• Covid-19 : Les enfants tout aussi contagieux et contaminés que les adultes, la réouverture des écoles n’est menée qu’au profit du Capital. (IC.fr-18/06/20)

    Asymptomatiques, peu capable d’appliquer des gestes barrières complexes, et ayant des interactions sociales souvent plus nombreuses que les adultes en raison du temps passé dans la collectivité scolaires, les enfants ont été identifiés dès le début de l’épidémie comme une des composantes de la dynamique de l’épidémie de covid-19. Après avoir refusé de prendre la moindre mesure de sécurisation des établissements scolaires – y compris par le port du masque, c’est dernier étant en pénurie absolue – le ministre Blanquer sera obligé de les fermer brutalement avec le confinement général le 16 mars, contredisant ses déclarations de la veille, plongeant enseignants et familles dans le chaos. Il aura fallu tous le dévouement des enseignants, véritables héros dans cette crise, et les sacrifices de parents pour permettre pour les  de ce pays une forme de continuité de l’enseignement, loin de la continuité complète promise par un ministre super menteur.

    La seule étude épidémiologique complète réalisée en France démontrera quelques semaines plus tard l’ampleur de la contamination dans une collectivité scolaire avec le cas du foyer épidémique (un cluster selon le jargon en globish des ARS) du lycée de Crépy en Valois (cliquer ici pour lire). Les conclusions de l’étude sont tranchantes : seule la fermeture du lycée par la période de vacances scolaires a permis de stopper la propagation de l’épidémie. Plus de 40% des personnes fréquentant le lycée sont malades, le niveaux de contagions allant croissant selon le niveau d’interactions sociales dans la communauté (des élèves au personnel de direction) ; les élèves malades ont générés un niveau de contagion de même ordre de contagiosité parmi leur entourage !

    A la tête de la campagne pour la réouverture massive des écoles, le docteur Cohen, pédiatre à Saint Maur des Fossés, également en charge à l’hôpital intercommunal de Créteil. Sulfureux, l’homme est un des rares médecins à avoir été condamné par l’ordre des médecins pour ne pas avoir déclaré ses liens d’intérêts lors de plusieurs de ses interventions, symptôme de son niveau de déontologie. Et ce alors qu’il coordonne la plateforme infovac… tout en ayant des liens d’intérêt avec les fabricants de vaccins. L’homme est en effet un conseil de Astra Zeneca – la multinationale qui vient de pré-vendre un vaccin non testé auprès de l’UE – , de GSK, de Janssen, de MSD et de Pfizer, firmes qui alimentent également le budget de l’institution où il travaille.

    Dès le 11 mai, emboîtant le pas à E Macron, Robert Cohen, vice président de la Société française de pédiatrie, lance une campagne dans les médias pour remettre tous les enfants à l’école, affirmant ainsi par exemple sur Europe 1 ” le bénéfice est tellement plus important qu’un risque minime” ou encore péremptoire “le risque pour les enfants est modeste, pas nul, et ils sont moins contagieux que les adultes, entre eux et pour les adultes” prétendant que “les études s’accumulent pour dire que les enfants sont beaucoup moins porteurs que les adultes”Dans la foulée, la société française de pédiatrie appelle, sans aucune considération de santé d’ailleurs pour les personnels des établissements scolaires privés de masques comme du reste, à remettre tout de suite tous les enfants à l’école.

    En réalité, à ce moment, la seule étude allant de ce sens – mais qui fait l’objet d’un battage médiatique considérable – est une étude du professeur Danis Kostas. Le problème c’est qu’elle ne porte que sur le seul cas d’un enfant anglais, issu d’un des premiers cluster français dans le chalet des Contamines Montjoie. Difficile d’en tirer des généralités, contrairement à ce qu’en faisait trop rapidement cet article vite enterré.

    Des études, menées en Chine montrent pourtant un taux d’attaque de la maladie similaire entre adulte et enfants et un taux d’asymptomatiques plus important chez les jeunes enfants, confirmant le rôle dans la propagation de l’épidémie des enfants.

