• Quimper-Débrayage suivi du personnel à Conforama (16/04/2017)Le personnel a débrayé, hier après-midi, dans la perspective d'une nouvelle réunion de négociation nationale, mardi

     Une dizaine de salariés de Conforama (groupe Steinhoff), route de Bénodet, sur les 25 au travail ont débrayé, hier après-midi, à l'appel de la CGT, dans le cadre d'une journée nationale d'action avant la tenue de la troisième réunion sur les négociations annuelles obligatoires, pour dénoncer une politique d'austérité. Pas de blocage du magasin, les grévistes se sont installés près de la porte principale laissant entrer la clientèle.

    Jours de congés, primes, salaires...

    Parmi les revendications figure le maintien des deux jours de fractionnement. « Jusqu'à présent les salariés prenaient trois semaines de congés l'été. Fin octobre, s'ils n'avaient pas pris l'ensemble de leurs congés ils se voyaient octroyer deux jours supplémentaires. La direction impose désormais quatre semaines l'été ce qui fait perdre le fractionnement. C'est une mesure d'économie qui concerne les 9.000 salariés du groupe », dit Gilbert Bourhis, délégué du personnel. Le syndicat demande aussi le retour de la prime sur les garanties longue durée pour les vendeurs, supprimée fin mars par Conforama. « C'est un complément de salaire important. Selon les vendeurs elle peut varier de 50 € jusqu'à 300 € par mois », commente le cégétiste. Il revendique aussi l'arrêt des pressions sur les objectifs, « certaines personnes les vivent très mal ». Sans chiffrage précis, le syndicat réclame encore un « salaire décent ». « La grille des salaires est bloquée depuis deux ans ». Enfin, le débrayage a eu pour but de demander la requalification en CDI des CDD et des contrats en intérim, « sur les 43 salariés du magasin à Quimper, neuf départs à la retraite vont avoir lieu cette année, tous ne seront pas remplacés ». Conforama est actuellement sous le coup d'un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE), avec la fermeture de plateformes de dépannage, de deux magasins en 2016 et des huit Confo Déco.
     
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  • communiqué

    de la commission des luttes du PRCF

     

    Présidentielles : le chien «Berger» est lâché (PRCF-Commission des luttes-15/04/2017))

     

    Présidentielle 

     

    Le chien «Berger» est lâché,

     

    la  CFDT soutient Macron le

     

    candidat des patrons

     

    Intervenant sur France inter, Laurent Berger, chien de garde du MEDEF et de la finance, vient, tout en ménageant Hamon de donner une consigne de vote pour Macron le candidat des banques et du MEDEF. Il en a surtout profité pour attaquer violemment Mélenchon, accusé de soutenir les progressistes latino-américains et de porter un risque de « totalitarisme » (alors que la CFDT a, par l’entremise de la CSI et de la CES, soutenu les coups d'état contre Chavez organisés par l'oligarchie locale et les Etats-Unis...)

    La CFDT le choix des patrons

    Une fois de plus, la CFDT, par la bouche de son secrétaire général, fait le choix de la trahison et de l'ignominie. Déjà habituée à insulter les grévistes et le mouvement social (1995, 2003, 2010, 2013, loi El khomri, soutien permanent à l'UE du capital…) elle franchit un nouveau pas dans son asservissement aux forces du capital en intervenant sur la plan politique pour soutenir les candidats dudit capital en danger et pour attaquer le candidat qui porte, malgré les limites de son programme, les couleurs du mouvement populaire sur la question de la paix, de l'Otan, de l'UE, des services publics, des retraites et de la Sécu, de la loi Travail…

    La charge de la CFDT doit à l'inverse de son but ouvrir les yeux de ceux qui hésitent encore.

    Oui, Mélenchon est du bon côté de la barricade, face aux Macron, Fillon, Le Pen, Hamon et autres partenaires sociaux du genre Berger et Gattaz.

