•  

    L’UE et l’euro cassent la France et ses conquêtes sociales!

     

    LE DOIT POUVOIR SE PRONONCER PAR REFERENDUM SUR L’EURO ET SUR L’UNION EUROPÉENNE !

     

    L’EURO, L’UNION EUROPÉENNE, LA FRANCE DOIT-ELLE « Y RESTER » OU BIEN EN SORTIR ?

     

    visuel pétition PRCF UE euro

    En 1992, les promoteurs du Traité de Maastricht et de la monnaie unique promettaient aux Français le plein emploi, le , la démocratie et la fraternité entre les peuples. L’expérience a démenti toutes ces promesses ; en effet,

     

    • la est synonyme de récession, de casse du tissu industriel et agricole, de chômage massif, d’extension de la pauvreté et de la précarité ; « l’économie de marché ouverte sur le monde où la est libre et non faussée » prescrite par l’U.E. aide les forces d’argent à démolir le produire en France, à comprimer les salaires, les services publics et la protection sociale.

     

    • L’euro asservit les pays de l’est et du sud de l’ à l’économie allemande et à l’économie des U.S.A., dont la France devient un appendice.

     

    • La souveraineté du peuple français, qui a refusé la constitution européenne, alias « Traité de Lisbonne », est bafouée ; les partis pro-Maastricht qui se succèdent au pouvoir exécutent la feuille de route destructive édictée par la Commission de Bruxelles, la Banque de Francfort et le patronat français.

     

    • En France et ailleurs, les dégâts sociaux et liberticides ainsi que les frustrations engendrées par la « construction » européenne nourrissent l’extrême droite, la xénophobie, le racisme, le fascisme et la haine. Soutenus par l’ O.T.A.N., à laquelle l’ U.E. est étroitement liée, des nostalgiques du Troisième Reich relèvent la tête de l’Ukraine aux Pays baltes, provoquant la Russie et jouant avec la paix mondiale.

     

    Sous la direction de l’OTAN, de l’UE et des USA, le pays est engagé par les gouvernants successifs dans des guerres coloniales en Libye, en Afrique subsaharienne et en Syrie.

     

    • En fait de diversité culturelle l’’Oncle Sam se sert de l’ U.E., en passe de se muer en « Grand Marché Transatlantique », pour imposer son idéologie, sa langue et sa sous-culture.

     

    • Les et les « » menacent les communes et la « République laïque, une et indivisible » héritée de notre histoire.

     

    Bref, la France issue de la Révolution et du Conseil national de la Résistance se dissout rapidement dans le bain d’acide d’une U.E.  dominée par le capital financier.

     

    • La dictature de l’ U.E. sur la Grèce, mais aussi le traitement humiliant infligé à l’Europe du sud et de l’est, prouve que l’ « Europe sociale » est impossible dans le cadre de l’ U.E., entièrement au service des plus riches et des plus puissants. Il faut donc que la France sorte de l’ U.E. et de l’euro  pour permettre au peuple de reconstruire sa souveraineté, de remettre le monde du au cœur de la , d’organiser la coopération entre Etats souverains en Europe et hors d’Europe.Le peuple Français peut relever ce grand défi s’il reprend son destin en main sur des bases progressistes et républicaines.

     

    Dans  cette perspective, le peuple français doit au plus tôt pouvoir se prononcer sur le maintien ou non de la France dans la zone euro et dans l’ U.E. – Pour cela, il faut qu’un soit rapidement organisé sur ces deux questions vitales et intimement liées :

     

    « La France doit-elle rester dans la zone euro ?»       «La France doit-elle rester dans l’Union européenne?».

     

    Si le verdict populaire était contourné comme le fut scandaleusement le Non populaire de mai 2005 à la Constitution européenne, notre peuple devrait en tirer les conséquences pratiques en intervenant par tous les moyens possibles et en refusant toute légitimité à ceux qui auraient à nouveau violé sa souveraineté.

     

    Premiers signataires :

     

    Léon Landini, ancien officier FTP-MOI, Médaille de la Résistance, officier de la Légion d’honneur, président du Pôle de Renaissance Communiste en France et

     

