• Les troupes US occupent le territoire français : De Gaulle et le CNR l’avaient empéché, Macron l’a réalisé !   (IC.fr-23/07/20)

    « Opération Mousquetaire » : c’est le nom de code de « l’opération militairespectaculaire » (Sud-Ouest) menée par les États-Unis d’Amérique qui, le 7 juillet 2020, ont débarqué « 350 militaires, une soixantaine d’hélicoptères de combat, 500 véhicules militaires et 250 conteneurs appartenant à la 101st Combat Aviation Brigade de l’US Army » au Grand Port maritime de la Rochelle ; le matériel et les soldats – qui stationneront un mois en France – seront ensuite acheminés en Pologne, la destination finale où Obama avait déjà organisé le sommet de l’ de juillet 2016 pour déployer davantage de troupes aux frontières russes. Les raisons d’une telle opération ? « Renforcer le flanc est de l’Europe face à la , renforcer l’Otan, rassurer les alliés et améliorer la flexibilité stratégique des États-Unis en Europe » selon l’administration Trump, qui poursuivent et amplifient les opérations lancées par Obama dans le cadre de l’opération « Atlantic Resolve ». Et tout ceci avec l’aval asservissant de Hollande puis de Macron, poursuivant la politique de la subordination totale aux ambitions de l’impérialisme belliciste yankee.

    C’est la première fois depuis le départ le choix du général de Gaulle de quitter le commandement militaire de l’OTAN en 1966 que les États-Unis se livrent à une opération d’une telle envergure en France, symbolisant le choix désastreux des euro-gouvernements et des présidents atlantistes depuis Sarkozy d’ancrer la France dans le cadre de « l’Alliance atlantique » et de mettre le pays sous la botte des « défenseurs du monde libre », qui passent leur temps à organiser des coups d’État, lancer des « guerres préventives » ou de « légitime défense », détruire des pays entiers (Yougoslavie, Afghanistan, Irak, etc.). Une telle infamie pour l’indépendance et la souveraineté de la France, de plus en plus pieds et poings liés à une « alliance » militaire, entraîne le monde vers la guerre, les États-Unis ne cessant de provoquer et déstabiliser par tous les moyens la Chine, la Corée du Nord, la Syrie, l’Iran, le Venezuela – où l’impérialisme yankee a envoyé la flotte de guerre en avril dernier… tout en mettant le veto à un prêt du FMI pour aider le régime bolivarien face à la terrible crise du coronavirus –, le Nicaragua (« menace extraordinaire et inhabituelle pour la sécurité nationale et la politique étrangère des États-Unis » selon Donald Trump)… et bien entendu la Russie, contre laquelle poussent à la guerre les régimes réactionnaires et fascisants d’Europe orientale, pays baltes et Pologne en tête.

    Voilà donc la France embarquée dans une suicidaire politique de provocations en tout genre envers la Russie, traduisant la russophobie croissante en Europe, et spécialement au sein d’une UE qui développe un négationnisme révisionniste de l’histoire en assimilant le communisme victorieux du nazisme à Stalingrad, à Koursk ou encore à Berlin… au nazisme, les deux étant « conceptualisés » sous le nom de « totalitarisme » tant célébré par les « nouveaux philosophes » va-t-en-guerre (BHL s’enturbannant au côté des moudjahidines afghans dans les années 1980 et se dressant la chemise au vent en Libye en 2011, Glucksmann favorable à la guerre en Irak en 2003, etc.) et les « historiens » anticommunistes comme Furet ou Courtois. Une russophobie qui est à son zénith en Europe orientale où la nostalgie du nazisme prospère comme en Lettonie, au point que le ministre de la Défense letton peut se permettre de proclamer que « la Waffen SS est la fierté du peuple letton et de l’Etat ». Une russophobie qui va de pair avec une américanisation croissante des euro-dirigeants français proclamant leur attachement au « monde occidental » et leur amour pour le « rêve américain » : il est vrai que nombre d’entre eux (liste non exhaustive : Macron, Philippe, Hollande, Moscovici, Juppé, Wauquiez, Pécresse, Joffrin, Colombani, Guetta, etc.) sont des « French Youngers » tout acquis à la cause des États-Unis.En 1944, de Gaulle et le PCF s’opposaient au projet d’occupation et d’administration militaire de la France par les troupes états-uniennes, repoussant ainsi le projet d’AMGOT à un moment où le pays se relevait exsangue et affaibli par la sauvage occupation nazie ; en 1966, de Gaulle prit la décision de quitter le commandement militaire de l’OTAN pour réaffirmer l’indépendance et la souveraineté de la France ; en 2003, Jacques Chirac eut le courage de s’opposer à la désastreuse guerre d’Irak – ouvrant un boulevard à Daech – fomentée au nom de mensonges d’État bien établis. En 2020, Macron, Philippe-Castex et tous les euro-atlantistes fanatiques déroulent un tapis euro-brun à la guerre en Europe et à l’asservissement de la France désormais vassale des États-Unis, réduisant à néant les combats du Conseil national de la Résistance (CNR) qui luttèrent pour reconstruire une France libre, forte, démocratique, indépendante et souveraine. A nous de poursuivre le combat avec cette nécessité plus que jamais urgente : la sortie de la mortifère UE et de son bras armé, l’OTAN.

