• Il est urgent de changer de stratégie sanitaire face à la Covid-19, tribune censurée du Journal du Dimanche (francesoir.fr-28/09/20-9h30)

    Il est urgent de changer de stratégie sanitaire face à la Covid-19, tribune censuré sur le JDD

    ndlr  de francesoir.fr : censure quand tu nous tiens.  Cette tribune devait initialement paraître dans le JDD ce dimanche 27 septembre 2020. Cela ne fut pas le cas et à la place, le choix éditorial du JDD fut de publier une tribune d'un collectif de 7 médecins qui mettaient en garde contre une éventuelle seconde vague et demandait des mesures sanitaires radicales dès ce weekend pour des vacances de la Toussaint sereines. Ces médecins sont parmi ceux que l'on retrouve sur les plateaux de télevision depuis le début de la pandémie Karine Lacombe, Gilbert Deray, Bruno Megarbane.  Un choix éditorial aux connotations politiques et sanitaires, perpétuant ainsi le discours anxiogène du gouvernement qui depuis plusieurs semaines est à la recherche d’une hypothétique seconde vague. Rappelons que Laurent Toubiana (un des signataires de la tribune censurée) a déclaré que cette seconde vague était une épidémie de tests.  En second lieu, les liens d'intérêts ne sont jamais loin et ces sept médecins ont reçu plus de 432 000 euros des laboratoires dont 222 000 pour la seule Karine Lacombe et 160 000 euros pour Gilbert Deray avec plus 25% des conventions qui ne sont pas renseignées.

    Alexandra Henrion Caude, une des signataires de la tribune censurée nous dit :

    « c’est la seconde censure que je vis après celle de Libé et le checknews sur mes déclarations au cours de l’été.  Incroyable que le JDD choisisse une tribune de sept médecins contre plus de 250 personnes. »

     

    Le texte complet de la tribune est présenté ci-dessous.

     

    Dans cette tribune, plus de 250 scientifiques, universitaires et professionnels de santé critiquent la dérive de la politique sanitaire du gouvernement français. Ils estiment qu'elle conduit à des interprétations erronées des données statistiques et à des mesures disproportionnées. Et demandent que l'on évalue nos connaissances réelles pour définir démocratiquement une stratégie sanitaire.

    Avis au lecteur : cette tribune devait initialement paraître dans le Journal du Dimanche (JDD) ce 27 septembre 2020. Acceptée le samedi matin par le journaliste en charge de la rubrique "Tribune/Opinions", elle devait paraître intégralement sur le site Internet du journal et faire l'objet d'un article dans la version papier du lendemain. Le journaliste nous disait s'en féliciter car cela allait permettre un débat contradictoire avec d'autres opinions très alarmistes exprimées ce jour dans ce journal. A 16h, ce journaliste nous a pourtant prévenu que sa rédaction en chef interdisait la publication. Certitude de détenir soi-même la vérité ? Couardise ? Volonté de ne pas déplaire au gouvernement ? Nous ignorons les raisons de cette censure que personne n'a jugé utile (ou tout simplement courtois) de nous expliquer. 

     

    «Tandis que le gouvernement prépare une nouvelle loi (la quatrième en 6 mois !) prolongeant le « régime d’exception » qui a remplacé « l’état d’urgence » sanitaire, le ministère de la Santé a encore annoncé mercredi 23 septembre des mesures restrictives des libertés individuelles et collectives qu'il prétend fondées scientifiquement sur l'analyse de l'épidémie de coronavirus. Cette prétention est contestable. Nous pensons au contraire que la peur et l’aveuglement gouvernent la réflexion, qu'ils conduisent à des interprétations erronées des données statistiques et à des décisions administratives disproportionnées, souvent inutiles voire contre-productives.

    Que savons-nous de cette épidémie et de son évolution ?

    Le SARS-CoV-2 menace essentiellement les personnes dont le système immunitaire est fragilisé par le grand âge, la sédentarité, l'obésité, des comorbidités cardio-respiratoires et des maladies sous-jacentes de ces systèmes. Il en découle que la priorité sanitaire est de protéger ces personnes fragiles : le respect des gestes barrières et le lavage des mains en sont deux des clés.

