austérité.  Choisissant d’obéir aux ordres de l’Union Européenne contre la décision souveraine et démocratique du peuple. De fait, impulser une politique de gauche, démocratique, pour et par les travailleurs est impossible, interdit dans cette prison des peuples qu’est l’Union Européenne et sous la menace  de cette arme d’exploitation massive des travailleurs qu’est l’Euro. Pas plus qu’on ne peut rendre un crocodile végétarien, on ne peut peut changer l’UE en une Sociale.

    tsipras laurent pgeSyriza et au dela le PGE (dirigé par Pierre Laurent) en se cachant derrière le mensonge de l’europe sociale choisissent objectivement de se mettre au service de la dictature du Capital, contre les peuples. Pour conduire une politique de gauche, démocratique, c’est au contraire une condition nécessaire que de briser les chaines de l’Union Européenne, d’en sortir pour s’en sortir comme le dit le slogan des militants communistes du PRCF.

    La crise grecque de 2015 est venue confirmer les analyses et la justesse des propositions des communistes qui partout en Europe appelaient à sortir de l’Union Européenne et n’ont cesser d’alerter les travailleurs que sans sortie de l’UE et de l’euro ce serait obligatoirement le renforcement de l’austérité, le dumping social et l’accélération de la fascisation : du PRCF en France, au en en passant par le PCP au Portugal.

    BRISONS LES CHAINES DE L UNION EUROPEENNEUn an plus tard, il faut constater qu’à l’exception notable du PCF-PGE, la quasi totalité des partis communistes d’europe se prononce désormais pour la sortie de l’UE. Le DKP en Allemagne, le PCE en Espagne militent désormais ouvertement pour la sortie de l’UE

    Sortir de l’UE, sortir de l’euro par la porte de gauche, par cette voie progressiste reposant sur la souveraineté populaire et le progrès social, c’est en brisant les chaines de l’Union Européenne ouvrir la possibilité réelle et immédiate d’une politique mettant au centre les travailleurs et c’est impulser une véritable dynamique révolutionnaire pour la construction du socialisme.

    Pour signer la pétition pour un referendum sur la sortie de la France de l'Union Européenne et de l'€uro

    Cliquer ICI

     

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  • L’objectif de ce film est de donner la parole à des femmes qui racontent leur parcours d’IVG ces dernières années, et décrivent les différents obstacles auxquels elles ont été confrontées. Filmées dans des espaces publics, refusant l’anonymat,ces femmes d’aujourd’hui s’attaquent avec sérénité aux idées reçues et aux représentations négatives qui refont violemment surface. Dénonçant les discours réactionnaires qui cherchent à faire douter et à effrayer, elles nous amènent à repenser les enjeux de pouvoir qui traversent nos corps : pouvoir de la norme sociale, du politique, du médical ou encore de la religion. Autant d’injonctions qui tendent à contrôler les corps, et plus encore les corps féminins.

    Pour soutenir le film, la campagne de financement participatif :

    http://www.touscoprod.com/fr/quandjeveuxsijeveux

    Pour en savoir plus sur le projet, voici ce qu'en dit le site Internet :

    http://collectiflacavale.fr/quandjeveuxsijeveux/

     

    Synopsis

    Il y a quarante ans, des milliers de femmes revendiquaient le droit à pouvoir disposer librement de leur corps. Clamant haut et fort « Un enfant, si je veux, quand je veux », elles n’hésitaient pas à parler publiquement de leur corps, de leur sexualité et de leur désir ou non d’être mères. Evoquer de tels sujets dans l’espace public était un acte politique fort. Où en est-on aujourd’hui, 40 ans plus tard ? On aurait pu penser qu’en se normalisant, l’avortement serait devenu un droit légitime et sa pratique, un acte médical simple. Il n’en est rien…

    Alors qu’une femme sur trois avorte au moins une fois dans sa vie, l’IVG apparaît toujours comme une concession et non comme un droit à part entière : délais d’attente trop longs, difficultés à trouver un service acceptant de pratiquer l’interruption entre 10 et 12 semaines, disparités régionales très importantes dans la prise en charge, propos maladroits et parfois culpabilisants de la part du corps médical, etc. Devant un tel constat, des jeunes femmes réaffirment la légitimité de ce droit pour en finir avec les dysfonctionnements qui jalonnent leur parcours d’IVG. Rencontrées aux quatre coins de la France, elles racontent en détail leurs expériences intimes et décrivent les obstacles auxquels elles ont été confrontées.


