• Quimper-Environ 500 manifestants dans les rues ce samedi (LT.fr-10/01/20-12h47)

    Environ 500 manifestants ont défilé dans les rues de Quimper, ce samedi, après un café solidaire sur le parking de la gare. De son côté, la CFDT a réalisé une opération de tractage pour faire signer la pétition qui réclame le retrait de la mesure sur l’âge pivot.

    « Merci d’être venu à ce énième rassemblement - et pas le dernier - contre la réforme des retraites ». C’est avec ces quelques mots qu’un représentant de l’intersyndicale a lancé cette nouvelle journée de mobilisation, ce samedi, sur le parking de la gare de Quimper. Dès 10 h 30, ils étaient nombreux à s’être rassemblés au lendemain de la descente aux flambeaux du mont Frugy.

    Environ 500 manifestants dans les rues de Quimper

    Sur place, l’intersyndicale CGT, FO, Solidaires, FSU, CNT et les Gilets jaunes avaient installé un café solidaire dans une camionnette pour soutenir les grévistes, notamment les cheminots. « C’est le 38e jour de grève. Cela devient très difficile avec des feuilles de paie vierges, indique l’un d’entre eux. Il y a près de 11 000 € dans la caisse de solidarité. C’est peu étant donné le nombre de grévistes. Mais c’est énorme car ça nous aide vraiment ».

    Après une prise de parole commune des syndicats, les quelque 500 manifestants ont défilé dans les rues du centre-ville. Et leurs revendications n’ont pas changé. « Le gouvernement centre le sujet sur l’âge pivot. Mais c’est l’ensemble de la réforme qui doit être retiré », indique un syndicaliste FO. « On doit pouvoir partir à la retraite dignement. Il y a de l’argent. Il y a des moyens de trouver de l’argent. Alors que le gouvernement arrête de mentir », ajoute un manifestant.

    Environ 500 manifestants dans les rues de Quimper

    Opération tractage de la CFDT

    Jeudi soir, l’intersyndicale a appelé à de nouvelles actions les 14, 15, 16 janvier à travers toute la France. À Quimper, une journée de mobilisation est prévue mardi à 11 h. Et les manifestants ont appelé à se rendre devant les permanences des députés mercredi. « On ne lâche rien », clament-ils d’une seule voix.

    Un peu avant le défilé des manifestants, une vingtaine de militants CFDT ont réalisé une opération de tractage pour faire signer la pétition qui exige le retrait pur et simple de la mesure de l’âge pivot à 64 ans. « Certains de nos militants rejoignent peut-être la CGT sur la suppression totale de la réforme. Car avoir mis cette réforme sur la table, un an après le début du mouvement des Gilets jaunes, à quelques jours des fêtes de Noël… c’est de l’amateurisme », déclare Joël Le Dantec, secrétaire adjoint départemental de la CFDT.

    Environ 500 manifestants dans les rues de Quimper

    Benjamin PONTIS

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  • La manifestation contre la réforme des retraites a été lancée place des Ecoles, ce samedi, avant de rejoindre le parvis de la mairie.

    200 manifestants contre la réforme des retraites ont parcouru le bref trajet entre la place des Écoles et la mairie, ce samedi. Déterminés.

    « Ce sera court », avait annoncé Gérard Le Bourhis, pour la CGT, qui conduisait la manifestation contre la réforme des retraites, ce samedi matin, à Quimperlé. En une petite heure en effet, la rapide procession réunissant 200 participants, place des Écoles, avait rejoint la mairie et entendu différents intervenants. Rapide, mais n’affichant pas moins de détermination que lors des précédents rassemblements, plus mobilisateurs.

    « Le maire n’est pas là. On lui souhaite un bon anniversaire », plaisantait encore le représentant de la CGT sur le parvis de la mairie. L’édile était retenu aux vœux d’une commune voisine. C’est Éric Alagon qui a fait acte de présence pour représenter le conseil devant les manifestants.

    Gérard Le Bourhis a notamment égrainé les « reculs » subis par le régime de retraite et les principales réformes successives de ces 30 dernières années : lois Seguin de 1987, Balladur 1993, Fillon 2003, réformes Woerth 2010 et Touraine 2013. Il demande le maintien de « dispositifs inscrits dans un modèle social » et du projet « faire table rase ».

    Xavier Morvant, pour Bigard, insistait sur la réalité de la pénibilité du travail : « Macron dit que le travail pénible n’existe pas, venez travailler à notre place ! Le bruit, le froid, au bout de 20 ans… », et Gwendoline Andrieux (Sud) et Anne Morel (Snes-FSU) rappelaient que les enseignants eux aussi restent mobilisés.

