• À Carhaix, le personnel de la Maison d’aide spécialisée exige de meilleures conditions salariales. ( OF.fr - 13/04/22 - 18h16 )    Une trentaine de salariés se sont réunis devant la maison d’aide spécialisée de Carhaix ce mardi 12 avril 2022.

    À Carhaix (Finistère), le personnel de la Maison d’aide spécialisée (MAS) débraye de 13 h 30 à 14 h 30, jusqu’au jeudi 14 avril 2022, pour manifester contre leurs conditions salariales et les inégalités au niveau des aides.

    Une trentaine de salariés de la Maison d’aide spécialisée (MAS) de Carhaix (Finistère) ont stoppé leur service ce mardi 12 avril 2022 après le déjeuner. Une façon de protester contre des revalorisations salariales jugées inégales et insuffisantes. En mai 2021, ils avaient déjà participé à la manifestation du personnel de santé pour avoir le droit à la prime Ségur, une revalorisation mensuelle de 183 € nets.

    « On veut l’égalité pour tous les salariés »

    Aujourd’hui, malgré l’ouverture de la prime au personnel médico-social, plus de dix employés de la résidence n’y ont toujours pas accès. « On veut l’égalité pour tous les salariés. Nos secrétaires ou même les remplaçants n’ont toujours pas le droit au Ségur. On ne veut plus de différences et de privilèges entre nous », déplore Coralie, aide-soignante et membre de la Confédération générale du travail, CGT.

    La résidence se retrouve parfois en sous-effectif. Pour Élodie, une autre aide-soignante, « si les salaires étaient plus élevés, cela encouragerait les remplaçants à venir. Malheureusement, ils ne veulent plus travailler ici. Ce sont les résidents qui en payent les prix. On les met en danger au quotidien avec ces conditions de travail ».

    « Une somme inatteignable »

    Le syndicat CGT de l’Association hospitalière de Bretagne (AHB) réclame une hausse des salaires de 300 € nets par mois. « Une somme inatteignable », selon Xavier Chevassu, directeur général du groupe. « Nous relevons du secteur privé solidaire à but non lucratif. On ne peut pas s’engager sur de tels montants si nous n’avons pas de financements derrière. Nous avons mené de nombreuses démarches pour compenser l’injustice entre les professionnels de l’AHB. »

    Les salariés carhaisiens se mobiliseront jusqu’à jeudi 14 avril 2022. Une autre manifestation aura lieu ce vendredi 15 avril 2022 devant les bureaux de l’AHB, à Plouguernével (Côtes-d’Armor), aux alentours de 10 h.

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Douarnenez. Les représentants de la CGT de l’hôpital collectent les candidatures jeudi. ( OF.fr - 13/04/22 - 15h24 )                    Françoise Bordanova et Gildas Jaouen du bureau local CGT.

    Les représentants de la section syndicale de la CGT du centre hospitalier Michel-Mazéas de Douarnenez (Finistère) ouvrent, à nouveau, leur propre « bureau d’embauche » pour défendre le service public. Jeudi 14 avril 2022, ils collecteront les candidatures et les remettront à la direction de l’hôpital.

    Après le succès de l’an dernier, les représentants de la section syndicale de la CGT du centre hospitalier Michel-Mazéas de Douarnenez (Finistère) ouvrent, à nouveau, leur propre « bureau d’embauche » pour défendre le service public.

    Le constat est clair : à l’hôpital il y a trop de travail, à l’extérieur il y a trop de chômeurs et la direction dit rencontrer des difficultés de recrutement c’est pourquoi nous voulons l’y aider », annonce Françoise Bordanova, responsable de la vie syndicale CGT.

    De 11 h à 16 h, devant Ty-Marhic

    Un bureau d’embauche sera donc ouvert, ce jeudi 14 avril 2022, de 11 h à 16 h, sur la pelouse devant la résidence Ty-Marhic. L’idée d’ouvrir un bureau d’embauche temporaire, d’une journée, est venue l’an passé après la rencontre des responsables syndicalistes avec les infirmières de l’Ehpad des Jardins du Clos. Pour défendre le service public, il faut plus d’agents hospitaliers pour améliorer les conditions de travail et donc la qualité du service rendu au public », explique Gildas Jaouen, le nouveau secrétaire adjoint du syndicat.

    Les personnes intéressées pourront ainsi déposer leur CV et une lettre de motivation adressée au directeur de l’hôpital Michel-Mazéas de Douarnenez. Ceux qui ne peuvent pas se déplacer pourront transmettre leur dossier à : cgt@ch-douarnenez.fr

    À l’issue de cette journée, toutes les candidatures seront remises au service de la direction des ressources humaines de l’hôpital.

    Le comité des Usagers de l’hôpital de Douarnenez soutient l’action de la CGT.

    Renseignements : 02 98 75 15 39 ou 06 69 19 41 01 ; cgt@ch-douarnenez.fr

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Thomas va commencer cette actualité vidéo par faire un point sur la situation de l’épidémie de coronavirus qui frappe durement les professionnels du CHRU Brest et les conséquences pour l’activité de certains services… Ensuite, il abordera les mobilisations qui se sont déroulées ces derniers jours, les perspectives et l’implication de notre organisation syndicale pour essayer de faire changer les choses…Il terminera par un point sur les services toujours mobilisés pour se faire entendre de la direction...
     
     
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  • Présidentielle. À Brest, l’Insoumis Pierre-Yves Cadalen ressent « un espoir colossal »  (OF.fr-10/04/22-21h48)A l'hôtel de ville, Christophe Osswald, n° 2 de La France Insoumise, le parti de Jean-Luc Mélenchon qui, à Brest, arrive en au coude à coude avec Emmanuel Macron au premier tour de l'élection présidentielle, ce dimanche 10 avril 2022

     
    Pierre-Yves Cadalen, n° 1 de la France Insoumise en Bretagne, transmet le mot d’ordre de Jean-Luc Mélenchon : « Il ne faut pas donner une seule voix à Mme Le Pen ». À Brest, avec 28,17 % des voix, le candidat de La France insoumise se retrouve, au premier tour, au coude à coude avec Emmanuel Macron (28,76 %) : « Une fierté » pour les Insoumis.

    « Si le reste du pays prenait exemple sur Brest, on aurait un avenir beaucoup plus intéressant », confie, ce dimanche 10 avril 2022, à l’hôtel de ville, Christophe Oswald, le n° 2 de la France Insoumise à Brest. Où, pour ce premier tour de l’élection présidentielle, le candidat de gauche Jean-Luc Mélenchon s’est retrouvé, avec plus de 28 % des voix, au coude à coude avec Emmanuel Macron, devançant même, dans certains bureaux brestois, le président sortant. Au niveau national, il atteint, avec 20,1 %, la troisième place.