           


    Filmées dans des espaces publics, refusant l’anonymat, ces femmes d’aujourd’hui s’attaquent avec sérénité aux idées reçues et aux représentations négatives qui refont violemment surface. Dénonçant les discours réactionnaires qui cherchent à faire douter et à effrayer, elles nous amènent à repenser les enjeux de pouvoir qui traversent nos corps : pouvoir de la norme sociale, du politique, du médical ou encore de la religion. Autant d’injonctions qui tendent à contrôler les corps, et plus encore les corps féminins.


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    A travers ce « chœur de femmes », une communauté de mots, d’expériences, et d’histoires s’élabore… Celle-ci se révèle extrêmement précieuse pour toutes les femmes qui vivraient cette expérience dans l’isolement, voire dans la culpabilité. En rendant visibles de tels parcours de femmes et à travers des images d’archives inédites, le film s’inscrit dans une lutte féministe menée depuis les années 70. Il rappelle combien le combat pour disposer librement de son corps reste plus que jamais d’actualité.


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    source: initiative-communiste.fr

     

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  • Les dispensaires autogérés grecs [livre]

    Résistances et luttes pour le droit à la santé !

    Les dispensaires autogérés grecs est un nouvel ouvrage collectif, fait par des membres du collectif Solidarité France Grèce pour la Santé : Christine Chalier, Éliane Mandine, Danielle Montel, Bruno Percebois, Jean Vignes, et édité chez Syllepse. 

    « L’effondrement du système de santé est certainement une des conséquences les plus tragiques de la crise économique et sociale qui secoue la Grèce. Selon Médecins du monde, 25 à 30% des personnes qui se présentent aujourd’hui à l’hôpital sont refusées. Fermeture de dizaines d’hôpitaux, réduction drastique des effectifs, multiplication des suicides et des maladies mentales, pénurie de médicaments, pourcentage croissant de la population privé d’accès aux soins : face à cette situation les Grecs ont réagi en créant des structures solidaires gratuites et autogérées pour prendre en charge collectivement les questions de santé.

    Ces nouveaux dispensaires gratuits couvrent l’ensemble du territoire et ce sont des centaines de milliers de patients qui ont recours à leurs services. Un autre système de santé émerge, une résistance sociale s’organise. Face au manque de médicaments et de matériels médicaux, désormais impossibles à importer, un réseau international de solidarité tente d’apporter son aide à ces dispensaires autogérés.

    «Nous considérons notre initiative comme faisant partie d’un mouvement général de solidarité qui se développe au sein de la société grecque. Tous ensemble, nous luttons pour que les droits sociaux ne soient pas abolis et que le régime de la peur
    et de l’individualisme ne domine pas. Nous luttons pour établir des valeurs de solidarité, de justice et de dignité.»

    Vous avez la possibilité de le commander en ligne, par exemple ici ou en librairie.

     source: soligrecsnimes.collectif-citoyen.fr

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  • source:  tvr.bzh

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  • Histoires d'Images/ Images d'Histoire-par Moïra Chappedelaine-Vautier & René Vautier (Tébéo/Tébésud/TVRennes 21/07/2016)Pierre CAUZIEN, grièvement blessé le 17 avril 1950

    Chaque jeudi à 20h45, Tébéo, Tébésud et TVR 35, les trois TV locales bretonnes, unissent leurs antennes pour proposer un programme inédit sur la Bretagne: documentaires, émissions spéciales ou fictions…Ce jeudi 21 juillet c'est un film documentaire de Moïra Chappedelaine-Vautier et René Vautier intitulé "Histoires d'Images/Images d'Histoire; celles du 17 avril 1950 à Brest.

