• Le centre hospitalier de Quimper souffre, comme tous les autres, de manque de personnel pour l’été. Le centre hospitalier de Quimper souffre, comme tous les autres, de manque de personnel pour l’été. 

     

    Ce mardi 7 juin, à 14 h 15, la CGT du centre hospitalier de Cornouaille appelle au rassemblement devant l’établissement quimpérois, dans le cadre de la journée nationale de mobilisation dans le secteur de la santé. L’occasion pour le syndicat et le personnel mobilisé d’exprimer « les craintes et colères concernant une politique de santé qui ne répond pas aux attentes à l’orée d’une période estivale qui s’annonce très difficile », expose la CGT.

    Dans un communiqué, les trois candidats de la Nupes aux élections législatives pour les première (Quimper), septième (Pont-l’Abbé-Douarnenez) et huitième (Concarneau-Quimperlé) circonscriptions invitent la population à prendre part avec eux au rassemblement programmé pour réclamer que « l’hôpital public puisse assurer sa mission de service public avec les moyens financiers nécessaires ».

    « Un plan d’urgence pour les hôpitaux »

    La section du PCF et les élus communistes du pays de Quimper affichent leur soutien et appellent le plus grand nombre à participer au rassemblement. « Bien avant la pandémie, l’hôpital public était en état d’urgence, mais les gouvernements successifs sont restés sourds aux appels pressants des personnels, des syndicats, des collectifs de soignants ou d’usagers, à changer fondamentalement les politiques qui ont affaibli l’hôpital public, rendu plus difficile et plus inégalitaire l’accès aux soins, dans le même temps où s’effondrait la démographie médicale (…)», écrit la section. D’ajouter : « Les communistes proposent un plan d’urgence pour les hôpitaux, un moratoire sur toutes les restructurations et fermetures, la suppression de la T2A et un financement à la hauteur des besoins pour que les hôpitaux puissent former et embaucher des personnels et investir, la création de 100 000 emplois tout de suite, la restauration des instances démocratiques, la revalorisation des métiers… ».

    « L’été est annoncé comme catastrophique »

    « Dans les hôpitaux, partout en France, l’été est annoncé comme catastrophique, écrit Gérard Mas au nom du Nouveau parti anticapitaliste, dans un communiqué. En réalité, la catastrophe a déjà commencé. Cent vingt services d’urgence ne parviennent plus à fonctionner temporairement ou définitivement faute de personnel. Dans de grandes villes comme Orléans (en grève depuis plusieurs semaines), Bordeaux ou Rouen, ce sont les urgences des CHU qui ne parviennent plus à répondre. Ce sont en fait tous les services qui connaissent la pénurie (…) ». Le militant ajoute : « La catastrophe hospitalière est accompagnée de l’extension des déserts médicaux. Elle n’a rien d’un accident imprévisible. C’est le résultat direct d’années de politiques d’austérité et de privatisation des gouvernements successifs ».

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Interventions de Pierre-Yves Cadalen, candidat de la Nouvelle Union Populaire écologique et sociale aux élections #legislatives2022 dans la 2e circonscription du Finistère (Brest-centre), dans un débat tv.

    Source : https://www.youtube.com

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  • À Brest, la deuxième marche pour le futur a réuni une trentaine de participants. ( OF.fr - 05/06/22 - 15h42 )Ils étaient à peine une trentaine à assister à l’acte 2 de la marche « Brest pour le futur » sur la place de la Liberté, à Brest, ce samedi 4 juin, à 14 h. L’objectif du mouvement est de rassembler dans chaque ville les acteurs, citoyens, associations et collectifs engagés dans un combat pour un futur désirable.

    Après le succès de la première édition de la marche « Brest pour le futur » le 9 avril 2022, qui avait réuni 250 manifestants, un deuxième acte a eu lieu samedi 4 juin, place de la Liberté, à Brest. Ce deuxième rassemblement a réuni une trentaine de participants.

    Ils étaient à peine une trentaine à assister à l’acte 2 de la marche « Brest pour le futur » sur la place de la Liberté, à Brest (Finistère), ce samedi 4 juin 2022, à 14 h. La première édition nationale avait eu lieu le 9 avril 2022.

    L’objectif du mouvement est de rassembler dans chaque ville les acteurs, citoyens, associations et collectifs engagés dans un combat pour un futur désirable. Guerre en Ukraine, crises climatique et sanitaire, explosion des inégalités, montée des discours de haine, violences sexistes et de genres… Nombreuses sont les raisons du découragement et de la paralysie. Depuis de nombreuses années, on veut nous faire croire que l’histoire est déjà écrite, explique John Rota, organisateur de la Marche Brest pour le futur. Mais il ne tient qu’à nous de dessiner notre futur pour faire des cinq prochaines années celles de la justice, du climat, de l’égalité, de la liberté et de la paix.

    Les principaux combats au cœur des débats

    Cette 2e édition brestoise voulait rassembler l’ensemble des acteurs de la vie associative de Brest tournés autour des droits et des violences faites aux femmes, de la justice climatique, de la transition écologique, de la justice sociale, de la culture et des artistes, du circuit économique et local, de la cause et la protection animale et de la Nupes, qui englobe tous ces combats selon les organisateurs.

    Un site internet intitulé brestpourlefutur.org propose de mettre en lien les citoyens et les associations/collectifs. La manifestation a surtout été l’occasion d’un certain nombre de prises de parole politique telles que celles d’Alice Vasseur, candidate pour la Liste « Brest, la liste citoyenne », Melvyn Hita pour le Poid et Pierre-Yves Cadalen pour la Nupes. Nous aurions aimé avoir davantage d’acteurs associatifs engagés mais il y avait trop de manifestations ici et là sur le territoire », déplore John Rota.

    Source : https://www.ouest-france.fr

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  • Le bureau de poste de Guilers.Le bureau de poste de Guilers.

    Interpellé par le groupe minoritaire au conseil municipal de Guilers, Pierre-Yves Cadalen, candidat aux législatives sur Brest centre sous l’étiquette de l’alliance Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), défend le maintien de la Poste dans cette commune. La question a fait l’objet d’une délibération du conseil municipal de Guilers le 27 janvier 2022, au cours duquel a été voté le principe de création d’une agence postale communale (APC), vote sur lequel la minorité s’est abstenue.

