BREST

 Manif. 2 000 personnes contre le gouvernement (LT.fr-9/10/18-16h58) 

Environ 2 000 personnes ont manifesté ce mardi matin à Brest contre la politique du gouvernement.

La réforme des retraites, le pouvoir d’achat, la santé, l’éducation comptaient parmi les sujets de préoccupation majeurs des manifestants, ce mardi matin, dans les rues de Brest.

Avec environ 2 000 personnes, la mobilisation aura été plutôt moyenne malgré le soleil, ce mardi matin, dans les rues de Brest. On reste loin des cortèges passés et les mouvements tendent à s’effriter avec les années, même à la rentrée et avec plusieurs motifs de mécontentement.

source: https://www.letelegramme.fr/

Brest. 2 000 manifestants contre la politique sociale du gouvernement (OF.fr-9/10/18-14h13)

Les enseignants de la fonction publique ont pris part à la manifestation 

Les syndicats appelaient aujourd’hui à une journée de mobilisation nationale contre la politique sociale du gouvernement. 2 000 personnes, selon la CGT, se sont retrouvées à Brest à 10h30 ce matin, place de la Liberté.

L’intersyndicale des retraités s’est placée en tête de cortège de la manifestation ce mardi 9 octobre 2018 à 10h30, contre la politique sociale du gouvernement, avec la nouvelle réforme des retraites en ligne de mire.

Les retraités ont défilé en tête de cortège

Ils ont démarré la manifestation un peu plus tôt, devant la permanence du député La République en Marche Jean-Charles Larsonneur, boulevard Gambetta, "parce que c’est un symbole, souligne Gilles Le Mignon, porte-parole de l’USR CGT du Finistère. On demande au député d’intervenir en notre faveur mais il nous méprise". 

Contre le nouveau système des retraites

"Macron a peu d’intérêt pour nous, les retraités. Notre pouvoir d’achat a baissé de 25 % depuis 8 ans. Nous demandons la revalorisation de nos pensions et la hausse de la CSG (Contribution Sociale Généralisée) pour les retraités", explique Gilles Le Mignon.

2000 personnes ont pris part à la manifestation

Le départ de la manifestation a eu lieu place de la Liberté, où 2 000 personnes se sont rassemblées selon la CGT. Elle a descendue la rue de Siam, avant de retourner place de la Liberté.

Relancer un mouvement de lutte

Travailleurs, chomeurs, retraités et quelques étudiants formaient le cortège. "Cette journée entame une nouvelle riposte nécessaire, expose Olivier Le Pichon, secrétaire UL CGT de Brest. Mais elle ne suffira pas pour mettre fin à ces attaques et ces remises en cause de tous les statuts du travail : cheminots, fonctionnaires, Code du travail, sécurité sociale et les services publics".

D’autres manifestations avaient lieu dans le département aujourd’hui : à Quimper, Carhaix, Morlaix et Quimperle.

La CGT des marins a sorti les feux à main de détresse en mer devant la mairie

Metig Jakez-Vargas

source: https://www.ouest-france.fr/

MORLAIX

 Morlaix. 600 personnes dans la rue contre la politique de Macron (OF.fr-9/10/18-12h58)

Plus de 600 personnes ont défilé contre Macron ce mardi 9 octobre au matin dans les rues de Morlaix (Finistère)

Reprise de la mobilisation à Morlaix (Finistère), contre la politique d’Emmanuel Macron. Ils étaient environ 600 à manifester ce mardi 9 octobre au matin.

Les organisations syndicales de travailleurs CGT, FO, FSU et Solidaires et les retraités du pays de Morlaix ont répondu à cette nouvelle mobilisation nationale contre la politique d’Emmanuel Macron. Plus de 600 personnes ont défilé ce mardi 9 octobre au matin dans les rues de Morlaix (Finistère).

« En visite à Colombey-les-Deux-Eglises, la semaine dernière, Macron demandait aux retraités d’arrêter de se plaindre, clame Jean-Yves Ollivier, le représentant CGT des retraités. Le nombre de retraités présents ici ce matin montre qu’il n’est pas entendu… Nous vivons de plus en plus mal à cause de la politique qu’il mène depuis un an. »

Fermeture de La Poste

Selon la CGT Interpro : « Plus de 70 % des citoyens désapprouvent la politique sociale du Président Macron, président des riches. » (Selon l’enquête BVA/La Tribune en juin 2018).

