• Loi travail -Appel  CGT-FO-FSU-SOLIDAIRES-UNEF-UNL-FIDL pour le 24/03/2016

    La journée de mobilisation du 17 mars à l’initiative des organisations de jeunesse a été une réussite.

    Les jeunes, très concernés par ce projet de loi, se sont fortement mobilisés avec le soutien des organisations de salarié-es.

    La preuve est faite que les annonces du Premier ministre pour aménager la loi travail n’ont visiblement pas convaincu et ce malgré l’offensive gouvernementale largement relayée.

    Les jeunes doivent pouvoir manifester et se réunir librement. Le gouvernement doit respecter leurs droits et non multiplier les obstacles.

    Le débat sur la loi est loin d’être terminé. La réécriture du texte ne touche pas au cœur du projet qui contient toujours de multiples régressions.

    Ce nouveau projet de texte ne répond donc pas aux aspirations fortes, exprimées par les jeunes, les salarié-es et les chômeurs pour l’accès à l’emploi et sa sécurisation. La création d’emplois de qualité ne peut pas être synonyme de la casse du code du travail mais nécessite en revanche un changement de politique économique et sociale.

    Le gouvernement doit retirer son projet, entendre les propositions alternatives portées par les organisations de jeunesse et de salarié-es et en discuter avec elles.

    Fortes de la réussite de cette journée, les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL appellent les jeunes et les salarié-es à poursuivre et amplifier la mobilisation dès le 24 mars prochain, jour de la présentation du projet de loi au conseil des ministres.

    Ce sera une nouvelle étape avant la puissante journée de grève et de manifestations du 31 mars pour obtenir le retrait de ce projet de loi et conquérir de nouvelles garanties et protections collectives.

    Jeudi 17 mars 2016

     

    Les organisations syndicales CGT, FO, SOLIDAIRES, FSU et UNEF du Finistère appellent à manifester,  ce jeudi 24 mars  à :

    • Brest à partir de 12h00 Place de la Liberté
    • Quimper à partir de 12h00 Place de la Résistance
    • Morlaix à partir de 12h00 Place de la Mairie
    • Quimperlé à partir de 10H30 Place Saint Michel
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  • La grève des contrôleurs aériens menée par le syndicat UNSA-ICNA perturbe considérablement les aéroports français. Ainsi, 9 vols sur 19 au départ de Brest ont été annulés. Et de nombreux autres retardés, pour certains de plus de deux heures trente.

    Au comptoir d'Air France, à l'aéroport de Brest-Guipavas, on estime que les choses se passent assez bien. "La plupart de nos voyageurs ont été prévenus par SMS pour s'organiser au mieux. En ce qui nous concerne, on n'a que très peu de visibilité. Difficile de prévoir les choses. Elles évoluent d'heure en heure".

    Dans la salle d'attente, un couple attend patiemment de pouvoir s'envoler pour Paris. "Nous partons vers 16 h au lieu de 14 h. Notre destination finale, c'est Paris. On n'a pas de correspondance. La situation est assez simple pour nous. On prend notre mal en patience".

    Dans l'aérogare, les panneaux d'affichage annoncent les retards et les annulations. Des perturbations qui ont souvent pour origine les grandes plateformes aéroportuaires que sont Paris, Lyon ou Marseille.

    En cas de grève des contrôleurs aériens qui dépendent de la Direction générale de l'aviation civile -DGAC-, les compagnies ne sont en aucun cas dans l'obligation de rembourser leurs clients lésés. Car elles ne peuvent être tenues pour responsables de ces dysfonctionnements qui, au regard de la législation sur les transports, sont considérées comme des événements extraordinaires. Au même titre qu'une éruption volcanique ou une violente tempête.

    Toutefois, la majorité des compagnies font de réels efforts. Même les low-cost jouent le jeu. Comme Easy Jet qui annonce sur son site internet que ses clients se verront "offrir un changement sans frais vers un nouveau vol ou un remboursement complet".


    source: letelegramme.fr
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  • Mieux préparée et organisée que la semaine dernière, la mobilisation a rassemblé 350 lycéens, hier. Opposés au projet de loi Travail, ils ont à nouveau fait entendre leur voix au centre-ville. Et chez Marylise Lebranchu, députée, qui les a reçus.

