• Mathilde Panot, présidente du groupe parlementaire de la France Insoumise et Pierre-Yves Cadalen, insoumis brestois.Mathilde Panot, présidente du groupe parlementaire de la France Insoumise et Pierre-Yves Cadalen, insoumis brestois. 

     Ce vendredi 12 novembre 2021, pour leur première réunion publique de la campagne présidentielle, Pierre-Yves Cadalen, Insoumis brestois, accueillait Mathilde Panot, présidente du groupe parlementaire de la France Insoumise : « Un horizon positif reste possible. »

    Mathilde Panot, présidente du groupe parlementaire de la France Insoumise était accueillie, ce vendredi 12 novembre 2021, à Brest (Finistère), par Pierre-Yves Cadalen, Insoumis brestois. Au programme de cette première réunion publique organisée dans le cadre de la campagne présidentielle : « Faire gagner l’écologie populaire en 2022. »

    Expliquez-nous ce défi majeur de votre campagne présidentielle : « Faire gagner l’écologie populaire en 2022 » ?

    Mathilde Panot : La question écologique impose un partage des richesses. C’est notre défi majeur. L’industrie agroalimentaire, les algues vertes, la qualité de l’eau, l’énergie… Ici, à Brest, en Bretagne, l’écologie populaire prend tout son sens. Ce territoire peut devenir pilote pour la création de milliers d’emplois, qu’il s’agisse des métiers de la mer, des énergies renouvelables ou de l’agriculture paysanne.

    Pierre-Yves Cadalen : Toutes nos idées trouvent de l’écho à Brest. Où l’on compte 10 000 chômeurs de longue durée. Trop de gens vivent des situations très difficiles. Brest a beaucoup souffert des politiques libérales. La ville s’est développée via la puissance publique, l’État, la commande militaire. Traditionnellement, le député de Brest siège à la commission Défense. Moi, j’avais décidé de siéger à la commission développement durable. Car cela peut réorienter le port industriel vers les énergies renouvelables. On défend, aussi, l’annulation de la dette paysanne en contrepartie d’une conversion sociale et écologique des fermes, un levier très important pour la transition du modèle agricole.

    Comment envisagez-vous la question de l’eau ?

    M.S et P-Y C : Extrêmement grave, la crise de l’eau est déjà là. Dès 2017, on proposait que le droit à l’eau soit inscrit dans la Constitution. On prône, aussi, la gratuité des m³ d’eau indispensables à la vie, ainsi que des tarifs adaptés aux différents usages : l’eau à boire, celle pour se laver, celle pour l’usage industriel… On doit en finir avec la mainmise des intérêts privés sur l’eau. Notre programme contient 69 recommandations en ce sens.

    Quelle stratégie contre l’abstention ?

    C’est la bataille fondamentale. L’ennemi n°1, c’est la résignation. Si le peuple revient aux urnes, on gagnera cette élection ! On continue nos actions de terrain : informer sur les droits sociaux, impulser l’inscription sur les listes électorales… 13 millions de Français sont mal ou pas inscrits. On crée, aussi, des réseaux efficaces avec nos centaines de « correspondants d’immeubles » : ces personnes qui n’ont pas le temps de militer, mais qui vont recevoir les derniers tracts, faire un peu de porte à porte, vont coller, ou organiser des collectes solidaires…

    Vous êtes optimistes ?

    On compte, déjà, 265 000 soutiens à la candidature de Jean-Luc Mélenchon, sur melenchon2022.fr. On accueille actuellement, à Brest, de nombreux jeunes militants qui ont envie de s’engager, qui ont compris l’urgence. On n’est condamnés ni à Emmanuel Macron ni aux racistes haineux. Plein de gens veulent autre chose. Quand les quartiers populaires se déplacent, on y arrive : au second tour des dernières législatives, en Brest Ville, à Pontanézen, à Bellevue, on a gagné… Il n’y a pas d’un côté la politique et de l’autre la vie. On est tous citoyens, ensemble pour construire une solidarité concrète, pour améliorer la vie quotidienne. Le Smic augmenté, la retraite à 60 ans, moins de gaz à effets de serre, le droit à la révocation des élus : un horizon positif reste possible.

     

    Frédérique GUIZIOU

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • À Brest, l’Alternative UBO lance une pétition pour le retour des repas à 1 €. ( LT.fr - 12/11/21 - 17h45 )                  En juillet 2021, Emmanuel Macron a mis fin aux repas à 1 € dans les restaurants universitaires. 

    Après l’allocution du Président de la République, Emmanuel Macron, mardi 9 novembre 2021, L’Alternative UBO, association de défense des droits étudiants, lance une pétition pour le retour des repas à 1 € dans les restaurants universitaires. « Avant cet hiver et pour éviter aux étudiants de devoir aller se nourrir dans les banques alimentaires, nous demandons en urgence au Crous de Bretagne le rétablissement des repas à 1 € pour toutes et pour tous », écrit l’organisation étudiante, restée sur sa faim après la dernière allocution du Président de la république, le mardi 9 novembre 2021.

    Un contrat d’engagement jeune « qui ne concerne pas les étudiants »

    « Alors que les files devant les banques alimentaires ne cessent de s’allonger, que nous sommes touchés de plein fouet par la réforme des APL (Aide personnelle au logement) et par l’augmentation des prix de l’électricité et du gaz, la seule annonce de Macron est celle de la mise en place d’un contrat d’engagement jeune. Elle ne concerne pas les étudiants - et, comble de l’hypocrisie - est de 563 € en dessous du seuil de pauvreté », dénonce l’Alternative UBO.

    En juillet 2020, pour aider les étudiant boursiers durant la crise sanitaire, le gouvernement avait décidé d‘instaurer un prix fixe à 1 € dans les restaurants universitaires. Cette mesure avait ensuite été étendue aux non boursiers en janvier 2021. Six mois plus tard, le 12 juillet 2021, Emmanuel Macron avait mis fin au dispositif.

    Lien vers la pétition https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfNEIIBtSkNMftObvUHd6TGuThXdAbxm1Y2LSKSz0JNhQlFZQ/viewform

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Terrasse sauvage et déambulation aux flambeaux pour la fin du pass sanitaire à Brest. ( CB.fr - 12/11/21 - 18h35 )  Des organisations veulent fêter, à Brest, la fin de l’état d’urgence sanitaire, initialement prévue le 15 novembre.

    Des organisations invitent, lundi 15 novembre 2021, à un rassemblement pour fêter la fin du pass sanitaire initialement prévue ce jour-là. Rendez-vous place de la Liberté à Brest.

    Le collectif  brestois pour l’autonomie des luttes – KBALNPA Brest, les Gilets jaunes de BrestSud CTCNT interpro-Brest et À la fontaine au beurre entendent « fêter la fin prévue initialement du pass sanitaire le 15 novembre 2021 » en organisant, lundi 15 à 18 h 30, un rassemblement festif, sous-forme de terrasse sauvage puis de déambulation aux flambeaux, place de la liberté à Brest. « De manière à ne pas laisser la rue à l’extrême-droite », précisent-ils. 

    Le texte de l’appel au rassemblement

    Le texte de l’appel au rassemblement explique :
    « Mesure autoritaire s’il en est, le régime dit transitoire de l’état d’urgence sanitaire se termine ce 15 novembre, levant ainsi son lot de limitation des déplacements ou d’ouverture des établissements recevant du public, ses possibles interdictions de réunions ou de manifestations… 
    Ce régime s’inscrit dans un mouvement d’empilement de lois et dispositifs autoritaires de contrôle et de répression (loi sécurité globale, loi Collomb, décrets de fichage, états d’urgence, couvre-feux… ), et ce, sans sembler connaître de frein à leur déferlement.
    Le dernier-né, le passe sanitaire, semble être le parangon de cette tendance qui se poursuivra après la fin du régime transitoire de l’état d’urgence sanitaire. Ce pass poursuit une vieille logique déjà à l’œuvre dans les politiques de surveillance et de répression : il s’agit de contrôler et de mieux exclure. »

