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    Candidature déposée !

    Brest insoumise doit le rester.

    Emportons la victoire dimanche prochain

    C'est fait-la candidature de Pierre-Yves CADALEN est déposée pour le 2nd tourC'est fait-la candidature de Pierre-Yves CADALEN est déposée pour le 2nd tour

     

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  • Certes, Jean-Luc Mélenchon n'a pas réussi à convaincre les abstentionnistes qu'une cohabitation pouvait être imposée à Emmanuel Macron. Mais après les résultats du premier tour des élections législatives, le leader de la France Insoumise garde le sourire car il espère décrocher un groupe parlementaire.

    Mélenchon a retenu la leçon du premier tour de la présidentielle. Lui qui s'était alors montré ronchon malgré l'excellent score de la France insoumise (19,58%), a changé de pied ce dimanche 11 juin au soir du premier tour des élections législatives. Il faut dire que pour lui, les choses se sont plutôt bien passées puisqu'il est arrivé en tête dans sa circonscription de Marseille, où le sortant du PS Patrick Mennucci a été éliminé. Aussi, à peine les premiers résultats étaient-ils tombés qu'il a reconnu sans traîner - un peu avant 21 heures - que "les résultats nationaux montrent une très nette et incontestable avance du parti du président de la République". Quelques instants plus tard, il a veillé à afficher une ligne claire face au FN, appelant ses électeurs et ses candidats éliminés à "ne jamais permettre l'élection d'un candidat du FN".

    Les choses étant posées, le leader de la France insoumise (FI) ne s'est pas montré résigné bien que "le pays n'a(it) pas cru qu'il était possible de faire autrement" que de placer La République en marche (LREM) en tête. D'emblée, il a positionné son mouvement comme la première opposition de gauche au président Macron, prenant rendez-vous pour la suite : "L'immensité de l'abstention montre qu'il n'y a pas de majorité pour détruire le code du travail". Un peu avant, sur le plateau de France 2, son bras droit Alexis Corbière - lui aussi qualifié au second tour dans sa circonscription de Bagnolet-Montreuil - a confirmé vouloir constituer à gauche "la première force d'opposition" à LREM.

    La France insoumise peut espérer un groupe à l'Assemblée

    Avertissant les électeurs de gauche contre une future majorité "en trompe-l’œil", Mélenchon les a donc logiquement appelés à assurer "partout" l'élection de députés FI qui aura, selon lui, des "dizaines de candidats" présents au second tour. Face à la future majorité présidentielle qui promet d'être hégémonique dans la prochaine Assemblée, il a spécialement lancé "un appel aux milieux populaires et à la jeunesse qui se sont moins mobilisés qu'à la présidentielle : au deuxième tour, ne donnez pas et ne permettez pas à ce que soient donnés les pleins pouvoirs au président".

    Malgré un score national autour de 11%, derrière le FN crédité de 14%, le mouvement de Mélenchon a de quoi se réjouir. Le Parti socialiste est littéralement écrasé, avec certaines de ses figures éliminées dès le premier tour, et des candidats de la France insoumise se sont imposés dans certains fiefs du Parti communiste. Le leader de FI espère donc encore constituer un groupe insoumis à l'Assemblée : il faut 15 sièges et il peut en espérer entre 10 et 20. "Avec un groupe parlementaire, on aura un outil complet : le groupe, le mouvement... Et on va être dans l'action tout le temps. Tout le temps", promettait-il la semaine dernière dans le long entretien accordé au magazine Society. Le nouveau pari de Mélenchon : que sa bataille ne soit pas seulement un troisième tour dans la rue mais qu'à l'Assemblée, les nouveaux frondeurs soient des Insoumis.

    source: marianne.net

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  • Billet Rouge-Faisons des économies: supprimons ce parlement-fantoche ! – Par Floréal, PRCF. (IC.fr- 12/06/2017)Les futurs « députés » Macron ont juré de défendre quoi qu’il arrive les orientations de leur président vénéré et dispensateur de tant de bonnes places : bravo pour la séparation des pouvoirs inscrite dans la Constitution !

    En outre, dès qu’ils auront été élus (avec néanmoins 55 % d’abstentions, de blancs et de nuls dans la vue…), ces perdreaux de l’année se sont formellement engagés à se dessaisir aussitôt pour permettre à M. Macron d’abattre le Code du travail par ordonnances, court-circuitant ainsi le débat parlementaire et la mobilisation sociale.

