• Les appels à manifester contre le projet de Loi travail se multiplient, pour le rassemblement de demain, à 12 h, place de la Liberté. L'union locale CGT évoque ainsi un « projet de loi inacceptable », « une menace pour les salariés, qui ne créera pas d'emploi », et demande le retrait du projet. Dans le secteur privé, la CGT SDMO et la CGT des Marins du grand Ouest relaient l'appel à la mobilisation. Même tonalité à l'union départementale de FO, qui appelle « les salariés de tous les secteurs d'activité, public, privé, en CDI, en CDD, en intérim, les lycéens, les étudiants, les chômeurs, les retraités à se mettre en  grève » demain. Côté politique, l'Union démocratique bretonne dit ne pouvoir « cautionner le fort déséquilibre introduit par le projet de loi », qui « porte gravement atteinte au respect et à la dignité des jeunes, des femmes et des hommes dans l'entreprise ». L'UDB demande « la reprise d'un dialogue social normal entre les acteurs économiques, afin d'aboutir à un projet de réforme équilibré », et appelle à participer « massivement » au rassemblement.

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  • 9 mars-Tous ensemble pour le retrait du projet de loi El Khomri/Hollande-le reculsocial ça ne se négocie pas, ça se combat

    9 mars-Tous ensemble pour le retrait du projet de loi El Khomri/Hollande-le reculsocial ça ne se négocie pas, ça se combat

    MERCREDI 9 MARS 2016

    LES MANIFESTATIONS EN FINISTERE POUR LE RETRAIT DE LA CONTRE-REFORME DU CODE DU TRAVAIL

           ►BREST-12 heures –Place de la Liberté          

      (étudiants-12 h 30-Parvis de Ségalen-convergent Place de la Liberté)

    ►MORLAIX-12 heures-Place de la Mairie

    ►CHATEAULIN-12 heures-Place de la Mairie

    ►QUIMPER-12 heures-Place de la Résistance

    ►QUIMPERLE-10 heures-Place   Saint-Michel

      

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  • À l'appel de différentes organisations syndicales, des manifestations contre le projet de loi El Khomri visant à réformer le code du travail auront lieu mercredi. À Morlaix, un rassemblement est programmé à midi devant la mairie. La section locale du Front de gauche appelle à participer « à cette vague de mécontentement qui ne cesse de gonfler comme le montre la pétition qui a recueilli plus d'un million de signatures ». « Face au dynamitage du code du travail, la riposte doit être à la hauteur de la gravité de l'attaque portée au monde du travail, aux salariés, à la jeunesse et à l'emploi. La régression sociale ne se négocie pas, elle se combat », souligne, à travers un communiqué, le Front de gauche, qui demande « le retrait de ce projet qui ferait revenir la France au XIXe siècle ».

    source: letelegramme.fr

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  • Syndicats, Unef et Jeunes socialistes apellent à manifester. Syndicats, Unef et Jeunes socialistes apellent à manifester.

    Plusieurs syndicats appellent à se rassembler mercredi 9 mars contre le projet de réforme du code du travail soutenu par la ministre du Travail Myriam El Khomri. Ils voient dans ce projet « un retour au XIXe siècle ».

    Plusieurs syndicats, la CGT, FO, Solidaires, la FSU, mais aussi les Jeunes socialistes et l'Unef appellent tous les salariés, les personnes en intérim ou à la recherche d'emploi, les retraités, et aussi les lycéens et étudiants à se rassembler mercredi prochain, à 12 h, place de la Résistance à Quimper pour demander le retrait du projet de loi El Khomri.

    Mouvement parti de la base

    Ils se sont retrouvés hier matin, à l'Union locale de la CGT à Quimper pour lancer un appel à la mobilisation. « Cette journée du 9 mars, a précisé Yvon Coat, secrétaire général de l'Union locale CGT, n'a pas été décidée par la confédération, mais par la base. Ce sont les salariés, les jeunes qui ont décidé ce mouvement alors que ce projet de loi devait à l'origine être présenté le 9 mars devant le conseil des ministres. La pétition "Loi travail non merci", approche le million de signatures. Des préavis de grève ont été déposés par la RATP et la SNCF ».

    Demande de retrait total

    Les quatre syndicats, les Jeunes socialistes et le syndicat étudiant demandent le retrait total du projet.
     
    « Ce que l'on veut, c'est une réforme qui sécurise et non fragilise les salariés. Ce projet de loi, c'est un retour au XIXe siècle », dénoncent-ils. « C'est une remise en cause des fondamentaux de la hiérarchie des normes », poursuit Patrice Campion de Solidaires. « Le projet prévoit de régir les relations entre employeur et salariés et permettra de signer des accords locaux moins avantageux que le code du travail ». Durée du travail, heures supplémentaires, repos quotidien de 11 h, indemnités de licenciement, référendum organisé dans les entreprises... les remises en cause « des acquis obtenus de longue date » ulcèrent les syndicats et les représentants de la jeunesse.

