• Le mois de janvier c’est le moi des bilans, l’occasion de tirer le bilan de l’impact de la politique de Macron sur le chômage. Et le bilan 2017 du nombre de chômeurs est clair, avec Macron le chômage a augmenté.
    D’après les chiffres publiés par le ministère du travail, entre mai 2017 et décembre 2017 le nombre de chômeurs inscrits en catégorie A, B et C a bondi de 51 500.  51 500 chômeurs de plus c’est cela le bilan des 200 premiers jours de la présidence Macron, une présidence qui s’inscrit dans la continuité de celle de Hollande dont Macron a été le conseiller puis le ministre.

    1 chômeur de plus toutes les 6 minutes, 240 chômeurs de plus chaque jours entre mai 2017 et décembre 2017

    Macron le président du chômage c’est le président des riches et sa politique ultra capitaliste consistent à donner des milliards aux plus riches, à la classe capitaliste en faisant les poches des travailleurs, en cassant le code du travail en faisant bondir le nombre de licenciements. En un an, depuis décembre 2017 le nombre de fin de contrat de travail a bondi de près de 4%

    En même temps, comme dirait l’autre, les impôts sur les travailleurs, hausse de la CSG en tête, taxe sur le carburant et le gaz ont bondi tandis que les grandes fortunes voyaient supprimer leurs impôts, l’ISF, et réduire la taxation des revenus du capital.

    Et les chômeurs sont aussi dans le viseur puisque Macron, sur ordre de la Commission Européenne s’attaque à l’assurance chômage avec pour objectif de réduire les indemnités et de fliquer encore plus les chômeurs, coupables en touchant leurs allocations chômages de toucher ce qui n’est que leur salaire !

    Face à cette augmentation du chômage faut il rappeler qu’en France les riches sont les plus riches d’europe ? que 82% de la richesse produite en 2017 par les travailleurs est allée au 1% le plus riches et que les 42 personnes les plus riches du monde possèdent autant que 3,5 milliards d’êtres humains les plus pauvres. Vous avez dit injustice, scandale ? vous avez dit capitalisme.

    La vrai question n’est donc plus de savoir ce que sera l’effet de la politique de Macron sur le chômage, ni si Macron est le président des riches, mais bien quand les travailleurs de ce pays vont ils cesser de se laisser faire.

    JBC pour www.initiative-communiste.fr

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  • , président des , ses ministres millionaires !
    Elle est pas belle la vie sous le régime Macron ? bon évidemment, il y a des dizaines de députés LREM qui se plaignent de leur “maigre” salaire de député. Se plaignant malgré leurs payes de plus de 5 SMIC mensuels d’être mal payés et de “devoir manger des pates et s’habiller avec de vieux vetements” (lire ici). De qui se moquent-ils ? de vous assurément à qui ils viennent d’augmenter les impôts avec une hausse brutale de la CSG, tout en réduisant les APL pour les jeunes et les locataires en HLM notamment !
    En tout cas, si l’INSEE confirme qu’il y a plus de 8 millions de pauvres en France, on ne les retrouvera pas au gouvernement de Macron, qui fait la part belle aux millionaires. La Haute Autorité pour la transparence de la vie publique vient de rendre publique le patrimoine des comparses de l’ex banquier de chez Rotschild : jugez plutôt
     
    Fortune des ministres millionaires de la Macronie.
    1. Muriel Pénicaud (ministre du travail) : 7,5 millions
    2. Nicolas Hulot( ministre de la transition écologique) : 7,2 millions (et plusieurs voitures…)
    3. Françoise Nyssen (ministre de la culture) : 4,6 millions
    4. Agnès Buzyn (ministre de la santé) : 2 millions
    5. Florence Parly (ministre des armées): 2 millions aussi
    6. Bruno Le Maire (ministre de l’économie) : une société à 1,5 million
    7. Édouard Philippe (Premier ministre) 1, 5 million

    Les autres ministres issus du monde politique, Christophe Castaner (Relations avec le Parlement), Gérard Collomb (Intérieur), Jean-Yves Le Drian (Affaires étrangères) ou encore Jacques Mézard (Cohésion des territoires) ont également des patrimoines qui avoisinent le million.

    Gel du SMIC !

    Ce sont ces ministres qui viennent également de décider d’un gel du SMIC. les travailleurs n’auront donc pas de coup de pouce sur leur fiche de paye, mais devront se contenter d’un bien maigre 1,24% de  relévement du smic, en application de la formule censée rattraper les effets de l’inflation. Et oui, Macron considére que les travailleurs sont des fainéants, ou pire que vous les français qui vous pressez dans les gares pour aller aux boulots vous n’êtes… rien. Contrairement aux milliardaires de ces amis ! Et les milliards d’euros, c’est bien pour ces “premiers de cordées” privilégiés et qui ont déjà engrangé des dizaines de milliards d’euros de cadeaux avec les quinquennats de Hollande et Sarkozy !

