• C’est peut être  en , et les médias français des milliardaires censurent ce qui s’y passe. Pour couvrir les violences du régime traîtres aux urnes qui lui avaient donné mandat pour mener une politique de gauche alors que le président Moreno a trahi pour mener une politique de droite dure. Pour couvrir qu’en , le peuple équatorien a peut être sonné le moment de la relance du processus révolutionnaire.

    Equateur : le peuple dans la rue pour chasser Moreno et le FMI, malgré la répression militaire et le couvre feu ! (IC.fr-14/10/19)

    Cela n’a pas empéché une manifestation de soutien à Paris.

    La révolution des fainéants, c’est comme cela que les equatoriens avec humour nomment la révolution qu’ils sont en train de mener pour chasser le régime Moreno du pouvoir. Révolution des fainéants car c’est de fainéants que le président Moreno a oser traiter son peuple qui s’est mis en grève générale pour refuser l’augmentation du prix de l’essence de … 100% et toute un série de mesure austéritaire imposée par le décret 883, en application des ordres du FMI et de Washington.

    12 jours de gréve générale et de manifestations, des milliers des manifestants dans les rues de Quito, des mobilisations dans toutes les villes du pays et un président en fuite à Guayaquil, la ville bastion de la droite et de la bourgeoisie équatorienne.

    Devant les protestations pacifiques, le président Moreno a d’abord décidé de placer le pays sous état d’exception avec la mise en place d’un état d’urgence.

    Dans la nuit de dimanche, il vient de placer, par décret n° 893, le pays sous la loi martiale, avec un couvre feu intégral à Quito, la capitale, et le déploiement de l’armée dans les rues. Les vols sont interrompus à l’aéroport internationale de Quito, les rues barrées et des hommes en armes et uniformes occupent les rues et tirent sur les manifestants.

    Cela n’a pas réussi à empêcher une manifestation tout le long de l’avenue Amazonas qui s’étend sur plusieurs kilomètres du nord au sud de Quito, avec une marche des femmes contre le décret 893 et ses mesures d’austérité. Avec un slogan largement repris dans le pays “fuera Moreno fuera”. Dégage Moreno dégage.

    Le collectif des peuples indigènes, la CONAI, qui est l’un des initiateurs des manifestations pacifiques, a réaffirmé son ouverture au dialogue avec le président élu. Mais la réponse qu’il a reçue n’est pour l’instant que la violence et la répression. L’ONU annonce une initiative de dialogue, mais on peut se demander quel dialogue il peut y avoir avec un régime tel que celui de Moreno/FMI qui envoie la troupe contre le peuple.

    Plus de 1121 manifestants ont officiellement été arrêtes, 76% étant relâchés par la suite car il n’y avait aucune accusation contre eux, des arrestations politiques. Il y a au moins 937 blessés par la répression et le régime a sur les mains en à peine 12 jours 7 morts.

    Le parti communiste équatorien appelle au départ du régime Moreno.

    La commission inter américaine des droits de l’homme des Nations Unies (UNICHR) a publié samedi une déclaration soutenant le dialogue demandé par les communautés et peuples indigènes et appelant l’Equateur a garantir le droit de manifester et condamnant l’usage disproportionné de la force par la police.

    Equateur : le peuple dans la rue pour chasser Moreno et le FMI, malgré la répression militaire et le couvre feu ! (IC.fr-14/10/19)

    Malgré le couvre feu, les protestations se poursuivent à Quito, avec notamment de tonitruants concerts de casseroles.

    Equateur : le peuple dans la rue pour chasser Moreno et le FMI, malgré la répression militaire et le couvre feu ! (IC.fr-14/10/19)

    JBC 


     

    Un appel  de personnalités latino américaines a été lancée en soutien au peuple équatorien.

    Des parlementaires, des artistes, des intellectuels, des journalistes, des anciens présidents, des citoyens d’Amérique latine et du monde entier se mobilisent pour appeler la communauté internationale à se pencher sur ce qui se passe en Équateur, à témoigner sa solidarité avec le peuple de ce pays et à exhorter à son gouvernement de manière respectueuse à la recherche d’une solution démocratique à la crise.

     

    Lettre ouverte

    pour surmonter la crise en Equateur

    La répression et l’autoritarisme de l’État de ces derniers jours doivent cesser. Il n’est pas digne d’un gouvernement élu démocratiquement de trahir les principes avec lesquels il est arrivé au pouvoir. Il n’est ni humain ni honnête d’accuser de vandales et de criminels ceux qui protestent légitimement pour voir leurs droits violés. Il n’est pas juste, ni pour les uns ni pour les autres, de diviser le pays en deux : les mesures d’ajustement dictées par des organisations telles que le Fonds monétaire international (FMI) affectent des sociétés entières sur tous les continents de la planète. S’opposer à celles-ci est juste, légitime et nécessaire en Equateur et partout dans le monde.