    De toutes façons, ces députés-champignons sortis du néant (pardon, de la « société civile » – lisez : du patronat) et n’ayant derrière eux ni parti porteur d’une idéologie encombrante, ni militants exigeants, ni congrès houleux, ni mandatements internes conflictuels, ni toutes ces pratiques surannées que les gens ringards appellent « vie démocratique », et devant entièrement leur carrière et leur haut salaire au chef de l’exécutif, auront-ils la moindre envie de chagriner leur président Père-Noël en allant taquiner le gouvernement sur tel ou tel projet ministériel ? Il est vrai que les députés sortants PS et UMP avaient déjà accepté, en validant le Traité de Lisbonne, de se défausser sur Bruxelles (le faux nez de M. Schäuble) pour contrôler, en dernière instance, les décisions budgétaires…

    Du reste, quand bien même le président ordonnerait de temps à autre à ses députés-fantoches de mimer un débat contradictoire, quel en serait l’impact populaire quand on sait que le premier parti représenté au Palais-Bourbon, LREM, ne compte pas plus de 15% des Français derrière lui étant donné l’avalanche de blancs, de nuls et d’abstentions qui ont marqué le scrutin du 11 juin ? Car dans cette Cinquième « République » qui donne des leçons de démocratie au monde entier, un parti soutenu par 15% des électeurs peut parfaitement accaparer 80% des sièges à l’Assemblée…

    Si l’on ajoute à cela que les députés LR soutiendront tous les projets d’ubérisation du travail, au besoin en surenchérissant dans le sens du MEDEF, et qu’ils applaudissent d’avance à toute guerre impérialiste au Proche-Orient et à tout nouveau transfert de souveraineté décidé en direction de l’UE, une nouvelle modernisation drastique de la vie politique s’impose au « Young Leader » qui siège à l’Elysée : supprimer immédiatement les 500 sièges de députés-bidon qui plombent la « dette » de la France et transférer sans retard les pleins pouvoirs, y compris « constituants », au chef de l’Etat ! Alors vite, « en marche » pour la suppression de ce parlement-potiche qui nous coûte la peau des fesses sans même sauver les apparences !

    On peut aussi supprimer massivement des postes de journalistes dans l’audiovisuel : tous disent à peu près la même chose !

    Et pourquoi payer encore des juges alors que le nouveau projet de loi du gouvernement autorisera les préfets et les commissaires à coller un bracelet électronique à une personne simplement soupçonnée par la « justice » administrative. Et pour célébrer toutes ces économies, on pourrait brûler en place publique l’Esprit des lois de ce vieux chnoque de Montesquieu…

    Avec les très substantielles économies ainsi réalisées, on pourrait alors financer la création de 25 mille postes de CRS supplémentaires.

    Nul doute qu’ils seront très utiles pour défendre le président quand, tôt ou tard, il devra rendre des comptes, sans intermédiaires, aux vingt millions de citoyens (dont les 2/3 des ouvriers) qui ont massivement boycotté le scrutin dimanche…

    Floréal-le 12/06/2017

    source: initiative-communiste.fr

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  • Ajoutée le 12 juin 2017

    Martine Billard, Bastien Lachaud et Hélène Magdo ont tenu une conférence de presse, dimanche 11 juin, à l'annonce des résultats du premier tour des élections législatives. La France insoumise est présente dans plus de 70 seconds tours partout en France !

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  • Résultats du 1er tour des législatives 2017 : analyse et appel à l’action du PRCF (IC.fr-12/06/2017))

    A propos du 1er tour des . Premier commentaire d’ « Initiative  », le journal du PRCF. 11.06. 2017

    « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour toute portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus imprescriptible des devoirs ».

    Constitution de la Première République française, inspirée par Maximilien Robespierre.

    Très majoritaire si on lui ajoute les votes blancs et nuls, l’énorme abstention, au premier tour des législatives, qui fait suite nombre très important d’abstentions, de blancs et de nuls qui avait déjà accompagné l’étrange élection de Macron*, délégitime d’avance le projet antinational et antisocial que porte ce personnage, entièrement au service de Gattaz et de l’UE de Merkel.

    La 5ème République, dont le caractère antidémocratique est aggravé par le quinquennat et par son total assujettissement à l’UE, étale son épuisement politique et institutionnel.

    Le peuple contre le projet de Macron

    Le projet macronien d’ubérisation générale du travail et de casse de tous les acquis de 1936 et de 1945, n’a pas l’aval du peuple, pas plus que n’a reçu son consentement le projet d’euro-dissolution de la France, de sa souveraineté politique (« gouvernement de la zone euro ») et militaire (« défense européenne » dans le cadre de l’OTAN, placement de la force de frappe ex-française sous la tutelle de Berlin et de Washington), de sa langue nationale sacrifiée par Macron au tout-anglais, de substitution des grandes régions à l’allemande à la République indivisible et aux départements.