    « Je tiens à affirmer mon soutien plein et entier au maintien d‘un bureau de poste à Guilers. L‘attachement de la Nouvelle union populaire, écologique et sociale aux services publics de proximité est l’un des points centraux de notre programme. Avec 8 000 habitants, il est à la fois essentiel et sensé que La Poste soit pleinement maintenue à Guilers, ce qui signifie que le bureau de poste doit y perdurer. Nous soutiendrons les mobilisations allant en ce sens », écrit le candidat de Nupes, dans un communiqué.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Le collectif d’usagers TER Bretagne Sud interpelle les candidats aux législatives (Photo d’illustration)

    À quelques jours des élections législatives, le collectif d’usagers TER Bretagne Sud vient d’interpeller les candidats sud-finistériens et morbihannais. Il veut en effet connaître leurs « ambitions ferroviaires ».

    « Qu’allez-vous faire concrètement pour que la ligne Bretagne Sud retrouve davantage de TER ? », « Avez-vous un programme d’envergure pour que la ligne puisse rejoindre les grandes métropoles françaises sans correspondance ? », « Est-ce que vous allez intervenir au Parlement pour que la ligne retrouve ses trains de nuit ? », « Qu’allez-vous faire pour éviter la fermeture des petites gares ? »… Ce sont quelques-unes des questions que le collectif d’usagers TER Bretagne Sud vient d’adresser aux candidats aux législatives sur les circonscriptions traversées par la ligne (« Quimper, Rosporden, Quimperlé, Lorient, Hennebont, Auray, Vannes, Questembert… »). Un collectif qui milite « depuis cinq ans pour un meilleur service ferroviaire pour tous les usagers de la ligne Bretagne Sud ». Et qui souhaite donc aujourd’hui connaître les « ambitions ferroviaires » des candidats.

    « Avoir un service de train digne de ce nom »

    « Même si nous savons que le TER est avant tout géré par la Région Bretagne, l’État n’est pas en reste, notamment pour les subventions, pour le choix de certaines lignes prioritaires et des nouvelles comme les Trains de Nuit, où la Bretagne est la grande oubliée », écrit le collectif dans le courrier adressé aux candidats. « Grâce à votre future assise locale et nationale, vous avez donc les moyens d’améliorer la situation ferroviaire de la ligne Bretagne Sud afin que tous les Bretons puissent avoir un service de train digne de ce nom ».

     
     
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  • Moëlan/Mer-Lundi 6 juin-18h-Réunion publique NUPES avec Christiane GUILLAUME & Youenn LE FLAO

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  • L'Union Pirate Finistérienne à le plaisir d'organiser un débat pour les législatives entre les différent•es candidat•es de Brest-centre.

    Source : https://twitter.com/UnionPirate_UBO

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  • Réunion publique du 7 juin. ( Fb.com )

    Mardi 7 juin, à partir de 20h30, retrouvons nous au patronage laïque du pilier rouge (2 rue de Fleurus) pour une soirée conviviale et fraternelle à quelques jours du premier tour !
    Soyons nombreux à partager ce moment important de la campagne. Au programme : des discours, de la musique et des échanges autour d'un pot pour terminer !
    Sympathisants ou juste curieux, n'hésitez pas à venir et à faire passer le mot autour de vous. La soirée est gratuite et ouverte à tous.
     
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  • À Douarnenez, un mouvement social du personnel communal dans les écoles mardi 7 juin  (OF.fr-3/06/22-11h12)Un mouvement social du personnel communal est prévu dans les écoles le mardi 7 juin. 

    Un mouvement social du personnel communal est prévu pour le mardi 7 juin 2022. Il concerne les écoles Victor Hugo, Marie Curie, Jules Verne et François Guillou.

    Un mouvement social du personnel communal est prévu pour le mardi 7 juin 2022, pour les écoles Victor Hugo, Marie Curie, Jules Verne et François Guillou. Par conséquent, tous les enfants devront obligatoirement être déposés à l’école au plus tôt à 8 h 35, être pris en charge par leurs familles de 11 h 45 à 13 h 35 (aucune surveillance ne sera assurée le midi même avec pique-nique), être récupérés à l’école à 16 h 45 à la sortie de classe. Pour l’école Laennec, seul le service de restauration scolaire sera fermé mais un service minimum de surveillance en pause méridienne sera proposé de 11 h 45 à 13 h 35. Tous les enfants devront être munis d’un repas froid, les garderies matin et soir fonctionneront normalement. Renseignements complémentaires au service éducation au 02 98 74 46 29 ou par mail à education@mairie-douarnenez.fr

     

    source:  https://www.ouest-france.fr/

     

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  • Moelan/Mer-Lundi 6 juin-Réunion publique NUPES avec Christiane GUILLAUME et Youenn LE FLAO (4/06/22)

     

    « Nous devons, de toute urgence, répondre aux inquiétudes et à la grande précarité que connaissent les français.es. Dès notre élection, nous mettrons en place des mesures d’urgence pour répondre à la situation de hausse des prix. Nous augmenterons le SMIC à 1500 euros, nous bloquerons les prix sur les produits de première nécessité, nous encadrerons les loyers, nous mettrons en place un revenu d’autonomie de 1063 euros pour que plus personne ne vive sous le seuil de pauvreté. La majorité de la Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale procédera également au dégel et au rattrapage du point d’indice des fonctionnaires et fera en sorte qu’aucune pension de retraite complète ne soit inférieur au SMIC. Il est temps d’en finir avec cette politique qui demande toujours aux mêmes de se serrer la ceinture et qui ne leur laisse que des miettes » (Youenn Le Flao)

    Youenn Le Flao et Christiane Guillaume, candidat et suppléante de la 8e circonscription du Finistère pour la Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale organisent une réunion publique lundi 06 juin à 18h à la maison des loisirs et de la culture de Moëlan-sur-Mer. Ils présenteront les premières mesures d’urgence que la Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale entend instaurer dès le mois de juin. Cette rencontre sera aussi l’occasion de revenir sur le financement du programme, d’en démontrer la pertinence et la faisabilité.

    La réunion publique s’adresse à toutes et tous, curieuses et curieux, sympathisant·es ou citoyen·nes en questionnement sur leur vote les 12 et 19 juin prochains. C’est l’occasion d’interroger Youenn Le Flao et Christiane Guillaume sur leurs engagements et de faire part des préoccupations des habitant·es de la circonscription sur le sujet du pouvoir d’achat… et d’autres !