    5 autres infos qui devraient vous faire bondir !

    1 – QUI A ARMÉ LES TUEURS DE DAECH (Organisation État Islamique-Daech) ET LES REBELLES SYRIENS ?

    Selon l’ ONG étasunienne CAR (Conflict Armament Researchal)

    “La fourniture de matériel (militaire) dans le cadre du conflit syrien, par des parties étrangères – notamment les États-Unis et l’Arabie saoudite – a indirectement permis à l’EI d’obtenir des quantités substantielles de munitions anti-blindage.”

    CAR a ainsi retracé le parcours d’une roquette roumaine, vendue à l’armée américaine fin 2014 avec une clause interdisant aux États-Unis de la revendre, et finalement atterrie parmi les munitions de Daech à Tfar (Irak). Comment ces armes sont-elles arrivées là ? Washington refuse de répondre.

    D’autres armes avaient été achetées par l’Arabie saoudite avant de parvenir aux djihadistes. CAR cite l’exemple d’un avion censé livrer 12 tonnes de munitions à l’Arabie saoudite, mais qui a atterri de façon imprévue en Jordanie, alors un lieu d’approvisionnement bien connu des rebelles syriens

    On sait aussi désormais que c’est la France qui a fourni en un dérivé du sucre, le sorbitol, via la Turquie DAECH pour lui permettre de produire le carburant pour ses roquettes et missiles.
    C’est en France également que se trouve l’entreprise Lafarge, l’un des principaux cimentiers mondiaux, accusé d’avoir payé plus de 16 millions d’euros à DAECH. Rappelons que d’après la justice française, les attentats du 13 novembre on couté au bas mots plusieurs centaines de millions d’euros. On sait donc désormais qui, moyennant finance et avec le soutien du gouvernement français et d’un ministre des affaires étrangères bien connue des victimes de l’affaire du sang contaminé, a participé au financement de la terreur en France…

    L’agence de presse russe Itar Tass, elle dénonce en s’appuyant sur des déclarations du gouvenrement russe, l’entrainement de plusieurs centaines de terroristes islamistes de Daech dans le sud de la Syrie – en provenance de Raqqa et Deir Ez Zorr où ils viennent d’être défaits – directement par les forces spéciales américaines…

    2 – FASCISATION : 70 ans après retour des ministres fascistes à l’intérieur et aux affaires étrangères en Autriche

    Schuschnigg et Hitler

    Ceux qui ont de la mémoire – où qui auront lu le dernier prix goncourt – s’en souviennent. L’Anschluss avait été précédé de la nomination d’un ministre nazi à l’intérieur, nomination faite par un premier ministre de droite qui venait d’interdire le parti communiste et les syndicats.

    Le tout nouveau et jeune chancelier de droite autrichien vient de nommer à l’intérieur et aux affaires étrangères deux ministres provenant d’un parti fort peu éloigné de ses prédecesseurs nazi, le FPO.

    Il y a quelques années les gouvernements d’Europe avaient fait au moins semblant de s’indigner de la présence de fascistes au gouvernement d’Autriche, la patrie d’Hitler.

    Aujourd’hui la fascisation de l’ UE est tellement avancée que c’est à peine si l’info suscite le moindre commentaire. Et dire que certains doutent quand les communistes du PRCF osent alerter contre la fascisation…

    3 – Anecdotes révélatrices des crapules qui dirigent le monde capitaliste.

    C’est souvent par des petites blagues que le pouvoir exprime le mieux sa brutalité. Le 8 juin 2015, épuisé par des semaines de vaines négociations pour tenter de sauver son pays en faillite, le ministre des Finances grec, Yanis Varoufákis, est reçu à Berlin par son homologue allemand, le puissant et sévère Wolfgang Schäuble. Ce dernier a tenté sans succès de pousser la Grèce hors de la zone euro. Pour engager la conversation, l’Allemand en fauteuil roulant sort négligemment une poignée d’euros en chocolat:

    “C’est un cadeau que m’ont fait des écoliers allemands. Mais je leur ai dit que j’allais les offrir à mes homologues grecs pour calmer leurs nerfs.”

    Quelques heures après ce tête-à-tête tendu, les pièces auront fondu dans la poche du Grec. Sa lettre de démission, non datée, qu’il garde depuis le début dans cette même poche comme un «antidote au pouvoir» sera couverte de chocolat… Deux mois plus tôt, lorsque Yanis Varoufákis avait rencontré Barack Obama lors d’une soirée à Washington, le président l’avait cueilli par un sarcasme similaire:

    “Nous avons parmi nous le ministre des Finances grec. Et si j’allais le voir pour lui emprunter de l’argent, les amis?”

    4 – MERCI QUI ?…MARTINEZ !

