• 10 juin 2018 –  Bagneux, Léon Landini résistant FTP MOI, l’un des signataires, avec Aubrac et Hessel, de l’Appel des Glières et président du PRCF, accueille une équipe d’Initiative Communiste pour recevoir et réaliser un entretien d’une très grande qualité avec , porte parole de la pour les questions internationales et de défense, et Fadi Kassem, animateur du PRCF en Ile de France.

    Un entretien centré autour des questions internationales alors que se tenait le G7 au Canada, et surtout de l’Union Européenne, et qui donc n’oublie pas d’aborder les questions du mouvement social.

     

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    A l'appel du député Insoumis, François Ruffin et de plusieurs organisations politiques et syndicales, des militants de gauche se sont retrouvés, partout en France, ce samedi, pour manifester leur hostilité aux politiques gouvernementales. À Quimperlé, ils se sont réunis, place Saint-Michel, entre 11 h et 13 h, pour partager un repas ensemble, dans une ambiance bon enfant. Une vingtaine de personnes se sont rendues à l'événement. « Une quinzaine de Quimperlois ont aussi pris un bus, qui partait de Châteaulin, via Quimper, pour se rendre à Paris manifester », a précisé un des militants de la France Insoumise.
     
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    « Halte à la violence d’État », « Rien n’est bon dans le Macron »… Pancarte en main, le collectif morlaisien appelait les citoyens à venir le rejoindre, samedi midi 5 mai, place des Otages, pour s’exprimer et échanger dans un esprit bienveillant et pour protester contre la politique menée par le Président de la République, un an après son élection. En fin de rasemblement, le collectif Gaspar, contre la centrale de Landivisiau, était présent tout comme des anti-Linky. La police municipale était sur place. François Ruffin, député de La France insoumise de la Somme, est notamment à l’initiative de cette « Fête à Macron » qui s’est traduite par l’organisation de nombreux rassemblements à travers la France.

    source: http://www.letelegramme.fr

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  • La fête à Macron à Brest:« Parce que c'est notre rejet » ! (LT.fr-6/05/2018-8h14)

    Environ 600 personnes, toutes générations confondues, ont fait « la fête à Macron » samedi après-midi, dans les rues de Brest, sur le modèle de la grande manifestation parisienne organisée au même moment.

    « Macron, nous mettons fin à ta période d'essai » ! Cette banderole placée en tête du cortège, résumait assez bien l'état d'esprit de cette manifestation à la fois joyeuse et revendicative. Toutes les générations étaient présentes. À commencer par les retraités, dont beaucoup n'ont toujours pas digéré la hausse de la CSG. « Macron nous saigne pour mieux arroser les plus riches », déplorait Jacqueline, 66 ans, tandis que quelques rangs plus loin, un jeune brandissait sa fibre écolo « totalement absente de la politique du gouvernement ».

     Sans le PS

    Sous un franc soleil, le défilé est parti en rangs clairsemés de la gare, où les cheminots sont toujours en lutte pour la préservation de leur statut. Puis, il a grossi à vue d'oeil pour atteindre les 600 manifestants au passage devant l'hôtel de ville. Il faut dire que le collectif citoyen créé spécialement pour l'occasion, avait reçu le renfort de plusieurs organisations de gauche, de la France insoumise au PCF en passant par Génération(s) ou le NPA, sans oublier la CGT, Attac, Solidaires, et d'autres mouvements citoyens. Seule absence notable, finalement : celle du Parti socialiste, dont les représentants locaux se montrent pourtant très véhéments à l'égard de la politique de l'exécutif, mais dont la présence n'était pas spécialement désirée ce samedi au milieu d'une foule qui était déjà majoritairement hostile à la politique de François Hollande. Du reste, pour ce porte-parole du collectif brestois de « la fête à Macron », il ne fallait pas s'y tromper. « En réalité, voilà six ans que Macron est au pouvoir, mais peu importe le chiffre, un anniversaire, ça se fête ».

    À chaque arrêt des discours

    Alors, ils l'ont fêté, en marchant eux aussi, et en jalonnant cette marche de plusieurs arrêts devant les principaux services publics de la Ville : l'hôpital, les impôts, ou encore l'université. Chaque étape était marquée d'un ou plusieurs discours, et libre à chacun de faire entendre sa voix. Devant la mairie, un intervenant a ainsi dénoncé la mise sous tutelle des collectivités locales par le gouvernement. « Emmanuel, les villes ne sont pas tes jouets et ne peuvent pas être celui de ton parti avant 2020. Le temps de la démocratie n'est pas celui de la spéculation financière ». Ce rassemblement sans débordement s'est terminé face au port, au jardin de l'Académie de la Marine, dans une ambiance guinguette.