    Frontière

    Le texte poursuit : « Ainsi, les politiques nationalistes de contrôle des personnes étrangères ne permettent l’octroi de titres de séjour ou de visa uniquement sur la base du respect de certains critères (âge, emploi, pays d’origine…). 
    La police contrôlant la possession de ces titres, l’exclusion ou non du territoire peut-être prononcée par l’État.
    Cependant, le pass sanitaire réactive cette logique de manière bien plus globale et tentaculaire : désormais, des milliers de personnes peuvent et se doivent d’être agents du contrôle, dès lors qu’elles possèdent un smartphone avec lecteur de QR code, échappant totalement à toute assermentation comme à toute possibilité de retrait. Parallèlement, tous et toutes peuvent être contrôlés et possiblement exclus (d’un bar, d’une médiathèque, d’un train, d’un emploi…), et ce, sur l’ensemble du territoire. Ainsi se dresse la frontière entre le bon citoyen détenteur du sésame scanné et le marginal co-responsable de la pandémie. »

    Prolongation jusqu’à l’été 2022

    Conclusion du texte : « Initialement prévu pour être abandonné le 15 novembre 2021, soit un peu plus de trois mois après sa mise en place, le passe sanitaire sera prolongé jusqu’à l’été 2022. Néanmoins, il nous semble important de célébrer pleinement la fin du régime transitoire ainsi que ce censé retrait du pass, notamment pour rappeler que ce qui a été construit peut toujours être défait. »


    Infos pratiques
    Lundi 15 novembre 2021, à 18 h 30, place de la Liberté à Brest.
    Page Facebook : KBAL – Collectif brestois pour l’autonomie des luttes
     
    Source : https://actu.fr
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  • Blocs morts du 8 au 18 novembre de la profession IADE
    Rassemblement le mardi 16 novembre 2021 de 7h à 9h dans le hall de la Cavale Blanche !

    Source : https://www.facebook.com

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  • Au cimetière du centre-ville, les tombes de Pierre Guéguin et de Marc Bourhis sont proches l’une de l’autre. Au cimetière du centre-ville, les tombes de Pierre Guéguin et de Marc Bourhis sont proches l’une de l’autre.

    Le 22 octobre 1941, Guy Moquet, jeune communiste, et 26 autres Français étaient tués à Châteaubriant (44) en représailles à l’assassinat de l’officier allemand Karl Hotz, perpétré deux jours auparavant à Nantes. Dans cette fusillade, se trouvaient Pierre Guéguin, ancien maire de Concarneau et conseiller général, et Marc Bourhis, instituteur à Trégunc.

    À l’occasion du 80e anniversaire de cette fusillade, le maire de Concarneau, Marc Bigot, le conseil municipal, le proviseur du lycée Pierre-Guéguin, Jérôme Girard, les familles de Pierre Guéguin, les associations d’anciens combattants, de résistants, du devoir de mémoire, les orphelins et pupilles de la Nation invitent la population à honorer ce souvenir.

    Un hommage sera aussi rendu aux 36 Concarnois fusillés, morts en déportation dans les combats de la résistance.

    Le rassemblement aura lieu au cimetière centre de Concarneau, à 16 h 30, avec un dépôt de gerbes sur les tombes de Pierre Guéguin et Marc Bourhis. Puis, à 17 h, un accueil aura lieu au lycée Pierre-Guéguin, suivi d’un dépôt de gerbe en présence du proviseur, des élèves et de leurs professeurs.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

     

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  • De nombreux bus vont rester au dépôt ce lundi.De nombreux bus vont rester au dépôt ce lundi. 

    Le principal syndicat de Bibus appelle à une nouvelle journée de grève lundi 15 novembre pour obtenir de meilleures conditions de travail. L'entreprise reconnaît que le service de transport sera "très perturbé". Les prévisions de trafic détaillées seront communiquées samedi.

    Un mois jour pour jour après une première journée de grève massivement suivie, la CFDT appelle les salariés de Bibus (RATP Dev) à un nouveau débrayage général lundi 15 novembre. Si les prévisions complètes ligne par ligne ne seront connues que ce samedi, l'exploitant du réseau de transports en commun de la métropole brestoise annonce d'ores et déjà que "de fortes perturbations" sont attendues. Et invite les voyageurs à anticiper leurs déplacements en privilégiant les alternatives durables : vélo ou covoiturage. Le syndicat majoritaire est déterminé à obtenir une réelle amélioration des conditions de travail des conducteurs et des agents de maintenance. Il dénonce en particulier les "retards importants, allant jusqu'à 25 minutes constatés sur la grande majorité des lignes du réseau et les transports scolaires", et le sous-dimensionnement ainsi que la vétusté du parc de bus. Selon la CFDT, les améliorations promises par la direction de RATP Dev pour le 8 novembre ne sont pas au rendez-vous. 

    Un conflit qui pourrait durer

    Anticipant un long bras de fer, la CFDT avait déposé un préavis de grève couvrant la période du 15 octobre 2021 au 15 janvier 2022. "Face au peu de considération de la direction de RATP concernant la qualité du service public des transports en commun de la métropole, la CFDT Bibus s'attend à des répercutions jusqu'à la fin de l'année" conclut le communiqué du syndicat.

     

    Source : https://www.francebleu.fr

    A lire également:

    Brest. Une nouvelle grève chez Bibus le lundi 15 novembre 2021 (ouest-france.fr-11/11/21-11h35)

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  •  Brest. Les avocats en grève les 15 et 16 novembre 2021  (OF.fr-10/11/21-Le barreau de Brest vote une grève de toutes les activités les lundi 15 et mardi 16 novembre 2021.

    Les avocats marquent leur opposition au projet de loi « confiance dans l’institution judiciaire ». Le barreau de Brest a donc voté une grève de toutes les activités les lundi 15 et mardi 16 novembre 2021.

    Lors de son assemblée générale extraordinaire du mardi 9 novembre 2021, le barreau de Brest a voulu marquer sa « franche opposition » au projet de loi « confiance dans l’institution judiciaire », actuellement en discussion au Parlement, ses dispositions « portant atteinte au secret professionnel ».

    Le barreau de Brest a donc voté une grève de toutes les activités les lundi 15 et mardi 16 novembre 2021 : fermeture au public, annulation de l’ensemble des permanences, suspension de la participation des avocats à toutes les audiences, suspension de la participation des avocats aux expertises.

    « Cet article de loi crée en quelque sorte une complicité non intentionnelle, explique Bertrand Audren, bâtonnier de l’Ordre. Par exemple, il suffira aux enquêteurs d’invoquer ses dispositions pour pouvoir perquisitionner le domicile personnel et le domicile professionnel des avocats et saisir tous les documents qu’ils voudront, alors même les avocats n’ont en réalité rien à se reprocher. »

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Mathilde Panot et Pierre-Yves Cadalen, ici pendant la campagne des régionales à Dinan, animeront la réunion publique ce vendredi à Brest. Mathilde Panot et Pierre-Yves Cadalen, ici pendant la campagne des régionales à Dinan, animeront la réunion publique ce vendredi à Brest. 

    Une réunion publique en présence de Mathilde Panot, présidente du groupe parlementaire des Insoumis, se tiendra le vendredi 12 novembre à Brest, pour lancer la campagne présidentielle de Jean-Luc Mélenchon.

    Dans le cadre de la campagne présidentielle de Jean-Luc Mélenchon, une première réunion publique de campagne de « L’Union populaire » se tiendra le vendredi 12 novembre à Brest. Elle sera animée par Mathilde Panot, présidente du groupe parlementaire de La France Insoumise et plus jeune présidente de groupe parlementaire de la Ve République, mais aussi par Pierre-Yves Cadalen, Insoumis brestois, candidat aux législatives de 2017 et aux municipales de 2020 à Brest.

    La réunion publique se tient à 20 h, au Patronage laïque Sanquer, 26, rue Choquet-de-Lindu. L’entrée est libre, gratuite et sans inscription préalable. Le passe sanitaire n’est pas requis pour les événements politiques.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Une quinzaine de bibliothécaires du réseau des médiathèques de QBO ont fait grève ce mercredi, de 10 h à 12 h. La médiathèque Alain-Gérard à Quimper a ensuite pu rouvrir ses portes normalement. Une quinzaine de bibliothécaires du réseau des médiathèques de QBO ont fait grève ce mercredi, de 10 h à 12 h. La médiathèque Alain-Gérard à Quimper a ensuite pu rouvrir ses portes normalement.

    Un accès à la culture pour tous. Même sans passe sanitaire. C’est ce que demandent les bibliothécaires du réseau des médiathèques de QBO qui faisaient grève ce mercredi à Quimper.

