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C’est peut être révolution en Equateur, et les médias français des milliardaires censurent ce qui s’y passe. Pour couvrir les violences du régime traîtres aux urnes qui lui avaient donné mandat pour mener une politique de gauche alors que le président Moreno a trahi pour mener une politique de droite dure. Pour couvrir qu’en Amérique Latine, le peuple équatorien a peut être sonné le moment de la relance du processus révolutionnaire.
Cela n’a pas empéché une manifestation de soutien à Paris.
La révolution des fainéants, c’est comme cela que les equatoriens avec humour nomment la révolution qu’ils sont en train de mener pour chasser le régime Moreno du pouvoir. Révolution des fainéants car c’est de fainéants que le président Moreno a oser traiter son peuple qui s’est mis en grève générale pour refuser l’augmentation du prix de l’essence de … 100% et toute un série de mesure austéritaire imposée par le décret 883, en application des ordres du FMI et de Washington.
12 jours de gréve générale et de manifestations, des milliers des manifestants dans les rues de Quito, des mobilisations dans toutes les villes du pays et un président en fuite à Guayaquil, la ville bastion de la droite et de la bourgeoisie équatorienne.
Devant les protestations pacifiques, le président Moreno a d’abord décidé de placer le pays sous état d’exception avec la mise en place d’un état d’urgence.
Dans la nuit de dimanche, il vient de placer, par décret n° 893, le pays sous la loi martiale, avec un couvre feu intégral à Quito, la capitale, et le déploiement de l’armée dans les rues. Les vols sont interrompus à l’aéroport internationale de Quito, les rues barrées et des hommes en armes et uniformes occupent les rues et tirent sur les manifestants.
Cela n’a pas réussi à empêcher une manifestation tout le long de l’avenue Amazonas qui s’étend sur plusieurs kilomètres du nord au sud de Quito, avec une marche des femmes contre le décret 893 et ses mesures d’austérité. Avec un slogan largement repris dans le pays “fuera Moreno fuera”. Dégage Moreno dégage.
Le collectif des peuples indigènes, la CONAI, qui est l’un des initiateurs des manifestations pacifiques, a réaffirmé son ouverture au dialogue avec le président élu. Mais la réponse qu’il a reçue n’est pour l’instant que la violence et la répression. L’ONU annonce une initiative de dialogue, mais on peut se demander quel dialogue il peut y avoir avec un régime tel que celui de Moreno/FMI qui envoie la troupe contre le peuple.
Plus de 1121 manifestants ont officiellement été arrêtes, 76% étant relâchés par la suite car il n’y avait aucune accusation contre eux, des arrestations politiques. Il y a au moins 937 blessés par la répression et le régime a sur les mains en à peine 12 jours 7 morts.
Le parti communiste équatorien appelle au départ du régime Moreno.
La commission inter américaine des droits de l’homme des Nations Unies (UNICHR) a publié samedi une déclaration soutenant le dialogue demandé par les communautés et peuples indigènes et appelant l’Equateur a garantir le droit de manifester et condamnant l’usage disproportionné de la force par la police.
Malgré le couvre feu, les protestations se poursuivent à Quito, avec notamment de tonitruants concerts de casseroles.
JBC
Un appel international de personnalités latino américaines a été lancée en soutien au peuple équatorien.
Des parlementaires, des artistes, des intellectuels, des journalistes, des anciens présidents, des citoyens d’Amérique latine et du monde entier se mobilisent pour appeler la communauté internationale à se pencher sur ce qui se passe en Équateur, à témoigner sa solidarité avec le peuple de ce pays et à exhorter à son gouvernement de manière respectueuse à la recherche d’une solution démocratique à la crise.
Lettre ouverte
pour surmonter la crise en Equateur
La répression et l’autoritarisme de l’État de ces derniers jours doivent cesser. Il n’est pas digne d’un gouvernement élu démocratiquement de trahir les principes avec lesquels il est arrivé au pouvoir. Il n’est ni humain ni honnête d’accuser de vandales et de criminels ceux qui protestent légitimement pour voir leurs droits violés. Il n’est pas juste, ni pour les uns ni pour les autres, de diviser le pays en deux : les mesures d’ajustement dictées par des organisations telles que le Fonds monétaire international (FMI) affectent des sociétés entières sur tous les continents de la planète. S’opposer à celles-ci est juste, légitime et nécessaire en Equateur et partout dans le monde.
La rencontre politique et sociale dans laquelle se trouve ce pays frère ne sera pas résolue avec davantage de verouillage gouvernemental, ni par l’omission de la réalité par une certaine presse, ni par l’emprisonnement ou l’exil des dirigeants de l’opposition. La violence du gouvernement générera plus de violence et c’est l’État, qui a le monopole de l’usage de la force, qui doit faire le premier pas vers la réconciliation et le cessez-le-feu.