    « Bienvenue chez Pôle emploi ». Hier matin, sur le sol, devant Tristan Corbière, les lycéens ont inscrit leur opposition à la loi El Khomri. Les élèves ont maintenu la pression avec une nouvelle journée de mobilisation contre la loi Travail. Mieux organisés, les jeunes se sont réunis en comité de pilotage, composé de six élèves « non encartés et indépendants », insistent-ils, pour mener à bien la gestion du mouvement. Dès 7 h, palettes et cadenas, enlevés le week-end, ont été remis pour bloquer l'un des accès au lycée. La circulation de la rue de Kervéguen a également été déviée par les jeunes. « Certains automobilistes n'ont pas joué le jeu et forcé le barrage, parfois avec violence », regrettent les lycéens. Postée devant le lycée toute la matinée, la petite centaine de manifestants a distribué des tracts, pour dénoncer le projet de loi.

    Les trois lycées mobilisés

    Une délégation de deux lycéens de Tristan-Corbière, un représentant de l'union locale CGT et un de Force ouvrière, a été reçue à 12 h, à la permanence morlaisienne de Marylise Lebranchu, députée. « Nous avons discuté de nos préoccupations pour l'avenir pendant près d'une heure, raconte Glenn, élève en 1r e à Tristan-Corbière. À l'inverse des élus de la mairie, elle nous a vraiment écoutés ». Rejoints par les élèves de Suscinio et Notre-Dame-du-Mur Le Porsmeur, les lycéens mobilisés ont gagné le centre-ville. À 14 h 30, 350 jeunes (*) ont démarré un sit-in au niveau du rond-point Charles-de-Gaulle, bloquant la circulation pendant plus de 20 minutes, avant de rejoindre la place des Otages.

    Marine WIOLAND

    * Source : forces de l'ordre et manifestants.

    Source: letelegramme.fr
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  • CONTRE LA LOI TRAVAIL CONSTRUISONS TOUS ENSEMBLE LES CONDITIONS DE LA VICTOIRE FINALE !

    Prosterné devant l’Union Européenne et le MEDEF, le gouvernement, avec la complicité de L. Berger, le patron de la CFDT, a tenté de dynamiter la mobilisation en présentant une version légèrement modifiée de la loi «travail». Mais le fond de la loi reste le même, une destruction des dernières garanties collectives offertes aux salariés par le Code du Travail. En 1995, Juppé avait procédé de la même façon en tentant de briser le mouvement de grève avec l’aide de Notat, la patronne du syndicat «réformiste». En 2003 la CFDT a poignardé dans le dos les mouvements de protestation contre différentes réformes du gouvernement exigées par Helmut Kohl (retraites des fonctionnaires, régionalisation des TOSS) ; idem en 2007 (retraites des cheminots), en 2010 (retraite à 62 ans), mais aussi l’A.N.I. (préciser ce que ça veut dire), la baisse des indemnisations chômage dans le cadre des ASSEDIC, le report de fait de la retraite à 63 ans dans le cadre de la négociation AGIRC-ARCO sur les complémentaires.

    D’UNE SEULE VOIX 31 MARS MANIFESTATION NATIONALE A PARIS POUR LE RETRAIT TOTAL DE LA « LOI TRAVAIL » de Valls – Macron – El Khomri – UEOn se souvient aussi de la manière dont a été trahi le mouvement des sidérurgistes de Florange quand leur chef de file cédétiste, le dénommé Martin, est soudain devenu le chef de file du PS aux européennes en Lorraine. Déjà dans les années 80, le père de François Chérèque, alors leader des sidérurgistes CFDT, avait été nommé superpréfet de Lorraine par Mitterrand pour que le pouvoir puisse tranquillement fermer la sidérurgie française en échange de quelques «investissements » d’État dans cette région, notamment un… Parc des Schtroumpfs qui a fermé à peine ouvert !

