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    Le jeudi 8 février 2018, les députés de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon, Bastien Lachaud et Alexis Corbière tenaient une conférence de presse à l'Assemblée nationale sur la loi de programmation militaire. Ils ont dénoncé le manque de moyen pour l'armée et la faible vision stratégique du pouvoir macronniste. Ils ont notamment expliqué que 60% de la hausse de budget prévue se ferait... après la fin du mandat d'Emmanuel Macron ! D'autre part, ils ont dénoncé la manière dont les parlementaires étaient consultés sur cette loi, étant informés sur le sujet après la presse. Enfin, ils ont rappelé que la doctrine de la France insoumise en matière de défense était l'indépendance de notre pays par sa sortie de l'OTAN et une dissuasion nucléaire tous azimuts.

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  • Carte scolaire. La France Insoumise-Pays de Morlaix  appelle à manifester ce soir en ville (LT-9/02/2018)« Après les prisons, l'hôpital, les Ehpad, c'est au tour des écoles de faire les frais de la politique néo libérale du Président de la République », indique la section locale de la France Insoumise (FI). Selon elle, « les enfants ne peuvent pas servir de variable d'ajustements à une politique d'austérité mais, au contraire, doivent être formés au mieux pour se donner les chances de vivre dans une société meilleure. » La France Insoumise du pays de Morlaix appelle donc la population à soutenir les parents d'élèves et personnels des écoles pour défendre les quatre classes de Corentin-Caër, Jean-Jaurès, Gambetta (Morlaix) et les Quatre Vents (Lanmeur), ce soir, à 18 h, devant la mairie de Morlaix. 

    source: http://www.letelegramme.fr     

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  • L’Emission politique -Diffusé en direct le 30 nov. 2017
     
    Léa Salamé reçoit Jean-Luc Mélenchon, député des Bouches-du-Rhône et ancien candidat à l'élection présidentielle. Avec son mouvement La France Insoumise et le groupe de 17 députés qu'il a constitué lors des législatives, l'ancien sénateur socialiste s'est imposé comme la figure de proue de l'opposition à Emmanuel Macron et son gouvernement. Alors que les réformes gouvernementales s'enchaînent, où en est la mobilisation ? Quelles sont les alternatives proposées par la France Insoumise ? Pour analyser le discours de Jean-Luc Mélenchon et relayer les interrogations des téléspectateurs, Léa Salamée est entourée de François Lenglet, spécialiste des questions économiques, et de Jean-Baptiste Marteau, qui prend le pouls des réseaux sociaux. Nathalie Saint-Cricq propose quant à elle son «Droit de relance».
     
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  • Entretien-Selon le leader de La France insoumise, le pays demeure en ébullition. Et si la mobilisation n’a pas eu lieu, c’est la faute à la désorganisation et aux bisbilles syndicales.

    Pour le leader de La France insoumise, des «intérêts de classes» s’affrontent actuellement en France. Pour le leader de La France insoumise, des «intérêts de classes» s’affrontent actuellement en France.

     

    Jean-Luc Mélenchon reçoit dans son bureau de l’Assemblée nationale. Le nouveau leader de la gauche française est comme toujours remonté comme une pendule. Ce qui ne l’empêche pas de faire preuve d’une courtoisie et d’une amabilité qu’on ne lui connaissait plus. Mais attention, aucune trace de résignation… Ceux qui ont pu le croire ont pris leurs désirs pour des réalités, rétorque-t-il en substance. D’ailleurs, il envisage de déferler sur les Champs-Elysées en décembre, car «la France reste un volcan»!

    – «Macron a le point!» avez-vous concédé il y a quelques jours. Spartacus-Mélenchon a-t-il mis un genou à terre devant Jupiter-Macron?

    – Mais non! J’ai dit qu’il avait le point «pour l’instant». C’est tout. Dès que la moindre expression sort du canon traditionnel, elle est tout de suite interprétée dans un registre psychologique. J’ai 66 ans, je milite depuis cinquante ans, Monsieur Macron n’est pas de taille à m’inspirer une déprime!

    – Que fallait-il comprendre alors?

    – Que l’avalanche sociale qui aurait dû se déclencher après tant d’éléments accumulés ne s’est pas produite et qu’il faut le reconnaître pour changer de tactique de lutte. Monsieur Macron n’a qu’une faible majorité électorale – vu le très haut taux d’abstention et le deuxième tour face à l’extrême droite – il a multiplié les provocations et les lois régressives. Ses insultes, quand il traite les Français de fainéants, de jaloux ou de petits enfants, ne sont pas que des écarts lexicaux. Il travaille à rassembler la droite basique du pays. En face, cela reste l’émiettement.

    – La mobilisation exceptionnelle que vous aviez annoncée n’a pas pris. Pourquoi?