    « On est obligé de laisser des gens à la porte. Ça, c’est quelque chose qui est tellement contraire à l’esprit de notre métier qui est le libre accès à la culture », se désole Christelle Coquemont, bibliothécaire jeunesse à Ergué-Gabéric.

    Ils sont une quinzaine de salariés, ce mercredi matin, devant la médiathèque Alain-Gérard, à Quimper, pour dénoncer l’obligation de présentation du passe sanitaire pour les adultes. Les bibliothécaires viennent des sites de Penhars, Pluguffan, Ergué-Gabéric ou encore Plonéis, qui dépendent du réseau des médiathèques de Quimper Bretagne Occidentale. De fidèles usagers sont là aussi pour soutenir les salariés mobilisés.

    « On les prive d’une forme de lien social »

    « Devoir refuser l’accès à certains lecteurs, c’est terrible. Pour certains, c’est leur vie. Ils venaient pour emprunter des livres mais aussi pour échanger avec le personnel. On les prive d’une forme de lien social ». Les personnels dénoncent aussi les contraintes qu’impose le contrôle des passes. « Cela me demande environ 10 heures de travail par semaine. Pour ouvrir chaque médiathèque, depuis la mise en place du passe, il faut un salarié de plus », souligne Christelle Coquemont. « Pendant les dernières vacances, on a quand même dû fermer des sites ! Penhars et Ergué-Armel n’ont pu ouvrir que de façon alternée. Quand une médiathèque est fermée, finalement ça prive tout le quartier d’accès », déplore aussi la bibliothécaire gabéricoise.

    « Accueillir moins mais accueillir tout le monde »

    Les revendications des salariés sont on ne peut plus claires : « Que le passe sanitaire saute. Même si on rétablit la jauge. On préfère accueillir moins de personnes à la fois mais accueillir tout le monde ».

    Si les usagers des médiathèques doivent montrer patte blanche pour entrer c’est aussi le cas des salariés. « Pratiquement tous les salariés et ceux qui ne le sont pas font un test tous les trois jours pour venir travailler. S’il faut tenir ce fonctionnement pendant des mois, ça va être très compliqué. Là trop c’est trop ». « Il y a quand même des collègues à Douarnenez et Loperhet qui sont suspendus parce qu’ils refusent de contrôler le passe sanitaire », lâche la jeune femme, exaspérée.

    Les 12-17 ans exemptés de passe depuis le 2 novembre

    Christelle Coquemont se réjouit tout de même pour les jeunes et les étudiants. « Depuis le 2 novembre, les élus locaux nous ont entendus et ont obtenu que les 12-17 ans et les étudiants soient exemptés du passe sanitaire ».

    Joint par téléphone, Didier Leroy, vice-président de QBO chargé de l’animation du réseau de lecture publique, doit se résoudre à se conformer à la loi. « Le passe sanitaire, c’est une obligation, même si on entend les arguments des bibliothécaires ». Face au contexte sanitaire qui voit une recrudescence de la pandémie, l’élu ne s’avoue guère optimiste. « Je ne suis pas convaincu que l’étau se desserre rapidement… »

    À noter

    Une pétition Pour une bibliothèque accessible à tous est en ligne sur change.org. Elle a déjà recueilli près de 15 000 signatures.

     

    Johanne Bouchet

    source: https://www.letelegramme.fr/

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    Brest. Le ras-le-bol du secteur social et médico-social    (OF.fr-09/11/21-17h24)Des salariés du secteur social et médico-social de différents établissements ont pris la parole devant le foyer de Kerlivet, à Brest (Finistère), à l’image des représentantes des Amitiés d’Armor.

    Les salariés du social et du médico-social ont exprimé, ce mardi 9 novembre 2021, à Brest, leur « maltraitance », « face aux organisations de travail en mode dégradé ».

    Mardi matin 9 novembre 2021, un rassemblement était organisé devant le foyer de Kerlivet à Brest (Finistère), à l’appel du Syndicat CFDT Santé Sociaux 29, pour dire stop aux organisations de travail indécentes et dire oui à une revalorisation salariale pour tous !

    Environ 250 salariés se sont déplacés, représentant différentes structures, notamment, les Amitiés d’Armor, l’Association des paralysés de France, Don Bosco, les Genêts d’or, ainsi qu’une délégation CGT du groupe mutualiste VYV 3.

    « En colère et à bout de souffle »

    Les prises de parole témoignaient du ras-le-bol des personnels, en colère et à bout de souffle, qui sont dans la rue aujourd’hui pour se faire entendre et dénoncer nos conditions de travail déplorables ».

    Anne-Marie, Françoise, Isabelle, Karine et Valérie, salariées des Amitiés d’Armor, déplorent la perte de leurs valeurs : Nous ne nous retrouvons plus dans le métier que nous avons choisi. Ceci entraîne beaucoup de démissions, d’arrêts maladie, d’inaptitudes et d’accidents de travail. Il y a une usure physique et psychologique.

    Avec des conséquences sur les conditions de vie des usagers : Nos revendications relèvent du respect minimum qui est dû aux anciens et au public fragilisé que nous devons prendre en soin et dont nous ne pouvons décemment pas continuer de nous occuper dans des conditions de plus en plus dégradées.

    Ça suffit ! La coupe est pleine ! résume le Syndicat CFDT Santé Sociaux 29, le mode dégradé n’est acceptable pour personne : usagers, familles, salariés et associations.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Brest. Contre le passe sanitaire, les bibliothécaires en grève le 10 novembre. ( OF.fr - 08/11/21 - 17h17 )   La médiathèque François-Mitterrand, aux Capucins, à Brest.

    Le mouvement de grève des bibliothécaires, le 10 novembre 2021, contre le passe sanitaire, sera l’occasion, aussi, d’un ​pique-nique partagé entre les employés et les usagers, à 12 h 30, devant les ateliers des Capucins, à Brest (Finistère).

    L’intersyndicale, composée de la CNT des travailleurs territoriaux, de SUD Collectivités territoriales et de SUD Culture, appelle à la grève, le mercredi 10 novembre 2021, dans toutes les médiathèques et services publics de la métropole brestoise.

    Une journée inscrite dans le cadre d’un appel national des bibliothécaires contre le passe sanitaire. Et l’occasion d’un pique-nique partagé entre les employés et les usagers, à 12 h 30, devant les ateliers des Capucins, rue de Pontaniou, à Brest.

    L’intersyndicale revendique : un accès libre et sans condition aux services publics, la suppression du passe sanitaire pour le public et les agents, la gratuité des abonnements aux médiathèques pour tous, un accès facilité, gratuit et sur le temps de travail aux vaccins et aux tests pour le personnel soumis à l’obligation du passe sanitaire, la levée des sanctions pour le personnel refusant de contrôler le passe sanitaire.

    Une « biblio-don-mobile » sera organisée. Pensez à apporter des livres, CD, DVD, jeux, vidéos, magazines, etc. à donner en partage.

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Quimper. Ils soutiennent la grève contre le passe sanitaire dans les médiathèques  (OF.fr-8/11/21-18h17)La médiathèque Alain-Gérard à Quimper (Finistère). 

    Depuis plusieurs semaines, la contestation contre le passe sanitaire pour accéder aux médiathèques et bibliothèques prend forme un peu partout en France. À Quimper (Finistère), un collectif et un syndicat appellent à soutenir le mouvement de grève, mercredi 10 novembre 2021.

    Depuis plusieurs semaines, la contestation contre le passe sanitaire pour accéder aux médiathèques et bibliothèques prend forme un peu partout en France. Sur le territoire de Quimper Bretagne Occidentale (Finistère), un collectif d’usagers et le syndicat Staf-CNT 29 se disent « attachés à ces lieux essentiels d’échanges, de transmission des connaissances et de liberté de pensée. Or, un certain nombre d’entre nous, faute de passe sanitaire, s’en voit interdire l’entrée. » Pour cette raison, ils disent « soutenir la grève des salariés (des médiathèques et bibliothèques), à l’appel des syndicats Sud et CNT, afin de défendre l’accès de tous aux lieux de lecture publique. » Ils appellent à se rassembler, en soutien, « mercredi 10 novembre 2021, de 10 h à 12 h, devant la médiathèque Alain-Gérard (esplanade François-Mitterrand) ».

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Photo d’illustration. 