    La rencontre politique et sociale dans laquelle se trouve ce pays frère ne sera pas résolue avec davantage de verouillage gouvernemental, ni par l’omission de la réalité par une certaine presse, ni par l’emprisonnement ou l’exil des dirigeants de l’opposition. La violence du gouvernement générera plus de violence et c’est l’État, qui a le monopole de l’usage de la force, qui doit faire le premier pas vers la réconciliation et le cessez-le-feu.

    Selon l’article 148 de la Constitution équatorienne, il existe une sortie institutionnelle et démocratique: le Président Lénine Moreno Garcés est habilité à dissoudre l’Assemblée nationale “en raison d’une grave crise politique et de troubles internes” et à permettre ainsi de convoquer “dans un délai maximum de sept jours après la publication du décret de dissolution, le Conseil électoral national (peut convoquer) pour la même date aux élections législatives et présidentielles… ». Sans faire de cette lettre une “exigence” et dans le respect du droit des peuples à l’autodétermination, les soussignés invitent les autorités à épuiser toutes les ressources possibles pour réaliser la paix sociale et trouver une solution démocratique et institutionnelle au conflit. crise que traverse le pays.

    Enfin, nous disons au peuple équatorien: toute notre solidarité, notre admiration et notre amour en ces temps difficiles. Nous sommes avec vous comme nous l’avons été et le serons toujours. Tant qu’il y aura de la dignité, il y aura de l’espoir.