    Oui, le monde du travail a un intérêt impérieux à le faire gagner afin que s'ouvre une période de changement progressiste qui réclamera, pour aller au bout des promesses, un fort mouvement social dans lequel les communistes et les syndicalistes de classe auront un rôle primordial à jouer.

    Aucun doute que l'appareil CFDT sera dans le camp d'en face, comme d'habitude...

     

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  • Déclaration du Front Syndical  de Classe

    CFDT : la voix de ses maîtres (fsc;org-15/04/2017)

    CFDT: la voix de ses maîtres

     

    Il ne suffit plus à la CFDT de trahir les mouvements sociaux dès lors qu'ils se développent (1995, 2003, 2010, 2016 contre la loi El-Khomri, non populaire à la constitution européenne...), il lui faut désormais intervenir au service de ses maîtres du capital pour tenter d'affaiblir tout ce qui pourrait venir contrecarrer leur domination.

    Laurent Berger, tout en affirmant ne pas donner de consigne de vote, s'est ainsi prononcé sur France-Inter pour un « mix » des mesures de Macron et de Hamon avec « l'Europe au cœur » et a réservé le gros de son intervention à attaquer Mélenchon, porteur selon lui d'une vision « autoritaire et totalitaire » et coupable en particulier de soutien à Chavez, insistant sur le « risque d'une vision assez brutale des rapports humains, des rapports sociaux et des rapports politiques que porte parfois Jean-Luc Mélenchon ».

    Faisant chœur avec les requins du cac40 ayant déclenché une campagne anti-Mélenchon à l'image de la peur que leur inspire le candidat de la France insoumise, Berger a une fois de plus révélé la nature de la CFDT, qui n'est plus qu'un outil grassement payé pour diviser le mouvement syndical et l'entraîner vers la collaboration de classe sans limite : négation de la lutte des classes, défense de l’Europe, de l'oligarchie et des contre-réformes capitalistes et de l'impérialisme.

    Ce faisant, la CFDT apparaît pour ce qu'elle est : un rouage dans les mains de l'oligarchie capitaliste, intégré à la Confédération européenne des Syndicats financée par l'UE et à la CSI d'origine vaticane et états-uniennes qui avait au passage soutenu les coups d’État (pas du tout totalitaires eux !) de l'oligarchie vénézuélienne soutenus par la CIA contre Chavez (sans même parler de Cuba…) soutenu et défendu par l'intervention populaire.

    Vis-à-vis des luttes et des intérêts populaires, Berger est bien de l'autre côté de la barricade, du côté des Macron, Fillon, Hamon, Le Pen et autres Gattaz et il fera tout pour favoriser ses maîtres du capital, y compris tenir des propos ignominieux et donner des consignes de vote au nom de la CFDT.

    En effet, les résultats des élections prochaines ne sont pas sans conséquence sur les années à venir. Les configurations politiques qui émergeront de ces présidentielles sont loin d'être équivalentes et, pour les travailleurs, la possibilité de lutter pour la mise en œuvre d'un programme initial lui-même progressiste (sur les questions de la paix, de l'Otan, de l'UE, des services publics, des retraites et de la Sécu, de la loi Travail…) serait évidemment de loin la plus souhaitable.

    Mais nous n'oublions pas les leçons de l'histoire : les congés payés et les 40 heures en 1936 n'étaient pas au programme politique du Front populaire. Ce sont les grèves et les occupations d'usine qui imposèrent ces conquêtes.