Dans le collimateur des manifestants, la baisse des cotisations sociales, donc du salaire, le démantèlement des services publics… Sur le plan local, c’est la direction de la Poste qui est visée avec la fermeture du bureau de poste de la Boissière au 3 novembre.

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CARHAIX

Carhaix. Près de 500 manifestants dans les rues (OF.fr-10/10/18-6h13)

Lycéens de Diwan, salariés et retraités se sont retrouvés à Carhaix pour manifester contre la politique pratiqué par le gouvernement français

Actifs, lycéens de Diwan et retraités ont manifesté, mardi, à Carhaix pour s’opposer à la politique menée par le gouvernement.

Ils étaient près de 500 manifestants à se retrouver à 10 h 30 mardi, devant la maison des syndicats de Carhaix.Sous l’appel des unions locales de Carhaix, Rostrenen et d’Huelgoat de la CGT, retraités, lycéens et actifs ont fait corps pour « s’opposer fermement à la politique libérale » pratiquée par le gouvernement, comme le déclare Stéphane Povie, au nom de l’interprofessionnel, lors d’une prise de parole.

Auparavant, Bernard Bloyet dénonce la volonté du gouvernement « d’instaurer un système universel de retraites par points » et le recul du pouvoir d’achat des retraités.

Les lycéens de Diwan solidaires

Dans la rue Georges-Clémenceau, près de 200 élèves du lycée Diwan se sont montrés solidaires au mouvement.Nathan, Maodez et Gweltaz ont pris la parole devant l’assemblée, d’abord en breton, puis en français : « Nous les lycéens nous sommes là pour se battre contre Parcoursup, on demande le droit de choisir ce qu’on veut faire plus tard et que l’État ne choisisse pas seulement l’élite ».

Maodez, Gweltaz et Nathan, lycéens à Diwan, ont pris la parole devant les manifestants pour dénoncer le système de Parcoursup et revendiquer leur droit de passer le baccalauréat en Breton.

Puis ils soulignent : « Depuis quelques années, on se bat pour passer le bac en breton ». Les trois lycéens rappellent les événements de juin dernier, lorsque 15 bacheliers ont passé l’épreuve de mathématique en breton : « Nous allons continuer de nous battre pour être autorisé à passer le diplôme en breton ».

Certains ont manifesté leur soutien à l’Aquarius, bateau de secours aux migrants en Méditerranée. Gabin et Evann déclarent : « Les problèmes des retraités, des travailleurs et de l’Aquarius sont nos problèmes à tous. Ça nous tenait à cœur d’être là ».

Gabin et Evann brandissent un panneau "Ya dan Aquarius" (oui à l'Aquarius) pour montrer leur soutien au bateau qui n'a plus de pavillon lui permettant de sauver les migrants en Méditerranée.

Brandissant banderoles, Gwenn ha du et drapeaux de la CGT, le cortège s’est dirigé vers la mairie de Carhaix avant de reprendre le chemin de la maison des syndicats.

Les manifestants ont rejoint la mairie de Carhaix avant de repartir à la maison des syndicats.

 La manifestation fait écho aux centaines d’autres organisées le même jour dans toute la France. Un prochain rassemblement contre la baisse des pensions et des retraites est prévu le 18 octobre.

Soizic ROBET

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QUIMPER

Manifestation. Un millier « contre la casse sociale » (LT.fr-9/0/18-16h32)

Un millier de personnes ont manifesté, mardi matin, à Quimper, « contre la casse sociale du gouvernement », dans le cadre de la journée nationale interprofessionnelle. Dans les rangs, une bonne moitié de retraités.
Les retraités ont ouvert le bal. Quatre cents d’entre eux se sont retrouvés, dès 10 h 30, devant la permanence de la députée LREM Annaïg Le Meur. Plus de rencontre demandée par les organisations de retraités. « Gilles Le Gendre, président du groupe En Marche, n’a pas cru bon de recevoir les retraités venus en délégation à l’Assemblée remettre une pétition de 250 000 signatures », ont-ils rappelé.

