• « Oublié du Ségur », le médico-social finistérien mobilise les citoyens le 12 juin à Quimper (LT.fr-3/05/21-17h56)

    Encore réunis, ce lundi, au siège de Don Bosco (Landerneau), directeurs, présidents et responsables syndicaux du collectif restent soudés pour améliorer les salaires des 9 000 éducateurs sociaux, aideEncore réunis, ce lundi, au siège de Don Bosco (Landerneau), directeurs, présidents et responsables syndicaux du collectif restent soudés pour améliorer les salaires des 9 000 éducateurs sociaux, aides-soignants ou aides à domicile qu’il représente.

    Le collectif finistérien du social et du médico-social organise une mobilisation citoyenne le 12 juin, à Quimper. Prime du Ségur et revalorisation salariale restent en ligne de mire.

    Les 26 associations et trois syndicats (CFDT, CGT, Sud Solidaires) du collectif finistérien du social et du médico-social organise une mobilisation citoyenne le 12 juin, à 14 h, à Quimper (lieu à définir). Ouverte aux professionnels du secteur du handicap et de l’aide à domicile, aux personnes accompagnées, aux représentants des familles…

    « Nous avons pris cette décision, en réunion, vendredi dernier », indique Joël Goron, directeur général des Genêts d’or. « Nous la prenons face au constat d’immobilisme des pouvoirs publics sur les mesures de revalorisations des professionnels de notre secteur. »

    « Donner envie aux jeunes »

    Depuis bientôt un an, ce collectif, inédit par son ampleur (il représente 9 000 salariés), se bat pour les aides-soignants ou aides à domicile de ses structures associatives, restées en première ligne du maintien du lien social pendant la crise sanitaire. Après la prime Covid, il réclame désormais la prime du Ségur (183 €) et, toujours, « un salaire digne ». « Il s’agit de métiers d’avenir. Pour donner envie aux jeunes de les exercer, il est nécessaire de les revaloriser », insiste Stéphane Postollec, secrétaire de la CFDT-Santé social du Finistère.

    Le collectif ne se contentera pas d’effets d’annonce : « Il faut vraiment attribuer au conseil départemental les moyens de compléter la participation de l’État qui s’inscrira dans la loi de Finances », surveille Hervé Le Gall, directeur général d’AS Domicile. « Que les deux s’entendent ».

    Soutien timide des collectivités

    Et cette revendication, les deux l’entendront. La mobilisation du 12 juin envisage de passer devant l’antenne de l’Agence régionale de santé, la préfecture et le siège du conseil départemental.

    Manière de mettre une petite pression avant les élections départementales. Sans oublier les élus locaux en exercice. « Notre motion appelant à soutenir nos revendications a obtenu la réponse de 42 communes ou collectivités territoriales du Finistère. Cela représente seulement autour de 10 %. Alors que nous générons de l’emploi, non délocalisable, dans les territoires (notamment ruraux), nous devons toujours rendre identifiable notre secteur », en déduit Joël Goron.

     

    source: https://www.letelegramme.fr/

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