    Fadi Kassem

    Source: https://www.initiative-communiste.fr/

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  • Christian Colimard, président du comité Sud-Cornouaille du Mouvement pour la Paix, durant son discours.

    « De vigie permanente, nous voulons devenir, ensemble, acteurs d’une civilisation de paix » : c’est le message porté, mercredi, par Christian Colimard, président du comité Sud-Cornouaille du Mouvement pour la Paix, lors du rassemblement contre les tirs de missiles, auquel ont participé une petite centaine de personnes à la pointe de Penmarc’h. Un lieu de rassemblement à quelques centaines de mètres d’une zone transformée par la DGA (Direction générale de l’armement) en station mobile de mesure et de poursuite d’engin balistique par sous-marin. Des tirs d’essai étant prévu dans les jours qui viennent.

    Christian Colimard a reprécisé le sens de ce rendez-vous dans le contexte actuel de pandémie de Covid-19 : « Nous considérons que le choix de procéder à de nouveaux déploiements de l’opérationnel militaire est une insulte à l’aspiration de pouvoir se projeter dans la promotion de la vie, l’atout majeur étant la culture de paix qui émerge dans la vraie vie du quotidien des gens ».

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Un pique-nique « du refus » à Penmarc’h contre les essais de missiles

    Un « pique-nique du rejet » est organisé mercredi, à Penmarc’h, afin de protester contre les essais de tirs de missiles prévus cette semaine.

    En protestation contre les essais de tirs de missiles qui se dérouleront mardi et jeudi, au large de Penmarc’h, le Comité sud Cornouaille du Mouvement pour la paix appelle « tous ceux qui souhaitent exprimer leur refus » à venir participer à un « pique-nique du rejet », à la pointe de Penmarc’h, au phare d’Eckmühl, mercredi, vers 13 h.

    « Malgré le contexte, le gouvernement met la priorité sur la poursuite de l’emprise du militaire sur l’action publique. Cela est en décalage avec les attentes de l’opinion », déclare le président du comité, Christian Colimard. « Ces essais ont un coût faramineux et sont un non-sens. Cet argent-là devrait actuellement aller ailleurs. Rappelons qu’un missile M51 coûte 120 millions d’euros, soit le salaire annuel de 7 500 infirmières », ajoute Véronique Moreau, membre du mouvement.

    Pour les habitants du secteur de Concarneau, un covoiturage sera possible, à 11 h 30, depuis le parking de la gare de Concarneau.

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Un tir de missile au large du Finistère vu depuis un bateau de pêche, en 2010.Un tir de missile au large du Finistère vu depuis un bateau de pêche, en 2010. 

    Nom de l’opération : Raphaël. Courant juin 2020, DGA Essais de missiles va procéder à des  essais en vol  au large du Finistère sud. Des essais en vol ?  Il s’agit d’essais de missiles en situation réelle , indique l’organisme basé à Biscarrosse (Landes).  La sécurité des personnes et des biens est notre priorité  , ajoute DGA Essais de missiles.

    Dans le cadre de l’opération Raphaël, des zones réglementées temporaires (ZRT) et zones dangereuses temporaires (ZDT) ont été créées au large de Penmarc’h afin d’empêcher tout survol aérien durant les essais. Des zones de régulation et d’interdiction à la navigation seront également mises en place.

    Les 9 et 11 juin

    Quand ces tirs de missiles auront-ils lieu ? D’après le document de DGA Essais de missiles, ils devraient se tenir les 9 et 11 juin 2020. Les zones réglementées et dangereuses temporaires étant en vigueur jusqu’au 17 juillet, un report pourrait être envisagé jusqu’à cette date si besoin. 