    Hollande vient de déclarer, perfide : “JL Mélenchon s’est “installé dans le rôle de convocation de manifestations qui ont été autant d’échecs que d’objectifs qui avaient été de manière présomptueuse annoncés”.

    Qui donc a saboté l’idée d’une grande manif nationale contre la politique de Macron ( que le PRCF appelait de ses voeux depuis encore plus longtemps !) sinon la direction confédérale de la CGT, prétextant, comme de vulgaires ministres de droite, qu’on ne confond pas syndicat et politique ?

    5 – DUR, DUR POUR LES DÉPUTÉES MACRONISTES….

    Le SMIC qui est trop élevé, comme l’ont expliqué de macronistes experts ès-matraque-patronale, est de 1150 euros net.  Le salaire médian en France : 1.797 euros.  96% des salariés français gagnent donc moins que cette parlementaire LREM qui gagne, elle, 5.372 euros ( sans compter les indemnités) et qui déclare :

    “Depuis que je suis député, je vais moins souvent au restaurant, je mange pas mal de pâtes, j’ai ressorti des vêtements de la cave et je vais devoir déménager !”

    Poignant.
    On comprend mieux pourquoi le président de LREM Castaner appelle aux dons pour son parti, et pourquoi Macron appelle à donner aux associations caritatives. C’est la situation de ces “pauvres” députés qui les émeut

     

    source: https://www.initiative-communiste.fr

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  • Ce 8 décembre, le a fini par rendre plusieurs arrêts concernant des recours contre des fraudes électorales lors des élections . Deux de ces arrêts tout particulièrement attirent l’attention. Le premier concerne l’élection de dans l’Essonne, le second le recours déposé par le leader syndical du mouvement social en Guyane – David Rimane – privé de mandat pour 51 voix et qui dénonçait les fraudes et irrégularités dans l’élection du macroniste Adam.

    Rappelons que le Canard Enchainé a révélé qu’une centaine de député de LREM auraient dépassé le plafond de dépense de campagne autorisé. Ce qui est un motif d’invalidation…mais là encore, on peut voir que le pouvoir ne se précipite pas pour mener l’enquête.

    En Guyane, Davy Rimane obtient gain de cause

    Face à l’ampleur des irrégularités, le Conseil Constitutionnel n’aura pas réussi à maintenir M Adam, candidat macroniste, qui devra quitter l’Assemblée Nationale. Au regard du nombre de votes invalidés par le Conseil Constitutionnel, il y a tout lieu de penser que c’est au contraire le très populaire leader syndical du mouvement social en Guyane, David Rimane, qui aurait du l’emporter à la régulière aux dernières législatives. M Adam avait été proclamé vainqueur par le ministère de l’intérieur avec seulement 56 voix d’avances. Pourtant dans deux bureaux de vote où ont voté plus de 500 personnes, il manquait les assesseurs. C’est sur ce motif que le Conseil Constitutionnel a invalidé l’élection. Ce n’était pourtant pas les seules points soulevés par David Rimane comme irrégularités… mais les “sages” du Conseil Constitutionnel on préféré ne pas examiner les autres motifs ….

     

    Le Conseil Constitutionnel confirme des irrégularités dans l’élection de Valls

    On se demande comment à la suite de l’argumentation de son arrêt le conseil constitutionnel à pu ne pas invalider l’élection de Manuel Valls. Poser la question c’est y répondre, et vous trouverez juste dessous quelques éléments d’explication avec la composition du conseil constitutionnel, entièrement acquis à la cause de Valls.

    Le fait est que dans son long arrêt, le conseil constitutionnel reconnait que :

    • s’il y a bien eu des témoignages d’irrégularités dans la conduite de la campagne de M Valls, le Conseil Constitutionnel refuse de les retenir, notamment ceux de l’usage de la mairie d’Evry pour mener la campagne de M Valls… Chacun se fera une idée en lisant l’arrêt
    • le Conseil Constitutionnel reconnait que Manuel Valls a poursuivi sa campagne d’affichage durant la période de réserve légale, en violation de la loi. Mais il refuse de sanctionner ces manquements, essayant de les interpréter comme isolés, comme les messages sur les réseaux sociaux, diffusés jusque par le maire d’Evry… (lire le point n°7)
    • la contestation principale ne portait pas sur ces éléments de forme, mais bien au fond sur de véritable fraudes électorales, ce que l’on appelle classiquement du bourrage d’urnes. Et le Conseil Constitutionnel, en reconnaissant 66 votes irréguliers ne fait que constater la réalité d’un bourrage d’urne potentiel. là aussi sans en tirer les conséquences
      • le conseil constitutionnel ne reconnait pas -jugeant ne pas en avoir la preuve – que des assesseurs de F Amrani ont été écarté des opérations de vote et de dépouillement dans plusieurs bureaux de vote, et va même jusqu’à écarter l’irrégularité des opérations de vote dans un bureau où une urne a pu être ouverte par le seul président de bureau alors que l’assesseur détenant la deuxième clé témoigne de ce que cette clé normalement indispensable à l’ouverture de l’urne n’a pas été utilisé, en ce fondant sur l’absence de mention aux procès verbaux. Démontrant au passage l’importance de tracer les irrégularités sur les procès verbaux
      • le conseil constitutionnel ne juge pas suspect que des signatures d’électeurs ont été tracé aux crayons avant d’être ensuite inscrite à l’encre. Même s’il reconnait dans au moins un cas la réalité de la pratique…
      • dans 42 cas, le conseil constitutionnel reconnait que les signatures d’émargements sont différentes pour les mêmes personnes entre le premier et le second tour. Mais n’en déduit pas d’irrégularité. Même lorsque les signatures ont été remplacées par de simples initiales
      • dans 66 cas pourtant, visiblement en raison de fraude par trop manifeste, le Conseil Constitutionnel est obligé de reconnaitre qu’il y a eu tricherie : “En revanche, 66 votes, correspondant à des différences de signature significatives doivent être regardés comme irrégulièrement exprimés.”
    • Pour autant malgré la somme des irrégularités, le Conseil Constitutionnel valide l’élection de Valls…

