• Pierre-Yves Cadalen a dévoilé son programme, ce mardi.

    Pierre-Yves Cadalen avait déjà présenté 10 mesures phares que sa liste Brest à Venir entend défendre lors des municipales à Brest. Il les décline de façon plus détaillée dans son programme complet.

    « Nous sommes la liste des idées neuves », clame Pierre-Yves Cadalen, en égrenant le programme de sa liste Brest à Venir. Les gros investissements seront consacrés essentiellement à la rénovation des équipements et au lancement de la deuxième ligne de tram. Pour le reste, la feuille de route est bâtie sur trois principes directeurs : la solidarité et la justice sociale, la participation citoyenne et la démocratie, et l’écologie populaire.

    Gratuité des fournitures scolaires et des cantines

    Pour plus de solidarité, « il nous semble impératif de créer une caravane d’accès aux droits sociaux pour diminuer les non-recours aux prestations sociales », avance le candidat. La justice sociale, ce sont aussi les transports en commun gratuits pour tous. « Nous sommes la seule liste à proposer cette mesure de nature à fédérer tous les citoyens et à offrir à tout le monde le même droit à se déplacer dans la ville ». Il en sera de même pour les cantines et les fournitures scolaires dans les écoles primaires.

    La caravane itinérante servira aussi à faire connaître les nouveaux droits politiques que la liste entend mettre en place, comme le référendum d’initiative citoyenne, ou le référendum révocatoire des élus à mi-mandat, « une mesure institutionnelle pour rendre effectif le contrôle des citoyens et la responsabilité des élus ».

    Une nouvelle dynamique économique du territoire

    L’écologie populaire, c’est aussi créer une nouvelle dynamique économique autour des énergies marines renouvelables. Sur ce thème, Brest à Venir se dit prêt à instaurer un vrai rapport de force avec l’État. « On doit négocier pour un plan industriel pour enfin obtenir des investissements fermes sur les EMR, mais aussi négocier pour la réouverture de la Penfeld aux activités civiles ».

    Pour développer la résilience du territoire au changement climatique, les Insoumis fixent le cap de l’autonomie énergétique, mais aussi alimentaire. « On peut remettre en place une ceinture maraîchère autour de la ville comme cela existait il y a 50 ans, sur la base d’une agriculture locale et bio, avec des aides à l’installation ».

    Pour favoriser le petit commerce et aider les étudiants à se loger, la liste créera une incitation fiscale pour ne pas laisser les locaux vacants. Sur le scolaire, « l’organisation actuelle est un échec. Nous reviendrons à la semaine à 4 jours, avec des temps périscolaires gratuits pour les enfants le mercredi matin ». Enfin, pas de Police municipale au programme, mais un renforcement du corps des médiateurs et éducateurs de rues.

    Jean-Luc PADELLEC

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Dunkerque, Calais, Compiègne : un mouvement prend de l’importance dans le pays, celui de la mise en place de la gratuité des transports en commun. Brest à Venir est la seule liste à proposer que Brest devienne la première métropole de France à permettre aux habitants de prendre le bus et le tramway gratuitement. Nous insistons sur le réalisme de cette mesure : à l’heure du changement climatique, la diminution des émissions de gaz à effet de serre est un impératif non négociable.

    Le réalisme n’est pas de tenir des raisonnements aussi absurdes que l’actuel maire de Brest, qui répète à ce propos que “rien n’est jamais gratuit”. Avec ce genre de raisonnements, nous pouvons oublier tous nos services publics financés par la solidarité ! L’école, financée par les citoyens, est également gratuite, car l’éducation est un droit fondamental. Nous considérons que la mobilité l’est également : la gratuité des transports en commun permet de rendre ce droit effectif. C’est enfin une manière concrète de redistribuer les richesses.

    Entre la voiture qui est inaccessible à beaucoup, les transports en commun hors de portée de plus en plus de portefeuilles, la ville se ferme à ses habitantes et habitants. Chacun doit pourtant pouvoir se promener au bord de la rade, vivre dans sa ville, aller au travail sans qu’il en coûte, se déplacer en dépit d’une capacité réduite de mobilité.

