• Pont-l'Abbé-Gilets jaunes. Cent vingt personnes à la réunion (LT.fr-13/01/19-20h20)En fin de réunion, une minute de silence a été respectée en hommage aux Gilets jaunes décédés, au jeune Pont-l’Abbiste de 21 ans tué samedi dans un accident de voiture, ainsi qu’aux pompiers ayant perdu la vie à Paris. 

    Après plusieurs réunions à Pont-l’Abbé, Plonéour-Lanvern et Plozévet, les Gilets jaunes du Pays bigouden ont invité la population à échanger, ce dimanche après-midi, autour du Référendum d’initiative citoyenne (Ric) et de la justice fiscale. Quelque 120 personnes étaient présentes au Patronage laïque de Pont-l’Abbé.

    Le mouvement continue, dans le Pays bigouden. Au lendemain de l’acte IX où « chacun a fait selon ses disponibilités », c’est devant la mairie, dès la fin de matinée, que ça se passait, puisqu’à l’invitation de Yann sur les réseaux sociaux, six Gilets jaunes ont stationné, l’espace d’une demi-heure, devant l’Hôtel de ville.

    Le but ? « Christophe Castaner a dit qu’il n’y avait pas beaucoup de Gilets jaunes, relate ce dernier. Alors, l’idée, c’est de passer devant chaque mairie et de s’y faire photographier. Puisque pour Christophe Castaner, les chiffres sont si importants, il n’aura qu’à compter, un à un, les Gilets jaunes sur les photos ! ».

    "On est parti de quatre devant les impôts
    et voilà où on en est aujourd’hui !"

    Le gros événement était l’après-midi, au Patronage laïque, où les Gilets jaunes proposaient à la population de les rejoindre, dès 14 h, pour évoquer, notamment, le Référendum d’initiative citoyenne (Ric). « Nous avons présenté la Ve République, les différentes formes de référendums dans le monde puis le Ric, relève Mehdi, temporaire référent du mouvement bigouden. Nous avons présenté les pour et les contre et, surtout, nous n’avions pas la prétention, n’étant pas des spécialistes, de faire quelque chose de très pointu ». S’en est suivi un débat d’une heure et demie. La fraude, l’exil et l’optimisation, l’égalité et les hausses des salaires et pensions ont été au cœur du débat sur la justice fiscale, l’exemple du PDG de Renault, Carlos Ghosn en étendard.

    Les nombreuses chaises de la salle communale ont failli ne pas suffire, devant l’affluence, à savoir 120 personnes, dont une dizaine seulement en veste réfléchissante. « On est parti de quatre devant les impôts et voilà où on en est aujourd’hui ! », sourient Bernez et Fredo.

    Une poignée d’élus pont-l’abbistes étaient également présents, de même que certaines personnes, affiliées à des partis politiques, des syndicats et des associations militantes. « Chacun vient sans étiquette, parce qu’il le souhaite », fait remarquer Mehdi, très vite interpellé, lors de la pause, par une dame qui souhaite parler des jeunes Gilets jaunes et de ceux qui cassent. Réponse directe, avec le sourire : « Ici, les Gilets jaunes cassent la croûte ! C’est tout ce qu’ils cassent ».

    Une rencontre au rond-point de Kermaria le 18 janvier

    Les actions ne vont pas s’arrêter. Comme annoncé la semaine passée, les Gilets jaunes vont continuer à assurer une présence sur le rond-point de Kermaria ainsi que devant le Centre des finances publiques. Le rendez-vous est pris pour un après-midi sur le même modèle, dans les quinze jours à venir. Les dates et lieux seront communiqués une fois fixés.

    En attendant, les Gilets jaunes devraient rencontrer la députée Liliana Tanguy ainsi que le sénateur Michel Canévet, le 18 janvier. Les 5 et 6 janvier, ils s’étaient en effet invités aux vœux des communes de Combrit-Sainte-Marine et de Plonéour-Lanvern dans l’espoir de fixer un entretien et de leur remettre leurs revendications. Accordé ! « La rencontre n’aura pas lieu à la permanence de Liliana Tanguy car seule une délégation de cinq Gilets jaunes pouvait être reçue et cela ne nous convient pas, note Mehdi. Nous les invitons donc à venir nous rejoindre au rond-point de Kermaria à l’heure qu’ils le souhaitent ». En cas de mauvais temps, un repli à la Maison des associations, que les Gilets jaunes ont réservée, est prévu.

     
    en complément

    Cahier de doléances. Pont-l’Abbé s’y met

    Les premiers cahiers de doléances ont fait leur apparition dans le Pays bigouden, début décembre, à l’invitation de l’Association des maires ruraux de France. Voire avant, comme à Tréméoc, où la mairie s’est dotée d’un cahier avant les manifestations. Une soixantaine de cahiers ont été remis par Nadine Kersaudy, présidente de l’Association des maires ruraux du Finistère à Liliana Tanguy, vendredi. Une soixantaine, dont ceux des cinq communes bigoudènes qui sont Saint-Jean-Trolimon, Guiler-sur-Goyen, Tréguennec, Treffiagat-Léchiagat et Plonéour-Lanvern. Une sixième se lance désormais, à savoir Pont-l’Abbé. Depuis le 11 janvier, également, un cahier de doléances est disponible à l’accueil de la mairie.

