• Brest (29). Une centaine de personnes manifestent « pour le droit au travail » (OF.fr-5/12/20-13h14)

    Samedi 5 décembre, une centaine de personnes se sont rassemblées sur la place de la Liberté, à Brest (Finistère), « pour le droit au travail, à la protection sociale, contre le chômage et la précarité ».Samedi 5 décembre, une centaine de personnes se sont rassemblées sur la place de la Liberté, à Brest (Finistère), « pour le droit au travail, à la protection sociale, contre le chômage et la précarité ». 

    Samedi 5 décembre, une centaine de personnes se sont rassemblées sur la place de la Liberté, à Brest (Finistère), « pour le droit au travail, à la protection sociale, contre le chômage et la précarité », à l’appel de l’intersyndicale CGT-FSU-FO-Solidaires.

    Samedi 5 décembre, une centaine de personnes se sont rassemblées sur la place de la Liberté, à Brest (Finistère), « pour le droit au travail, à la protection sociale, contre le chômage et la précarité ». 

    « Licenciements, chômage, précarité, pauvreté ne sont pas une fatalité »

    Elles répondaient à l’appel d’une intersyndicale regroupant la CGT, la FSU, FO, Solidaires, qui ont rappelé les mots d’ordre suivants : « Toute personne a droit à un emploi [Droit au travail]. [Il faut] des embauches immédiates dans le privé et le public pour répondre aux besoins. Pas de subventions au patronat sans arrêts des licenciements, sans embauches, et sans développement du droit à la formation. »

    Les manifestants réclament aussi « l’annulation définitive de la réforme assurance chômage, une indemnité pour tous les chômeurs et les chômeuses et la suppression des seuils d’accès à la protection sociale. »

    Samedi 5 décembre, une centaine de personnes se sont rassemblées sur la place de la Liberté, à Brest (Finistère), « pour le droit au travail, à la protection sociale, contre le chômage et la précarité ». 

    « Licenciements, chômage, précarité, pauvreté ne sont pas une fatalité ! ont rappelé, sur les marches de l’hôtel de ville, les porte-parole successifs. Contre le dumping social et la crise écologique, il faut produire ici ce dont nous avons besoin. La création d’emplois, leur qualité, l’augmentation des salaires sont possibles avec le partage des richesses. »

    Gaël HAUTEMULLE

     

    source: https://www.ouest-france.fr/

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