    • Caroline Andréani, membre du Comité national du PCF ,
    • Georges Bordes, Résistant au détachement Rechossière des FTPF, responsable de la Jeunesse Communiste clandestine 1942-1944 en Corrèze, président du Comité local de libération de St. Hilaire-Foissac (19), croix du combattant volontaire de la Résistance
    • Saïd Bouamama, militant du R.C.C.
    • Robert Brun retraité et militant syndical et communiste, ancien secrétaire de la fédération de la construction cgt
    • Marie-Christine Burricand responsable du Réseau FVR-PCF, élue municipale et métropolitaine de Vénissieux
    • Loïc Chaigneau, animateur du site L’Affranchi
    • Michel Debray, ancien président de l’Institut Charles De Gaulle.
    • Jean-François Dejours, syndicaliste enseignant, professeur de philosophie
    • Michel Decourcelles, militant du R.C.C.
    • Roland Diagne, militant du R.C.C.
    • Jean Gagnaire, CGT-métallurgie et FSC
    • Georges Gastaud, secrétaire national du PRCF, philosophe
    • Danielle GAUTIER, syndicaliste CGT-métallurgie et FSC (Front Syndical de Classe)
    • Jean-Pierre Hemmen, fils de Fusillé de la Résistance, directeur de la revue « Etincelles », vice-président du PRCF
    • Jo Hernandez, syndicaliste EDF, responsable « luttes » du PRCF
    • Annie Lacroix-riz, professeur émérite d’histoire contemporaine, PRCF
    • Antoine Manessis, responsable du PRCF pour les relations intérieures
    • Annette Mateu-Casado, trésorière nationale du PRCF
    • Elise Mazenoux-Pranchère, résistante aux FTPF et COPA, croix du combattant volontaire de la Résistance
    • Laurent Nardi, ancien maire-adjoint de Passy (74)
    • Jean-Michel Padot, conseiller municipal PRCF de Bully-les-Mines
    • Anna Persichini, déléguée CGT d’IBM-Nice
    • Pierre Pranchère, ancien maquisard FTPF de Corrèze, ancien député, a. membre du CC du PCF, vice-président du PRCF, député de Tulle 1956-1958 et 1978, député européen honoraire,
    • Jean-Luc Pujo, président des clubs Penser la France
    • G. Rodriguez, militant CGT, responsable du Front syndical de classe
    • Fabrice Selingant   réseau Faire vivre et renforcer le PCF
    • Rose-Marie Serrano, défenseur de la mémoire républicaine de l’Espagne
    • Jean-Pierre Sienkiewicz, syndicaliste, professeur agrégé de physique
    • Roger Silvain, ancien responsable CGT chez Renault Bilancourt, président du Front syndical de Classe
    • Stéphane Sirot, historien du syndicalisme
    • Guillaume Suing, professeur de S.V.T., Rassemblement des cercles communistes
    • William Roger, animateur du Rassemblement des cercles communistes
    • Yves Vargas, philosophe
    • Gautier Weinmann, secrétaire de la cellule PCF de Leforest

     

    Signez et faites signez la pétition en ligne ! pour un référendum pour la sortie de l’euro et de l’Union Européenne !

     

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Déclaration

    du Front Syndical de Classe

    Retrouvons le chemin de la lutte des classes  Exigeons la sortie de la Confédération Européenne des Syndicats(FSC)

     

    C’est à Paris, du 29 septembre au 2 octobre 2015 que va se tenir le 13ème congrès de la Confédération Européenne des syndicats (CES) à laquelle appartiennent toutes les confédérations françaises (CFDT, CFTC, CGT, FO, UNSA).

    Les invités et le programme de la première journée résument les fondamentaux de la CES : « séance d’ouverture par le Président François Hollande et Martin Schulz, Président du Parlement européen, Intervention d’Anne Hidalgo, Maire de Paris, Intervention de Jean-Claude Juncker ami bienveillant des multinationales et président de la commission européenne, Table ronde sur le chômage des jeunes avec le Président du Conseil Emploi Nicolas Schmit, Ministre luxembourgeois du Travail et Marianne Thyssen, Commissaire européenne à l’emploi et aux affaires sociales. »

    Aucune surprise pour une CES habituée aux lambris dorés des palais européens et autres hôtels de luxe. Car, contrairement à ce que son nom pourrait laisser croire, la CES n’est pas un syndicat européen mais une institution de concertation syndicale, créée en 1973 et financée à 75 % par l’UE, sur la base de la reconnaissance de l’UE, de ses institutions et de ses textes fondamentaux.

    Son histoire commence sous les augures du syndicalisme jaune et de la volonté de contrer la Fédération Syndicale Mondiale après 1945 : Confédération Internationale des Syndicats Libres (CISL) chère à la CIA et Confédération Internationale des Syndicats Chrétiens (CISC) proche du Vatican se rapprochent et donnent naissance à la CES en 1973 et dans le contexte de développement de la CEE et de la guerre froide.

    Alors qu’elle est reconnue par l’UE comme « seule organisation interprofessionnelle représentative des travailleurs », les statuts de la CES précisent : « La Confédération Européenne des Syndicats a plus particulièrement pour mandat d’agir (…) dans le cadre du processus d’intégration européenne. Elle s’adresse dans son action : à l’Union Européenne dont elle demande l’approfondissement sur le plan social, politique et démocratique en même temps qu’économique et monétaire, (…) aux organisations européennes d’employeurs en vue d’établir par le dialogue et la négociation un système de relations sociales au niveau européen. »

    Elle est à ce titre associée à la préparation des sommets, aux activités de l’agenda européen et elle participe à l’élaboration des politiques économiques et sociales au plus haut niveau, en collaboration avec tous les organes de l’UE : Présidence de l’UE, Conseil de l’UE, Commission européenne et Parlement européen.