    Resté, entouré des militants, au QG de campagne brestois, pour écouter la prise de parole de son candidat avant de commenter lui-même les résultats, Pierre-Yves Cadalen, l’incontournable porte-parole, depuis cinq ans, de la France Insoumise en Bretagne, indique déjà que, « pour sa troisième campagne, le leader insoumis a amélioré son score de 2017 », jusqu’à « sentir la victoire au bout des doigts ».

    Pierre-Yves Cadalen, n°1 de la France Insoumise en Bretagne. | OUEST-FRANCE

    Malgré « l’immense déception » ressentie, « on ne pourra pas appliquer les mesures d’urgence climatiques et sociales », Pierre-Yves Cadalen éprouve « la fierté du travail accompli » : « Jean-Luc Mélenchon reste le seul à porter un programme démocratique, social et écologique ». À l’horizon des élections législatives, il évoque, aussi, « un espoir colossal » : « Le combat continue ».

    Suivez la soirée électorale en direct sur www.ouest-france.fr avec l’ensemble des résultats de l’élection présidentielle.

    Quant au deuxième tour, le mot d’ordre des militants de la France Insoumise, par la voix de son leader, restera le même que celui de 2017 : « Pas une seule voix pour Marine Le Pen ».

     

    Frédérique GUIZIOU

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • « Il y a évidemment de la déception, mais ce score, au niveau national et à Brest, est aussi une grande fierté collective », souligne Pierre-Yves Cadalen (La France insoumise). « Il y a évidemment de la déception, mais ce score, au niveau national et à Brest, est aussi une grande fierté collective », souligne Pierre-Yves Cadalen (La France insoumise). 

    Pierre-Yves Cadalen (La France insoumise) : « Il y a évidemment de la déception. Mais avec 20 % au national et 28 % à Brest, il y a aussi de l’espoir. La déception porte sur le changement immense qu’on aurait pu apporter immédiatement sur le Smic, sur les prix… Il y a des gens qui n’en peuvent plus. Mais ce score est aussi une grande fierté collective. En France, mais particulièrement à Brest. On est presque à égalité avec Macron. Ici aussi, la force se confirme. Il y a un bloc populaire qui s’installe de manière durable. On va continuer ».

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Pas de mélancolie chez les Insoumis. Ce jeudi 7 avril, au soir, on se croyait presque lors d’un soir de victoire, alors que tout reste à faire.Pas de mélancolie chez les Insoumis. Ce jeudi 7 avril, au soir, on se croyait presque lors d’un soir de victoire, alors que tout reste à faire. 

    Alors que l’accession au second tour n’est plus un rêve inaccessible pour Jean-Luc Mélenchon, une réunion publique était organisée ce jeudi 7 avril, au soir par les Insoumis à Brest, en présence du député Adrien Quatennens.

    Paul’O du groupe Brin d’Zinc avait chauffé la salle, Adrien Quatennens a fait le reste à Brest. Loin de la sinistrose de cette campagne, c’est dans une ambiance résolument joyeuse que les Insoumis ont conclu leur partition d’avant premier tour, ce jeudi soir, dans une salle de la Maison des syndicats pleine à craquer. Alors que leur candidat Jean-Luc Mélenchon grignote l’écart qui le sépare encore de Marine Le Pen, chacun veut croire que le second tour de la présidentielle est à portée de main, à commencer par Marie Mesmeur et Pierre-Yves Cadalen, les deux membres brestois du parlement de l’Union populaire, qui ont pris la parole. Une perspective que sent aussi possible le député du nord Adrien Quatennens qui a défendu avec ferveur le projet de Jean-Luc Mélenchon, en rappelant qu’il est le seul candidat en capacité à porter un programme démocratique, social et écologique au second tour.

    Source : https://www.letelegramme.fr

     
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  • OSEZ MÉLENCHON : dimanche 10 avril, je vote pour mes intérêts, pas ceux des riches ! (un visuel à partager sur les réseaux sociaux)

    Plus que de grands discours, une image avec quelques mesures simples dont certaines comme le blocage et la baisse de prix peuvent être appliquées par simple décret, d’un trait de plume !
    N’hésitez pas à partager ce visuel sur les réseaux sociaux, à convaincre autour de vous (des proches, des indécis, des abstentionnistes, voire des inconnus). Il y a une réelle opportunité de changer concrètement la vie quotidienne d’une large majorité de la population et en particulier des plus pauvres.
    (Vous pouvez l’accompagner du texte en toutes lettres ci dessous, avec les hashtags, ça fait turbiner les algorithmes et améliore la visibilité.)
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  • La CGT a appelé le personnel à un débrayage pour dénoncer les conditions de travail dans les Ehpad et USLD (unités longue durée).La CGT a appelé le personnel à un débrayage pour dénoncer les conditions de travail dans les Ehpad et USLD (unités longue durée).

    Dans le cadre de la mobilisation départementale pour les Ehpad, le syndicat CGT appelait le personnel du centre René-Fortin de Bohars à un débrayage de 14 h à 15 h, ce mardi 5 avril.

    Aurélie Sagebiem, déléguée CGT, indique que « les conditions de travail dans les Ehpad et les unités de soins de longue durée (USLD) sont catastrophiques et se détériorent un peu plus chaque jour. La CGT demande des embauches massives pour améliorer la qualité de vie des résidents et les conditions de travail du personnel ». Elle ajoute enfin que son syndicat est en faveur d’une « résorption de la précarité (augmentation des salaires, titularisation, CDI) ainsi que l’extension de la prime « Grand âge » pour toutes les personnes travaillant en Ehpad ».

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Une cinquantaine de personnes ont manifesté devant le bureau de poste de Guilers ce mardi.Une cinquantaine de personnes ont manifesté devant le bureau de poste de Guilers ce mardi.

    À l’appel de la CGT FATP, une cinquantaine de personnes se sont rendues devant le bureau de poste de Guilers pour protester contre sa fermeture.

    Afin de défendre le bureau de La Poste et le service public, la CGT FAPT (Fédération des activités postales et de communication) 29 Nord appelait tous les élus, usagers et postiers, à se rassembler, ce mardi 5 avril, à 15 h, devant le bureau de Guilers et à signer la pétition disponible dans les commerces. Une cinquantaine de personnes ont, en tout, répondu à l’appel du syndicat.

