• Quimper. Environ 200 personnes manifestent contre la loi de sécurité globale (OF.fr-18/12/20-20h12)

    Un peu plus de 200 personnes ont manifesté contre la loi relative à la sécurité globale, ce vendredi 18 décembre 2020, à Quimper (Finistère).Un peu plus de 200 personnes ont manifesté contre la loi relative à la sécurité globale, ce vendredi 18 décembre 2020, à Quimper (Finistère). 

    À Quimper (Finistère), plus de 200 personnes se sont rassemblées, ce vendredi 18 décembre 2020, à 18 h, pour protester contre la loi relative à la sécurité globale. La dernière manifestation, le 26 novembre 2020, avait rassemblé 1 000 personnes.

    « Une loi liberticide. » C’est ainsi qu’Hervé, 73 ans, masque « Stop Amazon » sur le nez, qualifie la loi relative à la sécurité globale, adoptée en première lecture par l’Assemblée nationale le 24 novembre 2020. Comme ce septuagénaire de Douarnenez, un peu plus de 200 personnes se sont rassemblées à 18 h, ce vendredi 18 décembre 2020, place de la Résistance, à Quimper (Finistère).

    Une vingtaine d’organisations représentées

    Une vingtaine d’organisations étaient représentées. « Ce combat, c’est la défense de nos libertés fondamentales », scande, au micro, Janine Carrasco, du syndicat Solidaires. « L’idée, c’est de se retrouver et de décider de la suite, explique-t-elle. Et surtout d’informer sur cette loi. Il y a ce soir beaucoup de gens aguerris, mais il va aussi falloir aller vers la population. On verra de quelle façon. »

    Avec le couvre-feu à 20 h, pas le temps de s’attarder. Le cortège a emprunté le boulevard Dupleix avant de rejoindre les rues piétonnes du centre-ville. Sur le tracé, la rue Théodore-Le-Hars, qui mène au commissariat, a été bouclée.

    Ce vendredi 18 décembre 2020 était aussi marqué par la journée internationale des migrants. La dernière manifestation, le 26 novembre 2020, avait rassemblé 1 000 personnes.

    Pour rappel, pour « protéger ceux qui nous protègent », jetés « en pâture sur les réseaux sociaux », la majorité souhaite, avec ce texte, pénaliser d’un an de prison et 45 000 euros d’amende la diffusion de « l’image du visage ou tout autre élément d’identification » de membres des forces de l’ordre en intervention, quand elle porte « atteinte » à leur « intégrité physique ou psychique ».

    Maxime JAMES

    source: https://www.ouest-france.fr/

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