    Suite à un contrôle de police au local de Solidaires, vendredi, à Quimper, le syndicat dénonce ces « agissements intolérables » dans un communiqué.

    « Le vendredi 5 novembre, en amont d‘une réunion syndicale, un contrôle de police systématique de syndicalistes et sympathisants a eu lieu à Quimper, à la porte du local du syndicat Solidaires, alors même que la qualité syndicale de la réunion et des personnes présentes a été clairement énoncée aux forces de l‘ordre », dénoncent-ils dans un communiqué. « Ces agissements intolérables forment une entrave à la liberté syndicale et constituent une discrimination, (…), menacent la liberté du syndicat et de ses adhérents de se réunir en toute sérénité (…). L‘intervention intimidante des forces de l’ordre a entravé les droits constitutionnels et universels ». Solidaires 29 dénonce « ces pratiques qui témoignent d’un recul démocratique de nos institutions et appelle toutes les sections locales et départementales à dénoncer ces agissements qui témoignent de l‘effondrement démocratique de nos institutions. Elle appelle tous les fonctionnaires de police et de gendarmerie à faire preuve de discernement dans leurs contrôles et à prendre en compte le contexte dans lesquels ils et elles les réalisent. Elle demande au préfet du Finistère, responsable de ces contrôles inquiétants, un cadrage des forces de l‘ordre lors des agissements de ses services ».

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • De nombreuses familles du Finistère se sont retrouvées à Quimper, samedi après-midi, devant les locaux de la Région, sur le pont Firmin, et les bureaux de BreizhGo, à la gare, pour réclamer des arrêts

    De nombreuses familles du Finistère se sont retrouvées à Quimper, samedi après-midi, devant les locaux de la Région, sur le pont Firmin, et les bureaux de BreizhGo, à la gare, pour réclamer des arrêts de car pour leurs enfants scolaires. 

    Des dizaines d’habitants de zones rurales du Finistère ont convergé, samedi 6 novembre, vers 15 h, devant BreizhGo, à Quimper et les locaux de la Région. Ils réclament des arrêts de car pour leurs enfants scolaires.

    Ils habitent dans les campagnes de Milizac-Guipronvel, Leuhan, Pont-de-Buis, Saint-Renan… Les familles embarquées dans le mouvement « Un transport scolaire pour tous », mobilisées sur leur page Facebook, estiment que « la Région ne fait plus d’efforts pour le monde rural ». C’est celle-ci qui a repris la compétence transport scolaire au détriment du Département, il y a quatre ans, et resserré l’approche sécuritaire des arrêts de cars, en supprimant quelques-uns au passage. Les 2 000 demandes d’arrêts supplémentaires parvenues à BreizhGo auront des réponses après les vacances de la Toussaint. Un tiers des sollicitations, pour l’heure étudiées, ont été satisfaites. Mi-octobre, il restait 200 dossiers à examiner. Samedi 6 novembre, les familles concernées sont venues à Quimper mettre la pression devant les locaux de la Région et de BreizhGo. « L’ambiance était très tendue » selon un membre du collectif.

     
    Les affiches ont fleuri sur les locaux de la Région qui ont également fait les frais de quelques kilos de farine…Les affiches ont fleuri sur les locaux de la Région qui ont également fait les frais de quelques kilos de farine…

    Une rencontre est intervenue avec Forough Dadkhah, Vice-présidente de la Région. Dans un communiqué, la Région précise que l’élue a pu « rappeler le travail continu mené par la collectivité afin de satisfaire le maximum de demandes de création d’arrêts en vue du transport quotidien des élèves. Chaque année, la Région Bretagne transporte près de 100 000 jeunes, gère 22 000 arrêts et, depuis septembre dernier, a reçu plus de 2 000 demandes de création d’arrêts supplémentaires ».

    Sur les demandes qui n’ont pas reçu de réponse positive, la Région indique que « si les conditions de sécurité ne sont pas jugées satisfaisantes, ou si la demande d’arrêt rallonge le trajet de la majorité des autres jeunes bretons pris en charge, la Région ne peut y répondre favorablement. Ce sont les principes directeurs qui guident ces décisions : l’équilibre et l’égalité territoriale, la solidarité, la concertation et, évidemment, la sécurité des élèves. En cas d’accident, la responsabilité de la Région serait engagée ».

    Le premier Vice-président en charge du climat et des mobilités, Michaël Quernez, s’est engagé à recevoir une nouvelle fois le collectif pour « transmettre une explication précise et transparente sur la possibilité, ou non, de créer un nouvel arrêt dans leur secteur ».

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Quimper. La question des cars scolaires crée du frottement   (OF.fr-7/11/21-20h02)Les manifestants sont venus en famille à Quimper pour exiger plus de cars scolaires. 

    Une cinquantaine de manifestants était à Quimper (Finistère), samedi 6 novembre 2021, pour dénoncer le manque de cars scolaires en zone rurale.

    « Un arrêt de car pour nos enfants ! », lançaient les manifestants. Samedi, une cinquantaine de personnes a manifesté à Quimper (Finistère) devant l’antenne de la Région. Elles ont dénoncé le manque de cars scolaires, notamment dans les secteurs de Milizac, Saint-Renan et Pont-de-Buis. Christophe Milin, un des manifestants, souligne : « Nous sommes les oubliés du car scolaire. »

    Un échange s’est engagé, sur le trottoir, avec Forough-Léa Dadkah, vice-présidente de la Région. Les manifestants ont déploré les défauts de sécurité pour les enfants, l’abandon du monde rural, la recherche d’économies, le manque de dialogue et la centralisation rennaise.

    La vice-présidente a promis une rencontre avec les élus concernés. Elle explique : « Chaque année, 100 000 élèves sont concernés par le transport scolaire, pour un budget de 150 millions. Deux mille nouvelles demandes, pour des arrêts par exemple, sont enregistrées chaque année. » Christophe Milin répond : « Oui, mais 80 % des demandes sont rejetées. Et d’autres personnes renoncent. »

    D’autres actions sont prévues à Vannes et à Rennes par ce nouveau mouvement social. Une page Facebook « Un transport scolaire pour tous » fait le lien entre les communes.

     

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  • Jeudi 11 novembre, le rassemblement aura lieu devant le monument aux morts pacifiste de Primelin ; le seul du Finistère. Jeudi 11 novembre, le rassemblement aura lieu devant le monument aux morts pacifiste de Primelin ; le seul du Finistère.

    « Faire reconnaître le non-sens des guerres ». Voilà ce qui pousse depuis plus de vingt ans La Libre-Pensée 29 à organiser un rassemblement qu’elle souhaite « pacifiste » et « internationaliste », chaque 11-Novembre. Une cérémonie toujours imaginée à Primelin, seule commune du Finistère (il y en a environ 200 en France) à posséder un monument aux morts pacifiste, « sur lequel il n’y a aucune notion de guerre, aucune notion de gloire dans la guerre », expose Martine Subtil, présidente de l’association.

    Une association qui organise ce rassemblement au côté de plusieurs partenaires. La Ligue des droits de l’Homme, les Anciens appelés en Algérie et leurs amis contre la guerre, l’Association républicaine des anciens combattants, la Confédération nationale du travail, le Mouvement de la paix et l’Université européenne de la paix appellent, en effet, eux aussi, au rassemblement, ce jour-là, dans le Cap-Sizun.

    « Réhabiliter les 639 fusillés pour l’exemple »

    Les co-organisateurs auront, également, à cœur, jeudi, de réclamer « la réhabilitation des 639 fusillés pour l’exemple, qui ne méritent pas d’avoir été tués par des balles françaises », appuie Martine Subtil. Des soldats exécutés entre 1914 et 1916 sur décision des conseils de guerre spéciaux, pour désobéissance. « Certains étaient de vrais rebelles à la guerre. Ils avaient toute leur conscience et refusaient de répondre aux ordres car ils se rendaient compte que c’était une boucherie. D’autres étaient prostrés. Physiquement, ils ne pouvaient pas y aller car ils avaient peur », poursuit la présidente, qui « espère cette année un dépôt de loi pour les réhabiliter collectivement ».

    Une présidente qui, par ailleurs, dit s’inquiéter « de la militarisation des sociétés, avec, par exemple en France, le Service national universel (…) dans lequel il y a une grosse symbolique militaire », déplore-t-elle.