    « Inconcevable »

    « Nous sommes là aujourd’hui pour montrer notre opposition à la fermeture du bureau de poste de Guilers. Les habitants de Guilers devront se rendre à Brest pour effectuer leurs opérations financières. Pour nos anciens, souvent sans moyens de locomotion, ce n’est pas acceptable. La ville de Guilers est une ville en pleine expansion, avec 517 logements en construction, qui vise les 10 000 habitants. Il est inconcevable que la ville se prive d’un bureau de poste. Nous irons amener à la mairie, à l’issue de la manifestation, les nombreuses pétitions signées par les habitants de Guilers », déplore Elsa Naudet secrétaire générale de la CGT FAPT 29 Nord.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Présidentielle. À Brest, BNC appelle à voter « efficace ». ( OF.fr - 05/04/22 - 15h01 )                Patrick Appéré, leader de Brest nouvelle citoyenneté (BNC)

    BNC (Brest Nouvelle Citoyenneté) se positionne à l’approche du premier tour de l’élection présidentielle. Le mot d’ordre : faire barrage à l’extrême-droite.

    À l’approche du premier tour de la présidentielle, BNC (Brest Nouvelle Citoyenneté) se positionne. La formation politique, classée à gauche, compte des élus au conseil municipal et c’est, sans surprise, qu’elle appelle à barrer la route à l’extrême-droite.

    « Tout reste encore possible pour avoir un débat droite-gauche entre les deux tours », écrit Patrick Appéré, président de BNC, dans un communiqué. Pour cela, un seul vote possible, selon lui : « Il faut voter efficacement et mettre le bulletin du ou de la candidat-e, le ou la mieux placé-e à gauche avant le premier tour. Rien ne serait pire, qu’à l’issue du second tour, l’extrême droite soit au pouvoir. Hélas cette éventualité est plausible. En conséquence, au-delà des préférences politiques, le vote pragmatique à gauche doit l’emporter au premier tour. C’est le sens de notre appel. »

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Ehpad : les salariés manifestent en Finistère

    Ce mardi, la CGT du Finistère demandait aux personnels des Ehpad de manifester pour dénoncer les conditions de travail et, par effet domino, les conditions d’accueil des résidents. Alors que 80 familles ont déposé plainte contre les établissements Orpéa ce lundi 4 avril, quelle est la situation en Bretagne ? Décryptage dans Bonjour Bretagne sur Tébéo Tébésud.

    En plateau, Joëlle Le Gall, présidente de la fédération Bien Vieillir Ensemble en Bretagne et Françoise Humily, aide-soignante et syndicaliste CGT.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Emmanuelle Le Pors, accompagnante d’enfants en situation de handicap, fera partie des manifestants ce mardi matin à Quimper.Emmanuelle Le Pors, accompagnante d’enfants en situation de handicap, fera partie des manifestants ce mardi matin à Quimper. 

    Les accompagnants d’enfants en situation de handicap ne voient toujours par leur situation précaire évoluer. À l’approche du premier tour de la présidentielle 2022, elles manifestent.

    « Stop aux promesses ! Place à l’action ! Toutes et tous en grève le 5 avril ! ». C’est donc ce mardi que le mouvement des AESH (Accompagnants d’enfants en situation de handicap) reprend dans le Finistère, avec une manifestation à Quimper en fin de matinée, avec un car à disposition au départ de Brest, à 9 h 30 du parc à chaînes. C’est un appel intersyndical. Les promesses auxquelles il est fait allusion, c’est ce qu’avait dit Emmanuel Macron, candidat à la présidentielle en 2017, d’un « plan concret pour pérenniser les emplois d’AESH » et de « créer un statut et surtout une rémunération digne ».

    « Nous avons obtenu une hausse de revenus insignifiants : 18 € mensuels tous les trois ans », rappelle la Brestoise Emmanuelle Le Pors, qui exerce ce métier depuis sept ans. « C’est un temps partiel imposé, souvent subi, de 24 h par semaine, avec interdiction de faire des heures supplémentaires, pour 860 € nets par mois ! Au bout de 28 ans, c’est 1 100 €. Nous avons des contrats à durée déterminée de six ans et on nous demande maintenant d’aller d’un établissement à l’autre. Avec la hausse des carburants, cela devient impossible. C’est un métier précaire, mal payé. Et 92 % d’entre nous sont des femmes : cela veut dire aussi qu’elles sont dépendantes de leur mari, quand il y en a un… Et il n’y a pas d’évolution de carrière ».

    « Nous faisons grève aussi pour les enfants »

    « Nous n’avons toujours pas de formation qualifiante avant la prise de poste », ajoute-t-elle. « Quelqu’un qui débarque et doit s’occuper d’un enfant handicapé, et il existe beaucoup de handicaps différents, doit se débrouiller. Si nous faisons grève, c’est aussi pour les enfants. Il y a d’ailleurs beaucoup de manques de personnel : en Bretagne, en octobre, 600 élèves n’avaient pas toutes leurs heures. Ce ne sont pas des conditions de travail acceptables pour un bon accompagnement. Nous sommes là pour aider, mais si nous sommes nous-mêmes en difficulté… On parle d’école inclusive, c’est un droit mais il faut pouvoir le faire correctement ».

    L’intersyndicale demande notamment « un vrai statut de fonctionnaire de catégorie B avec un salaire de 1,4 fois le Smic en début de carrière ; un temps plein à 24 h côte à côte avec l’élève et donc la fin des temps partiels imposés ; un accès à des formations qualifiantes à hauteur des missions ; une affectation sur un seul établissement et un recrutement massif ».

    Pratique

    Manifestation ce mardi matin à 11 h, place de la Résistance, à Quimper. Un car partira à 9 h 30 du Parc à chaînes, à Brest. Gratuit. Les syndicats peuvent apporter une aide financière aux personnes pour les aider à compenser le jour de grève.*

    Source : https://www.letelegramme.fr

    Auteur : David Cormier

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  • Brest. Une « marche pour le futur » samedi 9 avril. ( OF.fr - 03/04/22 - 15h49 )               Lors de la marche pour le climat, samedi 26 mars 2022 dans les rues de Brest.

    Une marche pour le futur aura lieu à Brest à la veille du premier tour de l’élection présidentielle, samedi 9 avril 2022.

    Samedi 9 avril 2022, à la veille du premier tour de l’élection présidentielle, des « marches pour le futur » sont organisées en France dans la lignée des marches pour le climat. Un rassemblement est prévu à Brest, place de la Liberté, à 14 h.

    « Guerre en Ukraine, crises climatique et sanitaire, flambée des inégalités, montée des discours de haine, violences sexistes et de genres… Nombreuses sont les raisons du découragement et de la paralysie », énumèrent ses organisateurs sur Facebook, appelant à faire de ces cinq prochaines années « celles de la justice, du climat, de l’égalité et de la paix ».