    En clair, la CES travaille pour la construction européenne sur la base du « dialogue social » avec le grand patronat et les institutions officielles. Elle n’est rien d’autre qu’une institution officielle bureaucratisée qui a pour fonction – rémunérée - d’accompagner le programme de concurrence libre et non faussée de l’UE et d’évacuer toute idée de lutte des classes.

    En clair encore, toutes les positions et action de la CES n’ont pour but que de favoriser les efforts des monopoles et Etats capitalistes dans leur casse des droits démocratiques et sociaux des travailleurs et peuples européens tout en détournant leurs résistances inévitables.

    Voilà pourquoi la CES soutient ou se tait sur chaque mauvais coups de l’UE : soutien au traité de Maastricht et campagne pour le Oui au TCE en 2005, soutien au traité de Lisbonne violant la souveraineté nationale et le Non de classe au TCE, soutien à la casse des secteurs productifs dans de nombreux pays (en France le Charbon, le Textile, la construction mécanique…) et aux délocalisations[1], accord avec la pression sur les salaires[2], soutien à la casse des retraites programmée au niveau européen par les accord de Barcelone de 2002[3], … La crise de 2008 n’a pas tempéré les ardeurs de la Ces qui appelait alors à « sauver le capitalisme de lui-même » tout validant le chantage à la dette[4]. Depuis, elle a soutenu toutes les mesures de l’UE et lors de la crise grecque, elle s’est alignée sur les positions de Juncker et de la « Troïka » pour écraser le peuple sous l’austérité et refuser toute idée de référendum populaire. Comme l’exprime Juncker, « il n’y a pas de démocratie contre les traités européens… ».

    Le Congrès de l’indécente CES et les congrès syndicaux à venir (FSU mais surtout CGT) sont l’occasion pour les syndiqués et les travailleurs de faire entendre leur voix en exigeant la sortie de la CES pour leurs organisations.

    Quand la CGT a adhéré la CES en1999, c’était paraît-il pour peser et infléchir celle-ci. 15 ans plus tard, quel bilan établir ? La CES s’est-elle rapprochée des fondamentaux de la CGT ou la direction de la CGT s’est-elle fondue dans le syndicalisme rassemblé au sommet avec une CFDT plus jaunissante que jamais, synonyme d'accompagnement du système et cela jusque dans la crise de ce système ?

    Alors que les travailleurs sont étranglés par une offensive anti-sociale planifiée au niveau européen et déclinée nationalement, de quel syndicalisme et de quelles organisations avons-nous donc besoin ?

    Avons-nous besoin d’une bureaucratie syndicale qui pratique le "dialogue loyal" avec nos exploiteurs et ignore les luttes à la base ? Avons-nous besoin d’une bureaucratie syndicale qui n'ambitionne que de cogérer les mauvais coups en échange de quelques strapontins, subventions et garanties individuelles de salaires et pensions – alors que les mêmes garanties sont retirées de force à la masse des salariés ?

    Ou bien avons-nous besoin d’une organisation internationale de combat fondée sur les expériences, les principes et les valeurs du mouvement ouvrier ?

    [1] En 2006, suite à un sommet avec le MEDEF européen : « La CES fera valoir que les syndicats doivent jouer un rôle plus actif dans l’anticipation et la gestion des restructurations. Il convient de permettre aux travailleurs d’anticiper et de préparer le changement … »

    [2] En 2204 : « Il y a une position commune entre la BCE et la CES sur la question des salaires : la hausse des prix du pétrole ne doit pas entraîner une surenchère des revendications salariales »

    [3] John Monks, secrétaire général de la CES, expliquait alors : « on peut reculer l'âge de départ à la retraite, et il est capital de faire travailler les seniors ».

    [4] « Nous sommes conscients que les gouvernements ont des déficits qu’ils doivent combler, mais nous leur demandons de prendre leur temps pour payer leurs dettes. »

     

    Source:  FSC le 27/09/2015

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • CGT: pour le respect du mandat impératif des délégations confédérales- Déclaration de Marc Peyrade, secrétaire général de la Filpac-Cgt (CCN-CGT du 24/09/20155)t  La Bourse Nationale du Travail à Montreuil (93)-siège de la CGT et de ses Fédérations Professionnelles

    Le CCN du 24 septembre 2015, instance statutaire de la CGT, doit mettre un terme à la pratique de délégations confédérales agissant sans mandat des organisations de la CGT, alors qu'elles les impliquent dans des négociations, des commissions, des échanges par des prises de position publiques, souvent contradictoires avec les statuts, les orientations de la CGT adoptées en congrès et celles de chacune de ses organisations confédérées.