    La suite se jouera donc au Pénal, F Amrani ayant déposé plainte pour fraude électorale

     

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  • Mutuelles de Bretagne. Une association anticorruption va déposer plainte (OF.fr-14/10/2017)

    Richard Ferrand n'est pas tout à fait tiré d'affaire. L'association FRICC, Front républicain d'intervention contre la corruption, a déposé plainte avec constitution de partie civile pour délit d'entrave aux fonctions de commissaires aux comptes dans l'affaires des Mutuelles de Bretagne. Dans un communiqué, l'association appelle les "mutualistes de Bretagne victimes d'un préjudice" à se 'joindre à [sa] plainte". Vendredi, l'affaire impliquant Richard Ferrand a été classée sans suite.

    L'association anticorruption FRICC va déposer plainte avec constitution de partie civile pour délit d'entrave aux fonctions de commissaire aux comptes dans l'affaire des Mutuelles de Bretagne impliquant Richard Ferrand, dont l'enquête a été classée sans suite, a-t-on appris ce samedi.

    Dans un communiqué, le Front républicain d'intervention contre la corruption (FRICC) a lancé « un appel aux mutualistes des Mutuelles de Bretagne victimes d'un préjudice afin qu'ils se joignent à (sa) plainte ». Cinq victimes l'ayant déjà contactée, l'association a bon espoir que sa plainte soit reçue par un juge d'instruction.

    Lire aussi : Ferrand. « J’ai tout subi dans cette histoire, la justice a tranché »

    Le parquet de Brest a estimé vendredi n'avoir pu établir aucune infraction au code de la mutualité dans cette affaire visant le chef de file des députés LREM. Il n'a constaté ni emploi fictif ni préjudice relevant de l'abus de confiance ou de l'escroquerie, et a jugé que la prescription s'appliquait sur le plan d'un possible délit de prise illégale d'intérêts.

    Le FRICC avait déposé en juin une plainte simple pour le même motif. Il estime que les Mutuelles de Bretagne et leur directeur de l'époque Richard Ferrand auraient dû faire valider par le commissaire aux comptes le montage immobilier permettant à la SCI de sa compagne de louer un local au réseau mutualiste.

    Lire aussi : Mutuelles de Bretagne. « Il n’y a pas d’affaire Ferrand », estime son avocat

    La plainte avec constitution de partie civile permet de saisir directement un juge d'instruction et de demander l'ouverture d'une information judiciaire. « Le classement sans suite est un peu léger », a déclaré à l'AFP Jean-Luc Touly, président de l'association, pour qui le parquet n'a pas étayé sa réponse concernant le respect du code de la mutualité.

    « Lorsqu'un dirigeant d'une mutuelle est directement concerné par une opération immobilière impliquant sa mutuelle, il doit informer qu'il a signé le compromis d'achat et un commissaire aux comptes doit être désigné afin d'éviter tout conflit d'intérêt », a expliqué M. Touly, précisant que ce délit est passible d'une peine maximale de 5 ans de prison et de 75.000 euros d'amende.

    « L'autre aspect de notre plainte est que M. Ferrand, devenu chargé de mission des Mutuelles de Bretagne entre juin 2012 et janvier 2017 alors qu'il était député du Finistère, a démissionné à quatre reprises plusieurs jours de la commission de défense nationale pour rejoindre la commission des affaires sociales au moment où des textes sur les mutuelles étaient en débat. On a l'impression que M. Ferrand est un lobbyiste », a-t-il déclaré.

    source: https://www.ouest-france.fr

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  • Ferrand. Du Canard au classement sans suite, retour sur l’affaire en cinq actes (OF.fr-13/10/2017)

    Pour Richard Ferrand, la vague Macron n’a pas duré bien longtemps. L’ex-ministre de la Cohésion des territoires, Richard Ferrand, a rapidement été au cœur d’une vive polémique sur des soupçons de favoritisme. Cinq mois de turbulences qui prennent fin ce vendredi avec le classement sans suite de l’affaire par le parquet de Brest.

