• 38 postes médicaux et non médicaux sont à pourvoir au CHCB. 38 postes médicaux et non médicaux sont à pourvoir au CHCB. 

    Le centre hospitalier du Centre Bretagne recrute. Plus de 30 postes médicaux et non médicaux sont à pourvoir urgemment à Noyal-Pontivy, alors que la période des fêtes approche.

    25 CDI et 13 CDD : c’est le nombre de postes à pourvoir sur le site du Centre Hospitalier du Centre Bretagne (CHCB). Gynécologue obstétricien, médecin généraliste, contrôleur de gestion, agent d’entretien, cuisinier… L’établissement recrute dans tous les corps de métiers.

    «Cela fait des années qu’on est en souffrance. Il a y régulièrement autant d’offres d’emploi sur notre site»

    Comme dans « tous les hôpitaux de France »

    Selon la communication de l’hôpital, ce manque de bras est commun à « tous les hôpitaux français. Cela fait des années qu’on est en souffrance et il y a régulièrement autant d’offres d’emploi sur notre site ».

    Mais les besoins se font plus pressants à l’approche de la période des fêtes, particulièrement chargée pour les hôpitaux, d’où un besoin « urgent » de faire face au manque de personnel.

    Une motion déposée « sur l’état de notre hôpital »

    « Avec la covid-19, il y a de l’absentéisme, des personnes qui ne sont pas à leur poste ou qui ne restent pas à cause de leur rémunération ou des conditions de travail », déplore le CHCB, dont la commission médicale d’établissement a déposé une motion alertant les différentes autorités « sur l’état de notre hôpital. »

     

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  • L’équipe organisatrice de la projection-débat : Françoise Martin, Audrey Pesché, Anne Helaouët, Frédéric Delange et Christophe Popineau. L’équipe organisatrice de la projection-débat : Françoise Martin, Audrey Pesché, Anne Helaouët, Frédéric Delange et Christophe Popineau.

    Sans médecin permanent depuis plusieurs mois, l’île de Groix et ses habitants cherchent une solution pérenne pour trouver des professionnels de santé. Et met en avant ses atouts.

    Vendredi, au cinéma des familles de Groix, la soirée avait commencé sur un ton humoristique avec la projection de « La grande séduction », un film québécois qui racontait la mobilisation d’un village insulaire pour recruter un médecin permanent. De quoi donner des idées aux habitants de l’île de Groix, qui n’ont plus de médecin. 

    «Le médecin remplaçant ce mois-ci fait des journées de 12 à 14 h, ce n’est pas tenable»

    Tenir encore trois mois

    « La situation est complexe », dresse Frédéric Delange, le président de l’Apsig (Professionnels de santé de Groix). Actuellement, Marie Kernec, consultante déléguée par l’ARS, réalise un audit pour dresser un tableau de la situation insulaire ». « Elle a réalisé plus de 70 entretiens avec des professionnels, élus, particuliers, représentants d’organismes de santé. Elle nous présentera son compte rendu fin janvier », précise Anne Helaouët, vice-présidente de l’Apsig.

    « Il nous faut tenir encore trois mois, car cela demande du temps de mettre en place une équipe pérenne. On ne recrutera pas un médecin mais quatre à cinq sinon on ira de nouveau vers un échec : Deux médecins salariés de Kersanté ont démissionné en juin et aucun médecin remplaçant n’a souhaité s’installer ». « Le médecin remplaçant ce mois-ci fait des journées de 12 à 14 h, ce n’est pas tenable », déplore Frédéric Delange, qui est lui aussi très sollicité dans sa pharmacie.

    Le problème du logement

    « La commune a réservé deux appartements pour les médecins remplaçants. Mais pour s’installer durablement un médecin aspire à un logement plus spacieux voire une maison pour sa famille », pense le docteur Christophe Popineau, médecin coordinateur à l’Ehpad. « Les jeunes générations veulent aussi du temps de loisirs et travailler en équipe ; Groix a des atouts avec sa Maison de santé, sa formation à l’éducation thérapeutique du patient et son cadre de vie ».

     

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  • Les manifestants ont défilé dans les ruelles de l’intra-muros. Les manifestants ont défilé dans les ruelles de l’intra-muros.

    300 manifestants anti-passe ont défilé à Vannes, samedi 18 décembre. La prochaine manifestation devrait se dérouler le 8 janvier, trêve des confiseurs oblige.

    Près de 300 personnes ont participé, samedi 18 décembre, à la 23e manifestation anti-passe sanitaire à Vannes. Le cortège est parti vers 14 h 30 de l’esplanade du port, pour suivre un itinéraire improvisé (rue du Méné, Saint-Patern, rue Francis Decker, intra-muros, place des Lices…), et sous surveillance des forces de l’ordre.