    S'agissant du rapport Mettling intitulé « le numérique et la vie au travail », confectionné pour justifier la future loi Macron 2 annoncée par le gouvernement, une déclaration publiée sur le site confédéral applaudit à ce texte qui désarme nombre de fédérations et d'UD et qui vise l'existence dans les 5 ans à venir d'au bas mot 3 millions d'emplois dans toutes les filières professionnelles.

    Aucun mandat à notre connaissance n'a été délivré par le CCN ni pour l'approuver publiquement ni même pour en fournir une estimation publique. Faute de ce mandat impératif, les organisations de la CGT n'ont d'autre recours que de constater a posteriori qu'elles sont impliquées dans l'approbation publique d'un rapport centré sur le remplacement du salariat par d'autres formes contournant le contrat, le lieu, le temps et la mesure de la charge de travail

    S'agissant de la loi Rebsamen, pendant le cours des débats du projet impliquant une délégation CGT, la création d'une commission régionale patronat-syndicats en lieu et place du droit syndical dans les entreprises de moins de 11 salariés a été présentée comme un acquis et soutenue publiquement sans que nul mandat explicite du CCN ne soit émis.

    S'agissant du rapport Combrexelle, une délégation engage l'existence de la notion même de conventions collectives sous le prétexte en usage par le gouvernement de simplifier le droit social. Si bien que des conventions collectives, celles de notre champ de compétence en particulier, sont déclarées obsolètes dans l'ignorance parfaite des adhérents concernés et de leur organisation syndicale. Cela est d'autant préjudiciable que ce rapport Combrexelle prend position pour un syndicalisme rompant avec le conflit et appelant à la collaboration permanente avec la direction patronale.

    Le CCN n'a pas été dissout, il n'est pas une instance négligeable et contournable à l'envi, d'autant qu'il est le seul à représenter les FD et les UD. Et pourtant, il l'est. Comme si la vaste offensive contre le droit social en cours ne méritait ni débat, ni mandat, ni combat. Le trouble suscité par cette manière de faire porte atteinte gravement à la crédibilité de notre confédération, au caractère souverain de son congrès et aux fonctions du CCN.

    La loi Macron est passée sans coup férir, alors qu'elle neutralise le Code du travail par le ravalement des conflits du Travail au rang de simples conflits passibles du Code civil. Cette défaite répand le trouble dans nos organisations, où de multiples interrogations s'expriment, interrogeant la raison réelle et sérieuse au nom de laquelle le Code du travail n'a pas été défendu.

    C'est pourquoi nous demandons que le mandat impératif des délégations confédérales CGT, délivré par le CCN sur les sujets de fond évoqués et à venir, soit rétabli et respecté au plus vite.

    Jeudi, Septembre 24, 2015
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Billet Rouge-Hollande, ou ce plat pays qui n’est pas le mien! Par Floréal (IC.fr-8/09/2015)

    Cela ne dérange pas Hollande, élu pour « combattre la finance » et l’ultralibéral Sarkozy, de ramper devant le MEDEF et d’anticiper n’importe lequel de ses vœux, si indécent soit-il. A défaut de rectitude, contentez-vous de reptitude , dirait sans doute la bien-nommée Mme Royal ralliée à son ex-compagnon ! Après les coupes claires dans les cotises patronales dues à la Sécu, après la démolition du statut des profs, le bradage d’Alsthom au capital yankee, l’expulsion des « langues inutiles » du collège (latin, grec, mais aussi allemand, italien, et bientôt le français lui-même : il n’y en a plus que pour l’anglais transatlantique » dans notre belle Education « nationale » !), après la baisse des retraites, le blocage du salaire des fonctionnaires, la fermeture « mittalienne » de la sidérurgie, après la casse d’Aulnay-Citroën, l’évaporation du livret A, la mise à mort du repos dominical et la privatisation des aéroports, voici la démolition annoncée du Code du travail : tout doit disparaître des acquis de 1905, 1936 et 1945 et il n’y a que la première trahison qui coûte !*

     

    Cela ne choque pas davantage le sens national – s’il existe – du président en titre de déclarer – le lundi – que la France en crise ne pourrait pas accueillir un flot de réfugiés, puis – Angela ayant froncé le sourcil et ayant besoin d’un flux de main-d’œuvre à bas coût pour doper l’industrie d’outre-Rhin – de clamer trois jours plus tard que notre pays accueillerait… les quota exacts de réfugiés qu’avait fixés un peu plus tôt la toute-puissante Commission européenne ! Rompez, disait-on naguère dans la Grande Muette, mais ici, et quoi que l’on puisse penser du fond de cette terrible affaire, c’est plutôt « Rampons ! », et « Deutschland über alles »…

