• Cette semaine, Thomas vous vous parler des mobilisation qui se sont déroulées au CHRU Brest. Mobilisation historique de tous les services techniques et généraux, manifestation à Quimper des exclus du Ségur… Il va aborder les problèmes de nombreux services, les urgences, le standard… Au chapitre salaires, la fin du quinquennat Macron ne verra pas la fin de l’austérité concernant le pouvoir d’achat des fonctionnaires puisque la ministre a annoncé qu’il n’y aurait pas de revalorisation du point d’indice. Sur le plan des mauvaises nouvelles, nous allons rajouter le « foutage de gueule » concernant le reclassement de la catégorie C… (Voir les grilles de salaire dans le post précédent cette vidéo).Nous terminerons la vidéo par quelques nouvelles concernant les adhésions de plus en plus nombreuses dans notre syndicat.

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  • Les soignants grévistes non maintenus en poste ont manifesté ce vendredi, à 13 h, dans le hall de l’hôpital de la Cavale Blanche.Les soignants grévistes non maintenus en poste ont manifesté ce vendredi, à 13 h, dans le hall de l’hôpital de la Cavale Blanche. 

    Les soignantes du service de médecine interne de l’hôpital de la Cavale-Blanche, au CHRU de Brest, étaient en grève, ce vendredi, pour alerter sur leur charge de travail.

    « Le week-end dernier a été très difficile. Le dimanche, une aide-soignante et une infirmière voient 26 patients entre 6 h 30 et 9 h, cela fait en gros cinq minutes par patient. Du travail à la chaîne ! En plus, nous avons vu arriver des personnes qui venaient visiter leur proche hospitalisé. Ils nous ont dit qu’ils étaient tous positifs dans la famille ! On ne vient pas à l’hôpital quand on a la covid ! Après on viendra dire que ce sont les soignants qui contaminent les patients ! Depuis lundi, les visites ont été interdites », s’emportent les aides-soignantes et infirmières du service de médecine interne qui étaient en grève ce vendredi, à l’appel de la CFDT et soutenues par la CGT.

    « Sept patients covid dans le service »

    Après le débrayage des services supports et de la cuisine mercredi, c’est au tour des soignants de dire leur épuisement. Le service est installé sur deux niveaux, avec 26 lits au deuxième étage et 12 lits au troisième. Au problème récurrent de l’absentéisme s’est ajoutée la crise sanitaire. « Contrairement à ce que dit la direction, la covid impacte bien l’hôpital. Avec sept patients covid dans le service, âgés de 50 à 95 ans, la charge de travail s’est encore accrue. Sur le même étage, nous avons du covid et du non-covid, il faut s’organiser, regrouper les soins, et s’habiller en vêtements de protection avant d’entrer dans les chambres des malades covid. Lorsqu’il y a deux patients covid, un lit reste bloqué, mais, le week-end dernier, nous en avions quatre, et un seul lit au lieu de deux est resté bloqué. Il faut une unité covid au lieu de répartir les malades dans différents services ».

    Des personnes âgées démentes

    Les soignantes grévistes assurent qu’une aide-soignante a travaillé six jours sur sept et qu’une élève infirmière a dû prendre un poste d’aide-soignante au pied levé, du fait de l’absence de remplacement des collègues en arrêt de travail.

    « En médecine interne, nous recevons des patients très différents, à partir de 16 ans. C’est de la médecine polyvalente, avec des personnes âgées, parfois démentes, plus quatre lits de chirurgie. Nous avons eu une personne qui a dû rester à jeun cinq jours de suite, avec juste un repas le soir, dans l’attente d’une opération qui était chaque fois repoussée », ajoute une infirmière. « Nous revendiquons la compensation de l’absentéisme, des effectifs, d’être enfin écoutées et de la reconnaissance ».

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  • À Brest comme dans d’autres villes, les projets immobiliers sont très souvent attaqués par des riverains.   À Brest comme dans d’autres villes, les projets immobiliers sont très souvent attaqués par des riverains. 

    La plupart des projets de construction dans la métropole brestoise sont contestés par des riverains. Un intercollectif réclame une vision à plus long terme pour chaque projet, et une consultation.

    Au Pied du Mur, « intercollectif des luttes urbaines de Brest métropole », réitère sa demande, faite le 24 septembre, d’un « moratoire de tous les projets de construction concernés par les luttes des collectifs signataires. Les élus raisonnent trop souvent à l’échelle de la durée de leur mandat et en nombre de mètres carrés construits. Les promoteurs pensent "bilan à dix ou quinze ans" et ont une vision essentiellement financière voire spéculative. Mais les conséquences de toute urbanisation se font sentir sur 80 à 100 ans. Elles ont un impact dès aujourd’hui, et pour plusieurs générations à venir, sur l’accès au logement, la qualité de vie avec les autres et notre environnement. Ces choix sont trop engageants pour être laissés aux seuls promoteurs ou à des élus trop à leur écoute », estime Au Pied du Mur. « En amont de chaque projet, nous demandons une véritable concertation entre tous les acteurs concernés ».

    Sept collectifs et la liste citoyenne

    L’intercollectif souhaite participer avec les élus à l’élaboration d’un « pacte pour la construction à Brest, comme cela se fait déjà ailleurs. Ce travail, fait en toute transparence, sera réalisé avant la phase d’instruction de chaque permis de construire ».

    Les collectifs signataires sont Plateau Verdun-Tunisie/Préservation du Vieux Saint-Marc, La Cantine du Moulin Blanc/Les Amoureux de la Rade, Le Jardin de l’Adoration, Les Perles de Saint-Marc, Save Stang Alar, La Gare du Relecq-Kerhuon, Costour Poumon Vert en Finistère, avec le soutien de Brest La Liste Citoyenne.

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  • La salle d’attente allongée, où les brancards sont alignés, qui a choqué notre lecteur, est l’ancien sas des ambulances qui a été réaménagé pour éviter les brancards dans les couloirs.La salle d’attente allongée, où les brancards sont alignés, qui a choqué notre lecteur, est l’ancien sas des ambulances qui a été réaménagé pour éviter les brancards dans les couloirs.

    Mercredi soir, l’hôpital de Brest s’est déclaré en tension de niveau 2. Les urgences débordent, mais pas du fait de la covid. Il est fait appel aux retraités pour pallier la difficulté de recrutement.

    1 Aux urgences, un patient choqué par les brancards

    Un patient venu aux urgences de La Cavale-Blanche, à Brest, cette semaine, témoigne : « J’ai été choqué de voir une grande salle où des patients attendaient allongés sur des brancards, un peu comme dans un hôpital de guerre. L’interne qui s’est occupé de moi m’a dit que j’étais son 146e patient de la journée ! Le personnel était très bien mais comment est-ce possible de soigner correctement les gens dans ces conditions, ce n’est bien ni pour les malades ni pour les infirmières », réagit Yvon, 63 ans. « Cette grande salle pour l’attente sur brancards est l’ancien garage des ambulances qui a été complètement réaménagé pour recevoir les patients. Par nécessité, on le laisse ouvert, alors qu’il fermait de 6 h à midi. Trois personnels soignants supplémentaires sont prévus pour la nuit de jeudi », répond la directrice du centre hospitalier régional universitaire (CHRU), Florence Favrel-Feuillade.