    Dans l’Éducation nationale, le SGEN-CFDT est lui aussi de toutes les contre-réformes sous couvert de «modernité»; notamment il a soutenu la contre-réforme Fillon, la contre-réforme Chatel et la contre-réforme des collèges avec ses amis de l’UNSA dont les liens avec le PS sont transparents. N’oublions pas non plus les innombrables cas où la CFDT nationale a tiré dans le dos des grévistes CGT, FO et SUD, notamment à la SNCF ou à Air-France, renchérissant même sur les insultes de Valls contre les cégétistes qui ont eu le malheur de bousculer un coupeur de tête patronal : une chose est de ne pas faire grève, une autre de briser la grève d’autrui et d’aller ensuite se présenter aux salariés comme celui qui a obtenu des concessions alors que le gouvernement a pris appui su vous pour casser le mouvement au prix de concessions anecdotiques…

    D’UNE SEULE VOIX 31 MARS MANIFESTATION NATIONALE A PARIS POUR LE RETRAIT TOTAL DE LA « LOI TRAVAIL » de Valls – Macron – El Khomri – UEAlors que l’adoption du projet Valls / Macron, El Khomri détruirait le Code du travail, annoncerait la casse du statut de la fonction publique et de ce fait, affaiblirait décisivement la capacité ultérieure de lutter et de faire grève des salariés français, la Commission Luttes et syndicalisme du PRCF appelle les communistes, les travailleurs conscients, les syndicalistes DIGNES DE CE NOM :

    – A rejeter tout rapprochement des syndicats engagés dans l’action avec les directions nationales de la CFDT et de l’UNSA, ces cheval de Troie du patronat, de l’UE et du gouvernement. Bien entendu, nous ne confondons pas les états-majors syndicaux qui trahissent la classe ouvrière avec les militants de base et les adhérents sincères de la CFDT qui luttent à nos côtés.

    – Appelle les travailleurs, les syndicats, les étudiants à construire en bas, dans les mobilisations, les conditions du «tous ensemble en même temps et jusqu’au bout», avec un vrai calendrier de luttes débouchant sur le blocage des profits patronaux, ce qui permettra de battre les sociaux-traitres au pouvoir et leurs collabos de la droite et des «syndicats » jaunes.»

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  • BREST

    Etudiants, lycéens dans les rues des villes du finistère pour exiger le retrait total de la loi 'Khomri"

    Etudiants, lycéens dans les rues des villes du finistère pour exiger le retrait total de la loi 'Khomri"

    Etudiants, lycéens dans les rues des villes du finistère pour exiger le retrait total de la loi 'Khomri"

    Lycéens (notamment de Vauban et Kerichen) et étudiants se sont rassemblés place de la Liberté et ont défilé danstre-vi le cenlle contre le projet de loi.

    source: ouest-france.fr

     

    MORLAIX

    Loi travail : « Nous sommes les travailleurs de demain ! »

     

    Etudiants, lycéens dans les rues des villes du finistère pour exiger le retrait total de la loi "El Khomri"Des lycéens de Tristan Corbière, à Morlaix, manifestent contre le projet de loi El Khomri ce jeudi. Ils ont bloqué l'entrée de leur établissement ce jeudi matin avant de défiler en centre-ville

    Reportage

    300 lycéens, sur les 1 400 en tout que compte le lycée Tristan Corbière, ont bloqué l'entrée principale de l'établissement ce jeudi, dès 7 h 20. Comme partout en France, ils manifestent contre le projet de loi El Khomri sur la réforme du droit du travail. « Notre avenir est entre nos mains », réagit une lycéenne. « On aimerait qu’il soit stable », renchérit une autre.

    Les cours ont été maintenus. Le blocus a duré environ une demi-heure. Les lycéens ont pris la direction du centre-ville vers 10 h. Environ 170 jeunes se sont rassemblés place de la mairie. Encadrés par les policiers, ils ont défilé jusqu’au rond-point Charles-de-Gaulle. « Nous sommes les travailleurs de demain » ; « El Khomri, ça suffit ! » ont-ils notamment scandé.

    La manifestation s'est poursuivie, en début d’après-midi.

    Des lycéens de Tristan Corbière, à Morlaix, manifestent contre le projet de loi El Khomri ce jeudi. Ils ont bloqué l'entrée de leur établissement ce jeudi matin avant de défiler en centre-ville.

