• Débat public et manifestation en ville de 100 à 150 anti-passe brestois ce samedi. ( LT.fr - 19/12/21 - 18h04 )

    Peu avant 17 h, les manifestants sont passés place de la Liberté. Ils étaient alors 150 à remonter la rue Jean -Jaurès.  Peu avant 17 h, les manifestants sont passés place de la Liberté. Ils étaient alors 150 à remonter la rue Jean -Jaurès. 

    À Brest, une centaine de manifestants anti-passe sanitaire étaient réunis, ce samedi, à 14 h, place de Strasbourg, pour un débat public. Ils sont arrivés 150 place de la Liberté.

    Un grand drap sur lequel était inscrit « Débat public » a été tendu ce samedi, à 14 h, place de Strasbourg, du côté de la rue Albert-Louppe. Une centaine de manifestants anti-passe sanitaire étaient réunis pour dire leur opposition à ce qui devrait devenir, en janvier, un passe vaccinal, selon les annonces faites vendredi par le Premier ministre Jean Castex, via un projet de loi déposé devant le Parlement.

    A 14 h ils étaient une centaine de manifestants anti passe place de Strasbourg pour un débat public sur la vaccination.
    À 14 h, ils étaient une centaine de manifestants anti-passe, place de Strasbourg, pour un débat public sur la vaccination.
     

    Chacun était invité à prendre le micro pour s’exprimer sur les dernières décisions prises, et notamment sur la vaccination des enfants de 5 à 11 ans, qui a commencé depuis le 15 décembre pour ceux qui sont atteints de maladies chroniques. La vaccination de tous les enfants de cette tranche d’âge reste un point qui divise encore les experts.

    Les manifestants brandissaient plusieurs panneaux pour dire leur opposition à la vaccination des enfants, estimant que « leur immunité est faite, tous ayant plus ou moins été contaminés », quand d’autres affirmaient que les vaccins pédiatriques étaient déjà commandés. « La situation décrite par le gouvernement est disproportionnée par rapport à la réalité. Le passe vaccinal est d’autant plus difficile à accepter que les études scientifiques disent l’inverse », souligne une manifestante. « C’est une décision politique brutale qui porte atteinte aux libertés publiques, une discrimination qui crée deux sortes de citoyens », ajoute un autre.

    Une fois le débat terminé, la manifestation a commencé, la centaine de personnes a reçu des renforts au fil de sa marche, et ils étaient environ 150 lorsqu’ils ont rejoint la place de Liberté peu avant 17 h, avant de remonter la rue Jean-Jaurès jusqu’à leur point de départ.

    Source : https://www.letelegramme.fr

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