Selon l’article 148 de la Constitution équatorienne, il existe une sortie institutionnelle et démocratique: le Président Lénine Moreno Garcés est habilité à dissoudre l’Assemblée nationale “en raison d’une grave crise politique et de troubles internes” et à permettre ainsi de convoquer “dans un délai maximum de sept jours après la publication du décret de dissolution, le Conseil électoral national (peut convoquer) pour la même date aux élections législatives et présidentielles… ». Sans faire de cette lettre une “exigence” et dans le respect du droit des peuples à l’autodétermination, les soussignés invitent les autorités à épuiser toutes les ressources possibles pour réaliser la paix sociale et trouver une solution démocratique et institutionnelle au conflit. crise que traverse le pays.
Enfin, nous disons au peuple équatorien: toute notre solidarité, notre admiration et notre amour en ces temps difficiles. Nous sommes avec vous comme nous l’avons été et le serons toujours. Tant qu’il y aura de la dignité, il y aura de l’espoir.
Atentamente
- Martín Torrijos, ex presidente de Panamá
- Ernesto Samper, ex presidente de Colombia
- Fernando Lugo, ex presidente de de Paraguay
- Jorge Sharp, Alcalde de Valparaíso, Chile.
- Daniel Caggiani, Presidente del Parlamento del Mercosur, Uruguay
- Jean-Luc Mélenchon, ex candidato a la presidencia, Francia.
- Marco Enríquez Ominami, ex candidato a la presidencia, Chile
- Verónika Mendoza, ex candidata a la presidencia, Perú
- Gustavo Petro, ex candidato a la presidencia, Colombia.
- Leonardo Boff, intelectual y escritor, Brasil
- Emir Sader, intelectual y escritor, Brasil
- Marcelo Coulon, músico del grupo Inti-Illimani, Chile
- Enrique Dussel, filósofo e intelectual, México
- Alberto Anaya, Presidente del Partido del Trabajo, México
- Martí Batres, senador ex presidente del Senado de la República, México
- Citlali Herná Senadora de la República y vicepresidenta de la mesa directiva de la Asamblea Parlamentaria Euro-Latinoamericana, México
- Héctor Díaz-Polanco, intelectual y escritor, Mé
- Carlos Margotta T., Presidente de la Comisión Chilena de Derechos Humanos, Chile
- Claudia Pascual, ex Ministra de la Mujer y Equidad de Género del gobierno de Michelle Bachelet, Chile
- Guillermo Teillier, Presidente del Partido Comunista, Chile
- Carol Kariola, diputada, Chile.
- Camilo Sánchez, Presidente de las Juventudes Comunistas de Chile
- Jorge Ramírez Flores, Secretario General del Partido Comunes (Frente Amplio), Chile
- Camilo Lagos, Presidente Nacional del Partido Progresista, Chile.
- Guillermo González, Presidente del Partido Igualdad, Chile.
- Alejandro Navarro, senador, Chile.
- Coordinadora Nacional de Migrantes de Chile
- Antonio Ortega Gutiérrez, secretario general Frente Amplio, Costa Rica
- Alejandro Sánchez, diputado y ex presidente de la Cámara de Diputados, Uruguay
- Atilio Borón, intelectual y escritor, Argentina
- Néstor Kohan, filósofo, Argentina
- Araceli Ferreyra. secretaria de la Comisión de Relaciones Exteriores de la Cámara de Diputados, Argentina
- Nilda Garré, diputada nacional y ex embajadora de Argentina en la ONU
- Piedad Córdoba, ex senadora de la República, Colombia
- María Alejandra Díaz, Presidenta de la comisión de Derechos Humanos de la Asamblea Constituyente, Venezuela
- Pedro Miguel, periodista y escritor, México
- John Ackerman, catedrático UNAM, México
- Blanca Montoya, académica, México
- Patricia Ortíz Couturier, Alcaldesa de Magdalena Contreras, Ciudad de México
- Félix Salgado Macedonio, Senador de la República, México
- Jesusa Rodríguez, Senadora de la República, México
- Casimiro Méndez, Senador de la República, México
- Alejandra Leon Gastelum, Senadora de la República, México
- Lilia Margarita Valdéz, Senadora de la República, México
- Antares Vázquez Alatorre, Senadora de la República, México
- Ana Lilia Rivera, Senadora de la República, México
- José Luis Pech, Senador de la República, México
- Malú Micher, Senadora de la República, México
- Imelda Castro, Senadora de la República, México
- Gricelda Valencia de la Mora, Senadora de la República, México