    Pratique

    Rassemblement pacifiste et internationaliste, jeudi 11 novembre, à 11 h 45, devant le monument aux morts pacifiste de Primelin.

     

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  • Le cortège était mené par des jeunes qui ont largement contribué à faire baisser la moyenne d’âge des manifestants pour le climat. Le cortège était mené par des jeunes qui ont largement contribué à faire baisser la moyenne d’âge des manifestants pour le climat. 

    Pas le même look ni les mêmes slogans ! Entre les manifestants antivax et anti passe sanitaire et ceux du Collectif climat, pas moyen de se tromper de cortège. Les premiers, qui manifestent tous les samedis depuis des mois, sont descendus de la rue de Juniville vers les quais aux alentours de 14 h 30. Une petite centaine de personnes aux cris de « on ne lâche rien », drapeaux français et breton bien en vue et public toujours aussi hétéroclite. « À quoi ça vous sert de faire des photos ? », interroge une petite dame. « On fait juste notre travail de journalistes, comme tous les samedis… ». Au premier plan, un homme tout de blanc vêtu, muni d’une grosse seringue. Le mouvement s’essouffle, on est loin des 3 000 de début août.

     
    Les manifestants antivax et anti passe sanitaire sont arrivés en centre-ville par la rue de Juniville vers 14 h 30, pour se diriger en direction des quais.Les manifestants antivax et anti passe sanitaire sont arrivés en centre-ville par la rue de Juniville vers 14 h 30, pour se diriger en direction des quais. 

    Les manifestants du Collectif climat, eux, avaient rendez-vous place Saint-Corentin. Vers 15 h, les rangs ont commencé à s’étoffer pour atteindre près de 200 personnes dont beaucoup de retraités et quelques très jeunes, peu d’entre-deux. NPA, Europe écologie Les Verts, CNT, France insoumise, Solidaires, Attac, Sortir du nucléaire, Actes en Cornouaille, Ensemble ! ou Antifa… Syndicats et groupes politiques de gauche et écologistes étaient nombreux à appeler à ce rassemblement symbolique, alors que la Cop26 se tient à Glasgow.

    À Quimper, « Marchons, marchons… pour le climat »

    Trop de bla-bla…

    « On ne se fait pas trop d’illusions sur ce que réussira à faire cette Cop », avait tranché Jean-Michel Manac’h, membre du Collectif climat Cornouaille, en présentant cette marche, la semaine dernière. Ce samedi, c’est lui qui a pris la parole face aux militants, au nom du collectif. Certains manifestants ont jugé que la prise de parole durait trop longtemps et ont commencé à entonner un « Marchons, marchons… » qui a pris le pas sur les arguments à développer, au nom du « bla-bla des puissants », des effets du dérèglement climatique, « les énergies carbonnées »… Ce sont les plus jeunes qui ont mené la marche vers la rue de Kéréon et, ensuite, le théâtre de Cornouaille, avec une belle banderole « Youth for Climate » Quimper.

    À Quimper, « Marchons, marchons… pour le climat »
     
    À Quimper, « Marchons, marchons… pour le climat »
     
    À Quimper, « Marchons, marchons… pour le climat »
     
     
    Catherine MERRER
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  • Dans les rangs, les salariés mobilisés ce vendredi dénoncent notamment des rémunérations trop faibles et des conditions de travail « de plus en plus détériorées ». Dans les rangs, les salariés mobilisés ce vendredi dénoncent notamment des rémunérations trop faibles et des conditions de travail « de plus en plus détériorées ».

    Manque d’effectifs, épuisement, rémunération trop faible… Les salariés de l’association des Papillons blancs du Finistère se sont mobilisés à Quimper, ce vendredi.

    « La coupe est pleine », souffle cette femme, ce vendredi après-midi, sur le parking du parc des expositions de Penvillers. À l’intérieur, les Papillons blancs du Finistère célèbrent leurs soixante ans. Mais dehors, le cœur n’est pas à la fête. Plusieurs salariés de l’association sont mobilisés, à l’initiative de la CGT.

     
    À l’entrée du parking du parc des expositions de Penvillers, les salariés mobilisés ont distribué des tracts à tous ceux qui se rendaient à l’anniversaire de l’association des Papillons blancs, à quelÀ l’entrée du parking du parc des expositions de Penvillers, les salariés mobilisés ont distribué des tracts à tous ceux qui se rendaient à l’anniversaire de l’association des Papillons blancs, à quelques mètres de là.

    Au cœur des griefs ? Les conditions de travail. « Rien n’est respecté », poursuit l’aide médico-psychologique. Elle exerce dans un foyer de vie quimpérois depuis plus de quinze ans et parle des collègues « qui donnent tellement » mais qui sont aujourd’hui « en burn out ». D’autres, qui envisagent de « démissionner ». « Il y a énormément d’arrêts, poursuit-elle. On est obligé de suppléer les collègues absents. Et on doit former des remplaçants qui ne restent pas forcément ». Sébastien, aide-soignant depuis plus de dix ans à Quimper, ne dit pas autre chose. Allant jusqu’à parler « d’autoremplacement » lorsque les renforts n’arrivent pas.

    Un impact sur les résidents

    « On peine à recruter », confirme Yohann, qui exerce dans un foyer de vie de Plogonnec depuis plus de dix ans. « Avant, poursuit-il, ce sont des métiers que l’on faisait par envie. C’était un sacerdoce. Aujourd’hui, certaines personnes restent un mois et déclarent forfait… Lorsqu’on les forme, c’est autant de temps qui n’est pas consacré aux résidents », déplore-t-il. « Et cela entraîne des situations difficiles à gérer, assure l’aide médico-psychologique. Avec le changement perpétuel de personnel, le comportement des résidents se modifie. Ils ont besoin de stabilité ».

    Des recrutements d’autant plus difficiles que « les horaires sont difficiles » et que les salaires ne sont pas attractifs. Les salariés se disent aussi « exclus du Ségur ». « À diplôme équivalent, si vous travaillez à l’hôpital, vous avez la prime ; si vous travaillez dans le privé, vous n’avez rien », déplore Sébastien. Dans les rangs, tous réclament donc « 300 € de revalorisation en urgence ».

    La DRH « solidaire »

    Sollicitée, Marie-Laure Plu, DRH de l’association, se dit « solidaire de l’action ». « On est resté mobilisé tout au long de la crise », appuie-t-elle. Pourtant, « la situation salariale de notre activité est catastrophique ». « Il faut faire reconnaître le travail et les métiers », assure-t-elle également. Expliquant que « l’enjeu » est notamment « de faire appliquer le Ségur pour l’ensemble de nos métiers ».

     

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  • Les manifestants sont invités à venir déguisés au rassemblement sur le thème « il n’y a plus de saison ». Les manifestants sont invités à venir déguisés au rassemblement sur le thème « il n’y a plus de saison ». (Source : OzActes)

    L’association OzActes appelle à un rassemblement pour le climat, samedi 6 novembre, devant la gare de Quimperlé à l’occasion de la Cop 26, qui se tient à Glasgow.

    L’urgence climatique est plus que jamais d’actualité en raison des nombreux dérèglements observés sur notre planète et surtout à l’occasion de la Cop 26, qui se tient actuellement à Glasgow. Et pour peser sur les débats, plusieurs manifestations sont prévues, ce samedi 6 novembre, dans le cadre d‘une mobilisation planétaire, notamment à Quimperlé à l’initiative de l’association OzActes, née après la première marche pour la planète en 2019. « La Kemperle Climat Party Cop 26 était initialement prévue le samedi 14 mars 2020, à la veille du premier confinement », rappellent les organisateurs. Quimperlé accueillera donc l’un des neuf rassemblements prévus en France ce jour-là. « Ce rassemblement climat vise à faire entendre la voix de l‘urgence écologique des citoyennes et des citoyens engagés aux chefs d’États réunis du 31 octobre au 12 novembre à Glasgow pour la Cop 26 », rappelle OzActes, qui a choisi d’organiser cette manifestation sur le parvis de la gare.