    De tels essais ont déjà été effectués en 2018 ou encore en 2016. En 2013, un tir de missile balistique M51 effectué depuis le sous-marin nucléaire Le Vigilant s’était soldé par un échec. Le M51 s’était autodétruit en vol.

    Basile CAILLAUD

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

     
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  • La ministre des Armées Florence Parly est attendue sur le site de la base navale de Brest (Finistère), et chez l’industriel Thalès, vendredi 29 mai 2020.La ministre des Armées Florence Parly est attendue sur le site de la base navale de Brest (Finistère), et chez l’industriel Thalès, vendredi 29 mai 2020. 

     

    La ministre des Armées Florence Parly est attendue vendredi 29 mai à Brest (Finistère). Outre une visite de la base navale, où la thématique de la guerre des mines lui sera présentée, elle devrait se rendre chez l’industriel Thalès puis sur le campus de l’Ensta Bretagne, École nationale supérieure des techniques avancées, à Plouzané.

    source: https://www.ouest-france.fr/

     A lire également:

    Guerre des mines et des drones de profondeur au menu de la Ministres des Armées (letelegramme.fr-25/05/20-19h16)


     

    La Ministre des Armées toujours "remarquable" dans la guerre "déclarée" au coronavirus. Après les mesures qui ont conduit à la contamination de plus de 70% de l'équipage du Charles De Gaulle, voilà la ministre  qui débarque à Brest ce vendredi , Brest qui comme chacun sait est à  moins de 100 kilomètres de Paris à vol d""oiseau". On n'est pas "rien' quand on est ministre !

    LHR


     

     

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  • Les anciens combattants en quelques chiffres (LT.fr-24/02/20)Samedi, ils étaient dix-neuf anciens combattants à se réunir à Pont-l’Abbé. Parmi eux, le président Joseph Coroller, au centre avec le pull rouge

    La section Finistère sud de l’Arac (Association républicaine des anciens combattants) a tenu son assemblée générale, samedi, à 14 h 30, au siège de l’union locale de la CGT. L’occasion pour le président, Joseph Coroller, de rappeler quelques chiffres clés.

    1917. L’Arac a été créée en 1917 par des anciens combattants de la Première Guerre mondiale, dont Henri Barbusse. Sa mission : militer pour la paix, cultiver la mémoire, rassembler et défendre les Hommes. Et ça fait 103 ans que ça dure.

    45. Le nombre d’adhérents dans le Finistère sud, répartis un peu partout sur le territoire.

    1. Le président, Joseph Coroller, anime avec énergie l’Arac. Ayant lui-même participé à la guerre d’Algérie, il a à cœur de défendre les droits des anciens et des nouveaux combattants. Il condamne les interventions militaires entreprises au Sahel et au Moyen-Orient.

    95. Comme l’âge du doyen de l’association, Jean Perru, un ancien résistant.

    2019. L’Arac participe chaque année à plusieurs cérémonies commémoratives, dont le 11-Novembre, le 8-Mai ou encore le 19 mars. Le 21 septembre, les anciens combattants ont rejoint les plus jeunes pour militer pour un climat de paix dans les rues de Quimper.

    2. Le nombre de missions que s’est fixées l’Arac en 2020. Parmi elles, le suivi des opérations militaires extérieures de la France, en ayant toujours à l’esprit de défendre et de reconnaître les droits des combattants sur le terrain. Autre objectif : le désarmement, nucléaire en particulier, en sensibilisant les plus jeunes pour transmettre un message de paix et d’ouverture. L’Arac se rendra aussi à Paris pour les États généraux de la paix, le 13 juin.

    30 000. Le nombre de militaires français engagés dans des conflits armés dans le monde aujourd’hui.

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Berrien. Les élus disent non aux armes nucléaires (OF.fr-21/12/2019-6h33) La Ville de Comines-Warneton, en Belgique a hissé le drapeau des « Maires pour la Paix », un réseau international de villes du monde entier en faveur du désarmement nucléaire. Berrien ouvre la voie dans notre Finistère

    Lors du conseil municipal qui s’est déroulé mercredi soir, à la mairie, le conseil municipal a évoqué le traité d’interdiction des armes nucléaires. La commune adhère donc à l’appel des villes pour cette abolition se disant « profondément préoccupées par la lourde menace que les armes nucléaires posent aux communautés à travers le monde ». Elles sont fermement convaincues que leurs habitants ont le droit de vivre dans un monde libre de cette menace. Toute utilisation, délibérée ou accidentelle, d’arme nucléaire aurait des conséquences catastrophiques durables à grande échelle pour la population et l’environnement. La commune soutient donc ce traité sur l’interdiction des armes nucléaires et appelle le gouvernement à y adhérer.