- Anibal Ostoa, Senador de la República, México
- María Merced González, Senadora de la República, México
- Daniel Gutiérrez Castorena, Senador de la República, México
- Lucy Meza, Senadora de la República, México
- José Narro Céspedes, Senador de la República, México
- Guadalupe Covarrubias, Senadora de la República, México
- Martha Guerrero, Senadora de la República, México
- Alejandro Peña, Senador de la República, México
- Diego Eduardo Del Bosque, diputado federal, México
- Alejandro Viedma Velázquez, diputado federal, México
- Lidia Nallely Vargas Hernandez, diputada federal, México
- Pedro Daniel Abasolo Sánchez, diputado federal, México
- Dorheny Cayetano, diputada federal, México
- Celeste Ascencio, diputada federal, México
- Óscar Rafael Novella Macías, diputado federal, México
- Lizeth Guerra Méndez, diputada federal, México
- Edgar Guzmán Valdez, diputado federal, México
- Cuauhtli Badillo, diputado federal, México
- Gabriela Osorio Hernández, diputada del Congreso de la Ciudad de México
- Circe Camacho, diputada del Congreso de la Ciudad de México
- Vladimir Parra, diputado del Congreso de Colima, México
- Katu Arkonada, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Bolivia
- Omar González, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Cuba
- Carmen Bohórquez, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Venezuela
- Florencia Lagos Neumann, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Chile
- Paula Klachko, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Argentina
- Stella Calloni, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Argentina
- Fernando Buen Abad, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Argentina
- Pablo Sepulveda Allende, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Chile
- Javiera Olivares, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Chile
- María Nela Prada, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Bolivia
- Marilia Guimaraes, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Brasil
- Gabriela Cultelli, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Uruguay
- Nadia Bambirra, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Brasil
- Ángel Guerra Cabrera, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Cuba
- Antonio Elias, Secretaría Ejecutiva de la Red de Intelectuales en Defensa de la Humanidad, Uruguay
- Sergio Tejada, ex congresista, Perú
- Marissa Glave, ex congresista, Perú
- Carlos Raimundi, Instituto Patria, Argentina
- Jorge Kreyness, Responsable de Relaciones Internacionales del Partido Comunista , Argentina
- Héctor “Gallego” Fernández, Secretario General del Peronismo Militante, Argentina
- Liliana Mazure, diputada nacional, Argentina
- Patricia Vaca Narvaja, ex embajadora de Argentina en México.
- Estela Díaz. Argentina, Central de Trabajadores de Argentina (CTA)
- Yamile Socolovsky. Central de Trabajadores de Argentina (CTA)
- Judith Said. Argentina, coordinadora Instituto Patria, Argentina
- Graciela Morgade, decana de la Facultad de Filosofía y Letras de Universidad de Buenos Aires, Argentina
- María Higonet, ex vicepresidenta del Parlamento Eurolat
- Silvia Horne. Argentina, diputada nacional, Argentina
- Adela Segarra, ddiputada nacional, Argentina
- Víctor Ríos, historiador, REDH Cap. Catalunya
- Hugo Moldiz, intelectual, REDH Cap. Bolivia
- Arantxa Tirado, politóloga, REDH Cap. Barcelona
- Sergio Arria, comunicador venezolano y argentino, REDH Cap. Argentina
- Abril García Mur, militante feminista, FUTURA. REDH Cap. Argentina
- Aldana Martino, FUTURA. REDH Cap. Argentina
- Alejo Brignole, escritor. REDH Cap. Argentina
- Amilcar Salas Oroño, politologo. REDH Cap. Argentina
- Ana Maria Ramb , escritora. REDH Cap. Argentina
- Andrea Vlahusic, abogada Mopassol. REDH Cap. Argentina
- Aurelio Narvaja – Editorial Colihue. REDH Cap. Argentina
- Beatriz Rajland – Directora FICYP / ATTAC. REDH Cap. Argentina
- Carlos Aznarez – Director Resumen Latinoamericano. REDH Cap. Argentina
- Cynthia García – Periodista. REDH Cap. Argentina
- Daniel Campione – Investigador FICYP /Prof. UBA y UNLP. REDH Cap. Argentina