    Le SARS-CoV-2 circule dans le monde depuis environ un an. Il continuera à circuler, comme l'ensemble des autres virus qui vivent en nous et autour de nous, et auxquels nos organismes se sont progressivement adaptés. L'espoir de faire disparaître ce virus en réduisant à néant la vie sociale est une illusion. D’autres pays, en Asie comme en Europe, n’ont pas eu recours à ces pratiques médiévales et ne s’en sortent pas plus mal que nous.

    Quant à l’évolution, l’idée d’une « deuxième vague » reproduisant le pic de mars-avril 2020 n’est pas un constat empirique. C’est une théorie catastrophiste issue de modélisations fondées sur des hypothèses non vérifiées, annoncée dès le mois de mars et ressortie des cartons à chaque étape de l’épidémie : en avril lors du soi-disant « relâchement » des Français, en mai avant le déconfinement, en juin pour la Fête de la musique, en été pour les « clusters » de Mayenne ou les matchs de foot, et à nouveau cet automne face à une augmentation des cas certes significative, mais lente et grevée d’incertitudes diagnostiques. Au final, cette prétendue « deuxième vague » est une aberration épidémiologique et l’on ne voit rien venir qui puisse être sérieusement comparé à ce que nous avons vécu au printemps dernier.

    On ne compte plus les mêmes choses

    Nous voyons enfin que, pour des raisons difficiles à cerner (panique, pression politique ou médiatique… ?), les autorités sanitaires françaises ne parviennent pas à stabiliser une communication honnête sur les chiffres de l'épidémie. Elles ont surtout abandonné l'indicateur fondamental, la mortalité, pour ne retenir que celui de la positivité de tests pourtant incapables de distinguer les sujets malades des personnes guéries. Cette politique du chiffre appliquée aux tests conduit à une nouvelle aberration consistant à s'étonner du fait qu'on trouve davantage aujourd'hui ce qu'on ne cherchait pas hier. Elle conduit par ailleurs à des classements des départements ou des régions en zones plus ou moins « dangereuses » à qui l’on donne de jolies couleurs qui cachent la fragilité et l’arbitraire du comptage : untel se retrouvera en « zone rouge » alors qu’il y a moins de dix patients en réanimation, un autre verra tous ses restaurants fermés sans que l’on ait la preuve que ce sont des lieux de contamination majeurs. Tout cela n’est guère cohérent.

    Les autorités sanitaires ne s'interrogent pas non plus sur la surmortalité à venir des autres grandes causes de décès (cancers, maladies cardio-vasculaires) dont la prise en charge est délaissée, ni sur le fait qu'une partie des sujets classifiés parmi les personnes « décédées de la Covid » sont en réalité mortes en raison d’une autre pathologie mais classifiées Covid parce qu’elles étaient également porteuses du virus. Or des études récentes montrent que ce groupe pourrait constituer jusqu’à 30% des décès au Royaume Uni ces dernières semaines. Cette façon de compter de plus en plus comme « morts du Covid » des personnes en réalité atteintes avant tout d’autres maladies est probablement l’explication principale du fait que, comme cela est écrit en toutes lettres sur le site de l'INSEE : « depuis le 1ᵉʳ mai, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport à 2019 ».

    Il découle de tout ceci qu'il n'y a pas de sens à paralyser tout ou partie de la vie de la société en suivant des raisonnements qui sont parfois erronés dans leurs prémisses mêmes. Il est urgent d'arrêter l’escalade, d'accepter de remettre à plat nos connaissances scientifiques et médicales, pour redéfinir démocratiquement une stratégie sanitaire actuellement en pleine dérive autoritariste.»

