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  • Un rassemblement est organisé, ce mardi 27 février, à 12 h 30, devant la sous-préfecture de Brest, pour dire « non à l'expulsion de Papou ». Ce jeune Ivoirien, qui se dit mineur, est arrivé à Brest en janvier 2017. A la suite d'un contrôle d'identité, il a été conduit au centre de rétention de Rennes, alors qu'il a fait un recours auprès du juge des enfants pour faire reconnaître sa minorité. « Il ne doit pas être expulsé », clame l'ADJIM, l'Accompagnement des jeunes isolés migrants, qui rappelle que l'expulsion d'un mineur est illégale, le préfet de Nice venant d'ailleurs d'être condamné par le tribunal administratif pour cela. Selon l'ADJIM, il a passé dix mois à l'hôtel dans l'attente de la reconnaissance de son statut de mineur, statut qui lui a été refusé par le procureur de Brest. « Cependant, ses papiers n'ont pas été estimés faux : ils lui ont été rendus », note l'association. Le Réseau du pays de Brest pour l'accueil des migrants dans la dignité lui a alors trouvé un hébergement et il a demandé à un avocat de déposer devant le juge des enfants un recours à la décision du procureur. Papou attend toujours sa convocation... Mais la minorité de Papou n'ayant pas été reconnue par le procureur, le recours devant le juge des enfants n'est pas suspensif. Pour ses soutiens, qui appellent à se mobiliser aujourd'hui devant la sous-préfecture, « il ne s'agit pas seulement de défendre Papou, il s'agit de s'insurger contre la maltraitance institutionnalisée que subissent les jeunes migrants (...). En protestant contre l'expulsion de Papou, ce n'est pas seulement lui que nous défendons. Ce sont les valeurs humanistes auxquelles nous croyons et, bien au-delà, celles auxquelles se raccrochent les enfants que nous soutenons : ils feront le monde de demain ».

    source: http://www.letelegramme.fr

     

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  • Brest-Liberté pour Papou-Non à l'expulsion illégale-Rassemblement mardi 27/02-12h 30-Sous-préfecture de Brest

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  • LIBÉREZ PAPOU D.,17 ANS,ENFERMÉ EN CENTRE DE RÉTENTION EXPULSABLE A TOUT MOMENT

    PAPOU DIALLO ,  UN  JEUNE DE 17 ANS  EST ENFERME AU CENTRE DE RETENTION DE RENNES

    LA JUSTICE A  VALIDE LA DECISION PREFECTORALE. IL EST  EXPULSABLE A TOUT MOMENT !                                                                                                      

    SANS  ASSURER DE LUI PERMETTRE  DE FAIRE VALOIR SON DROIT DE RECOURS  DEVANT LE JUGE DES ENFANTS LUI PERMETTANT AINSI  D ATTESTER DE SA MINORITE 

    LA LOI EN VIGUEUR STIPULE QU  AUCUN MINEUR NE PEUT ETRE NI PLACE EN RETENTION  NI EXPULSE

    Avant de se faire enfermer, il était  hébergé dans une famille solidaire,  suite à l' évalution négative  de l' équipe éducative  de l'Aide Sociale à l'Enfance de Brest se basant sur  des critères plus que subjectifs et  ayant  décidé de  son exclusion du service Mineurs Non Accompagnes .

    Depuis son arrivée a Brest ,  Il a été placé 10 mois en hôtel  . aucune démarche de l' équipe éducative quant a sa scolarité et son parcours de  formation.

    Il a été arrêté lors d'un contrôle d identité  en gare de Vannes . la préfecture du morbihan lui a signifie une obligation de quitter le territoire . Il est enfermé  depuis au Centre de Rétention de Rennes. Il a déjà été transféré à Roissy mais a refusé d'embarquer, le juge des libertés a prolongé sa rétention . Il a en sa possession  son acte de naissance et son   attestation d'identité ivoirienne (photo, empreinte, date de naissance) attestant de sa minorité.

    LES AUTORITES  FRANCAISES  ONT ELLES CONSULTEES LES  AUTORITES IVOIRIENNES QUANT A SA MINORITE ?

    Il est actuellement en recours auprès du juge des enfants de Brest. .

