• Pour la liberté des enfants et mineurs palestiniens emprisonnés

    Pour la liberté de tous les prisonniers politiques palestiniens

    Rassemblement -Mardi 17 avril-18 heures

    Place Terre-au-Duc à Quimper

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  • Converger , ensemble

    le 19 avril !

     

    Rarement une période économique et sociale n’aura été autant porteuse de dangers et d’incertitudes pour l’avenir de l’ensemble des salariés... Contradictoirement, rarement la séquence qui s’ouvre ne nous aura offert la possibilité de construire un mouvement capable d’inverser la courbe des remises en cause et des mauvais coups.

    Ces dernières semaines, des initiatives d’actions avec des grèves et manifestations ont été organisées dans plusieurs secteurs professionnels et territoires. Les retraités et les salariés des EHPAD étaient mobilisés dans l’unité le 15 mars dernier. Ils étaient des milliers dans les rues. Les uns aspirent – à juste titre – à des niveaux de pensions leur permettant de vivre dignement, et les autres à travailler dans des conditions décentes.

    Le 22 mars, les salariés de la fonction publique, des entreprises privées et publiques, les cheminots, étaient en arrêt de travail et en manifestation dans tout le pays.

    Le 30 mars, les salariés de Carrefour se sont mobilisés contre le démantèlement du groupe orchestré pour répondre aux seules exigences de rentabilité des principaux actionnaires.

    Depuis le 3 avril, une mobilisation massive des cheminots est engagée pour le service public ferroviaire.

    Toutes ces actions montrent que les salariés, les retraités, les jeunes ne s’en laissent pas conter. Ils exigent une autre action politique du gouvernement et que le patronat réponde à leurs revendications dans les entreprises.

    Tous les éléments semblent être réunis pour contraindre gouvernement et patronat à répondre aux attentes légitimes des salariés et des retraités. Pour se faire il est certes nécessaire d’amplifier le mouvement dans les entreprises, mais il faut également, de toute évidence, créer les conditions de leur convergence. C’est dans ces conditions et avec cet objectif que les organisations syndicales du Finistère CGT, FSU, Solidaires, avec le soutien de FO prennent l’initiative de faire du 19 avril 2018 une journée de convergences revendicatives et de luttes interprofessionnelles, appellent à se rassembler :

    à partir de 11 heures dans les localités le 19 avril 2018,

    à Brest-place de la liberté,

    Quimper-place St Corentin

    Morlaix-place des otages

     Carhaix-place du champ de foire

    Quimperlé (à 10h30 place Jean Jaurès)

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  • Le 20ème congrès de l'Union départementale des syndicats et des sections syndicales du Val-de-Marne c'est tenu en novembre 2017 à Villejuif. Dans son rapport, l'UD dresse un bilan sombre de la Confédération syndicale internationale et de sa branche européenne (Confédération européenne des syndicats)     

    UD CGT du Val-de-Marne va s'affilier à la Fédération Syndicale Mondiale (FSM-WFTY)

    Voilà ce que dit le secrétaire général de l'UD CGT du Val-de-Marne Cédric Quintin dans son rapport :

    Après un retour historique sur la Commune de Paris de 1871, la révolution socialiste d'Octobre 1917, le Front populaire de 1936 ... le dirigeant de la CGT a dressé un bilan dramatique de la situation politique, sociale du monde. Il dresse un constat sévère sur les incapacités de la Confédération syndicale internationale et de sa branche européenne (Confédération européenne des syndicats) et souhaite un rapprochement avec la Fédération Syndicale Mondiale, notamment l'affiliation de l'UD à la FSM :

    Extrait du discours :

    " C’est autour de ces enjeux cruciaux que nous avons tenu en juin dernier une importante rencontre sur deux jours en présence d’une cinquantaine de camarades, d’un représentant du syndicat Grec PAME (affilié à la FSM) avec qui nous venons d’ouvrir une nouvelle coopération syndicale, en présence également de la confédération, ainsi qu’en présence de Jean-Pierre PAGE, ancien secrétaire général de l’UD de 79 à 92 et ancien responsable du secteur international de la Cgt.

    Sans concession ni langue de bois, un constat sévère mais implacable s’en est dégagé. D’abord sur l’illisibilité, l’absence de volonté, le manque de solidarité et de coordination des luttes de la part de la CES et de la CSI (confédération syndicale européenne et confédération syndicale mondiale) auxquelles la Cgt est affiliée depuis la fin des années 90. Davantage qu’un simple constat, nous avons vérifié et souligné à cette occasion combien ces organisations syndicales européennes et internationales étaient encore engluées dans l’accompagnement du capitalisme mondialisé, dans le lobbying, dans le syndicalisme professionnel et institutionnel, dans la compromission et l’impuissance. Dans l’ostracisme également et l’arrogance vis-à-vis de la fédération syndicale mondiale comptabilisant pourtant près de 100 millions d’adhérents à travers le monde.