    Jeunes socialistes « hostiles » au projet

    D'ailleurs, les Jeunes socialistes du Finistère, « hostiles au projet » et représentés, hier, par Sarah Marty, y voient « pour bien des articles, des atteintes aux droits des salariés et des reniements vis-à-vis des valeurs prônées par la gauche depuis des années. Les méthodes employées par ce gouvernement ne sont plus en phase avec les engagements de 2012. Ces méthodes brutales, ne permettant aucun dialogue social et menaçant un passage en force à l'assemblée, représentent tout ce que la société a de plus archaïque ».
     
    En complément

    Les retraités dans la rue dès le lendemain

    Après mercredi, de nombreuses organisations syndicales et plusieurs associations de retraités (*) appellent à une nouvelle mobilisation le jeudi 10 mars à 10 h 30 place de la Mairie à Quimper pour demander la revalorisation de l'ensemble du système des pensions et des retraites. Initialement prévu le 24 novembre mais reporté en raison des attentats de Paris, ce nouveau rassemblement, organisé au niveau national, vise à alerter sur « la situation inquiétante » des retraites alors que « la moyenne pour une femme est comprise entre 800 € et 900 €, et qu'elle est de 1.200 € pour un homme ». « Aujourd'hui, arrivent à la retraite des gens qui ont connu le chômage et la précarité au cours de leur carrière. Ce n'est plus l'époque des "Trente glorieuses" et certains sont obligés de conserver un petit boulot. Ils sont de plus en plus nombreux à devoir faire appel aux associations caritatives comme le Secours populaire », constate Gilbert Phelep de l'UGR-CGT. Le montant des pensions, la baisse du pouvoir d'achat, les tarifs d'hébergement en maison de retraite, la perspective de la dépendance et la crainte de devenir une charge pour leurs enfants... les inquiétudes des retraités sont réelles.

    3.000 suicides par an

    S'appuyant sur des chiffres de l'Inserm, un syndicaliste souligne ainsi que « près de 3.000 retraités se suicident chaque année en France. C'est deux fois plus que pour la tranche d'âge des 25-44 ans ». Ils appellent donc tous les retraités à se mobiliser une nouvelle fois pour dénoncer le blocage des pensions et demander la mise en oeuvre d'une loi sur l'adaptation de la société au vieillissement. « L'accès aux droits n'est plus garanti aujourd'hui. Les services de proximité disparaissent et toutes les personnes âgées n'ont pas Internet », s'insurgent-ils. (*) UGR-CGT, UCR-FO, UNIR-CFE-CGC, SFR-FSU, UNIR-Solidaires, FGR-FP, LSR.

     
    Cathy Thymen

    source:letelegramme.fr


     


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  • L'appel a été lancé depuis les locaux de Force Ouvrière. L'appel a été lancé depuis les locaux de Force Ouvrière.
    À Quimperlé aussi, la loi El Khomri suscite des oppositions. Une intersyndicale composée de Force Ouvrière, de la CGT et de la CNT s'est réunie, hier après-midi, pour appeler à une manifestation qui sera organisée le mercredi 9 mars, à partir de 10 h, sur la place Saint-Michel. Le défilé s'achèvera place Jean-Jaurès : un choix hautement symbolique. D'autres syndicats devraient rejoindre cet appel. Les signataires estiment que cette loi est « une attaque contre les acquis fondamentaux des salariés » et qu'elle « rappelle très fortement le CPE ». Ils soulignent également qu'« elle vient après le pacte de responsabilité, le CICE, etc. ». Et ils concluent : « Maintenant, c'est le Code du Travail qui est visé ».
     

    source:letelegramme.fr
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  • La circulation a été bloquée jusqu'à 17 h 45 au carrefour des Quatre-Vents. En...
    La circulation a été bloquée jusqu'à 17 h 45 au carrefour des Quatre-Vents. En ouvrant une pétition en ligne sur change.org, les syndicats en appellent maintenant au soutien de la population pour défendre l'hôpital public.
     
    Avertisseurs sonores et cris de colère des automobilistes ont ponctué le blocage du rond-point du pont de la Villeneuve, près de Brest Business School, puis le carrefour des Quatre-Vents, à l'intersection entre l'avenue Le Gorgeu et le boulevard de l'Europe, hier, entre 16 h 30 et 17 h 45. « C'est pour vous qu'on est là, pour défendre votre santé », répondaient les manifestants, qui laissaient passer les voitures par intermittence.