    Face à de tels projets négateurs de toute son histoire et de tout son avenir progressistes, le peuple français, et centralement, la classe ouvrière, le monde du travail et la jeunesse progressiste sont fondés à prendre l’offensive avec la certitude d’être entendus de la nation. Macron n’a donc absolument pas partie gagnée. Chacun doit méditer le mot de Marx qui disait de la France qu’elle « est la terre des luttes de classes poussées jusqu’au bout ». Non, l’ère des révolutions ouverte par 1789 n’est pas close dans notre pays contrairement à ceux qui veulent enterrer le mouvement ouvrier de classe, le projet communiste né dans notre pays et, dans la foulée, l’existence même de la nation républicaine.

    Si « majoritaires » qu’ils soient en pourcentage, les députés-godillots de Macron (qui entend gouverner par ordonnances et attend de ses « députés » une obéissance servile), seront archi-minoritaires dans le pays et ne représenteront en rien Marianne. Dans ces conditions, il est probable que, pour contrebalancer par des moyens de force l’illégitimité que lui confèrent les urnes, l’équipe ultra-patronale de Macron durcira encore l’Etat policier que devient la « Franceurope » bourgeoise en pleine fascisation rampante (nouvelles lois liberticides en préparation pour fliquer les manifs, l’internet et les libertés individuelles). Dans ces conditions, les appels du PS et du PCF à voter pour des candidats Macron pour « faire barrage au fascisme » sont surréalistes. C’est en combattant directement le dangereux FN, qu’il faut à tout prix éviter de banaliser, mais dont le recul global par rapport à la présidentielle est néanmoins significatif, que le mouvement ouvrier de classe fera régresser une menace lepéniste que nourrissent les renoncements de la fausse gauche, les reniements des dirigeants pseudo-communistes du PCF-PGE et les politiques euro-libérales qui désespèrent le peuple en détruisant la nation, la protection sociale et le « produire en France ».

    C’est dans les luttes que va désormais se jouer la vitale du peuple français

    La déconfiture des LR et du PS, dont nombre de figures opportunistes, poussées par le MEDEF, ont rallié Macron dès le 1er tour, est la juste sanction de leur trahison du peuple français. Il est certes lamentable que la représentation de la « gauche » soit en grave danger en France, mais les caciques du PS doivent s’en prendre à eux-mêmes et à leurs dirigeants faillis, Hollande et Valls.

    C’est avant tout dans les luttes que va désormais se jouer la résistance vitale du peuple français. Cela impose à tous les communistes de soutenir plus que jamais le syndicalisme de classe tout en l’appelant à dénoncer frontalement le rôle de la « construction » européenne dans le démontage social en marche. Le PRCF soutiendra ces luttes dans la perspective d’un changement de pouvoir et de société qui rende l’espoir à la jeunesse et au monde du travail.

    Le probable affaiblissement du PCF résulte largement de l’incapacité structurelle de ce dernier à affirmer une ligne et anti-UE, à se démarquer à 100% du PS et de Macron. Le PRCF continuera au second tour, là où ce sera possible, de soutenir les candidats PCF qui auront accepté le dialogue et n’auront pas mis sous le boisseau la question européenne. Le PRCF avait fait son devoir en temps voulu en proposant fraternellement au PG de soutenir partout les sortants PCF ainsi que les sortants PCF battus en 2012 par la vague rose. Il déplore certes que ce geste politique n’ait pas été fait, fût-ce unilatéralement, même si la direction du PCF porte une responsabilité accablante, par son confusionnisme politique atterrant (notamment par rapport au PS), dans la division qui s’est manifestée au 1er tour.

    Concernant la , il faudra observer de près son résultat qui, malgré le recul du pourcentage par rapport au 1er tour de la présidentielle, n’efface pas le score remarquable de JLM au 1er tour de la présidentielle et le potentiel de lutte que que cela représente. Encore faudra-t-il que ce mouvement, souvent vivant et dynamique, se lie systématiquement aux luttes en cours et qu’il résiste à la tentation de se transformer en formation prétendant à l’hégémonie sur la gauche populaire.

    Le PRCF, qui connait une importante dynamique d’adhésion et de rajeunissement, continuera de s’adresser à tous les vrais communistes, excédés par les ballons d’essai de M. Laurent au sujet du changement de nom du PCF (c’est-à-dire à l’officialisation d’une dé-communisation déjà achevée dans la pratique), aux syndicalistes de classe qui doivent associer résistance sociale et refus du délétère « saut fédéral européen » en marche, à tous les patriotes progressistes qui comprennent la nécessité de sortir de l’UE par la voie progressiste et antifasciste, à tous ceux qui veulent construire une France Franchement Insoumise (FFI) à l’UE/OTAN du capital et au capitalisme lui-même.