    Alors que la décision de rouvrir les  uniquement pour les jeunes enfants est fortement critiquée par le Conseil Scientifique. Alors que les parents refusent pour beaucoup de prendre le risque d’envoyer leurs enfants à l’école d’une part, d’autre part que le protocole sanitaire issus des recommandation du conseil scientifique limite à la moitié la capacité d’accueil des établissements scolaire, une campagne médiatique est à nouveau lancée pour accréditer à nouveaux que l’épidémie de  ne concernerait pas les enfants. En combinaison avec une campagne de haine initiée par le ministre Blanquer contre les enseignants (lire ici). Cohen donne une interview – reprise en boucle par tous les médias – au Parisien, proclamant, péremptoire ” les enfants sont de tout petits contaminateurs”. Affirmant que dans “presque tous les cas, c’est un parent qui a contaminé l’enfant…”. Tout ce discours tombe à point nommé pour l’accélération à marche forcé d’un déconfinement totalement guidé par la course au profit plutôt que la protection rationnelle de la sécurité sanitaire d’une part, d’autre part l’information correcte des parents et enseignants qui ont le droit de savoir les risques pris par les enfants et pour eux-même.

    A Initiative Communiste, nous avons mené l’enquête, en allant au delà de ces déclarations péremptoire et en remontant à la source des articles scientifique publiés, y compris ceux de l’équipe de M Robert Cohen.

    En Allemagne, une étude confirme l’infection des enfants

    L’Allemagne est un des pays à avoir réalisé des tests de dépistages en masse, et à avoir eu une propagation significative de l’épidémie. Ce qui en fait une base solide d’étude sur le comportement de l’épidémie. A la différence de pays tels que l’Islande où l’épidémie à très peu circulé sans doute grâce au dépistage intégral de la population de l’ile, où au Japon où l’épidémie a également été contrôlée . A la différence aussi de pays comme la France et les Pays Bas qui ont très peu testé et dont les statistiques issues des tests sont donc peu fiables sur les modalités de transmissions de la maladie et les taux d’infection, notamment parmi les populations peu ou a symptomatiques.

    Une étude menée par le professer Chritian Drosten de l’hôpital allemand de référence de la Charité à Berlin permet de dresser un tableau de la situation épidémique en fonction de l’age, à travers une cohorte de près de 4000 malades, issue du test de 60 000 personnes dont 4000 jeunes de moins de 20 ans. Parmi eux 127 positifs au covid-19 (3.2%). L’étude souligne de façon logique que le confinement a permis de limiter le rôle des enfants comme patients zéro dans l’infection des clusters familiaux, et que le taux de test positif s’explique d’autant plus que structurellement l’importation de l’épidémie par des voyageurs essentiellement adultes n’a pas exposé en premier ressort les populations d’enfants.

    Et la conclusion de l’étude est formelle : si le taux de détection est plus faible chez les enfants, la prévalence de l’épidémie n’est pas influencée par l’age. Et l’étude de conclure que si le taux d’attaque est similaire chez les enfants, en raison de l’absence ou de la faiblesse des symptômes, ces derniers sont sous représentés dans les études cliniques. Posant ainsi de façon certaine une réserve très importante sur les études menées en France qui ne l’ont été que sur les patients très symptomatiques, ceux développant des formes graves et ayant accès aux tests, à l’exception de l’IHU de Marseille. Par ailleurs l’analyse des charges virales ne fait pas apparaître de différence significative entre les adultes et les enfants.

    Pour la très sérieuse et documentée institution allemande ” l’observation [d’un nombre plus faible d’enfants infectés] ne doit pas être mal interprétée comme une indication que les enfants serait moins infectieux” “Le potentiel de transmission dans les écoles et maternelles devrait être évalué de la même façon que pour les adultes”

    Clair, net, précis. En conséquence l’Allemagne a procédé à une réouverture de ses établissements prioritairement pour les classes d’examens et avec les élèves les plus âgés, autonomes dans l’application des gestes barrières. L’exact inverse de la politique imposée par Macron Blanquer en France.