    – Moi, je n’ai rien annoncé de tout ça! J’ai dit que je voulais qu’il y ait une déferlante. Le 23 septembre (ndlr: jour de la marche de La France insoumise contre le «coup d’Etat social»), j’ai proposé aux syndicats de passer devant puisqu’ils me reprochaient d’occuper leur terrain. Je leur ai proposé une grande marche sous leur direction. Mais il ne s’est rien passé! Comment se fait-il que nous en soyons là alors que nous devrions être en pleine ébullition sociale? Il y a eu une faute terrible de stratégie et de tactique contre Monsieur Macron.

    – C’est la faute des syndicats?

    – Leur division est désastreuse. Leur refus du politique encore plus. Je pense que le temps de la séparation entre le mouvement politique et social est terminé. Nous venons de voir sous nos yeux dans quelle impasse cela nous enferme. Si l’on maintient les syndicats d’un côté et l’action politique et associative de l’autre, quand les syndicats se divisent, il n’y a plus moyen d’arriver à rassembler les masses populaires.

    – En dépit de ces erreurs stratégiques, n’y a-t-il pas venant des Français une part de résignation?

    – Cela peut se comprendre. L’an dernier, ils se sont déjà pris un coup sur la tête avec la loi El Khomri. Il y a eu toutes sortes de mobilisations, jusqu’à ce que tout le monde soit épuisé, puis plus rien… Et on recommence. Quand les journées d’action sont organisées dans des conditions sans horizon, les gens se disent que cela ne sert à rien de perdre le salaire d’une journée de travail. Il faudrait une démonstration de force, en grand. J’ai parlé d’une manifestation sur les Champs-Elysées pour frapper l’imaginaire. Mais quand on vise les Champs-Elysées, il faut être au moins 500 000 pour les remplir. Si tout le monde se mettait d’accord là-dessus pour décembre, on pourrait y arriver!

    – Mais les Français n’ont-ils pas tout simplement accepté ces réformes?

    – Non, je ne crois pas. La société française rejette toujours les potages libéraux. Mais c’est vrai que ces politiques libérales créent leur environnement culturel et psychologique. Elles installent l’idée que chacun est en compétition avec tout le monde et que celui qui échoue, c’est de sa faute. Mais je ne crois pas qu’on en soit là en France. L’esprit insoumis domine. Regardez les élections législatives. Cela a été un moment de grève civique extrêmement puissant. Mais la leçon n’a pas été tirée par les commentateurs. Ils se comportent comme si l’élection de Monsieur Macron n’était pas un événement inouï et l’irruption de La France insoumise aussi. Ce n’est pas un événement banal que nous ayons 17 députés! Bref, la France reste un volcan.

    – Mais Emmanuel Macron, par son habileté peut-être, n’est-il pas celui qui a réussi à mobiliser le plus ces Français qui ne sont pas résignés?

    – Stop! Je ne suis pas commentateur. Je suis acteur de la situation. Je dis que la France est dans un état d’esprit surcritique. Une avalanche mûrit. Pour moi, la raison pour laquelle cet état surcritique ne débouche pas sur un mouvement de masse est liée aux conditions dans lesquelles est désorganisé le mouvement de masse. De la même manière que nous sommes parvenus à bousculer entièrement le jeu de notre ancien champ politique, celui de la gauche, il est temps de bousculer le reste de l’échiquier pour fédérer les forces populaires.

    – L’insoumission est-elle une résistance? L’Assemblée n’a pas beaucoup de pouvoir et vous êtes minoritaires…

    – Et alors? Il faudrait se dire que tout est perdu? Se suicider tout à l’heure? Nous sommes une démocratie et la lutte politique en fait partie, même quand on est minoritaire. Certes, le libéralisme évolue spontanément vers une forme autoritaire. Mais nous sommes des républicains. Nous nous sommes présentés aux élections et nous avons des élus. Il y a dans cet hémicycle des gens qui continuent à exprimer l’insoumission. A part nous et les communistes, il n’y a d’ailleurs pas d’autre opposition. La droite – Les Républicains – s’est partagée entre la confiance, l’abstention et l’opposition. Le groupe socialiste aussi s’est scindé en trois morceaux. Il n’y a pas d’autre opposition cohérente que la nôtre.

    – Vous ne citez même pas le Front national?

    – Il n’existe pas! Ses députés désertent l’hémicycle.

    – Vous incarnez l’opposition, dites-vous. Voulez-vous aussi être force de proposition?

    – Nous le sommes déjà! La presse privilégie les anecdotes personnelles au lieu de donner à voir le fond. Je déplore qu’elle ne relaie aucune de nos propositions sur la loi de finances par exemple. Nous avons des propositions sur les barèmes d’impôts, sur l’impôt universel. Nous présentons un contre-budget détaillé. Pourquoi ce dédain?

    – Vous-mêmes, n’avez-vous pas trop recherché les coups d’éclat au point d’occulter le fond?

    – Nous avons fait des propositions, nous avons été présents dans l’Assemblée nationale, dans la rue, dans les luttes. Que faire de plus? La France est une démocratie, et nous sommes républicains. Il n’est donc pas question de prendre les armes!

    – Mais des sondages parus récemment montrent que si l’élection avait lieu aujourd’hui, la donne n’aurait pas changé. Vous êtes surtout perçu comme un opposant, pas comme une alternative...