     

    Cela ne dérange pas davantage Hollande, qui se réclame à tout propos de Jaurès – tombé sous les balles des va-t-en-guerre de 1914 – d’être le principal boutefeu de la guerre civile en Syrie, comme Sarko l’avait été, à l’appel de l’irresponsable en chef BHL, de l’ingérence franco-anglaise en Libye. Fort contre les pays dominés de l’Est et du Sud, mais faiblissime devant les dominants anglo-saxons et leurs vassaux des pétromonarchies, obséquieux devant Sa Sainteté le Pape (en toute « laïcité républicaine », Valls est allé représenter la France à la cérémonie de canonisation de Jean Paul II…), à plat ventre devant l’aile droite du PS (ce n’est plus « merci patron », c’est « Bercy Macron » !) mais méprisant envers tout ce qui se situe sur sa gauche, ce président de l’à-plat-France ne sait porter fièrement qu’une seule chose : son patronyme aux résonnances maastrichtiennes (pardon au fier peuple néerlandais qui sait encore, lui, ce qu’est le patriotisme !) ; et il fait chaque jour de notre Hexagone un pays plus plat et plus « rangé » de ses glorieuses révolutions passées, bref, un Waterloo morne plaine de chaque instant… qu’un tsunami « bleu marine » n’aurait dès lors aucune peine, si l’on ose dire, à balayer, à laminer et à ratiboiser d’un seul coup d’un seul !

     

    Pourtant, connaissant un peu l’histoire de ce pays, qui trop souvent somnole sous les coups en rouspétant, mais qui devient terrible aux puissants quand il prend enfin le mors aux dents, le Grand Aplatisseur devrait se méfier : les géologues nous enseignent, preuves à l’appui, que les Alpes et les Pyrénées continuent de se soulever ; et même nos vieux volcans arvernes ne demandent qu’à rougeoyer à nouveau…

     

    A quand donc la Montagne triomphant de nouveau de la Plaine dans ce plat pays qui est le sien et qui ne demande qu’à redevenir le nôtre ?

    Floréal-le 8/09/2015

    *mais au fond, c’est en trahissant la France des travailleurs que la social-démocratie reste glorieusement fidèle à son histoire, de Renaudel à Jospin en passant par Jules Moch et Guy Mollet !

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Info Luttes n°16 – Septembre 2015 : OUVRONS UNE AUTRE VOIE POUR LA FRANCE !Qui a dit que la , c’est dépassé ! Chaque semaine dans l’Info éditée par le secteur du , démonstration est faite que les travailleurs résistent aux mauvais coups portés par le patronat et par le gouvernement. Oui ! La lutte de classe est une réalité dans notre pays, même si les médias relaient en permanence la pensée unique du capitalisme.

    Le gouvernement et le MEDEF font tout pour exploiter toujours d’avantage les travailleurs. Disparition progressive des CDI – Remise en cause des 35 heures – Attaque en règle contre les conventions collectives, la Sécu, les retraites par répartition, du repos dominical et du code du travail – Atteinte aux libertés individuelles et syndicales dan les entreprises etc., baisse même plus déguisée des salaires et des pensions, augmentation des tarifs des services publics démantelés et privatisés, déclin organisé de l’Éducation nationale et suppression des hôpitaux de proximité, cessation de paiement menaçant nombre de paysans travailleurs…

    Pendant ce temps, les profits des grandes entreprises, notamment de celles du CAC-40 ne cessent de progresser et leur PDG empochent des parachutes dorés indécent qui se chiffrent à plusieurs million d’euros. De plus en plus, la situation de la France ressemble à celle de la fin de l’Ancien Régime à ceci près que notre pays a perdu toute indépendance, voire toute dignité nationale (Hollande rampe littéralement derrière Angela Merkel!) !

    Pour changer la donne, il faut arrêter avec ces « journées nationales  » d’action sans but revendicatif clair et sans construction de la nationale interprofessionnelle, car ce type d’action parrainé par la C.E.S et par la C.F.D.T., ne font que décourager les travailleurs. Ce qu’il faut pour contraindre le gouvernement et le MEDEF, c’est une grande nationale dans la durée jusqu’à satisfaction des revendications. Il faut arrêter d’injecter des milliards dans les poches des entreprises du CAC-40 pour soit disant relancer l’emploi qui en fin de comptes viennent remplir les poches des actionnaires: l’emploi ne pourrait être relancer que par une augmentation du pouvoir d’achat des ménages, par une politique industrielle et agricole au service de la nation avec la reconstitution d’un fort secteur public démocratisé.