- Daniel Devita – músico rapero cantautor. REDH Cap. Argentina
- Daniel Feipeler – Lic. Informática. REDH Cap. Argentina
- Edgado Esteban – Periodista. REDH Cap. Argentina
- Ernesto Mattos – Economista CCC. REDH Cap. Argentina
- Gabo Sequeira – Cantautor. REDH Cap. Argentina
- Gabriel Merino – Director CEFIPES. REDH Cap. Argentina
- Germán Leyens – Filósofo. REDH Cap. Argentina
- Guillermo Wierzba – Economista. REDH Cap. Argentina
- Héctor Bernardo – periodista. REDH Cap. Argentina
- Héctor Hussein – Teatro Comunitario Pompapetriyasos. REDH Cap. Argentina
- Ibán Díaz Parra – AEN-CCC. REDH Cap. Argentina
- Javier Calderón – CELAG / CCC / Investigador IEALC-UBA. REDH Cap. Argentina
- Javier Tolcachier – Centro Humanista Córdoba. REDH Cap. Argentina
- Jimmy Herrera – Artista. Carta Abierta. REDH Cap. Argentina
- Jorge Elbaum – Sociólogo, Director Llamamiento Judío de la Argentina. REDH Cap. Argentina
- Jorge Rachid – Médico. REDH Cap. Argentina
- José Seoane – Instituto Tricontinental. REDH Cap. Argentina
- Juan Francisco Martínez Peria – Historiador, AEN-CCC. REDH Cap. Argentina
- Juan López – CEFMA. REDH Cap. Argentina
- Juliana Marino – Ex embajadora argentina en Cuba. REDH Cap. Argentina
- Julio Ferrer – Escritor. REDH Cap. Argentina
- Julio Gambina – Presidente FISyP y Director IEF-CTA Autónoma. REDH Cap. Argentina
- Laura Capote – ALBA Movimientos. REDH Cap. Argentina
- Laura Vásquez – Cineasta y Documentalista. REDH Cap. Argentina
- Lautaro Rivara – Sociólogo CECS – brigadista en Haití. REDH Cap. Argentina
- Liliana Demirdjian – Socióloga docente UBA-UNSAM. REDH Cap. Argentina
- Luis Wainer – Docente UNAHUR/ Coordinador AEN-CCC. REDH Cap. Argentina
- Magalí Gómez – Periodista. UNLa. REDH Cap. Argentina
- Manuel Santos Iñurrieta – Teatro CCC. REDH Cap. Argentina
- Mara Espasande – UNLa Centro de Investigación Manuel Ugarte. REDH Cap. Argentina
- Marcelo Rodríguez – Sociólogo CEFMA. REDH Cap. Argentina
- Mariana Vazquez – Prof. UBA. REDH Cap. Argentina
- Marisa Duarte – IADE. REDH Cap. Argentina
- Matías Caciabue – Docente UNAHUR / Investigador CLAE. REDH Cap. Argentina
- Martín Ogando – Sociólogo. REDH Cap. Argentina
- Miguel Mazzeo – Docente e investigador UBA-UNLA. REDH Cap. Argentina
- Nicolás Canosa – Investigador CENACK. REDH Cap. Argentina
- Paola Gallo – Abogada Mopassol. REDH Cap. Argentina
- Paula Ferre – Cantautora. REDH Cap. Argentina
- Paula Giménez – Investigadora CLAE. REDH Cap. Argentina
- Sebastián Salgado – Docente UNLP / Hispan TV. REDH Cap. Argentina
- Silvina Romano – AEN-CCC / Investigadora de CONICET. REDH Cap. Argentina
- Tania Ferreira – Brasil, Voluntaria APDH. REDH Cap. Argentina
- Telma Luzzani – periodista y analista internacional. REDH Cap. Argentina
- Verónica Zapata – Psicóloga y profesora teatro, activista Boliviana. REDH Cap. Argentina
- Vivian Elem – periodista. REDH Cap. Argentina
- Ali Mustafa, periodista, Argentina
- Lucrecia Hernández, periodista, Argentina
- Lilián Galán, parlamentaria del Mercosur, Uruguay
- Cecilia Merchán, parlamentaria del Mercosur, Argentina
- Sebastián Sabini, parlamentario del Mercosur, Uruguay
- Diego Mansilla , parlamentario del Mercosur, Argentina
- Ricardo Oviedo, parlamentario del Mercosur, Argentina
- Luis Gallo, parlamentario del Mercosur, Uruguay
- Marcos Otheguy, Uruguay, parlamentario del Mercosur
- Julia Perié, parlamentaria del Mercosur, Argentina
- Perpetua Almeida, parlamentaria del Mercosur, Brasil
- Carlos Reutor, parlamentario del Mercosur, Uruguay
- Fernanda Gil Lozano, parlamentaria del Mercosur, Argentina
- Julio Sotelo, parlamentario del Mercosur, Argentina
- Cristian Bello, parlamentario del Mercosur, Argentina
- Ricardo Canese, parlamentario del Mercosur, Paraguay
- Mario Metaza, parlamentario del Mercosur, Argentina
- Yul Jabour, parlamentario del Mercosur, Venezuela
- William Perez, parlamentario del Mercosur, Venezuela
- Nelson Nicoletti, parlamentario del Mercosur, Argentina
- Fernanda Melchiona, parlamentaria del Mercosur, Brasil
- Roberto Chiazzaro, parlamentario del Mercosur, Uruguay
- Marcos Otheguy, senador de la República, Uruguay