    2 Le CHRU hôpital en tension de niveau 2

    « La situation est sérieuse, il y a un accroissement de la demande de soins, on frise les 1 000 appels par jour au Samu, mais pas pour la covid. Les temps d’attente s’allongent aux urgences », dit le professeur Éric Stindel, président de la commission médicale d’établissement (CME) qui a écrit à ses confrères pour leur demander de privilégier l’ambulatoire. « Le plan hôpital en tension de niveau 2 a été déclenché ce mercredi 8 décembre, au soir. Notre objectif est de maintenir toute l’activité en faisant sortir les patients le plus tôt possible, pour éviter une trop longue attente aux urgences. Plus de 25 CHU en France sont en plan blanc, pas Brest. Nous essayons de préserver les congés de tous nos personnels, mais nous ne sommes pas à l’abri de déprogrammation ».

    3 Ce jeudi soir, il ne restait que quatre lits disponibles

    « Le manque de lits est préoccupant ce jeudi 9 décembre : on ne dispose que de quatre lits pour accueillir la soixantaine de patients qui sont aux urgences. Il faut libérer des lits et que les patients privilégient leur médecin généraliste », ajoute le Pr Éric Stindel. « Il y a un travail remarquable des équipes pour les patients dans tout l’hôpital, mais le peu de lits disponibles fait que tous les services sont en tension. Rappeler sur les congés serait très lourd pour les équipes qui sont fatiguées », ajoute la directrice.

    4 La direction du CHRU rappelle des retraités

    « Le marché de l’emploi est exsangue, on n’arrive plus à recruter aides-soignants et infirmiers, alors que nous étions assez préservés en Bretagne. On a une plateforme sur laquelle des retraités, depuis moins de deux ans, des vacataires et des étudiants sont inscrits. On sollicite aussi les nouveaux retraités ».

    5 Ehpad de Carhaix : six résidents sous oxygène

    Sur le front de la covid, la situation est stable entre 52 et 55 malades hospitalisés, de 27 à 94 ans, dont cinq en réanimation. Pas de nouveau cluster au CHRU, trois sont éteints, celui de Carhaix en cours de maîtrise. Il y a eu quelques cas de plus que les quinze premiers ; en médecine interne, sept patients positifs dépistés il y a une semaine et en réanimation médicale, pas de nouveau cas. Parmi les patients triplement vaccinés qui sont malades à l’Ehpad de Carhaix, six patients sont sous oxygène à haut débit, mais pas en réanimation.

    Source : https://www.letelegramme.fr

    Auteur : Catherine Le Guen

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  • Les agents de Brest Métropole seraient de plus en plus victimes d’insultes, menaces et agressions, selon la CGT.   Les agents de Brest Métropole seraient de plus en plus victimes d’insultes, menaces et agressions, selon la CGT.

    La CGT de Brest Métropole dénonce la recrudescence de menaces et agressions perpétrées à l’encontre des agents de la collectivité ces dernières semaines.

    La CGT de Brest Métropole tire la sonnette d’alarme, et appelle à la fin des menaces ou agressions physiques et verbales à l’encontre des agents de la collectivité dans l’exercice de leurs fonctions. Selon le syndicat, les dérapages se multiplient ces dernières semaines.

    Sébastien Autret, secrétaire adjoint du syndicat, a des exemples à la pelle : « Un agent de la collecte des déchets menacé d’un pistolet boulevard Le Gorgeu il y a une quinzaine de jours. Un autre du service propreté frappé d’un coup de poing parce qu’il faisait trop de bruit avec son souffleur à feuilles, dans le quartier de Saint-Pierre, la semaine dernière. Ou encore, cette semaine, un agent des espaces verts qui a reçu un seau d’eau sur la tête alors qu’il nettoyait un massif, rue de Vannes ».

    « Les agents sont en première ligne »

    Autant d’agressions gratuites, traumatisantes pour les agents et que le syndicat ne digère pas. « On a eu des mouvements de colères, des insultes, avec les contrôles du passe sanitaire, qu’on a demandé aux agents de réaliser. Mais là, ça dépasse l’entendement », souffle Sébastien Autret, qui décrit un « climat actuel anxiogène, sans doute dû à la crise sanitaire. On sent les usagers fatigués, stressés. Et les agents qui sont en première ligne ramassent. Mais ils sont là pour maintenir un service public de qualité pour tous ! ».

    La CGT a donc décidé d’appeler la population à « respecter et faire respecter des hommes et des femmes sans qui le quotidien serait encore plus dur à vivre. Après avoir été applaudis, nous ne voulons pas être menacés, insultés, violentés ».

     Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Beaucoup attendaient les revalorisations des grilles indiciaires de la catégorie C, beaucoup seront très déçus...une honte ! ( FB.com - 10/12/21 )

    Beaucoup attendaient les revalorisations des grilles indiciaires de la catégorie C, beaucoup seront très déçus...une honte ! ( FB.com - 10/12/21 )

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  • Le grand reporter de guerre, Jacques-Marie Bourget, à L’Expression

    «L’Otan est l’instigatrice des guerres hybrides»

    Nous reproduisons ci-après la très intéressante interview de Jacques Marie Bourget, reporter de guerre, parue dans les colonnes de nos confrères algérien de l’expressiondz.com (https://www.lexpressiondz.com/nationale/l-otan-est-l-instigatrice-des-guerres-hybrides-350626).

    Jacques Marie Bourget a travaillé comme grand reporter pour le Canard Enchaine, l’Express, paris Match. Il est intervenu sur tous les continents, lors de la guerre du Vietnam, du Liban, des six jours ou encore au Salvador, lors des guerres du golfes et de Yougoslavie. Le 21 octobre 2000, il a été victime d’une tentative d’assassinat selon toute vraisemblance par l’armée israélienne à Ramallah, comme l’a démontré Acrimed.


    Le grand reporter de guerre et militant impénitent des causes justes, Jacques-Marie Bourget, livre ses appréciations et appréhensions sur les relations algéro-françaises et les développements en cours entre les deux pays. Bourget fustige l’ancienne puissance coloniale en rétorquant que « la France refuse de faire face à son passé colonial ». Notre interlocuteur est allé jusqu’à dire que « le choix de demander à Benjamin Stora d’établir une sorte de bilan conduisant à un dialogue est une insulte faite à l’Algérie », martèle-t-il.Jacques-Marie Bourget étaye l’aspect caractérisant l’influence des sionistes sur la politique de la France et le Makhzen marocain. À ce propos, Bourget révèle les connivences qui existent entre la France officielle et le Makhzen marocain en soulignant que « tout le monde connaît la Marrakech connexion, les séjours agréables à l’hôtel Mamounia ou la Gazelle d’or à Taroudant. Les puissants des deux pays sont entre eux à Rabat et à Paris».D’autres questions trouvent des éclairages et des réponses à l’image des «printemps arabes», les relations internationales et la nouvelle géopolitique qui se dessine actuellement.