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Adrien Quatennens (deuxième en partant de la droite), député du Nord et coordinateur de La France Insoumise, sera à Brest jeudi prochain. Il détaillera les propositions de Jean-Luc Mélenchon, candidatAdrien Quatennens (deuxième en partant de la droite), député du Nord et coordinateur de La France Insoumise, sera à Brest jeudi prochain. Il détaillera les propositions de Jean-Luc Mélenchon, candidat de l’Union populaire à l’élection présidentielle. 

    À trois jours du premier tour de l’élection présidentielle, les Insoumis brestois organisent une réunion publique, le jeudi 7 avril, à 20 h, à la Maison des syndicats de Brest, en présence d’Adrien Quatennens. Le député du Nord et aussi coordinateur de La France Insoumise détaillera les propositions de Jean-Luc Mélenchon, candidat de l’Union populaire à l’élection présidentielle.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Une grève d’ampleur des postiers menacerait l’acheminement des plis électoraux et de la propagande électorale des candidats jusqu’aux boîtes aux lettres des électeurs finistériens et morbihannais.Une grève d’ampleur des postiers menacerait l’acheminement des plis électoraux et de la propagande électorale des candidats jusqu’aux boîtes aux lettres des électeurs finistériens et morbihannais. 

    Les syndicats CGT FATP 29 nord, 29 sud et 56 ont déposé un préavis de grève la semaine prochaine en pleine distribution des plis électoraux pour l’élection présidentielle. Ils réclament une prime pour cette charge de travail supplémentaire.

    Pour l’élection présidentielle 2022 et les législatives qui suivront, c’est la Poste qui a récupéré, par l’État, la distribution des plis électoraux et de la propagande des candidats. Après le fiasco de la distribution des plis électoraux confiés à Adrexo l’an passé, la CGT FATP se réjouit de cette confiance renouvelée à la Poste qui, affirme-t-elle, montre « le sérieux, l’engagement et le professionnalisme des postiers ».

    Un préavis de grève du 4 au 9 avril

    Reste que cette distribution alourdit la charge de travail des agents postiers engagés dans l’opération. Or, « pour ce travail supplémentaire générateur de stress et ce savoir-faire, aucune compensation n’est prévue pour les agents », déplore la secrétaire générale CGT FATP du Finistère nord, Elsa Naudet, dans un communiqué associant la CGT FATP du Finistère sud et celle du Morbihan.

    Selon le syndicat, la direction du courrier de Bretagne aurait refusé de concéder une rémunération supplémentaire, lors de l’audience de prévention de conflit qui se tenait le 1er avril. En conséquence, les trois syndicats finistériens et morbihannais ont déposé un préavis de grève de 24 h, sur chaque jour de la semaine, du 4 au 9 avril. Pour la CGT, « La Poste sera seule responsable si les agents décident de réclamer leur dû ». Une grève d’ampleur menacerait de facto la distribution, dans ces deux départements, des fameux plis d’ici le premier tour de l’élection présidentielle prévu le dimanche 10 avril.

    Une prime et la titularisation des contrats précaires

    Pour la CGT FATP, il est normal que les postiers puissent réclamer « leur part du gâteau », alors que « la Poste a perçu une enveloppe, dont elle ne veut pas divulguer le montant ». Le syndicat l’estime, au vu des 60 millions touchés pour les dernières élections municipales, à environ 110 millions d’euros pour les deux tours des élections présidentielles ainsi que les législatives. Le syndicat demande aussi « l’embauche en contrat à durée indéterminée des contrats précaires en poste actuellement. »

    Sollicité par le Télégramme samedi matin, le service communication du pôle régional de la Poste était injoignable.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Brest a célébré le 75e anniversaire de sa médaille de la Résistance française. ( OF.fr - 01/04/22 - 20h00 )                        Une cérémonie a eu lieu à l’esplanade du Général-Leclerc pour célébrer le 75e anniversaire de la remise de médaille de la Résistance française à la ville de Brest, dans le Finistère.

    Il y a 75 ans, Brest (Finistère) recevait la médaille de la Résistance des mains du Général de Gaulle. Une cérémonie a eu lieu aux monuments aux morts, ce vendredi 1er avril 2022.

    Décernée à la Ville de Brest (Finistère) le 31 mars 1947, la médaille de la Résistance française a été remise le 7 septembre 1960 par le Général de Gaulle au maire de l’époque, Georges Lombard.

    Dix-huit villes en France ont eu l’honneur de recevoir cette décoration qui a aussi été attribuée à des navires de guerre, des hôpitaux et des régiments. Dans le Finistère, seules deux villes, Brest et Plougasnou, ont été distinguées par cette médaille, également décernée à l’île de Sein pour ces actes remarquables de résistance et de foi.

    Cette reconnaissance a pour mission de rendre hommage à l’action globale des résistants brestois qui luttèrent sans relâche contre l’occupant nazi, de 1940 à 1944.

    Un travail de commémoration

    Pour célébrer le 75e anniversaire de cette remise de distinction, François Cuillandre, maire de Brest, accompagné d’Eric Guellec, adjoint en charge des associations patriotiques et des anciens combattants, étaient présents à cette cérémonie, vendredi 1er avril 2022. Elle a été suivie d’une prise de paroles des élus, au salon Richelieu de l’hôtel de ville.

    Une classe de CP-CE1 de l’école Jacques-Kerhoas était également présente. Pour illustrer ce travail de transmission de la mémoire, des bâches ont été installées sur les fronts de l’hôtel de ville depuis le 16 mars. Plusieurs actions de commémorations auront lieu afin de continuer ce travail de transmission, notamment le Printemps des cimetières les 20, 21 et 22 mai 2022.

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Finistère. Des élus demandent des explications à Maël de Calan, ex-consultant chez MacKinsey. ( OF.fr - 01/04/22 - 16h45 )                     Philippe Guillemot et Corinne Nicole, conseillers départementaux régionalistes du Finistère.

    ​Dans un courrier daté du vendredi 1er avril 2022, ​Philippe Guillemot et Corinne Nicole, élus régionalistes et conseillers départementaux du Finistère du canton de Carhaix, interpellent le président du Département, Maël de Calan, qui a travaillé chez le cabinet de conseil MacKinsey.

    Les deux conseillers départementaux du canton de Carhaix (Finistère), Philippe Guillemot et Corinne Nicole, expriment leur indignation sur le recours par le gouvernement du cabinet de conseil MacKinsey. La société a travaillé pour le compte de l’État et soupçonnée de ne pas payer ses impôts en France, selon un rapport de la commission d’enquête du Sénat. 

