• Communiqué de la Commission Internationale

    du PRCF

    Solidarité de combat avec le Venezuela bolivarien et le président démocratiquement élu, Nicolas Maduro ! (IC.fr-23/01/2019)

    A l’heure où la subversion fasciste tente un coup d’état contre le président MADURO, nous exprimons notre solidarité de combat avec le Venezuela engagé depuis 1998 et l’élection d’Hugo CHÁVEZ dans un processus progressiste et patriotique que le PRCF a toujours soutenu.

    Ce processus a provoqué la vindicte de l’oligarchie capitaliste et latifundiaire du pays et celle de l’impérialisme étasunien et de ses laquais en Amérique Latine comme en Europe.

    vient de reconnaitre comme président du Venezuela le chef de l’opposition oligarchique et fasciste, actuel président de l’assemblée nationale, Juan GUAIDO, qui s’est auto-proclamé président. Le boucher de Washington a été suivi par ses chiens de garde, BOLSONORA, le président fasciste du Brésil, et les gouvernements du Canada, du Pérou et de la Colombie.

    Nous mettons en garde l’Exécutif français et l’UE contre tout alignement sur Washington qui entraînerait, pour MACRON et l’UE, une honte ineffaçable.

    Cette tentative de coup d’Etat est évidement orchestrée par Washington. 

    Le Venezuela bolivarien a riposté : le président Maduro a annoncé la rupture des relations diplomatiques avec les Etats-Unis et d’immenses manifestations de soutien à Maduro et au processus  .”L’unique transition au Venezuela est celle vers le socialisme“, a déclaré mardi Diosdado Cabello, le président de l’Assemblée constituante.

    La situation reste très préoccupante car le chef de la “diplomatie” étasunienne, Mike Pompeo, appelle explicitement Nicolas Maduro à « céder la place ». Les menaces d’intervention militaire des impérialistes secondés par le Brésil fasciste et ses exécuteurs d’Amérique Latine se précisent.

    Il est impératif que toutes les forces attachées à la souveraineté des peuples, à l’indépendance nationale et au progrès social expriment ensemble leur solidarité militante au Venezuela bolivarien.

    Chaque heure compte.

    Le PRCF propose une pétition soutenue par les forces patriotiques et progressistes de notre pays, politiques et syndicales, exprimant le soutien des travailleurs et de notre peuple à la République Bolivarienne du Venezuela, à son peuple et à son président, Nicolas MADURO !


    Intervention de l’Ambassadeur du Venezuela en France, Michel MUJICA, ce mercredi 23 janvier 2019, sur la chaîne RT France

    SOURCE: https://www.initiative-communiste.fr/

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  • La liquidation de l’Éducation Nationale pour sa privatisation est En Marche. Après la “réforme des collèges” c’est la “réforme des lycées” et la casse des diplômes nationaux avec la réforme du Bac faisant suite à la sélection à l’entrée de l’Université avec “Parcoursup”. Tous ces mauvais coup sont liés. Ils visent d’une part à permettre la suppression de milliers de postes d’enseignants alors que le nombre d’élèves et d’étudiants ne cessent d’augmenter. D’autre part à renforcer le morcellement d’un des principaux services publics de la République, l’Éducation Nationale, pour permettre d’en lancer la privatisation. Tout cela est la même déclinaison du processus lancé sous l’égide de la stratégie de Barcelone par l’Union Européenne du Capital pour libéraliser et ouvrir aux profits capitalistes ce vaste “marché” qui lui est actuellement globalement fermé en France, celui de l’Éducation. Qui plus est les diplômes nationaux sont la base des conventions collectives, des statuts de la fonction publique, c’est-à-dire des droits collectifs et des grilles de salaires. Plus de diplômes nationaux, c’est la fin des grilles de salaires minimum par branche, la fin des protections, des droits collectifs pour plus d’exploitation de chaque ouvrier et employé se retrouvant seul face à un patron tout puissant. Le combat pour défendre l’Éducation Nationale concerne évidemment chaque jeune, chaque parent, mais également chaque travailleur. Et c’est pourquoi dans son nouveau numéro de Conseil de classe, le bulletin de la commission Éducation du PRCF, les militants communistes appellent au tous ensemble et en même temps.

    Le principal syndicat de l’enseignement secondaire, le SNES avec une large intersyndicale (les organisations lycéennes UNL et FIDL et syndicales CGT Éduc’action – SNEP, SNUEP, SNETAP de la FSU – Sud Éducation – SNCL FAEN – CGT AGRI, SIES – Apses), appelle à la grève le 24 janvier.