    Informations pratiques
    Lundi 06 juin, 18h

    Maison des loisirs et de la culture, Moëlan-sur-Mer

    Contact presse presse@youennleflao.fr

     

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  • Les Urgences en France au bord de l'explosion...Mobilisation le 7 juin au CHRU Brest-Carhaix. ( Fb.com - 03/06/22 )

    Source : https://www.facebook.com

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    Mobilisation nationale de la profession psychologues le 10 juin.
    Manifestation départementale à Brest.
    12h à 13h Rassemblement Place de la Liberté
    13h à 14h Assemblée Générale / Débat public-Fac de lettre-Amphi 3 avec possibilité de participer en visioconférence (QR code sur le tract

    Source : https://www.facebook.com

    LE LIEN VERS L'EVENEMENT FACEBOOK

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  • Cette semaine ce qui va faire le gros de notre actualité au CHRU Brest , c’est bien évidemment la situation critique dans les hôpitaux, particulièrement dans les services d’urgence, mais pas que… Ainsi, dans l’établissement, Les choses vont être difficiles pour la période estivale face aux difficultés de recrutement.
    Face à cela, la CGT appelle à une journée d’action, grève et manifestations le 7 juin prochain. D’ores et déjà, face au bricolage que font entrain de réaliser certains services avec les organisations de travail, la Cgt vous appelle à être particulièrement vigilants sur les mesures qui vont être prises en matière d’organisation du travail pendant l’été et à nous informer de toutes situations anormales. En outre, elle exige de la direction que les instances de l’établissement : CHSCT et CTE jouent pleinement leurs rôles et qu’elles soient informées de la mise en place de toutes les modifications d’horaires pour s'assurer du respect de la réglementation.
    Nous ferons aussi le point sur les services et les catégories en lutte dans l’établissement. Vous verrez que sur le sujet, la période est encore très intense. Enfin nous terminerons cette vidéo par la situation particulièrement inquiétante de la psychiatrie de notre établissement…

    Source : https://www.facebook.com

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  • À l’appel de la CGT, les salariés du service des urgences de la polyclinique de Keraudren seront en grève mardi.À l’appel de la CGT, les salariés du service des urgences de la polyclinique de Keraudren seront en grève mardi. 

    À l’appel de la CGT, les salariés du service des urgences de la polyclinique de Keraudren seront en grève mardi.

    Pour la première fois, au centre hospitalier privé de Brest, les personnels du service des urgences à la polyclinique de Keraudren ont décidé de se mettre en grève mardi.

    Le syndicat CGT Santé Privée de Brest qui accompagne le mouvement a déposé, mercredi, un préavis reconductible qui débutera dès 7 h, dans ce service qui reçoit en moyenne 110 patients par jour.

    Les revendications du personnel des urgences portent sur des effectifs suffisants pour travailler en sécurité, une prime de responsabilité pour l‘ensemble du personnel affecté au service des urgences de 200 € nets mensuels, la reconnaissance du statut de secrétaire médicale pour les secrétaires du service des urgences, l‘amélioration des problématiques organisationnelles, des conditions et de la qualité de vie au travail. Le renouvellement du matériel défectueux et l‘investissement dans le matériel supplémentaire nécessaire sont également demandés

     Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Alors que la fermeture du bureau de poste de Guilers est dans les tuyaux, le groupe minoritaire souhaite interpeller les candidats aux législatives sur la défense des services publics.Alors que la fermeture du bureau de poste de Guilers est dans les tuyaux, le groupe minoritaire souhaite interpeller les candidats aux législatives sur la défense des services publics. 

    Le groupe minoritaire au conseil municipal de Guilers interpelle les candidats aux législatives dans la deuxième circonscription du Finistère, sur le devenir du bureau de poste dans la commune.

    « Citoyen.ne.s, ensemble pour Guilers », le groupe minoritaire au conseil municipal de Guilers, interpelle les candidats aux législatives dans la deuxième circonscription du Finistère, sur le devenir du bureau de poste dans la commune. « De notre point de vue, la défense d’un service public de qualité et de proximité est un impératif. Au vu de la dimension de Guilers et de son attractivité, la fermeture du bureau de poste est inconcevable », souligne le groupe dans un communiqué.

    Le texte daté du 2 juin 2022 rappelle que, le 9 mars 2021, le conseil de la Métropole de Brest avait voté à l’unanimité un vœu relatif au développement d’un service postal de qualité et de proximité sur la collectivité. Puis, le 3 janvier 2022, La Poste avait entériné le maintien du bureau de poste de Guilers dans le cadre de la réorganisation du secteur de Brest Bellevue, avec fermeture le jeudi. Mais le 27 janvier, « à la surprise générale, le maire de Guilers a fait voter en conseil municipal le principe de création d’une agence postale communale pour remplacer le bureau de poste », poursuit la minorité, qui s’était abstenue.

    « Aucune information »

    Cela n’a pas empêché le principe d’être adopté, ouvrant alors les négociations entre le maire et La Poste sur les modalités d’ouverture d’une agence postale communale à Guilers. En réaction, le syndicat CGT FAPT 29 Nord a alerté l’opinion publique et lancé une pétition dans les commerces de Guilers. Après avoir recueilli environ 1 500 signatures, le syndicat a appelé à la mobilisation pour le 5 avril. Le cortège s’est rendu à la mairie où une délégation a rencontré le maire.

    « Celui-ci est resté ferme sur sa position. Depuis lors, aucune information supplémentaire n’a été fournie aux Guilériens ou aux élus, qui ne comprennent pas ce revirement de situation », déplore le groupe minoritaire. Ce dernier appelle donc les candidats aux législatives dans la deuxième circonscription à se positionner au sujet de la fermeture du bureau de poste de Guilers et, plus généralement, quant à la défense du service public.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Quimper. Quel avenir pour l’aéroport ? Une étude est en cours  (OF.fr-3/06/2022-7h25)L’aéroport de Quimper-Cornouaille, à Pluguffan, dans le sud-Finistère. 

    Quel avenir pour l’aéroport de Quimper-Cornouaille, à Pluguffan, dans le sud Finistère ? Une étude est actuellement menée pour apporter des éléments de réponse à cette question.

    Quel avenir pour l’aéroport de Quimper-Cornouaille, à Pluguffan (Finistère) ? La question revient cycliquement ces dernières années. Pour rappel, en 2019, Air France avait arrêté les liaisons de sa filiale Hop ! entre Quimper et Paris-Orly. Après une vacance de quelques semaines, la compagnie Chalair avait rétabli le service. Cela grâce à une obligation de service public, synonyme entre autres de soutien financier public (État, Région, Département, collectivités locales…), pendant quatre ans.

