• Les femmes (et quelques hommes) ont marché sous la pluie pour défendre leurs droits et réclamer la nécessaire égalité. À l'issue de la Journée internationale pour le droit des femmes, le planning familial, entre autres, a rassemblé une petite centaine de personnes sur la place de la Liberté pour une marche pacifique, ressemblant à une piqûre de rappel. Rappel que les femmes, majoritaires en nombre à l'échelle de l'humanité, subissent encore inégalités de salaire mais aussi de nombreuses et multiples violences, tant physiques ? notamment sexuelles ? que morales. Alors, inlassablement, elles rappellent qu'elles ne lâcheront rien et exigent des garanties pour le maintien du droit à l'avortement et l'accès à la contraception qui leur paraissent menacés. En 2017...
     
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  • Brest. Les agents d'entretien des piscines ne désarment pas  (LT-9/03/2017)Les 20 agents d'entretien du réseau de piscines brestoises ont débrayé, hier midi, entraînant la fermeture des équipements, pendant deux heures.

    « Fermé pour grève ». Hier midi, les nageurs brestois ont trouvé ce mot sur les portes closes des piscines du réseau. En cause, la colère des agents d'entretien du service, qui ne bénéficient pas de la nouvelle bonification indiciaire (NBI) « accueil » en quartiers prioritaires, à Recouvrance. Résultat : les 20 agents d'entretien ont tous débrayé hier, après une rencontre infructueuse avec Marc Coatanéa, la veille. L'élu considère, en effet, que le service d'accueil n'est que complémentaire de leur mission. « Ces agents font chaque jour de l'accueil, c'est même inscrit dans leur fiche de poste. Ils s'occupent du public, des écoles, des assos... C'est la même chose pour les autres piscines du réseau, ou ils n'ont pas non plus la NBI accueil. La polyvalence a bon dos, car l'employeur ne la reconnaît pas », déplore Fabrice Bernard, secrétaire adjoint FO Brest métropole.
     
    Des fermetures ponctuelles
     
    « On a l'impression d'être rien du tout, méprisé », soufflait un agent de Recouvrance, hier. Elle aura l'occasion de le redire : le mouvement devrait être reconduit, dans les prochains jours, et engendrer des fermetures ponctuelles des piscines brestoises.

    source:  letelegramme.fr
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  • Robert Sylvestre, Marceline Sévérac (secrétaire générale du syndicat), Maguy Sylvestre, Hervé Le Gall, Gilbert Phelep (secrétaire USR29) et Daniel Édelin.Robert Sylvestre, Marceline Sévérac (secrétaire générale du syndicat), Maguy Sylvestre, Hervé Le Gall,  Gilbert Phelep (secrétaire USR29) et Daniel Édelin.

    L’union syndicale des retraités CGT du Finistère organise, jeudi 9 mars, au centre Gradlon, une réunion publique afin de procéder à une synthèse des besoins et des problèmes rencontrés par les retraités.

    Jeudi 9 mars, au centre Gradlon, l’union syndicale des retraités CGT du Finistère organise une réunion publique afin de procéder à une synthèse des besoins et des problèmes rencontrés par les retraités.

    Ces doléances auront vocation à être portées ensuite par l’union syndicale auprès des décideurs publics.

    Retraites, pensions, allocations, minima sociaux, etc.

    « Il ne faut pas laisser 30 % de la population se débrouiller toute seule, clame Daniel Édelin, retraité de la Sécurité sociale. Tous les sujets peuvent être évoqués : transports, logements, accès aux soins, mutuelles, etc. »

    L’USR29 publie par ailleurs un courrier trimestriel où sont répertoriés en détail les évolutions des retraites, des pensions, des allocations et des minima sociaux.

    Jeudi 9 mars, de 10 h à 12 h, centre Gradlon, impasse Jean-Quéré, à Pouldavid.

    source: ouest-france.fr

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    Quelque 300 salariés du secteur de la santé, du social et du médico-social ont participé, hier, à la journée nationale d'action, avec manifestation à Paris. À Quimper, une même mobilisation pouvait cacher deux rassemblements. À part deux ou trois écussons collés sur les coupe-vent de manifestants, la CGT a été la grande absente de la mobilisation quimpéroise, hier. Et pour cause, le syndicat appelait à un rassemblement départemental à Brest. C'est donc dans la préfecture du Finistère que la CFDT a organisé son rassemblement.
     