- Charles Carrera, senador de la República, Uruguay
- Ruben Martínez Huelmo, senador de la República, Uruguay
- Juan Castillo, senador de la República, Uruguay
- Monica Xavier, senadora de la República, Uruguay
- Daysi Tourne, senadora de la República, Uruguay
- Patricia Ayala, senadora de la República, Uruguay
- Ivonne Pasada, senadora de la República, Uruguay
- Constanza Moreira, senadora de la República, Uruguay
- Leonardo de León, senador de la República, Uruguay
- Oscar de los Santos, diputado, Uruguay
- Darcy de los Santos, diputada, Uruguay
- Hermes Toledo, diputado, Uruguay
- Roberto Chiazzaro, diputado, Uruguay
- Susana Pereira, diputada, Uruguay
- Saul Aristimuño, diputado, Uruguay
- Luis Puig, diputado, Uruguay
- Catalina Correa, diputada, Uruguay
- Carlos Reutor, diputado, Uruguay
- Martín Tierno, Silvera, Uruguay
- Javier Umpierrez, Uruguay
- Jorge Meroni, diputado, Uruguay
- Enzo Malan, diputado, Uruguay
- Manuela Mutti, diputado, Uruguay
- Gabriela Barreiro, diputada, Uruguay
- Gonzalo Civila, diputado, Uruguay
- Luis Gallo, diputado, Uruguay
- Nelson Larzabal, diputado, Uruguay
- Oscar Groba, diputado, Uruguay
- Gerardo Nuñez, diputado, Uruguay
- Julio Batisttoni, diputado, Uruguay
- Cecilia Botino, diputada, Uruguay
- Lilian Galán, diputada, Uruguay
- Héctor Tajam, ex senador, Uruguay
- Juan Andrés Lagos, Relaciones Políticas del PC, Chile
- Eduardo Contreras, encargado de Relaciones Internacionales del PC, Chile
- Mónica Quilodran, responsable de Relaciones Internacionales del MIR, Chile
- Esteban Silva, Movimiento Socialismo Allendista (MDP), Chile
- Boris Barrera, Diputado del Partido Comunista, Chile
- Lautaro Carmona, Secretario General del PC, Chile
- Juan Gajardo, encardado de Organización del PC, Chile
- Juan Pablo Sanhueza, Secretario de Política Internacional del Partido Comunes (Frente Amplio), Chile
- Lucas Cifuentes, Secretario General de Convergencia Social (Frente Amplio), Chile
- Carmen Hertz, diputada, Chile
- Hugo Rocha, Universidad Católica del Norte, Chile
- Hugo Gutiérrez, diputado, Chile
- Mauricio Ballas, médico, Chile
- Correo del Alba, Bolivia Carta abierta. Ecuador
source: https://www.initiative-communiste.fr/
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Pierre-Yves Cadalen, tête de liste de La France insoumise pour les prochaines élections municipales à Brest.
Peu après avoir annoncé la désignation de Pierre-Yves Cadalen comme tête de liste du mouvement pour les prochaines élections municipales, La France insoumise vient de passer une deuxième étape en dévoilant son programme au niveau local. Principales propositions à retenir : la gratuité des transports en commun et de la cantine scolaire ou encore le plafonnement des indemnités des élus et la possibilité de révoquer ces derniers.
La liste « Brest à venir », portée par la France insoumise, est la première à entrer dans le détail de ses propositions pour les municipales de Brest, en mars prochain. Le candidat Pierre-Yves Cadalen et son équipe, qui réunissaient leurs sympathisants jeudi soir dernier au Vauban, souhaitent « démocratiser la ville, l’organiser autour de l’écologie sociale, défendre l’égalité sociale et les quartiers populaires, favoriser l’implication des Brestois ».
Plafonner les indemnités des élus
Il est notamment question « d’abolir les privilèges ». La liste souhaite ainsi « plafonner les indemnités du maire et du président de la métropole » en instaurant un barème maximum : « Pas plus de trois fois le salaire de l’agent le moins payé ». Elle prévoit aussi la possibilité de convoquer un référendum révocatoire, à partir de la mi-mandat, si une pétition réunit 5 % des inscrits sur les listes électorales. Elle souhaite aussi que soient publiés tous les rendez-vous des élus avec des représentants d’intérêt privé.
Pour associer plus étroitement les habitants aux décisions de la collectivité, le budget participatif serait porté à 25 % du budget d’investissement de la ville d’ici la fin du mandat (contre 3 % aujourd’hui). Par ailleurs, les citoyens disposeraient d’un droit d’interpellation du conseil municipal.