    Jean-Luc PADELLEC

    source: http://www.letelegramme.fr

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  • Le pari réussi de « la fête à Macron » (politis.fr-5/05/2018)

    Plusieurs dizaines de milliers de personnes étaient présentes à l'appel de François Ruffin. Une ambiance bon enfant qui laisse augurer un mois de mai riche en mobilisations.

     Que l’on ne se fie pas à son cortège morcelé, à ses syndicats et partis politiques désunis et aux quelques incidents qui ont émaillé son arrivée place de la Bastille : la manifestation du 5 mai est une réussite. Lancée le mois dernier par le député François Ruffin, membre du groupe de la France insoumise, et l’économiste et philosophe Frédéric Lordon, la « Fête à Macron », qui se tenait à Paris ce samedi sous le soleil a rassemblé 100 000 personnes selon les organisateurs – 40.000 personnes, selon la préfecture de Police, et un peu moins selon le cabinet Occurrence pour un collectif de médias.

    Sur un itinéraire de 4,5 kilomètres reliant la Place de l’Opéra à celle de la Bastille, quatre chars aux noms évocateurs de « Dracula », « Napoléon », « Jupiter » ou encore « Résistance », rythmaient le défilé.

    Suivant de peu la tête de cortège constituée de représentants de secteurs en lutte, le car de la France insoumise, autour duquel gravitait une foule importante et qui a vu se succéder à la tribune les députés du groupe, dont Alexis Corbière, Ugo Bernalicis ou encore Jean-Luc Mélenchon. « Il y a exactement 227 ans, les états-généraux se réunissaient pour mettre fin au régime », a-t-il rappelé. « Vous n’êtes pas responsables de la dette », a-t-il lancé à la foule, félicitant les « cheminotes et les cheminots », « les étudiants », « les postiers », « les avocats », « les magistrats » pour leur mobilisation. Aux personnels hospitaliers, le chef de file de la France insoumise à l’Assemblée nationale a tenu à adresser un message fort : « La France vous aime », a-t-il martelé.

    Vers une union le 26 mai

    Au sujet l’Exit tax, qu’Emmanuel Macron a annoncé vouloir supprimer dès l’année prochaine, Jean-Luc Mélenchon a prévenu : aux riches qui se sont « gavés comme des tiques », quand sera établi « l'impôt universel » qui figurait dans son programme, « même en enfer ils payeront leurs impôts ». Il a également annoncé que la France insoumise se joindrait au grand rassemblement inter-syndical, politique et populaire prévu le 26 mai. En effet, sous l’égide de la fondation Copernic et de l’association Attac, les différentes strates de ce qui compose l’opposition à la politique menée par le Gouvernement ont entamé des négociations en vue d’une « marée populaire » à cette date et sont proches d’y parvenir.

    « Ça prend forme », confirme le secrétaire national du PCF, Pierre Laurent. « La procédure est discutée collectivement », indique-t-il, prévenant cependant contre « les effets d’annonce », en tenant la banderole du PCF, située dans une deuxième partie du cortège, avec Picardie Debout, le mouvement de François Ruffin, et Génération.s, celui de Benoit Hamon, derrière lesquels d'autres groupes de la France insoumise, venus des différentes régions de France, avaient pris place. Un rappel qu’en matière d’unité, notamment à gauche, des progrès sont encore à faire... « Cette manifestation n’a pas d’étiquette », a pourtant défendu Ugo Bernalicis.

    L’appel aux « éveillés tardifs »

    Alors que la préfecture avait mobilisé 2 000 membres des forces de l’ordre et que le gouvernement redoutait des actes de violence – à l’image du rassemblement du 1er mai –, la « Fête à Macron » a été aussi, sur ce plan, une réussite. S'il y a eu quelques tensions à l’arrivée du cortège à la place de la Bastille, les incidents ont été le fait d'individus masqués extérieurs à la manifestation : une camionnette de Radio France a été endommagée et un policier a été légèrement blessé par un jet de projectile lors de l’extraction du véhicule. « Blessé sans gravité, il a néanmoins été conduit à l’hôpital », a précisé la préfecture de police au Parisien.