    CFDT d'un côté, Sud et FO de l'autre
     
    Dans ce contexte de désunion syndicale, Sud et Force Ouvrière ont, eux, finalement décidé d'appeler leurs troupes à se rassembler dans... les deux villes. Et, mis à part le partage d'une sono, le mot d'ordre n'a pas vraiment été au rassemblement. Une délégation de la CFDT avait demandé à être reçue en préfecture. Sud et FO ont fait la même démarche conjointe. Si la CFDT a bien été reçue, la demande de la deuxième délégation a, elle, été refusée pour une vague histoire de signature non conforme déposée sur un formulaire. Ce qui a engendré la colère de Jean-Paul Sénéchal, le secrétaire départemental de Sud-santé : « Nous n'avons pas été reçus pour une question de formalisme alors qu'il y a tant de difficultés et de détresse du personnel », a fustigé le syndicaliste du Centre hospitalier intercommunal de Cornouaille. La manifestation de la CFDT avait été précédée par une opération escargot menée depuis Briec par les militants brestois du syndicat. Une trentaine de véhicules est ainsi arrivée sur les quais à grands renforts de klaxons, peu avant 14 h. Le syndicat avait appelé l'ensemble de la profession à se mobiliser (hôpital, Ehpad publics, santé, sociale, médico-sociale, aides à domicile mais aussi salariés du privé : laboratoires, cliniques, cabinets médicaux).
     
    La fracture de la loi Travail et des GHT
     
    Deux mots d'ordre pour le syndicat. D'abord les conditions de travail, notamment dans les hôpitaux, les structures associatives et dans le secteur du handicap. Les salaires ensuite. « Ils n'ont pas augmenté depuis six ans. Pour la convention 66 (établissement pour personnes inadaptées et handicapées), il n'y a rien depuis 1995. Des gens sont en dessous du Smic », a indiqué Denis Théréné. « Nous avons eu 1 % dans le maintien à domicile il y a deux ans. Nous devions avoir 1 % cette année, nous n'avons rien. Beaucoup de femmes sont à temps partiel imposé, il y a beaucoup de travailleurs pauvres », a poursuivi Christine Jacq. Si la CFDT a fait bande à part hier, c'est parce qu'elle ne partage pas les critiques de Sud et de Force Ouvrière contre la loi Travail et les groupements hospitaliers de territoires (GHT) mis en place dans la loi de modernisation de la santé.
     
    « Contre la cure d'austérité du gouvernement »
     
    « Nous sommes ici pour la défense des services publics, contre les cures d'austérité du gouvernement, contre les pressions exercées sur le personnel de l'hôpital public et dans le médico-social », a énuméré Marc Guilloux, secrétaire du syndicat Sud à Gourmelen. « À Gourmelen, le turnover ne cesse d'augmenter. 18 % du personnel est contractuel (10% il y a 5 ans) : au bout d'un moment, ce n'est plus possible, on n'est plus sur du soin ». « Dans le privé à but non lucratif, nous avons perdu 20 % de pouvoir d'achat depuis vingt ans, nous n'avons aucune revalorisation de salaires depuis 2010 », a affirmé Hubert Donval, de Force Ouvrière, salarié de l'Hôtel-Dieu de Pont-l'Abbé. Son syndicat milite pour que le CITS, l'équivalent du CICE pour les associations, soit reversé intégralement pour les revalorisations de salaires. « Tous les personnels des services à la personne sont en détresse, que ce soit les Atsem (agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles), les agents sociaux qui livrent les repas à cause des baisses de budget ou les personnels des Ehpad. Nous avons peur qu'on dise que les agents soient maltraitants alors que ce sont les structures qui les maltraitent », pour Béatrice Colliou, des Territoriaux FO 29. Un représentant de l'Ordre des infirmiers, qui avait apporté son soutien à cette mobilisation du 7 mars, était également présent devant la préfecture.

    source: letelegramme.fr/
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  • Rendons au 8 mars sa signification révolutionnaire (IC.fr-8/03/2017)

    C’est le 2017 que la puissante Révolution russe dite de Février prit toute sa force à Petrograd, principalement sous l’impulsion de militants ouvriers clandestins du Parti bolchevik.