    Les manifestants invités à se déguiser

    « C’est à la fois un lieu facile de rassemblement pour les participants qui viendront de Lorient et Concarneau en train. Et c’est aussi un moyen de promouvoir les transports en commun, l’une des priorités des prochaines années afin de réduire les émissions de CO2 », précisent les organisateurs qui appellent les participants à se rendre sur place à vélo ou en covoiturage « pour être en cohérence avec nos revendications. »

    Si la situation est alarmante, OzActes entend accélérer la prise de conscience et le passage à l’acte en privilégiant un mode d’action humoristique. Ainsi, les manifestants sont invités à se déguiser. « Ils et elles pourront choisir une tenue d’été ou d’hiver ou mixer les deux pour rappeler qu’il n’y a plus de saison », annoncent les organisateurs qui ont fixé le rendez-vous à 14 h 26. « C’est à la fois un clin d’œil à la Cop 26 et aux Rias qui proposaient des horaires de spectacle décalés ». Des prises de paroles ouvriront cette mobilisation pour faire le bilan de la première semaine de négociations à Glasgow. Une « criée publique » sera organisée vers 16 h, afin de permettre aux participants de s‘exprimer. D’autres animations sont envisagées sur place. « Ce moment sera également l’occasion de faire découvrir la primaire populaire », complète OzActes.

    Pratique

    Rassemblement, samedi 6 novembre à 14 h 26, sur le parvis Simone-de Bollardière, devant la gare de Quimperlé.

     

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  • Manifestation du collectif "Stop Amazon Briec"
     
    Depuis ce matin, une soixantaine de membres du Collectif Stop Amazon bloquent le chantier Amazon, à Briec. Certains militants se sont enchaînés aux grilles. Ils réclament l’arrêt des travaux et un référendum.

    Opération coup de poing ce matin. Le chantier de la plateforme Amazon, à Briec, démarré en octobre, est bloqué depuis ce matin, et pour toute la journée, par le collectif Stop Amazon. Une soixantaine de personnes s’est déployée dès l’aube devant le site afin d’empêcher les salariés de travailler et les engins de démarrer. « Des renforts arrivent au moment où l’on se parle », confie un membre du collectif joint par téléphone.

     
    Des membres du collectif Stop Amazon condamnent l’entrée du chantier à l’aide d’un bloqueur de bras ou « arm-lock »Arrivés aux aurores, les militants ont empêché le démarrage du chantier ce vendredi 5 novembre. (Ronan Larvor)

    Les militants avaient prévu d’arriver très tôt ce vendredi matin afin de « bloquer le chantier correctement ». « Nous sommes arrivés aux aurores, avant l’arrivée de salariés afin de leur expliquer. Nous avons pris le temps d’aller les voir, leur expliquer la situation. Si la majorité d’entre eux a bien compris, il y a aussi eu quelques réactions plus virulentes. C’est normal, dès qu’on touche à leur outil de travail… », explique-t-on à l’entrée du chantier.

    Des membres du collectif Stop Amazon condamnent l’entrée du chantier à l’aide d’un bloqueur de bras ou « arm-lock »Les gendarmes sont arrivés sur place. 

    L’arme des militants : le arm-lock

    Actuellement, une cinquantaine de militants sont postés à l’entrée du chantier sur la voie publique tandis qu’une quinzaine de manifestants condamnent l’entrée à l’aide de « bloqueurs de bras ». Placés de part et d’autre de la grille, ils condamnent son ouverture. La technique est éprouvée chez de nombreux militants à travers le monde, connue sous le nom de « arm-lock ». Les gendarmes sont également arrivés sur place.

    Les militants envisagent de rester toute la journée sur place, à grand renfort de musique, casse-croûte et café, pour se faire entendre. Ils réclament en effet l’arrêt du chantier et un référendum départemental. « Le débat démocratique n’a pas eu lieu. Nous attendons un débat avec les instances qui voudront bien s’en saisir. Car, pour nous, il y a un triple enjeu : écologique (7 ha détruits), social (conditions de travail des employés Amazon) et sociétal (données personnelles captées par Amazon) », conclut un membre Collectif Stop Amazon.

    Des membres du collectif Stop Amazon condamnent l’entrée du chantier à l’aide d’un bloqueur de bras ou « arm-lock »Une soixantaine de membres du Collectif Stop Amazon bloquent le chantier Amazon, à Briec. Des membres du collectif Stop Amazon condamnent l’entrée du chantier à l’aide d’un bloqueur de bras ou « arm-lock »Les membres du collectif dénoncent l’artificialisation de 7 hectares de terrains « détruits en pleine Cop 26 ».
     
     
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  • Quimper. La CGT des Papillons blancs appelle à la mobilisation ce vendredi 5 novembre  (OF.fr-4/11/21-16h18)Le mouvement est coordonné par la CGT. (Photo d’illustration) 

    Des salariés ainsi que la CGT des Papillons blancs du Finistère, annoncent une action revendicative à l’occasion des 60 ans de l’association, vendredi 5 novembre 2021, à Quimper (Finistère), au parc des expositions, à 13 h.

    Des salariés ainsi que la CGT des Papillons Blancs du Finistère, annoncent une action revendicative à l’occasion des 60 ans des Papillons blancs du Finistère, vendredi 5 novembre 2021, à Quimper (Finistère), au parc des expositions, à 13 h.

    Ils souhaitent attirer l’attention sur « la situation de crise du secteur médico-social porte sur des manques d’effectifs grandement dû au manque d’attractivité salariale, la souffrance des salariés, épuisés et démoralisés. Et le manque de considération de l’état qui nous exclut du Ségur ».

    Les salariés du secteur demandent notamment une revalorisation de leurs salaires de 300 € et une application du Ségur pour tous.

    Vendredi 5 novembre 2021, rassemblement, à 13 h, parc des expositions, à Quimper.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

     
     
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  • À Briec, près de Quimper (Finistère), les travaux de terrassement sur le site de la future plateforme Amazon ont commencé mi-octobre 2021.À Briec, près de Quimper (Finistère), les travaux de terrassement sur le site de la future plateforme Amazon ont commencé mi-octobre 2021

    ​Ce jeudi 4 novembre 2021, le collectif Stop Amazon Briec réaffirme sa volonté de continuer son combat contre l’implantation de l’entreprise près de Quimper (Finistère). Il réclame l’arrêt des travaux et un référendum départemental.

    Depuis la mi-octobre 2021, les engins de chantier sont à pied d’œuvre dans la zone de Lumunoc’h à Briec, près de Quimper (Finistère), sur la parcelle destinée à accueillir une plateforme logistique Amazon. Pour rappel, un entrepôt de 9 000 m² doit être construit sur un terrain de 48 000 m². « La dévastation des terres, déjà très conséquente dans la zone industrielle de Briec, va donc s’augmenter des hectares sacrifiés à la construction d’un énième entrepôt ; à l’accumulation d’objets pour la plupart non nécessaires ; au transport de marchandises, déjà considérable, et à la production de déchets », argumente le collectif Stop Amazon Briec, ce jeudi 4 novembre 2021.

    Ce collectif rappelle : « Nous ne sommes pas résignés. Le combat contre Amazon et son monde continue. » Il réclame « l’arrêt immédiat des travaux et la tenue d’un référendum départemental ».

     

    Rose-Marie DUGUEN

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Quimper. L’association Le Temps Partagé réclame la prise en charge des mineurs isolés   (OF.fr-4/11/21-8h36)Associations, syndicats, partis politiques et citoyens se sont réunis le 3 novembre 2021 à Quimper (Finistère) pour soutenir les mineurs isolés 

    Des membres de l’association Le Temps Partagé, d’organisations syndicales et politiques et de la société civile ont manifesté ce mercredi 3 novembre 2021 dans les rues de Quimper (Finistère). Ils appellent le département à continuer de prendre en charge les mineurs isolés le temps du recours pour prouver leur minorité.

    « Ni un, ni deux, aucun mineur à la rue. » Mercredi 3 novembre 2021, près de 120 personnes issues d’organisations associatives, syndicales et politiques scandaient leurs revendications dans les rues de Quimper (Finistère) pour défendre la cause des mineurs isolés étrangers. À l’appel de l’association Le Temps Partagé, qui accompagne les migrants de Quimper et des environs, les manifestants ont appelé le conseil départemental du Finistère à poursuivre l’hébergement de sept mineurs isolés jusqu’à ce que la justice atteste de leur minorité.