    Atentamente

    1. Martín Torrijos, ex presidente de Panamá
    2. Ernesto Samper, ex presidente de Colombia
    3. Fernando Lugo, ex presidente de de Paraguay
    4. Jorge Sharp, Alcalde de Valparaíso, Chile.
    5. Daniel Caggiani, Presidente del Parlamento del Mercosur, Uruguay
    6. Jean-Luc Mélenchon, ex candidato a la presidencia, Francia.
    7. Marco Enríquez Ominami, ex candidato a la presidencia, Chile
    8. Verónika Mendoza, ex candidata a la presidencia, Perú
    9. Gustavo Petro, ex candidato a la presidencia, Colombia.
    10. Leonardo Boff, intelectual y escritor, Brasil
    11. Emir Sader, intelectual y escritor, Brasil
    12. Marcelo Coulon, músico del grupo Inti-Illimani, Chile
    13. Enrique Dussel, filósofo e intelectual, México
    14. Alberto Anaya, Presidente del Partido del Trabajo, México
    15. Martí Batres, senador ex presidente del Senado de la República, México
    16. Citlali Herná Senadora de la República y vicepresidenta de la mesa directiva de la Asamblea Parlamentaria Euro-Latinoamericana, México
    17. Héctor Díaz-Polanco, intelectual y escritor, Mé
    18. Carlos Margotta T., Presidente de la Comisión Chilena de Derechos Humanos, Chile
    19. Claudia Pascual, ex Ministra de la Mujer y Equidad de Género del gobierno de Michelle Bachelet, Chile
    20. Guillermo Teillier, Presidente del Partido Comunista, Chile
    21. Carol Kariola, diputada, Chile.
    22. Camilo Sánchez, Presidente de las Juventudes Comunistas de Chile
    23. Jorge Ramírez Flores, Secretario General del Partido Comunes (Frente Amplio), Chile
    24. Camilo Lagos, Presidente Nacional del Partido Progresista, Chile.
    25. Guillermo González, Presidente del Partido Igualdad, Chile.
    26. Alejandro Navarro, senador, Chile.
    27. Coordinadora Nacional de Migrantes de Chile
    28. Antonio Ortega Gutiérrez, secretario general Frente Amplio, Costa Rica
    29. Alejandro Sánchez, diputado y ex presidente de la Cámara de Diputados, Uruguay
    30. Atilio Borón, intelectual y escritor, Argentina
    31. Néstor Kohan, filósofo, Argentina
    32. Araceli Ferreyra. secretaria de la Comisión de Relaciones Exteriores de la Cámara de Diputados, Argentina
    33. Nilda Garré, diputada nacional y ex embajadora de Argentina en la ONU
    34. Piedad Córdoba, ex senadora de la República, Colombia
    35. María Alejandra Díaz, Presidenta de la comisión de Derechos Humanos de la Asamblea Constituyente, Venezuela
    36. Pedro Miguel, periodista y escritor, México
    37. John Ackerman, catedrático UNAM, México
    38. Blanca Montoya, académica, México
    39. Patricia Ortíz Couturier, Alcaldesa de Magdalena Contreras, Ciudad de México
    40. Félix Salgado Macedonio, Senador de la República, México
    41. Jesusa Rodríguez, Senadora de la República, México
    42. Casimiro Méndez, Senador de la República, México
    43. Alejandra Leon Gastelum, Senadora de la República, México
    44. Lilia Margarita Valdéz, Senadora de la República, México
    45. Antares Vázquez Alatorre, Senadora de la República, México
    46. Ana Lilia Rivera, Senadora de la República, México
    47. José Luis Pech, Senador de la República, México
    48. Malú Micher, Senadora de la República, México
    49. Imelda Castro, Senadora de la República, México
    50. Gricelda Valencia de la Mora, Senadora de la República, México
    51. Anibal Ostoa, Senador de la República, México
    52. María Merced González, Senadora de la República, México
    53. Daniel Gutiérrez Castorena, Senador de la República, México
    54. Lucy Meza, Senadora de la República, México
    55. José Narro Céspedes, Senador de la República, México
    56. Guadalupe Covarrubias, Senadora de la República, México
    57. Martha Guerrero, Senadora de la República, México
    58. Alejandro Peña, Senador de la República, México
    59. Diego Eduardo Del Bosque, diputado federal, México
    60. Alejandro Viedma Velázquez, diputado federal, México
    61. Lidia Nallely Vargas Hernandez, diputada federal, México
    62. Pedro Daniel Abasolo Sánchez, diputado federal, México
    63. Dorheny Cayetano, diputada federal, México
    64. Celeste Ascencio, diputada federal, México
    65. Óscar Rafael Novella Macías, diputado federal, México
    66. Lizeth Guerra Méndez, diputada federal, México
    67. Edgar Guzmán Valdez, diputado federal, México
    68. Cuauhtli Badillo, diputado federal, México
    69. Gabriela Osorio Hernández, diputada del Congreso de la Ciudad de México
    70. Circe Camacho, diputada del Congreso de la Ciudad de México
    71. Vladimir Parra, diputado del Congreso de Colima, México
    72. Katu Arkonada, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Bolivia
    73. Omar González, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Cuba
    74. Carmen Bohórquez, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Venezuela
    75. Florencia Lagos Neumann, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Chile
    76. Paula Klachko, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Argentina
    77. Stella Calloni, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Argentina
    78. Fernando Buen Abad, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Argentina
    79. Pablo Sepulveda Allende, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Chile
    80. Javiera Olivares, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Chile
    81. María Nela Prada, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Bolivia
    82. Marilia Guimaraes, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Brasil
    83. Gabriela Cultelli, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Uruguay
    84. Nadia Bambirra, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Brasil
    85. Ángel Guerra Cabrera, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Cuba
    86. Antonio Elias, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Uruguay
    87. Sergio Tejada, ex congresista, Perú
    88. Marissa Glave, ex congresista, Perú
    89. Carlos Raimundi, Instituto Patria, Argentina
    90. Jorge Kreyness, Responsable de Relaciones Internacionales del Partido Comunista , Argentina
    91. Héctor “Gallego” Fernández, Secretario General del Peronismo Militante, Argentina
    92. Liliana Mazure, diputada nacional, Argentina
    93. Patricia Vaca Narvaja, ex embajadora de Argentina en México.
    94. Estela Díaz. Argentina, Central de Trabajadores de Argentina (CTA)
    95. Yamile Socolovsky. Central de Trabajadores de Argentina (CTA)
    96. Judith Said. Argentina, coordinadora Instituto Patria, Argentina
    97. Graciela Morgade, decana de la Facultad de Filosofía y Letras de Universidad de Buenos Aires, Argentina
    98. María Higonet, ex vicepresidenta del Parlamento Eurolat
    99. Silvia Horne. Argentina, diputada nacional, Argentina
    100. Adela Segarra, ddiputada nacional, Argentina
    101. Víctor Ríos, historiador, REDH Cap. Catalunya
    102. Hugo Moldiz, intelectual, REDH Cap. Bolivia
    103. Arantxa Tirado, politóloga, REDH Cap. Barcelona
    104. Sergio Arria, comunicador venezolano y argentino, REDH Cap. Argentina
    105. Abril García Mur, militante feminista, FUTURA. REDH Cap. Argentina
    106. Aldana Martino, FUTURA. REDH Cap. Argentina
    107. Alejo Brignole, escritor. REDH Cap. Argentina
    108. Amilcar Salas Oroño, politologo. REDH Cap. Argentina
    109. Ana Maria Ramb , escritora. REDH Cap. Argentina
    110. Andrea Vlahusic, abogada Mopassol. REDH Cap. Argentina