    L’Expression: Pourquoi la France et ses lobbies médiatiques recourent au mensonge sur l’histoire coloniale en Algérie?
    Jacques-Marie Bourget: C’est un cas exceptionnel dans l’histoire du XXe siècle et de ce début de XXIe, celui de la France qui refuse de faire face à son passé colonial. Même les blancs d’Afrique du Sud ont participé à des «Commissions de Vérité et Réconciliation». Sauf que les Français et les Algériens ne peuvent se «réconcilier» puisqu’ils n’ont jamais été «conciliés». Les Belges ont demandé pardon pour les horreurs commises au Congo et les donneurs de leçons américains se préoccupent soudain des «natifs» qu’ils ont exterminés.Aujourd’hui encore, en France, si tout Algérien est assimilé à un «musulman», alors qu’il est peut-être agnostique ou chrétien et que la religion n’est pas son identité, cela remonte à la colonisation et à la définition des Algériens faite par les colons qui les classaient comme des «Français musulmans». N’a-t-on jamais parlé de Français chrétiens ou juifs? Cette identité est comme un tatouage indélébile. Le syndrome pied-noir du «paradis perdu» a gagné une grande partie d’une société qui, en 1961, était favorable à l’indépendance de l’Algérie. Aujourd’hui, alors que la conscription a disparu, l’armée de métier est un lobby qui pousse encore devant lui le deuil de la guerre perdue et d’une revanche possible. Des militaires, parmi les plus sots, ont ainsi signé une pétition pour «pacifier» les banlieues, moyen de continuer la guerre d’Algérie dans l’Hexagone. Les relations franco-algériennes sont en constante régression et le choix de demander à Benjamin Stora d’établir une sorte de bilan conduisant à un dialogue est une insulte faite à l’Algérie.

    Pensez-vous qu’Israël a une influence sur les prises de position françaises sur l’Algérie.?
    Bien sûr, l’alliance avec le Maroc est la réalisation d’un rêve et le moyen d’être aux portes de l’Algérie. La France n’a pas dit un mot pour désapprouver cette alliance qui pose question puisque en échange, le Maroc a reçu en cadeau le Sahara occidental alors que l’ONU a exigé un référendumd’autodétermination.
    Cette terre n’appartient ni à Trump ni à Mohammed VI. Si le Maroc bombarde des camionneurs algériens c’est qu’il se sent puissant, appuyé par Israël et, caché derrière aussi, les Etats-Unis. Depuis des années, par le truchement d’un gouvernement à sa solde, Washington attend de prendre pied à Alger. Il ne faut jamais oublier que les néoconservateurs américains ont formé le projet d’un grand croissant musulman -et docile- de l’Iran au Maroc. Pour l’instant, l’affaire s’est mal passée en Irak, en Syrie et en Libye. Mais l’idée est toujours là. Je vous mets au défi de trouver une occasion où la France a contré une décision israélienne.

    Quelle lecture faites-vous de la relation entre la France et le Makhzen marocain?
    Je cite une anecdote qui a un sens. Audrey Azoulay, qui est franco-marocaine, mais dont on connaît la position de son père, celle d’un proconsul, a été introduite par Hollande à la tête de l’Unesco alors que la tradition voulait qu’un titulaire de passeport français se tienne à l’écart. Mieux, elle a été reconduite sous la pression française. C’était  une façon de mettre aussi le Maroc sur le trône de l’Unesco. Entre la bourgeoisie «républicaine» française et la bourgeoisie «monarchique» marocaine il y a osmose. Tout le monde connaît la Marrakech connexion, les séjours agréables à l’hôtel Mamounia ou la Gazelle d’or à Taroudant. Les puissants des deux pays sont entre eux à Rabat et à Paris.

    Vous êtes l’une des victimes de l’État sioniste dans les territoires palestiniens occupés. Pourquoi les médias français et RSF ne se sont pas mobilisés avec autant d’ardeur comme ils le font pour ceux qui répondent à leur feuille de route fondée sur l’ingérence?
    J’ai été victime d’une tentative d’assassinat de la part d’un État qui a réussi, en dépit de ses crimes, ceux de la colonisation et de l’occupation, à se donner l’image d’un État démocratique. Vous ne pouvez rien contre un tel pouvoir. Quand on sait que RSF est allé à la recherche d’argent au Gabon et a accepté l’équivalent du «prix Nobel» israélien.
    Il faut être sot pour ne pas comprendre.
    Financement américain, récompenses en Israël… le message est passé et, sur l’attentat dont j’ai été la victime, les «journalistes» français ont tourné la tête ailleurs. Ajoutons que dans «le monde arabe», ce crime n’a entraîné aucune émotion.

    Quel est le moyen le plus efficace pour lutter et faire face aux guerres de quatrième génération?
    La «guerre de quatrième génération» est un gadget inventé par les marchands d’armes pour que les États consa-crent encore plus d’argent aux budgets militaires. Souvenez -vous de Reagan et de sa «guerre des étoiles»…Du vent. En revanche une nouvelle  semble mise en place par les pays de l’Otan. Elle se joue sur Internet et par la supposée défense des  de l’homme.
    L’Algérie a vécu l’épisode scandaleux du «qui-tue-qui?», alors qu’elle était attaquée par Daesh en larve. Pour la Chine, la cause des Ouighours est le bazooka que l’on braque sur Pékin.
    Des experts, qui ne savent rien, font des rapports sur des parties du globe où ils n’ont jamais mis les pieds. En ce moment, après l’épouvantable Powell et son tube d’anthrax qui a conduit à la destruction de l’Irak, après la fable des élections américaines truquées par Poutine, les menteurs prennent quelques coups de bâton. Mais ils vont persévérer.

    Pensez-vous que le «printemps arabe» a servi comme instrument par l’Occident pour affaiblir les États souverains et mettre sur pied la stratégie de la reconquête coloniale?
    La reconquête coloniale selon le vieux schéma? Non. Maintenant l’arme c’est le marché, le pillage des matières premières avec l’aide de complices locaux.
    Mais il est clair que les supposés «Printemps» n’étaient que l’application de la théorie de Gène Sharp, lui qui a inventé la guerre «civilisée», «sans armes»,gagnée par l’intoxication, la provocation et l’utilisation sur les réseaux sociaux des mouvements populaires.

    Le monde connaît une nouvelle redistribution des cartes au plan de la géopolitique internationale.Quelles seront les retombées de cette reconfiguration sur les relations internationales?
    Qui peut prévoir les destins de l’Afrique avec sa forte démographie, mais en face sa pau-vreté, le réchauffement climatique et le pillage dont elle fait l’objet. La guerre «mondiale» est improbable puisqu’elle serait un suicide pour le capitalisme. On va continuer avec les os actuellement rongés, l’Ukraine, la Crimée, les Ouighours et d’autres à venir. Vous noterez que personne, ou presque, n’a manifesté contre les milliers de morts provoquées par Obama avec ses drones tueurs. Obama convient à l’Occident, il a fait une grande université, il est beau garçon, il danse bien et joue au basket. Aujourd’hui pour avoir les mains libres, un État doit s’acheter une image, une réputation. Regardez le Qatar, c’est une dictature bien aimée.
    Il a réussi à se construire une image de liberté «musulmane» et de «modernité». Tout cela est faux, mais avec une stratégie intelligente, et de l’argent, le noir peut devenir blanc.

    Source : https://www.initiative-communiste.fr

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  • Des salariés d’Eurofins sont venus de toute la région pour cette deuxième manifestation.  Des salariés d’Eurofins sont venus de toute la région pour cette deuxième manifestation. 

    Les salariés du groupe Eurofins ont manifesté une nouvelle fois ce jeudi à Châteaulin pour demander une revalorisation de leurs salaires. Ils ont été reçus à la permanence de Richard Ferrand.