    Un vent de révolte souffle néanmoins sur la foule quand, Place de la Bastille, Frédéric Lordon prend la parole : « Quelle est la légitimité de ce Président ? » s’interroge-t-il, qualifiant Emmanuel Macron de « roitelet», « claquemuré dans son palais ». « Une masse s’est levée », lance-t-il, appelant les « éveillés tardifs » à rejoindre le mouvement. Et de donner rendez-vous au gouvernement : « Demain nous reviendrons, et nous serons beaucoup ! »

    Agathe Mercante

    source: https://www.politis.fr

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  • Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées dans une ambiance très gaie samedi 5 mai pour la "Fête à Macron et son monde", organisée notamment par d'anciens membres de Nuit debout et par le député la France insoumise François Ruffin. Un appel a été lancé pour une grande manifestation le 26 mai.

    Des chars “Macron-Jupiter,” “Macron-Dracula”, “Macron-Bonaparte”. Un car de la France insoumise avec Jean-Luc Mélenchon et les député-e-s de son mouvement faisant coucou à la foule (160 000 selon les Insoumis, 40 000 selon la préfecture, 38 900 selon un collectif de médias indépendants). Des membres de Génération-s, du NPA, du PCF, des syndicats, des assos. Des cheminots en grève, des postier-e-s, des infirmières, des étudiant-e-s, des sans papiers. Des orchestres, de la techno, des Bella Ciao (Mais si, vous savez, “le chant devenu un tube grâce à Netflix”). Voilà de quoi était composée ce 5 mai la “Fête à Macron et son monde”, dont la date avait été fixée lors d’une réunion organisée par “d’anciens nuit-deboutistes” - le député de la France insoumise François Ruffin, l’économiste Frédéric Lordon que l’on croisera en train de tracter, des acteurs militants et associatifs… - à la Bourse du Travail de Paris, le 4 avril. Pour cette “manif pot-au-feu”, visant à agréger un “front populaire” constitué à la fois des mouvements citoyen, politique et syndical, le soleil était au rendez-vous et “les ingrédients pour la réussir” aussi, de l’avis d’un François Ruffin qui semblait satisfait des festivités.

    Cette "manif différente" de l'avis d'Emmanuel Vire, l'un des organisateurs, censée accueillir toutes les personnes en lutte contre la politique gouvernementale, devait initialement débuter sur le parvis du musée du Louvre… Là même où Emmanuel Macron avait prononcé son premier discours en tant que Président de la République - et marché longuement pour atteindre l’estrade (666 kilomètres selon les syndicats, 49,3 selon Manuel Valls). Faute d’autorisation de la préfecture, c’est finalement place de l’Opéra que rendez-vous était donné, d’abord pour un pique nique, puis pour un défilé jusqu’à Bastille, où étaient prévus des allocutions et des concerts. Le tout était financé par les dons d’une cagnotte en ligne (plus de 25 000 euros).

     

    "Même si on est en colère, on est contents d'être venus faire la fête!"

    Un programme festif que l’exécutif a qualifié d’appel au chaos dans un contexte marqué par les débordements de la manif du 1er mai - Emmanuel Macron, en marge d’un déplacement en Nouvelle Calédonie, comparant même Jean-Luc Mélenchon à un “pyromane indigné”. D’où la mobilisation de plus de 2000 policiers et gendarmes pour encadrer la marche, outre les deux services d’ordre déjà prévus par les organisateurs qui, eux, avant le jour j, se défendaient catégoriquement de “prôner la violence”. Du haut de son car, Mélenchon tient le même discours sous les hourras de la foule : “Cette société est très violente, avec ceux qui meurent dans la rue par exemple. La violence ne résout rien.” Si tout le long de la marche, l’ambiance fut en effet très bonne, les personnes dans le cortège affichant sur leurs visages et sur leurs corps dansant une réelle joie d’être présents, à l’arrivée à Bastille, quelques débordement ont eu lieu, avec par exemple la prise pour cible d’un camion de France info, dont les vitres ont été brisées (les journalistes ne se trouvaient pas à l’intérieur).