    1. Le Canard enchaîné porte la charge

    Le 24 mai, Le Canard Enchaîné met en cause le ministre, nommé le 17 mai, pour des tractations immobilières en 2011 impliquant sa compagne. L’hebdomadaire raconte comment les Mutuelles de Bretagne, dont Richard Ferrand était alors le directeur général, avaient souhaité louer des locaux commerciaux à Brest pour ouvrir un centre de soins.

    L’entreprise avait choisi, entre trois propositions, celle d’une société immobilière appartenant à la compagne du ministre. En plus de bénéficier d’une rénovation complète des locaux par la mutuelle pour 184 000 €, la SCI a vu la valeur de ses parts « multipliée par 3 000 » six ans plus tard, selon le Canard.

    M. Ferrand rétorque qu’il s’agissait de « la meilleure offre ». Il précise juste à propos du bref emploi de son fils comme collaborateur parlementaire : « Si c’était à refaire, je ne le referais pas ».

    2. Le Parisien et Le Monde enfoncent le clou

    Le 24 mai, une source proche du dossier fait savoir que le parquet national financier (PNF) n’est pas compétent « à ce stade » pour ouvrir une enquête. Le 26, le parquet de Brest annonce qu'« en l’état, aucun des faits relatés n’est susceptible de relever d’une ou plusieurs qualifications pénales permettant d’ouvrir une enquête préliminaire ».

    Le Premier ministre Edouard Philippe affiche sa confiance envers Richard Ferrand et érige les électeurs de sa circonscription de Carhaix-Plouguer, en « juges de paix », tout ministre battu aux législatives devant démissionner.

    Le 29, les Mutuelles de Bretagne assurent que M. Ferrand a agi en « parfaite conformité avec les mandats tenus par le conseil d’administration ». Mais, le même jour, Le Parisien publie le témoignage d’un ancien bâtonnier de Brest évoquant un « enfumage » dans cette affaire.

    Le 30, le journal Le Monde assure que M. Ferrand « a fait bénéficier de plusieurs contrats des proches, dont son ex-femme et sa compagne ». Le ministre « réfute » tout mélange des genres et M. Philippe lui renouvelle sa « confiance ».

    Lire aussi. Moralisation. « La frontière est poreuse entre le public et le privé »

    3. Enquête préliminaire ouverte

    La droite et la gauche estiment que le ministre doit démissionner, comme une large majorité de Français selon un sondage Harris Interactive. Le 31 mai, Richard Ferrand assure être « un homme honnête » tandis que le président Macron appelle le gouvernement à la « solidarité » et estime que la presse ne doit « pas devenir juge ».

    Le 1er juin, le procureur de la République de Brest annonce l’ouverture d’une enquête préliminaire. L’association anticorruption Anticor adresse de son côté au parquet de Brest une plainte contre X sur le fondement du délit d’abus de confiance. Le 6 juin, les Mutuelles de Bretagne sont perquisitionnées.

     

    4. Réélu, Ferrand sort du gouvernement

    Le 19 juin, au lendemain de sa réélection comme député du Finistère, M. Ferrand se voit demander par le président Macron de quitter le gouvernement à la faveur du remaniement pour « briguer la présidence du groupe » parlementaire La République en marche. Il obtient ce poste le 24 juin.

    Le 27 juin, le Canard affirme que Richard Ferrand a embauché en 2000 sa compagne, alors étudiante et âgée de 25 ans, aux Mutuelles de Bretagne pour deux emplois, dont celui de directrice du personnel. L’entourage de M. Ferrand conteste toute illégalité.

    Le 7 juillet, M. Ferrand est interrogé par la police à Rennes, dans l’enquête préliminaire ouverte par le parquet de Brest. Le 27 juillet, le parquet juge nécessaires « des investigations complémentaires » et indique qu’une « décision sera prise après l’été ».

    5. Le parquet classe sans suite

    Le 13 octobre, le parquet classe l’enquête sans suite en invoquant notamment la prescription de l’action publique s’agissant d’un éventuel délit de prise illégale d’intérêts. « Les infractions d’abus de confiance et d’escroquerie » ne sont elles « pas constituées, faute d’un préjudice avéré ».

    source: https://www.ouest-france.fr

     

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  • Richard Ferrand sera fixé en fin de semaine sur son sort dans l'affaire des Mutuelles de Bretagne.Richard Ferrand sera fixé en fin de semaine sur son sort dans l'affaire des Mutuelles de Bretagne.