    Hélène CAROFF

    source: https://www.letelegramme.fr/finistere/pont-labbe/gilets-jaunes-cent-vingt-personnes-a-la-reunion-13-01-2019-12181789.php

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  • Plus de quatre de débat ont eu lie entre des citoyens venus de tout le département, à Pont-l'Abbé, dimanche 13 janvier 2019

    Dimanche 13 janvier 2019, les Gilets jaunes du Pays bigouden avaient convié tous ceux qui le souhaitaient à un grand débat participatif autour de trois thèmes : le référendum d’initiative citoyenne, la justice fiscale et la justice sociale.

    Dès 14 h, la salle du Patronage laïque était comble. Et ce, grâce au grand débat participatif proposé par les Gilets jaunes du Pays bigouden. Les échanges ont été nourris tout l’après-midi par un flot d’interventions pertinentes.

    Les citoyens

    présents ? Des gens venus du Pays bigouden mais aussi de Scaër, de Quimper, Brest, parfois de plus loin. Des élus également, dont quatre de Pont-l’Abbé, impliqués depuis le début du mouvement.De nombreuses problématiques ont été abordées, sur le ton de la protestation.

    « Le pouvoir n’appartient plus au peuple »

    Sur le fond, le besoin de s’exprimer et de dénoncer les injustices est tel que sont très vite apparues des propositions fortes. « Il faut multiplier les assemblées populaires de ce type » ; « le pouvoir n’appartient plus au peuple, il doit trouver les moyens de le reprendre », pouvait-on entendre çà et là.

    Parmi les nombreuses revendications : la prise en compte du vote blanc, une vraie démocratie participative et la crainte que le grand débat national annoncé ne soit « qu’un simple enfumage des citoyens ».

    Pour beaucoup de personnes présentes, « ce sont les fondements constitutionnels qui doivent être repensés ».

    Le fait est certain, le mouvement des Gilets jaunes continue et semble bel et bien s’amplifier. « Montrons-nous, dit l’un d’eux, aux carrefours, lors des réunions et des rassemblements, montrons-leur notre détermination d’être des citoyens à part entière. »

    source: https://www.ouest-france.fr/bretagne/pont-labbe-29120/pont-l-abbe-gilets-jaunes-le-mouvement-s-amplifie-6169849

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  • Ce 10 janvier, malgré les menaces des régimes à la botte de Washington menaçant de coup d’état le , suite au vote démocratique et souverain du peuple venezuelien, le président réélu du  Nicolas  débutera son second mandat, conformément à la constitution du pays.

    Venezuela : Nicolas Maduro débute son nouveau mandat présidentiel avec le soutien du PC du Venezuela (IC.fr- 10/01/19)

    Le Parti Communiste Venezuelien soutien Nicolas Maduro

    Venezuela : Nicolas Maduro débute son nouveau mandat présidentiel avec le soutien du PC du Venezuela (IC.fr- 10/01/19)

    Le Parti Communiste du Venezuela (PCV) condamne les agressions du soi-disant groupe de Lima contre le Venezuela. Les communistes réaffirment leurs soutien à la défense de la souveraineté du Venezuela et à son Président Nicolas Maduro

    “Le PCV rejette fermement le document publié par le soi-disant Grupo de Lima, un document qui viole toutes les règles du droit international de tous les pays”, déclare Yul Jabour , chef du secrétariat propagande,agitation du Comité central du Parti communiste.

    Vendredi dernier, le groupe de Lima, une coalition formée de gouvernements de droite d’Amérique Latine, a publié une déclaration dans laquelle ils rejettent le nouveau mandat du président Nicolás Maduro qui débutera le 10 janvier et exhortent renverser ce dernier.

    Yul Jabour souligne que face à ces attaques, le PCV “réaffirme son engagement à défendre la patrie pour œuvrer à la grande unité anti-impérialiste”.