    Téléchargez, partagez, imprimez et diffusez le tract : Conseil de Classe Janvier 2018

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

     

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  • Pour explorer, avec toutes celles et tous ceux qui sont décidé-es à sortir le travail de la folie anthropologique du capital, des chemins nouveaux, communistes, d’un travail qui ait sens, centré sur le travail vivant, dans la coopération et hors de toute subordination.

    Le weekend s'articule en des temps différents, afin de garantir du rythme et la possibilité d'échanger, pas uniquement d'écouter :
    une Conférence Gesticulée le vendredi soir
    des conférences, ateliers, débats, rencontre avec le mouvement paysan les samedi et dimanche (voir le programme dans les images associées à cet événement)

    Attention, deux lieux différents : Le Maquis et le PL Guérin

    Une précédente conférence de Bernard Friot ayant fait salle comble au PL Guérin, si vous le souhaitez, vous pouvez vous inscrire en nous contactant par mail ou messenger.

    Pour plus d'infos sur Bernard Friot, n'hésitez pas à surfer le web !

    > > PROGRAMME DU WEEK-END < <

    /// VENDREDI 25 JANVIER ///

    20h30 - au PL Guérin
    "Je veux décider du travail jusqu'à ma mort"
    Conférence gesticulée de Bernard Friot


    /// SAMEDI 26 JANVIER ///

    A partir de 9h30 au PL Guérin

    10h - Le travail et la sécurité sociale
    Conférence de Bernard Friot
    Suivi d'un débat - question - échange

    12h30 - Repas de quartier et contes sur le travail

    14h30 - Débat mouvant

    15h - Atelier paysannerie
    Atelier avec la ferme de Kermarzin et des paysans du finistère

    18h - Réseau Salariat et Bernard Friot rendent visite au Maquis autour de la création Jeanne Dark Maquis
    Quelles similitudes et quelles différences entre la crise de 29 et la crise actuelle
    Agora / lecture à partir de l'oeuvre de Bertolt Brecht "Sainte Jeanne des Abattoirs"
    ATTENTION : ça se passe au Maquis !


    /// DIMANCHE 27 JANVIER ///

    A partir de 9h - au PL Guérin
    10h - La place de l'Etat dans la société du salaire à vie
    Débat

    11h30 - Réseau Salariat une association anticapitaliste : qu'en est-il des autres dominations : le sexisme
    Atelier

    14h - Parler du salaire à vie
    Atelier

    16h - Salaire à vie : y arriver grâce au syndicalisme
    Atelier

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  • Ajoutée le 20 janv. 2019
    Marie Laure, enseignante, dont l'enfant vient de perdre un œil, s'adresse à monsieur Macron C’est avec émotion et sous le choc que j’ai filmé ma maman suite à la tentative de meurtre sur mon frère, qui s’en sort « par chance » (je pense à toutes les autres victimes de cette violence disproportionnée) avec la perte de son œil gauche (ça aurait pu être pire). Nous tenons à remercier Edmond, Greg et les autres sur places, pour leur soutien et dévouement. Nous tenons à remercier les pompiers qui lui ont porté secours et l’équipe soignante qui l’a pris en charge. Nous vous demandons de bien vouloir partager en masse cette vidéo. Le combat continue, mais un autre commence... Mon frère, ce héros ♥️ https://www.facebook.com/audrey.leroy...
     
     
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  • 300 gilets jaunes sont partis du rond-point de Chicago jusqu’à celui de Kervidanou, en silence.300 gilets jaunes sont partis du rond-point de Chicago jusqu’à celui de Kervidanou, en silence

    Ce lundi, environ 300 gilets jaunes se sont rassemblés au rond-point de Kervidanou, en soutien au jeune Quimperlois, blessé à l’œil samedi dernier, lors de l’acte X, à Rennes. Une manifestation pour pointer du doigt les violences policières. Virginie, street medic, a secouru le jeune homme sur zone : elle livre son témoignage.