    « Labos en colère ! », scandait un peu plus d’une centaine de salariés d’Eurofins jeudi matin à Châteaulin. Partis du siège régional quai Robert-Alba, ils se sont rendus à la permanence de Richard Ferrand à quelques rues de là. Une délégation y a été reçue par le cabinet du député de la sixième circonscription du Finistère afin de faire part des revendications des secrétaires, techniciens ou encore coursiers du laboratoire.

    Une délégation a été reçue par le cabinet du député Richard Ferrand.                            Une délégation a été reçue par le cabinet du député Richard Ferrand. 

    Des conditions de travail dégradées

    « Nous avons échangé avec la direction d’Eurofins à 9 h ce matin. Ils nous ont dit que c’était hors de question de nous augmenter, que nous avons assez avec les primes de participation, s’exclame Valérie Le Madec, déléguée du personnel. Ils ont précisé aussi qu’ils savent que nos conditions de travail se sont dégradées et vont essayer de palier à ça. On doit attendre les NAO (Négociations obligatoires dans l’entreprise) du mois de mars pour une éventuelle augmentation… Mais ça dépendra de l’enveloppe qui sera disponible ! ».

    Après une première manifestation le 16 novembre, les salariés des laboratoires Eurofins, qui tournent à plein régime avec les tests de détection de la covid-19, ne comptent pas en rester là.

    Source : https://www.letelegramme.fr

    Auteur : Karen Jégo

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  • Un rassemblement a eu lieu ce jeudi midi, à la mairie de Brest.Un rassemblement a eu lieu ce jeudi midi, à la mairie de Brest.

    Le personnel des écoles de Brest est mobilisé, ce jeudi. Un rassemblement symbolique a eu lieu, à midi, à la mairie de Brest. Les services périscolaires ne sont pas assurés dans un tiers des écoles de la ville.

    Les temps d’activités périscolaires, la cantine, l’entretien des locaux, l’encadrement de la garderie, etc. Les missions du personnel des écoles sont « de plus en plus nombreuses et ne sont pas reconnues à leur juste valeur ». À l’appel du syndicat Unsa (Union nationale des syndicats autonomes), animateurs et adjoints techniques de la Ville de Brest sont mobilisés ce jeudi 9 décembre à Brest. Dans un tiers des écoles publiques (sur 34 écoles), les services périscolaires ne sont pas assurés, explique le syndicat Unsa.

    Les revendications portent sur le temps de travail des agents, ainsi que sur les salaires et la prime NBI (Nouvelle bonification annuelle). « La prime ne concerne que les agents fonctionnaires (pas les agents sous contrat) affectés dans les écoles situées en quartier prioritaire de la ville de Brest (huit écoles) et environ dix agents par école », explique Danielle Greusard, secrétaire générale Unsa pour Brest Métropole. « Cette prime de 50 € brut par mois est fixée par décret de 2015 et elle est de droit pour ces agents. À ce jour, une trentaine d’agents au moins ne la perçoivent pas ».

    « On parle aussi ici de la reconnaissance des agents »

    Les autres demandes concernent les conditions de travail, avec des avancées souhaitées par les responsables syndicales. « Nous avons des revendications locales et le président de la métropole, qui est notre employeur, peut changer ça », insiste Danielle Greusard. « On parle aussi ici de la reconnaissance des agents, principalement des femmes, qui sont en première ligne, qui s’investissent énormément personnellement et dont les salaires sont parmi les plus bas de la fonction publique territoriale ».

    Le préavis de grève déposé par l’Unsa est reconductible. Des agents seront de nouveau mobilisés dans les écoles de Brest ce vendredi 10 décembre.

    Source : https://www.letelegramme.fr

    Auteur : Rémy Quéméner

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  • Source : https://www.facebook.com

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  • Brest. À l’hôpital, des services de la logistique craquent, des agents en grève. ( OF.fr - 08/12/21 - 18h32 )                   Mercredi 8 décembre, une cinquantaine d’agents des services supports/logistiques du CHRU ont fait grève.

    Cuisine, collecte, stérilisation, etc. Mercredi 8 décembre, des agents ou techniciens de plusieurs services supports du CHRU de Brest (Finistère) ont fait grève. Ils souffrent de l’absentéisme et d’un manque de considération.

    Ce mercredi 8 décembre 2021, vers 9 h 30, à l’hôpital de la Cavale-Blanche, à Brest (Finistère), à l’appel de la CGT et de Sud, une cinquantaine de personnels de plusieurs services supports / logistiques ont investi le comité technique d’établissement (CTE) du CHRU et l’ont empêché de se tenir. Objectif : exprimer leurs revendications « en direct » à leur direction.

    Socialement, l’ambiance est tendue. Depuis deux semaines, les services de l’Unité centrale de production culinaire (cuisine) et de la stérilisation effectuent des grèves. Ils dénoncent des conditions de travail qui se dégradent : « un absentéisme élevé, non compensé ; un manque d’effectifs, de reconnaissance ; une précarité ; un matériel inadapté ou dégradé ».

    L’appel à la grève a été étendu à tous les services supports / logistiques du CHRU, qui « rencontreraient les mêmes difficultés » : les services techniques et le PC sécurité, la blanchisserie, la collecte-logistique, le bio nettoyage, le magasin, la gestion de stock matériel, etc.

    « 29 arrêts en même temps »

    Deux agentes de la cuisine s’expriment anonymement par crainte de représailles de leur direction. Elles évoquent un « absentéisme élevé », « jusqu’à 29 arrêts en même temps ». « Sur cent personnes au total, ça représente toute une équipe ! » Des arrêts non remplacés qui rajoutent du travail aux collèges actifs.

    Les selfs de Morvan, Guilers et Bohars sont fermés chaque mercredi midi, durant décembre, « pour permettre au personnel de la cuisine de prendre leurs RTT ». Cette agente dispose de « quinze jours de RTT à prendre avant la fin de l’année », mais « c’est impossible ! », ironise-t-elle.

    Les deux femmes soulèvent aussi le problème du matériel. Les nouveaux chariots des selfs ne seraient pas ergonomiques. À la cuisine, la nouvelle chaîne de production ne serait pas adaptée aux anciens plateaux. Pour la plonge, il y aurait « une seule raclette pour cent plateaux ». La machine de plonge est « vétuste ».

    Les agents, qui travaillent dans une atmosphère à 5 degrés, souffriraient du froid et de « tenues inconfortables ». « On ne doit pas porter de vêtements personnels mais là, on rajoute des pulls. »

    « Des horaires fluctuants »

    Les agents signalent aussi « un manque de reconnaissance », des « mauvaises notations ». Elles clament un « ras-le-bol ». « On n’a plus envie de donner comme avant ! »

    À la collecte-livraison, les agents enlèvent le linge sale puis redistribuent le propre. Ils livrent aussi des chariots alimentaires, tâche rajoutée récemment. Ils souffrent d’horaires qui fluctueraient souvent : soit 5 h 30 à 12 h 30 ou 12 h 30 à 20 h. « Ça varie tout le temps ! C’est difficile au niveau du sommeil. »

    Le recrutement est devenu compliqué. Des contractuels viennent mais « ne restent pas ». Il y aurait un problème d’évolution professionnelle. « Certains agents ne sont toujours titularisés au bout de quatre ans de collaboration. » Les promotions seraient rares. « Aller au travail, c’est souffrir », affirme cet agent.

    Selon la direction, « tous les sujets font l’objet d’un plan d’actions et/ou de points proposés à la négociation dans le cadre de la nouvelle obligation annuelle, mise en œuvre du Ségur de la santé ». À Brest, une réflexion spécifique concerne les secteurs logistiques et la stérilisation.