    Nous avons chiffré cette mesure : les économies engendrées par la suppression de la billetterie et la fluidification du trafic, ainsi que la hausse du versement transport que paient les entreprises de plus de onze salariés financent l’essentiel de la mesure, le reste étant financé par une contribution du budget de la métropole. C’est une dépense minime pour une mesure aussi fondamentale. Nous assumons ce choix politique essentiel, qui répond aux urgences de notre époque, pour la justice sociale et climatique.

    Il s’agit d’une mesure d’égalité et de justice sociale pour donner un droit réel à se déplacer dans la ville. La gratuité du service public des transports permettra de développer le réseau en créant de nouvelles lignes de bus en plus de la deuxième ligne de tram. Nous favoriserons la fluidité des transports publics par la suppression du temps de billetterie et de contrôle.  Les villes ayant mis en œuvre la gratuité des transports ont observé une augmentation rapide de la fréquentation1. Cela permettra d’augmenter la fréquence de passage sur les lignes secondaires et de dynamiser la vie des quartiers actuellement mal desservis. Plus de monde dans les transports et dans les rues, c’est aussi plus de mixité sociale, plus de sécurité et moins de tensions. Le développement du vivre-ensemble dans les transports, accompagné par un renforcement du corps des médiateurs, participera à rendre la ville plus agréable à vivre.

    Face à l’urgence climatique et à l’effondrement de la biodiversité, la gratuité des transports permet d’engager pleinement la métropole dans cette lutte. La qualité de l’air de la ville sera améliorée grâce à la baisse du besoin d’utiliser des voitures individuelles, pour les usages occasionnels comme réguliers, ce qui réduira fortement les émissions de gaz à effet de serre et de particules fines. Notre tâcherons de mettre en place des navettes maritimes, intégrées au réseau de transports gratuits, qui relieront Plougastel au technopôle en passant par le Moulin Blanc et le port de commerce.

    Christophe OSSWALD

    source: http://brestinsoumise.fr/

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  • Brest à venir-Présentation du programme: mardi 25 février-20 heures-salle des syndicats

    PRÉSENTATION DU PROGRAMME "BREST A VENIR ! "

     

    Mardi 25 février à 20 heures "Brest à venir !"présentera son programme à la Maison du Peuple, en face du lycée l'Harteloire.

    Un cycle se termine à Brest, un nouveau va s'ouvrir, avec l'énergie d'une équipe compétente, honnête et de convictions.

    Curieux, intéressés par la campagne, ou si vous passez juste par là, vous serez les bienvenus !

    Ecologie populaire, renouvellement des pratiques démocratiques et solidarité sociale seront au rendez-vous et un temps d'échange sera prévu avec le public.

    Ce programme est cohérent et en harmonie avec les enjeux de notre temps et de notre ville, le 15 et 22 mars prochains, "Brest à venir" le portera  jusqu'à la victoire.

    Brest à venir-Présentation du programme: mardi 25 février-20 heures-salle des syndicats 

    la liste soutenue par les communistes de l'ARC29/PRCF

     

     

     

    source: https://www.facebook.com/events/142276416886729/

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  • Municipales. Quimperlé : la liste d’Éric Saintilan est en ordre de bataille (OF.fr-16/02/20-19h26)

    Après celle de Michaël Quernez, le maire sortant, celle d’Éric Saintilan, « Quimperlé, décidons ensemble », est la deuxième liste à être officiellement présentée. C’était dimanche matin, le 16 février, à la Mothe, le long de l’Ellé.

    « La nature a horreur du vide. Nous représentons, à Quimperlé, la vraie gauche. Il y a sur notre liste des gens de la France insoumise, de Génération·s et des militants historiques du Parti communiste . »

    Et Éric Saintilan aurait pu rajouter des syndicalistes de la CGT ou de FO. Sans oublier des sympathisants très proches des Gilets jaunes.  Oui, il y a différentes personnalités. Mais c’est l’intérêt collectif qui prime. 

    La tête de liste de Quimperlé, décidons ensemble est d’ailleurs, depuis de nombreux mois, une des figures de proue de ce mouvement contestataire dans le pays de Quimperlé.

    Lions’club et SNSM

    Demeurant à Bannalec, mais exerçant comme kinésithérapeute libéral à Quimperlé depuis 1990, Éric Saintilan aura 55 ans, en mai prochain. 