    – Attendons les élections, si vous voulez bien. Mais admettons que j’accepte ce diagnostic – qui indique aussi que les Français me considèrent comme la première personnalité politique à gauche. «So what?» Qu’est-ce que je dois faire? Nous sommes dans une démocratie dont nous sommes les protagonistes. Des intérêts de classes s’affrontent. On vient de distribuer dix milliards aux puissants en supprimant l’impôt sur la fortune. Nous, nous représentons le camp de l’écologie, des pauvres et des travailleurs. Certes, ce camp a rarement gagné dans l’histoire. Mais quoi qu’il arrive, nous resterons une résistance, une insoumission. Nous ne vendons pas des savonnettes. Nous défendons un point de vue sur l’avenir de notre monde. Advienne que pourra.

    – Le nouveau clivage, c’est la lutte des classes?

    – Nouveau, non. Mais rarement aussi clair. Et assumé comme tel. On l’a vu lors du débat sur la loi de finances. Le ministre des Finances, Bruno Le Maire, dit que l’argent que les capitalistes de ce pays ne paieront pas en impôts, ils sauront où le placer pour faire des investissements et créer des emplois. Ça, c’est une politique pour laquelle il y a une classe qui joue un rôle bienfaisant spontané: la classe des riches. Mais en échange de ces milliards donnés aux riches, pour maintenir l’équilibre des comptes, on fait des coupes claires dans le budget, donc dans les services publics. C’est cela, une politique de classe! (TDG)

    Entretien réalisé par Xavier ALONSO

    source: https://www.tdg.ch

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  • Marseille : " casserolade" de La France Insoumise devant le siège des chefs d’entreprise / © image Pierre Jean PerrinMarseille : " casserolade" de La France Insoumise devant le siège des chefs d’entreprise / © image Pierre Jean Perrin

    Plusieurs dizaines de militants de La France Isoumise se sont rassemblés en tapant sur des casseroles ce matin, samedi 30 septembre, devant le siège de l'UPE 13, l'Union Pour les Entreprises. Objectif : poursuivre la mobilisation contre la réforme du code du travail

    Par Marc Civallero avec AFP Publié le 30/09/2017

    Lors d'un discours devant des dizaines de milliers de partisans place de la République à Paris le 23 septembre dernier le leader de La France Insoumise et député de Marseille Jean-Luc Mélenchon a appelé "à une casserolade", faire le plus de bruit possible avec des casseroles ce samedi, pour poursuivre la mobilisation contre la réforme du Code du travail.

    Sous le slogan "puisqu'ils nous empêchent de rêver on va les empêcher de dormir " plusieurs dizaines de militants marseillais se sont rassemblés en tapant sur des casseroles ce matin, samedi 30 septembre, devant le siège de l'UPE 13, l'Union Pour les Entreprises.

    Marseille : "casserolade" devant l'UPE 13


    Une initiative vivement critiquée par plusieurs membres du gouvernement :

    D'abord Christophe Castaner, sur France Inter, dimanche dernier,  le porte-parole du gouvernement a expliqué que " Jean-Luc Mélenchon devrait effectuer une petite révision de l'histoire. N'oublions pas que c'est Poujade, en France, qui a pratiqué les casserolades, ou alors c'est ceux qui ont fait tomber Salvador Allende". Et ensuite, vendredi 29 septembre c'est le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb qui a réagi sur CNews :" Jean-Luc Mélenchon reprend des vieilles méthodes, c'était au Chili que l'extrême droite tapait sur des casseroles sous Allende".

    Le leader de La France Insoumise n'a pas tardé à répliquer et à faire part de son écoeurement, il a notamment déclaré : "Tous les coups sont donc permis contre moi, Colomb me compare à l'extrême droite chilienne !!!! Beuaaark ! J'ai un diplôme de la présidente chilienne Michelle Bachelet me remerciant pour mon action aux côtés de la résistance chilienne...à cette époque, que faisait Colomb ? Du lard dans un bureau de Léo Lagrange ?"

    Rappelons que les casserolades ne sont pas l'apanage de l'extrême-droite. Les concerts de casseroles se sont également multipliés notamment lors du mouvement des Indignés espagnols contre l'austérité, en 2011-2012, ou encore en Islande, pendant la crise financière, en janvier 2009.

    source: http://france3-regions.francetvinfo.fr

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  • Brest-La France Insoumise. Casserolade au menu, hier (LT-1/10/2017)

    « # casserolades : parce qu'ils nous empêchent de rêver, on va les empêcher de dormir. » Le hashtag de la plateforme la France insoumise invitait ses sympathisants à organiser des casserolades, dans la foulée du rassemblement parisien, le 23 septembre dernier et pour relayer le mouvement contre la réforme de la loi Travail. À Brest, c'est dans un boucan d'enfer qu'ont descendu la rue Jean-Jaurès jusqu'au bas de la rue de Siam, les militants de La France Insoumise, qui avaient répondu à l'appel, entre 15 h et 17 h, hier.

    source: http://www.letelegramme.fr

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