    *Qui, au 1er tour de la présidentielle, a surtout servi à certains pour éliminer Fillon, et qui, au 2ème tour, a bénéficié d’une dramatisation au barrage « antifasciste » sans que cela valide son programme ultra-patronal.

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  • A 20H, selon les estimation l’abstention atteint 50%, cela sans compter les votes blancs et nuls. De fait, l’Assemblée Nationale sera la plus mal élue de la Ve république, à l’image du président Macron.

    Par ailleurs, En Marche, qui sort en tête du premier tour réalise un score faible, s’agissant du parti du président, avec un peu plus de 32% contrairement au 40% à plus de 50% obtenus par le parti en tête du premier tour des de ces trente dernières années. C’est un score historiquement bas, d’autant plus qu’il se conjugue à un report d’abstention.

    Une large majorité des français, 84%, refuse d’accepter la politique de destruction du code du travail, des salaires et des libertés publiques et de la démocratie

    Avec seulement 16% des électeurs inscrits ayant voté pour un candidat LR EM MODEM, le premier ministre LR du banquier Macron prétend pourtant imposer son programme d’ultra droite au peuple de France : hausse de la CSG,

    Les résultats : répartition des votes

     

    • LR EM : 32%
    • LR : 21,5%
    • FN : 14%
    • France Insoumise (11%) et PCF (3%) : 14%
    • ¨PS : 13%
    • Autres : 5%

    Une première analyse des résultats montre que En Marche rassemble encore moins d’électeurs qu’au premier tour de la présidentielle 2017 : avec 16% des électeurs inscrits, contre 18%

    Une abstention historique, un score historiquement bas pour le président

    La carte des résultats :

    source: initiative-communiste.fr

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  • Ajoutée le 11 juin 2017

    Prise de parole de Jean-Luc Mélenchon le dimanche 11 juin 2017 après le premier tour des élections législatives. Il a expliqué que l'abstention massive signalait une absence de majorité populaire pour mettre en place le programme antisocial, antiécologique et antidémocratique du président. Jean-Luc Mélenchon a lancé un appel à la mobilisation des milieux populaires et des jeunes au second tour pour ne pas donner les pleins pouvoirs à monsieur Macron et pour élire de nombreux/ses député.e.s de la France insoumise. Il a enfin appelé à ne pas faire élire de député du Front national.

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  • Dans la première circonscription du Finistère (Quimper/Briec/Fouesnant), Jugdeep Harvinder, la candidate de la France insoumise, obtient 4946 voix et 9,96 % des suffrages exprimés; elle se place en quatrième position. La France insoumise devient la "1ère force de gauche alternative", "la 1ere force écologiste" de la circonscription.

     

    Dans la deuxième circonscription du Finistère (Brest ville) Pierre-Yves CADALEN, le candidat de la France insoumise réunit 5954 voix et 15,10% des suffrages exprimés. Il se place en 2ème position et est qualifié pour le 2nd tour.


    Législatives 2017. 1er tour. P.-Y... par Letelegramme

    Dans la troisième circonscription du Finistère (Brest rural) Christine PANAGET, la candidate de la France insoumise réunit 5786 voix et 12,08% des suffrages exprimés. Elle se place en 3ème position.

     

    Dans la quatrième circonscription du Finistère (Morlaix) Julien KERGUILLEC, le candidat de la France insoumise réunit 5970 voix et 12,77% des suffrages exprimés. Il se place en 3ème position devant le candidat du PS. La France insoumise devient "la première force d'opposition".

    Dans la cinquième circonscription du Finistère (Landerneau/Landivisiau) , Pascale MARCHAND, la candidate de la France insoumise, réunit 5382 voix et 10,34% des suffrages exprimés. Elle se place en 4ème position.

     

    Dans la sixième circonscription du Finistère (Carhaix/Chateaulin), Jean-Michel LUCAS, le candidat de la France insoumise réunit 5855 voix et 11,53% des suffrages exprimés. Il se place en 4ème position devant le candidat vert investi par le PS.


    Législatives 2017. 1er tour. J.-M... par Letelegramme

    Dans la septième circonscription du Finistère (Pont-l'Abbé/Douarnenez) Roland JAOUEN, le candidat de  la France insoumise réunit 6491 voix et 14,63% des suffrages exprimés. Il se place en 3ème position devant la candidate du PS.

     

    Dans la huitième circonscription du Finistère (Concarneau/Quimperlé) Emmanuel MAGNAN,le candidat de la France insoumise réunit 6001 voix et 12,97% des suffrages exprimés. Il se place en 3ème position .

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