    Ce jeudi 2 juin 2022, Dadkhah Forough-Léa, vice-présidente à Quimper Bretagne Occidentale, participait à un point presse sur Brittany Aviation (une société qui veut se développer sur le conseil en solutions aériennes en milieu maritime).

    Interrogée lors de ce rendez-vous sur le devenir de l’aéroport, Dadkhah Forough-Léa, qui est aussi vice-présidente à la Région Bretagne, indique « qu’une étude est en cours pour voir l’évolution à donner. Tout le monde le reconnaît : le modèle économique d’aujourd’hui de l’aéroport n’est pas viable. Il ne peut donc pas continuer en tant que tel et nous voulons le faire évoluer ». L’élue souligne aussi « le grand enjeu de la mobilité pour le territoire », en citant le transport aérien, le ferroviaire et le tout-numérique.

     

    Rose-Marie DUGUEN

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Quimper. Législatives 2022. Gestion de l’eau : deux candidats ont répondu aux associations  (OF.fr-3/06/2022-17h54)Daniel Ferrenbach, représentant du Carepa, avec ceux d’Eau secours 29 Jean-Yves Le Bouter, Yves Le Berre, Alain-François Calderon et Stéphanie Grevet. 

     

    Le Collectif pour une gestion publique et transparente de l’eau et de l’assainissement avait transmis, il y a deux semaines, un questionnaire aux candidats des législatives dans la circonscription de Quimper (Finistère) pour les interpeller sur la problématique de la gestion de l’eau. Les membres déplorent que seuls deux leur ont répondu.

    Il y a deux semaines, le Collectif pour une gestion publique et transparente de l’eau et de l’assainissement, constitué d’associations environnementales (Eau secours 29, Carepa, Eaux et rivières de Bretagne) a transmis un questionnaire aux candidats aux élections législatives dans la circonscription de Quimper (Finistère). « On voulait que les élus connaissent notre position et en faire un débat public. La maîtrise du cycle de l’eau s’impose comme une priorité. » Cela alors que l’agglomération devra définir en février 2023 le mode de gestion de l’eau.

    Vingt-deux questions

    Ce vendredi 3 juin 2022, le collectif annonce que deux candidats leur ont transmis des réponses aux 22 questions posées : Grégory Lebert (Nupes) et France Herman (Reconquête !). Le candidat de l’union de la gauche est favorable à la régie publique comme mode de gestion de l’eau, ce qui satisfait les militants, lesquels préconisent ce modèle. France Herman se dit défavorable à la gestion par des sociétés privées et que le contrat de délégation de service public « serait à revoir. »

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Brest. L’intrépide résistant Paul Monot honoré rue Conseil. ( OF.fr - 02/06/22 - 07h27 )                L’adjoint au maire Éric Guellec, membre du PCF, lors de son discours, mercredi 1er juin 2022, au lavoir de la rue Conseil, en hommage au résistant Paul Monot, mort pour la France à 22 ans.

    En hommage à Paul Monot, fusillé à 22 ans, le 17 septembre 1943 au Mont Valérien, une plaque commémorative vient d’être dévoilée au n° 27 rue de la rue Conseil, à Brest (Finistère). Là où vécut ce communiste brestois, courageux résistant mort pour la France.

    « Il est près de 11 h et on vient de me prévenir que mon recours en grâce est rejeté : je serai fusillé cet après-midi à 16 h, mais je saurai mourir en vrai Français. » Cette « bien triste nouvelle », est contenue dans l’ultime lettre de Paul Monot, celle qu’il envoie à sa « chère grand-mère, oncle, tante et cousines ».

    Puissants, les derniers mots du si courageux résistant brestois, fusillé le 17 septembre 1943 au Mont Valérien, résonnent, mercredi 1er juin 2022, au lavoir de la rue Conseil, lus avec respect par l’un de ses descendants, le jeune Titouan Rioual-Belbéoch.

    « Je meurs au poteau »

    « Je demande pardon à vous tous car je n’ai pas toujours été chic », écrit celui qui, à 22 ans, va mourir, dans quelques heures, pour la France : « Je suis vaincu, je paye et c’est la loi […] Il y en a qui meurent dans leur lit, d’autres au champ d’honneur, moi, je meurs au poteau, qu’est-ce que vous voulez, c’est ma destinée. »

    Pour le 101e, exactement, anniversaire de sa naissance, le 1er juin 1921 à Brest, la mémoire de Paul Monot est particulièrement honorée, dans le quartier de Saint-Martin : au n° 27 de cette rue Conseil où il vécut, une plaque commémorative vient d’être dévoilée, alors que la Ville de Brest célèbre le 75e anniversaire de l’attribution, par la Nation, de la médaille de la Résistance française : « Un geste important » et mérité.

    Roger-Pierre Berthelot, fils et petit-fils de résistants brestois, devant le n° 27 de la rue Conseil, où vécut Paul Monot, résistant FTP brestois, mort, à 22 ans, pour la France.

    Ouvrier à l’arsenal de Brest, membre de l’organisation, spéciale, des Francs-tireurs et partisans français (FTPF), Paul Monot, « trop jeune pour être mobilisé quand la guerre éclata », fut l’un des intrépides instigateurs de la vague d’attentats et de sabotages, une trentaine au minimum, commis en 1942.

    « L’année 1942 marque un tournant, avec l’utilisation d’explosifs, raconte l’historien Gildas Priol. On voit, avec cette montée en puissance de leurs actions, leur détermination à entraver la machine de guerre allemande. »

    Un soldat sans uniforme

    Fortement engagé, dès 1938, au Parti communiste français, qui deviendra le plus grand mouvement de résistance à Brest, Paul Monot fit partie « du noyau resserré et moteur », de « ces soldats sans uniforme », agissant « tapis dans l’ombre ».

    « Les FTPF ont pu compter sur lui, continue Gildas Priol. Entre deux propagandes, sur son lieu de travail, il sabotait les machines. » ​Ou tentait, rue Jean-Jaurès, de faire sauter le local surnommé « la maison d’Hitler »…

    Cette « pétillante activité » est ébranlée, à l’automne 1942. La police française, « ces traîtres à la patrie » que Paul Monot « détestait bien plus que l’occupant », démantèle la cellule brestoise. Jugé en août 1943, l’électricien est condamné à mort, avec dix-huit résistants brestois.