    La FSM, loin d’être à son tour exempte de critiques ou d’insuffisances, mais qui au moins se revendique et continue d’agir en syndicat résolument anti capitaliste et anti impérialiste, ce qui est, entre nous, bien plus conforme à notre histoire, nos repères et nos orientations que le syndicalisme de renoncement et de gestion de la misère qu’incarnent malheureusement, la CES ou la CSI.

    Au sortir de cette rencontre départementale, nous avons donc décidé, chers-es camarades, de faire monter l’exigence au sein de la Cgt de dresser un inventaire, un bilan collectif de nos affiliations dans ces organisations, 20 ans après y avoir adhéré. Demande partagée par d’autres organisations de la Cgt dans l’attente du 52ème congrès confédéral.

    Une seconde proposition a émergé à cette occasion et depuis cette rencontre de juin. Celle d’examiner notre affiliation, en tant qu’UD, à la FSM puisque les statuts de cette dernière, comme ceux de la CSI, nous y autorisent et que c’est déjà le cas pour plusieurs organisations syndicales internationales, ainsi que plusieurs syndicats, UL ou fédérations de la Cgt. Parmi-eux citons les fédérations de l’agroalimentaire et de la chimie, le syndicat de l’Energie Paris ou les Cheminots de Versailles. Je ne peux malheureusement développer davantage le sujet puisque nous avons décidé d’organiser très prochainement un important comité général sur le sujet.

    Néanmoins, nous ne souhaitons prendre personne par surprise ni tergiverser sur la direction que nous entendons proposer et débattre tous ensemble.

    De quoi, honnêtement et objectivement, avons-nous besoin comme solidarité internationaliste en Europe et dans le monde pour mener nos combats jusqu’à la victoire ?

    C’est au fond la seule question qui vaille et qui doit nous animer aujourd’hui ! Nous ne sommes pas dans l’incantation ou la nostalgie d’une époque révolue. Nous voulons débattre, nous souhaitons un état des lieux et un bilan syndical international honnête. Nous sommes insatisfaits et constatons aujourd’hui l’impuissance et l’éclatement du paysage syndical international qui entrave lourdement son action et sa résistance face à l’international patronal et au monde de la finance. De notre point de vue, la Cgt doit être davantage actrice et à l’initiative de cette refondation internationale du syndicalisme dans un sens plus combatif, plus revendicatif et solidaire. En toute modestie et respectueuse des histoires des spécificités de chacun, sans arrogance ni ingérence, la Cgt doit entraîner et convaincre les autres organisations syndicales à venir plus nombreuses sur le chemin de la lutte, de la confrontation, du rapport des forces et non dériver, se diluer dans des alliances et coalitions sans queue ni tête et en totale incompatibilité avec nos orientations et notre histoire."

    Le compte rendu des travaux du 20ème congrès de l'UD CGT 94
     

     

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  • Dimanche, en soutien aux cheminots en lutte, les Insoumis organisent un ciné-débat au Run ar Puñs, à 17 h.
    Dimanche, en soutien aux cheminots en lutte, les Insoumis organisent un ciné-débat au Run ar Puns 17h
     

    Dimanche, en soutien aux cheminots en lutte, les Insoumis organisent un ciné-débat au Run ar Puñs, à 17 h.

    Dans un communiqué, l’inter-groupes des Insoumis du Finistère fait savoir son « refus de la privatisation de la SNCF » et revendique sa « solidarité avec les cheminots en lutte ».

    Dans ce cadre, ils proposent, ce dimanche, à 17 h, un ciné-débat au Run ar Puñs autour du film The Navigators, de Ken Loach, en présence des représentants syndicaux des cheminots en lutte.

    Ce ciné-débat sera suivi d’une collecte au bénéfice de la caisse de solidarité des grévistes.

    source: https://www.ouest-france.fr

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  • Ciné-débat solidaire

    autour du film de Ken Loach

    "The navigators"

    Dimanche 15/04/2018-17 h.

    au Run Ar Puns Route de Pleyben 29150 Chateaulin

     

    la bande annonce

    Sheffield, au milieu des années 90. John, Jim, Paul, Gerry et Mick sont des «navigators», chargés d'entretenir les voies de la British Rail. A la fin de l'année, à l'initiative de John Major, le gouvernement lance un programme de privatisation. La société est divisée en 26 sociétés, et les employés doivent apprendre à être flexibles. La course à la rentabilité passe par l'embauche de personnel peu qualifié, sans véritable expérience, la mise en concurrence des salariés et le renvoi des ouvriers les moins dociles. Finalement, l'emploi fixe et stable laisse la place au flux tendu ou à l'intérim : le noyau amical ne tarde pas à voler en éclats…La privatisation en Grande-Bretagne s’est traduite par des accidents, des retards, des tarifs fortement augmentés et une désorganisation du service.

    Aujourd'hui voilà ce qui attend la SNCF si nous laissons faire. Or la SNCF nous appartient, c’est notre bien commun : avec les cheminots défendons-le, rejetons le diktat de l’UE-MEDEF-MACRON !