    Demain l'essentiel demeurera la capacité d'intervention indépendante et unie des travailleurs et de la classe ouvrière sur la base des revendications portées par les luttes et les mouvements sociaux telles qu'on les retrouve par exemple dans la déclaration récente de l'Union départementale CGT de Seine-Maritime :

    • défense de la Sécu et du salaire socialisé.
    • défense du pouvoir d’achat des retraités.
    • défense des retraites par répartition et des régimes particuliers, abrogation des mesures s’attaquant à nos retraites depuis 1993.
    • défense de tous les emplois et interdiction des licenciements.
    • défense des services publics
    • arrêt des cadeaux aux patrons, hausse des salaires dans le privé et hausse du point d’indice dans le public.
    • abrogation de la loi Travail, défense des conventions collectives et des statuts.
    • amnistie de tous les militants condamnés et arrêt des poursuites en cours.
    • paix et la fraternité entre les peuples, refus du racisme et du sexisme.

     

    Front Syndical de Classe, 14 avril 2017

    source: frontsyndical-classe.org

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  •  Pour la Confédération, l'alternative est « crédible » (OF-14/04/2017)Le projet syndical de la Conf' reste ancré dans le milieu paysan

    Après deux jours de débats intenses, le congrès national de la Confédération paysanne s'est achevé, hier, à Muzillac (Morbihan), par une table ronde brûlante sur l'Union européenne.

    « Jusqu'à présent, l'agriculture n'avait jamais été décentralisée », constate Olivier Dulucq, expert en questions territoriales, enseignant-chercheur à Rennes. Avec la loi NOTRe, les quelque 1 200 communautés de communes de France « deviennent l'interlocuteur obligé de demain ». Un demain où « l'intercommunalité fera tout et la commune le reste... »

    Politiques de l'eau, du foncier, de l'alimentation : chacune a, nécessairement, un dossier en lien avec l'agriculture à traiter. « C'est une chance à saisir », insiste Olivier Dulucq. Car, là où l'agriculture paysanne et le bio se sont le plus développés, « c'est là où ils avaient le plus de relais locaux... »

    Pas sans l'Europe

    Mais, réfute Aurélie Trouvé, enseignante-chercheuse à AgroSup, « on ne peut pas se désintéresser des échelons national et international ». Des dizaines d'accords de libre-échange sont en cours de négociations : « Laisser toutes les frontières de l'Union européenne ouvertes, c'est abandonner toutes les politiques et consentir à l'afflux de produits alimentaires de basse qualité et à bas coût. »

    Avec le vrai risque de voir surgir une agriculture duale : « L'une de grandes cultures, l'autre d'agriculture multifonctionnelle. » Même raisonnement pour le lait, « où l'on voit surgir en Europe une concentration aberrante de la production avec une spécialisation des régions ».

    L'harmonisation fiscale, sociale et environnementale « ne pourra pas se faire sans Europe ». Avec ce bémol, corrige Aurélie Trouvé, que la France a toujours eu tendance « à rejeter la faute sur l'Union européenne ». Alors que la France a « de grandes latitudes dans sa mise en oeuvre de la Pac ». Elle enfonce le clou : « En gros, en France, plus on pollue, plus on reçoit d'aides à l'hectare ! » Alors qu'en Allemagne et en Grande-Bretagne, c'est l'inverse...

    Enfin, elle appelle la Conf', où le débat est vif sur la place qu'il convient de laisser à l'État dans les alternatives, « à ne pas confronter les deux visions ». L'économie locale et solidaire est nécessaire, tout comme l'État est « indispensable » pour mettre en place « une régulation forte ».

    Un argument dont Laurent Pinatel, porte-parole de la Conf', est pleinement convaincu. « Non, la Conf' ne s'est pas enfermée dans l'autonomie. » Elle fait la démonstration que les productions alternatives sont « crédibles ». Son projet syndical reste « ancré dans le milieu paysan ». Bien des politiques appellent à ce que l'agriculture se modernise pour produire plus : « Mais cela fait soixante ans qu'on dit ça aux paysans, qui disparaissent tous les jours ! »

    Arrêtons de vouloir moderniser l'agriculture, « c'est endetter toujours plus les paysans, qui n'en peuvent déjà plus ».

    Christophe VIOLETTE.