    « Je ne suis pas jaloux de ceux qui restent, et, comme il y a déjà des monceaux de cadavres avant moi, j’espère que je serai dans les derniers à payer de ma vie la joie de voir enfin la victoire qui approche à grand pas, l’unité communiste réalisée dans un monde sans guerre, conclut, vibrant, Paul Monot. N’oubliez jamais que vous n’aurez cela qu’avec un régime où tous les prolétaires seront unis. »

    Source : https://www.ouest-france.fr

    Auteur : Frédérique Guiziou

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  • Quelques membres du collectif se sont réunis, ce mercredi matin, à Quimper.Quelques membres du collectif se sont réunis, ce mercredi matin, à Quimper.

    Par le biais d’une lettre ouverte, le Collectif finistérien pour l’interdiction des armes nucléaires demande aux candidats aux législatives de se positionner sur « le désarmement nucléaire ».

    À quelques jours désormais du premier tour des élections législatives, le Collectif finistérien pour l’interdiction des armes nucléaires a décidé d’interpeller les candidats du département. Objectif ? « Connaître leur position concernant le désarmement nucléaire et, plus globalement, la politique de paix et de sécurité qu’ils défendront, en cas d’élection, à l’Assemblée nationale ».

    Une question d’autant plus essentielle que « la guerre en Ukraine a montré que l’usage de l’arme nucléaire n’est plus une vue de l’esprit », assure le collectif. « Alors que la guerre frappe à la porte de l’Europe, la rade de Brest avec la présence de l’Île Longue se trouverait directement concernée en cas d’extension du conflit ukrainien, du fait de son rôle stratégique », poursuit le collectif, qui se dit soucieux « d’inverser l’approche dogmatique de l’arme nucléaire supposée être notre "assurance vie"».

    « Mener un travail d’information »

    Créé en 2018, le collectif finistérien a pour mission de « mener un travail d’information auprès des citoyennes et des citoyens afin de relayer localement la campagne internationale pour abolir les armes nucléaires ». Il se compose aujourd’hui de : Mouvement de la paix, Université européenne de la paix, Agir pour un environnement et un développement durable, association France Palestine Solidarité, Anciens appelés en Algérie et leurs amis contre la guerre, CGT, FSU, Solidaires, Europe Écologie les Verts, Ensemble !, La France Insoumise, Nouveau Parti Anticapitaliste, Parti communiste français, Union démocratique bretonne.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Lors de l’audience, en mars dernier, les membres de l’association Henri-Pézerat étaient venus soutenir l’ancien technicien de DCN qui vient d’obtenir gain de cause auprès du pôle social du tribunal juLors de l’audience, en mars dernier, les membres de l’association Henri-Pézerat étaient venus soutenir l’ancien technicien de DCN qui vient d’obtenir gain de cause auprès du pôle social du tribunal judiciaire de Brest. 

    Le tribunal judiciaire de Brest a reconnu la faute de la Direction des constructions navales (DCN) à l’encontre d’un ancien salarié ayant travaillé des années auprès des têtes nucléaires de sous-marin à l’Ile-Longue.

    Le pôle social du tribunal judiciaire de Brest a reconnu la responsabilité de l’entreprise d’État quant au développement d’une maladie d’un ancien technicien de la direction des constructions navales (DCN). Pendant des années, celui qui est aujourd’hui âgé de 65 ans, a travaillé à proximité immédiate des missiles nucléaires. Sa maladie professionnelle a été reconnue il y a un an.

    Risque de leucémie

    En 2018, alors qu‘il avait quitté ses fonctions sept années plus tôt, on lui décelait une thrombopénie aboutissant au diagnostic de myélodysplasie, un stade où il peut développer une leucémie à tout moment. Pendant des années, il a travaillé à proximité et autour des missiles sans protection ni précautions suffisantes. « On nous expliquait que l’enveloppe du missile suffisait à nous protéger, que l’on travaillait comme sur un morceau de bois » déclarait-il, il y a deux mois, à l’issue de l’audience.

    À partir de 1996, les mesures de protection ont considérablement été renforcées, ce qui prouve bien que les armes nucléaires entretenues à l’Ile-Longue n’étaient pas si inertes et si inoffensives que cela. C’est dans ce sens qu’a tranché, ce jeudi 2 juin, dans son délibéré, le tribunal de Brest, estimant que les mesures de protection et de prudence n’ont visiblement pas été suffisantes pendant toutes ces années passées autour des armes de la force de dissuasion.

    Un soulagement pour ce technicien soutenu par l’association Henri-Pézerat. Le tribunal a ordonné la majoration de sa rente et l’évaluation du préjudice par un médecin expert, afin de déterminer le montant des dommages et intérêts à percevoir.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Les salariés du réseau Jussieu Secours ont débrayé, ce jeudi, entre 12 h et 15 h, pour exprimer leur mécontentement.Les salariés du réseau Jussieu Secours ont débrayé, ce jeudi, entre 12 h et 15 h, pour exprimer leur mécontentement.

    Les ambulances de Jussieu Secours, à Brest, sont restées à l’arrêt, ce jeudi. La majeure partie des salariés était en grève pour dénoncer des conditions de travail qu’ils jugent dégradées.

    Près d’une soixantaine de salariés de Jussieu Secours ont débrayé, ce jeudi 2 juin 2022, entre 12 h et 15 h, pour alerter sur les conditions de travail. Les ambulances étaient à l’arrêt en raison de ce mouvement de grève et seule une voiture de transport assis était sur la route. « Les situations de tension se multiplient depuis plusieurs mois », assure Hoël Drot, responsable syndical Force ouvrière. « Plusieurs collègues sont en arrêt de travail en raison de burn-out, une personne a démissionné, d’autres ont fini en pleurs dernièrement. Il est temps d’alerter ». Le directeur de secteur, Renaud Sarrabezolles, indique « n’avoir personne en arrêt de travail actuellement » et confirme qu’une démission lui a été présentée.

    « D’importants retards » constatés

    Le responsable syndical décrit un climat plus tendu dans l’entreprise, depuis la fusion entre Jussieu Secours et Keolis santé, filiale de Keolis, à la fin d’année 2021, et le changement de direction de l’antenne nord-finistérienne Brest-Saint-Renan en février 2022. Enfin, la mise en place d’un nouveau logiciel, depuis le 1er mai 2022, « dans la précipitation met en difficulté les régulateurs et régulatrices », estime Hoël Drot. « Les régulateurs n’ont eu que deux formations sur ce nouveau logiciel et depuis, les difficultés s’enchaînent. On a fait face à d’importants problèmes de retards, jusqu’à une heure voire deux heures. De plus, les régulateurs font face à une pression : il faut faire du chiffre. On fait ce métier pour secours et aider les gens, pas pour faire des quotas », estime encore le représentant syndical.