    111. Aurelio Narvaja – Editorial Colihue. REDH Cap. Argentina
    112. Beatriz Rajland – Directora FICYP / ATTAC. REDH Cap. Argentina
    113. Carlos Aznarez – Director Resumen Latinoamericano. REDH Cap. Argentina
    114. Cynthia García – Periodista. REDH Cap. Argentina
    115. Daniel Campione – Investigador FICYP /Prof. UBA y UNLP. REDH Cap. Argentina
    116. Daniel Devita – músico rapero cantautor. REDH Cap. Argentina
    117. Daniel Feipeler – Lic. Informática. REDH Cap. Argentina
    118. Edgado Esteban – Periodista. REDH Cap. Argentina
    119. Ernesto Mattos – Economista CCC. REDH Cap. Argentina
    120. Gabo Sequeira – Cantautor. REDH Cap. Argentina
    121. Gabriel Merino – Director CEFIPES. REDH Cap. Argentina
    122. Germán Leyens – Filósofo. REDH Cap. Argentina
    123. Guillermo Wierzba – Economista. REDH Cap. Argentina
    124. Héctor Bernardo – periodista. REDH Cap. Argentina
    125. Héctor Hussein – Teatro Comunitario Pompapetriyasos. REDH Cap. Argentina
    126. Ibán Díaz Parra – AEN-CCC. REDH Cap. Argentina
    127. Javier Calderón – CELAG / CCC / Investigador IEALC-UBA. REDH Cap. Argentina
    128. Javier Tolcachier – Centro Humanista Córdoba. REDH Cap. Argentina
    129. Jimmy Herrera – Artista. Carta Abierta. REDH Cap. Argentina
    130. Jorge Elbaum – Sociólogo, Director Llamamiento Judío de la Argentina. REDH Cap. Argentina
    131. Jorge Rachid – Médico. REDH Cap. Argentina
    132. José Seoane – Instituto Tricontinental. REDH Cap. Argentina
    133. Juan Francisco Martínez Peria – Historiador, AEN-CCC. REDH Cap. Argentina
    134. Juan López – CEFMA. REDH Cap. Argentina
    135. Juliana Marino – Ex embajadora argentina en Cuba. REDH Cap. Argentina
    136. Julio Ferrer – Escritor. REDH Cap. Argentina
    137. Julio Gambina – Presidente FISyP y Director IEF-CTA Autónoma. REDH Cap. Argentina
    138. Laura Capote – ALBA Movimientos. REDH Cap. Argentina
    139. Laura Vásquez – Cineasta y Documentalista. REDH Cap. Argentina
    140. Lautaro Rivara – Sociólogo CECS – brigadista en Haití. REDH Cap. Argentina
    141. Liliana Demirdjian – Socióloga docente UBA-UNSAM. REDH Cap. Argentina
    142. Luis Wainer – Docente UNAHUR/ Coordinador AEN-CCC. REDH Cap. Argentina
    143. Magalí Gómez – Periodista. UNLa. REDH Cap. Argentina
    144. Manuel Santos Iñurrieta – Teatro CCC. REDH Cap. Argentina
    145. Mara Espasande – UNLa Centro de Investigación Manuel Ugarte. REDH Cap. Argentina
    146. Marcelo Rodríguez – Sociólogo CEFMA. REDH Cap. Argentina
    147. Mariana Vazquez – Prof. UBA. REDH Cap. Argentina
    148. Marisa Duarte – IADE. REDH Cap. Argentina
    149. Matías Caciabue – Docente UNAHUR / Investigador CLAE. REDH Cap. Argentina
    150. Martín Ogando – Sociólogo. REDH Cap. Argentina
    151. Miguel Mazzeo – Docente e investigador UBA-UNLA. REDH Cap. Argentina
    152. Nicolás Canosa – Investigador CENACK. REDH Cap. Argentina
    153. Paola Gallo – Abogada Mopassol. REDH Cap. Argentina
    154. Paula Ferre – Cantautora. REDH Cap. Argentina
    155. Paula Giménez – Investigadora CLAE. REDH Cap. Argentina
    156. Sebastián Salgado – Docente UNLP / Hispan TV. REDH Cap. Argentina
    157. Silvina Romano – AEN-CCC / Investigadora de CONICET. REDH Cap. Argentina
    158. Tania Ferreira – Brasil, Voluntaria APDH. REDH Cap. Argentina
    159. Telma Luzzani – periodista y analista internacional. REDH Cap. Argentina
    160. Verónica Zapata – Psicóloga y profesora teatro, activista Boliviana. REDH Cap. Argentina
    161. Vivian Elem – periodista. REDH Cap. Argentina
    162. Ali Mustafa, periodista, Argentina
    163. Lucrecia Hernández, periodista, Argentina
    164. Lilián Galán, parlamentaria del Mercosur, Uruguay
    165. Cecilia Merchán, parlamentaria del Mercosur, Argentina
    166. Sebastián Sabini, parlamentario del Mercosur, Uruguay
    167. Diego Mansilla , parlamentario del Mercosur, Argentina
    168. Ricardo Oviedo, parlamentario del Mercosur, Argentina
    169. Luis Gallo, parlamentario del Mercosur, Uruguay
    170. Marcos Otheguy, Uruguay, parlamentario del Mercosur
    171. Julia Perié, parlamentaria del Mercosur, Argentina
    172. Perpetua Almeida, parlamentaria del Mercosur, Brasil
    173. Carlos Reutor, parlamentario del Mercosur, Uruguay
    174. Fernanda Gil Lozano, parlamentaria del Mercosur, Argentina
    175. Julio Sotelo, parlamentario del Mercosur, Argentina
    176. Cristian Bello, parlamentario del Mercosur, Argentina
    177. Ricardo Canese, parlamentario del Mercosur, Paraguay
    178. Mario Metaza, parlamentario del Mercosur, Argentina
    179. Yul Jabour, parlamentario del Mercosur, Venezuela
    180. William Perez, parlamentario del Mercosur, Venezuela
    181. Nelson Nicoletti, parlamentario del Mercosur, Argentina
    182. Fernanda Melchiona, parlamentaria del Mercosur, Brasil
    183. Roberto Chiazzaro, parlamentario del Mercosur, Uruguay
    184. Marcos Otheguy, senador de la República, Uruguay
    185. Charles Carrera, senador de la República, Uruguay
    186. Ruben Martínez Huelmo, senador de la República, Uruguay
    187. Juan Castillo, senador de la República, Uruguay
    188. Monica Xavier, senadora de la República, Uruguay
    189. Daysi Tourne, senadora de la República, Uruguay
    190. Patricia Ayala, senadora de la República, Uruguay
    191. Ivonne Pasada, senadora de la República, Uruguay
    192. Constanza Moreira, senadora de la República, Uruguay
    193. Leonardo de León, senador de la República, Uruguay
    194. Oscar de los Santos, diputado, Uruguay
    195. Darcy de los Santos, diputada, Uruguay
    196. Hermes Toledo, diputado, Uruguay
    197. Roberto Chiazzaro, diputado, Uruguay
    198. Susana Pereira, diputada, Uruguay
    199. Saul Aristimuño, diputado, Uruguay
    200. Luis Puig, diputado, Uruguay
    201. Catalina Correa, diputada, Uruguay
    202. Carlos Reutor, diputado, Uruguay
    203. Martín Tierno, Silvera, Uruguay
    204. Javier Umpierrez, Uruguay
    205. Jorge Meroni, diputado, Uruguay
    206. Enzo Malan, diputado, Uruguay
    207. Manuela Mutti, diputado, Uruguay
    208. Gabriela Barreiro, diputada, Uruguay
    209. Gonzalo Civila, diputado, Uruguay
    210. Luis Gallo, diputado, Uruguay
    211. Nelson Larzabal, diputado, Uruguay
    212. Oscar Groba, diputado, Uruguay
    213. Gerardo Nuñez, diputado, Uruguay
    214. Julio Batisttoni, diputado, Uruguay
    215. Cecilia Botino, diputada, Uruguay
    216. Lilian Galán, diputada, Uruguay
    217. Héctor Tajam, ex senador, Uruguay
    218. Juan Andrés Lagos, Relaciones Políticas del PC, Chile
    219. Eduardo Contreras, encargado de Relaciones Internacionales del PC, Chile
    220. Mónica Quilodran, responsable de Relaciones Internacionales del MIR, Chile
    221. Esteban Silva, Movimiento Socialismo Allendista (MDP), Chile
    222. Boris Barrera, Diputado del Partido Comunista, Chile
    223. Lautaro Carmona, Secretario General del PC, Chile
    224. Juan Gajardo, encardado de Organización del PC, Chile
    225. Juan Pablo Sanhueza, Secretario de Política Internacional del Partido Comunes (Frente Amplio), Chile
    226. Lucas Cifuentes, Secretario General de Convergencia Social (Frente Amplio), Chile
    227. Carmen Hertz, diputada, Chile
    228. Hugo Rocha, Universidad Católica del Norte, Chile
    229. Hugo Gutiérrez, diputado, Chile
    230. Mauricio Ballas, médico, Chile
    231. Correo del Alba, Bolivia  Carta abierta. Ecuador