    L’étude de l’IHU de Marseille confirme la charge virale similaire des enfants et des adultes

    A l’IHU de Marseille, là où ont été testés le plus de personne en France, c’est 3764 jeunes de moins de 18 ans qui ont testés par méthode PCR. Révélant 302 positifs dont 107 enfants de moins de 10 ans. Un taux de test positif (8%) deux fois supérieur à la cohorte étudiées à l’hôpital de Berlin, tordant probablement le cou à une circulation faible du virus à Marseille, la campagne de tests ayant été importante dans les deux villes. Le docteur Aurélie Morand a publié un article présentant le résultat de l’analyse pour les enfants issue de ces tests, confirmant d’ailleurs que l’IHU de Marseille a fait bien plus que de prescrire le tandem azythromicine et hydroxychloroquine objet d’une vilaine polémique : recherchant, dépistant, isolant et soignant ensuite tous les patients, tout en mettant à disposition de la communauté scientifique des données transparentes et détaillées. N’est ce pas là l’essentiel ?

    80 % de ces cas positifs ont été recrutés à travers des cas contacts en raison de la détection d’autres cas de covid19 dans leur entourage, 17% en admission aux urgences pédiatriques. Les enfants testés sont un peu moins positifs que les adultes ( 8.1% contre 12,2%), mais le biais de recrutement – essentiellement comme cas contacts des adultes primo testés – ne permet à l’évidence pas de conclure ici à une moindre infection.

    En revanche, l’étude confirme, par le suivi de la charge virale de 250 de ces enfants que enfants et adultes présentent une charge virale similaire (27.4 pour les premiers, 26.1 pour les seconds en moyenne), c’est à dire une génération de matériel infectieux proche.

    L’article mentionne une excrétion virale plus faible parmi les enfants et jeunes adultes mais les chiffres ne sont pas publiés par l’article. Ce qui ne permet pas de confirmer la solidité de cette affirmation. Et il ne prouve en aucun cas une contagiosité plus faible.

    L’étude souligne que le test réservé uniquement aux enfants symptomatiques sous estime grandement l’infection des enfants. Avec 5.2% de tests positifs en recherchant les cas contacts y compris asymptomatiques, la campagne de test a retrouvé bien plus d’enfants malades que ce qui est généralement rapportés pour les enfants ( 0.8 à 1.7%). L’IHU alerte ainsi sur la nécessité d’une recherche moins restrictive des cas pour éviter de manquer le soins, l’isolement et le suivi clinique de ces enfants malades. Observons que la politique de Macron Veran Blanquer tourne encore aujourd’hui le dos à cette recommandation de bon sens partagée par l’OMS : tester, tester et tester !

    Enfin l’étude confirme que la maladie est généralement asymptomatique (32.3%) ou de symptômes bénins (50.8%) pour les 130 enfants pour lequel le suivi statistique a été possible, et donc de relativement bon pronostic. Ce qui laisse tout de même, une proportion proche de 17% de formes plus sévères de la maladies nécessitant une hospitalisation, mais qui est à rapprocher avec le fait que la population d’enfants suivie pour cette analyse était sans maladie chronique préalable.

    Menée principalement durant le confinement, cette étude ne permet pas d’apporter d’élément sur la contagiosité, ce point n’étant d’ailleurs pas réellement débattu par les chercheurs.

    Les très étranges études du professeur Robert Cohen, ne permettent pas d’affirmer que les enfants ne sont pas contagieux :

    Avec avoir analysée ces deux études menée à Berlin et à Marseille de façon indépendantes, globalement convergente dans leurs résultats et conclusions, on peut maintenant s’intéresser aux études de Robert Cohen et de ses équipes. Mettons de coté le très folklorique article portant sur le cluster familial des Contamines Montjoie, dont nous avons déjà analysée toutes les limites, à travers des conclusions tirées de l’exemple d’une cohorte constituée d’un unique enfant ! Rappelons juste en préambule que c’est ce qui a argumenté la campagne de Robert Cohen et l’affirmation médiatique que les enfants sont peu contagieux et qu’il fallait rouvrir à toutes vitesses les écoles pour les jeunes enfants. Proprement délirant !