    « Je n’irai jamais au bout »

    Professeur de physique en collège à Rostrenen, Benoît, 39 ans, de Moëlan, présent pour la sixième fois dans les mouvements, explique sa façon de présenter ses « absences » aux élèves. « Je leur dis que même quand je suis en grève, je suis au travail, je suis là pour eux, pour les générations futures. Avec cette réforme, je perds 1 000 €, et avec plus de 43 ans de cotisations, je devrais travailler jusqu’à 66 ans. C’est sûr, je n’irai jamais au bout. J’aurai changé de métier. Et d’autres choses vont arriver pour les enseignants ».

    Un nouveau rassemblement est prévu ce mardi, à 10 h 30, au Coat Kaër.

    Le lundi 20 janvier, au Sterenn, à Trégunc, une projection est organisée en soutien au mouvement. On présentera « La Sociale », film de Gilles Perret (2017).

    Retraites : 200 à Quimperlé pour le « modèle social » (LT.fr-11/01/20-14h01)La manifestation contre la réforme des retraites a été lancée place des Ecoles, ce samedi, avant de rejoindre le parvis de la mairie.

    Retraites : 200 à Quimperlé pour le « modèle social » (LT.fr-11/01/20-14h01)200 manifestants ont rejoint la mairie ce samedi matin pour s'opposer au projet de réforme des retraites.

    Retraites : 200 à Quimperlé pour le « modèle social » (LT.fr-11/01/20-14h01)Le parvis de la mairie a résonné des différentes prises de parole des représentants syndicaux. 

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  • Retraites 300 manifestants et des flambeaux à Brest

    L’intersyndicale appelait à une retraite aux flambeaux pour protester contre le projet de réforme des retraites, place de la Liberté, à Brest, ce vendredi soir. Des gilets jaunes s’y sont joints. Le cortège, environ 300 personnes, parti peu après 18 h, est descendu presque jusqu’en bas de la rue de Siam, flambeaux au bout du bras, fumigènes, pétards et musique pour accompagner le tout. Un nouveau rassemblement est prévu ce samedi 11 janvier, à 11 h, place de la Liberté.

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    Quimper-Près de 300 manifestants pour la descente du Frugy aux flambeaux (LT.fr-10/01/20-19h35)

     

    Environ 300 manifestants se sont rassemblés, ce vendredi soir vers 18 h, sur le parking du Centre hospitalier de Cornouaille, à Quimper. Le rassemblement a été organisé par l’intersyndicale. « On a organisé cette action pour montrer qu’il n’y a pas forcément besoin que des grandes manifestations pour exprimer son mécontentement », explique Christelle, une Gilet jaune, soulignant que le préfet a toutefois tenté de les dissuader d’organiser cette manifestation.

    « Être présent au Chic, c’est symbolique. On veut soutenir le combat des personnels hospitaliers qui sont en lutte depuis plusieurs mois car ils n’ont plus les moyens d’assurer au mieux leur travail », ajoute Valérie de Force ouvrière.

    Vers 18 h 45, un cortège de manifestants s’est dirigé vers le centre-ville en descendant le Frugy avec des flambeaux. « On veut montrer que le combat continue et que l’on reste mobilisé contre la réforme des retraites », ajoute Sandrine, de la CGT. À noter qu’une même initiative est organisée à Brest au même moment.

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  • Après 36 jours de , la mobilisation ne faiblit pas dans la rue. Au contraire elle augmente. A l’instar des manifestations à Paris ou Marseille plus dense, dynamique et nombreuse que celle du 17 décembre. Et ce malgré la répression policière violente dans la capitale.
    Un seul mot d’ordre dans la rue avec l’intersyndicale : le retrait du plan Macron UE MEDEF, le retrait de la  par points.

    1,7 millions de manifestants !

    D’après les décomptes établis sur la base des chiffres transmis par nos correspondants ainsi que les chiffres publiés par la presse régionale nous avons décompté au moins 1,5 millions de manifestants en France métropolitaine dans 120 cortèges. Rappelons qu’il y avait plus de 275 manifestations, avec au total, 1,7 millions de manifestants d’après le décompte final total publié par la CGT.