    Examen approfondi

    Depuis septembre, les sept réfugiés ont été contraints de quitter l’hôtel Dupleix, au sein duquel ils étaient hébergés. L’association Le Temps Partagé met en cause les pratiques de la justice qui se baseraient sur les seules allégations de majorité formulées aux autorités espagnoles pour pouvoir rejoindre la France : « Elle fait abstraction des évaluations d’éducateurs, des ordonnances de placement provisoire et des justificatifs d’état civil », s’indigne Benjamin Maucci, membre de l’association.

    120 manifestants ont marché du Palais de Justice au conseil départemental pour défendre la cause des mineurs isolés à Quimper (Finistère) 

    « Nous sommons le tribunal de procéder à un examen approfondi du profil de ces jeunes », ajoute le bénévole. Dans l’attente des décisions judiciaires, Le Temps Partagé et d’autres associations prennent le relais pour héberger et scolariser les jeunes qui ne sont plus pris en charge par les pouvoirs publics.

    Trêve hivernale 

    « Grâce à la mobilisation de tous les collectifs, nous avons réussi à ce que ceux qui sont encore hébergés à l’hôtel Dupleix conservent leur appartement pendant la trêve hivernale », partage une militante à la foule.

    Des mineurs isolés ont porté leur voix au sein du cortège 
     
     Contacté, le conseil départemental a déclaré ne pas avoir reçu de sollicitation officielle à ce sujet. Il a souhaité rappeler qu’il respectait « totalement le cadre légal en termes de prise en charge des mineurs isolés, y compris pendant la durée du recours. »

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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    Morlaix. Nouveau débrayage des agents de la Ville : environ cent personnes mobilisées ce mardi  (OF.fr-2/11/21-16h59)Une centaine d’agents ont débrayé, à partir de 10 h devant l’hôtel de ville de Morlaix. 

    Les agents de la Ville de Morlaix (Finistère) ont de nouveau débrayé ce mardi 2 novembre 2021. Ils étaient une centaine sur le parvis de l’hôtel de ville, autant que lors du précédent mouvement, le jeudi 28 octobre dernier.

    Les agents de la ville de Morlaix (Finistère) restent mobilisés. Ce mardi 2 novembre 2021, ils étaient une centaine à manifester devant l’hôtel de ville pour réclamer une revalorisation de leurs salaires et dénoncer leur « mal-être au travail ». La semaine précédente, lors de leur première mobilisation du jeudi 28 octobre, ils étaient également environ au nombre de cent, « mais les avancées escomptées n’étaient pas là » regrette Marc Corbel, de la CGT de Morlaix Communauté, venu « en soutien » aux agents de la Ville.

    Dès 10 h, les manifestants ont entamé un débrayage tandis que les représentants syndicaux de la CGT, CFDT et Sud Solidaires étaient reçus par le maire, Jean-Paul Vermot. Les membres des services techniques ont installé une dizaine de leurs véhicules pour bloquer la place des Otages, juste devant la mairie.

    Une dizaine de véhicules des services techniques de la Ville ont bloqué la place des Otages lors de la manifestation. 

    Des négociations infructueuses

    Après deux concerts de klaxons de ces véhicules, de sifflet et de mégaphone pour « accélérer les négociations », les manifestants sont entrés dans le hall de l’hôtel de ville, sans débordement. Peu après, à 11 h, les représentants syndicaux sont sortis de l’entrevue avec le maire.

    Vers 11 h, les agents participant à la manifestation sont entrés dans le hall de la mairie, dans le calme.

    D’après ces derniers, il leur a proposé une revalorisation des salaires à hauteur de 30 € bruts par mois. Proposition déjà faite lors de la dernière entrevue. « Ce n’est pas assez » lance Sébastien Le Scornet, de la CGT, en s’adressant aux manifestants. « On doit rester mobilisés » abonde Franck Thorigny, représentant de Sud Solidaires. Ils ont aussi évoqué la tenue d’un bureau municipal extraordinaire au cours de l’après-midi.

    Une assemblée générale se tiendra à 17 h ce mardi, pour décider de la suite du mouvement.

     

    Béatrice CHOT-PLASSOT.

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Les décisions en faveur du climat se prennent à l’échelle du globe. Mais les militants insistent aussi sur le fait que les décisions locales ont leur importance. « 70 % des politiques publiques menées Les décisions en faveur du climat se prennent à l’échelle du globe. Mais les militants insistent aussi sur le fait que les décisions locales ont leur importance. « 70 % des politiques publiques menées sur un territoire (plan local d’urbanisme, autorisations d’implantations d’entreprises…) ont une influence directe sur les émissions de gaz à effet de serre », rappelle ainsi Martine Petit, à droite. 

    Samedi, une marche pour le climat sera organisée à Quimper, à l’initiative du Collectif climat. Un rendez-vous symbolique, alors que la Cop26 se tient à Glasgow.

    « Nous, ce que l’on veut changer, c’est le système, pas le climat », énonce Gérard Mas, militant NPA, ce mardi midi, attablé dans un café de Quimper. À ses côtés, le groupe acquiesce d’un hochement de tête. Ils font partie d’Europe écologie - Les Verts, du CNT, de France insoumise, Solidaires, Attac, Sortir du nucléaire, Actes en Cornouaille, Ensemble ! ou Antifa. Autant d’entités qui se mobilisent, alors que la Cop26 se tient actuellement à Glasgow.

    « Face au bla-bla des plus puissants », « face à la duplicité des plus puissants », ils appellent au rassemblement, samedi 6 novembre, à 14 h 30, à l’occasion d’une marche pour le climat, au départ de la place Saint-Corentin. « Parce qu’on ne se fait pas trop d’illusions sur ce que réussira à faire cette Cop », tranche rapidement Jean-Michel Manac’h, autre membre du Collectif climat Cornouaille. D’ajouter : « Les États doivent notamment y présenter leurs plans pour sortir du carbone et limiter ainsi la hausse de la température à 1,5° d’ici la fin du siècle. Mais avec les intentions déjà formulées, on arriverait, au mieux, à 2,7°».

    Pour « la justice climatique »

    Pour les militants, il y a pourtant urgence à agir. Pour eux, le climat doit être « au cœur des mobilisations, car il en va de l’avenir de l’humanité ». Eux qui déplorent que « les effets du dérèglement climatique » se fassent déjà sentir. Ils évoquent les inondations qui ont ravagé la Belgique et l’Allemagne cet été, la famine qui frappe actuellement Madagascar « à cause de la sécheresse ».

    Pointant du doigt « les énergies carbonées » (« Le charbon, le pétrole, le gaz, y compris la plus dangereuse de toutes, le nucléaire »), ils insistent alors « sur la sobriété énergétique » et « sur la justice climatique ». Et mettent en avant un « devoir de solidarité internationale entre les pays qui continuent à être de gros producteurs de gaz à effet de serre et ceux qui sont les plus impactés par le changement actuel et à venir ».

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • L’association TERMAJI, le cinéma Les Studios, et Cinéphare vous proposent un ciné-débat autour du film « Un pays qui se tient sage» en présence de son réalisateur David DUFRESNE  @davduf

    Lundi 8 novembre à 20 H au cinéma Les Studios.

     

    Lundi 8/11/21-20h au Cinéma Les Studios à Brest-Projection-débat "un pays qui se tient sage"

    Un pays qui se tient sage

    Film de David DUFRESNE- 2020 - Durée 86 min -

    Synopsis : 

    Alors que s’accroissent la colère et le mécontentement devant les injustices sociales, de nombreuses manifestations citoyennes sont l’objet d’une répression de plus en plus brutale.

    Un Pays qui se tient sage invite des citoyens à approfondir, interroger et confronter leurs points de vue sur l’ordre social et la légitimité de l’usage de la violence par l’État. 