Les transports en commun gratuits
Pour adapter la ville au changement climatique, Brest à venir promet de revenir sur la délégation de service public qui a accordé la gestion du réseau Bibus à RATP Dev en juillet dernier. Elle souhaite également instaurer la gratuité des transports en commun, et pour offrir une alternative à la voiture, elle envisage de créer une ligne de transport par bateau, du Relecq-Kerhuon au technopôle, avec des arrêts aux ports de plaisance et de commerce et à Sainte-Anne du Portzic.
Pour lutter contre la précarité, elle avance plusieurs propositions, dont la cantine scolaire gratuite pour tous, la création d’emplois d’intérêt général pour les chômeurs de longue durée, un dispositif d’aides sociales pour qu’aucun Brestois ne vive en dessous du seuil de pauvreté, ou encore des tarifs sociaux pour l’accès à l’eau et à l’énergie. Un soutien renforcé aux associations de quartier et aux réseaux d’éducation populaire est aussi prévu. Sur la sécurité, pas de Police municipale, mais « des médiateurs scolaires et de rue, de jour comme de nuit, pour soulager le travail de la Police nationale ».
source: https://www.letelegramme.fr/
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Samedi 12 octobre, le collectif Rojava du Pays de Morlaix a organisé une manifestation en solidarité avec le Rojava. Une initiative soutenue par les mouvements locaux d’Europe écologie et La France insoumise. À midi, près d’une cinquantaine de personnes sont venues devant le kiosque à musique, place des Otages, écouter Laurent Baudry à l’initiative du collectif et Christine Prigent, d’Europe Ecologie Les Verts. Tous deux ont dénoncé l’opération déclenchée par le pouvoir turc à l’encontre des forces kurdes, après avoir lu un message de Michèle Rivasi, députée européenne EELV et du docteur Alexandre Koroglu, président de l’ONG kurde Soleil Rouge.
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Une centaine de personnes se sont rassemblées, ce vendredi soir, place Terre-au-Duc.
Une centaine de personnes se sont rassemblées, ce vendredi en fin d’après-midi, place Terre-au-Duc, à l’appel de plusieurs associations et partis politiques, pour dénoncer l’incursion turque au Kurdistan syrien. Dans la foule, Mardin, un kurde irakien, réfugié depuis trois ans en France. Le jeune homme s’interroge toujours sur la raison du retrait des États-Unis de la région. Et du rôle de l’Europe : « C’est horrible ce qu’il se passe là-bas. Il faut que les pays européens se réunissent et prennent position », martèle-t-il, rappelant la longue histoire de persécution du peuple kurde.
Un abandon des Kurdes intolérable pour la centaine de manifestants rassemblés sous une petite pluie. « Nous demandons un arrêt immédiat des bombardements et de l’invasion par les troupes terrestres. Ce n’est pas possible de laisser-faire, des mesures doivent être prises contre Erdogan », défend Gérard Mas, au nom du NPA.
Il en appelle à ce que l’opinion publique « exige que nos gouvernements agissent de la façon la plus énergique » pour les Kurdes syriens et notamment ceux du Rojava soutenus jusque-là par les États-Unis dans la lutte contre Daesh. « D’ici la semaine prochaine, il y aura des centaines de morts », insiste-t-il pour souligner l’importance d’une réaction immédiate.
source: https://www.letelegramme.fr/
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Depuis le début des ingérences impérialistes en Syrie, le fascisant régime turc ne cesse de violer l’intégrité territoriale de la Syrie tout en utilisant le théâtre d’opérations syrien pour tenter de mater et d’écraser le peuple kurde de Syrie et de Turquie.
Malgré certaines déclarations hypocrites de Trump, il semble que le régime turc ait reçu le feu vert de l’impérialisme étasunien pour envahir la zone de Syrie contrôlée par les Kurdes. C’est doublement condamnable même s’il est clair que ceux qui ont cru pouvoir s’appuyer sur l’ingérence impérialiste en Syrie pour mener à terme leur projet d’autodétermination du Kurdistan se sont fait de lourdes illusions. Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes ne passe jamais par une subordination aux manigances impéralistes, et notamment de l’OTAN, dont la Turquie est un des principaux piliers, mais tout au contraire par la lutte unie contre l’impérialisme de toutes ses victimes.
En attendant, tant pour la future autodétermination des Kurdes dans le cadre de la lutte générale pour la souveraineté des peuples et pour le socialisme, que pour la défense de l’état syrien souverain et de son intégrité territoriale, sans parler du droit du peuple turc à la liberté et au socialisme, les militants franchement communistes condamnent catégoriquement l’intrusion brutale du régime d’Ankara.