    Tous deux demandent des explications, pour la « transparence des affaires », au président du Département, Maël de Calan, qui a été salarié dans cette entreprise d’octobre 2018 à juin 2021. « Monsieur le président, pouvez-vous nous dire qu’elle est la nature de vos relations professionnelles aujourd’hui avec l’entreprise MacKinsey et si vous étiez au courant des pratiques « d’optimisations fiscales » de cette société […] ? », demandent-ils.

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Des profs et élèves disent stop aux expulsions

    Environ 150 personnes se sont rassemblées, ce jeudi à 17 h 30, devant le conseil départemental à Quimper pour dire leur opposition aux mesures administratives d’expulsion visant des migrants, souvent lycéens.

    « Nous ne voulons plus voir de jeunes jetés à la rue ! Nous ne pouvons plus faire comme si nous ne savions pas. Nous avons le devoir de réagir ». Un peu plus de 17 h 30, rive gauche à Quimper, devant « l’Hôtel du département ». Dans une bise tout hivernale, environ 150 enseignants, lycéens, représentants d’associations ou simples citoyens sont rassemblés pour dire leur opposition aux différentes mesures administratives qui frappent des lycéens quimpérois, jeunes migrants en cours d’intégration. Contestation de la minorité, refus d’attribution du titre de séjour : les situations administratives souvent complexes sont réglées de la sorte, coupant brutalement les prises en charge institutionnelles de jeunes gens inscrits dans un parcours d’intégration.

    Rassemblement profs et assos contre les OQTF aux lycéens migrants.
    Des lycéens et professeurs se sont succédé au micro pour dire leur opposition aux mesures administratives d’expulsion visant des migrants, souvent lycéens. 
     

    Ainsi que l’illustre le cas, parmi d’autres, d’une lycéenne de Chaptal. « Elle était en attente d’un titre de séjour qui lui a été refusée. En revanche, l’administration lui a signifié l’obligation de quitter le territoire français », explique Othman Chakroun, enseignant en sciences et technologie de la santé et du social à Chaptal. « La place d’un jeune, c’est à l’école et pas dehors. Comment peut-on débrancher socialement un jeune quelques mois avant la fin de l’année ? » Après la lecture par des lycéens de quatre témoignages de camarades venus d’Europe de l’Est et d’Afrique, les enseignants ont publiquement demandé au préfet l’attribution de titres de séjour, interpellé le président du Département sur sa capacité morale « à mettre des jeunes dehors en hiver » ainsi qu’Isabelle Assih afin d’appeler « au soutien de ces migrants comme elle l’a fait pour les Ukrainiens ».

    Rassemblement profs et assos contre les OQTF aux lycéens migrants.Des lycéens et professeurs se sont succédé au micro pour dire leur opposition aux mesures administratives d’expulsion visant des migrants, souvent lycéens. 
     
    Auteur :  Olivier Scaglia

     

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  • Après 15 années à la tête de la maison de la presse de Châteaulin – devenue aussi librairie – Fred Vasseur souhaite passer la main, mais pas par une simple mise en vente. Un groupe citoyen s’organise pour reprendre le commerce en Société coopérative d’intérêt collectif ; avis à celles et ceux qui veulent participer !

    Réécoutez l'émission

    Après 15 ans de bons et loyaux service dans cette boutique qui a pignon sur rue à Châteaulin, Frédéric Vasseur a eu envie de passer la main. Mais il sait qu’il a fait de sa maison de la presse, de plus en plus librairie, un lieu emblématique de la ville. Fred affiche ses revendications sur de grandes banderoles au-dessus de son commerce : dénonciation de la finance capitaliste, des violences faites aux femmes, soutien aux Gilets jaunes… La maison de la presse de Châteaulin n’est pas n’importe quel lieu. C’est bel et bien un lieu politique au sens où on y débat, on y partage des opinions et des réflexions.

    Une Société coopérative d’intérêt collectif

    Fred Vasseur est aussi un ardent défenseur de la participation citoyenne, de la démocratie directe. Il a donc souhaité que la transition de sa boutique se fasse avec d’autres personnes, qu’elles soient clientes ou amies ou juste intéressées par la démarche. Il a donc proposé la création d’une Société coopérative d’intérêt collectif qui pourrait racheter les murs et le stock pour un total d’environ 200 000 euros, sachant qu’il céderait gratuitement le fond de commerce. Fred resterait gérant de la librairie, le temps de former le ou la nouveau/nouvelle gérant/e. Pour diriger l’entreprise, le statut de Scic permettrait une collégialité avec des associés plus ou moins impliqués dans la gestion du magasin et de ses animations, selon leur souhait.

    Pour l’instant, une quinzaine de personnes sont intéressées par le projet donc Marylise Guessent et Christèle Pimenta qui se porte candidate pour la gérance. Toutes deux fréquentent déjà la librairie-maison de la presse et elles imaginent un destin brillant pour la boutique qui pourrait devenir aussi un café, avec davantage d’événements et d’animations, un étage supplémentaire (dans l’actuel appartement de Fred Vasseur)… Au delà des rêves, le collectif de reprise devra aussi composer avec la réalité : trouver des financements, organiser la gestion collective et les nouveaux statuts, assurer l’avenir des autres salariés du commerce, communiquer sur le projet, etc.

    Vous aussi prenez part à la transition de la maison de la presse de Châteaulin

    Toute personne qui le souhaite peut participer à cette aventure. La prochaine rencontre a lieu le 5 avril 2022 à 19h à la maison de la presse de Châteaulin et la suivante le 17 avril 2022.

     

    source: https://www.radioevasion.net/

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  • Les infos de l'Union Locale Cgt de Brest du 31 mars 2022. ( FB.com - 31/03/22 )

    Lien : https://www.facebook.com

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  • Ehpad : la CGT appelle à la mobilisation mardi, à Douarnenez. ( OF.fr - 31/03/22 - 17h30 )                  Nolwen Blaise, aide soignante, Gildas Jaouën secrétaire adjoint CGT, Françoise Bordanova, responsable de la vie syndicale, Catherine Le Roy, et Frédérique Milin, infirmières, préparent la manifestation.

    La CGT du centre hospitalier Michel Mazéas de Douarnenez (Finistère) lance un appel à la mobilisation le mardi 5 avril 2022 à 14 h 30 devant la résidence Ty Marhic. Agents et population sont attendus.

    Le syndicat CGT du centre hospitalier Michel Mazéas de Douarnenez (Finistère) appelle, une nouvelle fois, les agents des Ehpad (Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) et attend le soutien des familles, à se mobiliser le mardi 5 avril 2022, à 14 h 30, devant la résidence de Ty Marhic.