    Membre du Lion’s club du pays de Quimperlé depuis 1996, il a été très actif au sein de la SNSM (Société nationale de sauvetage en mer) dans le pays de Lorient. « Pendant neuf ans, j’ai aussi été directeur du centre de formation de la SNSM de Lorient. Ce que je fais là, en me présentant aux élections municipales, est dans la continuité de ce que j’ai toujours fait. À savoir servir les autres. Il n’y a pas de rupture  , a-t-il expliqué, lors d’un entretien accordé, mardi 11 février, dans le local de campagne de la liste, au 9, place Hervo.

    Avec ses colistiers, il revendique une  meilleure justice sociale. Il y a dans ce pays une telle injustice fiscale. C’est scandaleux. Nous voulons également une démocratie plus représentative, pour peser sur des décisions qui sont insupportables pour nous. 

    D’une façon générale, les  politiciens oublient souvent qu’ils sont là pour servir le bien commun. Nous ne sommes pas des extraterrestres. Mais on ne peut plus laisser des dirigeants sourds et aveugles, prendre des décisions pour les citoyens. 

    « Michaël Quernez est invisible »

    Éric Saintilan tacle le Parti socialiste qui, selon lui,  s’est compromis avec les puissances financières. Ils ont trahi leurs engagements. Se présenter comme un chevalier blanc peut paraître prétentieux, mais c’est ainsi que je me présente.  

    Plus localement, Eric Saintilan entend démontrer que  quand certains font de leur fonction une carrière politique, il y a une dérive et ils ne sont plus dans leur rôle premier : être proche des concitoyens. Michaël Quernez est invisible auprès de la population. Moi, élu maire, je n’aurai pas d’autres mandats. Oui à un poste de vice-président de Quimperlé communauté, mais je ne postulerai pas à la fonction de président. Je ne suis pas un politicien professionnel et je ne ferai pas carrière. 

    Selon ce Lorientais de naissance,  la ville s’est endormie. Il n’y a pas de pétillance. Quelques lumières bleues ne suffisent pas à faire le bonheur des gens. Et dans les quartiers, les gens se sentent abandonnés. Nous devons être proches et au service des citoyens. 

    Éric Saintilan entend, s’il est élu, mettre en place des  conseils de quartiers et inciter les gens à venir apporter des idées. Les réunions de quartiers existent. Mais les gens sont-ils entendus ? Non, selon nous. 

    Quimperlé, décidons ensemble souhaite  faire confiance à l’intelligence collective. Le référendum local existe. Il n’a jamais été utilisé. Nous allons l’activer rapidement. Parce que nous avons plusieurs sujets à soumettre, comme un arrêté anti-pesticides à 150 mètres. Nous voulons que les habitants soient souverains. » 

    Vincent THAËRON.

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Les colistiers de « Quimperlé, décidons ensemble » présentés (LT.fr-16/02/20-19h12)

    Conduite par Éric Saintilan, la liste « Quimperlé, décidons ensemble » a été présentée ce dimanche. À douze jours de la clôture les listes pour les élections municipales, ce n’est que la seconde liste présentée à Quimperlé sur cinq candidats déclarés.

    Après avoir dressé, fin janvier, les grandes orientations de « Quimperlé, décidons ensemble », liste conduite par Éric Saintilan, ce dernier a présenté ce dimanche, à la Mothe, ses colistiers.

    Une liste sans étiquette, forte de 33 noms et deux suppléants et dont la moyenne d’âge est de 51 ans. À noter que le plus jeune des colistiers est âgé de 19 ans et est étudiant. La doyenne, retraitée, a 78 ans.