    Le Parti communiste accompagnera Nicolás Maduro, le 10 janvier, pour son serment qui ouvrira la nouvelle période constitutionnelle 2019-2025.

    source: https://www.initiative-communiste.fr

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  • Ajoutée le 24 mai 2018
     
    Un an après la déferlante macroniste, l’ancien secrétaire d’État au Budget Christian Eckert a décidé de prendre la plume, comme François Hollande il y a un mois et demi. Dans un livre intitulé Un ministre ne devrait pas dire ça… et publié aujourd’hui aux Editions Robert Laffont, il raconte comment son ex-collègue à Bercy, Emmanuel Macron, a monté avec ses réseaux une opération commando vers l’Élysée. Sur le plateau d’Axel de Tarlé, Christian Eckert analyse l’histoire d’un crash politique, celui du parti socialiste, qui a conduit Emmanuel Macron au pouvoir.  
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  • Ils n’étaient pas venus à Paris, Bordeaux, Toulouse, et tant d’autres villes, pour en découdre avec les forces de l’ordre. Ils étaient venus pour défendre leurs vies menacées, dégradées par la précarité, mises en joue par un pouvoir prêt à faire les poches de leurs parents retraités comme de leurs enfants étudiants, afin de valoriser le patrimoine financier des plus riches. Ils étaient venus pour protéger leurs droits fondamentaux, et aussi une certaine conception de la justice sociale, qui a longtemps fait l’honneur de la France.

    La stratégie de la tension, délibérément choisie par le pouvoir, ne leur a pas laissé la chance d’une protestation pacifique. Gazage, nassage et brimades en tout genre, puis au fil des semaines, matraquages, tirs de flashballs et grenades mutilantes, pour la première fois de leur existence, beaucoup de « Gilets jaunes » ont été confrontés à des brutalités policières indignes d'une démocratie, que des organisations comme Amnesty international ont elles-mêmes dénoncées. 

    On ne compte désormais plus le nombre de manifestants, au casier vierge, mis en garde à vue, condamnés en comparution immédiate, ou aujourd’hui en instance de jugement. Certains connaîtront la prison, qui détruit, qui humilie. D’autres ne retrouveront jamais d’emploi. Un grand nombre d’entre eux verront leurs vies brisées à jamais. Nous ne pouvons accepter qu’une protestation contre une politique massivement rejetée par la population détruise ainsi des êtres pris pour boucs émissaires. Nous ne pouvons accepter qu’un pouvoir, qui a sciemment fait le choix de la confrontation, se serve d’eux pour intimider tout un peuple. Nous ne pouvons accepter l’idée d’une vengeance d’Etat.

    C’est pourquoi nous appelons le Président de la République, Emmanuel Macron, et son Premier Ministre, Edouard Philippe, à mettre à l’ordre du jour une loi d’amnistie en faveur des hommes et des femmes aujourd’hui persécutés, mis en examen, ou détenus pour avoir participé à ce mouvement social d’ampleur historique. C’est pourquoi nous appelons dès aujourd’hui à l’arrêt des procédures en cours, à l’effacement des peines prononcées, et à ce qu’une réponse enfin politique, et pas seulement sécuritaire et judiciaire, soit donnée aux événements hors du commun que la France est en train de vivre.

    Une telle amnistie est prévue par l’article 133-9 du Code pénal et légitimée par la tradition française, seize lois d’amnistie ayant ainsi été votées depuis le début de la 5ème République, notamment dans le cadre d’activités protestataires.

    Un tel geste serait seul en mesure de commencer à rendre au pays l’apaisement qu’il ne saurait retrouver sur fond de persécutions pour l’exemple. « Nous ne reprendrons pas le cours de nos vies », disiez-vous Monsieur le Président, le 10 décembre 2018. Nous ne reprendrons pas le cours de nos vies tant que nos concitoyens n’auront pas pleinement retrouvé la leur.
    Les premiers signataires : 

    Isabelle Alonso (militante féministe, romancière)
    Alain Badiou (philosophe)
    François Bégaudeau (écrivain)
    Juan Branco (avocat)
    Stéphane Brizé (réalisateur)
    Mathieu Burnel (ex-inculpé dans l’affaire Tarnac)
    Annick Coupé (secrétaire générale d’Attac)
    Eric Drouet (gilet jaune)
    Annie Ernaux (écrivain)
    Gérard Filoche (membre de la CGT, Attac, Copernic)
    Bernard Friot (sociologue et économiste)
    Thomas Guénolé (politologue)
    Eric Hazan (éditeur) 
    Anasse Kazib (délégué Sud Rail)
    Zoé Konstantopoulou (avocate, ex-présidente du parlement grec)
    David Koubbi (avocat)
    Mourad Laffitte (réalisateur)
    Aude Lancelin (directrice de publication Le Média)
    Franck Lepage (éducateur populaire)
    David Libeskind (avocat, collectif « robe noire et gilet jaune »)
    Henri Maler (fondateur d’Acrimed)
    Jean-Claude Michéa (philosophe)
    Gérard Mordillat (réalisateur)
    Maxime Nicolle (gilet jaune)
    Gérard Noiriel (historien)
    Osons causer (YouTuber)
    Gilles Perret (réalisateur)
    Thomas Portes (PCF, syndicaliste CGT-cheminots)
    Bernard Stiegler (philosophe)
    Assa Traoré (comité Adama)
    Eric Vuillard (écrivain)
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  • Gilets jaunes. Brest. Les Gilets jaunes manifestent rive droite (OF.fr-12/01/19-20h07)Les Gilets jaunes ont manifesté devant la mairie avant de reprendre leur route, direction le Carrefour de l'Iroise

    Un millier des Gilets jaunes a manifesté dans les rues de Brest ce samedi 12 janvier 2019, pour l’acte 9 du mouvement. Ils ont défilé rive droite pour la première fois.