    Une étude plus complète en terme de cohorte d’analyse a été publiée le 21 mai 2020, dirigée par Corinne Levy officiant à Créteil avec Robert Cohen. Elle fait l’objet d’un court article de 11 pages tout compris. Elle semble avoir recueillie des données de 18 services de pédiatries hospitalières en France, si on se fit à la liste des auteurs. Mais fait notable, l’IHU de Marseille en est exclu. On a pourtant vu que c’est lui qui a recruté la plus nombreuse cohorte d’enfants malades en Europe ! Etrange ? oui très étrange ! Et ce d’autant plus que le but affiché de l’étude est de rechercher une éventuelle influence de l’age sur le taux de tests PCR positif. L’article mentionne 45 structures pédiatriques, sans les lister ni fournir le détail des cohortes fournies par chacun. Pour la fiabilité et la transparence, on repassera !

    L’étude examine 6490 tests PCR “d’enfants” – enfant entre guillemet car le terme n’est pas défini en terme d’age et la structure de cette population n’est pas définie statistiquement – pour le sérieux méthodologique on repassera. Soit 12% du total des tests réalisés dans les laboratoires de virologie de ces hôpitaux.

    les résultats présentés sont les suivants :

    • un taux de positifs de 5.9% pour les “enfants”, 3,5 fois plus faible que pour les adultes ( 20.3%). On observera ici la totale divergence de ces résultats d’avec ceux de Berlin et Marseille. A Berlin le taux de positif des adultes est de 5.27% … inférieur au taux de positif de l’étude du professeur Robert Cohen pour les enfants ! La manipulation statistique est ici grossière. En effet, le biais de recrutement des populations testés est totalement passé sous silence : n’ont eu accès aux tests que les personnes présentant des symptômes lourds ayant accès aux hôpitaux. Alors que les personnes agées étaient exclues d’office des hôpitaux n’admettant parmi les adultes que les cas graves, il est très probable que les enfants aient eu un accès plus facile aux tests.
    • les courbes d’évolution du taux de positivité des tests confirment l’absence de représentativité de ces taux. Avec une variation du simple au triple du taux de positivité des adultes entre le pic de l’épidémie et la fin du mois d’avril. Le taux délirant de 43,9% de tests positif à la fin mars à Paris démontre un système de tests totalement saturé, et donc des taux de positivité sans aucune valeur statistique descriptive. Mais la variation est similaire pour les enfants, avec une variation d’un facteur 5 à Paris pour les enfants. De fait, la variation d’un facteur 2 du rapport entre les taux de positifs des adultes et des enfants au long de l’épidémie est caractéristique d’une non démonstration de l’effet de l’age sur le taux de positivité, mais plus probablement d’un fort biais de recrutement lié à la saturation du système de test et aux conditions de limitation de l’accès aux tests mises en œuvre par le régime Macron.
    • bien que gêné par le constat d’une charge virale similaire entre enfants et adultes, l’article argumente à un taux de contamination secondaire faible des enfants. Mais ce point n’est en réalité étayé que par le cas de l’enfant malade des Contamines. La puissance de cette étude de cas individuelle est pourtant très faible, pour ne pas dire nulle, comme nous l’avons déjà indiqué. Et l’article de conclure expéditivement à “un rôle modeste des enfants et de la réouverture des écoles dans la dynamique de l’épidémie” ; soit exactement la recommandation déjà formulée par l’association française de pédiatrie avant même avoir menée l’étude faisant l’objet de l’article ! Pas très sérieux, ni scientifique !

    Preuve de l’absence de sérieux de l’analyse, l’article présente une discussion de l’évolution des taux de positivités des tests, sans jamais les rapporter ni au nombre de positifs et aux nombres de tests pratiqués en valeurs absolues, ou rapporté pour ces derniers aux nombres de demande de tests. Comme s’il n’y avait pas eu pénurie massive de test et donc une forte sélection pour l’éligibilité à ces tests. Pire l’article conclue à une infection prioritaire des enfants par les parents, sur la seule base du rapprochement des taux de positivité des tests des enfants et parents au pic de l’épidémie ! Et ce alors que la pénurie explique à elle seule ce rapprochement. Par ailleurs, avec le confinement, il est certains que dans les familles – non dépistées donc avec des malades non isolés – où les adultes sont les seuls à pouvoir ou devoir sortir, ce soit les adultes qui aient plus probablement pu être les vecteurs de contamination des enfants, la quasi totalité de l’étude ayant été menée après le confinement. Par ailleurs l’étude agrège des résultats de tests PCR réalisés dans des centres différents, sans même discutés des variations de méthodes, de matériels et de conditions de réalisation.