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

     

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  • Municipales. « Brest à venir » avance ses premières propositions (LT.fr-14/10/19-15h32)Pierre-Yves Cadalen, tête de liste de La France insoumise pour les prochaines élections municipales à Brest.

    Peu après avoir annoncé la désignation de Pierre-Yves Cadalen comme tête de liste du mouvement pour les prochaines élections municipales, La France insoumise vient de passer une deuxième étape en dévoilant son programme au niveau local. Principales propositions à retenir : la gratuité des transports en commun et de la cantine scolaire ou encore le plafonnement des indemnités des élus et la possibilité de révoquer ces derniers.

    La liste « Brest à venir », portée par la France insoumise, est la première à entrer dans le détail de ses propositions pour les municipales de Brest, en mars prochain. Le candidat Pierre-Yves Cadalen et son équipe, qui réunissaient leurs sympathisants jeudi soir dernier au Vauban, souhaitent « démocratiser la ville, l’organiser autour de l’écologie sociale, défendre l’égalité sociale et les quartiers populaires, favoriser l’implication des Brestois ».

    Plafonner les indemnités des élus

    Il est notamment question « d’abolir les privilèges ». La liste souhaite ainsi « plafonner les indemnités du maire et du président de la métropole » en instaurant un barème maximum : « Pas plus de trois fois le salaire de l’agent le moins payé ». Elle prévoit aussi la possibilité de convoquer un référendum révocatoire, à partir de la mi-mandat, si une pétition réunit 5 % des inscrits sur les listes électorales. Elle souhaite aussi que soient publiés tous les rendez-vous des élus avec des représentants d’intérêt privé.