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  • Victime d’un accident mercredi après-midi sur le parking du E.Leclerc de Concarneau, l’homme est décédé ce matin à l’hôpital de Quimper. Il avait 56 ans.

    Mercredi, aux alentours de 17 h, un peintre en bâtiment subissait un grave accident sur le chantier du parking du magasin E.Leclerc de Concarneau (Finistère). Perché sur une nacelle, l’homme se serait retrouvé coincé entre cette dernière et une poutrelle.

    Dans un premier temps, l’homme devait être hélitreuillé à l’hôpital de la Cavale Blanche de Brest. Mais devant la gravité de ses blessures, il a finalement été conduit à Quimper, où il a été opéré dans la soirée.

    Malgré cette opération, il est décédé ce matin à l’hôpital de Cornouaille.

    Une autopsie réalisée vendredi matin

    Âgé de 56 ans, l’homme travaillait depuis près de 30 ans dans une société de peinture sur le port de Concarneau et vivait seul avec sa mère.

    La police tente actuellement de déterminer les circonstances exactes de l’accident. Une autopsie sera réalisée demain matin, vendredi, à l’hôpital de la Cavale Blanche afin de déterminer les causes de la mort.

    Un expert de la cour d’appel de Rennes se rendra également demain à Concarneau pour vérifier le fonctionnement de la nacelle.

    source:ouest-france.fr/archives

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  • Concarneau. Un ouvrier grièvement blessé sur un chantier (LT.fr-12/04/2017)

    Un accident du travail s'est produit ce mercredi après-midi vers 16 h sur le chantier du parking couvert du Centre E Leclerc. Selon les premières informations, un peintre s'est retrouvé coincé entre une nacelle et la structure métallique en cours de montage. 

    La victime, un homme âgé de 55 ans, dont le pronostic vital est malheureusement engagé, a été transportée par Tonnerre 29, l'hélicoptère du Samu au centre hospitalier de Quimper. L'accident pourrait être dû à un dysfonctionnement de la nacelle qui a été placée sous scellés.

    source: letelegramme.fr

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  • Réorganisation de l'activité de La Poste à Brest. La CGT tire la sonnette d'alarme (LT-12/04/2017)

    Entre 2008 et 2020, La Poste estime que son volume de courrier va diminuer de 50 %, passant de 18 milliards de plis traités à neuf milliards à peine. Elle est déjà aujourd'hui à moins 30 %. Face à cette baisse constante de l'activité, la direction étudie de nouveaux schémas territoriaux tous les deux ans pour « tenter d'endiguer l'érosion et rester une entreprise rentable ».

    « Pas d'impact sur l'emploi » selon la direction

    Dans ce contexte, la Plateforme industrielle courrier de Kergaradec, qui emploie quelque 170 personnes, va être transformée en simple plateforme de préparation et de distribution. En clair : l'activité tri va être transférée sur la plateforme de Saint-Jacques-de-la-Lande près de Rennes. Et ce « à l'horizon 2019 », confirme la direction qui assure « qu'il n'y aura aucun impact pour les usagers et aucune incidence sur l'emploi ». Selon elle, « il s'agit d'une simple réorganisation à effectif constant, les salariés concernés voyant juste leurs fonctions évoluer ».

    Quant au fait de regrouper tout le tri sur Rennes, elle estime qu'il s'agit « d'une question de cohérence pour optimiser les chargements de transport, le site traitant déjà 2,7 millions de plis pour l'Ille-et-Vilaine, les Côtes-d'Armor et le Morbihan ». Et elle insiste, « les choses vont se faire progressivement, la première étape étant le transfert au 3 juillet des plis économiques ».