    De nombreux « Macron démission » ont résonné, ce samedi 12 janvier 2019, dans les rues brestoises. Un millier de Gilets jaunes (800 selon les forces de l’ordre) ont défilé sous la pluie.

    Partis, comme à leur habitude, de la place de Strasbourg, à 14 h, ils ont, pour

    la première fois, pris la direction de la rive droite. Leur destination ? Le centre commercial Carrefour de l’Iroise, près de Brest Arena.

    Les Gilets jaunes ont bloqué l’entrée du Carrefour durant une vingtaine de minutes.

    Arrivés bruyamment un peu avant 16 h, 200 Gilets jaunes ont bloqué l’entrée du supermarché. « Les grandes enseignes ne participent pas, gagnent des millions, qu’elles se mettent dans les poches et celles de leurs actionnaires, et ne sont pas capables de donner des avantages à leurs salariés » , explique Christelle, Gilet jaune de la première heure. Des actions similaires avaient déjà eu lieu dans la zone commerciale du Froutven, devant les enseignes du groupe Mulliez.

    Christelle, Gilet jaune, lors du bref blocage du supermarché Carrefour. 

    « Nous venons protester dans les grandes enseignes contre l’optimisation fiscale, pour ne pas dire évasion fiscale , développe Loïc. Ce sont des actions symboliques. »

    Convergence des luttes ?

    Lors des prises de paroles, place de Strasbourg, avant le départ de la manifestation, les organisateurs ont appelé à se joindre à la prochaine Marche pour le climat, le 27 janvier prochain.

    Ce samedi, deux manifestations, la Marche pour le climat et la manifestation des Gilets jaunes, avaient lieu au même moment. Difficile donc, pour les manifestants, de se dédoubler. « Les problèmes environnementaux et de pauvreté ont des causes systémiques dans les deux cas. Et ce sont toujours les mêmes personnes qui vont souffrir en premier du dérèglement climatique , soutient Eric, 25 ans. Le gouvernement ne prend en compte ni les gens, ni l’environnement. »

    Nemo, 27 ans, étudiante en Master de Gestion de l’environnement et Gilet jaune, considère, quant à elle, qu’il existe un manque de dialogue entre écologistes et Gilets jaunes. « À l’université, les gens de ma classe ne parlent pas des Gilets jaunes. Ils ne s’informent pas sur notre lutte. Alors que les gens veulent juste aller mieux, ce n’est pas une démarche égoïste » , explique-t-elle.

    Une chose est sûre, les Gilets jaunes restent mobilisés. « On est bretons, têtus, on ne lâchera pas » , conclut Loïc.

    Metig JAKEZ-VARGAS.

    source: https://www.ouest-france.fr/societe/gilets-jaunes/gilets-jaunes-brest-les-gilets-jaunes-manifestent-rive-droite-6169182

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  • Rassemblement des Gilets jaunes devant l’Hôtel de ville, à Quimper, samedi 12 janvier 2019

    Deux cents personnes environ ont participé au rassemblement des Gilets jaunes, samedi 12 janvier 2019, à Quimper. Café solidaire, défilé en ville et assemblée populaire devant la mairie. Dimanche 20 janvier, aura lieu une marche des femmes.

    Après les affrontements qui ont marqué la dernière manifestation des Gilets jaunes à Quimper, le rassemblement du samedi 12 janvier 2019 s’est déroulé dans le calme. Tout commence par un « café solidaire » et gratuit, servi à l’entrée de la place de Résistance, à deux pas de la préfecture. Puis le groupe, dont le nombre a constamment varié au cours de l’après-midi, parcourt rapidement le centre-ville.

    Les Gilets jaunes veulent mener le débat

    Premier arrêt, et première prise de parole, place Terre-au-Duc. Après un passage par la rue Kéréon, les deux cents manifestants se regroupent devant l’Hôtel de ville. C’est le moment d’une « assemblée populaire » , animée par Gilbert Macrez. Les prises de paroles se succèdent, témoignant des difficultés vécues par une femme malade, une jeune femme ne trouvant pas d’emploi, ou encore un agriculteur « écolo » de Plonéour-Lanvern.