    En 1950, en pleine reconstruction, les ouvriers de Brest se mettent en grève. Elle durera plus d'un mois et sera sanglante. Edouard Mazé, ouvrier brestois de 26 ans laissera la vie lors de la manifestation du 17 avril, des dizaines de ses camarades seront blessés et l'un d'eux Pierre Cauzien sera amputé cinq jours plus tard. La ville est en état de siège. René Vautier, jeune cinéaste de 20 ans, se rend clandestinement à Brest, à l'appel de la CGT, pour tourner un film sur les raisons de la colère. La trace de ces événements est aujourd'hui ténue et portée par des témoins dont la parole s'éteint petit à petit. Ce film se propose de retrouver les traces de ces événements, recueillir la parole des témoins, fouiller leurs archives personnelles, exhumer les photogrammes oubliés, ouvrir les dossiers officiels protégés jusqu'alors par un délai de non-communicabilité, fouiller au fonds des mémoires individuelles pour comprendre. En 1950, un homme est mort... Qui s'en souvient encore ?

     

     
     
    source:  tebeo.bzh/
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  • Avec Les Grecs

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  • 26 députés votent contre la prorogation de l'état d'urgence (communcommune le 21/07/2016)

    Les députés ont voté, tôt le mercredi 20 juillet, la prorogation de l’état d’urgence pour six mois. Ce régime d’exception, en vigueur en France depuis les attentats du 13 novembre 2015, va ainsi être prolongé jusqu’en janvier 2017.

    La prorogation de l’état d’urgence a été largement votée par 489 voix pour, 26 voix contre et 4 abstentions. En mai dernier, le régime d’exception avait été prolongé par 46 voix pour, 20 voix contre et 2 abstentions. Surtout, en février, moins de six mois après les attaques terroristes perpétrées à Paris et à Saint-Denis, 199 députés s’étaient opposés à la prolongation de l’état d’urgence.

    Cette fois, les députés Les Républicains ont tous voté pour, à l’exception du président du Parti chrétien démocrate et candidat à la primaire de la droite Jean-Frédéric Poisson.

    Au sein du groupe socialiste, écologiste et républicain, sept élus se sont opposés à cette prolongation : Fanélie Carrey-Conte, Linda Gourjade, Jean-Luc Laurent, Denys Robiliard, Barbara Romagnan, Gérard Sebaoun et Suzanne Tallard.

    Du côté du groupe de la gauche démocrate et républicaine, sept députés se sont également prononcés contre : François Asensi, Alain Bocquet, Marie-George Buffet, Jean-Jacques Candelier, Patrice Carvalho, André Chassaigne et Jacqueline Fraysse.

    Les deux élus FN que sont Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard ont voté pour.

    Les autres opposants sont à trouver au sein des non-inscrits. Il s’agit de Laurence Abeille, Pouria Amirshahi, Isabelle Attard, Danielle Auroi, Michèle Bonneton, Sergio Coronado, Cécile Duflot, Noël Mamère, Philippe Noguès, Jean-Louis Roumégas et Eva Sas.

    source: communcommune.com

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  • Communiqué LDH

    Une procédure d’exception pour une loi d’exception (LDH 21/07/2016)

     

    Les assauts de démagogie qui ont présidé aux débats sur la prolongation de l’état d’urgence ne peuvent dissimuler que les mesures décidées par le Parlement à l’initiative du gouvernement restreignent nos libertés, sans pour autant être un gage d’efficacité dans la lutte contre les actes de terrorisme.

    La loi prorogeant pour une quatrième fois l’état d’urgence, qui va être adoptée cet après-midi, n’est pas seulement inutile, elle est dangereuse.

    Elle est dangereuse parce qu’elle pérennise une situation d’exception, parce qu’elle laisse à la discrétion du gouvernement le droit de manifester et accroît les pouvoirs de la police au point de justifier de retenir un enfant pendant quatre heures et de saisir les données personnelles sans réel contrôle puisqu’une nouvelle fois, le juge judiciaire est écarté.

    Mais cette loi est aussi une atteinte directe au processus démocratique. En y intégrant des modifications pérennes du Code pénal, les parlementaires et le gouvernement ont institué une nouvelle manière de légiférer, dans la précipitation et au mépris de toute règle démocratique. Bien entendu, comme on peut s’y attendre, cette négation des principes du débat parlementaire ne sera pas soumise à l’appréciation du Conseil constitutionnel.

    La LDH condamne absolument une loi d’exception adoptée par une procédure d’exception.