Commission internationale du PRCF – 10 octobre 2019
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Bombardement sur Ras Al Ayn le 9 octobre 2019
Après d’intenses bombardements aériens et d’artillerie, l’armée turque et ses milices islamistes ont envahie la ville syrienne frontalière de Tal Abyad dans la nuit du 9 octobre 2019. La ville frontalière de Ras Al Ayn était également sous un bombardement violent, ainsi que des quartiers du centre ville de Al Qamishly contrôles par les kurdes. Ces bombardements ont déjà fait plusieurs morts civils, dont un enfant de 6 ans à Qamishly.
Des raids aériens étaient menés contre Avn où se situe une partie du commandement des YPG, à plus de 50 km à l’intérieur de la Syrie.
Immédiatement l’agression turque s’accompagne d’attaques de l’Etat Islamique. Dans la ville de Raqqa, ainsi que dans un camps de prisonniers situés près de Al Hawl, ou des prisonniers se sont échappés.
La Syrie a immédiatement annoncé qu’elle utiliserait tous les moyens légaux pour stopper l’invasion lancée par Erdogan, la Russie dénonçant l’attaque turque comme violant la souveraineté syrienne. L’Iran condamné à mots feutré l’intervention turque. Au sein de la ligue arabe, l’Egypte, la Jordanie et les émirats arabes unies condamnaient immédiatement l’attaque.
En europe occidentale, les capitales française, allemande, britannique et italienne s’indignait, craignant que l’attaque turque menace les efforts conduits contre l’Etat Islamique. la France a saisi le conseil de sécurité de l’ONU. Pour autant le régime Macron n’a pas indiqué le sort réservés aux soldats français déployés sur le sol syrien dans le plus grand flou et le secret.
De leur coté, les Etats Unis ne condamnent pas, le président américain Donald Trump se bornant a déclarer suivre la situation de près et croire en l’engagement de la Turquie de respecter la protection des civils et des minorités… Un blanc seing donné à cette attaque illégale et violant le droit internationale. Un soutien à cet allié stratégique membre de l’OTAN.
En France des manifestations pour la paix sont organisées. L'ARC29/PRCF 29 appelle la population et les ami.e.s de la paix a soutenir toutes les initiatives en vue du retrait des troupes turques de Syrie.
HALTE A L'AGRESSION MILITAIRE
RASSEMBLEMENTS POUR LE RETRAIT DES TROUPES TURQUES DU ROJAVA
Quimper-Vendredi 11 octobre 2019 - 18h00-place Terre au Duc
Morlaix- Samedi 12 Octobre 2019-12H-kiosque de la Mairie
Brest-Samedi 19 octobre-14h30-place de la Liberté
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L’intersyndicale presque au complet menait le défilé
À peine 150 personnes ont battu le pavé pour protester contre le futur projet de loi sur les retraites, ce mardi matin à Brest.
Certes, huit rendez-vous différents étaient programmés dans le Finistère mais la mobilisation s’est avérée assez décevante, à Brest, ce mardi matin pour les organisateurs. La manifestation contre le projet de réforme des retraites tel qu’il semble se préparer a rassemblé 150 personnes tout au plus. Après les discours syndicaux, le cortège a commencé à remonter sur quelques centaines de mètres la rue Jean-Jaurès avant de tourner à gauche et descendre vers les services publics, à Sangnier notamment. « Les vieux dans la misère, les jeunes dans la galère, y en a assez, on n’en veut plus ! », lançait le mégaphone, suivi d’une foule presque silencieuse.
D’autres rendez-vous probables
D’autres rendez-vous sont à prévoir, sans doute le mardi 15 octobre. L’intersyndicale comprend neuf membres : la CGT Retraités, FO-UCR, CFTC Retraités, CFE-CGC Unir, FSU, Solidaires Retraités, FGR Fonction publique, l’association Loisirs solidarité et retraités, ainsi qu’Ensemble et solidaires. Plusieurs fédérations (organismes sociaux, santé et fonction publique) appelaient aussi à ce rassemblement. Cela n’a pas suffi à mobiliser. Peut-être que cela sera davantage le cas quand le projet de loi aura été dévoilé.
source: https://www.letelegramme.fr/
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Cent soixante-dix retraités ont défilé, ce mardi, dans les rues du centre-ville.
À l’appel de neuf syndicats et associations, 170 retraités ont défilé, ce mardi, dans les rues du centre-ville de Quimper. Ils réclament un rattrapage de leur pouvoir d’achat.
« On nous annonce une revalorisation des retraites pour l’an prochain. Mais on ne sait pas ce que le gouvernement prévoit pour 2021 alors que le coût des mutuelles augmente et que la sécurité sociale rembourse de moins en moins. On ne voit pas le bout du tunnel », s’inquiète Marie-Andrée Barbet (Force ouvrière). Les retraités sont descendus dans la rue dans sept villes du Finistère, à l’occasion d’une journée nationale d’actions pour réclamer l’annulation de la hausse de la CSG pour tous les retraités et le rattrapage de leur pouvoir d’achat. À Quimper, 170 d’entre eux ont marché sur les quais, s’arrêtant à la préfecture pour y déposer leur motion.