    Ni filtrage, ni blocage, ni klaxon, ce lundi après-midi, aux abords du rond-point de Kervidanou : le silence a régné. Gilet jaune revêtu, œil gauche maquillé de rouge : ils étaient environ 300 à venir adresser leur soutien au jeune homme de 27 ans, Gwendal, blessé samedi lors de la manifestation du mouvement à Rennes. « Stop aux violences policières », « Stop aux mutilations », « Liberté, égalité, fraternité » : si la marche a été silencieuse, les pancartes brandies étaient parlantes. Et le message n’a pas été véhiculé à demi-mot : les photographies des blessées des manifestions, hissées en l’air, dominaient le parcours. Dans un froid sec, ils sont partis du rond-point de Chicago jusqu’à celui de Kervidanou. Mains fermement tenues les unes aux autres, les gilets jaunes ont fait une chaîne humaine tout autour du carrefour. Lorsque quelques voitures de passage klaxonnent, certains gilets jaunes s’agacent : « Tournez vos pancartes vers la route pour que les automobilistes comprennent que nous sommes ici pour Gwendal ». Mutisme de mise, c’est la voix de la maman du jeune homme qui s’élève de la sono : le message enregistré et mis en ligne par la famille sur les réseaux sociaux fait écho. Dans le calme, les manifestants ont entamé plusieurs tours de ronds-points, sans jamais empêcher les véhicules de circuler, et sont repartis vers le rond-point de Chicago, où ils sont désormais basés.

    « Je ne comprends pas pourquoi la police a tiré »

    Le jeune homme, gravement blessé au visage lors des manifestations dans la capitale de Bretagne, est hospitalisé depuis samedi à Pontchaillou. C’est le groupement Street Medic Escorte Sécurité Gilets Jaunes (groupement civil de professionnels des domaines du médical et de la sécurité) qui lui est venu en aide. « Les secours ne peuvent pas se déplacer sur zone quand le climat est trop tendu, nous avons donc créé un groupe de personnes pour apporter les premiers soins lors des manifestions et assurer un cordon de sécurité en attendant l’arrivée des pompiers et ambulanciers », explique Virginie, membre. Le groupe, créé par des gilets jaunes, n’est plus estampillé par la couleur du soleil : « Des personnes extérieures nous ont rejointes, qui se sentent concernées et veulent apporter leurs compétences ».

    À peine huit le 12 janvier à Saint-Brieuc, ils étaient 25 à Rennes le 19 : « On était tous sur place, ça gazait dans tous les sens. On s’est réfugié à 100 m dans un café, puis c’est redevenu très calme pendant au moins 20 minutes. J’ai vu ce jeune venir dans notre direction. Il ne portait ni casque, ni masque (contrairement à d’autres), il n’avait que son gilet jaune et portait une tenue classique. Puis, nous avons entendu la détonation, et les cris ». Une infirmière du groupement rejoint immédiatement le gilet jaune à terre : « L’œil était délogé. Nous avons mis une compresse en attendant les secours ». La femme a déjà assisté à pareilles scènes : « Mais là, je ne comprends pas pourquoi la police a tiré. C’était un moment calme, on ne s’y attendait pas. ». Pour l’heure, le parquet, saisi du dossier, ne souhaite pas communiquer.

    Pauline DECKER

    Source: https://www.letelegramme.fr/finistere/quimperle/gilets-jaunes-marche-silencieuse-en-soutien-au-quimperlois-blesse-21-01-2019-12188894.php

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  • Gilets jaunes Quimperlé, soutien à Gwendal Leroy, blessé à Rennes, samedi 19 janvier.Gilets jaunes Quimperlé, soutien à Gwendal Leroy, blessé à Rennes, samedi 19 janvier

    Ce lundi 21 janvier, à Quimperlé (Finistère), près de 300 Gilets jaunes ont manifesté leur opposition aux violences et leur soutien à Gwendal Leroy. Ce jeune Gilet jaune querriennois a été grièvement blessé, samedi 19 janvier, lors de la manifestation à Rennes.

    « Gwendal est sous le choc. Il ne comprend pas » , assure sa tante, Armelle, discrète mais présente sur le rond-point de Kervidanou, à Quimperlé (Finistère), aux côtés de près de 300 Gilets jaunes venus du pays de Quimperlé et au-delà, pour manifester leur opposition aux violences et soutenir le jeune homme.

    Gwendal, blessé à l’œil

    Le rond-point de Soweto est devenu le rond-point de Gwendal, sous le regard de la tante du jeune homme blessé.