    Renaud Sarrabezolles : « J’entends les difficultés »

    Au cours du débrayage, le directeur de secteur, Renaud Sarrabezolles, est venu échanger avec les salariés réunis devant l’antenne brestoise. Sollicité, le directeur conteste, d’emblée, « toute notion de harcèlement. Je suis ici pour faire prospérer la société et faire en sorte que les salariés s’y sentent bien. Je prends note des demandes et remarques faites, ce jour, lors de la grève. Il va y avoir des échanges. Concernant le changement de logiciel, j’entends les difficultés. S’il y a des besoins de formation, on fera en sorte que ceux-ci soient satisfaits. Il y a des axes d’amélioration ».

    Source : https://www.letelegramme.fr

    Auteur : Rémy Quéméner

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  • Ils travaillent dans les Ehpad publics à Brest, sont en grève, et manifestent à Quimper  (OF.fr-2/06/22-19h35)Ce jeudi 2 juin 2022, des personnels des Ehpad publics de Brest (établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) ont manifesté devant le conseil départemental à Quimper (Finistère).

    Ils sont en grève depuis le 18 mai 2022 et portent haut leurs revendications : ce jeudi 2 juin 2022, des personnels des Ehpad publics de Brest (établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) ont manifesté devant le conseil départemental à Quimper (Finistère).

    Ils ont également fait entendre leurs revendications, entre autres, à l’Agence régionale de santé. « Nos revendications portent sur le temps de travail car les personnels ont besoin de repos », argumente l’intersyndicale (FO, CFDT, CGT, Unsa et Sud). Ils veulent notamment le maintien des 1 547 heures et de la compensation du travail du dimanche à 100 %. Ils militent aussi pour que davantage de personnels soient titularisés à temps plein.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Gilet Jaune Brest : LÉGISLATIVES : voter NUPES pour bloquer ou freiner Macron et appliquer des mesures sociales et écologiques d’urgence. ( GJ.blog - 28/05/22 )

    Merci au camarade GJ (de l’Aveyron ?) pour la version initiale de ce tract, qu’il souhaitait modifiable. Nous l’avons donc adapté à notre convenance en prenant clairement position.

    Nous pensons que les Gilets Jaunes, à tous échelons, doivent choisir leur camp et ne plus laisser planer le moindre doute comme quoi Marine Le Pen, le Rassemblement National et l’extrême droite en général, présenteraient le moindre commencement de solution pour la majorité la plus pauvre de la population, les classes populaires qu’ils divisent artificiellement sans jamais s’attaquer aux responsables de leur malheur : les riches, les capitalistes et tous ceux qui les servent.

    Source : https://giletsjaunesbrestois.home.blog

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  • Les militantes se sont dirigées vers l’hôpital Morvan.Les militantes se sont dirigées vers l’hôpital Morvan. 

    Le Planning familial de Brest a organisé ce mardi, sur la place de la Liberté, un rassemblement en soutien aux femmes américaines, directement concernées par la remise en cause du droit à l’avortement.

    « Avortement, mon choix, mon droit, ma liberté ! », ont scandé les militantes du Planning familial de Brest, ce mardi soir, place de la Liberté, lors d’un rassemblement pour le droit à l’avortement en soutien aux femmes américaines.

    « Nous dénonçons la remise en cause des droits fondamentaux des femmes et la collusion entre les conservateurs, les extrêmes droites et les pouvoirs religieux. Ce projet de loi vise à contrôler le corps et les droits des femmes ! », a dénoncé Fabienne Godin, l’une des militantes, avant d’élancer le cortège en direction de l’hôpital Morvan. Vêtues de capes rouges, représentant la fragilité des droits des femmes (référence à la série télévisée « La servante écarlate », inspirée du roman éponyme de Margaret Atwood), les membres du Planning familial ont rapidement été suivis par une poignée de manifestants brestois.

    Depuis le début du mois de mai, l’interruption volontaire de grossesse (IVG) est dangereusement remise en cause aux États-Unis, où la Cour Suprême menace d’annuler l’arrêt historique reconnaissant depuis 1973 le droit à l’avortement. En France, l’IVG est légal depuis 1975.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Environ 500 professionnels du sanitaire, du médico-social et du social, à but non lucratif, ont défilé ce mardi matin à Brest, pour réclamer la hausse du Ségur à tous les métiers du secteur, et de meiEnviron 500 professionnels du sanitaire, du médico-social et du social, à but non lucratif, ont défilé ce mardi matin à Brest, pour réclamer la hausse du Ségur à tous les métiers du secteur, et de meilleures conditions de travail. 

    Le compte n’y est toujours pas, selon les 500 pros du sanitaire, du social et du médico-social qui ont manifesté, ce mardi matin, à Brest. Ils réclament la prime pour les derniers collègues « exclus du Ségur ».

    Deux ans après les accords du Ségur et les premières réunions, au siège landernéen de Don Bosco, de délégués du personnel et des directions de quasiment toutes les entreprises du secteur sanitaire, social et médico-social du Finistère, Franck Montfort se mobilise toujours en première ligne. « Ce Ségur n’a rien réglé. Ni à l’hôpital ni dans le secteur associatif ».

    Franck Monfort (responsable de l’union départementale CGT) continue de mener le combat pour la généralisation du Ségur. Il revendique également l’intégration d’une hausse de salaire d’au moins 300 € dFranck Monfort (responsable de l’union départementale CGT) continue de mener le combat pour la généralisation du Ségur. Il revendique également l’intégration d’une hausse de salaire d’au moins 300 € dans la convention collective des salariés du secteur associatif. « Pour rattraper la perte de pouvoir d’achat ». 

    Le responsable départemental de l’union syndicale CGT n’est pas seul à le considérer. Ce mardi matin, quelque 500 professionnels du secteur (Papillons blancs, Genêts d’Or, Don Bosco, Fondation Ildys…), adhérents d’autres syndicats (CFDT, Sud-Solidaires, Unsa, CNT), partis politiques (PCF) et agents des Ehpad de Brest métropole, venus en soutien, se sont retrouvés place de la Liberté, avant de défiler dans les rues du centre-ville de Brest, jusqu’au terminus de la sous-préfecture, où une motion a été remise.