     

    Discrète le long du parcours, un peu plus ostensible devant l’hôtel de ville, où se tient la banquise de Noël, et devant les remparts, où se déroule le marché de Noël.

    La manifestation anti-passe sanitaire a rassemblé un peu plus de 300 personnes.La manifestation anti-passe sanitaire a rassemblé un peu plus de 300 personnes.

    Chaque fois, le cortège a fait une halte pour manifester son irritation, mais le face-à-face n’a jamais dégénéré. La manifestation s’est disloquée vers 17 h. Les manifestants anti- passe devraient observer la trêve des confiseurs pour ne reprendre le mouvement que le samedi 8 janvier.

     

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  • Morbihan. 23e samedi de manifestation contre le passe sanitaire à Vannes   (OF.fr-18/12/21-14h49)

     

    Environ 250 opposants au passe sanitaire ont de nouveau défilé à Vannes (Morbihan) ce samedi 18 décembre 2021. Une 23e journée de manifestation tendue après l’envahissement du marché de Noël, qui avait fait deux blessés la semaine dernière.

    A une semaine de Noël, le centre-ville de Vannes (Morbihan) a de nouveau été animé par une manifestation anti-passe sanitaire, ce samedi 18 décembre 2021. La 23e depuis l’annonce de sa mise en place en juillet, la première depuis l’évocation du passe vaccinal qui pourrait en prendre la suite. Comme les samedis précédents, ils étaient entre 200 et 300 personnes à manifester illégalement dans le centre-ville, la manifestation n’étant pas déclarée.

    Plus de forces de l’ordre

    Comme les samedis précédents, ils ont fait tourner les forces de l’ordre en improvisant un parcours du port de Vannes jusqu’au marché de Noël des remparts, à travers les rues commerçantes. Seule différence : la présence plus importante de policiers nationaux et municipaux.

    Le marché de Noël a été bouclé à deux reprises par les forces de l’ordre pour éviter les échauffourées.

    Lors de la manifestation précédente, le cortège avait forcé les grilles du marché de Noël, dont ils contestaient l’obligation de présenter un passe sanitaire valide et d’y porter un masque. Deux personnes avaient été blessées dans la bousculade. Prié par les commerçants et le maire de Vannes de réagir, le préfet du Morbihan, Joël Mathurin, avait prévenu qu’il allait sévir.

    Nouvelles tensions au marché

    Les forces de l’ordre n’ont pas eu à intervenir, mais leur présence a été dissuasive. Que ce soit devant la mairie ou au marché de Noël, de nombreux manifestants ont copieusement insulté les commerçants et leurs clients, avec des allusions douteuses comme des cris « Heil Hitler » face aux policiers en bas des remparts ou cette pancarte reprenant une photo de l’entrée du camp d’Auschwitz-Birkenau, où son tristement portique « Arbeit macht frei » (le travail vous libère) a été remplacé par « Le pass sanitaire rend libre ».

    Après des moments de tension au cours de leurs deux passages devant le marché de Noël, le cortège s’est dispersé vers 17 h, en se donnant rendez-vous à l’année prochaine.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • La mairie de Lorient a annoncé son intention de démolir la Maison des syndicats. La CGT réclame une reconstruction au plus vite. La mairie de Lorient a annoncé son intention de démolir la Maison des syndicats. La CGT réclame une reconstruction au plus vite. 

    La mairie de Lorient a annoncé son intention de démolir la Maison des syndicats. La CGT réclame une reconstruction au plus vite.

    L’accueil des organisations syndicales crée toujours des tensions à Lorient. Jugeant la réhabilitation du bâtiment, situé rue Cosmao-Dumanoir, trop coûteuse, la municipalité a décidé de démolir la Maison des syndicats. Sans toutefois en dire plus sur son éventuelle reconstruction. Les syndicats, mécontents de leur relogement à L’Orientis, réclament que cela bouge.

    Ce vendredi, la CGT a ainsi remis le sujet sur le tapis, en comparant l’avenir de la Maison des syndicats à la construction prochaine de la Maison des skippers, à La Base. « 5,7 millions pour la maison des skippers. Combien pour la maison des syndicats ? » interroge le syndicat, selon lequel les coûts des deux projets seraient proches.