    Samedi 19 janvier, Gwendal Leroy, un jeune Gilet jaune du pays de Quimperlé âgé de 27 ans, a été grièvement blessé à Rennes, lors de la manifestation. Il a perdu son œil gauche. « J’ai un neveu résistant, courageux, plein d’humour. Ce n’est pas un méchant, reprend sa tante.   On attend qu’il nous revienne. Il faudra qu’il apprenne à vivre avec un œil. Comme dit Gwen, on continue. »

    Elle regarde le rond-point fraîchement rebaptisé rond-point de Gwendal par les manifestants et assure : « Ça me touche de voir ça. »

    Certains Gilets jaunes du pays de Quimperlé avaient maquillé leur œil gauche.

    Enquête en cours

    À Rennes, l’enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes qui ont provoqué la blessure du jeune homme. Sa mère devait déposer plainte ce lundi 21 janvier à Rennes, avant de revenir à Lorient avec son fils. La bande-son de sa vidéo postée sur les réseaux sociaux a été diffusée ce même jouer à Quimperlé. Tandis que les 300 manifestants s’étaient installés tout autour, les uns à côté des autres.

    Gilets jaunes Quimperlé, soutien à Gwendal Leroy, blessé à Rennes lundi 19 janvier.

    300 Gilets jaunes solidaires

    Les Gilets jaunes du pays de Quimperlé s’étaient donné rendez-vous à 16 h 30. Un premier groupe s’est formé au rond-point de Chicago, avant de rejoindre un deuxième groupe, à celui de Soweto. Ensemble, ils ont effectué un premier tour de rond-point, avant de prendre position tout autour.

    Dans la galerie E. Leclerc

    Vers 17 h, le défilé s’est dirigé vers la ville. Là aussi, un groupe a emprunté la rue de Pont-Aven et l’autre a coupé par Kergoaler. Les deux se sont rejoints au centre commercial E. Leclerc où ils ont pénétré vers 17 h 40, pour rester quelques minutes dans la galerie, avant de ressortir. En chantant : « Emmanuel Macron, on vient te chercher chez toi. »

    Retour à Kervidanou

    Les manifestants ont ensuite repris le chemin de Kervidanou où le défilé s’est lentement disloqué.

    Béatrice GRIESINGER

    source: https://www.ouest-france.fr/bretagne/quimperle-29300/quimperle-300-gilets-jaunes-pour-soutenir-gwendal-leroy-6186434

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  • Italie. Un migrant de 14 ans retrouvé noyé avec son bulletin scolaire cousu dans sa veste (OF.fr-21/01:19-6h56)L'épave du navire qui a fait naufrage le 18 avril 2015, entraînant la mort de plus d'un millier de migrants, dont un Malien de 14 ans qui rêvait d'un monde meilleur.

    Il était malien. Il avait 14 ans. Il est mort noyé voici quatre ans, mais on vient de découvrir qu’il transportait avec lui, soigneusement cousu dans sa veste, son bulletin de notes.

    Il portait sur lui une doudoune, un gilet, une chemise et un jean. Il portait surtout en lui la promesse d’un monde meilleur. D’une vie meilleure. Un jeune garçon de 14 ans est mort noyé, voici quatre ans, lors du terrible naufrage en Méditerranée qui avait fait plus d’un millier de victimes le 18 avril 2015. Toutes des migrants venus chercher refuge en Europe.

    Parmi eux, ce petit Malien dont le nom est resté inconnu. Mais qui restera dans les mémoires pour avoir cousu son bulletin scolaire à l’intérieur de sa veste. Sans doute avait-il l’intention de montrer ainsi aux autorités de son pays d’accueil la qualité de ses notes. Et le bien-fondé de sa demande d’asile.

    « Que des dix ! Quelle perle rare ! »

    Son histoire a été révélée grâce à un livre, « Naufragés sans visages », écrit par Cristina Cattaneo, médecin légiste qui identifie les corps des migrants disparus en mer. « Avec quelles attentes ce jeune adolescent du Mali avait, avec tant de soin, caché ce document si précieux pour son futur, qui montrait ses qualités, ses aptitudes scolaires, dont il pensait qu’il lui ouvrirait les portes d’une école italienne ou européenne, et désormais réduit à quelques pages imbibées d’eau ? » écrit Cristina Cattaneo. 

    Cette tragédie a inspiré le dessinateur de presse italien Makkox, qui a publié cet hommage dans les pages du quotidien milanais Il Foglio : « Que des dix ! s’exclame la pieuvre en regardant le carnet de notes. Quelle parle rare ! »

    source: https://www.ouest-france.fr/

     

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