    CARHAIX

    Loi travail : 180 lycéens de Paul-Sérusier et Diwan ont défilé ce jeudi

    Etudiants, lycéens dans les rues des villes du finistère pour exiger le retrait total de la loi "El Khomri"Les lycéens rassemblés sur la place de la Mairie de Carhaix.

    "Loi travail : non merci !". Ce jeudi 17 mars 2016, le message des 180 lycéens qui ont défilé à Carhaix (Finistère) était clair : ils veulent le retrait pur et simple du projet de loi El Khomri concernant la réforme du Code du travail.

    Ces élèves des lycées Paul-Sérusier et Diwan de Carhaix, rejoints par quelques élèves du lycée Rosa-Parks de Rostrenen, se sont rassemblés devant l'établissement vers 13 h, avant de défiler en direction de la place de la Mairie. Ils ont été accueillis devant l'hôtel de ville par Christian Troadec, maire de Carhaix. "Gardez vos capacités à vous indigner quand vous ressentez une injustice", leur a déclaré ce dernier.

    Les lycéens sont ensuite repartis en sens inverse, toujours en défilé, en direction du lycée Paul-Sérusier. Ils ont alors bloqué la circulation sur le rond-point du carrefour du Poher, en bas de l'avenue Waldkappel et en haut du boulevard Jean-Moulin. Ce blocage devrait être levé vers 16h30.

    Etudiants, lycéens dans les rues des villes du finistère pour exiger le retrait total de la loi "El Khomri"

    source: ouest-france.fr

     

    QUIMPER

    150 élèves du Lycée de Cornouaille manifestent pour le retrait de la loi El Khomri.

    Etudiants, lycéens dans les rues des villes du finistère pour exiger le retrait total de la loi 'Khomri"

    Plus de 150 lycéens devant le lycée de Cornouaille, à Quimper, se sont mobilisés ce jeudi 17 mars  contre la réforme du code du travail. Le mouvement a été décidé hier .  A 11 h 30, ils ont défilé en direction de la Place Saint-Corentin

     

    CONCARNEAU

    200 à 300 élèves du Lycée Pierre GUEGUIN rassemblés contre le projet de loi EL Khomri

    Etudiants, lycéens dans les rues des villes du finistère pour exiger le retrait total de la loi 'Khomri"

    Deux à trois cents élèves du lycée Pierre-Guéguin sont rassemblés  ce jeudi matin devant l'établissement pour manifester contre la loi El Khomri. Ils mènent un blocus filtrant. Vers 11 h, une marche était prévue vers le centre-ville avec blocage du pont du Moros.

    source: ouest-france.fr/

     

    QUIMPERLE

    200 lycéens de Roz-Glas et Kerneuzec dans la rue, contre la loi Travail

     

    Etudiants, lycéens dans les rues des villes du finistère pour exiger le retrait total de la loi "El Khomri"

    Depuis 8 h ce jeudi matin, 200 lycéens de Roz-Glas et Kerneuzec sont dans les rues de Quimperlé  (Finistère) pour manifester contre la loi Travail. Ils viennent majoritairement du lycée professionnel Roz-Glas, les autres du lycée d'enseignement général Kerneuzec.

    Partis à 8h, ils ont prévu de manifester jusqu'à midi, en passant en fin de matinée vers le lycée privé Notre-Dame-de-Kerbertrand. Vers 11 h, les lycéens ont marché vers le rond-point Victor-Basch qu'ils ont momentanément bloqué. Ils ont continué jusqu'au rond-point de Kervidanou, où ils se sont également arrêtés.

    Le cortège a fait demi-tour et la manifestation s'est terminée peu avant 12 h, dans la zone commerciale de Kergoaler.

    Les lycéens reprendront les cours dans l'après-midi. " On s'est déjà assez fait entendre, nous sommes contents d'avoir pu faire passer ce message ", raconte Maoni Tassoni, élève en terminale métiers de la mode et du vêtement au lycée Roz-Glas.  


    Les lycéens, ce matin vers 9h, au rond-point de Moëlan à Quimperlé.