Une faible participation que les syndicats expliquent par le revirement du gouvernement, revenu en partie et à deux reprises sur la hausse de la CSG. Également par la hausse annoncée des pensions dans le cadre du projet de loi de finances de la sécurité sociale : les pensions inférieures à 2 000 € bénéficieraient d’une hausse égale au 1,3 % d’inflation annoncé. « Ce serait un point de marqué », admet Daniel Edelin, membre du bureau de l’union syndicale CGT des retraités du Finistère.
« Le gâteau sera à partager »
Oui mais voilà, en dépit des explications du gouvernement, le projet de loi Darmanin sur la réforme des retraites inquiète les retraités. « En France, les retraites représentent 13,8 % du PIB. Le gouvernement veut s’y tenir. Mais si aujourd’hui nous sommes 16 millions de retraités, en 2025 nous serons 17 ou 18 millions. Le gâteau sera à partager », craint le représentant de la CGT, plaidant en faveur d’un plafond à 15 % du PIB, tel que recommandé par l’Europe.
Une inquiétude partagée par l’ensemble des neuf organisations syndicales et associations de retraités, mobilisées depuis cinq ans au sein d’une intersyndicale. Dans les rangs des manifestants, les retraités dénoncent une politique qui divise les Français : « Macron, il baisse les cotisations des actifs et parle de solidarité quand il faut taxer les retraites ».
L’injustice, les retraités de la fonction publique la voient également dans le projet de régime unique des retraites, eux qui bénéficiaient de pensions à hauteur de 75 % du salaire des six derniers mois de leur carrière. Un privilège ? Sûrement pas pour Michelle Lollier. Et la représentante de la fédération générale des retraités de la fonction publique d’évoquer son début de carrière dans l’Éducation nationale : « Ceux qui étaient recrutés par l’industrie touchaient le double de mon salaire à formation égale ». L’intersyndicale n’est visiblement pas prête à baisser les bras.
Jean LE BORGNE
source: https://www.letelegramme.fr/
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Lors de la session du conseil départemental, lundi 7 octobre 2019, le syndicat CGT a attaché une banderole pour manifester contre la réorganisation des services sociaux.
Le syndicat CGT a manifesté, lundi 7 octobre 2019, pendant la session du conseil départemental. Pourquoi ?
Le Département réorganise ses services chargés de l’action sociale, qui comprennent notamment les centres départementaux d’action sociale. Cette réorganisation est nommée Rop, pour revue des organisations et des processus des territoires d’action sociale. Les CDAS sont fréquentés
, chaque année, par
200 000 Finistériens
, fait savoir Nathalie Sarrabezolles, présidente du conseil départemental.L’action sociale départementale comprend, notamment, le suivi et l’accompagnement des mineurs confiés, la prévention en matière d’enfance en danger, la protection maternelle et infantile, le RSA, l’action sociale de proximité ou encore l’allocation personnalisée d’autonomie (Apa).
Pourquoi réorganiser ces services ?
Pour répondre toujours mieux aux attentes et aux besoins des Finistériens
, répond Nathalie Sarrabezolles. Selon elle, la Rop était nécessaire du fait du « désengagement ou du manque de moyens de certains partenaires » comme l’État.Nous devons sanctuariser les moyens de l’action sociale
, conclut la présidente du conseil départementale. Parmi les mesures : la création d’une plateforme départementale de recherche de places en établissements et familles d’accueil, ou encore la simplification des processus pour l’Allocation personnalisée d’autonomie.Qu’est-ce qui cloche avec cette réforme ?
Les syndicats sont vent debout contre cette Rop. Lundi 7 octobre 2019, la CGT a déployé des banderoles dans l’enceinte du conseil départemental pour la contester. Avant l’été, déjà, plusieurs manifestations avaient eu lieu. L’intersyndicale (CFDT, CGT, FO) revendique
l’arrêt de la spécialisation des missions et le maintien des missions généralistes, des effectifs suffisants ou encore le remplacement des absences, même pendant les congés
.Des postes vont-ils être supprimés ?
Aucun poste de l’action sociale ne sera supprimé
, promet Nathalie Sarrabezolles.Nous ne fermerons aucune antenne de centre départemental d’action sociale
, ajoute-t-elle.Nous ne recherchons pas la productivité mais l’efficacité.
La Rop, dont le processus est toujours en cours, doit être mise en place « l’année prochaine », annonce la présidente du Département.
source: https://www.ouest-france.fr/
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