    Paris, le 21 juillet 2016

    source: ldh-france

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  • ET SIX MOIS DE PLUS !

    Communiqué du Collectif de 149 associations & syndicats

     

    Et six mois de plus ! (communiqué du Collectif "Nous ne cèderons pas !" 20/07/2016)

    Une nouvelle fois, la France vient d’être confrontée à l’horreur des attentats. Face au nombre de victimes, aux circonstances et au mode opératoire choisis, nous ne pouvons que ressentir colère et douleur.

    La réponse gouvernementale, formulée au soir même de cet acte odieux, consiste à proroger une quatrième fois l’état d’urgence pour une durée d’au moins six mois. Après s’être livrés à une lamentable surenchère sécuritaire et démagogique, les parlementaires ont avalisé à une très large majorité cette prorogation d’un état d’urgence sans fin, aggravé par des dispositions qui accroissent encore les possibilités d’arbitraire ou qui valident des mesures sans rapport avec l’objet du texte.

    Ainsi, les perquisitions administratives vont reprendre et même les enfants deviennent des suspects potentiels puisqu’ils pourront être retenus pendant quatre heures au cours d’une perquisition !

    Ces dispositions viendront s’ajouter à celles prévues par la toute récente loi sur la réforme de la procédure pénale mais aussi par toutes les lois sécuritaires votées depuis une vingtaine d’années.

    Alors que le dernier rapport parlementaire sur l’état d’urgence a montré la portée limitée d’un régime qui se voulait d’exception, la France va donc s’installer de façon durable dans une situation qui marginalise chaque jour davantage le rôle du juge judiciaire, garant des libertés individuelles, au profit du seul pouvoir exécutif. Nous savons, aujourd’hui, que l’état d’urgence a été utilisé pour autre chose que la lutte contre les actes de terrorisme, notamment pour empêcher des manifestations et assigner à résidence des militants politiques sans que tout cela ait le moindre rapport avec la lutte contre les actes de terrorisme.

    Plus que jamais, il convient de rappeler qu’il n’y a pas à choisir entre sécurité et liberté, sauf à entrer dans un marché de dupes qui, à terme, ne garantit ni l’une ni l’autre.

    Depuis le mois de novembre 2015, nous refusons de céder à la peur parce que celle-ci génère amalgames, discriminations et fractures au sein même d’une société légitimement inquiète et traumatisée. Pour lutter efficacement contre le terrorisme, il convient d’abord de s’interroger sur ce qui, en amont, n’a pas marché. Le pays n’a pas besoin de nouvelles dispositions législatives ou d’une pérennisation de l’état d’urgence. Il doit au contraire se retrouver autour d’une mobilisation citoyenne qui renforce la solidarité, les libertés et les valeurs portées par la démocratie.

    Paris, le 20 juillet 2016

     source:  www.nousnecederonspas.org

     

    Les 129 associations & 20 syndicats du Collectif "Nous ne cèderons pas !"