     

    Les signataires

    Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, directeur de l’IRSAN

    Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris, ancien président des Etats Généraux de la Prévention

    Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS

    Jean Roudier, professeur de médecine, rhumatologue, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097

    Louis Fouché, médecin, anesthésiste réanimateur à l’Hôpital de la Conception

    Olivier Lhoest, médecin anesthésiste réanimateur

    Olivier de Soyres, médecin, réanimateur à la clinique des Cèdres

    Elise Carpentier, professeur de droit public à l'Université d'Aix-Marseille

    André Comte-Sponville, philosophe

    Christian Perronne, chef du service d’infectiologie à l’hôpital de Garches, professeur à l’Université de Versailles Saint Quentin-Paris Saclay

    Anne Atlan, directrice de recherche au CNRS, généticienne des populations et sociologue

    Alain Wurtz, professeur émérite de chirurgie thoracique à l’Université de Lille

    Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’INSERM

    Catherine Gire, chef de service de réanimation, soins intensifs et néonatologie à l’Hôpital Nord de Marseille

    Bernard Dugué, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie

    Jean-Louis Rouvillain, médecin, orthopédie traumatologie, CHU La Meynard (Fort-de-France)

    Jean Bulard, médecin généraliste (Polynésie française)

    Marta Barreda González, médecin généraliste, spécialiste en Santé Publique

    Laurent Durinck, médecin, anesthésiste

    Lisbeth Girard-Claudon, médecin généraliste

    Tamara Baron, psychologue à la Maison Centrale de Saint-Martin-de-Ré

    Charles Menard, médecin, psychiatre 

    Françoise Robinson, docteur en médecine (Bron)

    Richard Rodriguez, médecin généraliste

    Elisabeth Pouffier, médecin généraliste 

    Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste

    Lionel Ferrier, médecin généraliste

    Sabine dé Monvallier, médecin généraliste

    Didier Montet, docteur en sciences et technologie alimentaire, HDR en biochimie

    André Burnol, ingénieur ENSTA Paris, docteur en hydrogéochimie

    Arnaud Plagnol, psychiatre, professeur de psychologie à l’Université Paris 8

    Isabelle Vinatier, professeur émérite en sciences de l’éducation, université de Nantes

    Marnix Dressen-Vagne, professeur de sociologie à l’Université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines

    Nicolas Sembel, professeur de sociologie à l’Université d’Aix-Marseille

    Pascal Ragouet, professeur de sociologie à l’Université de Bordeaux

    Pascal Roman, professeur de psychologie à l’Université de Lausanne

    Bruno Péquignot, professeur émérite de sociologie à l’Université Paris Sorbonne Nouvelle

    Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale à la Sorbonne-Université

    Éric Desmons, professeur de droit public à l’Université Sorbonne Paris Nord

    Dominique Andolfatto, professeur de science politique à l’Université de Bourgogne Franche-Comté

    Dominique Labbé, politiste, enseignant émérite à l’Université de Grenoble-Alpes

    Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur

    Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier en Loire Atlantique 

    Romain Torrents, médecin hospitalier, pharmacologie clinique, Centre Antipoison et de Toxicovigilance

    Laure Farnault, médecin, praticien hospitalier en Hématologie (Marseille)

    Thierry Medynski, médecin généraliste

    Christophe Leroy, biologiste, docteur en Biologie moléculaire et cellulaire

    Béatrice Segurens, chercheuse en génétique et métagénomique au CEA

    Jean-François Lesgards, biochimiste, chercheur au CNRS

    Alain Deville, physicien, Professeur émérite à l’Université Aix-Marseille

    Cécile Fortanier, docteur en Economie de la Santé, Cadre Hospitalier

    Frédéric Schnee, Médecin gériatre coordonnateur en EHPAD

    Gilles Perrin, médecin, anesthésiste réanimateur à l’Hôpital de la Conception

    Yves-Marie Mattheyses, Infirmier Anesthésiste

    Bernard Lamizet, ancien professeur des universités à l’Institut d’Études politiques de Lyon

    Alexandra Henrion-Caude, chercheur, ancienne directrice de recherche INSERM

    Vincent Pavan, maître de conférences en mathématiques à l'Université d'Aix-Marseille