    Pour associer plus étroitement les habitants aux décisions de la collectivité, le budget participatif serait porté à 25 % du budget d’investissement de la ville d’ici la fin du mandat (contre 3 % aujourd’hui). Par ailleurs, les citoyens disposeraient d’un droit d’interpellation du conseil municipal.

    Les transports en commun gratuits

    Pour adapter la ville au changement climatique, Brest à venir promet de revenir sur la délégation de service public qui a accordé la gestion du réseau Bibus à RATP Dev en juillet dernier. Elle souhaite également instaurer la gratuité des transports en commun, et pour offrir une alternative à la voiture, elle envisage de créer une ligne de transport par bateau, du Relecq-Kerhuon au technopôle, avec des arrêts aux ports de plaisance et de commerce et à Sainte-Anne du Portzic.

    Pour lutter contre la précarité, elle avance plusieurs propositions, dont la cantine scolaire gratuite pour tous, la création d’emplois d’intérêt général pour les chômeurs de longue durée, un dispositif d’aides sociales pour qu’aucun Brestois ne vive en dessous du seuil de pauvreté, ou encore des tarifs sociaux pour l’accès à l’eau et à l’énergie. Un soutien renforcé aux associations de quartier et aux réseaux d’éducation populaire est aussi prévu. Sur la sécurité, pas de Police municipale, mais « des médiateurs scolaires et de rue, de jour comme de nuit, pour soulager le travail de la Police nationale ».

    source: https://www.letelegramme.fr/
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  • Rojava. Manifestation de soutien à Morlaix (LT.fr-12/10/19-17h50)

    Samedi 12 octobre, le collectif Rojava du Pays de Morlaix a organisé une manifestation en solidarité avec le Rojava. Une initiative soutenue par les mouvements locaux d’Europe écologie et La France insoumise. À midi, près d’une cinquantaine de personnes sont venues devant le kiosque à musique, place des Otages, écouter Laurent Baudry à l’initiative du collectif et Christine Prigent, d’Europe Ecologie Les Verts. Tous deux ont dénoncé l’opération déclenchée par le pouvoir turc à l’encontre des forces kurdes, après avoir lu un message de Michèle Rivasi, députée européenne EELV et du docteur Alexandre Koroglu, président de l’ONG kurde Soleil Rouge.

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Offensive turque. Une centaine de personnes en soutien aux Kurdes à Quimper (LT.fr-11/10/19-19h25)Une centaine de personnes se sont rassemblées, ce vendredi soir, place Terre-au-Duc. 

    Une centaine de personnes se sont rassemblées, ce vendredi en fin d’après-midi, place Terre-au-Duc, à l’appel de plusieurs associations et partis politiques, pour dénoncer l’incursion turque au Kurdistan syrien. Dans la foule, Mardin, un kurde irakien, réfugié depuis trois ans en France. Le jeune homme s’interroge toujours sur la raison du retrait des États-Unis de la région. Et du rôle de l’Europe : « C’est horrible ce qu’il se passe là-bas. Il faut que les pays européens se réunissent et prennent position », martèle-t-il, rappelant la longue histoire de persécution du peuple kurde.

    Un abandon des Kurdes intolérable pour la centaine de manifestants rassemblés sous une petite pluie. « Nous demandons un arrêt immédiat des bombardements et de l’invasion par les troupes terrestres. Ce n’est pas possible de laisser-faire, des mesures doivent être prises contre Erdogan », défend Gérard Mas, au nom du NPA.

    Il en appelle à ce que l’opinion publique « exige que nos gouvernements agissent de la façon la plus énergique » pour les Kurdes syriens et notamment ceux du Rojava soutenus jusque-là par les États-Unis dans la lutte contre Daesh. « D’ici la semaine prochaine, il y aura des centaines de morts », insiste-t-il pour souligner l’importance d’une réaction immédiate.

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  • Erdogan bas les pattes en Syrie – communiqué du PRCF …(IC.fr-10/10/19)

    Depuis le début des ingérences impérialistes en , le fascisant régime turc ne cesse de violer l’intégrité territoriale de la  tout en utilisant le théâtre d’opérations syrien pour  tenter de mater et d’écraser le peuple kurde de  et de .

    Malgré certaines déclarations hypocrites de Trump, il semble que le régime turc ait reçu le feu vert de l’impérialisme étasunien pour envahir la zone de Syrie contrôlée par les Kurdes. C’est doublement condamnable même s’il est clair que ceux qui ont cru pouvoir s’appuyer sur l’ingérence impérialiste en Syrie pour mener à terme leur projet d’autodétermination du Kurdistan se sont fait de lourdes illusions. Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes ne passe jamais par une subordination aux manigances impéralistes, et notamment de l’, dont la Turquie est un des principaux piliers, mais tout au contraire par la lutte unie contre l’impérialisme de toutes ses victimes. 

    En attendant, tant pour la future autodétermination des Kurdes dans le cadre de la lutte générale pour la souveraineté des peuples et pour le socialisme, que pour la défense de l’état syrien souverain et de son intégrité territoriale, sans parler du droit du peuple turc à la liberté et au socialisme, les militants franchement communistes condamnent catégoriquement l’intrusion brutale du régime d’Ankara.