    Etudiants, lycéens dans les rues des villes du finistère pour exiger le retrait total de la loi "El Khomri"

    source: ouest-france.fr

     

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  • Les mobilisations, notamment celles du 9 mars initiées par les organisations de jeunesse et les organisations syndicales de salariés (CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL), ont contraint le gouvernement à des concessions sur la loi Travail.

    Pour autant les aménagements annoncés par le Premier Ministre ne changent pas la philosophie générale du projet. Il ne répond pas aux aspirations fortes, exprimées par les jeunes, les salarié-e-s et les chômeurs pour l’accès à l’emploi et sa sécurisation. La création d’emplois de qualité ne justifie pas la casse du code du travail mais nécessite un changement de politique économique et sociale.

    Ce texte continue à diminuer les droits des salarié-e-s et à accroître la précarité, notamment des jeunes. Décentralisation de la négociation collective au niveau de l’entreprise et affaiblissement des conventions collectives de branches, fragilisation des droits individuels acquis, mise en cause des majorations des heures supplémentaires, facilitations des licenciements, affaiblissement de la médecine du travail… sont autant d’exemples de régressions qui demeurent.

    L’universalité de la garantie jeune sans les moyens en conséquence relève d’un effet d’annonce. Face au chômage et à la précarité auxquels sont confrontés les salarié-e-s, les femmes et les jeunes en particulier, l’urgence est à la conquête de nouveaux droits.

    Les organisations syndicales (CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL) soutiennent et appuient les actions des 17 et 24 mars. Elles confirment leur appel à la mobilisation par la grève et les manifestations le 31 mars pour obtenir le retrait de ce projet de loi et conquérir de nouvelles garanties et protections collectives.

    Paris, le 14 mars 2016

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  • Brest. Rassemblement lycéen place de la Liberté , ce mardi 15/03/2016 (OF.fr) Les lycéens se sont rassemblés sur les marches de l'Hôtel de Ville.

    Les lycéens de Brest se sont rassemblés ce mardi, place de la Liberté. Ils demandent l'abrogation de la loi Travail.

    Le lycée de l'Iroise, ce mardi matin, compte 150 grévistes. Ils ont été rejoints, dans la matinée, par des élèves de Kérichen et d'autres lycées.

    Un bref rassemblement a eu lieu prévu, en fin de matinée, place de la Liberté.

    Les lycéens entendent dénoncer la loi Travail, dont ils demandant l'abrogation totale. 
     
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  • BREST

    Une centaine de retraités manifestent pour le pouvoir d'achat

    Jeudi 10 mars 2016-Les retraité(e)s dans la rue en Finistère et partout en France ! Les retraités brandissent la baguette de pain, symbole de la maigre augmentation de leurs pensions.

    Une bonne centaine de retraités se sont rassemblés ce jeudi matin place de la Liberté. Ils se sont ensuite rendus à la permanence de Patricia Adam.

    A l'appel des organisations syndicales CGT, FO, FSU et Solidaires, les retraités brestois se sont rassemblés ce jeudi matin devant l'hôtel de Ville. Ils étaient une bonne centaine à avoir répondu présent. 

    Principal motif de revendication : la baisse constante du pouvoir d'achat. 

    "Nos pensions sont bloquées depuis trois ans, explique l'un d'eux. Le 0,1 % de revalorisation accordée par le gouvernement en 2013 ressemble plus à de la provocation. Certains sont venus avec une baguette de pain, cela représente à peu près l'augmentation que l'on eue depuis trois ans !"

    Les retraités se sont ensuite dirigés vers la permanence de la députée Patricia Adam; où ils ont été reçus par son attachée parlementaire Suzy vaillant.
     
     
     
    MORLAIX

    Social. Les retraités dans la rue

     Au micro, Jean-Yvon Ollivier a pris la parole et a exprimé les revendications... Au micro, Jean-Yvon Ollivier a pris la parole et a exprimé les revendications des retraités devant la sous-préfecture. La semaine est animée sur le plan social. Hier matin, ce sont les retraités, au nombre d'une centaine, qui se sont regroupés et ont manifesté à la sous-préfecture de Morlaix et ensuite devant la permanence du député Gwenegan Bui (encore député pour quelques jours...). Au nom des organisations syndicales de retraités signataires d'un appel départemental sur le Finistère, à savoir, USR CGT, UCR FO, FSU retraité-e-s, UNIR-Solidaires, Jean-Yvon Ollivier a rappelé devant la sous-préfecture que la lutte contre l'austérité était au coeur du problème car « elle continue de faire des ravages et que les inégalités sociales explosent ».