     

    APPELEZ EN MASSE LES RESPONSABLES DE LA CHAINE D' EXPULSION

    CDAS (aide sociale à l'enfance )( mission MNA) 0229612929

     PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE DE QUIMPER  0298337800 qui lui assurer de pouvoir contester la decision de non lieu a l  assistance educative pres du procureur general de la cour d appel de rennes . des test ossseux ont ete requetes malgre que l’ordre des médecins demande que « les actes médicaux dans le cadre des politiques d’immigration soient bannis, en particulier les radiologies osseuses. »

    CRA de Rennes 0299674920

    CONSULAT DE COTE D IVOIRE 01 53 64 62 62 POUR LEUR DEMANDER DE METTRE FIN A CETTE SITUATION D 'INGERENCE

    PAPOU NE DOIT PAS ÊTRE EXPULSÉ ET DOIT ETRE LIBÉRÉ

     

    POUR SIGNER LA PETITION EN LIGNE

    CLIQUER ICI

    source: https://www.change.org 

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  • Sur la conception néo impérialiste de la Francophonie portée par MM Mabanckou et Mbembe – par Georges Gastaudon lira ci-dessous la tribune publiée par MM MABANCKOU ET MBEMBE, et la réponse circonstanciée de GEORGES GASTAUD, défenseur du français et de toutes les langues contre le tout-anglais impérialiste.

    Georges Gastaud, philosophe, syndicaliste enseignant est également l’un des responsables nationaux de l’association de défense de la et de la diversité linguistique, le COURRIEL


    REPONSE DE GEORGES GASTAUD, RESISTANT AU TOUT-ANGLAIS – 15.2.18  

    Sur la conception néo impérialiste de la Francophonie portée par MM Mabanckou et Mbembe – par Georges GastaudJe ne trouve pas ce texte positif, au contraire. Non seulement parce qu’il ignore totalement la question majeure, celle du tout-anglais mondial, européen et hexagonal (surtout, n’affrontons pas le MEDEF et les milieux bobos !), non seulement parce qu’il déforme totalement ce qu’est aujourd’hui l’Organisation Internationale de la Francophonie (où la France officielle s’est mise en retrait au profit du Canada ANGLOPHONE et FEDERAL qui a placé à la tête de l’OIF Mme Jean, l’actuelle présidente, avec pour souci principal de neutraliser le souverainisme québécois), non seulement parce que le français est en même temps langue internationale et socle de notre nation (libre à d’autres pays d’en faire aussi leur socle national s’ils le souhaitent !), mais parce que sous couvert de taquiner Macron sur la Françafrique, ce texte lui ouvre une voie royale pour son projet de « déringardisation » du français. Lequel passe, bien évidemment, par la mise à mort de la loi Toubon, et pour commencer, par son contournement et sa « ringardisation » systématique y compris par ceux qui sont chargés de la faire appliquer.  

     Quant à M. Mabanckou, que j’ai eu l’occasion naguère d’interpeller très brièvement sur France-Inter, il sous-estime incroyablement l’anglicisation de la France (mais aussi, de la Wallonie, du Québec, de la Suisse romande, pour ne pas parler de l’Afrique que je connais moins). Comment peut-il se mettre au centre d’une question qu’il a si peu étudiée ? Sait-il par ex. que tout récemment, PSA et Renault ont basculé, illégalement, toute leur documentation interne à l’anglais ? Que nombre d’Universités enseignent intégralement certains cursus en anglais au mépris de la législation ? A-t-il jamais regardé comment se nomment les émissions les plus suivies de TF1, la chaîne française disposant de la plus large audience ?  

     J’ajoute que la mise en cause faussement rebelle de l’Etat-nation français par le texte de MM. Mabanckou et Mbembe est d’une rare hypocrisie : le premier de ces messieurs ne vient-il pas d’être nommé au très prestigieux Collège de France, une institution créée par François 1er pour enseigner en français (et par là-même, au tout-venant) les savoirs de pointe du moment, au moment même où ce roi emblématique de la Renaissance scellait l’alliance de la France et de sa langue par l’Ordonnance de Villers-Cotterêts… Une ordonnance que Macron et l’UE souhaitent manifestement détricoter (pardon, « moderniser », à l’image de tout ce qui a construit la nation, avant de construire la République, puis la « République sociale » du CNR) quand ils laissent entendre, comme les ministres de la culture de F. Hollande, que la protection légale de la langue française contre la substitution systématique de termes anglais à des mots français connus de tous n’est qu’une « ligne de Maginot linguistique » (ce qui est forcément le cas, non pas parce que cette loi est mauvaise, mais parce que les autorités françaises ont traitreusement décidé de ne pas l’appliquer ; qui disait que laisser transgresser une loi, c’est autoriser ce que l’on feint d’interdire ?   