     

    Dimanche 15 Avril 2018-17 h

    Ciné-débat au Run-Ar-Puns

    autour du film « The navigators »

    Venez nombreux !

    pour débattre avec les représentants des cheminots en grève et les soutenir financièrement

     φ Soirée organisée par les Insoumis-Partenaires29 φ

    (contact : insoumispartenaires29@gmail.com )

     

    Ken Loach, réalisateur du film “Les navigators” : ” je soutiens totalement la grève des cheminots”

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  • Ce vendredi 13 avril, une centaine de cheminots grévistes se sont rendus à Châteaulin (Finistère), où ils espéraient rencontrer le député LRM de la 6e circonscription, Richard Ferrand.
    Ce vendredi 13 avril, une centaine de cheminots grévistes se sont rendus à Châteaulin (Finistère), où ils espéraient rencontrer le député LRM de la 6e circonscription, Richard Ferrand.
     

    Ils l'avaient annoncé : ce vendredi 13 avril, une centaine de cheminots grévistes se sont rendus à Châteaulin (Finistère), où ils espéraient rencontrer le député LREM de la 6e circonscription, Richard Ferrand. Six délégués syndicaux ont pu rencontrer l'élu, mais en gare de Brest.

    Ils sont une centaine de cheminots grévistes, rassemblés devant l'hôtel de ville de Châteaulin (Finistère), ce vendredi 13 avril. Ils sont venus de tout le département, dans l'espoir de rencontrer Richard Ferrand, député de la 6e circonscription du Finistère à Châteaulin.

    Une rencontre en gare de Brest

    Lundi 9 avril, Gabriel André, responsable du syndicat CGT cheminots à Quimper, justifiait cette rencontre : « Richard Ferrand a incité l’ensemble des députés LRM à aller à la rencontre des cheminots pour leur expliquer la réforme de la SNCF voulue par le gouvernement. On attend toujours sa venue. Donc nous allons aller le voir directement. »

    Une rencontre avec l'élu - également président du groupe LREM à l’assemblée nationale - a pu avoir lieu ce vendredi 13 avril, mais en gare de Brest. Six délégués syndicaux ont ainsi pu rencontrer le député.
     
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  • Boris Le Lay était jugé, ce lundi, pour diffamation et injure publiques, et provocation au crime ou délit.Boris Le Lay était jugé, ce lundi, pour diffamation et injure publiques, et provocation au crime ou délit

    Son site d’extrême droite fiche des militants, pour leurs engagements. Boris Le Lay était jugé pour diffamation et injure publiques, et provocation au crime ou délit, ce lundi 9 avril, à Rennes. Le tribunal correctionnel l’a condamné à dix-huit mois de prison et à 8 000 € d’amende.

    Ils sont nombreux, à prendre place sur le banc des parties civiles. Dix-huit femmes et hommes fichés par un site d’extrême droite, Breiz Atao, qui se présente comme le « quotidien de l’État national breton ». Le fichage prend la forme de « notes de renseignements » sur ces militants rennais, engagés aux côtés des migrants, des sans papiers, contre le sexisme et l’homophobie. Certains sont enseignants ou chercheurs, d’autres artistes ou ingénieurs.

    Sur ce site ultranationaliste, « nous ne sommes ni dans la défense de la culture bretonne, ni dans le débat d’idées. Mais dans l’incitation à l’élimination de personnes qui ne pensent pas comme Breiz Atao », rapporte l’une des victimes.

    Site déréférencé de Google

    Le site, créé en 2010, serait hébergé aux États-Unis. Son administrateur présumé, Boris Le Lay, serait domicilié au Japon.

    Cet homme de 35 ans, natif de Quimper, a déjà été condamné à de multiples reprises par les tribunaux français, pour apologie de crimes et provocation à la haine. Deux mandats d’arrêt ont été ordonnés contre lui.

    Boris Le Lay est absent à son procès, qui se tient deux ans après les dépôts de plainte d’un directeur d’école puis de dix-neuf autres plaignants. ll est jugé pour diffamation et injure publiques, et provocation au crime ou délit.

    Me Catherine Glon, avocate des parties civiles, souhaite la fermeture globale du site. Celui-ci a déjà été déréférencé de Google : sa page d’accueil n’apparaît plus dans les résultats de recherche. Toutefois, le site est toujours accessible.

    Le prévenu se comporte « comme un néonazi »

    Le procureur de la République considère que le prévenu « se comporte véritablement comme un néonazi » et estime que les propos de ses publications « rappellent le second conflit mondial et l’Holocauste ». Il requiert 18 mois de prison, 5 000 € d’amende et demande qu’un nouveau mandat d’arrêt soit ordonné.

    Le tribunal le suit, tout en alourdissant le montant de l’amende, fixé à 8 000 €. Boris Le Lay est également condamné au versement d’1 € symbolique, à chacune des parties civiles.

    source: https://www.ouest-france.fr

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