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Au moins 500 manifestants ont filtré la circulation à Brest, ce samedi 24 novembre, aux ronds points de Pen-ar-Ch’leuz et Quelarnou, ainsi qu’en ville. Ce dimanche, la situation devrait être identique.
« On a dormi là cette nuit. Pas question de lever le camp tant que le gouvernement ne nous a pas entendus. » Terry, 21 ans, campe sur le rond de Pen-ar-Ch’leuz, à Brest (Finistère), aux côtés d’une dizaine de camarades. « La solidarité qui émerge ici est magnifique. Ça, c’est beau ! »
Toujours aussi déterminés à se faire entendre, au moins 500 Gilets jaunes se sont relayés, ce samedi 24 novembre, pour manifester leurs mécontentements aux abords de l’agglomération brestoise et en centre-ville.
Pen-ar-Ch’leuz et Quelarnou
Dès 8 h, les ronds points de Pen-ar-Ch’leuz et Quelarnou (dans la zone du Froutven) faisaient l’objet de barrages filtrants. Sur place, les forces de l’ordre n’ont pas eu à s’employer et ont même salué le travail des manifestants qui n’ont pas hésité à repousser certains agitateurs alcoolisés.
Terry et Valentin ont dormi sur place, ici avec Patricia qui s’active du côté de l’intendance.« Au rond-point de Pen-ar-Ch’leuz, ils ont eu aussi des soucis avec une bande de jeunes dans la nuit de vendredi à samedi, mais, ils s’en sont occupés avant de nous prévenir », déclare le commissaire Gallo, plutôt satisfait de cette prise de responsabilité des manifestants.
« Je me sens acculée »
À midi, ils étaient environ 500 à se rassembler, toujours à Pen-ar-Ch’leuz et toujours dans une ambiance plutôt détendue. Une soixantaine de motards ont également manifesté entre Brest et Plougastel, en passant par le port de commerce, provoquant des ralentissements sans blocage.
Dans leur campement de fortune, les Gilets jaune s'organisent.Sur la brèche depuis maintenant huit jours, les opposants ne décolèrent pas. « En moins d’un an, j’ai connu plusieurs suicides de jeunes autour de moi, déplore cette mère de famille de 34 ans. C’est très dur à encaisser. Tout ça pour des dettes à cause d’un prêt, ou parce que la personne ne trouvait pas de boulot… Je me sens acculée et pas entendue. »
Même son de cloche du côté de José, 58 ans. « On voit tous nos porte-monnaie s’assécher. Je suis là aussi pour défendre les intérêts de mes enfants et petits-enfants face à une élite qui n’en a rien à faire de la classe moyenne. »
Ce dimanche 25 novembre, les Gilets jaunes devraient poursuivre les mêmes opérations de filtrage, dans les mêmes zones.
source: https://www.ouest-france.fr/
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Ce samedi matin 24 novembre, les Gilets jaunes ont décidé d’essaimer plusieurs opérations escargot à Brest (Finistère). Pour l’instant, la circulation est ralentie, mais pas bloquée. La circulation du tram connaît quelques perturbations en centre-ville.
Vers 8 h, ce samedi matin 24 novembre, un groupe de Gilets jaunes s’est réuni à Brest (Finistère), sur le parking du centre Leclerc de Kergaradec, pour organiser leur journée de mobilisation. Plus tôt dans la matinée, un car
Vers 11 h, une centaine de Gilets jaunes étaient au rond-point de Pen-ar-Chleuz, pour une opération escargot, dans une ambiance plutôt détendue. Plusieurs automobilistes les saluaient à coups de klaxon. Un autre groupe d’une centaine de personnes est situé au rond-point de Quelarnou, dans la zone du Froutven. D’autres groupes ont essaimé plusieurs opérations escargots : en centre-ville, autour du centre commercial Iroise, sur le port de commerce et en direction du pont de l’Iroise.
Une centaine de Gilets jaunes mènent une opération escargot au rond-point de Pen-ar-Chleuz, à Brest, ce samedi matin 24 novembre.Selon la gendarmerie, tout s’est passé calmement. Jusqu’à 11 h, la circulation était ralentie mais pas bloquée. La circulation du tram connaît quelques perturbations en centre-ville.
Vers 14 h, les Gilets jaunes devraient décider de nouvelles opérations escargots.
source: https://www.ouest-france.fr/
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Journée noire pour la langue française. Les publicitaires aux ordres des multinationales du commerce, grands prètres de la “consommation” ont décidé d’une offensive générale pour matraquer la France d’une campagne de publicité en anglaispour imposer un usage américain. Une violence de plus contre les travailleurs de France dont la langue commune est le français. Celle de la casse de ce premier service public du pays, la langue.
Une campagne qui est en contradiction avec la Constitution et avec la loi de la République (loi Toubon), une campagne menée dans toutes les rues du pays, sur toutes les chaînes de télévision et de radio, une campagne de colonisation de l’espace public, de nos yeux et de nos oreilles par le tout anglais. Une campagne qui n’a rien à voir avec des initiatives relevant de la créativité originale de quelques commerçants voulant se distinguer pour faire valoir leurs produits. C’est au contraire une campagne conformiste, copiant un usage américain, imposé d’ailleurs par les GAFA, ces multinationales du commerce en ligne telles qu’Amazon. Une campagne qui est le symptôme de la progression de la colonisation économique, de l’impérialismequi efface la France des Lumières, la République et avec elle la biodiversité de langues multiples et de l’indispensable diversité culturelle qui est l’héritage et l’avenir des peuples de toutes la planète. Car c’est un même slogan en anglais américain, pour une date américaine qui est utilisé par toutes ces grosses entreprises. Un slogan qui d’ailleurs ne veut rien dire pour les français : Vendredi Noir ? cela ne fait pas très envie d’autant que cela ne correspond pas aux usages du calendrier commercial en France.
Il en est qui protesterons en disant que les commerçant sont obligés de faire cela pour vendre, que c’est moderne… non cela ne l’est pas puisque du Black Friday aux si mal nommés “French Days” de Carrefour les multinationales imposent une langue unique, l’anglais de Wall Street. Pas des slogans en espagnol, en italien en Allemand ou autres langues. Et un slogan qui ne parle à personne. Quant à l’argument de la créativité il est ridicule : nos publicitaires sont ils si médiocres qu’ils imaginent mieux convaincre les français en leur parlant une autre langue que la leur ? Des publicitaires, de SOSH à Monoprix fond d’ailleurs la démonstration que l’on peut faire des publicités originales, performantes en utilisant la langue française De fait, ce n’est pas cela la cause de ce tout anglais imposé pour remplacer le français et toutes les autres langues. Il s’agit ici pour l’élite capitaliste d’imposer sa langue, celle de l’impérialisme dominant états-uniens, et avec elle l’ensemble de l’idéologie politique et de ses valeurs, consumérisme et libéralisme notamment. Ce tout anglais n’est pas neutre, il est un instrument de domination.
Ne comptez pas sur le CSA, autorité de régulation de l’audiovisuel, qui refuse de faire appliquer la loi. qui impose, d’après le ministère de la culture (DGLFLF) :
la loi prévoit l’emploi obligatoire du français ou de traductions en français dans tous les messages publicitaires et émissions des services de radio et de télévision, à l’exception des œuvres cinématographiques et audiovisuelles en version originale, des programmes conçus pour être diffusés en langue étrangère, de ceux dont la finalité est l’apprentissage d’une langue, et des retransmissions de cérémonies cultuelles
Le CSA n’a jamais rien fait pour sanctionner les chaînes publiques lorsqu’elles n’appliquent pas l’article 39 de la Charte de France Télévisions dans laquelle est écrit noir sur blanc que les termes étrangers sont proscrits à l’antenne lorsqu’un équivalent français existe. Ce qui vaut évidemment pour les publicités. Une situation dénoncée depuis des années par les associations de défense de la langue française comme l’AFRAV.
