• Au Relecq-Kerhuon, le collectif Cent pour un toit se mobilise pour l’accueil des migrants. ( OF.fr - 26/03/22 - 06h30 )

    Au Relecq-Kerhuon, le collectif Cent pour un toit se mobilise pour l’accueil des migrants. ( OF.fr - 26/03/22 - 06h30 )                 Les bénévoles de Cent pour un toit se retrouvent une fois par mois pour faire le point sur les situations des familles et coordonner les actions.

    Créé il y a 3 ans, le collectif Cent pour un toit vient en aide à trois familles de migrants au Relecq-Kerhuon (Finistère). Cette solidarité peut se faire grâce à de généreux donateurs.

    C’est à partir d’une simple prise de conscience que s’est constituée le collectif relecquois Cent pour un toit, dans le Finistère, après une journée d’information sur les migrations en France, organisée par l’association D’ici demains.

    Rapidement, un bureau s’est formé rassemblant une vingtaine de membres actifs regroupés en diverses commissions (logement, santé, cours de français, scolarisation, démarches administratives, etc.).

    Ce collectif, devenu association, est affilié à l’association brestoise Digemer qui fédère une trentaine de Cent pour un toit, à Brest et sa région.

    En 2021, l’association comptait 81 donateurs. « Nous voulons aider ces familles dans l’attente d’une décision de justice sans qu’ils puissent avoir le droit de travailler pour se loger et se nourrir. Du jour au lendemain, ces familles peuvent être obligées de quitter le territoire », souligne le collectif.

    Pour aider, chaque donateur cotise suivant ses moyens. Les dons peuvent être mensualisés ou versés en une seule fois. Ils sont défiscalisés à hauteur de 75 %. Pour un don de 10 € par mois (soit 120 € sur l’année), cela coûtera en réalité 30 € par an après impôts.

    Trois familles accueillies

    Une famille serbe, composée de deux enfants, a été aidée. Le père a trouvé un poste d’entretien à temps plein dans une entreprise de nettoyage à Brest. Ils occupent actuellement un appartement, dont le loyer est partagé entre Cent pour toit de Kerhuon et de Plougastel.

    L’association s’occupe également d’une famille nigérienne composée de trois enfants. Les deux plus jeunes sont scolarisés. La mère se rend quatre fois par semaine à l’Association brestoise pour l’alphabétisation et l’apprentissage du français pour les étrangers (ABAAFE) à Brest pour perfectionner son français.

    Une mère de famille et sa fille, originaire d’Arménie, sont aussi accueillies. La maman était professeur d’histoire. Arrivée en France en 2016, elle a d’abord vécu dans le Finistère sud où sa fille est née.

    Contact : 100pour1toitlrk@gmail.com

    Source : https://www.ouest-france.fr

    « Donbass: Une journaliste française censurée – Michel Midi avec Christelle Néant- par Michel Collon (Investig'Action-25/03/22)Appel à un rassemblement mercredi à Brest contre la semaine de quatre jours et demi à l’école. ( LT.fr - 25/03/22 - 19h42 ) »
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