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Contre la mise en place du pass sanitaire, la vaccination obligatoire des soignants et la politique autoritaire et antisociale de Macron (GJ-Brest-20/08/21)
Actuellement, E. Macron nous fait payer la politique de destruction des structures de santé mise en œuvre depuis des années, d’ailleurs elle continue malgré cette crise : 800 lits fermés au 1er trimestre 2021 mais 60 millions d’euros par mois dépensés pour embaucher des vigiles pour contrôler le pass sanitaire dans les hôpitaux.
Alors que penser de tout l’argent soudain disponible pour confiner, soutenir l’économie, maintenir des commerces fermés. Que penser de tout l’argent disponible pour les tests, les structures et le personnel de vaccination, les différentes mesures de contrôle. Que penser de la mise à l’écart des médecins traitants, des interdictions de prescrire etc. ?
La politique de santé actuelle est à l’image du banquier d’affaires qui nous gouverne. Investissements et rentabilité à court terme, qu’importent les dégâts collatéraux, l’humain n’est pas sa priorité, nous l’avons tous compris. En imposant ce pass sanitaire, il crée de l’inégalité, de la discrimination, une fracture sociale et des tensions dans la population, mais son choix est clair : obtenir une vaccination en masse.
En principe trois possibilités pour obtenir le pass sanitaire mais dans la réalité une seule est pratique. La première : se tester tous les 2 jours, intenable. La deuxième : avoir été malade. Si c’est récent, vous aurez le sésame pour un certain temps. Du coup certains pensent à contracter volontairement la Covid. La troisième : se vacciner.
Alors oui, se vacciner n’est pas obligatoire mais c’est bel et bien le plus court chemin vers le pass sanitaire. Et le prochain objectif est déjà fixé : le pass sera obligatoire pour les 12-17 ans fin septembre. Il faut donc vacciner les jeunes, enfants compris. Les jeunes, pour qui on nous a dit et répété que la Covid ne présentait pas de risque particulier, le foyer épidémique de la semaine dernière dans une colonie de vacances de Belle-Île en témoigne… Pour faciliter la chose, au programme des réjouissances on a : sortie scolaire au centre de vaccination, accord d’un seul des parents pour vacciner et plus d’accord parental à partir de 16 ans…
Bien entendu, puisque nous naviguons au gré des humeurs de l’Élysée, du conseil scientifique et du cabinet de conseil McKinsey, nous ne sommes pas l’abri de nouvelles mesures après la rentrée. Petite parenthèse, McKinsey : géré par un certain Fabius, fils de Laurent siégeant au conseil constitutionnel qui n’a rien trouvé à redire aux dernières mesures présidentielles.
Cette incertitude, cette absence de visibilité et cette navigation à vue deviennent de plus en plus insupportables.
Tout aussi insupportable est cette politique de santé qui consiste à mettre œuvre un chantage au travail ou au pass sanitaire pour obtenir ses objectifs de vaccination.
Nous réclamons la liberté de choisir, et l’égalité. En démocratie, un adulte est considéré en capacité de décider en son âme et conscience de ce qui semble juste pour lui.
Quand le discours politique et médiatique vise à faire peur, à semer le trouble dans les esprits, et que l’opposition politique est quasi inexistante, il est salutaire de se questionner sur l’objectif que poursuivent les dirigeants.On pourrait se demander si derrière la vaccination de masse souhaitée il n’y a pas la volonté de faire accepter l’idée, que pour faire société, l’individu doit se déposséder de son corps ? Si derrière ce pass sanitaire, il n’y a pas la volonté de faire accepter l’idée, que pour son bien, l’individu doit accepter d’être l’objet d’une surveillance permanente ?
Il y a urgence pour nous, simples citoyens ; urgence à bousculer l’ordre établi pour la simple et bonne raison que les forces gouvernantes sont en train de nous déshumaniser, tout en nous assurant du contraire. Bien sûr, ce projet politique ne sera pas affiché, il avancera à pas de loup, et s’imposera à nous, sans qu’on s’en aperçoive.
La constitution nous dit souverains, alors plus que jamais il nous faut réinvestir le champ politique pour décider nous-mêmes de notre destin commun.
Pour résister, il faut savoir mettre de côté pour un temps nos convictions pour rencontrer une cause qui les dépasse ! Face à ceux qui décident, il nous faut plus que jamais nous unir, ils feront tout, avec l’aide des médias, pour nous discréditer. Peu importe, notre combat est juste, nous ne sommes pas anti-démocratie comme l’affirme Emmanuel macron, nous demandons un RETOUR de la démocratie.
Ce pass sanitaire fait honte à la France, nous exigeons son retrait et la liberté de choix vaccinal, nous exigeons la suppression de l’état d’urgence sanitaire. Nous exigeons que nos représentants combattent fermement Emmanuel Macron et sa politique.
Nous devons faire pression sur les élus pour qu’ils agissent, écrivez-leur !! Allez les voir dans leur permanence ! Soyons résolus à ne plus obéir ! Gardons espoir. Face à la résistance des citoyens en Russie, le pass à été retiré, en Islande aussi.
Ensemble nous sommes de la dynamite !
Le tract
« Encouragée par le gouvernement, la méthanisation est-elle une énergie verte si écologique ? (OF.fr-20/08/21-07h25)Aucune concession à l’antisémitisme (IC.fr-17/08/21) »
Tags : Finistère, Brest, passe sanitaire, contre-réformes antisociales, GJ-Brest
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