    Autre leçon de ce qui vient de se passer en Grèce, c’est que l’UE est avant tout dominée par le capital financier qui na ni morale ni patriotisme, coûteuses et fauteuses de terrorisme , de casse de pays entiers et de migrations de masse. Et conséquences directe des ses politiques d’austérité, des partis fasciste sont à la porte du pouvoir dans notre pays avec un seul but en tête : non pas sortir la France de l’UE atlantique et du capitalisme, cause profondes de nos malheurs, mais écraser les résistances populaires et fomenter la guerre civile entre les « communautés » religieuses !

    Donc, sans attendre ouvrons une autre voie pour la France car, il est plus que nécessaire de construire un Front antifasciste, patriotique et populaire (FRAPP° dans l’esprit du CNR et de son programme « Les jours heureux » pour sortir la France de l’UE atlantique, nationaliser les secteurs-clés de l’économie et rouvrir la voie du socialisme à notre pays.

    Commission Luttes du PRCF

     

    – N° 16 -semaine 37

    Neuville-de-Poitou : les enseignants du collège en grève contre les classe surchargées

    Les enseignants du collège Jean-Rostand de Neuville-de-Poitou, soutenus par l’UNSA, sont en grève ce mardi pour le jour de la rentrée scolaire. Ils dénoncent les classes surchargées et le manque de moyens en matière d’encadrement, notamment pour les surveillants et infirmière.

    Le Puy : en grève pour soutenir leur collègue licenciée

    Pourquoi une psychologue de l’Association pour Adultes et Jeunes Handicapés du Puy a-t-elle été licenciée « sans avertissement préalable » durant l’été ? C’est ce que veulent savoir ses collègues, en grève ce lundi. Ils dénoncent un licenciement brutal et soudain, pendant la fermeture estivale. Une vingtaine de salariés de l’Association pour Adultes et Jeunes Handicapés du Puy-en-Velay ont fait grève ce lundi 31 août 2015.

    Lycée de Céret : grève des personnels de la vie scolaire

    Dès ce premier jour de la rentrée au lycée Déodat de Séverac, les onze personnels de la vie scolaire, dont les deux conseillers principaux d’éducation,  sont en grève. A l’origine de ce mouvement, la suppression inattendue d’un demi poste de conseiller principal d’éducation (CPE) après  plusieurs engagements pris  par l’administration quant à son maintien.

    Toulouse : Première grève au lycée Rive Gauche

    Ils ont commencé l’année scolaire sur le parvis de l’établissement situé dans le quartier des Pradettes à Toulouse. À l’invitation d’une vingtaine de professeurs de la filière des arts appliqués du lycée Rive Gauche, près de 200 élèves, y compris des anciens, sont venus hier manifester leur mécontentement après le départ de Philippe Pujol, chef de travaux très apprécié, qui a appris vendredi dernier sa nouvelle affectation dans le Gers.

    Auch : La grève lancée à la polyclinique

    «Nous n’avons eu aucune réponse !», regrettaient les grévistes de la polyclinique de Gascogne, hier après-midi. Ils sortaient d’une réunion avec la directrice de l’établissement et (en visio-conférence) avec l’un des responsables du groupe Vitalia, propriétaire de l’établissement. Depuis hier matin, les personnels de la polyclinique ont en effet débuté une grève reconductible. Et «devant le manque de réponse de la direction, la grève est reconduite» aujourd’hui, indique Alain Calmette, l’un des représentants du personnel.

    Réforme du collège : appel à une nouvelle grève le 17 septembre

    Le Snes estime qu’il est toujours possible de changer les textes de la réforme du collège, publiés au « Journal officiel » en mai. Plusieurs syndicats hostiles à la réforme du collège pour 2016 appellent les enseignants à une troisième grève le 17 septembre.

    Grève à l’APAJH : le mouvement se poursuit sous forme de débrayages ponctuels

    Une délégation a été reçue en fin d’après-midi par le président de l’APAJH, cinq membres du Conseil d’Administration ainsi que le directeur général. Faute de « réponses précises à nos questions », les grévistes ont décidé de poursuivre le mouvement sous forme de débrayages ponctuels. De nombreuses inquiétudes persistent pour les gérivistes, qui expliquent dans un communiqué de presse adressé à notre rédaction:

    « Nous n’avons pas pu revenir sur le procédé choquant utilisé lors du licenciement de notre collègue. L’association valide son choix d’un management autoritaire qui apparait déshumanisant pour les professionnels et ne prend pas en compte la complexité des soins ni la réflexion nécessaire au travail en équipe pluridisciplinaire. La question de la souffrance au travail, générée par ce type de management, n’a pas été suffisamment entendue. Les salariés craignent une marchandisation des soins, qui ne considérerait plus la globalité des personnes fragilisées par leurs situations de handicap ».

    Accueil périscolaire au Havre. Les animateurs des écoles en grève

    Au Havre (Seine-Maritime), mercredi 2 , les animateurs sont en grève. Ils dénoncent de « très mauvaises conditions de travail » liées à la réforme scolaire.