    On observera que l’article du professeur Robert Cohen [2] pompeusement intitulé COVID-19 chez l’enfant est encore pire dans ses procédés douteux :

    • le médecin affirme ainsi que même si les formes peu sévères et asymptomatiques ne sont pas étudiés, elle serait moins fréquentes chez l’enfant. Comme cela, sans plus d’argument ni de justification !
    • les hospitalisations seraient ainsi réduites d’un facteur 100 chez l’enfant. Pourtant les chiffres de l’IHU indique un taux d’hospitalisation non négligeable de 17% chez les moins de 18 ans à Marseille. Certainement pas 100 fois moins que chez les adultes. D’ailleurs l’étude du docteur chinois Yanyuan Dong citée en référence montre l’exact contraire avec des formes sévères aussi fréquentes pour les jeunes de moins de 15 ans que pour les plus de 15 ans (autour de 10%, ce qui n’est pas négligeables non plus). La seconde étude citée ne porte que sur… 6 enfants !
    • il balaye d’un revers de manche les syndromes inflammatoires graves de Kawasaky. Pourtant 137 déclarations de ce syndrome ont été faites à  Public France. Pas vraiment insignifiant, d’autant que cette forme grave se produit à distance de plusieurs semaines de l’infection.
    • et d’éructer “contrairement aux informations tronquées de Santé Publique France, les enfants sont moins contagieux que les adultes”. L’étude de l’hôpital de référence en Allemagne dit pourtant, elle avec des chiffres et solides arguments à l’appui, le contraire.

    Et de conclure, alors que ce médecin est absolument incompétent en matière d’enseignement, qu’il est absolument nécessaire de ré ouvrir les établissements scolaires, écartant tout risques liés à la contagiosité des enfants.

    De pseudo études scientifiques pour protéger la responsabilité juridique d’un pouvoir prenant tous les risques sur nos enfants !

    On peut observer que la valorisation de ces études douteuses dont vous avez désormais pu apprécier tout le caractère spécieux intervient simultanément aux annonces faites par Macron du  le 11 mai, puis préalablement à la réouverture totale des écoles le 22 juin. C’est bien opportun car cela permet d’apporter une pseudo caution scientifique rassurante à un choix politique qui n’est pas sanitaire ni scolaire, mais uniquement économique. Pour faire reprendre la production de profits, il est impératif de rétablir d’urgence une garderie complète des jeunes enfants. C’est au demeurant le cap fixé dans l’Education Nationale, qui fait l’impasse sur la délivrance des diplômes nationaux comme le brevet ou le bac sur la base de l’organisation d’épreuves, mais va assurer l’accueil de tous les jeunes enfants. Sans aucun objectif de continuité pédagogique. Un acceuil dans des conditions sanitaires douteuses donc avec un protocole sanitaire directement copié collé des recommandations… du docteur Robert Cohen. Que celles-ci contredisent d’autres publications sérieuses telles que celles de l’hôpital de la Charité de Berlin, qui a pourtant prouvé son efficacité lui dans la gestion de l’épidémie, n’est évidemment pas porté à la connaissance des parents, ni des professeurs. Que celles-ci contredisent également les recommandations du Conseil Scientifique, non mises à jour malgré les déclarations informelles dans les médias de son président ces derniers jours.

    Ce sera chose faites si vous prenez la peine de partager le plus largement possible cette analyse autour de vous. Il en va des précautions à prendre par le près d’un million de personnels enseignants et 7 millions d’écoliers et 3.5 millions de collégiens

    Jean-Baptiste Clément

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

    « “Archipel français”, “Bloc contre bloc” ou conver- gence nationale des résistances ? par G. Gastaud, s.n. du PRCF, fils de Résistant (IC.fr-18/06/20)Pays de Lorient (56)-Préserver les terres agricoles de l’urbanisation (OF.fr-19/06/20-11h29) »
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