• À Rédené, le combat continue après l’annonce de la fermeture des classes (LT.fr-19/02/21-19h11)

    Plus de 150 personnes se sont réunies ce vendredi afin de manifester contre la fermeture de deux classes sur les écoles de la commune. Plus de 150 personnes se sont réunies ce vendredi afin de manifester contre la fermeture de deux classes sur les écoles de la commune.

    Plus de 150 personnes, dont le maire, ont manifesté devant la mairie de Rédené, ce vendredi, contre la fermeture de classes annoncées dans les deux écoles de la commune.

    « Touche pas à ma classe », « Sauvons notre école », « Droit à un enseignement de qualité », « Ne sacrifiez pas nos enfants »… Autant de slogans brandis par les parents et les enfants, ce vendredi 19 février, devant la mairie de Rédené, pour une même cause : sauver les classes des deux écoles de la commune.

    Ce sont donc plus de 150 parents d’élèves, grands-parents, amis et élus qui se sont retrouvés afin de manifester leur mécontentement, face à une décision qualifiée « d’injuste ». « Ce n’est pas normal de fermer des classes dans une commune où 80 constructions sont en cours et dans un contexte ou la distanciation sanitaire est de rigueur », explique Mélanie Février, présidente de l’association des parents d’élèves des Marronniers.

    Actions menées par la mairie et les parents

    Il y a quelques jours, Yves Bernicot, maire, annonçait aux représentants des deux écoles de Rédéné la modification de la carte scolaire avec une éventuelle suppression d’une classe dans chacun des deux établissements. Face à l’incompréhension de cette décision, les parents d’élèves de l’école du Marronnier et de l’école Notre-Dame de Lorette se sont mobilisés dans un même élan et ont décidé de multiplier les actions : pétitions dans les commerces et en ligne, recueillant près de 1 000 signatures ; interviews sur les ondes, etc.

    Malgré ces actions, les suppressions de classes ont été entérinées, la semaine dernière par le diocèse, pour l’école privée, et ce jeudi, pour l’école du Marronnier. « Il faut continuer à se battre. Je vais demander un moratoire », encourage Yves Bernicot. « J’ai également argumenté sur notre volonté d’ouvrir une classe bilingue dans le cadre de la charte Ya d’ar Brezhoneg, mais notre projet n’a pas été retenu pour cette année », explique le premier édile de la commune. Les parents d’élèves, non résignés, ont, quant à eux, déjà rédigé un courrier à l’attention de l’Inspection académique.

     
     
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