    Initialement cette mobilisation devait se dérouler à Quimper, au niveau départemental, mais elle se déroulera dans chacun des établissements concernés. Après les différentes mobilisations depuis 2018, la situation ne s’est pas améliorée, au contraire, elle se dégrade de jour en jour », ​déplore Gildas Jaouën, le nouveau secrétaire adjoint. La CGT dénonce les conditions de travail vécues dans les Ehpad. Il serait temps que notre directeur prenne ses responsabilités, pas seulement en écoutant nos revendications, mais en faisant quelque chose », ​estime l’infirmier des Jardins du Clos. La gestion scandaleuse, des Ehpad du groupe Orpéa, révélées dernièrement, attire l’attention. La CGT demande des embauches massives pour améliorer les conditions de travail, l’augmentation des salaires, l’extension de la prime grand âge à tous, et l’accès à la formation.

    Un bureau d’embauche le 14 avril 2022

    Certes les résidents des établissements douarnenistes ne sont pas restreints sur les changes, la nourriture, les pansements, les médicaments, mais ils manquent de douche (seule une tous les 15 jours) et les pansements sont refaits tous les cinq jours. Pour Christine Le Roy, infirmière aux Jardins du Clos on se retrouve à trois infirmières au lieu de quatre pour 170 résidents pour 12 h d’affilée. Il n’y a aucune infirmière la nuit​. » À Ty Marhic, Frédérique Milin, infirmière, dénonce : Les conditions de travail sont dégradées. On fait tout dans l’urgence. Ça nous fait mal au cœur​. Gildas Jaouën considère qu’il y a une mise en danger des résidents et des soignants.

    L’établissement hospitalier veut toutefois embaucher pour remédier aux manques d’effectifs. Le 14 avril prochain nous organisons, comme l’an dernier, un bureau d’embauche pour y déposer son CV », ​annonce Françoise Bordanova, la responsable de la vie syndicale.

    Source : https://www.ouest-france.fr 

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  • Les accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH) se mobilisent, ce mardi 5 avril 2022, à 11 h. Par le biais d’une grève et d’une mobilisation sur la place de la Résistance, à Quimper (Finistère), ils réclament notamment un statut de fonctionnaire de catégorie B et des conditions de travail plus stables.

    « La colère s’amplifie » chez les accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH)« las des promesses non tenues et aspirant à exercer leur métier dans des conditions dignes ».

    La profession appelle à la mobilisation et à la grève, ce mardi 5 avril 2022 à 11 h, place de la Résistance à Quimper (Finistère).

    Repenser le statut et recrutement massif

    L’intersyndicale à l’origine de l’appel (CGT Éduc’action, CGT-Enseignement privé, CNT, FNEC-FO, SNES-FSU, SNUIPP-FSU, SUD éducation, SUNDEP) dénonce des conditions de travail précaires et exige notamment le statut de fonctionnaire de catégorie B, « un temps plein à 24 heures côte à côte avec l’élève et donc la fin des temps partiels imposés » ou encore « un recrutement massif d’AESH pour permettre pour permettre à tous et toutes les élèves en situation de handicap de bénéficier d’un accompagnement correspondant pleinement à leurs besoins ».

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Le congrès de l’Union syndicale des retraités de la CGT du Finistère s’est tenu à Brasparts, lundi 28 et mardi 29 mars 2022. Cette structure de la CGT, au niveau départemental, regroupe les retraités des syndicats et sections CGT du Département.

    Les travaux des 50 délégués ont principalement porté sur des revendications spécifiques, comme la hausse des pensions, des services publics de proximité et de qualité ou une Sécurité Sociale étendue qui prendrait en compte la perte d’autonomie dans sa branche maladie.

    À la rencontre des retraités

    Les congressistes ont également décidé d’aller régulièrement à la rencontre des retraités sur leurs lieux de vie « afin de recueillir leurs revendications sur un plan plus local comme les problèmes de transports, de logements, etc. », résume la secrétaire générale de l’union, Marceline Sévérac, du centre hospitalier de Douarnenez.

    L’Union syndicale des retraités du Finistère « se met également en ordre de marche pour se renforcer, consciente que, pour relever les défis qui s’annoncent comme la réforme des retraites, il faudra être plus nombreux ».

    Le congrès a renouvelé son conseil syndical qui a élu Eric Guenoden, de l’arsenal de Brest, comme secrétaire Général adjoint, et Marceline Sévérac, comme secrétaire générale. Elle succède à Gilbert Phélep.

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Douarnenez. Débrayage chez Eolane : « Les remerciements, ça ne suffit pas ! ». ( OF.fr - 28/03/22 - 19h08 )

    Marc Le Meil, Déborah Pichavant et Jean-Yves Guillou, délégués CGT, mènent les négociations salariales avec la direction. 

    ​Les salariés de l’entreprise Eolane de Douarnenez (Finistère) ont débrayé lundi 28 mars 2022 pour peser sur les négociations salariales en cours. La CGT réclame une prime d’intéressement de 1 000 € par salarié.

    85 personnes étaient présentes lundi 28 mars 2022, devant les locaux du fabricant de composants électroniques Eolane, dans la zone de Lannugat à Douarnenez (Finistère), pour un débrayage d’une heure. « On a quasiment toute l’équipe du matin. On est contents mais pas surpris », se félicite Marc Le Meil, technicien bureau d’études et élu CGT. « Les gens en ont ras le pompon », commente Déborah Pichavant, technicienne d’atelier et membre de la délégation syndicale qui négocie actuellement avec la direction. « Quand il y a des coups de bourre, les salariés répondent toujours présent. On a des remerciements, mais ça ne suffit pas ! » ajoute Marc Le Meil. La CGT demande à la direction une augmentation générale des salaires de 3.5 %, et une prime de 1 000 € par salarié, en guise d’intéressement aux résultats de 2021.

    Une entreprise en bonne santé

    Le site d’Eolane Douarnenez est en effet loin d’être en difficulté : le sous-traitant électronique a réalisé, en 2021, 4.1 millions d’euros de bénéfices (avant impôts, intérêts et amortissement). Soit son deuxième meilleur résultat depuis 2012. Et la situation du groupe, qui compte six sites en France ainsi que des implantations en Allemagne, en Estonie, au Maroc et en Chine, est solide. Début mars, son président Henri Juin affirmait même qu’Eolane était le « sous-traitant électronique français le mieux armé pour l’avenir ».

    85 salariés ont débrayé lundi 28 mars 2022 devant le site du groupe d’électronique Eolane à Douarnenez (Finistère). 