    AC ! Agir ensemble contre le chômage !, AFD International, Agir pour le changement démocratique en Algérie (Acda), Alofa Tuvalu, Altertour, L’Appel des appels, Assemblée citoyenne des originaires de Turquie (Acort), Association Avocats pour la défense des droits des détenus, Association démocratique des Tunisiens en France (ADTF), Association française des juristes démocrates (AFJD), Association France Palestine solidarité (AFPS), Association générale des étudiants de Paris-Sorbonne (Ageps), Association Grèce France Résistance, Association interculturelle de production, de documentation et de diffusion audiovisuelles (AIDDA), Association des Marocains en France (AMF), Association nationale d’assistance aux frontières pour les étrangers (Anafé), Association nationale des pieds-noirs progressistes et leurs amis (ANPNPA), Association pour la reconnaissance des droits et libertés aux femmes musulmanes (ARDLFM), Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF), Association des Tunisiens en France (ATF), Association des universitaires pour le respect du droit international en Palestine (Aurdip),  Attac, Cadac, Campagne BDS France, Cedetim, Centre islamique Philippe Grenier (CIPG), Centre de recherche et d’information pour le développement (Crid), CISPM/ Maroc, Collectif 3C, Collectif des 39,Collectif des associations citoyennes, Collectif CGT Insertion-Probation (UGFF-CGT), Collectif La Chapelle debout !, Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), Collectif des féministes pour l’égalité (CFPE),  Collectif Judéo Arabe et Citoyen pour la Palestine (CJACP),Collectif Memorial 98, Collectif des musulmans de France (CMF), Collectif national pour les droits des femmes (CNDF), Collectif national des Faucheurs volontaires, Collectif Ouiouioui, Collectif Stop le contrôle au faciès, Comité pour le développement et le patrimoine (CDP), Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT), Commission islam et laïcité, Confédération syndicale des familles (CSF), Confédération générale du travail (CGT), CGT-Finances publiques, Conseil national des associations familiales laïques (Cnafal), Confédération nationale du logement (CNL), Confédération paysanne, Conseil des Migrants  Subsahariens au Maroc, Conseil national des arts vivants (Synavi), Coordination de l’action non-violente de l’Arche (Canva), Coordination contre le racisme  et l’islamophobie (CRI), Coordination nationale Pas sans nous, Droits devant !, Droit au logement (Dal), Droit solidarité, Emancipation Tendance intersyndicale, Emmaüs France, Emmaüs International, Espace Marx, Fédération des associations des travailleurs et des jeunes (DIDF-France), Fédération des CRICs, Fédération française des motards en colère (FFMC), Fédération internationale des Ligues des droits de l’Homme (FIDH), Fédération nationale de la Libre pensée, Fédération des Tunisiens citoyens des deux rives (FTCR), Femmes Solidaires, Filles et fils de la République (FFR), Fédération syndicale unitaire (FSU), Fondation Copernic, Fondation sciences citoyennes, Genepi, Génération libre, Ipam, Jinov International, La Cimade, La Ligue de l’enseignement, La Quadrature du Net, Le Gisti, Le Mouvement de la paix, Les Amis de la terre France, Les Amoureux au ban public, Les Céméa, Liberpensula Frakcio de Sat, Ligue des droits de l’Homme (LDH), Maison des potes, Mamans toutes égales (MTE), Marche des femmes pour la dignité (Mafed), Médecins du monde, Minga-agir ensemble pour une économie équitable, Mouvement pour une alternative non-violente (Man), Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap), Mouvement utopia, Négajoule!, Observatoire citoyen du CRA de Palaiseau, Observatoire international des prisons (OIP) – section française, Organisation de femmes égalité, Osez le féminisme !, Participation et spiritualité musulmanes (PSM), Planning familial, Pôle de renaissance communiste en France (PRCF), Réseau d’alerte et d’intervention pour les droits de l’Homme (RaidH), Réseau éducation sans frontières (RESF), Réseau euromaghrébin culture et citoyenneté (REMCC), Réseau Euromed France (REF), Réseau Immigration Développement Démocratie (IDD), SNEPAP-FSU, SNJ-CGT, SNPES-PJJ/FSU, Snuclias-FSU, SNUEP-FSU, SNUITAM-FSU, Solidarité laïque, Sud Intérieur, SUPAP-FSU, Survie, Syndicat des avocats de France (Saf), Syndicat français des artistes interprètes (SFA), Syndicat de la Médecine Générale, Syndicat national des arts vivants (Synavi), Syndicat national des journalistes (SNJ), Unef, Une Autre voix juive (UAVJ), Union juive française pour la paix (UJFP), Union nationale lycéenne (UNL), Union rationaliste, Union des travailleurs immigrés tunisiens (Utit), Union syndicale de la psychiatrie (USP), Union syndicale Solidaires.

    Associations locales et autres :

    AC ! Trégor, Asti 93, Clamart-Citoyenne,Collectif 07 stop au gaz et huile de schiste, Collectif BDS Saint-Etienne, Collectif D’ailleurs nous sommes d’ici Tours 37, Collectif Justice & Libertés (Strasbourg), Collectif lyonnais jamais déchue, Collectif Maquis de Corrèze, Collectif Romeurope 94, Collectif de soutien aux sans-papiers du Trégor-Goëlo, Espace franco-algérien, Faucheurs volontaires de la Loire, Halte OGM 07, la revue Inprecor, le journal Regards, Réseaux citoyens Saint-Etienne, Revue Mouvements, Vigilance OGM 18.

     

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