Retraités : « Nous vivons de plus en plus mal… »

Un cortège s’est formé pour rejoindre, à 11 h, la place de la Résistance et la manifestation nationale interprofessionnelle appelée par la CGT, Force ouvrière, la FSU et Solidaires. « En visite à Colombey-Les-Deux-Églises, Emmanuel Macron a demandé aux retraités d’arrêter de se plaindre. Mais il a oublié de dire que nous vivons de plus en plus mal à cause de la politique qu’il mène depuis un an ». Dans leur déclaration commune, les retraités s’en sont directement pris au Président de la République : « À ce jour, le pouvoir d’achat des retraités soumis à la CSG a été amputé de 4 % depuis l’élection de Macron. Pour une retraite brute de 1 500 euros, le manque à gagner est de 60 euros par mois. Cela après des années de revalorisations dérisoires ». Le gouvernement n’a pas été épargné, « il a décidé que les retraites ne seront revalorisées que de 0,3 % en 2019 et 2020 alors que les prix ont augmenté de 2,3 % ». Craintes aussi dans la perspective de la création d’une retraite universelle par points. 

Nouvelle mobilisation le 18 octobre

Si, mardi, les retraités sont apparus désunis avec l’absence de la CFE-CGC, de la CFTC - sans parler de la CFDT -, en raison du refus de convergence avec la journée nationale interprofessionnelle, il ne devrait pas en être de même le 18 octobre prochain. Les retraités appellent en effet à une nouvelle « mobilisation générale » coïncidant avec l’ouverture du vote sur le Projet de loi sur le financement de la sécurité sociale (PLFSS). « L’objectif est d’atteindre et de dépasser les 7 000 manifestants que nous étions le 15 mars, dans le Finistère », a chiffré l’intersyndicale.

Le PLFSS, justement, a été qualifié comme « outil de la casse du service public » par la CGT lors de la manifestation interprofessionnelle « contre la casse du système social ». « Le gouvernement détruit toutes les égalités » a estimé Force ouvrière. Pour sa part, la FSU a vu dans la politique gouvernementale un « remodelage sans précédent du modèle social au profit du privé ».

Dans le cortège, a pris place la CFDT interco du conseil départemental alors que sa confédération n’appelait pas à y participer. « Nous sommes là pour dénoncer le gel des indices, les agents ont souhaité manifester dans la rue », a expliqué le syndicat.

Jacky HAMARD
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Quimper. Mille manifestants contre la politique du gouvernement (OF.fr-9/10/18-13h8)

Environ mille personnes ont manifesté, ce mardi 9 octobre, à Quimper.

Ils étaient environ mille personnes à manifester ce mardi 9 octobre, à Quimper, pour dénoncer la politique du gouvernement.

Environ mille manifestants ont défilé dans les rues de Quimper (Finistère), mardi 9 octobre vers midi. Hausse de la CSG, suppression de postes de fonctionnaires, service public… Ils dénoncent la politique sociale du gouvernement d’Édouard Philippe.

Les associations et syndicats de retraités se sont retrouvés en amont de la manifestation. Ils étaient environ 400 personnes, devant la permanence de la députée Annaig Le Meur. "Si on vient ici, c’est parce que les députés sont responsables de l’avenir des retraités, dénonce Marcel Denes, président de Loisirs et solidarité des retraités du Finistère (LSR). Ces députés ont voté l’augmentation de la CSG."

La colère des retraités

Les associations et syndicats avaient rencontré les députés finistériens l’année dernière. Ils ne se sentent pas écoutés : "Seul quatre députés ont accepté cette rencontre", soupire Xavier Tirilly, de Solidaires retraité.

Ils étaient 400 retraités à manifester, avant de venir grossir les rangs de la manifestation.

Une pétition, recueillant 250 000 signatures a été déposée à l’Assemblée nationale. "Nous n’avons même pas été reçus par La République en Marche, pour qui était destinée cette pétition, raconte Xavier Tirilly. C’est un député du Parti Communiste qui est venu la prendre en fin de compte."

"Stop à la casse sociale"

Le cortège s’est ensuite rendu place de la Résistance, pour retrouver la manifestation interprofessionnelle."Stop à la casse sociale, les inégalités, ça suffit !" ont déclaré les syndicats avant de commencer à manifester, sur les Quais.

Les manifestants dénoncent les réformes du gouvernement.