    « Certes, il s’agit d’un côté d’un investissement de l’agglo et de l’autre d’un investissement qui serait à la charge de la ville de Lorient. Mais comment ne pas faire le parallèle entre un bâtiment qui bénéficiera à quelques skippers alors que de l’autre côté, c’est un investissement permettant de mener dans de bonnes conditions une activité d’intérêt public ? (…) Nous attendons donc que la ville de Lorient prenne la décision de reconstruction de la Maison des syndicats ».

     

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  • Lorient. Grève « du zèle » aux portes de Naval group   (OF.fr-28/11/21-20h30)Aux portes Colbert et Penher, accès vers le site de Naval Group, une grève du zèle est attendue ce lundi de la part de salariés de Fiducial sécurité, qui assurent les contrôles à l’entrée.

    Ce lundi 29 novembre 2021, des salariés de Fiducial sécurité feront une grève du zèle. Les employés de Naval Group devront davantage patienter avant d’accéder au site, via les portes de Penher et de Colbert, à Lorient (Morbihan).

    Ce lundi 29 novembre, dès potron-minet, des salariés de Fiducial sécurité vont entamer une grève du zèle. Ces agents de sûreté qui travaillent pour le compte de Naval Group, vont renforcer les contrôles aux entrées, au niveau des portes Colbert à Lorient et Penher à Lanester (Morbihan).

    Naturellement, l’accès des employés du groupe industriel à leur poste de travail sera rallongé. « Il est hors de question pour nous d’impacter Naval Group. Par cette action, nous voulons interpeller », soumet Patrick Allheilly, agent de sûreté et représentant Force Ouvrière.

    Une revendication liée aux tenues de travail

    « Nous demandons une revalorisation des coefficients salariaux et des paniers moyens, d’autant plus que nos missions ont fortement évolué les dernières années. Nous demandons également à notre direction un changement de nos tenues qui ne sont pas imperméables. »

    Les employés de Fiducial travaillent entre trois pôles : prévention bord où ils assurent la sécurité des personnels sur les bâtiments en construction ; l’équipe pompiers qui intervient en premier lieu sur les débuts d’incendie ; l’équipe sûreté qui, 24 heures/ 24, quotidiennement, assure les accès aux entrées et prévient des intrusions extérieures. « Si un risque majeur haute sécurité devait se dérouler lors de notre mouvement, nous l’abandonnerions immédiatement. » Les salariés doivent rencontrer leur direction dans l’après-midi.

     

    Loïc TISSOT

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Au GHBS, le syndicat Sud Santé réagit vivement aux annonces du ministre de la Santé. Au GHBS, le syndicat Sud Santé réagit vivement aux annonces du ministre de la Santé. 

    Sud santé sociaux réagit aux annonces faites, vendredi 26 novembre, par le ministre de la Santé.

    Sud santé sociaux n’a pas apprécié les annonces du ministre de la Santé, Olivier Véran, ce vendredi 26 novembre. Pour la section syndicale du GHBS, elles sont « en complet décalage avec la réalité dans les Ehpad » au regard de la pandémie. Le syndicat souligne que les contaminations reprennent. « Cette situation est particulièrement grave en raison des risques liés à la maladie pour les résidants et les agents, mais aussi en raison de l’insuffisance des remplacements au GHBS », écrit-il dans un communiqué. 

    Sud santé rappelle qu’il dénonce l’insuffisance des effectifs et des moyens de remplacement depuis des années. « Cette situation s’est aggravée depuis quelques mois avec les nombreux départs de l’hôpital public et les difficultés historiques de recrutements ». Le syndicat demande des renforts immédiats dans les « services dédiés aux personnes âgées ». Cela concerne les Ehpad, mais aussi les services de médecines gériatrique et polyvalente.

    Mobilisation les 4 et 7 décembre

    « Sans moyens financiers supplémentaires importants pour les hôpitaux publics, ceux-ci continueront de limiter les effectifs largement insuffisants dans nos services : les conditions de travail en permanence dégradées font de l’hôpital le champion des accidents de travail et des maladies professionnelles, et entraînent un nombre de départs des agents inédit (doublé depuis deux ans au GHBS) ! Cette situation est inacceptable ! », termine le syndicat avant d’appeler la population et le personnel à se mobiliser ce samedi 4 décembre, à 14 h, à Pontivy, pour la manifestation organisée par le Collectif de défense de l’hôpital public en Centre-Bretagne. Puis le 7 décembre, à 10 h, près du bâtiment d’Askoria, à Lorient.

     

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  • Lorient. Environ 180 personnes au nouveau rassemblement anti passe sanitaire   (OF.fr-27/11/21-18h45)Ils étaient un peu moins de 200 à manifester ce samedi 28 novembre à Lorient.