    Le partage du gâteau

    Les salariés réclament donc leur part du gâteau. Jean-Yves le Guillou, délégué CGT, souligne que les 9 millions de résultats générés sur le site de Douarnenez en deux ans représentent l’équivalent de 2 500 € par salarié et par mois. Pour Marc Le Meil, difficile de comprendre pourquoi « les salaires sont nivelés par le bas avec une société qui fait autant de résultats ! »

    Le directeur du site Yves David, contacté par téléphone, tient à rappeler, que les salariés vont profiter des bons résultats d’Eolane. « Pour vous donner une idée, le salarié qui a le plus petit salaire aura une participation de 2 500 €. En comparaison de leurs collègues des autres sites français d’Eolane, c‘est exceptionnel. » De leur côté, les représentants syndicaux soulignent que cette participation correspond simplement à ce qui est prévu par la loi, rien de plus.

    Le spectre de l’inflation

    Les salariés craignent aussi de voir leur rémunération grignotée par l’inflation. Mesurée par l’Indice des prix à la consommation de l’Insee, celle-ci s’élève à 2.8 % pour l’année 2021. Le directeur de l’usine se réfère lui à l’inflation en moyenne annuelle, mesurée pour 2021 à 1.6 % par l’Insee. « Ce que les gens entendent à la télé, 4 %, c’est l’inflation prévisionnelle de cette année. Ça fera l’objet de la négociation de 2023. Je comprends qu’à l’instant T ils ont l’impression que la vie coûte plus cher, ce qui objectivement est vrai. Mais moi je ne suis pas le gouvernement. Ce n’est pas à moi de gérer les augmentations récentes et brutales liées à la guerre », commente Yves David.

    Une troisième réunion « de conciliation » est prévue ce mardi 29 mars pour tenter de faire converger les points de vue. En cas d’échec, Marc Le Meil de la CGT n’exclut pas d’appeler à de nouvelles actions : « On a lancé l’idée de faire un débrayage à l’échelle du groupe. »

    Source : https://www.ouest-france.fr

    Auteur : Elsa GAUTIER

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  • Brest. Projet de fusion à l’hôpital Morvan : « Nous sommes inquiets pour la sécurité des patients ». ( OF.fr - 28/03/22 - 19h09 )

    Pour protester contre le projet de fusion des services ophtalmo, ORL et X, les infirmières et aides soignantes du centre hospitalier de Morvan à Brest (Finistère) ont mené une opération « parking gratuit », ce lundi 28 mars.

    Les personnels des services d’ORL, ophtalmologie et dermatologie de l’hôpital Morvan, à Brest (Finistère), ont organisé une journée de grève, ce lundi 28 mars 2022, avec une opération « parking gratuite ». Ils déplorent le projet de fusion de leur service et les suppressions de postes à venir.

    Sur le parking de l’hôpital Morvan, à Brest (Finistère), une voiture grise approche de la barrière déjà levée : Vous faites grève pour quoi ?​, demande la conductrice aux infirmières et aides soignantes, gilets de syndicats sur le dos. Ils vont supprimer 11 postes​, rétorque Bahar Bourhis, infirmière et déléguée CGT.

    Ce lundi 28 mars 2022, l’intersyndicale, réunissant la CGT, Sud et la CFDT, a mené une opération parking gratuit ​au centre hospitalier, Avenue Foch. Les personnels des services ORL, ophtalmologie et dermatologie s’inquiètent de leur future fusion et de la suppression de postes annoncée.

    « Irréalisable de faire notre travail correctement »

    Nous sommes très inquiets pour la sécurité des patients et la qualité des soins, avec une infirmière en moins pour nous ça va être irréalisable de faire notre travail correctement​, regrette une infirmière. En dermatologie, sur les sept infirmiers de jour, trois titulaires vont devoir partir du service​. La direction a annoncé un total de 11 départs, qui correspondent à 7,76 EPT (équivalents temps pleins).

    Une précédente fusion en 2019

    Si la validation du projet est prévue pour le 26 avril 2022, la fusion est déjà actée​, se résignent les soignants. Nous avons subi des travaux, du bruit et de la poussière, ce n’est pas encore tout à fait fini. Pour la dermatologie, ils viennent de commencer. Il faut créer un office, il n’y en a pas encore. Le manque de communication et de visibilité sur les plannings sont également dénoncés.

    Nous avons quand même de l’expérience sur ce genre de fusion​, prévient la déléguée CGT Bahar Bourhis. En 2019, la fusion des services de pédiatrie générale et la chirurgie pédiatrique avait déjà occasionné la fermeture de postes. C’est un secteur qui est en grande souffrance, avec de gros problèmes de sécurité​, juge l’infirmière.

    À 13 h 30, la directrice générale du centre hospitalier a reçu une délégation du personnel. La direction souhaite rester sur sa position, estimant qu’il est préférable d’évaluer cette disposition avant de vouloir des modifications.
     
     
    Auteur : Arthus VAILLANT
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  • Les manifestants ont fait résonner fortement leurs slogans. Rendez-vous est à nouveau donné samedi prochain.Les manifestants ont fait résonner fortement leurs slogans. Rendez-vous est à nouveau donné samedi prochain.

    Ce samedi 26 mars, le soleil a accompagné les manifestants anti-passe dans les rues de Brest, à partir de la place de Strasbourg vers 14 h 30. Une centaine de fidèles ont encore rallié le lieu de départ ce jour, malgré la fin du passe vaccinal le 14 mars, excepté pour des lieux accueillant des personnes fragiles. Parcourant les rues Jean-Jaurès puis de Siam, le flot a grossi jusqu’à doubler. Vers 17 h, les gilets jaunes en poste au rond-point de Pen ar C’hleuz rejoignaient les manifestants à leur retour, place de Strasbourg. Les slogans « Liberté ! », « Halte à l’anti-passe ! » ont encore émané de ce cortège. Rendez-vous est donné au samedi prochain.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Finistère. 300 jeunes défilent à Brest : « On est plus chauds que le climat ! » ( LT.fr - 26/03/22 - 16h41 )

    Plus de 300 personnes, des jeunes en majorité, ont marché pour le climat, ce samedi 26 mars 2022, dans les rues de Brest : « On se sent obligés de se mobiliser. Les graines de la colère deviennent les graines de la résistance. ». 

    Ils ont manifesté leur angoisse face au réchauffement climatique et leur colère devant l’inaction politique : « Nous sommes l’avenir mais nous n’en avons pas. »

    « On est plus chauds que le climat ! » Plus de 300 personnes, des jeunes en majorité, ont marché pour le climat, ce samedi 26 mars 2022, dans le centre-ville de Brest. Tenant des pancartes aussi colorées que leurs cheveux, ils manifestent leur angoisse face au réchauffement climatique : « On se sent obligés de se mobiliser. Les graines de la colère deviennent les graines de la résistance. »

    « Le monde est compliqué »

    Place de la Liberté, les jeunes militants improvisent d’abord un court discours : « Le monde est compliqué ! lancent-ils ensemble. Nous nous étions organisés pour parler des victimes du dérèglement climatique. Et la guerre, aux victimes moins nombreuses mais plus directes, est venue changer les choses. »

    « Et 1, et 2, et 3 degrés ! C’est un crime contre l’humanité ! » chantent les jeunes qui, ce samedi 26 mars 2022 à Brest, ont pointé le peu de temps accordé à la question climatique par les candidats à la présidentielle. 
     