    Peter El Baze, médecin Ancien attaché des Hôpitaux du CHU de Nice

    Hélène Banoun, pharmacien biologiste, docteur en pharmacologie moléculaire

    Soizic Noël-Bourgois, infirmière diplômée d’Etat, docteur en ethno-anthropologie

    Sophie Dessauvages, aide-soignante diplômée d’État

    Monique Lamizet, médecin généraliste

    Thierry Gourvénec, pédopsychiatre

    Françoise Giorgetti-D’Esclercs, médecin Oto-rhino-laryngologiste

    Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS

    Alexandra Menant, chercheuse en biologie au CNRS

    Philippe Brouqui, médecin, chef du pôle des maladies infectieuses au CHU de La Timone-IHU Méditerranée Infection

    Claire Neirinck, professeur émérite de droit à l’Université Toulouse 1 Capitole

    Pascal Sacré, médecin, anesthésie-réanimation

    Jean-Michel Crabbé, médecin généraliste

    Nicole Roattino, pharmacien hospitalier

    Clotilde Branly, sage-femme à l’Hôpital de Sarlat

    Brigitte Weiss, médecin généraliste

    Hubert Sroussi, médecin généraliste

    Valérie Giraud, sage-femme sexologue, Dordogne

    Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste (Bourges)

    Christophe Dargere, sociologue, chercheur associé au Centre Max Weber

    Stéphane Tessier, médecin de santé publique, docteur en sciences de l'éducation

    Violaine Guérin, médecin endocrinologue et gynécologue

    Alain Le Hyaric, médecin spécialiste Santé Publique (Paris)

    Guillaume Barucq, médecin généraliste à Biarritz

    Franck Enjolras, psychiatre et docteur en anthropologie (EHESS, Iris)

    Claude Gautier, professeur de philosophie à l’Ecole Normale Supérieure (Lyon)

    Agnès Florin, professeur émérite de psychologie de l'enfant à l'Université de Nantes

    Colette Anné, mathématicienne au CNRS (Nantes)

    Jean-Luc Viaux, professeur émérite de psychologie à l’Université de Rouen

    Benoit Marpeau, maître de conférences en histoire à l’Université de Caen-Normandie

    Hervé Joly, historien, chercheur au CNRS (Lyon)

    Bénédicte Helfer, médecin, risques sanitaires majeurs et gestion de crise

    Jean Emsallem, médecin angéiologue, enseignant à la Faculté de médecine de la Sorbonne Université

    Charalambos Apostolidis, professeur de droit public à l'Université de Bourgogne-Franche-Comté

    Mathias Delori, politiste, chargé de recherche CNRS

    Christopher Pollmann, professeur de droit public à l’Université de Lorraine

    Farhad Khosrokhavar, professeur émérite à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales

    Maryse Esterle, sociologue, enseignante-chercheure honoraire à l’Université d’Artois

    Thierry Oblet, maître de conférences en sociologie, Université de Bordeaux

    Bernard Lamizet, professeur émérite en sciences de l’information et de la communication à l’IEP de Lyon

    Christophe Leroy, biologiste, docteur en biologie moléculaire et cellulaire

    Docteur Jean-Pierre Letourneur, médecine, hépatogastroentérologue (Saint-Malo)

    Morgane Miegeville, cadre de santé, responsable pédagogique (Paris)

    Martine Mérour, médecin pneumologue retraitée

    Brigitte Agostini, infirmière libérale (Corse du Sud)

    Sybille Burtin-Philibert, médecin spécialiste de Santé Publique

    Vincent Reliquet, médecin, Comité Médical AIMSIB (Tourcoing)

    Marie-José Minassian, professeur émérite de philosophe à l’Université Paris 8

    Bernard Banoun, professeur de lettres à Sorbonne Université

    Gérard Ostermann, professeur de thérapeutique, médecine Interne et psychothérapeute

    François Gastaud, chirurgien Orthopédiste (Strasbourg)

    Alix Moulanier, médecin généraliste

    Fouad Daoud, médecin, ostéopathe, psychanalyste

    Laurent Sedel, médecin, ancien chef de service en orthopédie à l’hôpital Lariboisière

    Jean-Michel de Chaisemartin, médecin psychiatre des hôpitaux honoraire (Finistère)

    Patrick Bellier, médecin du sport, pneumologue allergologue (Sainte-Foy-les-Lyon)