    Une journée de réflexion, fin février, est en préparation. « Les Gilets jaunes veulent mener le débat, et pas l’inverse » , résume l’animateur. Dès le dimanche 20 janvier 2019, une « marche des femmes » est prévue. Départ à 10 h, zone commerciale de Créac’h Gwen, à Quimper.

    source: https://www.ouest-france.fr/bretagne/quimper-29000/quimper-les-gilets-jaunes-annoncent-une-marche-des-femmes-6169143

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  •   Réponse d'Annie Lacroix-Riz à une attaque inqualifiable de la direction de la CGTAnnie Lacroix-Riz, professeur émérite d’histoire contemporaine, université Paris 7

    Le Pecq, le 10 janvier 2019

     

    J’ai été avisée, le 9 janvier 2019 d’une attaque nominale lancée contre moi par une fiche anonyme, à l’en-tête officiel de la CGT, intitulée  :

    À la fin d’un paragraphe intitulé « Plusieurs exemples de publications liées à l’extrême droite », je suis ainsi désignée, pour avoir été interviewée ‑‑ comme mon excellente et vaillante collègue belge Anne Morelli, qui a lutté contre les guerres impérialistes contre la Yougoslavie et l’Irak et s’est rendue sur place en pleins bombardements ‑‑ par :

    Notons que même Wikipédia (voir ci-dessous) rend compte de façon factuelle de ce documentaire de 2004 de Béatrice Pignède, décédée en 2015, dans les termes suivants : « Son documentaire Propagande de guerre, propagande de paix en 2004 fait intervenir notamment deux historiennes Anne Morelli et Annie Lacroix-Riz, comparant les thèmes de propagande lors de la guerre en Irak avec ceux développées lors d'autres conflits. » (https://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9atrice_Pign%C3%A8de ) Naturellement, je n’ai rien à retrancher de ce que j’ai déclaré dans cette interview, et je ne suis responsable à aucun titre de l’évolution politique de cette journaliste, qui avait été exclue de la télévision pour esprit critique, que je ne connaissais que comme telle, et que je n’ai pas revue depuis 2005.

    Le document accusateur de la CGT semble avoir été établi à l’usage de la formation de ses cadres, supposés conduire, grâce aux préceptes ainsi dispensés, une efficace lutte idéologique « contre l’extrême droite ».

    Je serais donc « rouge brune », ainsi qu’il ressort de mon compagnonnage de septembre 2018 avec nombre d’amis et camarades qui sont l’honneur du mouvement ouvrier et des intellectuels progressistes? https://www.youtube.com/watch?v=CRvwFM8A1-4

    L’amalgame

    Le texte de la CGT est inspiré par le même esprit de terrorisme intellectuel que celui du Decodex du Monde, des Check News (en anglais, naturellement, langue maternelle des intéressés) de Libération et de leurs surgeons multiples de divers organes de « grande presse ». Il fleure également bon,

    ‑‑ d’une part, la détestable fiche Wikipédia, cas fréquent, la mienne comprise (voir lien ci-dessus), rédigée par des scripteurs d’extrême droite. Ceux-ci ont définitivement interdit de séjour tout « discutant » de bonne foi qui osait contester ma mutation en fascisto- négationniste (les amateurs de « discussion » sur ce site peuvent essayer de contester le contenu de ma fiche, ils en comprendront d’emblée les méthodes), et,

    ‑‑ d’autre part, la littérature de la mouvance prétendument « antifasciste ». Mouvance extrêmement hétéroclite, puisque s’y retrouvent des conservateurs ou réactionnaires de la « Nouvelle » ou de l’« Ancienne » droite, tel Pierre-André Taguieff, aux côtés de  membres du parti socialiste ou directement utilisés par ses organisations, tel Rudy Reichstadt, « lancé » par le ministère de l’éducation nationale sous la présidence Hollande, et qui a déjà mené contre moi une campagne ignominieuse me taxant de « conspirationniste », au motif que j’aurais inventé une « synarchie » qui n’existe pas, comme l’écrit mon collègue Olivier Dard, professeur à Paris 4, et conférencier favori de l’Action française (voir le document ci-joint « Lettre ouverte à mes amis de l’UJRE sur une curieuse invitation, samedi 10 mars 2018 »).

    Je signale pour mémoire que la « fiche n°17 » fustige Maurras, « Maître » dont Olivier Dard vante les mérites en tout lieu, manifestement sans choquer l’historiographie dominante issue de l’Institut d’études politiques, qui a cautionné sa fiche de commémoration du centenaire de Maurras et a été fort fâchée de la renonciation à la publication, devant l’ampleur du scandale. Mes camarades du PRCF savent d’ailleurs que cet universitaire avait été invité (mais pas moi) il y a quelques mois à Montreuil, municipalité dirigée par le PCF, à un « débat » sur l’extrême droite, à laquelle il appartient : c’est un Montreuillois qui m’en a informée, information qui nous a permis de réagir à cette invitation unilatérale.