    Source : https://www.ouest-france.fr

    Auteur : Laurence Guilmo

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  • Une cinquantaine de manifestants étaient réunis dans le hall de l’hôpital de La Cavale-Blanche, ce mercredi.Une cinquantaine de manifestants étaient réunis dans le hall de l’hôpital de La Cavale-Blanche, ce mercredi. 

    À l’appel de la CGT et de Sud, une cinquantaine d’agents du centre hospitalier régional universitaire de Brest se sont retrouvés, mercredi, dans le hall de l’hôpital de La Cavale-Blanche : ils ont bloqué une instance.

    « Des jeunes contractuels embauchés sont partis au bout d’une journée quand ils ont vu nos conditions de travail. Un ergonome était venu il y a un an mais rien n’a changé. Il y a beaucoup d’absentéisme du fait des troubles musculosquelettiques. Il y a un manque de personnel, on ne peut pas poser tous nos congés. Quand on parle de souffrance au travail, ce ne sont pas des paroles en l’air », expliquent deux agents du service collecte logistique du centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Brest qui revendiquaient, ce mercredi 8 décembre, pour la première fois.

    Un tiers de l’effectif de la cuisine en arrêt

    Le comité technique d’établissement qui devait se tenir a finalement été ajourné. Une cinquantaine d’agents de différents services supports et logistiques du CHRU de Brest ont voté à la majorité le blocage du CTE. Après avoir investi la salle, où devait se tenir la réunion, ils ont pu, après les interventions de la CGT et de Sud, parler des difficultés rencontrées au quotidien dans leur travail.

    « À la cuisine, on travaille dans le froid, à 5°. Les tenues de travail sont inconfortables, il y a des problèmes de compatibilité avec les nouveaux matériels. Nous avons eu jusqu’à 29 agents en arrêt en même temps, le tiers de l’effectif », soulignent deux agents en poste depuis plusieurs années.

    Manque de lits : les urgences en difficulté

    « La cuisine, les selfs et les services de stérilisation du CHRU de Brest sont déjà en grève depuis deux semaines. Le mouvement s’étend à tous les services supports face aux mêmes difficultés : augmentation de l‘absentéisme mal compensé, précarité, manques d’effectifs, de reconnaissance, de formation, de matériel ou matériel dégradé. Tout le système est grippé ! Il faudrait du matériel et créer une équipe de remplacement pour plusieurs secteurs », souligne Thomas Bourhis, de la CGT. Le représentant de Sud, Sylvain Madec, est intervenu pour parler des personnels des urgences « en grande difficulté du fait du manque de lits. Les patients restent trop longtemps aux urgences. Il faut ouvrir des lits ».

    Source : https://www.letelegramme.fr
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  • ❗️Naval Group - NAO❗️

    Communiqué de presse

    Alors qu’ont débuté les NAO (Négociations Annuelles Obligatoires) par la tenue d’une première réunion au siège parisien, les personnels de Naval Group Brest, à l’appel de la CGT Arsenal de Brest, se sont mobilisés ce matin devant le Bassin 8. La Direction leur propose purement et simplement une baisse de pouvoir d’achat à travers une augmentation générale d’1,2%, bien loin des 3,1% d’augmentation du coût de la vie prévus par l’INSEE d’ici la fin de l’année.Dans le même temps, les 240 cadres dirigeants se voient octroyer une prime moyenne de 24 000€.Ils sont plus de 200 à être venus réclamer une reconnaissance à la hauteur de leur implication dans l’entreprise et une juste répartition des richesses notamment par la mise en place d’un 13ème mois.

    Source : https://www.facebook.com

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  • De gauche à droite : Alan Costiou (CFDT), François Le Corvaisier (CGT) et Anne Madec (Sud).De gauche à droite : Alan Costiou (CFDT), François Le Corvaisier (CGT) et Anne Madec (Sud).

    S’estimant oubliés du Ségur de la santé, plus de 250 personnes (salariés du médico-social, travailleurs sociaux, personnels de crèches…) ont manifesté leur mécontentement, ce mardi midi à Gouesnou.

    Plus de 250 personnes (salariés du médico-social, travailleurs sociaux, personnels de crèches…) ont battu le pavé à proximité des locaux de l’association Don Bosco, au centre-ville de Gouesnou, entre 11 h et 14 h, ce mardi 7 décembre. Ce mouvement entrait dans le cadre d’un débrayage national initié, localement, par une intersyndicale CFDT - CGT - Sud.

    « Nous sommes les oubliés »

    « Nous sommes les oubliés du Ségur de la santé alors que nous nous occupons des plus vulnérables tels que les enfants maltraités, les enfants et adultes en situation de handicap, les publics en insertion, à la rue, ou encore les demandeurs d’asile. On a oublié que pendant les confinements, tous nos personnels continuaient à travailler en première ligne aux côtés des soignants qui ont été les seuls valorisés par les décideurs », constate François Le Corvaisier (CGT).

    Certains décrochent et les formations n’attirent plus

    Du coup, le constat est rude chez les travailleurs sociaux. Certains décrochent (démissions, abandons de poste, ruptures conventionnelles), tandis que les organismes de formation n’attirent plus les jeunes. « Les conditions de travail se dégradent et les pratiques se déshumanisent au profit d’analyses purement financières », ajoute Anne Madec (Sud), qui souhaiterait que « la revalorisation salariale soit égale pour tous dans les filières du soin, de l’éducatif, de l’accompagnement, de l’administratif et de la filière technique ».

    Pour autant, dans l’attente de réponses concrètes, la communauté des travailleurs sociaux va « continuer à œuvrer à hauteur de son utilité sociale avec professionnalisme et engagement ».

    À noter

    Prochain rendez-vous intersyndical le 14 décembre à l’UES Mescoat à Landerneau.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Cette semaine le point d’actualité va être un peu plus court que d’habitude puisque nous allons simplement vous rappeler les dates et les raisons des mobilisations du 7 et du 8 décembre organisées par la CGT du CHRU Brest Bien sûr, nous ferons aussi un point concernant la situation Covid dans l’établissement et les conséquences des décisions gouvernementales pour les personnels. La Cgt en profitera aussi pour pousser un « coup de gueule » sur le sujet contre la direction de l’établissement…

    Source : https://www.facebook.com

     

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  • Finistère. Les professionnels de santé se mobilisent mardi 7 décembre 2021  (OF.fr-5/12/21-17h47)L’Union syndicale départementale des syndicats cgt de la santé et de l’action sociale organise une mobilisation départementale le mardi 7 décembre 2021 (photo d’illustration). 

    L’Union syndicale finistérienne des syndicats CGT de la santé et de l’action sociale organise une mobilisation départementale, mardi 7 décembre 2021A. Au centre des revendications : le refus d’être exclu du Ségur de la santé.

    L’Union syndicale finistérienne des syndicats de la santé et de l’action sociale organise une mobilisation départementale, mardi 7 décembre 2021, journée nationale de mobilisation dans ce secteur professionnel. « Malgré des mois de lutte, des agents de la fonction publique hospitalière ainsi que des salariés du secteur privé restent exclus de l’augmentation des 183 € du Ségur de la Santé », explique l’union syndicale dans un communiqué.