    Grenoble : les atsem en grève pour obtenir des recrutements

    Les atsem de la ville de grenoble se sont mis en grève en cette rentrée des classes pour réclamer des créations de poste, afin d’obtenir un atsem par classe. Il s’agissait d’un engagement de la nouvelle municipalité

    Dentressangle : 52 salariés en grève à Thouars

    La plateforme logistique thouarsaise de Dentressangle, rachetée par le groupe XPO, est menacée de fermeture en 2016. Son unique client se désengage. Depuis des mois, ils savent leurs postes menacés. Face à l’absence de réaction de leur direction, les salariés de la plateforme logistique XPO, ex-Norbert Dentressangle, à Thouars, ont décidé hier d’engager un mouvement de grève.

    Des Ralae, responsables animation loisirs, toujours en grève à Montpellier

    52 des 63 Ralae, responsables animation loisirs employés par la mairie, étaient en grève, mardi, jour de rentrée à Montpellier. Une grève qui perturbe notamment les cantines mais les « Ralae » entendent poursuivre leur mouvement s’ils n’obtiennent pas la revalorisation salariale qu’ils demandent.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Publiée le 2/09/2015

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Stand PRCF Fête HUMA

    Stand Fête HUMA

    PROGRAMME

    Vendredi 11 Septembre 13h, inauguration du Stand

    • 14h, 18h, 21h, concert de Rap / Hip-Hop

    • 16h : débat JRCF concernant la situation de la Jeunesse, en présence des artistes*

    Samedi 12 Septembre

    14 h30, Débat avec les Amis des républicains espagnols : La 3ème République ? Quel avenir pour l’Espagne et pour la solidarité militante franco-espagnole ?

    17 h, meeting international avec MM les Ambassadeurs de Cuba et du Venezuela, Le représentant du Parti SADI du Mali et d’autres invités.

    A l’issue du meeting, débat avec Marianne Dunlop et Danielle Bleitrach sur le livre « URSS, 20 ans après » , suivi d’une vente-signature.

    Dimanche 13 Septembre

    14 h 30, débat politique : sortir de l’UE atlantique et de l’euro par la porte à gauche, utopie ou unique voie réaliste pour le socialisme ?

     *************************************************

    Samedi 12 Septembre

    14 h30, Débat avec les Amis des républicains espagnols : La 3ème République ? Quel avenir pour l’Espagne et pour la solidarité militante franco-espagnole ? 

    Drapeau républicain espagnol


    LOGO_PART_COM_CUBANO. PCC cuba 

    17 h, meeting international en présence de :

    A l’issue du meeting, débat avec Marianne Dunlop et sur le livre « URSS, 20 ans après » Editions DELGA, suivi d’une vente-signature.

    Delga-URSS-20-ans-après-bleitrach-dunlop

    Dimanche 13 Septembre 

    14 h 30, débat politique : sortir de l’UE atlantique et de l’euro par la porte à gauche, utopie ou unique voie réaliste pour le socialisme ?

    Puis vente et signature des livres récents parus chez DELGA d’Annie Lacroix-Riz, , etc .. et Léon Landini dont le livre paraît pour la Fête de l’Huma..

    Aux origines du carcan européen (1900-1960) Annie Lacroix-RizMarxisme Universalisme Gastaud-580x850

    Animation culturelle et débat JRCF

    Vendredi 11 Septembre

    • 14h : concert Rap / Hip-Hop
    • 16h : débat JRCF concernant la situation de la Jeunesse, en présence des artistes*
    • 18h : concert Rap / Hip-Hop
    • 21h : concert Rap / Hip-Hop

    Samedi 12 Septembre

    • 21h : concert Rap / Hip-Hop*

    Dimanche 13 Septembre

          Intervenants Rap / Hip-Hop

    Rap-HipHop

    En permanence,

    Vente-diffusion au stand d’INITIATIVE COMMUNISTE, mensuel du PRCF, d’ETINCELLES, revue théorique marxiste-léniniste, drapeaux, insignes, etc.

    Huma 2014 JPaul B-Madeleine1


    Table du Comité de Solidarité Internationaliste pour la Solidarité de Classe : solidarité avec Cuba, avec Mumia, avec les communistes persécutés et interdits à l’Est de l’Europe…

    CISC150

    Matériel du COURRIEL, association internationaliste pour la résistance linguistique au tout-anglais

    courriel-212x3001

    En permanence :

    Bar, Restauration légèreMenu rapide, Mojito des JRCF de soutien à CUBA

    Huma 2014 mojito1

    Huma 2014 Annie JClaude Sylvie  Huma 2014 Jo José

    OÙ NOUS TROUVER ?