    1. Paris : 370 000
    2. Marseille : 220 000
    3. Toulouse : 120 000
    4. Bordeaux : 70 000
    5. le Havre 35 000
    6. Rouen : 30 000
    7. Lyon : 27 000
    8. Grenoble : 25 000
    9. Clermont Ferrand 20 000
    10. Saint Étienne 20 000
    11. Montpellier 20 000
    12. Nice : 18 000
    13. Perpignan 18 000
    14. Nantes 18 000
    15. Nîmes 17 000
    16. Limoges 16 000
    17. Lille 15 000
    18. Caen 15 000
    19. Albi : 15 000
    20. Toulon : 15 000
    21. Metz 12 000
    22. Cherbourg 11 000
    23. Béziers 11 000
    24. Rennes 10 000
    25. Nancy 10 000
    26. Strasbourg 10 000
    27. Avignon 10 000
    28. Pau : 10 000
    29. Brest 10 000
    30. Orléans : 9200
    31. Foix 9 000
    32. Amiens 9 000
    33. Foix 9000
    34. Tours 8 000
    35. Alès 7 000
    36. Bayonne 7000
    37. Saint Nazaire 7 000
    38. Valence 7000
    39. Tarbes 5000 *
    40. Le Puy en Velay 5 000
    41. Rodez : 9 000
    42. Angoulème 5 000
    43. Mulhouse 5000
    44. Le Mans 5 000 **
    45. Poitiers 4500 **
    46. Chambéry 5000
    47. Angers 4 300
    48. Dijon 4000
    49. Arles : 4 000
    50. Besançon 4 000
    51. Lorient 4000
    52. Annecy 4000
    53. Saint Brieuc 4000 **
    54. Chambéry 4000 **
    55. Epinal 3500
    56. Dunkerque 3200
    57. Troyes 3000
    58. Agen 3000 *
    59. Périgueux 3 000
    60. Auxerre 3000
    61. Chateauroux 3000
    62. Charlevilles Mezière 3000
    63. Auch 3000
    64. Montauban 3000
    65. Quimper 3000 **
    66. Mont de Marsan 2900
    67. Carcassonne 2600
    68. Nevers 2600 **
    69. Digne les bains 2500
    70. Agen 2 500 *
    71. Boulogne sur mer 3500
    72. Mont de Marsan 2500 **
    73. Reims 2500
    74. Morlaix 2 000
    75. Bourges 2000
    76. Valenciennes 2 000 **
    77. Arras 2 000
    78. Gap 2000
    79. Vannes 2000
    80. Brive 2 000 **
    81. Auch 2000 *
    82. Narbonne 2000 *
    83. Guéret 2000 **
    84. Bourg en Bresse 2000 **
    85. Saintes 1600 *
    86. Chatelerault 1600**
    87. Tulles 1500
    88. Montbelliard 1500
    89. Bourgoin 1500
    90. Alberville 1500 **
    91. Montélimar 1500 **
    92. Aubenas 1500 **
    93. Anonay 1500**
    94. Moulin 1300
    95. Calais 1200 **
    96. Bergerac 1 100 **
    97. Ajaccio 1000 **
    98. Bastia 1000
    99. Cahors 1000 **
    100. Aurillac 1000 **
    101. Montargis : 1000
    102. Epernay 1 000
    103. Figeac 1 000
    104. Soisson 1 000
    105. Vierzon 1000
    106. Laval 1000 **
    107. Privas 1000 **
    108. Aurillac 900 **
    109. Chalons en Champagne 750 **
    110. Quimperlé 600 **
    111. Saumur 600 **
    112. Bagnols sur cèze 600
    113. Belley 600
    114. Abbeville 500
    115. Castres 500
    116. Carhaix 500 **
    117. Cholet 450 **
    118. Uzès 250
    119. Fontenay le Compte 200
    120. Gravelines 200 grévistes bloquent la centrale nucléaire de Gravelines

    * police
    ** presse locale

    jbc

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

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  • Un entretien avec Laurent BRUN, Secrétaire général de la Fédérattion CGT des Cheminots (le 8/01/20)

    Laurent BRUN, Secrétaire général de la Fédération CGT des Cheminots

     

    Le 8 janvier 2020 à heures 30 Aude Lancelin a reçu Laurent Brun, secrétaire général de la Fédération CGT des cheminots, pour évoquer la suite du combat qui s’annonce dans cette mère des batailles : la contre-réforme des retraites.

    source: https://www.youtube.com/

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  • Grève du 9 janvier. 11 000 manifestants ont défilé dans le Finistère (OF.fr-9/01/20-16h57)Environ 11 000 personnes ont manifesté contre le projet de réforme des retraites, ce jeudi 9 janvier 2020, dans les principales villes du Finistère.

    À Brest, Quimper, Morlaix, Quimperlé et Carhaix : dans ces cinq villes du Finistère, des milliers de personnes ont défilé ce jeudi 9 janvier 2020, à l’appel de plusieurs syndicats, pour contester le projet de réforme des retraites porté par le gouvernement.

    Ces différentes manifestations ont ainsi rassemblé, au total, environ 11 000 personnes : 5 000 à Brest, 3 000 à Quimper, entre 1 400 (chiffre police) et 2 000 (chiffre syndicats) à Morlaix, 600 à Quimperlé et 400 à Carhaix.

    Le 17 décembre 2019, les manifestations contre les retraites avaient rassemblé 29 000 personnes dans le Finistère.