    Un film soutenu par La Quinzaine des réalisateurs qui en dit : « Historiquement très attentive et particulièrement sensible au débat social et politique, la Quinzaine des Réalisateurs souhaite apporter son soutien au film de David Dufresne, qui parvient à élever et complexifier un débat nécessaire et dramatiquement contemporain. »

    « Le soutien de la Quinzaine, c’est la reconnaissance d’une nouvelle forme de cinéma vérité, surgi des réseaux sociaux, et des téléphones. Un contre récit auquel le grand écran donne une force incomparable, et inédite. »

     Bande-annonce:

    David Dufresne est auteur et réalisateur de documentaires. Son travail Allô @Place_Beauvau a été récompensé par le Grand Prix du Jury des Assises Internationales du Journalisme. Il a publié en octobre 2019 Dernière Sommation, son premier roman (Grasset), salué par la critique.
    Son dernier film Le Pigalle : une histoire populaire de Paris a été soutenu unanimement par la presse. On lui doit également Hors-Jeu, Dada-Data, Fort McMoney. Il a remporté le World Press Photo 2011 catégorie oeuvre non linéaire pour Prison Valley (avec Philippe Brault). Son premier documentaire, Quand la France s’embrase, remonte à 2007 et portait sur les émeutes de 2005 et les mouvements CPE.
    Écrivain, David Dufresne a signé une dizaine d’ouvrages d’enquête dont On ne vit qu’une heure, une virée avec Jacques Brel (Le Seuil, 2018) et Tarnac, magasin général (Calmann Lévy, Prix des Assises du Journalisme 2012), salué comme « un petit chef d’oeuvre » par Le Monde. En 2001, il a également co-écrit Pirates et Flics du Net (Le Seuil).
    Longtemps reporter pour Libération et membre de l’équipe fondatrice du site d’investigation Mediapart, il est un pionnier de l’internet à la française (témoignage dans La Contre-Histoire de l’Internet, Arte, 2013), et un des auteurs du Manifeste du Web Indépendant (1997).
    Depuis septembre 2018 il est membre de la Commission du répertoire audiovisuel de la Scam.

     

    Filmographie de D.DUFRESNE :

    DOCUMENTAIRES POUR LE CINÉMA
    2020 UN PAYS QUI SE TIENT SAGE

    DOCUMENTAIRES TV
    2019 LE PIGALLE : UNE HISTOIRE POPULAIRE DE PARIS
    2015 Votez Jim Rogers
    2010 Prison Valley
    2007 QUAND LA FRANCE S’EMBRASE

    WEB-DOCUMENTA IRES
    2016 HORS-JEU

    DADA-DATA . Expérience web à l’occasion des 100 ans du mouvement Dada
    2013 FORT McMONEY. Jeu documentaire
    2011 MANIPULATIONS , L’EXPÉRIENCE. Expérience web
    2010 PRISON VALLEY , avec Philippe Brault. Documentaire

    A la suite du ciné-débat D. Dufresne dédicacera ses ouvrages en partenariat avec la Librairie Dialogues.

     

    En pratique :

    Lundi 8 novembre à 20 H au cinéma Les Studios.

    136, rue Jean Jaurés à Brest Renseignements : 02 98 46 25 58

    Il est conseillé de prendre son billet au préalable.

    Tarifs: https://www.cine-studios.fr

     

     POUR CONSEILLER À VOS PROCHES, DE S’ABONNER A LA MAIL LISTE

    Ciné-débats et voir un film documentaire sur grand écran en Pays de Brest

    http://listes.infini.fr/wws/subscribe/cinemadebats

     

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  • Les entreprises doivent intervenir à partir de la semaine prochaine. Les entreprises doivent intervenir à partir de la semaine prochaine

    Des locataires des HLM de Pouldavid interpellent Douarnenez Habitat et les élus sur des problèmes majeurs de chauffage en cette fin octobre.

    Élodie Batot vit avec ses trois enfants dans un T4 de l’ensemble HLM de Pouldavid. Les cinq radiateurs sont en panne, « alors je regroupe mes trois petits dans la grande chambre pour qu’ils aient plus chaud », raconte-t-elle. Au sortir d’un nouveau coup de téléphone avec la société de chauffage, elle a craqué et fondu en larmes. « C’est en la voyant ainsi que je me suis dit qu’il fallait agir, et dire tout haut que nous payons des charges toujours plus élevées pour avoir froid », lance Isabelle Sarignac, une autre locataire. « Il est temps qu’on nous entende », clame-t-elle, montrant l’un de ses radiateurs qui lui aussi ne fonctionne plus.

    Une pétition déposée à Douarnenez Habitat

    Elle est à l’origine d’une pétition qui a recueilli 58 signatures d’habitants, déposée mercredi à l’office Douarnenez Habitat, à la mairie comme à la communauté de communes. « On sait depuis mars que les radiateurs sont en rade, et Douarnenez Habitat connaît depuis longtemps les difficultés des entreprises à tenir leur planning : il fallait anticiper, on ne laisse pas des familles sans chauffage à l’automne », s’emporte Isabelle Sarignac. Pour Élodie Batot, « c’est au bailleur de prendre contact avec les entreprises, et non les locataires pris dans un ping-pong entre les différents interlocuteurs ».

    « Cela devient insupportable »

    Derrière ce problème urgent des radiateurs, apparaissent une série de difficultés qui, aux dires des deux habitantes, apportent du mal-être au quotidien. « Les canalisations ne sont pas vérifiées d’où des dégâts des eaux, les isolations phoniques et thermiques font défaut, des fuites au niveau de la toiture sont réparées avec de simples bâches, sans parler de moisissure, de fissures… La vie que l’on mène devient insupportable », lâche Isabelle Sarignac.

    Elle n’est pas sans connaître l’important projet de réhabilitation de Douarnenez Habitat sur la cité. « Des architectes passent chez certains, nous parlent de travaux en 2023, mais on ne sait rien de plus », indique l’instigatrice de la pétition. « Je ne suis pas d’accord, la presse et le journal des locataires se sont fait l’écho de cette réhabilitation, ces visites de l’équipe de maîtrise d’œuvre permettent de constater les désordres techniques et récolter les avis », réplique la directrice générale de Douarnenez Habitat, Catherine Cavatz. Après Brehuel, les opérations commencent à Pouldavid, assure-t-elle.

    Des problèmes d’approvisionnement

    Aux signataires de la pétition, elle répond qu’elle est « bien au courant du problème de chauffage et que nous mettons évidemment tout en œuvre pour le régler ». « Déjà victimes de la pandémie et de problèmes de recrutement, les entreprises font face à gros problèmes d’approvisionnement : pour ces équipements obsolètes, les pièces sont rares », ajoute-t-elle. Catherine Cavatz affirme aussi que « dans la majorité des cas, c’est un chauffage qui est en panne, ce qui n’empêche pas de tempérer un logement ». Les entreprises doivent intervenir à partir de la semaine prochaine.

    « J’aimerais que les gens de Douarnenez Habitat réagissent comme si c’était chez eux », reprend Isabelle Sarignac. « En tout cas, les habitants sont solidaires et ne lâcheront plus rien ».

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Environ 250 personnes ont quitté la place de Strasbourg, direction le centre-ville de Brest.Environ 250 personnes ont quitté la place de Strasbourg, direction le centre-ville de Brest. 

    Entre 250 et 300 personnes sont de nouveau mobilisées, ce samedi 30 octobre, à Brest, contre l’utilisation du passe sanitaire dans le cadre de la lutte contre la propagation de la covid-19.

    Rendez-vous immuable des samedis après-midi brestois depuis le milieu de l’été, entre 250 et 300 opposants au passe sanitaire défilent dans le centre-ville de Brest, ce samedi 30 octobre. D’abord réuni sur la place de Strasbourg, le cortège a pris la direction de la place de la Liberté à 14 h 30. « Non au passe totalitaire », lancent au mégaphone les chefs de file, qui ouvre la manifestation. Depuis plusieurs semaines, le nombre de manifestants est sensiblement le même, oscillant entre 200 et 400 manifestants. En raison de la manifestation dans la rue Jean-Jaurès, le trafic du tramway est modifié pour une partie de l’après-midi, comme l’annonce Bibus.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Comme chaque samedi, les manifestants anti-passe se sont réunis place de la Résistance, à Châteaulin. Comme chaque samedi, les manifestants anti-passe se sont réunis place de la Résistance, à Châteaulin. 

    Ce samedi 30 octobre, dans l’après-midi, ils étaient une petite quinzaine à se réunir place de la Résistance, à Châteaulin, pour manifester contre le passe sanitaire. Les gendarmes sont venus les rappeler à l’ordre sur le port du masque obligatoire lors des rassemblements sur la voie publique, selon un arrêté préfectoral du vendredi 29 octobre, sous peine d’une amende de 135 €. « C’est pas une rave-party ici, c’est pas pour nous l’arrêté ! », a lancé un manifestant. « C’est pour éteindre les manifestations, ils veulent nous faire taire », ont renchéri les autres, avant d’assurer qu’ils seront encore là samedi prochain.

    source: https://www.letelegramme.fr/

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