     Aujourd’hui, le problème n°1 de la Francophonie mondiale, c’est que son navire-amiral historique (faudra-t-il aussi changer le nom du français ?!), la France, est en train de se saborder linguistiquement et de faire la promotion de l’anglais jusqu’en Afrique : ne se dit-il pas qu’un ex-mathématicien devenu « marcheur » conseille les mathématiciens africains de publier en anglais et s’oppose à la publication d’articles en français dans des revues scientifiques françaises ? Bref, on feint de dénoncer le néocolonialisme à l’ancienne (encore bien vivant et tueur, certes) pour mieux promouvoir le néocolonialisme « françaméricain » et « françallemand » de l’avenir… et la néo-colonisation linguistique de la France elle-même !   

     Quant au projet proclamé de Macron de faire du français la deuxième langue mondiale, outre qu’il est actuellement hors de portée, outre sa dimension impérialiste évidente (qu’on arrive déjà à sauver le français, fort menacé, dans l’espace français et francophone actuel, ce sera déjà pas mal !), c’est en réalité un projet de vassalisation par rapport à l’anglais, y compris en France. Ce que fait miroiter Macron aux gogos, c’est une langue française cessant d’être la langue vivante, pratique, du et des peuples qui la parlent, mais devenant du même coup (lot de consolation ou coup de grâce ?) un signe de « distinction » pour l’élite mondialisée quand elle sentira le moment venu de prendre ses distances avec le Globish devenu la langue mondiale réelle, pratique. Car alors il faudra bien quelque chose aux « élites » pour continuer à se démarquer du et des peuples, à l’image des aristocrates russes qui se flattaient de parler russe à leurs moujiks… avec l’accent français. Ce projet de langue impériale bis me répugne profondément, ce n’est pas une manière de faire survivre le français, mais une manière de le mettre au service posthume de ceux qui l’auront tué en tant que langue du et des peuples. Et finalement, la demande de Mabanckou, et sans doute de Leila Slimani, qui consiste à faire du français la langue-monde seconde en le dénationalisant en France même est un projet profondément IMPERIALISTE et hyper-néocolonial. On ne voit pas d’ailleurs en quoi les élites africaines mondialisées vaudraient mieux que les élites hexagonales en matière de patriotisme et/ou d’internationalisme. Pauvre Aimé Césaire, décidément !  

    Autrement digne et noble était l’attitude de Kateb Yacine, un anticolonialiste combattant qui n’écrivait pas une supplique au chef de la Françafrique mais déclarait fièrement voir dans le français un « butin de guerre ». Ou dans l’attitude de l’Irlandais J. Joyce déclarant ironiquement : « les Anglais nous ont donné leur langue et nous en avons fait de la littérature ».  

     Entre le nationalisme, qui veut faire du français la langue de la domination néocoloniale, et le mondialisme, qui veut dénationaliser la langue de Molière (au lieu de penser l’existence PLURIELLE du ou des français), il faut penser l’internationalisme linguistique qui passe par le plurilinguisme qu’exprime la phrase hautement dialectique de l’écrivain italien Umberto Eco : « la langue de l’Europe, c’est la traduction ».

     

     

    source: https://www.initiative-communiste.fr 

     

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  • Porte-parole de « La minoterie - À pleine voix », Laurent Baudry a appelé à une manifestation, mardi, pour la liberté d'expression et le droit au rassemblement. Porte-parole de « La minoterie - À pleine voix », Laurent Baudry a appelé à une manifestation, mardi, pour la liberté d'expression et le droit au rassemblement.
     
    Interdite par le préfet du Finistère, Pascal Lelarge (Le Télégramme de samedi), la manifestation de soutien au peuple kurde n'a pas eu lieu, samedi midi 17 février, devant la mairie, comme l'aurait souhaité l'association « La minoterie - À pleine voix ». Après avoir lu l'arrêté préfectoral, le Plourinois Laurent Baudry, l'un de ses porte-parole, s'est adressé à la quinzaine de personnes réunies devant le kiosque. « Il faut vous disperser », leur a-t-il lancé, non sans leur avoir donné rendez-vous mardi 20 février, à 18 h, même lieu. « Pour une manifestation en faveur de la liberté d'expression et du droit au rassemblement. Et, cette fois, la demande a été faite dans les temps », a-t-il ironisé, en faisant part de sa stupéfaction, face à l'interdiction de la manifestation, prévue hier. 