    L’épisode de la tentative de commémoration de Maurras est conté ici : « Apparences et réalités de la commémoration de Charles Maurras », paru les 15-17 mai 2018 sur le site Lescrises.fr, https://www.les-crises.fr/de-charles-maurras-a-son-biographe-olivier-dard/

    https://www.les-crises.fr/apparences-et-realites-de-la-commemoration-de-charles-maurras-2e-partie-une-commemoration-celebration-par-un-biographe-faisant-lunanimite-des-historiens-du-consensus/

    https://www.les-crises.fr/de-lurgence-de-la-reedition-des-collabos-au-role-du-haut-comite-aux-commemorations-nationales-de-2011-a-2018/

     

    La littérature qui me qualifie de « rouge brune », à l’exemple de la « fiche n° 17 » de la CGT, est toujours caractérisée par l’amalgame entre, d’une part, la droite et l’extrême droite, et, d’autre part, la vraie « gauche », c’est-à-dire celle qui se bat pour la suppression du capitalisme, but officiel initial, à ma connaissance, de la CGT, longtemps maintenu.
    La fraction « européiste » de la Confédération ne supporte plus la gauche qui récuse l’orientation de la Confédération européenne des syndicats, à laquelle elle appartient depuis l’ère Thibault. Elle juge aussi intolérable la mise en cause de l’orientation « occidentale », adhésion à l’OTAN incluse, qui viole pareillement toutes les traditions de lutte et d’analyse de la CGT-CGTU.

    Il s’agit du même amalgame que celui qui a eu cours dans l’entre-deux-guerres, et qui a conduit ses initiateurs à la collaboration (de classe puis tout court), alors que ses victimes ont compté parmi les héros, français et étrangers, de la Résistance :

     

    je renvoie pour cette comparaison à mon ouvrage De Munich à Vichy, l’assassinat de la 3e République, 1938-1940, Paris, Armand Colin, 2008, 408 p., et à la contribution « La défaite de 1940 : l’interprétation de Marc Bloch et ses suites », au colloque Marc Bloch, Rouen, 8-10 février 2012 ». Cette dernière figure dans le récent ouvrage de 2015, Scissions syndicales, réformisme et impérialismes dominants, 1939-1949, Montreuil, Le Temps des cerises, 2015, 250 p., épuisé, mais qui sera réédité chez Delga. Ces travaux montrent, pièces d’archives à l’appui, l’opposition entre syndicalisme de lutte et syndicalisme de collaboration de classe, opposition particulièrement nette à la fin des années 1930 préludant à la guerre générale.

    La russophobie

    Notons avec intérêt que la CGT, dans ses documents de « formation » des cadres, désigne à la vindicte les ennemis russes de la France ‑‑ ce qui nous ramène au temps où René Belin, second de Jouhaux et promis à sa succession, et futur « ministre du Travail et de la Production industrielle » dissolvant la CGT par décret, le 10 novembre 1940, hurlait « Sus aux Russes » et « À bas les Sénégalais de Staline » avec les siens. Ceux-ci le suivirent sous l’Occupation et bénéficièrent d’énormes prébendes étatiques et patronales après l’abrogation de la CGT (voir mes ouvrages Industriels et banquiers français sous l’Occupation, Paris, Armand Colin, 2013, 816 p., et Les élites françaises, 1940-1944. De la collaboration avec l’Allemagne à l’alliance américaine, Paris, Dunod-Armand Colin, 2016, 496 p., index Belin).

    La Russie de Poutine offrirait l’exemple-type de la distribution d’argent étranger irriguant une information malhonnête et tronquée. La CGT n’a, à ma connaissance, jamais protesté contre ce qui caractérise l’information d’aujourd’hui, c’est-à-dire la gigantesque influence, financière et idéologique, dont disposent les États-Unis et toutes les institutions qu’ils contrôlent pour corrompre l’information en général et nos « élites » journalistiques en particulier. Il est parmi elle nombre de spécimens des French-American Young Leaders, qui ont remplacé la grossière propagande de Guerre froide d’après-guerre du Reader’s Digest par une intoxication « française » à flots continus. Ne manquez pas, je vous prie, d’en consulter la liste instructive, https://frenchamerican.org/young-leaders/earlier-classes/

    Alors, par exemple, je suis également nazie parce que j’ai été accueillie plusieurs fois sur le site Les.crises, dont le responsable, Olivier Berruyer, est harcelé par les chouchous des médias – telle Cécile Vaissié, dont l’ahurissant ouvrage Les réseaux de Poutine en France (2016), a bénéficié d’un écho énorme, de la gauche « Médiapart » à l’extrême droite ‑‑ et qui est accusé par ces mêmes médias de répandre des « fausses nouvelles » (Fake News, c’est mieux) et de se soumettre aux diktats d’un Poutine prêt à fondre sur la France?

    Alors, par exemple, je suis également nazie parce que, jamais invitée sur le service public de télévision quand Frédéric Taddeï y animait une émission, j’ai été invitée par lui à participer à une émission de « débat » (d’indéniable débat) sur l’extrême droite, sur RT, le 17 octobre 2017 : https://francais.rt.com/magazines/interdit-d-interdire/54680-interdit-dinterdire-montee-nationalismes-droites-extremes-retour-annees-30; https://www.youtube.com/watch?v=Csu-lbTum8k .