    Une liste de 35 noms

    Éric Saintilan, 54 ans, masseur-kinésithérapeute libéral ; Sonia Ollivier, 42 ans, monitrice-éducatrice ; Michel Tobie, 66 ans, chef technicien agricole en retraite ; Sylvie Le Bloa, 49 ans, travailleuse sociale, artiste ; Christian Le Parc, 63 ans, retraité cadre commercial ; Pascale Baglan, 63 ans, infirmière à la retraite ; Gaëtan Le Tollec, 24 ans, technicien supérieur réseau et maintenance informatique ; Ariane Dossena, 55 ans, auxiliaire de vie scolaire ; Michel Baglan, 62 ans, infirmier en retraite ; Maryvonne Even, 60 ans, employée de bureau à la retraite ; Gérard Le Bourhis, 70 ans, facteur honoraire ; Tillandsia Clugery, 25 ans, sans emploi ; Huseyin Gül, 48 ans, chef d’entreprise en bâtiment ; Martine Gloinec, 64 ans, auxiliaire de vie à la retraite ; Jean-Christophe Le Parc, 40 ans, sans emploi ; Magali Kerdalhé, 41 ans, agent d’entretien ; Yannick Rademacher, 39 ans, cuisinier ; Danielle Mahé, 78 ans, retraitée ; Jean-Claude Flatrès, 53 ans, enseignant en mathématiques et physique à domicile ; Annie Menvielle, 64 ans, retraitée ; Mickaël Joliff, 35 ans, sans emploi ; Tiphaine Coat, 36 ans, ouvrière ; Matthieu Charles, 35 ans, artisan-commerçant ; Danielle Coquelin, 73 ans, secrétaire en retraite ; Ewen Forget, 39 ans, enseignant en mathématiques ; Françoise Virieux, 59 ans, pépiniériste ; Nicolas Pattedoie, 50 ans, infirmier de secteur psychiatrique ; Chantal Le Leuxhe, 63 ans, comptable en retraite ; Bruno Chauveau, 58 ans, ouvrier qualifié ; Audrey Pech, 35 ans, hôtesse de caisse ; Enzo Béalas, 19 ans, étudiant ; Christelle Gül, 48 ans, employée communale ; Bernard Callens, 66 ans, retraité de la fonction publique territoriale (ingénieur) et ancien permanent à l’Union fédérale des ingénieurs, cadres, techniciens et agents de maîtrise de la CGT ; Nathalie Serre-Garcia, 57 ans, agent d’accueil de lycée ; Guy Salaün, 66 ans, retraité d’organismes sociaux.

    À noter

    La liste a ouvert une permanence de campagne dans un local situé 9, place Hervo à Quimperlé. Éric Saintilan y sera présent mardi, mercredi et jeudi, de 18 h 30 à 20 h.

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Municipales. « Quimperlé, décidons ensemble » a son local de campagne (OF.fr-11/02/20-20h26)

    Elle est la première. La liste « Quimperlé, décidons ensemble », a son local de campagne. Il se trouve, place Hervo, près des Halles, en basse-ville.

    En lieu et place du restaurant, La taverne de d’Artagnan, qui a fermé ses portes en fin d’année 2019, on trouve désormais le premier local de campagne, dans le cadre des municipales de mars. IL se trouve au 9 de la place Hervo, en basse-ville.

    La liste « Quimperlé, décidons ensemble » a investi les lieux et l’a officiellement annoncé, mardi après-midi. Des permanences y seront assurées.

    La tête de liste, Eric Saintilan, était présente. Il en a profité pour annoncer que sa liste sera officiellement dévoilée, dimanche 16 février, à 10 h, à la Mothe, près de la base intercommunale de canoë-kayak. Nous serons 35 : les 33 de la liste, plus deux remplaçants, a-t-il précisé.

    À partir de ce jeudi 13, les membres de « Quimperlé, décidons ensemble » vont distribuer des prospectus dans les boîtes aux lettres et faire du porte-à-porte. Ils ont également prévu deux réunions publiques : la première, lors de la première semaine de mars ; la suivante, dans la semaine précédant le premier tour du dimanche 15.

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Investi par la France insoumise à Brest (Finistère), Pierre-Yves Cadalen a composé une liste qui ne comprend aucun élu sortant. Mais quelques figures historiques de la Gauche qualifiée de radicale sont là.

    « C’est une équipe compétente, avec des gens qualifiés et qui correspondent à la réalité populaire de Brest. » En une phrase, c’est le portrait que Pierre-Yves Cadalen dresse de la liste qu’il conduira à la prochaine municipale : Brest à venir. Une liste qui, selon lui, constitue « l’alternative populaire ». Sous-entendu, aux listes de François Cuillandre et de Ronan Pichon.

