• Parc éolien : à Névez (29), « il ne faut pas crier avant d’avoir mal » (LT.fr-1/01/21-18h48)

    Françoise Dervout, adjointe à l’urbanisme de la Ville de Névez, a constitué un groupe de travail concernant le projet du parc flottant au large de l’île de Groix.Françoise Dervout, adjointe à l’urbanisme de la Ville de Névez, a constitué un groupe de travail concernant le projet du parc flottant au large de l’île de Groix.

    La commune de Névez pourrait servir de zone d’atterrage pour le futur parc éolien flottant au large de Groix. L’adjointe à l’urbanisme, Françoise Dervout, requiert de l’État des informations plus précises et plus régulières.

    Le projet d’implantation d’un parc éolien flottant au sud de la Bretagne, précisément au large de l’île de Groix, conduit de nombreux habitants à interroger les élus. La commune de Névez a en effet été identifiée comme susceptible d’accueillir la zone d’atterrage des câbles marins faisant jonction avec les câbles terrestres. Certains affichent leur accord avec ce projet et la fin de l’énergie fossile, d’autres sont plus méfiants quant aux conséquences, estimant surtout n’avoir pas été assez informés sur le sujet. Un groupe de travail s’est constitué autour de l’adjointe à l’urbanisme, Françoise Dervout. Il a ainsi assisté aux réunions du secteur, et rédigé un cahier d’acteurs pour la Commission nationale du débat public (CNDP), disponible en mairie.

     

    « Conserver le sens commun »

    L’adjointe estime que la commune a été informée très tardivement, alors que les villes du Morbihan également concernées l’ont été dès le mois de mars. « Il nous semble légitime, même s’il ne faut pas crier avant d’avoir mal, de nous poser quelques questions, pour le bien commun de Névez et de ses habitants. D’autant plus que le territoire et chacun de ses projets, tant publics que privés, sont soumis à la loi Littoral. Et que certaines côtes littorales de Névez, notamment le site de Raguénez et Rospico, sont classées Natura 2000 et donc présumées espaces remarquables. Nous ne sommes ni pour ni contre ce projet, mais plutôt pris entre deux feux : celui du progrès et celui de la préservation de l’environnement. Et nous ne pouvons pas reporter sur les communes voisines ce dont nous ne voulons pas. Nous essayons de conserver le sens commun. Mais nous souhaiterions que l’État nous apporte tous les éléments sur l’impact économique, social, environnemental, et nous garantisse un suivi des incidences », requiert l’adjointe.

    source: https://www.letelegramme.fr/

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