     
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  • Brest. À 5 000 dans la rue, ils démarrent une série de manifestations qui vont devenir quotidiennes (OF.fr 9/01/20-

    Ils étaient 5 000 ce jeudi 9 janvier à manifester dans les rues de Brest (Finistère). Parmi eux, Thomas, Olivier, Marie-Jo, Ludovic nous racontent pourquoi ils ont décidé de descendre dans la rue une nouvelle fois.

    a manifestation de ce jeudi 9 janvier est la première de l’année 2020. Elle amorce une série de rendez-vous quotidiens place de la Liberté à Brest (Finistère). « À partir d’aujourd’hui : une manifestation chaque jour jusqu’au retrait du projet de réforme ! »

    Les cheminots ont symboliquement défilé avec un cercueil dans les rues de Brest (Finistère). 

    L’intersyndicale annonce une manifestation aux flambeaux, à 18 h ce vendredi 10 janvier 2020, et un nouveau rendez-vous samedi 11 janvier 2020 est programmé à 11 h. Même si la mobilisation est largement moins importante que le 17 décembre 2019, où plus de 15 000 manifestants avaient occupé les rues de Brest, les plus déterminés d’entre eux restent mobilisés.

    Thomas, infirmier au centre hospitalier régional et universitaire (CHRU) : « C’est le moment de stopper cette politique de régression sociale. »

    Thomas, infirmier au centre hospitalier régional et universitaire (CHRU), a défilé dans les rues de Brest (Finistère), ce jeudi 9 janvier 2020.

    « Il est capital d’être présent aujourd’hui. C’est le moment de montrer que nous sommes opposés à ce projet de réforme des retraites. Il y a une réelle dynamique dans tous les secteurs. Lorsque l’on voit la régression sociale que ce projet pourrait entraîner, en particulier dans le milieu de la santé et à l’hôpital, je pense que c’est vraiment le moment de se mobiliser. Par le passé, nous avons eu beaucoup de mobilisations espacées de quelques semaines, qui n’ont pas forcément fonctionné. L’idée maintenant est de maintenir la pression quotidiennement en proposant des actions tous les jours. Même si nous ne sommes pas très nombreux, cela permettra de maintenir une dynamique. »

     

    Marie-Jo, 78 ans, retraitée et veuve de marin : « Je suis là pour les veuves de marin. »

    Marie-Jo, retraitée et veuve de marin, a défilé dans les rues de Brest (Finistère), ce jeudi 9 janvier 2020. 

    « Mon mari, qui était marin, est une victime de l’amiante. Je veux dénoncer le fait que l’Établissement national des invalides de la marine (ENIM) ne possède pas de branche Accident du travail – Maladie professionnelle (AT-MP). Cela permet à l’Enim de ne pas avoir à indemniser les familles des marins morts de maladie professionnelle. Avant ce projet de réforme des retraites, les veuves de marins bénéficient du versement de leur pension de réversion au moment du décès de leur mari. Avec la réforme, la réversion n’arrivera qu’à leurs 64 ans ! Je suis là pour défendre les veuves des marins. »

    Olivier, matelot de quart : « J’aime être en mer, mais c’est usant. »

    Olivier, matelot de quart, a défilé dans les rues de Brest (Finistère), ce jeudi 9 janvier 2020. 

    « Pour moi, c’est important d’être présent pour être solidaire avec l’ensemble des corps de métiers présents ici. Nous, les marins, nous avons un statut particulier. Nous cotisons 37,5 annuités et nous avons le « privilège » de pouvoir partir à la retraite à 55 ans. Nous n’avons pas un métier facile, mais c’est la même chose pour un chauffeur de bus ou un autre. Si je suis en mer, c’est parce que j’aime cela, mais c’est un métier particulier et usant. C’est pour cela que nous bénéficions d’un régime de retraite différent. C’est important pour moi de manifester avec mes camarades pour dénoncer un système bien ficelé : les industriels nous gouvernent et les politiciens sont à leurs bottes. »

    Ludovic, cheminot au service électrique : « Notre statut est mort ! »

    Ludovic, cheminot au service électrique, a défilé dans les rues de Brest (Finistère), ce jeudi 9 janvier 2020.

    « C’est important d’être présent pour maintenir la continuité du système des retraites. Nous manifestons aussi par rapport au fait que la SNCF est devenue une société anonyme (SA) le 1er janvier. Avec ce changement de forme juridique, notre statut est « mort ». C’est pour cela que, de façon symbolique, nous déambulons avec un cercueil. Je tiens aussi à préciser que contrairement à ce que véhiculent les médias, nous avons beaucoup de soutien de la population sur nos actions. »

    Philippe GUEGAN

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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