    Menace de grève

    Du côté de la CGT, on se montre beaucoup moins optimistes. Pour les représentants syndicaux, « passer de 95 plateformes industrielles aujourd'hui en France à moins de 20 ne pourra qu'avoir des répercussions sur l'emploi ». Localement, ils estiment par ailleurs que « les aménagements proposés aux personnels vont avoir des incidences importantes sur leur santé au travail ». Selon Philippe Pichon, secrétaire de la section, « dix-sept personnes sont concernées par le premier étage de la fusée le 3 juillet. Leurs horaires ont été revus. Ils devront travailler de 4 h 30 à 11 h 30 au lieu de 6 h - 13 h... Quand on a une vie de famille et qu'on habite hors de Brest, cela peut avoir des conséquences non négligeables ». Comme elle l'avait déjà fait en 2013, la CGT va demander une expertise indépendante. Les délégués du personnel vont s'entretenir ce jour avec l'ensemble des salariés. Ils n'excluent pas de déposer un préavis de grève.

    source: letelegramme.fr

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  • Ciné-débat-La Sociale film de de Gilles Perret-Vendredi 14 avril -18 h 30-Amphithéatre de l'Hôpital de Cornouaille

    Le Syndicat  CGT du centre hospitalier de Cornouaille organise une projection gratuite du film « La Sociale », de Gilles Perret, vendredi 14 avril, à l'Amphithéâtre de  l'hôpital Laennec. Ce documentaire, produit par Rouge Productions, raconte l'histoire de la Sécurité Sociale, d'où elle vient, ce qu'elle est devenue et ce qu'elle pourrait devenir. À l'issue de sa diffusion, le syndicat a prévu un temps d'échanges et de débats, avec la participation de Robert Salaün, de l'Institut CGT d'histoire sociale de Bretagne. La Sécurité Sociale a été créée en octobre 1945 sous l'égide d'Ambroise Croizat, ministre du Travail, dans le prolongement des travaux du Conseil national de la Résistance. Son objectif initial : « Garantir les travailleurs et leurs familles contre les risques de toute nature susceptibles de réduire ou de supprimer leur capacité de gain, à couvrir les charges de maternité et les charges de famille qu'ils supportent ».

    Projection-débat du film "La Sociale" de Gilles Perret 
                Vendredi 14 avril, à 18 h 30,   Amphi.de l'hôpital de Cornouaille à Quimper, Entrée libre. 
     

    La bande-annonce du film


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    Le magasin de Concarneau (Finistère) est le seul du Finistère à être touché par le planLe magasin de Concarneau (Finistère) est le seul du Finistère à être touché par le plan 

    Pauline BOURDET.

    L’équipe de la Halle aux chaussures de Concarneau (Finistère) a laissé le rideau baissé ce matin afin de protester contre la fermeture définitive de leur magasin, le 31 août prochain.

    La nouvelle était tombée à la fin du mois de janvier, comme un couperet : le magasin la Halle aux chaussures de Concarneau, ouvert en septembre 2008, fermerait ses portes à la fin du mois d’août. Au total, plus de 180 boutiques de l’enseigne sont concernées partout en France par le plan de fermeture du groupe d’habillement et de chaussures Vivarte. Le magasin de Concarneau sera le seul du Finistère à être touché.

    En réaction, les syndicats FO, CGT, CFDT, Sud Vivarte, CFECGC ont appelé à un mouvement de grève générale ce vendredi matin.

    Le magasin de Concarneau (Finistère) rouvrira ses portes ce vendredi après-midi, dès 14 h.

    "Nous sommes solidaires avec nos collègues qui manifestent ce matin devant le siège à Paris" expliquait une des salariés du magasin concarnois. Les trois salariées, embauchées en CDI à temps partiel, se disent "dégoûtées": "on s’est énormément investies dans ce magasin depuis son ouverture".

    "Pour l’instant on ne peut pas chercher autre chose, on attend de voir ce que donnera le plan social, en négociation jusqu’au 31 mai" ajoute une seconde, en poste depuis plus de deux ans.

    Le magasin rouvrira ses portes ce vendredi après-midi, dès 14 h.

     source: ouest-france.fr
     
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