     – 10 octobre 2019

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  • La Turquie attaque la Syrie et bombarde les Kurdes !Bombardement sur Ras Al Ayn le 9 octobre 2019

    Après d’intenses bombardements aériens et d’artillerie, l’armée turque et ses milices islamistes ont envahie la ville syrienne frontalière de Tal Abyad dans la nuit du 9 octobre 2019. La ville frontalière de Ras Al Ayn était également sous un bombardement violent, ainsi que des quartiers du centre ville de Al Qamishly contrôles par les kurdes. Ces bombardements ont déjà fait plusieurs morts civils, dont un enfant de 6 ans à Qamishly.

    Des raids aériens étaient menés contre Avn où se situe une partie du commandement des , à plus de 50 km à l’intérieur de la .

    Immédiatement l’agression turque s’accompagne d’attaques de l’Etat Islamique. Dans la ville de Raqqa, ainsi que dans un camps de prisonniers situés près de Al Hawl, ou des prisonniers se sont échappés.

    La Syrie a immédiatement annoncé qu’elle utiliserait tous les moyens légaux pour stopper l’invasion lancée par Erdogan, la Russie dénonçant l’attaque turque comme violant la souveraineté syrienne. L’Iran condamné à mots feutré l’intervention turque. Au sein de la ligue arabe, l’Egypte, la Jordanie et les émirats arabes unies condamnaient immédiatement l’attaque.

    En europe occidentale, les capitales française, allemande, britannique et italienne s’indignait, craignant que l’attaque turque menace les efforts conduits contre l’Etat Islamique. la France a saisi le conseil de sécurité de l’ONU. Pour autant le régime Macron n’a pas indiqué le sort réservés aux soldats français déployés sur le sol syrien dans le plus grand flou et le secret.

    De leur coté, les Etats Unis ne condamnent pas, le président américain Donald Trump se bornant a déclarer suivre la situation de près et croire en l’engagement de la  de respecter la protection des civils et des minorités… Un blanc seing donné à cette attaque illégale et violant le droit internationale. Un soutien à cet allié stratégique membre de l’OTAN.

    En France des manifestations pour la paix sont organisées. L'ARC29/PRCF 29 appelle la population et les ami.e.s de la paix a soutenir toutes les initiatives en vue du retrait des troupes turques de Syrie.

    HALTE A L'AGRESSION MILITAIRE

    RASSEMBLEMENTS POUR LE RETRAIT DES TROUPES TURQUES DU ROJAVA

    Quimper-Vendredi 11 octobre 2019 - 18h00-place Terre au Duc

    Morlaix- Samedi 12 Octobre 2019-12H-kiosque de la Mairie

    Brest-Samedi 19 octobre-14h30-place de la Liberté

     

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  • L’intersyndicale presque au complet menait le défilé

     

    À peine 150 personnes ont battu le pavé pour protester contre le futur projet de loi sur les retraites, ce mardi matin à Brest.

    Certes, huit rendez-vous différents étaient programmés dans le Finistère mais la mobilisation s’est avérée assez décevante, à Brest, ce mardi matin pour les organisateurs. La manifestation contre le projet de réforme des retraites tel qu’il semble se préparer a rassemblé 150 personnes tout au plus. Après les discours syndicaux, le cortège a commencé à remonter sur quelques centaines de mètres la rue Jean-Jaurès avant de tourner à gauche et descendre vers les services publics, à Sangnier notamment. « Les vieux dans la misère, les jeunes dans la galère, y en a assez, on n’en veut plus ! », lançait le mégaphone, suivi d’une foule presque silencieuse.

     
     

    D’autres rendez-vous probables

    D’autres rendez-vous sont à prévoir, sans doute le mardi 15 octobre. L’intersyndicale comprend neuf membres : la CGT Retraités, FO-UCR, CFTC Retraités, CFE-CGC Unir, FSU, Solidaires Retraités, FGR Fonction publique, l’association Loisirs solidarité et retraités, ainsi qu’Ensemble et solidaires. Plusieurs fédérations (organismes sociaux, santé et fonction publique) appelaient aussi à ce rassemblement. Cela n’a pas suffi à mobiliser. Peut-être que cela sera davantage le cas quand le projet de loi aura été dévoilé.

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  • Quimper-Retraites. Ils réclament un rattrapage de leur pouvoir d’achat (LT.fr-8/10/19-19H46)Cent soixante-dix retraités ont défilé, ce mardi, dans les rues du centre-ville.

     

    À l’appel de neuf syndicats et associations, 170 retraités ont défilé, ce mardi, dans les rues du centre-ville de Quimper. Ils réclament un rattrapage de leur pouvoir d’achat.