    Scrutin après scrutin, la Gauche dite radicale est présente à la municipale. « Il y a eu de bonnes cuvées, sourit Pierre-Yves Cadalen, en faisant allusion aux tentatives de 2001 et 2008. Mais cette fois-ci, nous sommes capables de gagner et si nous gagnons, nous serons capables de gérer la Ville et la Métropole. »

    Le lien avec 2001 et 2008, on le retrouve au travers de quelques noms bien identifiés. Comme Christophe Osswald, enseignant chercheur et déjà candidat en 2008, aujourd’hui en 3e position dans l’équipe de Pierre-Yves Cadalen. Ou Hubert Casel, qui conduisait la liste en 2001 et qui est en 35e position de Brest à venir. Ou encore Arnaud Hell, ancien conseiller régional (49e).

    Cette passerelle avec les expériences passées sera-t-elle un atout pour franchir un cap jamais atteint jusqu’ici : la fameuse barre des 10 % au premier tour de crutin, qui qualifie automatiquement pour le second tour ? C’est évidemment une de ses raisons d’être. « Cette liste porte des valeurs identiques à celle de 2008 », insiste d’ailleurs Christophe Osswald.

    De tous les quartiers

    Mais Pierre-Yves Cadalen, qui se réjouit de ne compter « aucun élu sortant », est aussi allé chercher des personnalités connues pour d’autres raisons. Comme Éric Landuré, une des figures du combat syndical de la réparation navale civile, lors de la fermeture de la Sobrena, reprise par Damen. « Nous avons des candidats qui représentent tous les quartiers, mais aussi les professions intellectuelles et manuelles », décrypte la tête de liste.

    Olivier PAULY

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Pierre-Yves Cadalen, entouré de quelques membres situés en haut de la liste, dont la numéro 2, Pauline Lesquivit (à gauche)

    Pierre-Yves Cadalen, l’Insoumis brestois, a révélé les noms des 55 personnes qui composeront sa liste « Brest à Venir » pour les municipales. Une liste où l’on ne trouve aucun élu sortant.

    7 % avec Hubert Casel en 2001, 9 % avec Céline Mandon en 2008, 8 % avec Quentin Marchand en 2014… Sans le Parti communiste qui reste toujours solidement arrimé à François Cuillandre, la gauche de la gauche brestoise n’est jamais parvenue à franchir la barre des 10 % lors des municipales.

    Qu’en sera-t-il cette fois-ci ? Pierre-Yves Cadalen est confiant. Il l’affirme : « On sent une dynamique ample, profonde sur le terrain, avec des thèmes qui sont arrivés à maturité dans le pays, comme la gratuité totale des transports en commun, projet que nous sommes les seuls à porter. C’est une liste en accord avec les idées qui avancent dans le pays ».

    « Aucun élu sortant »

    La moyenne d’âge de la liste est de 47 ans. Outre son leader, finaliste des législatives de 2017, et sa suppléante de l’époque, Cécile Beaudouin, ils sont quelques-uns à avoir déjà brigué des mandats comme Hubert Casel, Christophe Osswald (fléché à la présidence de la métropole en cas de victoire), Alexandre l’Homme ou encore Arnaud Hell. « Mais il n’y a aucun élu sortant », précise la tête de liste, et cela n’est pas pour lui déplaire. « On a pris en compte le rejet légitime de nos institutions par nombre de concitoyens. Il y a un besoin réel de mener une autre politique qui s’ancre sur les impératifs de solidarité et d’écologie, avec une équipe qui sorte de la tambouille politicienne habituelle ».

    « Une liste capable de gouverner la ville »

    Mais inexpérience ne veut pas dire amateurisme. « On a une équipe hautement qualifiée, capable de gagner, et surtout capable de gouverner la ville derrière », insiste le chef des Insoumis. Environ la moitié des membres de la liste gravitaient déjà autour du cercle militant de la France Insoumise. Quatrième sur la liste, Olia Vatziou, médecin psychiatre de 34 ans est une transfuge de Génération.s.

    Les professions médicales ou scientifiques sont fortement représentées, de même que les enseignants. Mais l’on y trouve aussi des ouvriers, à l’image de Patrick Landuré, mécanicien naval, en cinquième position. Redonner l’envie de voter aux classes populaires qui ont déserté les urnes, c’est l’une des grandes motivations de Brest à Venir, dont le programme devrait être rendu public dans une dizaine de jours. Dans la dernière ligne droite avant le premier tour, « une belle surprise est prévue ».