    Le Ségur 2 de la santé a décidé d’augmenter les salaires des salariés et des agents soignants et médico-techniques et d’exclure des agents techniques, administratifs, socio-éducatifs, ASH, psychologues, sages-femmes, etc.

    ARS, préfecture puis conseil départemental

    « Les arbitrages sur ce dossier étant faits par le Premier ministre, nous demandons à être reçus à la préfecture à 11 h 30, et auprès des financeurs que sont l’Agence régionale de santé (ARS), à 10 h 30, et le conseil départemental, à 12 h 30. »

    Les délégations seront soutenues par des agents et des salariés. Des cars sont mis à disposition au départ du Nord-Finistère pour les salariés et les agents. Inscription auprès du syndicat de leur établissement ou de l’union syndicale départementale CGT santé et action sociale du Finistère par mail : usdcgtsas29@gmail.com

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Solidaires avec les personnes immigrées, une trentaine de citoyens ont demandé le rétablissement d’un accueil physique, à la sous-préfecture, pour renseigner les démarches de régularisation. Tandis quSolidaires avec les personnes immigrées, une trentaine de citoyens ont demandé le rétablissement d’un accueil physique, à la sous-préfecture, pour renseigner les démarches de régularisation. Tandis qu’en file, des demandeurs de renouvellement de titres de séjour attendaient leur tour de rendez-vous pour entrer dans le bâtiment administratif. 

    Une trentaine de personnes se sont mobilisées, ce mercredi 1er décembre, devant la sous-préfecture de Brest pour protester contre la dématérialisation des démarches des sans-papiers.

    Représentant les associations Cent pour un toit, Digemer, Ensemble Finistère… ou les partis politiques Europe écologie-les Verts, le PCF… 36 personnes ont répondu à l’appel de la « coordination Bretagne/Pays-de-Loire/Normandie solidaire des personnes immigrées », en se mobilisant, ce mercredi 1er décembre, à 13 h 30, devant la sous-préfecture de Brest. Ils ont marqué, ainsi, leur désapprobation du recours à la dématérialisation des démarches administratives s’agissant de la demande de régularisation de situation des sans-papiers.

    « Maltraitance institutionnelle »

    Si la démarche par Internet peut représenter un confort en évitant les déplacements pour prendre rendez-vous, les manifestants estiment que cela relève de « la maltraitance institutionnelle » dans le cas des migrants. « Il faut disposer d’un équipement informatique, bien maîtriser l’outil numérique, les démarches administratives et la langue française. Pour beaucoup de migrants, c’est une frontière infranchissable ». C’est pourquoi, « nous exigeons le rétablissement d’un accueil physique dans les préfectures. Il garantit un accès effectif pour toutes et tous au service public ».

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Nous relayons ces informations de RDV dont nous ne sommes pas à l’initiative mais que nous pensons aller globalement dans le bon sens.

    Organisé par Sud CT Brest


    [Animateur.ices, AVS/AESH, ASEM, Directeur.ices d’Accueils de Loisirs, Animateur.ices des EHPAD, Animateur.ices de Quartier, Animateur.ices CDAS…]
    Rendez-vous vendredi 3 décembre à 10h au Claj à Brest (231 rue Jean Jaurès) pour organiser les prochaines mobilisations !

    Tract d’un autre syndicat sur le sujet


    Source : https://giletsjaunesbrestois.home.blog

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  • Au CHRU, des agents des cuisines et de la stérilisation mobilisés/ OF.fr - 01/12/21 - 07h02 )             Jeudi 25 novembre, une cinquantaine d’agents de la cuisine centrale du CHRU ont fait grève pour dénoncer le manque de personnel.

    Cuisine, stérilisation, ambulances… ​Depuis la semaine dernière, plusieurs mouvements de grèves s’expriment au CHRU de Brest (Finistère). Le 8 décembre 2021, une nouvelle journée de mobilisation est prévue.

    Le mercredi 8 décembre 2021, à Brest (Finistère), une « convergence » de luttes est annoncée par la CGT du CHRU de Brest-Carhaix. Cette nouvelle journée de mobilisation fera suite à une semaine précédente bien remplie.

    Jeudi 25 novembre, une cinquantaine d’agents de la cuisine et des selfs ont fait grève. Ils dénoncent un « manque de personnels pour compenser l’absentéisme » et le « manque de renouvellement du matériel vétuste ». Lundi 22 et vendredi 26, des agents du service de la stérilisation ont aussi protesté. Ils ont également voté la poursuite du mouvement.

    Mardi 30, des ambulanciers sont allés manifester à Paris. Ils veulent changer de statut, passer de la catégorie ouvrière et technique à celle de soignante qui les reconnaîtra comme travaillant au contact des patients.

    Le 7 décembre, une mobilisation départementale est prévue en faveur « des exclus du Ségur ». Le 8 décembre, c’est le jour du comité technique d’établissement. D’autres services support sont appelés à rejoindre la contestation : logistique, blanchisserie et magasin.

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Mobilisation de la CGT CHRU Brest - Carhaix. ( FB.com - 01/12/21 )

    Le syndicat CGT du CHRU Brest-Carhaix appelle tous les services supports / logistiques du CHRU Brest-Carhaix à se mobiliser le 8 décembre pour demander des moyens pour travailler et une meilleure reconnaissance ! Rassemblement 9h dans le hall de la Cavale Blanche !

    Source : https://www.facebook.com

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  • Jeudi 25 novembre, en conseil d’administration de l’Université de Bretagne Occidentale (UBO), les élus de Bouge Ton Campus avec la Fédé B ont voté contre la proposition de nouvelle offre de formationsJeudi 25 novembre, en conseil d’administration de l’Université de Bretagne Occidentale (UBO), les élus de Bouge Ton Campus avec la Fédé B ont voté contre la proposition de nouvelle offre de formations. 

    Dans un communiqué, la Fédé B, la Fédération des associations étudiantes de Bretagne, explique pourquoi elle a voté contre la nouvelle offre de formations de l’UBO.

    « Le jeudi 25 novembre, en conseil d’administration de l’Université de Bretagne Occidentale, les élu(e)s Bouge Ton Campus avec la Fédé B ont voté contre la proposition de nouvelle offre de formations, qui approchait les 326 000 heures, écrit la fédération, dans un communiqué. C’est donc finalement une baisse de 34 000 heures qui attend l’UBO pour sa nouvelle offre de formation 2022-2027. De plus, parmi les heures conservées, 17 000 heures vont peser financièrement sur les composantes », expose la Fédé B.

    « Les élu(e)s Fédé B resteront donc très vigilants(e) s sur l’impact qu’auront ces réductions, ainsi qu’aux 17 000 heures qui reposent à présent sur les composantes, en surveillant qu’elles ne soient pas supprimées d’ici un ou deux ans, si les fonds propres des composantes ne suivent plus ».

    « Manque d’investissement constant »

    « Nos élu(e)s étudiant(e) s, poursuit la Fédé B, ont pu faire passer une motion déplorant le manque d’investissement constant dans l’Enseignement supérieur et la recherche, et ce depuis une dizaine d’années et réclamant à l’État les moyens nécessaires au bon fonctionnement de l’UBO, sans réduction des heures ni campagnes blanches des emplois ».

    La Fédé B « continuera de lutter contre ces réductions d’heures, en demandant plus de moyens à l’État pour l’UBO, et pour l’enseignement supérieur de manière générale. Il n’est plus tolérable de voir un tel désengagement de l’État dans sa mission fondamentale d’éducation ».