    800 € par mois pour vivre

    Il ajoute : « Les effets cumulés découlant des diverses réformes des retraites, qu'elles soient de base ou complémentaires, depuis 1993, ont entraîné une très nette dégradation du pouvoir d'achat des retraités et la réalité actuelle est alarmante. En effet 5 millions de retraités perçoivent entre 800 et 1.200 € pour vivre par mois ».
     
    Il précise : « Selon les statistiques réalisées par la caisse nationale d'assurance vieillesse, 25 % des hommes et 50 % des femmes arrivent à la retraite avec 620,89 € par mois et le taux de pauvreté des retraités ne cesse d'augmenter puisque 17 % survivent avec moins de 600 € par mois ». Les revendications suivantes ont été listées : un rattrapage immédiat de 300 € mensuels pour tous, compensant le blocage des pensions-retraites depuis plusieurs années, aucune pension inférieure au Smic revalorisé, pour une pension complète, l'indexation des pensions sur l'évolution des salaires moyens et non sur les prix, la revalorisation annuelle des pensions au 1e r janvier qui prend en compte l'évolution des salaires, le maintien des pensions de réversion sans baisser leurs taux, l'égalité salariale homme-femme, l'affectation réelle de la CASA à la perte d'autonomie et à terme, sa suppression par une prise en charge de cette compensation par la Sécurité Sociale.

    Une délégation reçue

    Une délégation a été reçue par le député qui, selon Jean-Yvon Ollivier a « reconnu une mauvaise répartition des richesses en France ». Il a été convenu de poursuivre les actions et de reprendre contact afin de développer les arguments auprès de la députée Marylise Lebranchu.


    QUIMPER

    250 retraités réclament une hausse de leur pouvoir d'achat


    250 retraités sont actuellement rassemblés place Saint-Corentin, devant la mairie de Quimper. Ils réclament une hausse de leur pouvoir d'achat. Un cortège doit ensuite rejoindre la préfecture, puis le conseil départemental, où une entrevue a été demandée. Les manifestants ont répondu à l'appel de la CGT, de la FSU, de Solidaires, de la CFE-CGC, de la Fédération des retraités de la Fonction publique et de FO.

    source:letelegramme.fr
     
     
    QUIMPERLE
     
    Retraités. Pour le pouvoir d'achat

    Jeudi 10 mars 2016-Les retraité(e)s dans la rue en Finistère et partout en France !

    Répondant à l'appel national des fédérations, les retraités du Pays de Quimperlé avaient rendes-vous hier matin au centre Guéhenno pour faire entendre leur volonté de « vivre dignement une retraite méritée ». Des retraités soutiens de famille « en raison du chômage de leurs enfants », des retraités pauvres « ils sont de plus en plus nombreux ici aussi à vivre avec moins de 1.000 € », ils s'élèvent contre « la petite musique qui revient selon laquelle nous serions des privilégiés ». « Au lieu de nous stigmatiser, le gouvernement serait bien inspiré de nous écouter », plaident les retraités CGT, qui pointent le blocage des pensi ons ou les déremboursements en matière de santé. Le syndicat revendique « une amélioration du pouvoir d'achat par un rattrapage de 300 € par mois » et également « aucune pension inférieure au Smic pour une carrière complète ».

    source: letelegramme.fr
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  • BREST

    Plus de 4000 manifestants dans les rues

    Il Ils étaient plus de 4 000 dans les rues de Brest contre l'avant-projet de loi El Khomri sur le contrat de travail sont présent place de la Liberté.

     Ce mercredi à midi et demi, une manifestation était organisée place de la Liberté contre l'avant-projet de loi El Khomri sur le contrat de travail.