     

    Richard Ferrand, président du groupe LREM à l'Assemblée nationale, sera fixé sur son sort en fin de semaine, « très probablement vendredi par un communiqué de presse », selon le parquet de Brest.

    En juin dernier, le parquet ouvrait une enquête visant à faire la lumière sur un montage immobilier effectué en 2011, à l'époque où ce proche d'Emmanuel Macron dirigeait les Mutuelles de Bretagne.

    Le Canard enchaîné avait révélé fin mai que cet organisme louait des locaux appartenant à la compagne de Richard Ferrand, faisant naître un soupçon de favoritisme.

    source: https://www.ouest-france.fr

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  • Le mercredi 6 septembre 2017, les députés de la France insoumise tenaient une conférence de presse à l’issue d’une rencontre avec deux responsables de la CGT : Philippe Martinez, secrétaire général et Catherine Perret. Jean-Luc Mélenchon a expliqué que la centrale syndicale et de la France insoumise avaient des points de vue identiques sur l’analyse des ordonnances sur le code du travail, en particulier en ce qui concerne le dumping social et l’inversion de la hiérarchie des normes. Il a indiqué que les députés insoumis participeraient aux manifestations du 12 septembre et a appelé à la mobilisation le 23 septembre.

     

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  • Témoignage Rentrée des classes : l’école de votre enfant est menacée ! (IC.fr-C’est la rentrée des classes, l’occasion de s’intéresser à ce qui se passe à l’école.

    Initiative Communiste vous propose le témoignage d’un professeur des écoles sur les menaces qui pèsent sur l’école de vos enfants. L’euro austérité véritable et seul moteur des réformes de l’école qui s’empilent les unes sur les autres avec la succession des ministres et à chaque rentrée aboutie à de graves attaques contre les moyens de l’.

    Dans le viseur, le droit de chaque enfant à avoir accès à une école dispensant les mêmes enseignements. quelque soit la région, la commune et leurs moyens ! C’est cela qui est attaqué avec les menaces qui pèsent contre le statut des enseignants alors que Macron et son ministre poussent les feux de l’indépendance des établissements scolaires.

    C’est cela qui est attaqué avec les coupes budgétaires, avec le suppressions massives de postes d’enseignants, avec la dévalorisation de leurs rémunérations et la précarisation d’un nombre croissants de professeurs.

     

     

    Rentrée des classes :

    l’école de votre enfant est menacée !

     