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Deux semaines de grève à l’Établissement français du sang à Brest. ( LT.fr - 30/11/21 - 20h04 )              Pour les donneurs comme pour les bénéficiaires, cette grève sera transparente, les salariés de l’EFS grévistes étant maintenus en poste. 

    La CFDT, la CGC et FO ont déposé un préavis de grève de deux semaines, à partir de ce mardi 30 novembre, pour tous les personnels de l’Établissement français du sang (EFS). « L’EFS n’arrive ni à recruter, ni à fidéliser les personnels avec des grilles de rémunération en dessous du Smic », écrit la CFDT, soulignant que le mouvement de grève est né il y a un an. « Les conditions de travail se dégradent burn-out, absentéisme, heures supplémentaires, plannings qui changent sans cesse ». Reste que cette grève sera transparente pour les donneurs de sang, comme pour les bénéficiaires, puisque le personnel est maintenu en poste.

    « En 2013, les six sites bretons de l’EFS totalisaient plus de 500 salariés contre 464 en octobre, il faut une revalorisation ! », estime Loïc Hélias, délégué syndical CFDT, à l’EFS Bretagne.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Trop d’absentéisme à l’hôpital ? Pour la CFDT du CHRU de Brest, le « dégradé devient le quotidien ». ( OF.fr - 30/11/21 - 08h09 )             Selon la CFDT, le taux d’absentéisme est en moyenne à 9 % au CHRU de Brest avec certains secteurs au-delà de 12 %. 

    La CFDT du CHRU de Brest (Finistère) pousse la sonnette d’alarme. Le taux d’absentéisme serait de 9% en moyenne à l’hôpital de Brest (Finistère). Faute de personnels, les selfs de Morvan et Guilers sont fermés aux professionnels une fois par semaine !

    Cet automne, « pour que les professionnels en cuisine puissent prendre leurs congés », les selfs de Morvan et Guilers sont fermés aux professionnels une fois par semaine ! Un exemple du dysfonctionnement que la CFDT du CHRU de Brest-Carhaix (Finistère) dénonce depuis des années

    Aujourd’hui, selon le syndicat, « le taux d’absentéisme (*) est en moyenne à 9 % au CHRU avec certains secteurs au-delà de 12 % », précise Sabine Pochard, responsable. Il y a trois ans, il était à 8,8 %. « L’absentéisme est une problématique de longue date au CHRU. Mais jusque-là, le Finistère était plus épargné par le défaut de recrutement », ajoutent Soizic Patinec et Pascale Lestideau.

    Un été pire

    La situation a été aggravée avec la crise sanitaire. Cet été, la situation a empiré. « L’absentéisme a progressé de 0,8 %, alors que d’habitude, il s’élève à 7 %. » Pour faire face à une pénurie de personnels, la direction du CHRU avait en effet contraint des temps partiels à faire des temps complets. « Et cela risque de se reproduire dans certains secteurs pour les congés de fin d’année », selon la CFDT.

    Des rappels « incessants » sur congés

    La situation est problématique dans les services de soins mais aussi de logistique (cuisine centralisée, blanchisserie, stérilisation). Conséquences de cet absentéisme souvent non remplacé : du retard dans la pose de congés, des rappels « incessants » sur repos, etc. « Il faut effectuer le même travail mais à effectif réduit. Le dégradé devient le quotidien, exprime Sabine Pochard. Les agents sont épuisés. Et ça entretient le cercle infernal de l’absentéisme. »

    Compenser « dès le début »

    La CFDT demande à la direction du CHRU de « compenser l’absentéisme dès le début ». Il s’agit aussi de « faire des contrats plus longs » aux contractuels.

    (*) Le taux d’absentéisme reflète le nombre de jours d’absences par rapport aux nombres de jours théoriquement travaillés

    Source : https://www.ouest-france.fr

    Auteur : Laurence Guilmo

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  • Les associations appellent au rassemblement devant la sous-préfecture, le mercredi 1er décembre.Les associations appellent au rassemblement devant la sous-préfecture, le mercredi 1er décembre.

    La Coordination régionale solidaire des personnes immigrées, qui regroupe des associations, collectifs et partis politiques, appelle à un rassemblement le mercredi 1er décembre à Brest. 

    Depuis 2014, la Coordination régionale Bretagne-Pays-de-la-Loire-Normandie solidaire des personnes immigrées, dénonce depuis 2014 les conséquences des démarches dématérialisées sur l’accès aux droits des personnes exilées.« Une erreur sur le formulaire à remplir devant un écran ou le moindre bug informatique peuvent détruire une vie. Trop de personnes perdent leurs droits et deviennent sans-papiers. Sans le soutien des associations, elles ne peuvent plus se loger. Elles n’ont plus le droit de travailler. Un accueil physique doit être rétabli dans les préfectures pour accueillir les personnes étrangères », milite le collectif.

    Devant la sous-préfecture

    À l’initiative de la Coordination Bretagne-Pays de la Loire-Normandie Solidaire des personnes immigrées, plusieurs associations du Finistère (100 pour un toit, Digemer, Attac, Solidarité Iroise, LDH…) appellent à se rassembler devant la sous-préfecture de Brest, le mercredi 1er décembre, à 13 h 30, pour manifester contre ce qu’ils estiment être devenu « une nouvelle frontière infranchissable ».

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Départ de Brest des ambulanciers pour la manifestation nationale a Paris, accompagnés par la CGT du CHRU BREST-CARHAIX. ( FB.com - 30/11/21 )

    Source : https://www.facebook.com

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  • Cette semaine au CHRU Brest c’est toujours les services techniques et généraux, plus particulièrement la cuisine, mais aussi les services logistiques avec la stérilisation qui font le début de notre actualité. Bien sûr nous en viendrons aux raisons de ce mécontentement : manque de moyens, manque de personnel… Tout cela sur fond de ce qui sert de dénominateur commun à bon nombre de catégories professionnelles : l’absence de reconnaissance salariale et leurs exclusions, comme pour tous les administratifs, la filière ouvrière, les agents de service hospitalier, les médico-sociaux, médico-techniques, sages-femmes dans le « Ségur de la Santé »… À ce propos, Thomas vous rappellera les prochaines journées d’action sur le sujet. La Cgt terminera sur un point concernant la pandémie du Covid et poussera deux « coups de gueules » : Le dialogue social gouvernemental et les petites faveurs que s’octroie notre Direction…

    Source : https://www.facebook.com

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  • « On travaille tout le temps en mode dégradé, et il faut effectuer la même charge de travail à effectif réduit », déplorent les représentantes de la CFDT.« On travaille tout le temps en mode dégradé, et il faut effectuer la même charge de travail à effectif réduit », déplorent les représentantes de la CFDT. 

    Au CHRU de Brest, l’absentéisme ne cesse d’augmenter, et il est de moins en moins compensé. La CFDT tire la sonnette d’alarme, alors que les difficultés de recrutements ne font qu’aggraver la situation.

    La problématique de l’absentéisme n’est pas nouvelle au CHRU de Brest-Carhaix, comme dans l’ensemble des hôpitaux publics français. Dès 2018-2019, la CFDT avait poussé ses troupes dans la rue pour alerter les pouvoirs publics de l’urgence à agir sur les effectifs hospitaliers et les conditions de travail.