    « Et les assistants familiaux ? Et les secrétaires ? »

    Elle réclame, notamment, l’universalité dans le versement de la revalorisation salariale de 183 € conclue, précisément, dans l’accord du Ségur : « Dans la filière socio-éducative, nos collègues assistants familiaux et ceux travaillant dans la filière administrative et technique continuent à être exclus », regrette Franck Monfort. Ce qui peut conduire à des situations délicates dans des structures où des secrétaires en Ehpad touchent la prime, et leurs collègues affectés à la protection de l’enfance, non.

    Le mouvement reste empreint de solidarité entre collègues percevant le Ségur et collègues « exclus ».Le mouvement reste empreint de solidarité entre collègues percevant le Ségur et collègues « exclus ». 

    Si l’Axess (confédération d’employeurs du secteur sanitaire, social et médico-social) a accepté de mettre la main à la poche en élargissant la prime aux éducateurs spécialisés ou accompagnants éducatifs et sociaux (AES) de la filière socio-éducative, le compte n’y est toujours pas : « Sur l’ensemble des 800 000 salariés (en France) du secteur, 200 000 restent exclus. C’est inadmissible ».

    Pas d’essoufflement

    Le responsable départemental CGT porte un jugement semblable concernant les conditions de travail et « l’État qui ne verse pas la totalité des enveloppes pour des salariés qui devraient en bénéficier ». Soupçonnant ce dernier de parier sur l’essoufflement d’un mouvement miné par des différences de traitement entre collègues, Franck Monfort assure qu’il ne lâchera pas le morceau. La relativement forte mobilisation de ce matin, à Brest (deux autres actions dans le département au même moment), donne des raisons de continuer à battre de prochains rappels.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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  • Les « Exclus du Ségur » ont manifesté à Brest. ( OF.fr - 31/05/22 - 18h09 )             Mardi 31 mai 2022, à Brest (Finistère), à l’appel de la CGT, environ 600 personnes, principalement de la filière socio-éducative, ont défilé dans le centre-ville pour exprimer les revendications des « exclus du Ségur ».

    Mardi 31 mai 2022, à Brest (Finistère), à l’appel de la CGT, environ 600 personnes ont défilé dans le centre-ville pour revendiquer la prime de 183 €. Elles ont déposé une motion à la sous-préfecture.

    Les « oubliés » du Ségur se définissent désormais comme des « exclus » de ce dispositif de revalorisation salariale des professionnels de la santé. Soit une prime de 183 € mensuelle, parfois versée par l’État ou le Département.

    Mardi 31 mai 2022, en fin de matinée, à l’appel de la CGT, environ 600 personnes (1 000 selon le syndicat) ont manifesté dans le centre-ville. À la sous-préfecture, une motion a été déposée.

    La plupart sont éducateurs spécialisés ou AES (accompagnant éducatif et social) aux Genêts d’or, à la fondation Ildys, aux Papillons blancs, etc. Ils accompagnent des enfants ou des adultes handicapés, ou relevant de la Protection de l’enfance, ou encore de l’insertion sociale. Ils travaillent dans des Ehpad, en Instituts médico-éducatifs (IME), ou à la Sauvegarde de l’enfance.

    « Ce n’est pas normal ! »

    Ces salariés de la filière socio-éducative, devraient prochainement, bénéficier de la prime de 183 € mais ils maintiennent la pression. Mais il est des salariés de l’administratif et du technique qui ne sont pas toujours pas intégrés dans le dispositif Ségur.

    « Ce n’est pas normal ! On est au contact des enfants et des personnels. On a dû aussi se faire vacciner, exprime une secrétaire administrative. Les secrétaires de base gagnent un peu plus que le Smic. Mais ce dernier a augmenté depuis le 1er janvier, et l’écart avec notre salaire se réduit. »

    Cette prime créée des différences car certains l’ont et d’autres pas. Comme Antoine, infirmier à Jean-Louis-Etienne, de la Sauvegarde de l’Enfance. « Sur 40 salariés, on est seulement deux à l’avoir ! »

    La prime Ségur doit être attribuée « à l’ensemble de la filière socio-éducative », revendique Franck Montfort, secrétaire général à la CGT santé et action sociale. Plus globalement, la CGT demande « des augmentations de salaire de 300 € minimum pour tous ».

    Dans le défilé, se trouvaient aussi des agents des Ehpad municipales de Brest et du CHU.

    Source : https://www.ouest-france.fr

    Auteur : Laurence Guilmo

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  • L’un des rôles des aides-soignantes est de faire leur toilette aux résidents. Les moins valides la reçoivent allongés dans leur lit ce qui demande la présence de deux personnes, pendant plus de vingt L’un des rôles des aides-soignantes est de faire leur toilette aux résidents. Les moins valides la reçoivent allongés dans leur lit ce qui demande la présence de deux personnes, pendant plus de vingt minutes. 

    Fin avril, l’Ehpad Saint-François, près de Morlaix, dénonçait une situation « alarmante » pour les maisons de retraite. Reportage avec les soignants de l’établissement, partagés entre dévouement, fatigue et colère.

    6 h 45 à l’Ehpad Saint-François, à Saint-Martin-des-Champs. Charlène, infirmière, prend son service. Elle sait déjà qu’elle ne pourra pas voir l’ensemble des 108 résidents de la maison de retraite. Et pour cause : sur les six infirmiers et infirmières de l’établissement, trois sont actuellement en arrêt. Faute de remplacement avant fin mai, il a fallu s’adapter : elle sera seule jusqu’à 11 h 30 et l’arrivée de sa collègue qui fera la fin de journée.

    "On ne va pas se cacher. On est à la chaîne…"

    « En temps normal, on est trois, on peut passer dans toutes les chambres. Mais aujourd’hui, on va à l’essentiel. » La professionnelle de santé verra ceux qui ont des soins spécifiques comme les prises de sang, les contrôles de glycémie, du collyre pour les yeux, de l’insuline… Les médicaments, eux, sont distribués par le personnel qui sert le petit-déjeuner. « On ne va pas se cacher. On est à la chaîne… », avoue celle qui travaille à Saint-François depuis 2015. « C’est frustrant. Je connais tous les résidents, leurs manies, leurs habitudes… Mais c’est trop speed. Alors, on n’a pas le choix, on met des limites pour se protéger ».

    Pour n'oublier aucun soin ou médicament à administrer, les infirmiers de l'Ehpad Saint-François sont équipés d'un registre numérique.Pour n’oublier aucun soin ou médicament à administrer, les infirmiers de l’Ehpad Saint-François sont équipés d’un registre numérique. 