Et comptez encore moins sur l’ARPP association des professionnel de la publicité censée contrôler le secteur qui en cette année 2018, bien que ses propres recommandations imposent la traduction systématique de tous les termes en langue étrangère, intitule son principal colloque annuel en anglais. AD Tech Summit pour Sommet technologique de la publicité.
Pourtant une analyse de plus de 20 000 publicités menée par la même ARPP et le ministère de la culture en 2018 a démontré le caractère systématique des manquements à la loi et aux règles, notamment avec l’absence de traduction des slogans en anglais. Dans ce même rapport, Dominique Wolton, président du conseil de l’éthique publiciaire et directeur de la revue internationale Hermes publiée par le CNRS dénonce d’ailleurs un “snobisme à la française”
Les Français, au lieu de défendre la francophonie, sont fascinés, de manière assez risible, par les termes anglais.
Lors de sa promulgation il y a plus de vingt ans, la loi Toubon, pourtant courageuse et relevant du bon sens, a été injustement critiquée. C’est l’illustration même du snobisme français. On croit qu’être “moderne”, c’est parler anglais et que c’est aussi une preuve d’intelligence ! Il ne s’agit pas de faire d’une langue un business, mais de respecter les identités culturelles, c’est-à-dire traduire.
La traduction : l’industrie mondiale, si on voulait vraiment la paix !
Il est certain que nous aurions à gagner qu’une telle loi existe dans tous les pays afin de protéger nos diversités dont nous devons être fiersAvant qu’il ne soit définitivement trop tard, il est tant pour chaque francophone, pour chaque personne soucieuse de la diversité culturelle et linguistique, de réagir. A commencer par protester contre ceux qui voudraient imposer le tout anglais. Par exemple en refusant d’acheter à des commerçant qui nous agressent avec leurs slogans tout en anglais. En leur faisant savoir votre refus, et en invitant chaque citoyen à faire de même. E,n agissant également sur le plan juridique, en envoyant de façon systématique des protestations et des plaines auprès du CSA et de l’ARPP. Et en poursuivant le combat judiciaire, marquée par de belles victoires ces dernières années.
JBC pour www.initiative-communiste.fr
Une immense majorité de Français se pose la question: Black Friday, qu’ès acco?
Cet événement n’a rien, mais vraiment rien de rien, à voir avec notre histoire. Mais pour certains qui maîtrisent – ou ne maîtrisent pas du tout – l’anglo-américain,ça fait tellement bien (au moins le croient-ils) d’étaler sur les vitrines et dans leurs courriers, et bien sûr dans leurs conversations, leur savoir-parler (!!!) anglo-américain …
Et ce, sans même se rendre compte que c’est un vache coup de pied contre notre langue maternelle, vacherie qui contribue, hélas! à la mettre un peu plus en péril, alors qu’elle n’a vraiment pas besoin de ça, attaquée comme elle l’est par ceux dont le but est de l’étouffer sous une vague d’anglo-américano-phonie, et par les autres qui ne savent pas qu’ils “travaillent” là à la disparition de leur langue, de leur culture et de leur civilisation,
En bref, de tout ce qui fait qu’ils peuvent -encore !- se flatter d’être Français.
Ce qu’ils ne seront plus, quand, de l'”érosion” du patrimoine culturel français, il ne restera plus que quelques grains de sable que les “devenus” américanophones fouleront aux pieds, sans savoir sur quel trésor que l’on croyait impérissable ils useront leurs semelles.
Au fait, qu’ont-ils de plus que nous? Que pouvons-nous leur envier, à ces “grands amis” Américains qui prétendent mettre sous leur joug tous les pays du Monde, et qui nous mépriseront d’autant plus que nous ne leur résisterons pas ?
Pour la France, Le Black Friday marquera le jour où la langue française, encore langue vivante aujourd’hui, deviendra pour toujours langue morte. Morte par la volonté de quelques uns, suivis par des millions de “copieurs” qui, individuellement, n’ont pas conscience de la gravité de leur “suivisme”.
Où sont le courage et l’abnégation des poilus de 14/18? Qu’est devenu le sacrifice des maquis et des résistants de 39/45 ? Quel hymne allons nous pouvoir chanter, si ceux qui luttent aux frontières de notre culture et s’opposent aux “collabos de la pub et du fric” (Michel SERRES, philosophe*) ne sont pas rejoints et soutenus par la masse des Français qui veulent le rester et parler Français?
G. C.
* Michel SERRES, dans un de ses écrits, prône “la grève de l’anglais” , c’est à dire le refus d’entrer dans un commerce dont l’anglo-américanisation est mise en évidence par l’enseigne et les vitrines. Déjà, beaucoup d’acheteurs suivent cette ligne et font profiter de leur “manne” les commerces restés français.
source: https://www.initiative-communiste.fr/
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À Brest, les ronds-points de Pen ar Ch’leuz et d’Ikea sont à nouveau bloqués ce vendredi matin par les Gilets jaunes. Par ailleurs, des entrepreneurs indépendants du BTP bloquent toujours le dépôt pétrolier situé au port de Brest.
Cela risque encore de bouchonner ce vendredi 23 novembre aux entrées de Brest. Même s’ils ne sont plus très nombreux, les Gilets jaunes sont toujours présents aux deux ronds-points situés en sortie de la RN12 Rennes - Brest, ceux d’Ikea et de Pen ar Ch’leuz.
Par ailleurs, l’entrée par le Sud risque elle aussi d’être perturbée, mais par un autre mouvement. Comme jeudi 22 novembre, des entrepreneurs du BTP bloquent l’accès au dépôt pétrolier du port de Brest. Ils protestent contre la hausse de la fiscalité sur le gazole qu’ils utilisent pour leurs véhicules de transport. Cette augmentation est prévue au 1er janvier 2019.
source; https://www.ouest-france.fr/
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Les gilets jaunes restent mobilisés à Quimper, comme ici à Troyalac’h. Ce vendredi 23 novembre à 18 h 30, ils ont ralenti la circulation sur le rond-point de Lududu.
Une trentaine de Gilets jaunes était présente, ce vendredi 23 novembre 2018 vers 18 h 30 au rond-point du Lududu à Quimper. Certains automobilistes ont mis un temps fou pour faire quelques kilomètres.
Une trentaine de gilets jaunes étaient présents, ce vendredi 23 novembre vers 18 h 30 au rond-point du Lududu à Quimper (Finistère). Ils ont perturbé la circulation, dense à cet endroit de Quimper, en particulier le vendredi soir en début de soirée.
« 1 h 30 pour faire 8 km »
Plusieurs automobilistes ont été considérablement ralenties. Comme ce quadra qui a mis « 1 h 30 pour faire 8 km. » La mobilisation se poursuit tout le week-end.
source: https://www.ouest-france.fr/
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Une voie d’accès au dépôt est fermée par les engins de chantier, bloquant la sortie des camions de carburant
Plusieurs actions sont en cours : dépôt pétrolier de Brest bloqué par des salariés des travaux publics, centre des impôts de Morlaix bloqué par les Gilets jaunes, et plusieurs barrages filtrants toujours actifs.
À Brest
À Brest (Finistère), une quarantaine de salariés d’entreprises de travaux publics ont pris position devant le dépôt pétrolier. S’ils portent des gilets jaunes, leurs vêtements de travail, ils ne veulent pourtant pas être assimilés à ce mouvement.
Leur revendication porte sur la fin du gasoil GNR (gazole non routier), qu’ils achètent détaxé pour leurs engins. La fin de cette détaxation, si elle est appliquée au 1er janvier, entraînerait une hausse de 0,60 € par litre environ. Reçus par le sous-préfet Ivan Bouchier à la mi-journée, qui leur a indiqué transmettre leurs revendications au ministère, ils maintiennent la mobilisation.