    Je ne sais pas si faire des suppositions sur l’avenir de mon métier relève du devoir de réserve, il me semble que non, tant que je ne mets pas en porte-à-faux la parole de mon employeur.
    Plus j’y réfléchis, plus j’ai besoin de parler de l’évolution de mon métier, de mon statut, depuis que je l’exerce.Vous n’êtes pas sans savoir que je suis enseignant, j’ai pour statut “Titulaire remplaçant, brigade zone de rapprochement” TR-ZR. Du moins au départ, il y a 3 ans.
    Cela signifie que je suis remplaçant pour le premier degré, affecté dans un département, lié à une circonscription par le biais de mon rattachement administratif à une école. Cette école correspond à l’endroit où je dois être si je ne remplace pas et au point de départ pour mes indemnités de déplacement. (cette école est située à 17km de mon domicile, dans un autre département).
    Cependant, de par mon statut, je suis piloté par la direction des personnels départementale en priorité, puis par l’inspection de circonscription si je suis disponible. Contrairement au TR-ZIL (zone d’intervention limitée) qui est d’abord piloté par la circo. Dans la théorie. Dans la pratique, je suis bien plus souvent appelé par ma circo, sauf urgence ou priorité.
    En septembre 2016 une circulaire nous apprend que ces “priorités” vont être lissées et que chaque titulaire remplaçant peut être envoyé sur tout le département si besoin. Donc, plus de réelle différence de statut, on penche vers un seul.
    Mon métier, de par mon statut, consiste à remplacer au pied levé un enseignant absent. Que ce soit pour une journée, une demi journée, une semaine, une année…
    Je dois m’adapter à sa préparation s’il souhaite que je suive ce qu’il a précédemment établi (une journée-une semaine). 
    Ou alors je dois proposer mon propre enseignement, en improvisant à partir de ma “valise” (ensemble d’activités préparées dont je dispose, pour chaque niveau) puis en créant un lien durable entre la classe déjà établie et ma pédagogie. Ce cas arrive lors d’un remplacement long en cours d’année.
    Et encore, et c’est souvent mon cas, en devant effectuer la rentrée de septembre pour laisser ensuite la main au titulaire de la classe en cours d’année. (la préparation est partagée si le collègue est disponible, ou je dois la composer moi même en quelques heures si je suis seul).
    Cette année j’ai eu la chance de remplacer sur le même poste de septembre à novembre, puis de me voir prolongé jusqu’à la fin de l’année scolaire. J’ai donc touché des indemnités de déplacement jusqu’en novembre puis suppression comme le prévoit le règlement. Bien sur, aucune possibilité de toucher une quelconque indemnité mineure, malgré la distance entre l’école et mon domicile (25km).
    J’ai gagné la stabilité mais perdu de l’argent. Logique.
    En décembre, la direction de l’école m’apprend que l’inspection lui a demandé s’il était possible de me détacher du poste pour me retourner au remplacement quotidien. En effet, les effectifs en terme de TR étant ridiculement bas, il y a pénurie. Des vacataires contractuels sont donc embauchés afin de combler ce manque. Cependant leur statut interdit de remplacer “au jour le jour”. Ils n’ont pas de formation et doivent donc avoir un contrat fixe avec un lieu et une période donnée. L’idée était donc de donner mon poste à un vacataire, car seuls les titulaires peuvent remplacer à la journée. La direction de mon école a bien sur catégoriquement refusé, pour préserver la continuité pédagogique.
    Mais voyez vous où je veux en venir ?
    Qui d’autre pour palier à ce problème, à cette pénurie d’enseignants titulaires remplaçants ?
    D’autres titulaires ?? Des postes il y en a, plein, ça embauche. Mais qui veut faire ce métier ? Qui veut faire 5 ans “d’études” pour passer un concours qui t’envoie où tu ne veux pas forcément aller, loin de ta famille, avec un salaire pas folichon, des conditions de travail aléatoires et une évolution de carrière proche du néant…
    Réponse: Pas grand monde.
    Et heureusement pour nos gouvernants qui ont tout à gagner dans la périclitation du métier d’enseignant à l’Education Nationale. Mais c’est un autre sujet dont je parlerai une autre fois.
    Qui est élu en 2017 ? Saint Macron, le roi de l’entreprise, le chantre de l’ubérisation libérale, le chouchou de l’Europe financière et le messie des statuts précaires.Premier grand raout: Défaire la réforme des rythmes scolaires.
    Tant mieux disent les mairies, trop de dépenses vaines pour un service médiocre.
    Tant mieux disent les parents, on pourra refaire les courses le mercredi matin.
    Tant mieux disent les enseignants, les élèves seront moins fatigués.
    Mais qui décide, les mairies bien sûr, sous couvert d’une concertation municipale avec les enseignants et les parents d’élèves.
    Tant mieux pour nos gouvernants, dont le principal enjeu est de donner aux municipalités la direction de leurs établissements scolaires. En revenant sur cette réforme, personne n’a râlé et les mairies ont désormais les clefs et le feu vert pour devenir les décideurs des temps scolaires. Ce sera désormais aux municipalités de façonner le calendrier scolaire, les horaires, les autorisations… que devient l’Education NATIONALE ?
    La disparition des Inspections de circonscriptions ne sera plus qu’un détail lorsque les pouvoirs d’évaluation et de contrôle seront donnés aux municipalités et donc à la direction d’établissement.Vous ne voyez toujours pas où je veux en venir ?
    Je ne pense qu’à moi, je ne pense qu’à mon petit statut de titulaire à vie de poste d’enseignant remplaçant avec tout le confort des arrêts maladie et mes 5 mois de vacances.”  ?
    Qui bien sûr va disparaitre. Il sera forcément remplacé par, supposons candidement, naïvement, un beau programme d’appel aux auto-entrepreneurs de l’éducation. 
    Et cela existe déjà, ne serait-ce qu’à l’Université… Mais désormais, qui viendra remplacer la maitresse titulaire qui a la grippe ?? 
    C’est Hubert, ce jeune auto-entrepreneur, avec peut-être un diplôme, zéro formation, une expérience relative et la précarité extrême comme motivation. Sans doute piloté par une plateforme se chargeant de recruter des remplaçants à fournir, le tout géré sur une application “smartphone”. Fera-t-il un travail correct ? Sera-t-il capable d’encaisser ce que doit subir un remplaçant formé et assuré ? Lui-même ubérisé, atomisé, coupé de tout, transmettra-t-il encore un tant soit peu les valeurs de la République sociale, démocratique, laïque, souveraine, une et indivisible que se targue encore d’être la France selon sa constitution, sinon selon sa réalité ?
    Ça n’est pas vraiment un problème voyons, il n’est là que provisoirement. En tout cas, ça ne coûtera rien à l’État, puisque ce seront les municipalités qui évalueront le besoin ou non d’appeler un “remplaçant”, si toutefois elles en ont les moyens. Ce qui n’est pas garanti puisque, pour obéir à Bruxelles, Macron ne cesse de raboter les subventions d’Etat aux Communes et que de plus en plus, ce seront de grandes « métropoles » déshumanisées et loin du terrain qui décideront au nom des maires.
    Bref, c’est une vision personnelle, sans doute dramatisée à outrance par mes angoisses protectionnistes. Pourtant c’est un drame bien réel qui pourrait très bientôt se jouer dans vos communes.
    Et forcément, ce seront encore et toujours vos enfants qui en pâtiront le plus.


    source: https://www.initiative-communiste.fr

     

     

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  • SONDAGE - 57% des Français se déclarent désormais mécontents de l’action d'Emmanuel Macron, selon le baromètre Ifop pour le JDD.