    Vingtième semaine de mobilisation pour les anti passe sanitaire, qui étaient environ 180 à défiler dans les rues de Lorient (Morbihan), cet après-midi.

    Vingtième semaine de mobilisation contre le passe sanitaire, ce samedi 28 novembre 2021, à Lorient (Morbihan). Un peu moins de 200 personnes se sont retrouvées place de l’Hôtel-de-Ville avant de défiler en cortège, à travers le centre-ville. Mort au passe, Liberté, est-il scandé.

    Dans les rangs, les pancartes expriment des idées qui dépassent parfois la seule question du passe, reflets d’une colère citoyenne qui, chaque semaine, s’exprime.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Les manifestants anti-passes choisissent désormais de défiler dans l’intra-muros, pour être vus. Les manifestants anti-passes choisissent désormais de défiler dans l’intra-muros, pour être vus. 

    Vingtième samedi de mobilisation contre le passe sanitaire, à Vannes. Sans leader, non déclarée, la manifestation de ce samedi 27 novembre a défilé dans l’intra-muros.

    Les saisons passent, les opposants au passe sanitaire restent. Lancée au cœur de l’été, la mobilisation contre le passe se poursuit depuis maintenant 20 semaines. Ce samedi 27 novembre, de nouveau, ils étaient environ 300 dans les rues de Vannes à crier : « Liberté, résistance ». Les grandes manifestations familiales du mois d’août sont désormais un lointain souvenir. Sans leader, sans déclaration auprès de la préfecture, cette froide et humide manifestation de fin novembre, avait un air d’improvisation. « L’autonomie, c’est pas facile », résume Nelly, avant de s’élancer depuis l’esplanade Simone-Veil.

    Des Gilets jaunes dans le cortège

    À chaque carrefour, la tête de cortège choisit au dernier moment sa destination. Quitte à se retrouver nez à nez avec des voitures. Les manifestants défilent désormais dans l’intra-muros, sous les yeux de passants, parfois passablement agacés. « Il faut bien aller là où les gens sont pour être vus, sinon ça ne sert à rien », résume Jo, anti-passe et Gilet jaune de la première heure.

    Comme lui, ils sont une poignée, anciens manifestants des ronds-points à venir donner de la voix contre le passe sanitaire : « C’est aussi un combat pour la liberté », estime Jo. Pour célébrer cette liberté, Patricia a confectionné 100 flambeaux de la liberté qu’elle distribue aux manifestants. « On ne manifeste pas contre quelqu’un mais pour être libres ». Dans le cortège pourtant, certains provoquent de par leurs slogans chantés ou leurs pancartes. « Éteignez la télé, allumez vos cerveaux », scandent-ils aux passants, place des Lices.

    Après 20 journées de mobilisation, la manifestation constitue-t-elle le meilleur moyen pour se faire entendre ? « On voit bien que ça ne parle pas à nos dirigeants, concède Marie-France. Mais au moins, en se retrouvant chaque semaine, on se sent moins seuls ».

     

    Fanny Coconnier

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  • Depuis plus de quatre mois, le centre-ville de Vannes est rythmé par les manifestations contre le passe sanitaire.Depuis plus de quatre mois, le centre-ville de Vannes est rythmé par les manifestations contre le passe sanitaire. 

    À moins d’un mois de Noël, le centre-ville de Vannes (Morbihan) a de nouveau été animé par une manifestation anti passe sanitaire. La vingtième. Ce samedi 27 novembre 2021, ils étaient encore quelque 300 personnes à manifester. Non sans susciter une certaine exaspération parmi les passants et les commerçants.

    Si « le lundi c’est ravioli » chez les Le Quesnoy dans La vie est un long fleuve tranquille , le samedi, c’est manif à Vannes (Morbihan). Et comme entre les Groseille et les Le Quesnoy, entre les manifestants d’un côté, et les commerçants et leurs clients de l’autre, il y a beaucoup d’incompréhension. Ce samedi, ils étaient encore quelque 300 personnes à manifester et crier « Liberté ! » dans les rues commerçantes du centre-ville.

     

    « Et la fraternité ? », leur répondent des passants fatigués de revoir le même cortège tous les samedis après-midi à partir de 14 h 30. À quelques semaines de Noël, ces manifestations ne sont pas un cadeau pour les commerçants du centre-ville qui ont demandé à plusieurs reprises l’interdiction des manifestations dans l’intra-muros. Comme elles ne sont pas déclarées, elles ne sont pas autorisées. Ça fait quatre mois que la police et les manifestants jouent au jeu du chat et la souris à déambuler sans parcours défini. La vie n’est pas un long fleuve tranquille le samedi après-midi à Vannes.

     
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