    L'intersyndicale CGT, FO, Unsa, Solidaires et Unef était à l'origine du mouvement, rejointe par des formations politiques : l'Autre Gauche, Le mouvement des Jeunes socialistes, le PCF et le Parti de gauche.

    Des lycéens et des étudiants étaient aussi présents. (source OF.fr)
     
    MORLAIX

    9 mars-Des milliers de personnes ont manifesté dans les villes du Finistère contre la loi Travail

     600 personnes se sont réunies, ce mercredi 9 mars à midi, devant la mairie, pour protester contre le projet de loi El Khomri sur la réforme du droit du travail.

    « Nous manifestons par générosité pour les prochaines générations, annoncent Anne et Martine, enseignantes de l'éducation nationale à la retraite. Ce projet de loi est un grignotage des acquis d'après-guerre. C'est en plus une trahison qu'il soit porté par la gauche. »

    Un peu plus loin dans la foule, Eugène, Gaëtan, Axel, Yann, Léo, Manuel, Titouan et Valentin, lycéens à Tristan Corbière âgés de 16 et 17 ans, protestent : « Il existe déjà des difficultés à intégrer le monde du travail. Cette loi les accentue. Elle donne plus de pouvoir aux patrons. Elle fait perdre des siècles d'acquis sociaux. Il faut rester vigilant.

    Les deux points qui ne passent pas

    Le cortège s’est ébranlé en direction du rond-point Charles-de-Gaulle avant de revenir vers la mairie.

    La grogne se concentre sur deux points en particulier : le motif économique du licenciement et le montant des indemnités prud'homales. « Ce projet est sans précédent, dénoncent les syndicats CGT, FO, FSU, Solidaires ou encore Sud qui ont appelé au rassemblement. Il suscite un profond mécontentement dans le monde du travail, chez les jeunes et les retraités. Nous continuerons de nous battre pour un code du travail plus fort et solide à l'avenir. » (source OF.fr)

     

    QUIMPER

    Plus d'un millier de manifestants contre la loi El Khomri

     

    9 mars-Des milliers de personnes ont manifesté dans les villes du Finistère contre la loi Travail

    La place de la Résistance, balayée par les rafales, était le point de départ de la manifestation contre la réforme du Travail qui s'est déroulée ce mercredi 9 mars, à Quimper (Finistère).

    Environ 1 100 personnes ont manifesté, sous l'égide de nombreux syndicats. Le cortège a défilé dans les rues de la ville, s'invitant également dans le centre historique, avant de se dissiper après une marche d'environ une heure.

    Si la manifestation avait été relayée en amont, plusieurs participants regrettent la faible mobilisation des lycéens et étudiants.

    Par Jérémy BONNET (source: OF.fr)

     

    QUIMPERLE

    Près de 600 manifestants contre la loi travail

     

    9 mars-Des milliers de personnes ont manifesté dans les villes du Finistère contre la loi Travail

    À l'appel des syndicats, les manifestants ont d'abord investi la place Saint-Michel, dès 10 h, avant de défiler vers La Poste, l'école Saint-Vincent-de-Paul, et terminer devant l'Intermarché. 

    Représentation des syndicats

    Jeunes actifs, ouvriers, employés et retraités sont mobilisés pour protéger le code du travail et les droits des salariés. Des représentants syndicaux ont pris la parole. Cédric Gangneux, de la Confédération nationale du travail (CNT) de Quimperlé, Annie Menvielle de Force ouvirère (FO) et Alain Le Garnec représentant CGT des Papeteries de Mauduit ont pris la parole. 

    Parmi les manifestants, des salariés de l'entreprise Ardagh, anciennement Impress metal, à Moëlan-sur-Mer sont présents, alors qu'un débrayage de 12 h à lieu à l'usine. Une délégation de la CGT Bigard s'est également mobilisée.

    La mobilisation lycéenne

    Plus d'une vingtaine de lycéens de Kerneuzec a rejoint le mouvement. Ryan Le Calloch, en classe de seconde, a également pris la parole. Une intervention remarquée par l'assemblée.

     " C'est une loi qui nous concerne, même si on nous dit le contraire. On se mobilise parce que nous sommes inquiets pour notre avenir ", explique le lycéen (source OF.fr)

     
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