    « On n’a pas été entendus, et aujourd’hui, la situation ne fait qu’empirer. Pour la première fois, cette année, même durant la période estivale, le nombre d’absents a augmenté, au point que la plupart des temps partiels ont dû exercer à temps plein. Et en moyenne, à l’année, tous services confondus, le taux d’absentéisme s’élève à 9 %, avec certains secteurs au-delà de 12 % », informe Sabine Pochard, secrétaire de la section CFDT du CHRU de Brest-Carhaix.

    Des difficultés de recrutement

    Problème : les absences ne sont pas compensées immédiatement. Parfois, « il faut attendre quatre semaines », et le cercle infernal s’enclenche. Des agents rappelés sur leurs jours de repos, des congés repoussés, des plannings qui changent au dernier moment, la direction donne l’impression de parer au plus pressé, en colmatant les brèches.

    « À compenser les absents, les présents s’épuisent, certains se retrouvent en arrêt, et il faut compenser encore plus, jusqu’à l’épuisement », déplorent Pascale Lestideau et Soizic Patinec, autres représentantes de la CFDT, en évoquant une vie familiale dégradée, des collègues en disponibilité, voire en phase de reconversion.

    La remarque est aussi valable pour les contractuels « qui ne restent pas, car ils sont tout de suite au taquet ». La situation se tend d’autant plus que le Finistère, jusqu’alors plus épargné que d’autres départements sur la question des recrutements, rencontre désormais les mêmes difficultés.

    Face à cette pénurie en personnel, la direction se voit contrainte de prendre des décisions radicales. Douze lits de médecine gériatrique sont ainsi fermés actuellement à Carhaix, tandis qu’à Morvan, Guilers, et Bohars, le self est fermé un jour par semaine.

    Grosses craintes pour 2022

    Pour le syndicat majoritaire à l’hôpital, « il devient urgent de travailler l’attractivité de l’hôpital ». La CFDT demande donc la compensation immédiate de l’absentéisme, et une titularisation plus rapide des contractuels. Elle attend aussi des pouvoirs publics qu’au-delà des moyens alloués aux bâtiments, il en soit fait de même pour les effectifs.

    Faute de ça, le syndicat s’attend une situation encore pire en 2022. « À fin novembre, au nom de la continuité des soins, de nombreux agents n’ont pas pu poser leurs congés annuels et RTT, et ils sont contraints de les poser sur un compte épargne temps s’ils ne veulent pas les perdre. Cela ne va fera qu’ajouter de la fatigue à la fatigue ».

    Sollicitée par nos soins, la direction du CHRU indique ce lundi soir avoir « inscrit le sujet de l’absentéisme et de la qualité de vie au travail dans les actions du projet social. Une communication aux partenaires sociaux est prévue très prochainement. »

    Source : https://www.letelegramme.fr

    Auteur : Jean-Luc Padellec

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  • Le personnel communal en grève est installé devant la mairie de Bohars depuis ce lundi matin.Le personnel communal en grève est installé devant la mairie de Bohars depuis ce lundi matin.

    L’aménagement et l’augmentation du temps de travail à la mairie de Bohars suscitent l’inquiétude des salariés. Ils ont entamé une grève ce lundi matin.

    Le personnel de la mairie de Bohars a entamé une grève illimitée, ce lundi matin. « Les revendications portent sur l’aménagement du temps de travail, le régime indemnitaire, les congés d’ancienneté et l’augmentation du temps de travail (1 607 heures) », indique Fabrice Bernard, du syndicat Force ouvrière, en ajoutant : « Le personnel demande un retour au dialogue social ». Installés devant la mairie, les grévistes attendent l’ouverture de négociations.

    Les congés d’ancienneté remis en cause

    « Une séance plénière sur le passage de 1 542 heures à 1 607 heures a eu lieu en septembre. Des rencontres entre agents et élus avaient été organisées par métiers et du temps avait été donné aux agents pour faire des propositions sur l’application de la loi, déclare Gerald Tasset, conseiller municipal venu rencontrer les grévistes en fin de matinée. Les élus ont ensuite fait des contre-propositions et des divergences sont apparues, notamment sur le congé d’ancienneté, mais le dialogue social n’est pas rompu ».

    Pour Fabrice Bernard : « Le comité de pilotage de la mairie a prévu la suppression des congés d’ancienneté (un jour tous les cinq ans) et des ponts mobiles. Les agents de Bohars demandent à pouvoir négocier l’application des 1 607 heures et obtenir la revalorisation du régime indemnitaire comme cela s’est fait à Brest métropole ».

    En l’absence d’avancée sur les dossiers, les agents ont voté la reconduction de la grève.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Congé d’ancienneté : les agents territoriaux ont débrayé ce lundi matin à Bohars. ( OF.fr - 29/11/21 - 15h14 )             90 % des agents territoriaux titulaires de la commune de Bohars (Finistère) sont en grève ce lundi 29 novembre 2021. 

    Le personnel de la mairie de Bohars (Finistère) a manifesté ce lundi 29 novembre 2021 devant l’hôtel de ville. Il déplore un manque de concertation avec les élus et réclame un alignement sur les accords obtenus à Brest.

    Mécontents des conditions de négociation et d’application de la loi sur les 1 607 heures, près d’une vingtaine d’agents territoriaux de Bohars (Finistère) ont entamé une grève lundi 29 novembre 2021, à 10 h 30, devant la mairie.

    Les agents territoriaux avaient déposé un préavis de grève le 15 novembre, soutenu par le syndicat Force ouvrière. Ils estiment ne pas avoir été entendus depuis.

    Une divergence autour du congé d’ancienneté

    « Le comité de pilotage de la mairie a prévu la suppression des congés d’ancienneté (un jour tous les cinq ans) et des ponts mobiles, explique Fabrice Bernard, secrétaire adjoint de FO Brest métropole. Les agents de Bohars demandent à pouvoir négocier l’application des 1 607 heures et obtenir la revalorisation du régime indemnitaire comme cela s’est fait à Brest métropole. »

    Lionel Le Roy, également du syndicat FO, dénonce par ailleurs « une entrave au droit de grève et une mise sous pression des agents, notamment par le biais d’un mail qui leur a été adressé mardi 23 novembre ».

    « Le dialogue social n’est pas rompu », selon un élu

    Venu à la rencontre des grévistes ce lundi 29 novembre au matin, Gérald Tasset, conseiller municipal, s’est fait le porte-parole de la municipalité et a déclaré : « Pas d’arbitrage sec à Bohars ! »

    Il a rappelé qu’une séance plénière sur le passage de 1 542 heures à 1 607 heures avait eu lieu en septembre, que des rencontres entre agents et élus avaient été organisées par métiers et que du temps avait été donné aux agents pour faire des propositions sur l’application de la loi.

    Une poursuite de la grève votée

    « Les élus ont ensuite fait des contre-propositions et des divergences sont apparues, notamment sur le congé d’ancienneté qui est extralégal, a continué Gérald Tasset, mais le dialogue social n’est pas rompu. »

    Les représentants de FO n’espèrent pas plus de négociation ce lundi 29 novembre, car Armel Gourvil, le maire, leur a indiqué être absent pour formation. Quant aux agents de la commune, ils ont voté la poursuite de la grève, sans donner plus de précision sur les dates.

     

    Joint par courriel, le maire précise que les élus travailleront « encore sur le dossier ce lundi soir ».

     

    Source : https://www.ouest-france.fr

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