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Agir contre les armes nucléaires (OF.fr-2/09/19-17h13)Le collectif finistérien pour l’interdiction des armes nucléaires se mobilise en marge du G7 parlementaire qui aura lieu à Brest dans quelques jours.

    Un collectif d’associations est décidé à se faire entendre en marge du G7 parlementaire. Un forum citoyen est organisé à Brest ce mardi 3 septembre 2019.

    Le collectif finistérien pour l’interdiction des armes nucléaires (CIAN29) adresse un message aux élus réunis à Brest dans le cadre du G7 des parlementaires. Il rappelle les engagements pris par l’Union interparlementaire (qui réunit les membres de 178 pays dont la France) qui ont adopté une résolution en 2014 pour « un monde exempt de l’arme nucléaire ».

    « Depuis lors, l’ONU a voté un traité qui répond à ce vœu, mais qu’aucun des pays n’a à ce jour entériné », s’indignent les membres du collectif. Bien décidés à se faire entendre, ils organisent en marge du G7, un forum citoyen, « Pour la paix, un autre monde est possible », mardi à 18 h, à la Maison des syndicats à Brest.

    source: https://www.ouest-france.fr/

     

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  • Plomodiern-Marche pour la paix. « Nous sommes des lanceurs d’alerte » (LT.fr-7/08/19-15h35)Les militants s’étaient donné rendez-vous à Sainte-Marie du Ménez-Hom.

     

    Il y a 75 ans, le 6 août 1945, « Little boy » était largué au dessus d’Hiroshima par un bombardier américain Boeing B-29 Fortress piloté par le colonel Paul Tibbets. À 8 h 16, la première bombe nucléaire explosait, elle allait causer la mort de plus de 100 00 personnes.

     

    À cette occasion, mardi 6 août, le Cian 29 (Collectif pour l’interdiction des armes nucléaires), qui regroupe une quinzaine d’associations, avait donné rendez-vous à ses militants à Sainte-Marie du Ménez-Hom pour une marche pour la paix vers le sommet du mont.

    Ils étaient environ 80 malgré le temps maussade, dont Dominique, de Melgven, arborant un dossard écrit en japonais. « C’est un cadeau d’une délégation japonaise venue de Kobé à l’occasion de la fête des Filets bleus ; pour que nous puissions participer au devoir de mémoire », explique-t-elle. Alain, professeur à la retraite de la faculté de Brest, et enseignant le japonais s’approche : « Cela veut dire, faisons en sorte d’élargir le mouvement contre l’arme nucléaire, pour un degré zéro du nucléaire ».

    Non aux armes de destruction massive

    Les deux porte-parole du Cian 29, Christian Colimard, de Concarneau, et Roland de Penanros, de Brest, regroupent les bannières et les militants pour l’ascension.

    Roland porte pour l’occasion un tee-shirt avec un sigle appelant au désarmement nucléaire : « C’est de l’alphabet d’aviateur. Ce week-end nous étions au festival du Bout du Monde, il y a trois semaines aux Vieilles Charrues »

    « Nous ne voulons pas d’armes de destruction massive qui touchent les populations civiles, c’est illégal. Nous sommes des lanceurs d’alerte, qui doit être permanente. Notre territoire est très impacté par les infrastructures militaires », renchérit Christian.

    La marche peut commencer, un véhicule de la gendarmerie assure la traversée de la route de Crozon, très fréquentée, et bientôt les bannières flottent au vent.

    Arrivé au sommet, les discours deviennent plus graves, bravant le vent. « Nous sommes ici pour marquer notre opposition au développement de l’arme nucléaire dans un contexte international tendu », rappelle le porte-parole de la paix. Il déplore le silence des principaux médias concernant « ce devoir de mémoire à propos de la catastrophe d’Hiroshima ».


    Pratique
    Le 21 septembre aura lieu la Marche mondiale pour la paix, le Cian 29 y participera avec une grande manifestation à Quimper.   

    source:    https://www.letelegramme.fr/

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