    J’y ai figuré aux côtés de Thomas Guénolé, aujourd’hui traité par LREM en délinquant, https://francais.rt.com/france/57708-il-y-a-pire-que-ceux-qui-tabassent-aurore-berge-saisit-justice-contre-cadres-insoumis ? Après la saisie gouvernementale de tous fichiers et adresses de LFI, démarche exorbitante des droits et libertés des citoyens qu’on avait peu vue mise en œuvre depuis la répression anticommuniste 1° de 1939-1940, sous la pression explicite de Berlin (voir De Munich à Vichy) et 2° des années 1950, sous la pression explicite de Washington, on passe à la case prison pour subversion? Avec les approbations et encouragements de la CGT contre ces « rouges-bruns »? J’assure ce politiste de toute ma solidarité.

    Je profite aussi de l’occasion pour rendre hommage au grand politiste-historien progressiste américain, William Blum, ancien du Département d’État et honnête homme, qui a, à partir de 1967, mis sa vie (en ruinant sa carrière) au service de la vérité sur l’impérialisme américain, et qui vient de mourir. Je recommande vivement à mes correspondants la lecture des Guerres scélérates, Lyon, Parangon,‎ 2004 (Killing Hope: U.S. Military and CIA interventions since World War II, Monroe, Maine, Common Courage Press, 2003, édition complétée de son ouvrage essentiel, The CIA: A Forgotten History, Londres et New Jersey, Zed Books, 1986). Ils connaîtront ainsi mieux le principal corrupteur de la planète de l’après-Deuxième Guerre mondiale. Rouge-brun, aussi, feu William Blum?

    Mon éditeur, ami et camarade Aymeric Monville serait aussi un « rouge-brun » pour avoir sur RT Royaume-Uni exposé clairement et honnêtement depuis octobre 2018 la transformation du présent régime en dictature de droite, puis les développements du mouvement social en cours? Qu’il soit également assuré de mon soutien :

    https://www.initiative-communiste.fr/articles/prcf/giletsjaunes-notre-camarade-aymeric-monville-explique-la-situation-sur-russia-today-international/

    https://www.initiative-communiste.fr/articles/luttes/video-prcf-russia-today-francais-attaches-aux-refus-de-lamericanisation-aymeric-monville/

    https://www.initiative-communiste.fr/articles/culture-debats/le-bilan-de-lannee-macronique-par-a-monville-et-rt-video/

    Historienne marxiste et communiste

    Je rappelle à mes lecteurs et correspondants que je compte parmi les rarissimes historiens marxistes de France, et, horresco referens, communistes en sus. Nul n’a jamais pu trouver dans un mes écrits ou une mes interventions la moindre complaisance pour le fascisme et le racisme.

    Je me permets à cet égard de renvoyer à la liste de mes travaux, qu’ils trouveront sur http://www.historiographie.info/cv.html et sur le texte ci-joint (CV de mes travaux).

    Y figure notamment mon ouvrage en relecture, consacré à La non-épuration, particulièrement éclairant, je crois, sur l’appareil d’État, notamment policier et judiciaire, qui, après la Libération, a été chargé de rétablir un total statu quo, de gommer la Collaboration des plus grands coupables, et de bafouer, à un degré qu’il est difficile d’imaginer, les anciens résistants, morts ou survivants. Lesquels avaient été en majorité des militants, français et étrangers, du PCF et de la CGTU, puis de la CGT réunifiée, puis de la CGT clandestine de Frachon et Costes. Cet ouvrage sera dédié aux FTP-MOI (et je pense particulièrement à mon cher ami et camarade Léon Landini, lutteur infatigable) et au grand magistrat Paul Didier, honneur unique d’une « Magistrature déshonorée », pour reprendre le titre d’un ouvrage de Virginie Sansico (La justice déshonorée 1940-1944, Paris, Tallandier, 2015).

    J’ai par ailleurs, par mes travaux sur la CGT dans l’après-guerre, objet d’une thèse d’État, seule thèse d’État consacrée à ce sujet, et par de nombreux autres travaux, relatifs aux années 1930-1950, montré mon attachement au mouvement syndical et mon admiration pour la CGT combative des Frachon, des Costes et des Croizat : « CGT et revendications ouvrières face à l’État, de la Libération aux débuts du Plan Marshall (septembre 1944-décembre 1947). Deux stratégies de la Reconstruction », 4 vol. (2 de texte: 1215 p., 2 de notes: 978 p. + table des matières, index et errata), thèse d’État soutenue à l’Université de Paris I, le 7 novembre 1981. Jury: J. Bouvier, J.-M. Mayeur, A. Prost, R. Trempé, C. Willard. Cette thèse a été publiée en deux ouvrages: La CGT de la Libération à la scission (1944-1947), Paris, Éditions Sociales, 1983, 400 p., et Le choix de Marianne: les relations franco-américaines de 1944 à 1948, Paris, Éditions Sociales, 1986, 222 p., qui va faire l’objet, en 2019, d’une réédition chez Delga. Sans oublier, et il est d’autres contributions, Scissions syndicales déjà mentionné, et Aux origines du carcan européen, 1900-1960. La France sous influence allemande et américaine, Paris, Delga-Le temps des cerises, réédition augmentée, 2016, 165 p., où j’évoque les prestations comparées, dans les années 1950, du syndicalisme de connivence, sous stricte tutelle patronale, étatique et américaine, et de la CGT de Frachon alors résolument anti-« européiste ».