    Jean-Luc Padellec

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • À Brest, Pierre-Yves Cadalen (France insoumise) dévoile sa liste pour la municipale (OF.fr-6/02/20-10h57)

    Le candidat de la France insoumise à la mairie de Brest présente les 55 noms de la liste « Brest à venir » qu’il conduira lors de la municipale des 15 et 22 mars. Il la présente comme la liste de « l’alternative populaire ».

    Il est le deuxième à le faire, après François Cuillandre, maire sortant de Brest. Pierre-Yves Cadalen a dévoilé la composition de la liste qu’il conduira lors de l’élection municipale à Brest. Investi par la France insoumise, il s’agit de sa deuxième candidature à une élection à Brest, après la législative de 2017.

     

    Les 55 noms de Brest à venir

    1. Pierre-Yves Cadalen, 27 ans, enseignant-chercheur.

    2. Pauline Lesquivit, 35 ans, infirmière.

    3. Christophe Osswald, 44 ans, enseignant-chercheur.

    4. Olia Vatziou, 34 ans, médecin psychiatre

    5. Patrick Landuré, 44 ans, mécanicien naval

    6. Maryvonne Cariou, 65 ans, retraitée

    7. Rémi Vandeplanque, 41 ans, douanier maritime

    8. Lili Le Bour, 33 ans, enseignante

    9. Benjamin Le Guennec, 30 ans, animateur socio-culturel

    10. Laurence Corre, 50 ans, retraitée

    11. Jean-Luc Pierres, 48 ans, artisan

    12. Cécile Beaudouin, 27 ans, enseignante

    13. Loïc Djian, 41 ans, directeur Business Unit entreprise

    14. Fanny Lepeytre, 35 ans, médiatrice

    15. Arnaud Pinvidic, 44 ans, gestionnaire de patrimoine

    16. Émilie Rivoalen, 40 ans, vendeuse

    17. Philippe Blouin, 61 ans, cadre de l’emploi

    18. Isabelle Quéré, 42 ans, technicienne audiovisuel

    19. Erwan Seys, 22 ans, éudiant

    20. Gaëlle Le Lay, 35 ans, enseignante

    21. Florian Verney, 31 ans, directeur d’études BTP

    22. Anne-Catherine Suquet, 63 ans, retraitée

    23. René Gentric, 61 ans, enseignant

    24. Claire Tito, 35 ans, ingénieure de recherche

    25. Pierre Smolarz, 37 ans, maître-nageur

    26. Fabienne Dubois, 43 ans, enseignante

    27. Alexandre Lhomme, 39 ans, technicien informatique

    28. Michèle Jarron, 72 ans, retraitée

    29. Antoine Larfaoui, 28 ans, salarié

    30. Huguette Murat, 71 ans, retraitée

    31. Gaëtan Pallier, 22 ans, animateur

    32. Nathalie Le Bouill, 52 ans, enseignante

    33. Joseph Bekkari, 49 ans, photographe

    34. Édith Boulo, 50 ans, documentaliste

    35. Hubert Casel, 64 ans, retraité

    36. Pascale Jauny, 57 ans, retraitée

    37. Karim Sobhi, 48 ans, fonctionnaire de la Défense

    38. Isabelle Bihannic, 54 ans, responsable qualité

    39. Marc Suquet, 64 ans, retraité

    40. Anne Donval, 65 ans, retraité

    41. Ricardo Silva Jacinto, 50 ans, océanographe

    42. Lauryanne Istin, 36 ans, enseignante

    43. Rafael Montes, 44 ans, chauffeur

    44. Claire Le Bail, 51 ans, adjointe administrative

    45. Serge Nicolie, 53 ans, directeur d’entreprise

    46. Catherine Marc, 65 ans, psychologue

    47. Gérard Roump, 58 ans, conducteur de bus

    48. Margot Dejeux, 20 ans, étudiante en sociologie

    49. Arnaud Hell, 73 ans, retraité

    50. Pascale Retout, 58 ans, médecin scolaire

    51. Léo Keriou, 27 ans, chaudronnier en formation

    52. Irène Ménat, 71 ans, retraitée

    53. Émile Galle, 73 ans, retraité

    54. Rachel Guillou-Le Goïc, 18 ans, lycéenne

    55. Jean-Yves Marc, 80 ans, retraité

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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