    “Même si on est en colère, on est content d’être venus faire la fête”, nous explique Lucas, faisant fièrement flotter au-dessus de sa tête un Gwenn ha du. Ce Rennais, venu spécialement en car de Bretagne - la France insoumise s’étant majoritairement chargée de l’organisation de la montée à Paris de la centaine de comités “Fête à Macron” formés dans toute la France - voulait absolument être là : “Il faut montrer au Président, qui n’explique sa politique que par des insultes, qu’on est présents. Je suis pour la convergence des luttes : moi, j’ai co-fondé une TPE familiale, et on est asphyxiés. Mes clients sont des personnes issues du service public, et elles aussi n’en peuvent plus et galèrent. C’est le serpent qui se mord la queue, et, pendant ce temps, il fait des cadeaux aux multinationales.”

    "Cette fête, c'est une façon de montrer aux personnes résignées qu'on peut agir"

    Il sera en effet beaucoup question de ça, et notamment de la suppression récente de l’exit-tax, fustigée par François Ruffin. Le réalisateur de Merci Patron! est content de la journée : “Aujourd’hui, il y a plein de gens qui trouvent injuste la politique d’Emmanuel Macron, mais qui sont résignés. Cette fête, c’est une façon de leur montrer qu’on peut agir. C’est une première étape réussie, maintenant, cap sur le 26 mai. Il faut préparer à fond cette journée qui, je l’espère, deviendra historique.” Une manif de convergence syndicale, politique et citoyenne sera en effet organisée ce jour-là.

    Laurence, déléguée CGT-info com y sera. Si cette réalisatrice de 51 ans ne “[nous] cache pas qu’elle n’est pas nécessairement en accord avec les décisions prises par sa confédération” [Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, n’a pas appelé son syndicat à participer à la Fête à Macron, ndlr], elle espère qu”’en agrégeant tous les secteurs en lutte, comme c’est le cas aujourd’hui, Macron, malgré sa grande détermination, pliera”. Et d’ajouter : “Si on n’y croyait pas, on ne serait pas là ! La question centrale, en fait, est de savoir dans quel type de société on souhaite vivre.” Pour les personnes présentes, pas dans une société néolibérale en tout cas, cf. de nombreuses pancartes ou slogans : “Le libéralisme tue”, “Hôpital contre capital”, “Anti-anti-anti-capitalistes!”...

    "Une politique d'exclusion sociale, d'injustice et de mépris de classe"

    Pas dans une société considérée comme discriminatoire non plus, comme nous le raconte Mélissa, étudiante lilloise de 26 ans venue à Paris pour manifester : “Je suis là pour représenter le rejet de la politique de Macron. Mes cours sont à Lille II, qui a été bloquée récemment pour protester contre la réforme de l’université [accusée de promouvoir la sélection des étudiants, ndlr]. Je viens d’un milieu populaire : avec cette loi, je n’aurais pas pu aller à la fac.” La jeune femme, engagée également auprès des réfugié-e-s, dénonce également le projet de loi asile et immigration, et plus globalement, “cette politique d’exclusion sociale, d’injustice, et de mépris de classe” à l’œuvre selon elle sous l'impulsion de l'exécutif actuel.

     

    Militante féministe, elle se réjouit de l’appel qui avait été lancé sur un blog Médiapart pour “introduire à la manif le thème de la précarisation des femmes”. Elle note tout de même l’absence de représentants des quartiers populaires, “on revient toujours à cette question de sociologie, de qui se sent autorisé à venir aux manifs, etc…”  Reste que “face à la casse des acquis sociaux”, dans un esprit de convergence des luttes - "enfin, tout dépend de quelle convergence et avec qui" - elle appelle à “lutter tous ensemble”. C’est d’ailleurs le slogan de la manif du 26 mai. Variante : "Le pot-au-feu, c'est meilleur réchauffé."

    Amélie Quentel

    source: https://www.lesinrocks.com

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  • «Les Russes sont des partenaires»: Mélenchon fêtera la victoire sur le nazisme à Moscou

    Le chef de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, a annoncé qu’il se rendrait la semaine prochaine à Moscou pour participer à la marche du Régiment immortel le 9 mai, jour de la Victoire sur le nazisme. Il a également préconisé le retrait de la France de l’Otan, estimant que les États-Unis entraînaient le pays «dans de nouvelles guerres».

    Selon Jean-Luc Mélenchon, chef de file de La France insoumise et candidat à l'élection présidentielle en 2017, il fera le déplacement à Moscou où il participera le 9 mai à la marche du Régiment immortel.