    Notre adresse : Stand PRCF n° 156, avenue Woody GUTHRIE

    Nous sommes entre les stands de la CGT et de la Haute Vienne, à gauche de la scène Zebrock et de la place Georges Moustaki, face à la Halle Nina Simone.

    Huma 2015 Woody-Guthrie

    Le PRCF à la Fête de l’HUMA 2015 (11-13 septembre)

     source: initiative-communiste.fr

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Billet Rouge-Tout cela manque d’audace, Monsieur Valls! – par Floréal (IC.fr-31/08/2015)

    « De l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace ! », s’exclamait Georges Danton devant la Convention à l’époque où la bourgeoisie française et sa « gauche » dite « montagnarde » marchaient aux avant-postes de l’Histoire mondiale…

    Qu’on se rassure, ce conseil grandiose a été entendu par les dirigeants actuels du . Dynamitant successivement tous les « tabous » hérités de la « vieille gauche », le quarteron de luxe L.V.M.H. (Le Drian, Valls, Macron, Hollande) s’émancipe à grand bruit des archaïques « totems » gauchistes :

     

    • l’indépendance de la France par rapport aux USA ?
        Foulée au pieds pour rallier le commandement intégré de l’OTAN et faire de l’anglais la langue de travail de l’armée « française » !
    • Les aéroports publics ? Privatisez-moi cette vieillerie et qu’ça saute !
    • Les cotisations sociales du patronat mises en place par Croizat en 1945 ? Dégagez-moi ces « freins à l’embauche » !
    • Les Prud’hommes, les Comités d’hygiène et de sécurité dans les usines ? A la poubelle, et sans trier !
    • Le statut des profs ? Idées d’un autre temps, on va faire trimer ces feignants !
    • La limitation du temps de travail (quotidien, hebdomadaire, etc.) ? Sabrons cette invitation permanente à la paresse en dézinguant le repos dominical, les 35 h et en avant vers la retraite à 67 ans, comme nous venons d’aider Merkel et son nouvel exécutant Tsipras à la mettre en place en Grèce !
    • La souveraineté de la France, « socle de l’émancipation sociale » aux dires de Jaurès ? Qui c’est celui-là ?
    • Le respect dû à la langue française, « langue de la République » au titre de la Constitution ? It’s a joke, my Dear ! Ratifions plutôt la Charte européenne des langues qui aidera grandement à régionaliser et à ethniciser feue la « République une et indivisible » léguée par la Révolution jacobine…
    • L’antifascisme et l’antiracisme, alors ? Oui, oui, à la rigueur, mais uniquement au moment des élections pour cliver la concurrence de droite, le reste du temps, soutenons d’enthousiasme le régime pronazi de Kiev, fermons les yeux sur le lynchage des communistes ukrainiens car l’encerclement « otanien » de la Russie vaut bien quelques contorsions idéologiques mineures !
    • Restent alors  le féminisme, la lutte contre l’homophobie et quelques autres thèmes « sociétaux » inoffensifs pour l’euro et excellents pour l’image « moderne » du PS ? Soit, soit, mais faut pas rire non plus : veillons tout de même à ce que ces thématiques ne nuisent par trop à nos excellentes relations militaro-financiaro-footballistiques avec ces porte-enseigne de la Révolution sociétale en marche que sont nos aimables sponsors du Qatar et de l’Arabie saoudite…

     

    Décidément le « courage » est la chose du monde la mieux partagée au PS : entendons le « courage » d’affronter les « petits », le monde du travail, les pays dominés de l’Est et du Sud, celui de réduire à un trompeur emballage « citoyen » les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité qui, sous le nom d’EMC, servent désormais à fabriquer du consensus scolaire de la maternelle à l’Université…

     

    Allez, MM. les « socialistes » L.V.H.M., encore un petit effort pour dégager à la schlague le Code du travail, ce boulet, les services d’urgence de proximité, les communes, les départements, le bac national égalitaire, et pour finir, cette encombrante Sécu qui fait de la France la honte de l’UE thatchérienne et le clone de la Corée du nord au cœur de l’Union transatlantique en gestation !

     

     « Audacieux », oui vous l’êtes incontestablement,  MM. les L.V.M.H., quand il s’agit d’écraser les faibles ; mais vous êtes de francs reptiles quand il s’agit de courtiser le MEDEF ou de filer doux devant Angela, Juncker ou Obama. Et dans l’histoire, vous ne prendrez certes pas place à la suite de la Bonne Lorraine, de l’Incorruptible, de Louise Michel, de Jeanne Labourbe ou de Jean Moulin – qui eurent en commun d’avoir sur dire « Non », voire « M…. ! » au moment crucial – mais derrière l’évêque Cauchon, les Coblençards, les Versaillais et autres collaborateurs à l’entreprise sans cesse résurgente de casse de la Nation !

    Floréal-le 31/08/2015

    source: initiative-communiste.fr

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires