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     Venezuela : Tentative de coup d'Etat (Bolivar Infos 30/04/2019)Caracas le 30/04/2019

    Le président de l'Assemblée Nationale Constituante du Venezuela, Diosdado Cabello, a démenti la prise de la Base Aérienne de La Carlota après qu'un petit groupe de militaire se soit soulevé pour faire un coup d’État avec l'extrême-droite.

    « Il n'a été porté atteinte à aucune installation militaire dans le pays. Ils sont dans a rue , sur l'Echangeur Altamira et nous, nous dirigeons les opérations depuis la Base Aérienne de La Carlota, » a-t-il expliqué.

    Le gouvernement a appelé le peuple à se rendre à Miraflores pour rejeter la tentative de coup d’État. 

    La FANB continue à défendre la Constitution Nationale et ses autorités légitimes. Toutes les unités déployées dans les 8 Régions de Défense Intégrale disent que tout est normal dans leurs casernes et sur leurs bases militaires, sous le commandement de leurs commandants normaux.

    • Vladimir Padrino L. (@vladimirpadrino)

    Les autorités des diverses institutions de l'Etat ont pris position contre la tentative de coup d'Etat. 

    Le vice-président pour la Communication du Venezuela, Jorge Rodríguez, a fait savoir ce mardi qu'on a démantelé un petit groupe de militaires qui cherchaient à faire un coup d'Etat dans le pays. Sur son compte Twitter, il a alerté sur les activités de ce groupe : 

    « Nous informons le peuple du Venezuela qu'en ce moment, nous affrontons et nous désactivons un petit groupe de militaires traîtres qui ont pris position sur l'Echangeur Altamira pour faire un coup d'Etat contre la Constitution et la paix de a République, » a écrit Rodríguez et il a appelé instamment le peuple vénézuélien « à être en alerte maximum pour, avec la glorieuse Force Armée Nationale Bolivarienne, vaincre la tentative de coup d'Etat et préserver la paix. »

    Pour sa part, le ministre de la Défense du pays, Vladimir Padrino López, a condamné le mouvement putschiste et a affirmé son soutien au Gouvernement constitutionnel que préside Nicolás Maduro.

    « Les pseudo-dirigeants politiques qui se sont mis à la tête de ce mouvement subversif ont employé des troupes et des policiers avec des armes de guerre sur une voie publique de la ville pour créer l'angoisse et la terreur, » a-t-il écrit également sur Twitter. 

    traduction Françoise Lopez pour Bolivar Infos

     

    source: http://bolivarinfos.over-blog.com/2019/04/venezuela-tentative-de-coup-d-etat.html

     

    Le dirigeant d’opposition Leopoldo López, sans doute sorti de sa résidence surveillée par les forces d’opposition est apparu sur une vidéo avec le député Juan Guaidó sur la Base Aérienne de La Carlota entouré d'un groupe de militaires déserteurs.

    Leopoldo López, sur son compte Twitter, a affirmé que « la phase défintiive de la cessation de l'usurpation a débuté, l'Opération Liberté. » Il a aussi annoncé qu'il a été « libéré par des militaires aux ordres de la Constitution et du Président Guaidó. »

    Pour sa part, le « président par interim » autoproclamé a annoncé qu'en «  ce moment, » il se trouve avec les principales unités militaires de notre Force Armée pour engager la phase finale de l'Opération Liberté. »

    Information en développement

     

    source: http://bolivarinfos.over-blog.com/2019/04/venezuela-tentative-de-coup-d-etat.html

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  • LE PRCF APPELLE A LA CONVERGENCE DES LUTTES LE 1ER MAI 2019

    Face à un pouvoir macronien qui ne lâche quelques miettes en trompe-l’œil que pour frapper encore plus fort le monde du travail (retraites, statuts publics, contre-réforme Blanquer de l’Education, privatisations en cascade…), il faut que convergent les luttes des syndicalistes de lutte et des Gilets jaunes pour l’emploi, l’augmentation de tous les revenus issus du travail (salaires, pensions, indemnisation du chômage, remboursements de soins…), les libertés syndicales et démocratiques et la souveraineté du peuple. Solidarité totale en particulier avec tous les camarades syndicalistes et/ou  réprimés.

    La journée internationale de lutte des travailleurs peut montrer à tous que le mouvement populaire, non seulement ne baisse pas la garde, mais qu’au contraire, il monte en puissance.

    Profitons aussi de cette journée internationaliste pour mettre en accusation, non seulement Macron et son gouvernement liberticide, mais l’UE du grand capital qui broie les peuples souverains et les conquêtes sociales. Imposons le débat sur la sortie par la gauche de l’UE qui « cadre » tous les mauvais coups (code du travail, statuts, services publics, privatisations…) à l’échelle continentale. Une UE que continuent pourtant de ménager les états-majors syndicaux euro-formatés !

    Luttons aussi pour la paix, car c’est la même politique de classe qui impose l’euro-austérité et qui, sous couvert de construire une « armée européenne » arrimée à l’OTAN, se lance dans une course aux armements insensée à la demande de Trump, tout en préparant les de futures guerres impérialistes contre les peuples russe, iranien, etc.

    Solidarité également avec tous les peuples opprimés de la Terre, qu’il s’agisse des peuples qu’opprime la « Françafrique » néocoloniale (Mali, Côte d’Ivoire, etc.), de Cuba socialiste et du Venezuela bolivarien littéralement assiégés par l’Oncle Sam, des peuples du Proche-Orient dévasté, du peuple palestinien martyrisé par Israël ou du peuple ukrainien qui subit depuis des années, avec le concours de l’UE/OTAN, un gouvernement truffé de néonazis.

    Plus que jamais, en ce 100ème anniversaire de l’Internationale communiste, que retentisse le mot d’ordre de Marx, d’Engels et de Lénine : « prolétaires de tous les pays, peuples opprimés du monde, unissez-vous ! ».

    Par , secrétaire national, Jo Hernandez, responsable national Luttes, Gilliatt de Staërck, responsable JRCF-le 30/04/2019

    source: https://www.initiative-communiste.fr

     

    MANIFESTATIONS DU 1er MAI 2019 EN FINISTERE

     

    Brest: 11h-RDV Place de la Liberté

    Carhaix: 10h30-RDV Place du champ de foire

    Châteaulin: 10h30 RDV Place de la résistance  

    Morlaix: 10h30-RDV Place des otages

    Pont-l'Abbé: 10h30-RDV 10 rue Madeleine Pont L'abbé

    Quimper: 11h00-RDV Esplanade Julien Gracq (médiathèque)

    Quimperlé:10h30- Salle Coat Ker 

    Rosporden: 11h -RDV 3, rue Ernest Renan

     

     

    LE PRCF APPELLE A LA CONVERGENCE DES LUTTES LE 1ER MAI 2019

     

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  • François Ruffin (à gauche) et Gilles Perret (au centre) ont passé six jours sur les ronds-points de France en décembre 2018 à la rencontre des Gilets jaunes. François Ruffin (à gauche) et Gilles Perret (au centre) ont passé six jours sur les ronds-points de France en décembre 2018 à la rencontre des Gilets jaunes.

    Le réalisateur Gilles Perret sera ce mardi au cinéma Eckmühl à Penmarc’h et au quai Dupleix à Quimper. Il présentera son documentaire « J’veux du soleil » tourné avec son complice François Ruffin. Un road-movie touchant à la rencontre des gilets jaunes.


    Comment est née l’idée de ce documentaire ?

    Je connais François Ruffin (fondateur du journal Fakir et réalisateur de « Merci patron ! ») depuis bientôt quinze ans. Il avait prévu d’écrire un bouquin en se rendant sur les ronds-points. J’ai réussi à le convaincre de m’embarquer avec ma caméra. Dès le 17 novembre, nous sommes allés voir de plus près le mouvement des gilets jaunes, par curiosité, sans a priori, sûrement aussi parce que nous sommes des provinciaux. Nous avons découvert des personnes qui n’avaient pas l’habitude de manifester. On s’est alors dit qu’il se passait quelque chose. Ça ne ressemblait pas du tout à l’image véhiculée par les médias, surtout les chaînes d’infos en continu, qui se focalisaient sur les casseurs à Paris.

     

    Où êtes-vous allé et pendant combien de temps ?

    Nous avons tourné sur six jours début décembre 2018. Nous sommes partis d’Amiens vers Montpellier avec deux ou trois points de passage prédéfinis. Mais globalement, nous nous sommes laissés guider sur le parcours. Malgré le délai très court, nous avons collecté 24 h de rushs, avec des témoignages très riches.


    Avec quelle ambition ?

    Donner la parole aux gilets jaunes. Il n’a jamais été question de faire une analyse du mouvement. On voulait redonner un peu de dignité à ces gens qui ont été largement malmenés. Ils ont été traités de tous les noms : homophobes, racistes ou encore antisémites. C’était dégueulasse. Tout n’est pas formidable dans le mouvement mais dans son immense majorité, il est composé de personnes qui sont dans la difficulté. Ce sont des travailleurs précaires qui n’arrivent pas à vivre de leur salaire.

    « J’veux du soleil » comptabilise environ 150 000 entrées à ce jour. 

    À de nombreuses reprises dans le film, les gilets jaunes se perçoivent comme appartenant à une même famille. Le besoin de se retrouver semble très fort.

    Nous avons constaté deux caractéristiques communes aux ronds-points occupés : le rejet d’Emmanuel Macron et de tout ce qu’il incarne et la fraternité retrouvée, l’envie d’être ensemble. C’est assez incroyable de voir tous ces liens qui se sont créés. Spontanément, les gens sont sortis de leur solitude. C’est très touchant.


    Êtes-vous surpris de voir le mouvement se poursuivre aujourd’hui ?

    Non parce que beaucoup de gens n’ont pas grand-chose à perdre. Et puis, ça leur a donné une force. Quand on relève la tête, que l’on existe et que l’on est reconnu, il n’y a plus de retour en arrière possible. Il y a une forme de beauté derrière tous ces visages, ces tranches de vie. La beauté n’est pas réservée à une élite.


    Comment imaginez-vous l’issue de ce mouvement ?

    C’est dur à dire, je ne suis pas prophète. En tout cas, le mouvement a fait vieillir l’idéologie libérale qui nous a été déversée pendant 30/40 ans. Il est désormais permis de croire à des alternatives. C’est un moment important de notre histoire.


    Votre proximité avec François Ruffin (député La France Insoumise dans la circonscription de la Somme) ne fait-elle pas de vous son porte-parole ?

    Nous assumons notre amitié et je revendique ma subjectivité. Je n’ai pas de problème avec cela. J’aimerais que les journalistes qui ont dézingué le mouvement en fassent autant et disent aussi où ils se situent. Sur les ronds-points, de toute façon, les trois quarts des gilets jaunes ne connaissaient pas François Ruffin. Ils se foutent bien de l’étiquette politique.

    Le réalisateur a tourné sur six jours début décembre 2018, d’Amiens à Montpellier.
     
     
    Comment est l’accueil dans les salles depuis la sortie du film (début avril) ?

    Il y a beaucoup d’émotions, les gens sont la plupart du temps debout à la fin de la projection. Ils sont saisis par cette histoire. François Ruffin y met une bonne dose d’humour et ça fait du bien. L’idée, c’était de faire un film rythmé où l’on ne s’ennuie pas.


    Existe-t-il des salles qui refusent de diffuser le film ?

    Ça arrive, il y en avait beaucoup au début mais la plupart ont depuis rétropédalé en le visionnant. Il faut dire aussi, la demande du public est forte (NDLR : le film comptabilise environ 150 000 entrées à ce jour). Il faut souligner qu’en France, notre système de label Art et essai offre des espaces de liberté où l’on peut encore tenir des discours dissidents.


    Pratique
    Projection du documentaire « J’veux du soleil » en présence du réalisateur Gilles Perret mardi 30 avril à 18 h au cinéma Eckmühl à Penmarc’h et à 20 h 30 au Quai Dupleix à Quimper.
     
    Steven LECORNU

    source:  https://www.letelegramme.fr/finistere/pont-labbe/gilles-perret-les-gilets-jaunes-ont-ete-largement-malmenes-29-04-2019-12270625.php#3HGWawwCqPrDskKL.99
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  • Centrale au gaz. Manifestation le 4 mai à Landivisiau (LT.fr-28/04/19-Au mois de janvier, les opposants avaient manifesté contre le début des travaux de la centrale au gaz, à Landivisiau. 

     

    L’association Landivisiau doit dire non à la centrale appelle à une manifestation, samedi 4 mai, à 14 h, au champ de foire de Landivisiau, pour protester contre le projet de centrale à cycle combiné au gaz. « La détermination des opposants au projet de centrale à gaz est infaillible. L’incapacité des pouvoirs publics à s’occuper des questions du climat, de la fuite d’argent public vers les grands groupes privés pollueurs, impose aux citoyens une mobilisation forte », écrit l’association, dans un communiqué. Cet appel à manifester est soutenu par le Collectif Gaspare, AE2D, S-eau-S, Bretagne vivante, Extinction Rébellion, la Fédération Bretagne nature environnement, Citoyens pour le climat Brest et pays de Morlaix, et Youth For Climate.
     
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  • Les gilets roses ont d’abord décoré les escaliers de la place de Strasbourg.

    Une quarantaine de gilets roses ont manifesté, samedi matin, à partir de la place de Strasbourg. Les assistantes maternelles ont commencé par décorer l’œuvre de Didier Faustino, baptisée « Les Jetées ». Ces escaliers sans destination ont reçu des dessins de nounours et bébés, à la craie, des grandes guirlandes faites de bouteilles de lait ou de papiers roses.

    « Nous sommes toujours mobilisées. Ce qui nous inquiète, actuellement, c’est le fait que tous nos députés : Jean-Charles Larsonneur, Sandrine Le Feur, Didier Le Gac ou Graziella Melchior, qui ont posé des questions écrites au gouvernement sur notre situation, n’ont à ce jour reçu aucune réponse », analyse Anne Créac’h, du mouvement des gilets roses. Leurs revendications portent sur le maintien de l’indemnisation pour activité réduite, alors que les partenaires sociaux renégocient actuellement le cumul emploi chômage. Les assistantes maternelles peuvent perdre du jour au lendemain des revenus, lorsqu’une famille décide de ne plus confier son enfant. Jusqu’à présent, cette précarité était atténuée par le mécanisme de l’allocation d’aide au retour à l’emploi qui permet à une assistante maternelle de toucher environ 70 % du salaire brut, correspondant au contrat perdu.

    Un pique-nique courant mai

    La manifestation a pris le chemin de Kergaradec, où les gilets roses avaient prévu d’aller tracter dans les magasins pour mieux faire connaître leur mouvement. « Les assistantes maternelles ne sont pas les seules concernées. On voudrait fédérer les autres professions qui ont de multiples employeurs. Cela peut concerner les femmes de ménages ou les formateurs isolés, qui n’ont pas les moyens de créer leur réseau ». Une prochaine mobilisation est annoncée pour le mois prochain : ce sera un pique-nique le samedi 18 ou le dimanche 19 mai.


    source: https://www.letelegramme.fr/
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  • Quimper. Deux grèves à venir aux finances publiques  (LT.fr-26/04/19-20h22)Les syndicats Solidaires, Force Ouvrière, CFDT et CGT Finances publiques, se mobilisent pour "défendre le service public de proximité"

    Lors d’une mobilisation, ce vendredi 26 avril, l’intersyndicale du centre des impôts Ty Nay, à Quimper, a annoncé deux grèves à venir, les 9 et 23 mai.

    L’intersyndicale du centre des impôts Ty Nay à Quimper (Finistère) s’est mobilisée ce vendredi 26 avril. Le matin, ils ont distribué des tracts aux usagers. Ils souhaitent mettre en garde contre les suppressions d’emplois et fermetures de trésoreries prévues par le gouvernement d’ici 2022.

    « Nous, on défend le service public de proximité. Les usagers ont besoin d’avoir un agent qui leur délivre l’information tout de suite », détaille Stéphane Douet, du syndicat Solidaires.

    « Nous, ce qu’on veut c’est que les trésoreries continuent d’accueillir du public », ajoute Éric Guerry, de Force ouvrière (FO).

    Les représentants syndicaux de la CFDT, CGT, FO et Solidaires annoncent que deux grèves sont prévues en mai. Le 9 mai, c’est toute la fonction publique qui se mobilisera.

    Le 23 mai, les agents des finances publiques se rassembleront à Brest.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/bretagne/quimper-29000/quimper-deux-greves-venir-aux-finances-publiques-6325429://www.ouest-france.fr/bretagne/quimper-29000/quimper-deux-greves-venir-aux-finances-publiques-6325429

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  • Les gilets jaunes avec les gilets roses samedi matin, 27 avril 2019, avant leur Acte XXIV à Brestt (Côté Brest 26/04/19-19h37)Les gilets jaunes de Brest ont installé des banderoles dans plusieurs endroits de la ville jeudi soir, 25 avril 2019, à l’issue de l’allocution télévisée du président Emmanuel Macron

    Samedi 27 avril 2019, les assistantes maternelles, qui portent le gilet rose, manifesteront le matin à Brest. Des gilets jaunes y seront, avant leur rassemblement de l'après-midi.

    Brest s’apprête à vivre un nouveau samedi de manifestations. Le 27 avril, le collectif des assistant(e)s maternel(le)s en colère du 29 a programmé un rassemblement. Le rendez-vous est donné à 10h30 place de Strasbourg cette fois-ci, et non pas place de la Liberté comme auparavant.

    Une nouvelle journée de mobilisation nationale contre le projet de l’État de revoir le mode de calcul des allocations chômage à la baisse. 

    Lire aussi : Les gilets roses du Finistère ont lancé la journée de mobilisation à Brest, samedi 9 mars 2019

    Le mouvement touchera donc de nombreuses villes en France, et en Bretagne. À Rennes, par exemple, un rassemblement est prévu à 10h place de la République, à Nantes à 10h place du Commerce. 

    Acte XXIV des gilets jaunes

    Des  gilets jaunes de Brest, mobilisés depuis le 17 novembre 2019, ont annoncé qu’ils accompagneront les gilets roses.

    Dans le cadre de la convergence des luttes. Nous soutenons aussi les stylos rouges (enseignants en colère), les Citoyens pour le climat, les jeunes du mouvement Youth for climate Brest…

    Après la manifestation du matin, ils ont appelé à un nouveau rassemblement l’après-midi, à 13h30 place de Strasbourg.


    L’Acte XXIV de leur  mouvement de contestation, le jour du Printemps des sonneurs à Brest, mais aussi du match de football du championnat de France de Ligue 2 au stade Francis-Le Blé entre le Stade brestois 29 et le RC Lens. En cas de victoire et en fonction des autres résultats, les Rouge et Blanc pourraient être assurés, à l’issue des rencontres de la 35e journée, d’accéder en Ligue 1 dès la saison prochaine. 

    Lire aussi : Samedi 20 avril 2019 à Brest : Plastik attack pour le climat et Acte XXIII des gilets jaunes

    «Nous allons redoubler d’efforts»

    La prestation du président de la République lors de sa conférence de presse télévisée de deux heures et demie jeudi 25 avril ne les a visiblement pas convaincus.

    Lire aussi : Après les mesures annoncées par Emmanuel Macron, le gouvernement se met au travail

    Et l’un des porte-voix d’expliquer :

    Notre cher président nous prend pour des imbéciles. Nous allons redoubler d’efforts pour continuer à manifester notre mécontentement car il n’a toujours pas compris ce que nous demandons et il ne parle pas des sujets les plus importants.

    Des banderoles installées le soir même

    Les gilets jaunes avec les gilets roses samedi matin, 27 avril 2019, avant leur Acte XXIV à Brestt (Côté Brest 26/04/19-19h37) 
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les gilets jaunes avec les gilets roses samedi matin, 27 avril 2019, avant leur Acte XXIV à Brestt (Côté Brest 26/04/19-19h37)
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les gilets jaunes avec les gilets roses samedi matin, 27 avril 2019, avant leur Acte XXIV à Brestt (Côté Brest 26/04/19-19h37)
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les gilets jaunes avec les gilets roses samedi matin, 27 avril 2019, avant leur Acte XXIV à Brestt (Côté Brest 26/04/19-19h37)
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les gilets jaunes avec les gilets roses samedi matin, 27 avril 2019, avant leur Acte XXIV à Brestt (Côté Brest 26/04/19-19h37)
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les gilets jaunes de Brest ont installé des banderoles dans plusieurs endroits de la ville jeudi soir, 25 avril 2019, à l’issue de l’allocution télévisée du président Emmanuel Macron
     

    Les gilets jaunes ont d’ailleurs exprimé leur détermination en installant des banderoles en divers endroits de Brest (marche de l’hôtel de ville côté place de la Liberté, locaux des syndicats, belvédères du square de Bazeilles, permanence du député Jean-Charles Larsonneur…) jeudi soir, juste après l’allocution d’Emmanuel Macron

    Sur lesquelles on pouvait lire :

    «Macron fait son allocution, nous lui offrons la révolution. #GJ29»

    «Macron garde le cap. Nous, on garde la rue. #GJ29»

    «LREM : la révolution en marche.»

    «Vous ne lâchez rien, nous non plus. Bon 1er mai.#GJ29»

    Mercredi 1er mai, les gilets jaunes prévoient de prendre part à la manifestation mise en place par les syndicats. Tout comme les jeunes du mouvement Youth for climate Brest, les Citoyens pour le climat…

    Ils ont également programmé un grand pique-nique, samedi 4 mai.

     

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  • Loi Blanquer : les maires ruraux inquiets pour leurs écoles (OF.fr-26/04/19-18h16)Les maires bretons en première ligne. De droite à gauche, Nadine Kersaudy (Cléden-Cap-Sizun), Christian Derrien (Langonnet), Jean-Yves Crenn (Lopérec), Alain Donnart (Primelin)

    Un article du projet de loi « Pour une école de la confiance » est jugé inacceptable par des maires réunis au sein du Collectif régional de défense de l’école rurale. Ils veulent convaincre les sénateurs de supprimer cet article.

    L’article de loi qui met le feu aux poudres

    Le projet de loi « Pour une école de la confiance » comporte un article, le 6 quater, permettant la création des établissements publics locaux des savoirs fondamentaux. Le principe

     : associer un collège et une ou plusieurs écoles situées dans son secteur de recrutement. L’idée défendue par le ministre Blanquer serait, notamment, de créer une continuité entre le CM2 et la 6e. Ce n’est pas l’analyse du Morbihannais Christian Derrien, président du Collectif régional de défense de l’école rurale, regroupant 400 petites communes bretonnes : « Cet article est un cheval de Troie permettant le regroupement, puis le déplacement, des écoles rurales. Il va acter, selon nous, la fin de l’école communale telle que nous la connaissons. »

    « Une logique gestionnaire »

    « Depuis les années 1960, la haute administration veut supprimer les écoles dans les petites communes » assène Christian Derrien, maire de Langonnet. Derrière un discours pédagogique se dissimulerait une logique gestionnaire. L’ancien enseignant met en avant des études démontrant que les élèves se trouvant dans des classes à plusieurs niveaux ne pâtissent pas de cette organisation. « C’est tout le contraire ! Cela crée une dynamique entre les enfants. » Ces maires craignent aussi une disparition accélérée du lien social en cas de regroupement d’écoles.

    Les sénateurs vont se prononcer

    Jean-Michel Blanquer a tenu des propos se voulant rassurants. Sans rassurer le collectif. Une pétition est lancée. « Nous avons obtenu 150 signatures de maires en quelques jours. » Le collectif s’appuie sur l’Association des maires ruraux de France qui mène de son côté une campagne nationale pour obtenir le retrait de l’article incriminé. « Sans école, une commune ne peut pas être attractive » s’inquiète Jean-Yves Crenn, maire de Lopérec. Après un vote des députés, ce sont maintenant les sénateurs qui se prononceront le 14 mai. « Nous les contactons tous » confirme Nadine Kersaudy, maire de Cléden-Cap-Sizun. Suffisant pour que le ministre revoie sa copie ?

    source: https://www.ouest-france.fr/bretagne/quimper-29000/loi-blanquer-les-maires-ruraux-inquiets-pour-leurs-ecoles-6325261

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