    Dominique Géraud-Coulon, médecin rééducateur (Gap)

    Anne-Gabrielle Mottier, orthophoniste

    Koryna Socha, médecin anatomopathologiste

    Jean-François Pascal, médecine, chef de service SSR, gériatre

    Jean-Luc Stanek, Santé Navale et chirurgien-dentiste

    Rose-Marie Castello, médecin du travail et médecin généraliste (Paris)

    Florence Laaziri, infirmière libérale

    Véronique Orth-Weyers, médecin généraliste (Fort-de-France)

    Pierre Concialdi, chercheur en sciences sociales

    Rémy Marchal, professeur des universités à l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers

    Marc Richevaux, magistrat, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d'Opale

    Laetitia Gorius, infirmière Diplômée d’Etat

    Delphine Rive, médecin généraliste à Rezé

    David Esfandi, médecin, psychiatre (Bordeaux)

    Nadia Lamm, enseignant émérite à l’Université de Rouen

    Paméla Pang, infirmière

    Valérie Legrand, infirmière libérale

    Nicole Chaudiere, pharmacienne

    Mariane Huart, infirmière Diplômée d’Etat et ostéopathe

    Véronique Ahari, médecin généraliste (Poitiers)

    Éric Ménat, médecin généraliste (31)

    Sandrine Thiou, médecin généraliste à Besançon

    Patrick Roux, médecin libérale et praticien attaché au CHU de Clermont-Ferrand

    Julien Petit, médecin du sport

    Serge Rader, pharmacien (Paris)

    Arnauld Cabelguenne, pharmacien, Docteur en Toxicologie et Cancers

    Marie-Claire Cabelguenne, pharmacien, Coordinatrice MSP du Lectourois (Gers)

    Katia Chaussepied, infirmière

    Marc Roux, professeur honoraire de Zootechnie

    Caroline Gautier, infirmière

    Évelyne Gandais, médecin dermatologue

    Jérôme Reynier, docteur en psychologie sociale, enseignant en BTS

    Michaël Ramain, médecin, ancien Attaché des Hôpitaux de Paris

    Roseline Marie, médecin généraliste (Balaruc-les-Bains)

    Sébastien Aubert, professeur de génie mécanique à l’Ecole Nationale Supérieure d'Arts et Métiers

    Michelle Zancarini-Fournel, historienne, professeur émérite à l’Université de Lyon

    Patricia Melot, médecin généraliste

    Delphine Pages, médecin généraliste

    Sylvie Laval, psychiatre

    Lucie Jouvet Legrand, socio-anthropologue, maîtresse de conférences à l’Université de Franche-Comté

    Launay-Kong Hélène, infirmière libérale

    Bernard Gaillard, psychologue, professeur émérite à l’Université de Rennes 2

    Alix Moulanier, médecin généraliste

    Philippe Raymond, médecin généraliste (Bourg-en-Bresse)

    Murielle Dellemotte, médecin du travail

    Sandrine Vansnick, infirmière

    Isabelle Aubert, maitre de conférences HDR à l’Université de Bordeaux

    Pascal Lardellier, professeur à l’Université de Bourgogne

    Myriam Balsat, médecin généraliste

    Vincent Manns, médecin généraliste (46)

    Jean-Louis Thillier, médecin, immunopathologiste

    François Alaux, médecin spécialiste à Montauban

    Jacques Bassier, médecin nutritionniste

    Guy Chapouillié, professeur émérite à l’ENSAV Université Jean-Jaurès

    Catherine Schall Pruvost, médecin généraliste

    Christophe Robin, médecin généraliste (Bayonne)

    Frédéric Barbe, maître de conférences associé à l’Ecole d'Architecture de Nantes

    Françoise Auban, médecin généraliste (Marseille)

    Marc Arer, médecin généraliste (Saint-Etienne)