    Quatre mois après son élection triomphale, Emmanuel Macron est désormais un président minoritaire. Selon notre baromètre Ifop-JDD, le chef de l’Etat perd 14 points en un mois : seuls 40% des Français se déclarent satisfaits de son action, et 57% se déclarent mécontents (dont 20% "très mécontents"). Cette chute très abrupte prolonge celle du mois dernier (-10 points en juillet) pour aboutir à un effondrement de 24 points sans précédent : Jacques Chirac avait cédé 20 points entre mai et août 1995.

    La comparaison avec les prédécesseurs d'Emmanuel Macron ne lui est pas favorable
    La comparaison avec les prédécesseurs d'Emmanuel Macron ne lui est pas favorable (JDData)

    54% des Français étaient satisfaits de François Hollande en août 2012

    La comparaison avec ses deux devanciers à l’Elysée est nettement en défaveur de Macron : à la même distance de son élection, Nicolas Sarkozy recueillait 69% d’appréciations favorables en 2007 ; et François Hollande, avec 54% de jugements positifs en août 2012, pouvait encore compter sur un soutien majoritaire dans l’opinion.

    "L'addition des mécontentements et des frustrations est flagrante, ­relève Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l'Ifop. Elle se mesure à des niveaux impressionnants dans toutes les catégories de la population." Elle se constate aussi sur la cote du Premier ministre, qui l'accompagne dans sa chute sans paraître imprimer sa propre marque (– 9 % de satisfaits).

    Edouard Philippe accompagne Emmanuel Macron dans sa chute.

    Edouard Philippe accompagne Emmanuel Macron dans sa chute. (JDData)

    De toute évidence, l'effet des ­mesures sur la CSG et la taxe d'habitation a porté un coup à l'exécutif auprès des plus âgés : le Président perd 14 points chez les plus de 50 ans, 16 points parmi les retraités. L'annonce du coup de rabot sur les aides au logement semble avoir meurtri les plus jeunes : il recule de 14 points chez les 18-24 ans, de 15 points chez les 25-34 ans. Plus surprenant, la confiance dans le chef de l'État dévisse presque ­autant auprès des cadres et des professions intellectuelles supérieures (– 15 points) que chez les ouvriers (– 18). De même, il régresse fortement chez les sympathisants du PS (– 14 points), les écologistes (– 22), les centristes (– 24) et même parmi les électeurs du MoDem (– 18), parti de sa propre majorité.

    "Le plus préoccupant pour ­Macron est qu'une grille de lecture tend à s'installer, qui fait apparaître sa politique comme favorisant l'injustice", souligne Frédéric Dabi. Des témoignages recueillis en marge de l'enquête par l'Ifop, il ressort que les sujets de mécontentement sont divers : si le chef de l'État recule autant à gauche qu'à droite (– 14 points au PS, – 15 chez LR), c'est pour des motifs différents (sa ligne sur les migrants à droite, ses mesures sociales à gauche). Les sondés expriment aussi leur "incompréhension", leur impatience ("il ne fait pas grand-chose") ou leur inquiétude ("quand c'est flou, c'est qu'il y a un loup", émet l'un d'eux, citant Martine Aubry à propos de François Hollande).

    Preuve que, s'il reste très au-dessus de son score du premier tour (24 %) et s'il conserve un bloc de partisans résolus (92 % de satisfaits chez les sympathisants d'En Marche!), le Président est proche de la cote d'alerte.

    L’enquête a été menée par l’Ifop pour le JDD auprès d’un échantillon de 1 023 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession du chef de ménage) après stratification par région et catégorie d'agglomération. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne et par téléphone du 25 au 26 août 2017.

    source: http://www.lejdd.fr  (26 & 28/08/2017)

    Le baromètre mensuel IFOP/JDD concernant les indices de popularité de l'exécutif (août 2017).

     

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  • Diffusé en direct ce dimanche à partir de 11 h 30

    Dimanche 27 août 2017 Jean-Luc Mélenchon concluait les AMFiS d'été de la France insoumise à Marseille. Il a dénoncé la politique antisociale et antiécologique d'Emmanuel Macron, qui ne servira que les plus riches. Il a appelé à lutter contre le coup d'État social du président de la République avec la marche du 23 septembre qui aura lieu à Paris : https://www.facebook.com/events/20588...

    source: https://www.youtube.com/watch?v=ytOwVgrKvWk

     

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