     

    « On nous annonce une revalorisation des retraites pour l’an prochain. Mais on ne sait pas ce que le gouvernement prévoit pour 2021 alors que le coût des mutuelles augmente et que la sécurité sociale rembourse de moins en moins. On ne voit pas le bout du tunnel », s’inquiète Marie-Andrée Barbet (Force ouvrière). Les retraités sont descendus dans la rue dans sept villes du Finistère, à l’occasion d’une journée nationale d’actions pour réclamer l’annulation de la hausse de la CSG pour tous les retraités et le rattrapage de leur pouvoir d’achat. À Quimper, 170 d’entre eux ont marché sur les quais, s’arrêtant à la préfecture pour y déposer leur motion.

     
     

    Une faible participation que les syndicats expliquent par le revirement du gouvernement, revenu en partie et à deux reprises sur la hausse de la CSG. Également par la hausse annoncée des pensions dans le cadre du projet de loi de finances de la sécurité sociale : les pensions inférieures à 2 000 € bénéficieraient d’une hausse égale au 1,3 % d’inflation annoncé. « Ce serait un point de marqué », admet Daniel Edelin, membre du bureau de l’union syndicale CGT des retraités du Finistère.

    « Le gâteau sera à partager »

    Oui mais voilà, en dépit des explications du gouvernement, le projet de loi Darmanin sur la réforme des retraites inquiète les retraités. « En France, les retraites représentent 13,8 % du PIB. Le gouvernement veut s’y tenir. Mais si aujourd’hui nous sommes 16 millions de retraités, en 2025 nous serons 17 ou 18 millions. Le gâteau sera à partager », craint le représentant de la CGT, plaidant en faveur d’un plafond à 15 % du PIB, tel que recommandé par l’Europe.

    Une inquiétude partagée par l’ensemble des neuf organisations syndicales et associations de retraités, mobilisées depuis cinq ans au sein d’une intersyndicale. Dans les rangs des manifestants, les retraités dénoncent une politique qui divise les Français : « Macron, il baisse les cotisations des actifs et parle de solidarité quand il faut taxer les retraites ».

    L’injustice, les retraités de la fonction publique la voient également dans le projet de régime unique des retraites, eux qui bénéficiaient de pensions à hauteur de 75 % du salaire des six derniers mois de leur carrière. Un privilège ? Sûrement pas pour Michelle Lollier. Et la représentante de la fédération générale des retraités de la fonction publique d’évoquer son début de carrière dans l’Éducation nationale : « Ceux qui étaient recrutés par l’industrie touchaient le double de mon salaire à formation égale ». L’intersyndicale n’est visiblement pas prête à baisser les bras.

    Jean LE BORGNE

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Finistère. La réorganisation des services sociaux en cinq questions (OF.fr-8/10/19-7h03)Lors de la session du conseil départemental, lundi 7 octobre 2019, le syndicat CGT a attaché une banderole pour manifester contre la réorganisation des services sociaux.

    Le syndicat CGT a manifesté, lundi 7 octobre 2019, pendant la session du conseil départemental. Pourquoi ?

    Le Département réorganise ses services chargés de l’action sociale, qui comprennent notamment les centres départementaux d’action sociale. Cette réorganisation est nommée Rop, pour revue des organisations et des processus des territoires d’action sociale. Les CDAS sont fréquentés

    , chaque année, par  200 000 Finistériens , fait savoir Nathalie Sarrabezolles, présidente du conseil départemental.

    L’action sociale départementale comprend, notamment, le suivi et l’accompagnement des mineurs confiés, la prévention en matière d’enfance en danger, la protection maternelle et infantile, le RSA, l’action sociale de proximité ou encore l’allocation personnalisée d’autonomie (Apa).

    Pourquoi réorganiser ces services ?

     Pour répondre toujours mieux aux attentes et aux besoins des Finistériens , répond Nathalie Sarrabezolles. Selon elle, la Rop était nécessaire du fait du « désengagement ou du manque de moyens de certains partenaires » comme l’État.  Nous devons sanctuariser les moyens de l’action sociale , conclut la présidente du conseil départementale. Parmi les mesures : la création d’une plateforme départementale de recherche de places en établissements et familles d’accueil, ou encore la simplification des processus pour l’Allocation personnalisée d’autonomie.

    Qu’est-ce qui cloche avec cette réforme ?

    Les syndicats sont vent debout contre cette Rop. Lundi 7 octobre 2019, la CGT a déployé des banderoles dans l’enceinte du conseil départemental pour la contester. Avant l’été, déjà, plusieurs manifestations avaient eu lieu. L’intersyndicale (CFDT, CGT, FO) revendique  l’arrêt de la spécialisation des missions et le maintien des missions généralistes, des effectifs suffisants ou encore le remplacement des absences, même pendant les congés .

    Des postes vont-ils être supprimés ?

     Aucun poste de l’action sociale ne sera supprimé , promet Nathalie Sarrabezolles.  Nous ne fermerons aucune antenne de centre départemental d’action sociale, ajoute-t-elle. Nous ne recherchons pas la productivité mais l’efficacité. 

     

    La Rop, dont le processus est toujours en cours, doit être mise en place « l’année prochaine », annonce la présidente du Département.

    source: https://www.ouest-france.fr/

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