    Propositions rejetées


    Une cinquantaine de personnels du CHRU de Brest ont débrayé de 16 h à 18 h, à l'appel des syndicats CFDT, CGT et Sud. La mobilisation se poursuit après le premier débrayage du 18 janvier. La direction a ouvert des négociations le 16 février, mais les propositions présentées la semaine dernière ont été repoussées, car jugées insuffisantes et non pérennes. Entre-temps, l'établissement a été marqué par le décès d'un patient sur un brancard dans un couloir des urgences, le mardi 23 février, et non le mercredi comme indiqué initialement. La publication d'une lettre ouverte sur Facebook par Vanessa Douguet, qui avait accompagné sa tante malade aux urgences, a aussi eu une grande audience sur les réseaux sociaux.

    Une pétition en ligne

    « Les conditions de travail au CHRU restent très difficiles et le personnel s'épuise, la capacité des lits de médecine dans l'établissement reste inadaptée », déplore la CFDT. De leur côté, la CGT et Sud ont décidé de lancer un appel à la population : « Combien faudra-t-il d'accidents pour que la direction du CHRU réagisse aux problèmes d'effectifs à l'hôpital ? On propose à la population de signer la pétition "Des moyens pour l'hôpital de Brest Carhaix" sur le site change.org », ajoute la CGT.
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  • Pour comprendre un peu mieux le projet de loi travail , la JOC (Jeunesse Ouvrière Chrétienne) propose une infographie avec 11 mesures importantes qui se trouvent dans le projet de loi: http://www.joc.asso.fr/11-points-sur-la-loi-travail/http://www.joc.asso.fr/11-points-sur-la-loi-travail/

     

     

     

     

     

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  • Appel du Front Syndical de Classe

    Pour gagner,   "Tous ensemble" le 9 mars et après (FSC 1er/03/2016)

     

    Pour gagner,

    "tous ensemble"

    le 9 mars et après !

     

    Nous sommes en guerre » affirmait il y a quelques semaines le premier ministre entre deux coups de menton… Il avait raison. Ce gouvernement, directement aux ordres du Medef et de l'UE, livre une guerre sans limite contre tous les acquis que le peuple avait su arracher lors de luttes mémorables et de rapports de force solidement installés, mettant sur la défensive le pouvoir patronal en 1936, en 1944-45 ou encore en 1968.

    Tandis que les grosses entreprises et les gros actionnaires sont gavés de subventions publiques et autres exonérations, l'agriculture familiale comme l'artisanat sont laminés et les classes populaires condamnées à la dégradation continue de leurs conditions de vie : emploi, salaires, santé, logement, éducation, transports, culture, associatif, tout est passé à la moulinette euro-patronale pour construire une société du profit et de l'opulence d'un côté et pour le plus grand nombre de la précarité, de l'insécurité, de l'isolement, de la misère. Et les travailleurs comme ceux d'Air France ou de Goodyear qui entendent faire respecter leurs droits sont pourchassés, arrêtés et condamnés !

    Il y a quelques mois, le ministre grec des finances avait vendu la mèche, révélant que derrière la Grèce, c'était directement la France, ses conquêtes sociales et son peuple frondeur qui étaient dans le collimateur de l'UE et des forces capitalistes dominantes, apparaissant comme le dernier verrou au totalitarisme du capital qu'entendent imposer les maîtres de l’Europe. Ce n'était d'ailleurs pas vraiment une révélation...

     

    Aujourd'hui, une nouvelle étape est franchie avec la loi El Khomri précédée des lois Macron et du rapport Badinter (le mari de la milliardaire du même nom, celle qui préside le conseil de surveillance de Publicis). C'est tout bonnement le code du travail que le gouvernement entend brûler et avec lui les acquis de décennies de lutte, permettant au patronat d'exploiter ses salariés comme il le faisait au 19ème siècle et comme il continue à le faire en délocalisant. C'est la loi du capitalisme, la loi du marché, de l'Euro et de la « concurrence (soi-disant) libre et non faussée ».

    Le pouvoir comptait sur le « syndicalisme rassemblé » et la complicité de certaines directions syndicales habituées à la compromission, CFDT en tête, et le très consensuel communiqué intersyndical des confédérations, le 23 février dernier semblait lui donner raison.

    Mais il risque de tomber sur un os.

    Cet os, c'est la colère populaire qui depuis quelques mois prend peu à peu la place du découragement. Le ras-le-bol de cette société de plus en plus inhumaine, des mensonges et contre-vérités proférés sans aucune pudeur par des médias complètement contrôlés par les forces de l'argent, de cette justice de classe qui condamne les syndicalistes mais qui annule les procédures contre les puissants, de cette France d'en-haut, des palais dorés et des beaux quartiers qui suinte de son mépris et de sa peur du peuple,... ce ras-le-bol est sensible dans tout le pays.

    Il est prêt à se cristalliser à partir de l'attaque en règle que constitue la destruction du code du travail.