Une voie d’accès est bloquée par les engins de travaux publics, empêchant les camions d’essence de quitter le dépôt. Les manifestants espèrent être rejoints demain, vendredi, par d’autres engins venus du sud-Finistère.
À Brest, toujours, des barrages filtrants sont toujours en place au rond-point de Penn-ar-Chleuz, près de la voie express au nord de Brest (accès à la RN12) et sur le boulevard de l’Europe.
À Morlaix
« On ne veut plus embêter les citoyens, mais l’État », disent les Gilets jaunes de Morlaix, qui ont cessé leur barrage sur la route de Lannion, pour bloquer l’accès au centre des impôts, place du Pouliet.
Les Gilets jaunes devant le centre des impôts de Morlaix.À Quimperlé
Une quarantaine de Gilets jaunes organisent toujours un barrage filtrant sur le rond-point de Kervidannou, donnant accès à la voie express et à la zone d’activité de Mellac. Ils sont présents depuis samedi.
À Concarneau
Les Gilets jaunes du groupe « Les Concarnois en colère » appellent à une réunion demain, vendredi, à 17 h 30, au restaurant Le Cabellou, pour envisager la suite du mouvement, et demandent l’arrêt des barrages filtrants. Un autre groupe de Gilets jaunes est toujours présent près de la voie express, mais laisse la circulation passer.
À Quimper
Un petit groupe de Gilets jaunes laisse passer la circulation au rond-point de Troyalac’h, près de la voie express. Mais on attend une nouvelle manifestation de Gilets jaunes à Quimper, samedi. Tandis que d’autres groupes partiront rejoindre la manifestation nationale à Paris.
source: https://www.ouest-france.fr/
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Perpignan - les lycéens dispersés par la police - 20 novembre 2018.
Des élèves du lycée Arago de Perpignan avaient décidé de bloquer leur établissement ce mardi matin, en soutien au mouvement des "gilets jaunes". Ils avaient même érigé une barricade de poubelles devant l'entrée principale.
Les lycéens grondent, ils veulent ainsi montrer leur colère au gouvernement et leur inquiétude face à leur avenir.Perpignan - manifestation des lycéens en soutien aux "gilets jaunes" - 20 novembre 2018.
Des jeunes des lycées Picasso et Maillol ont spontanément pris part à la manifestation dans les rues de Perpignan. Ils étaient plusieurs centaines.
Les forces de l'ordre sont intervenus à plusieurs reprises entre 10h et midi, avec des grenades lacrymogènes, pour disperser les rassemblements de jeunes et rétablir la circulation sur les boulevards.16 interpellations de lycéens et 5 mineurs mis en examen
16 lycéens ont été interpellés ce mardi à Perpignan après la manifestation qui a perturbé la circulation en ville une partie de la journée.
Des interpellations pour violences et outrages à la suite de jets de projectiles, de feux de poubelles et de dégradations de véhicules.
Certains jeunes ont profité de cette action pour monter sur des véhicules ou encore casser des rétroviseurs.
5 lycéens mineurs ont été mis en examen ce mardi soir pour "violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique" et un majeur a été renvoyé devant le tribunal après des manifestations "spontanées" qui ont débuté lundi à Perpignan et à Canet-en-Roussillon."Gilets jaunes" : des lycéens de Perpignan solidaires du mouvement dispersés par la police. A Perpignan, des lycéens ont décidé de rejoindre le mouvement des "gilets jaunes", de manifester voire de bloquer leur lycée. Les forces de l'ordre sont intervenus ce mardi matin, en centre-ville, pour les disperser et débloquer le lycée Arago. 16 lycéens ont été arrêtés par la police.
Fabrice DUBAULT
source: https://france3-regions.francetvinfo.fr/
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