    La direction de la CGT s’est, à cette date, sa position sur le mouvement social en cours le démontre avec éclat, ralliée à une conception du syndicalisme que ses refondateurs de la Libération, les lutteurs de la CGTU, ont combattue pendant leurs longues décennies d’honneur (pas d’honneurs) : elle a abdiqué ses traditions, et classerait aujourd’hui ses anciens chefs, héros de la Résistance intérieure, parmi les communistes qu’elle ose qualifier de « rouges-bruns ». Léon Landini aussi?

    Il ne s’agit évidemment pas la première attaque contre moi : mes correspondants et les habitués de mon site ont été informés de nombreux autres assauts, et ont eu à plusieurs reprises, je les en remercie à nouveau, l’occasion de me soutenir contre d’autres assaillants, de fausse gauche, de droite et d’extrême droite (« Ukrainiens » cléricaux compris).

    Je ne cache pas cependant ma sidération et mon indignation de ce que la direction de la CGT, Confédération au service de laquelle j’ai encore récemment, contre les insupportables prétentions des héritiers de Louis Renault (2011-2014), mis mon travail d’historienne, ait eu l’audace de me classer à l’extrême droite. Témoignent de ce travail au service de la science historique et du mouvement ouvrier les articles:

       http://www.historiographie.info/renaultcharst.pdf et   http://www.historiographie.info/mediapart0711.pdf

    (sans oublier Industriels et banquiers français sous l’Occupation, Paris, Armand Colin, 2013, 816 p., où Renault occupe une place notable, et les luttes ouvrières un chapitre entier, le 10).

    La CGT, dont j’ai été membre précoce de l’Institut d’histoire sociale, m’en a chassée sans tambours ni trompettes, à la fin des années 1990, dans la discrétion nécessaire à l’arrivée, prévue en vue d’adhésion imminente à la Confédération européenne des syndicats, de Bernard Thibault : non pas parce qu’elle me trouvait « brune », mais parce qu’elle me trouvait beaucoup trop « rouge ».

    Sollicitant avec succès d’autres historiens plus conformes à ses nouvelles conceptions de l’histoire socio-économique (et qui apprécient légitimement de se voir reconnus et honorés par les représentants les plus éminents de la classe ouvrière et des salariés de France), elle m’a systématiquement effacée, dans des conditions qui seraient comiques si elles n’étaient honteuses, de ses bibliographies et de ses colloques : notamment, en 2013, d’un colloque sur Croizat, pour lequel elle a invité des historiens dont aucun n’avait jamais travaillé sur Croizat, un des personnages importants de ma thèse sur la CGT, scandale étendu à Michel Étiévent, auquel j’ai réagi, en vain (texte joint sur la réplique piteuse de l’IHS à propos de ce seul dernier, sans réponse à ma propre protestation).

    La CGT est désormais passée, avec ce document censé « former » ses militants responsables, à la charge ouverte, absolument inqualifiable. J’ai naturellement l’intention d’interroger Philippe Martinez, ancien militant et responsable CGT de Renault, sur les raisons de cet affront anonyme, et de mettre au défi la direction de la Confédération de trouver une déclaration ou un écrit de ma part qui ait pu donner lieu à cette accusation infamante.

    Je remercie par avance tous mes correspondants de diffuser au maximum cette adresse de protestation. J’ai besoin de leur soutien contre une initiative qui s’inscrit dans une entreprise de destruction et de criminalisation de la gauche, la vraie, et de l’histoire scientifique et indépendante des financements des puissants, français ou étrangers.

    Cette dernière sera assurément sévère sur le changement de camp (que nous savons tous momentané, si durable qu’il ait été) de la vieille Confédération.

    Annie Lacroix-Riz le jeudi 10 Janvier 2019

     

    Documents annexes:

    1. La « FICHE N° 17/ Extrême droite et médias - campagne contre l’extrême droite - CGT »     Page 1 et 2   

    2. Lettre ouverte à mes amis de l’UJRE  (Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide) sur une curieuse invitation, samedi 10 mars 2018

    3. Curriculum vitae d’Annie Lacroix-Riz (Décembre 2018)

     

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  • Depuis le 17 novembre, les Gilets jaunes mettent à jour une colère contre le gouvernement d'Emmanuel Macron. Le mouvement surprend par sa forme et ses revendications, loin des mobilisations politiques et syndicales habituelles. Pour la sociologue Monique Pinçon-Charlot, les Gilets jaunes s'inscrivent dans une crise de entre les classes sociales, nourrie par les inégalités.
    09.01.19 à 06:31
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