    D'ores et déjà : de nombreuses organisations syndicales de base (jusqu'à des fédérations CGT) réclament la construction sans attendre du « tous ensemble » ; les organisations de jeunesse et d'étudiants semblent vouloir reprendre le chemin gagnant de la lutte contre le CPE en 2006 ; une pétition contre la loi El Khomri a été signée par des centaines de milliers de personnes ; un appel à la grève générale le 9 mars lancé sur internet et ayant lui aussi recueilli des dizaines de milliers de signatures en quelques jours a été repris à son compte par de larges secteurs de la CGT….

    Dans le même temps, une grève est prévue le 9 mars à la SNCF et à la RATP, une autre est en préparation dans la FP pour le 22 mars, tandis que les organisations syndicales nationales semblent vouloir opter de manière très floue pour une « journée d'action » le 31 mars. Sans oublier bien sûr les nombreuses initiatives des comités Goodyear un peu partout dans le pays et qui appellent à lier la défense des libertés démocratiques et syndicales à la construction d'un « tous ensemble » si nécessaire.

    Dans ce contexte de montée des luttes, oui la France des travailleurs, celle qui de la Révolution Française à 1968 ou 1995 en passant par la Commune ou la Résistance fait peur aux puissants, peut mettre un coup d'arrêt à l’offensive de « l'aristocratie des riches » comme l'appelait déjà Robespierre.

    L'expérience des 20 années de défaites successives doit être un guide pour l'action. Pas question que se répètent les précédents de 2003 ou 2010 où le syndicalisme de sommet avait dès le départ annoncé qu'il ne voulait pas bloquer les profits, où les journées d'actions avaient été espacées et les secteurs en pointe laissés isolés et sans soutien. Les manœuvres de la CFDT ont déjà commencé et le report annoncé du texte doit être l'occasion d'approfondir la mobilisation, pas de laisser le temps au gouvernement et au syndicalisme d'accompagnement de faire diversion.

     

    Pour gagner contre les régressions en cours, contre ce pouvoir qui s’assoit sur ses promesses de campagne et la souveraineté populaire et qui envoie nos camarades de la CGT Goodyear en prison, c'est un mouvement tous ensemble en même temps, comme en 1936, que nous devons préparer en faisant converger la colère et les revendications, en associant toute les forces syndicales, associatives, politiques prêtes à se jeter dans la bataille, en s'assurant que la volonté de ceux d'en bas soit suivie par ceux qu'ils ont chargés de les représenter.

    Face aux immenses périls qui menacent les travailleurs, l'heure des grandes mobilisations a sonné.

    Pour le 9 mars et ce printemps 2016, faisons monter ces mots d'ordre : « Tous ensemble » contre la casse du code du travail qui soumettrait totalement les travailleurs au patronat, contre la politique euro-formatée du gouvernement et du Medef, pour les libertés syndicales, pour commencer à avancer à nouveau sur la voie d'une société fraternelle, basée sur les besoins et les aspirations du peuple.

    A partir du potentiel de résistance encore bien vivace dans le pays comme en 2003, en 2010 ou en 2005 avec le Non populaire à la Constitution européenne, construisons le « tous ensemble » pour gagner et ouvrir enfin des perspectives progressistes !

    Front Syndical de Classe, 1er Mars 2016

    Source:

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  • Communiqué confédéral CGT du 29/02/2016

    Report de la présentation de loi « El Khomri » Un premier recul du gouvernement (communiqué CGT 29/02/2016)

     

    Report de la présentation de loi « El Khomri »

    Un premier recul du gouvernement

     

    L’annonce par Manuel Valls du report de la présentation du projet de loi « El Khomri » en conseil des ministres, est un 1er recul à mettre à l’actif de la mobilisation montante.

    Le gouvernement doit prendre en considération les revendications qui s’expriment dans les entreprises, les services sur les questions de salaires, d’emploi, de conditions de travail ainsi que le rejet massif du projet de loi code du travail.

    Il doit maintenant annoncer son retrait et ouvrir une phase de négociations réelles avec les représentants syndicaux et les organisations de jeunesse pour élaborer un code du travail protecteur. La CGT a des propositions concrètes en ce sens, et poursuit ses échanges intersyndicaux pour la construction de nouveaux droits.

    La CGT propose aux salariés, la semaine du 7 au 11 mars des initiatives multiples dans les entreprises et le 9 mars de participer aux rassemblements et manifestations unitaires en construction.

    Fin mars, elle appelle avec d’autres organisations syndicales et organisations de jeunesse, les salariés à une journée de mobilisation convergente, nationale sur les revendications, pour le retrait du projet El Khomri, pour un code du travail du 21ème siècle !

    Montreuil, le 29 février 2016

    source: cgt.fr

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