    « On s’occupe bien de nous, mais… »

    Françoise, 70 ans et résidente à Saint-François depuis un an, a un regard lucide sur la situation : « On s’occupe bien de nous. Mais on peut voir que, parfois, l’écoute est superficielle. Les infirmières, les aides-soignantes… Ils manquent de temps. J’en suis consciente… »

    Moment d'échange entre infirmières quand Charlène accueille sa collègue du soir, Laetitia,Moment d’échange entre infirmières quand Charlène accueille sa collègue du soir, Laëtitia. 

    Le manque de personnel. C’est le mal qui mine les Ehpad. Saint-François ne fait pas exception. En avril, la direction indiquait avoir huit postes en CDI vacants. Dont six chez les aides-soignantes, qui, chaque jour, sont celles qui aident les résidents - 87 ans en moyenne - à réaliser ce qui est devenu impossible : toilettes, douches, habillement, bas de contention, rasage, coiffage, maquillage… Et même le réglage du réveil ou de la télé si besoin !

     "Le côté humain a complètement disparu… On nous demande de faire toujours plus avec moins de moyens et moins de monde !"

    « L’idéal serait d’avoir trois quarts d’heures avec chacun. Mais c’est impossible ! », déplore Nathalie, les yeux sur le planning - très serré - de son étage. Ce sera plutôt un quart d’heure ou 20 minutes. « Et oui, parfois, si quelqu’un est absent, on doit déplacer une douche d’un jour ou deux, voire une semaine. Mais ils ont tous les jours leur toilette ! »

    Parmi les missions des aides-soignantes, aider les résidents à enfiler leurs bas de contention. A chaque fois, le geste demande plusieurs minutes et de la force.Parmi les missions des aides-soignantes, aider les résidents à enfiler leurs bas de contention. À chaque fois, le geste demande plusieurs minutes et de la force. 

    « Le côté humain a disparu »

    Les « blouses bleues » enchaînent les chambres. Discutent tout en surveillant l’évolution de chacun. Mais dans les couloirs, la lassitude se ressent. Cette aide-soignante depuis 37 ans estime que « le côté humain a complètement disparu… On nous demande de faire toujours plus avec moins de moyens et moins de monde ! »

    Après « l’affaire Orpéa », toutes et tous ont pris de plein fouet la « suspicion » des familles. « C’est dur… Parce que nous ne sommes pas les fautifs, ce sont les décideurs politiques ! Orpea a fait un électrochoc, mais ça fait des années qu’on travaille dans des conditions difficiles ! », lance une aide-soignante.

     
    Au moment des transmissions mais aussi au détour des couloirs, les échanges entre infirmières et aides-soignantes permettent de faire passer les informations sur les résidents, leur moral, leur état dAu moment des transmissions mais aussi au détour des couloirs, les échanges entre infirmières et aides-soignantes permettent de faire passer les informations sur les résidents, leur moral, leur état de santé. 

    Des métiers qui n’attirent plus

    Ce que confirme Véronique, l’infirmière coordinatrice. Elle a vu les choses se dégrader. La covid a enfoncé le clou. « Nos métiers n’attirent plus. Les nouvelles générations ne veulent plus d’horaires décalés, travailler un week-end sur deux, du niveau de salaire… ». Alors, quand on manque de bras, les équipes s’adaptent. « On augmente la durée des journées, on change les plannings. On fait avec moins de monde… Par contre, on ne fait pas revenir les gens sur leurs congés. C’est sacré ! » Mais combien de temps pourront-ils tenir à ce rythme ? « On aime notre métier mais on y laisse une partie de notre vie privée. Les gens ne se rendent pas compte », lâche une aide-soignante.

    Le matin à l'Ehpad Saint-François, les différents personnel se croisent à l'heure de la distribution des petits-déjeuners.Le matin à l’Ehpad Saint-François, les différents personnels se croisent à l’heure de la distribution des petits-déjeuners.
     
    Une chose les fait tenir : « Les résidents. Ils nous le rendent bien ». Mais aussi, « les collègues », « la cohésion et l’entraide ».
    "On travaille avec des humains, pas des boîtes de conserve !"

    Même constat dans tous les Ehpad

    Pourtant, Véronique Cordinel ne mâche pas ses mots : « C’est de la maltraitance institutionnelle. Quand on manque de personnel, qu’on ne peut pas passer autant de temps qu’on voudrait auprès des résidents, qu’on est frustré de devoir courir partout… Le mot fait mal mais c’est ça et c’est comme ça dans tous les Ehpad ». Elle réfute, en revanche, le rationnement du matériel. « J’ai un budget à tenir mais quand il y a besoin, il y a besoin. On travaille avec des humains, pas des boîtes de conserve ! » Comme sa direction, elle pointe le niveau des salaires et un système de financement des Ehpad qui a ses failles.

    « Tout ça devient de la bureaucratie », se désole Laëtitia, infirmière. « Les familles ont raison de râler ! Mais il faut s’adresser aux institutions. Le milieu du soin est en souffrance ! ».

    Sur un papier, une aide-soignante a utilisé les lettres du mot Ehpad, pour décrire Saint-François : « Ensemble. Humanité. Proximité. Applaudis. Dépendant des financements. » Pour le personnel, elle a choisi : « Épuisé. Humain. Peiné. Asphyxié. Détresse. » Des mots que tous ses collègues ont approuvés.

    Source : https://www.letelegramme.fr

    Auteur : Monique Kéromnès

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  • Réunions publiques de la Nupes dans la 7e circonscription du Finistère (LT.fr-31/05/22-15h58)

    La Nupes organisera plusieurs rencontres, ces prochains jours, dans le cadre de la campagne des élections législatives des 12 et 19 juin.

    Le jeudi 2 juin, de 18 h 30, à L‘Épicerie générale, 17, rue Brossolette, à Plogoff, Yolande Bouin et son suppléant, Alexis Lapert, présenteront leur programme.

    Ils seront également présents au débat public sur le thème de la santé qui aura lieu le mercredi 8 juin, 19 h, à la salle des Affaires Maritimes, 1, rue Lamartine, à Audierne.

    Enfin, une discussion, sur le thème des biens communs « Notre eau, notre hôpital, notre bureau de poste », se tiendra le vendredi 10 juin, à 17 h 30, à la salle socioculturelle, 7 rue Louis-Tymen, du Juch, en présence de la candidate et de son suppléant.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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