    Pierre-André Bouillet, médecin généraliste

    Michel Boudet, médecin généraliste

    Nicole Karsenti, médecin, nutritionniste

    Michel Soussalin, chirurgien AIHP ACCA des Hôpitaux de Paris

    Jean-Baptiste Mouzet, praticien hospitalier, Gériatre, soins de suite

    Caroline Mouzet-Heaulmé, Médecin généraliste

    Joël Rezzouk, médecin, chirurgien

    Sylvie merlier, Docteur en pharmacie

    Patrick Sautereau, médecin généraliste, (Caen)

    Michel Angles, médecin généraliste, (Rodez)

    Sylvie Merlier, pharmacien

    Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget

    Eugenia Lamas, chercheuse en éthique de la recherche biomédicale à l'INSERM

    Élisabeth Delaygue Bevan, médecin nutritionniste

    Didier Girard, médecin généraliste (Paris)

    Véronique Mathevet, infirmière

    Bénédicte Dassonville, médecin généraliste (Beaufort-en-Anjou)

    Stéphanie Rochet, docteur en pharmacie

    Anne Catherine Martin, médecin généraliste (71)

    Nathalie Demonté Dubruque, médecin généraliste (34)

    Christophe Petiau, médecin, neurologue (Strasbourg)

    Nathalie Caradot, médecin généraliste (Sainte-Foy-les-Lyon)

    Philippe Laurent, médecin généralist

    Michèle Leclerc-Olive, chercheure émérite au CNRS

    Michel Joubert, professeur émérite de sociologie à l'Université Paris 8

    Marie Pierre Brau Nogué, infirmière clinicienne (Bagnères-de-Bigorre)

    Véronique Chevalier, infirmière

    Olivier Esteves, professeur de civilisation des pays anglophones à l'Université de Lille

    Pierre-Yves Santiago, chirurgien oculaire, Institut Ophtalmologique de l’Oues

    Léna Barbancey, infirmière (Anduze)

    Ambre Limouzy, infirmière libérale

    Pascal Poteri, infirmier

    Guillaume du Manoi, médecin généraliste

    Pascale Gillot, maître de conférences en philosophie à l'Université de Tours

    Jean-Pierre Eudier, chirurgien-dentiste

    Paul-André Bellot, médecin généraliste

    Ghislaine Nicola Deloffre, médecin généraliste

    Florent Gaudez, professeur de sociologie à l’Université Grenoble-Alpes

    Philippe Bos, médecin anesthésiste retraité (46)

    Christian Lagasse, médecin généraliste (82)

    Claire Lenclud, médecin généraliste (38)

    Pascale Brun, médecin, acupuncteur

    Dominique Domergue-Anguis, médecin gynécologue (Amboise)

    Pascal Mensah, médecin généraliste

    Jeanine Jemet, médecin généraliste

    Dominique Carpentier, médecin généraliste (Vallesvilles)

    Didier Blanc, professeur de droit public à l’Université de Toulouse

    Jean-Pierre Garcia, médecin généraliste (Paris)

    Soad Zahaf Leghmizi, psychiatre (Seine et Marne)

    Gérard Le Roux, médecin généraliste retraité

    Jean-François Bayart, professeur de science politique à l'IHEID

    Fanny Morin, médecin généraliste

    Isabelle Autonne, médecin généraliste

    Karim Souanef, maître de conférences en sociologie à l'Université de Lille

    Michelle Lecolle, enseignante-chercheure en linguistique à l'Université de Lorraine

    Sonia Le Floch, médecin généraliste (34)

    Dominique Leiber, médecin généraliste

    Patrick Guérin, docteur vétérinaire, Président OpenHealth Company

    Hélène Palma, maître de conférences en civilisation des îles Britanniques à l'Université d'Aix-Marseille

    Nathalie Auger, maître de conférences en Chimie à l’Université de Rennes 1

    Emmanuel Froelhy, médecin kinésithérapeute ostéopathe

    Claude Veres, médecin, dermatologue (Paris)

    Richard Chantal, médecin généraliste (83)

     

    source: http://www.francesoir.fr/

     
    « Bretagne : la justice rouvre les salles de sport pour préserver l’activité économique (OF.fr-1/10/20-9h57)Refusons la grossière ingérence de Macron dans les affaires de Biélorussie – Par Pierre Pranchère (PRCF) »
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