    « Un commando turc décide de l'application de la loi »

    « Je vois dans cette décision la volonté de faire taire le peuple kurde », a regretté Laurent Baudry, en évoquant l'agression dont les manifestants pro-kurdes se disent avoir été victimes, samedi 10 février à Brest. « Un commando turc décide de l'application de la loi en France. C'est honteux ! », s'est exclamé le militant plourinois, sous les yeux des quelques policiers, déployés, de manière préventive, aux abords de la mairie. Devant la dispersion rapide, et dans le calme, des personnes présentes sur place, les forces de l'ordre ont indiqué qu'il n'y aurait pas de sanction particulière prise à l'encontre de l'association « La minoterie - À pleine voix »
     
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  • La manifestation organisée le week-end dernier à Brest avait fini par dégénérer.

    Une manifestation prévue ce samedi à Morlaix a été interdite par le préfet, ce vendredi. Elle visait à soutenir les Kurdes et à dénoncer les opérations militaires de la Turquie en Syrie. Le non-respect de la loi et les bagarres du week-end dernier à Brest lors d'un rassemblement du même type ont motivé ce refus.

    Quatre blessés après une bagarre brève mais violente. Tel est le bilan de l'échauffourée qui a éclaté, samedi dernier à Brest, lors d'une manifestation. Elle a opposé des militants pro-Kurdes, venus dire non aux « violences du régime turc », à quelques partisans du président Erdogan. Le lendemain, toujours dans la cité du Ponant, un rassemblement du même type avait à nouveau occasionné des tensions. L'intervention des forces de police avait encore une fois été nécessaire pour ramener le calme.

    « Préserver l'ordre public »

    C'est dans ce contexte que l'association « La Minoterie - A pleine voix » envisageait d'organiser une nouvelle action, ce samedi midi, devant l'hôtel de ville de Morlaix. « Elle a déposé, le jeudi 15 février, une déclaration de manifestation contre les opérations militaires menées par la Turquie et ses alliés sur le territoire syrien », note le préfet du Finistère, Pascal Lelarge, dans un communiqué. Avant d'indiquer qu'il a décidé d'interdire la manifestation et, plus largement, tout rassemblement prévu sur le département aujourd'hui et demain sur la thématique des relations entre la Turquie et les Kurdes.  

    « Il est inacceptable que des tensions et conflits internationaux puissent donner lieu à des affrontements et à des violences sur le territoire national. Il faut préserver l'ordre public et permettre aux forces de l'ordre de se consacrer pleinement à la sécurité du quotidien des habitants du département », explique le communiqué.

    Prison et amendes possibles si la manifestation a lieu

    Le préfet souligne également que « la déclaration de manifestation morlaisienne n'a pas suivi la réglementation applicable en la matière : non-respect des trois jours francs au moins avant la tenue de la manifestation, et non-respect de l'obligation de signature de la déclaration par au moins trois personnes domiciliées dans le département ». Le préfet termine en prévenant que « l'organisateur d'une manifestation interdite s'expose à une peine de six mois d'emprisonnement et à 7.500 € d'amende si elle a lieu, et que les participants sont eux-mêmes passibles de poursuites ».

    « Proprement scandaleux ! »

    « C'est proprement scandaleux ! », s'emporte le Plourinois Laurent Baudry, porte-parole de l'association « La Minoterie - A pleine voix », qui a organisé deux rassemblements de ce type ces deux derniers samedis à Morlaix. « Ça s'est très bien passé. C'est la première fois en France qu'une telle manifestation de soutien au peuple kurde et de protestation contre les agissements des Turcs et de Daesh est interdite. On cède à la pression de quelques excités fascistes », s'emporte-t-il, en indiquant qu'il sera présent ce midi au kiosque pour informer sur cette interdiction. « Mais aussi pour dire qu'il y aura très vite une réplique, une manifestation pour dénoncer cet arrêté qui est choquant ».

    source: http://www.letelegramme.fr

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