    Il a rappelé que 20 millions de Russes avaient trouvé la mort pendant la Seconde Guerre mondiale et que leur mémoire était honorée lors de la marche du Régiment immortel qui se tient non seulement à Moscou, mais également à Paris. Jean-Luc Mélenchon a fait remarquer qu'il porterait lui aussi une photo, ajoutant toutefois qu'il n'avait pas l'intention de prendre part au défilé sur la place Rouge.

    Il a noté également qu'il rencontrerait à Moscou Sergueï Oudaltsov, chef du Front de gauche.

    En outre, Jean-Luc Mélenchon a préconisé le retrait de la France de l'Otan.

    Ainsi, il a mis en relief «le risque d'une guerre généralisée».

     
    La marche du Régiment immortel, née en Russie en 2012, vise à rendre hommage aux combattants ayant contribué à la victoire et à commémorer la capitulation de l'Allemagne nazie. Ses participants défilent dans les rues de Moscou et d'autres villes russes en brandissant les photos de leurs parents ayant participé à la Seconde Guerre mondiale. L'intérêt pour cette action ne cesse de grandir à l'étranger. En 2016, la marche du Régiment immortel s'est tenue dans 44 pays. En 2017, elle a eu lieu dans 90 pays, dont la France.

    L'année dernière, la marche a rassemblé près de 850.000 participants à Moscou, un record historique absolu.

    source: https://fr.sputniknews.com

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  • Marche blanche – Déclaration du groupe des députés« La France insoumise »

    Hier, lors de la marche blanche en hommage à Mireille Knoll, nous étions dix députés de la France insoumise, présents en groupe et en écharpe, avec d’autres élus de notre mouvement. Nous avons été violemment pris à partis par plusieurs dizaines d’individus formellement identifiés comme appartenant à la ligue de défense juive. Nous avons été bousculés, menacés, plusieurs personnalités venues en protection comme le rabbin Farhi ou Gérard Miller ont été frappées, les injures homophobes et sexistes se sont déchaînées.

    Finalement, la police présente nous a demandé de quitter les lieux et nous avons accepté de le faire pour la préservation de leur sécurité.

    Nous dénonçons l’attitude irresponsable de Gérard Collomb qui, par les propos tenus le matin même sur France Inter, a contribué à jeter de l’huile sur le feu. En tant que ministre de l’Intérieur, il s’est montré ensuite incapable d’assurer la protection nécessaire au déroulement serein du rassemblement.

    Nous déplorons aussi l’inaction de François de Rugy, président de l’Assemblée nationale. Alors qu’il se tenait à quelques mètres de nous lorsque nous étions molestés, il est délibérément resté en retrait. Alors que notre groupe parlementaire était, aux côtés des sept autres, signataire de l’appel de l’Assemblée nationale à participer à cet hommage, pourquoi a-t-il refusé d’assumer son rôle de garant de notre institution ?

    Nous dénonçons le rôle trouble qu’a joué le président du CRIF en nous désignant comme cibles, alors-même que la famille de la victime appelait à la participation de tous à ce rassemblement.
    Il porte ainsi la responsabilité des agissements de la LDJ à notre égard. Il a été noté que les mêmes ont organisé l’intégration pacifique de Madame Le Pen dans le cortège.
    Nous rappelons que la LDJ est une organisation reconnue comme violente, interdite dans de nombreux pays dont Israël, et que sa dissolution a déjà été étudiée dans un passé récent par le gouvernement. Nous demandons à ce qu’elle soit effective et que soit mis un terme aux activités de ce groupuscule violent.

    Les députés de la France insoumise tiennent à remercier tous ceux qui leur ont témoigné leur soutien à l’occasion de cet incident grave et inacceptable, et notamment Richard Ferrand, président du groupe LaRem à l’Assemblée nationale – qui a quitté la marche quand il a été informé du traitement dont nous étions l’objet, l’Union juive des étudiants de France, le rabbin Gabriel Farhi, Sylvain Attal, le Parti communiste Français, le NPA, SOS Racisme ainsi que de nombreuses autres personnes, anonymes ou non, attachées à défendre les valeurs de notre République.

    Nous réitérons nos condoléances à la famille de Mireille Knoll et notre détermination à lutter contre l’antisémitisme.

     

    source: https://lafranceinsoumise.fr

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