    Surtout, cette guerre en Ukraine « met en avant notre dépendance aux énergies fossiles. Celles-là mêmes qui détruisent notre monde ». Dans le cortège, on voit passer ces pancartes : « Si la planète était une banque, vous l’auriez déjà sauvée ! »

    Dans le collimateur de Jade, Marwan, Ophélie, Samuel et leurs amis, tous âgés de 18 ans : l’inaction politique, le capitalisme, particulièrement représenté par TotalEnergies et son projet « scandaleux » de pipeline dans le plus ancien et plus grand parc naturel ougandais.

    Les jeunes militants dénoncent, aussi, « la flambée du prix du blé », les « fermes-usines » et « l’importation de soja » : « Nous voulons un meilleur modèle agricole ».

    Plus de 300 personnes, des jeunes en majorité, ont marché pour le climat, ce samedi 26 mars 2022 dans les rues de Brest. Leur manifestation est un « remède contre l’anxiété ». 

    « Un crime contre l’humanité »

    « Et 1, et 2, et 3 degrés ! C’est un crime contre l’humanité ! » chantent les jeunes qui regrettent le peu de temps accordé à la question climatique par les candidats à la présidentielle : « Les débats politiques occultent totalement le climat, insistent Mona et Camille. Les questions de sécurité et d’immigration sont complètement décalées de notre réalité. »

    Europe écologie les verts, Extinction rébellion, L’Union populaire, l’Union Pirate, Solidaires… Les drapeaux flottent : « Réchauffez les cœurs, pas la planète ! » La manifestation est un « remède contre l’anxiété » : « Nous sommes l’avenir mais nous n’en avons pas. »

    Source : https://www.ouest-france.fr

    Auteur : Frédérique Guiziou 

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  • Opposé à la semaine de quatre jours et demi à l’école, notamment à Brest, le SNUDI FO 29 appelle à un rassemblement devant la mairie, mercredi midi.Opposé à la semaine de quatre jours et demi à l’école, notamment à Brest, le SNUDI FO 29 appelle à un rassemblement devant la mairie, mercredi midi. 

    Opposé à la semaine de quatre jours et demi dans les écoles publiques, le SNUDI FO 29 appelle à un rassemblement devant la mairie de Brest, mercredi 30 mars, à 12 h 30, sous la forme d’un pique-nique revendicatif. « Le maire de la ville, à qui nous avons écrit deux fois pour lui demander audience ce jour-là, doit nous recevoir et entendre les revendications des enseignants et des personnels », martèle le syndicat.

    « Comme nous l’avons clairement réaffirmé en Conseil départemental de l’Éducation nationale (CDEN) le 3 mars 2022, nous demandons un retour de la semaine de quatre jours pour tous sur tout le territoire et l’abrogation du décret Peillon. Une pétition allant en ce sens (http://29snudifo.canalblog.com) recueille pour l’heure plus de 300 signatures », souligne le syndicat dans un communiqué.

    « Fatigue, fuite vers le privé, conditions de travail dégradées… »

    « Depuis la rentrée scolaire 2018, les écoles publiques de Brest sont quasiment les seules du département à fonctionner à quatre jours et demi de classe alors qu’à plusieurs reprises, de nombreux enseignants et parents ont exprimé leur demande d’un retour à la semaine de quatre jours. Depuis huit ans que la semaine de quatre jours et demi a été mise en place à Brest, nous continuons de constater et de subir les conséquences de cette organisation : fatigue des élèves, fuite de certaines familles vers l’enseignement privé, dégradations de nos conditions de travail (fatigue et stress pour les enseignants), impact sur notre pouvoir d’achat (frais de transport et garde d’enfants une matinée supplémentaire) ».

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Au Relecq-Kerhuon, le collectif Cent pour un toit se mobilise pour l’accueil des migrants. ( OF.fr - 26/03/22 - 06h30 )                 Les bénévoles de Cent pour un toit se retrouvent une fois par mois pour faire le point sur les situations des familles et coordonner les actions.

    Créé il y a 3 ans, le collectif Cent pour un toit vient en aide à trois familles de migrants au Relecq-Kerhuon (Finistère). Cette solidarité peut se faire grâce à de généreux donateurs.

    C’est à partir d’une simple prise de conscience que s’est constituée le collectif relecquois Cent pour un toit, dans le Finistère, après une journée d’information sur les migrations en France, organisée par l’association D’ici demains.

    Rapidement, un bureau s’est formé rassemblant une vingtaine de membres actifs regroupés en diverses commissions (logement, santé, cours de français, scolarisation, démarches administratives, etc.).

    Ce collectif, devenu association, est affilié à l’association brestoise Digemer qui fédère une trentaine de Cent pour un toit, à Brest et sa région.

    En 2021, l’association comptait 81 donateurs. « Nous voulons aider ces familles dans l’attente d’une décision de justice sans qu’ils puissent avoir le droit de travailler pour se loger et se nourrir. Du jour au lendemain, ces familles peuvent être obligées de quitter le territoire », souligne le collectif.

    Pour aider, chaque donateur cotise suivant ses moyens. Les dons peuvent être mensualisés ou versés en une seule fois. Ils sont défiscalisés à hauteur de 75 %. Pour un don de 10 € par mois (soit 120 € sur l’année), cela coûtera en réalité 30 € par an après impôts.

    Trois familles accueillies

    Une famille serbe, composée de deux enfants, a été aidée. Le père a trouvé un poste d’entretien à temps plein dans une entreprise de nettoyage à Brest. Ils occupent actuellement un appartement, dont le loyer est partagé entre Cent pour toit de Kerhuon et de Plougastel.

    L’association s’occupe également d’une famille nigérienne composée de trois enfants. Les deux plus jeunes sont scolarisés. La mère se rend quatre fois par semaine à l’Association brestoise pour l’alphabétisation et l’apprentissage du français pour les étrangers (ABAAFE) à Brest pour perfectionner son français.

    Une mère de famille et sa fille, originaire d’Arménie, sont aussi accueillies. La maman était professeur d’histoire. Arrivée en France en 2016, elle a d’abord vécu dans le Finistère sud où sa fille est née.

    Contact : 100pour1toitlrk@gmail.com

    Source : https://www.ouest-france.fr

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