    Plongée dans une spirale de misère et de mort par l’exploitation capitaliste et féodale en Russie, exaspérée par l’interminable guerre impérialiste de 1914-17, où l’Armée tsariste allait de défaite en défaite face aux Austro-Allemands, la population ouvrière de Petrograd s’insurgea contre le tsarisme assassin en réclamant du pain, la paix et les libertés démocratiques. La répression brutale ne fit qu’accroître la révolte, d’autant plus qu’à l’armée, les soldats d’origine paysanne se rebellaient de plus en plus contre une guerre absurde, conduite par et pour les privilégiés de Russie. Ainsi se réalisait pas à pas l’idée directrice de Lénine, appelant dès 1914 à transformer la guerre impérialiste en insurrection révolutionnaire.

    Aujourd’hui, il est de bon ton d’opposer la Révolution « démocratique » de février 17 au prétendu « coup d’État » bolchevik d’Octobre. De même qu’il est fréquent d’entendre de faux savants opposer le communisme « ringard » à la « grande modernité » du féminisme. Double aberration quand on examine de près le contenu objectif du 8 mars 1917.

    D’abord, il n’est nullement surprenant que la Révolution russe ait pris tout son essor un 8 mars : cette contre l’exploitation capitaliste, pour le socialisme et l’ entre les sexes avait été instituée en 1911 par la Deuxième Internationale à la demande de , militante socialiste allemande, rédactrice de la revue Die Gleichheit (l’Égalité) : et le but poursuivi par Zetkin était parfaitement clair : associer la lutte des au combat prolétarien pour l’abolition de l’exploitation capitaliste. Zetkin était marxiste et c’est dans le grand livre intitulé L’origine de la famille, de la propriété et de l’État qu’Engels a montré les liens très forts qui lient la domination patriarcale à l’exploitation capitaliste. Rappelons aussi à ceux qui taisent la signification « rouge » du 8 mars que Clara Zetkin s’opposa frontalement à la Guerre impérialiste de 14-18 (comme Lénine en Russie, Jaurès en France ou Karl Liebknecht en Allemagne), qu’elle fut réprimée pour cela par le régime du Kaiser, qu’elle soutint la Révolution russe dans son entier (février et Octobre) et qu’elle devient l’une des fondatrices de la Troisième Internationale (communiste). Déjà âgée, elle entra clandestinement en France à la Noël 1920 pour apporter le soutien de l’ I.C. à la fondation du Parti communiste français lors du Congrès de Tours.

    Par ailleurs, il est absurde d’opposer Février à Octobre 1917 : c’est en effet parce que les gouvernements bourgeois associés aux mencheviks qui se succédaient à Petrograd après la chute du tsar ajournaient sans cesse les revendications populaires des ouvriers, paysans et soldats, que le parti bolchevik – dont l’influence ne cessait de grandir chez les ouvriers, les soldats et les paysans pauvres – appela les Soviets, ces organes de la démocratie révolutionnaire en marche, à exercer tout le pouvoir et à chasser le gouvernement provisoire de Kerenski, qui voulait prolonger la guerre impérialiste avec le secret espoir qu’une victoire allemande règlerait son compte à la révolution prolétarienne. Et c’est pour donner la terre au paysans, instaurer le contrôle ouvrier sur la production et décréter la paix unilatéralement que les bolcheviks, devenus majoritaires dans les Soviets, renversèrent Kerenski le 7 novembre 1917. A l’issue d’un immense processus insurrectionnel démocratique que l’écrivain américain John Reed a décrit avec flamme dans ses Dix jours qui ébranlèrent le monde, tout le pouvoir fut remis entre les mains des Soviets, c’est-à-dire à des organes élus par les masses, contrôlés par elle, et représentant ce que les marxistes ont toujours appelé la dictature du prolétariat.

    Aussitôt le nouveau gouvernement soviétique formé, ce furent le Décret sur la paix, le Décret sur la Terre et, très vite, l’abrogation de toutes les lois discriminant les femmes, du droit de vote pour elles (28 ans avant la France !), avec l’intense activité des femmes rouges dans la Révolution, des Russes Alexandra Kollontaï et Nadia Kroupskaïa, aux bolcheviques françaises Inès Armand et Jeanne Labourbe. Trop souvent méconnue des communistes français d’aujourd’hui, cette institutrice communiste trouvera la mort en appelant les marins français dépêchés par Clémenceau pour mater la Révolution à se mutiner contre la poursuite de la guerre impérialiste.

    Aujourd’hui, la contre-révolution fait rage ; c’est elle qui donne le ton réactionnaire, fascisant, belliciste, de la mondialisation néolibérale et de la prétendue « construction » européenne. En Russie et dans la plupart des pays ex-socialistes d’Europe annexés par l’Europe de Berlin, les travailleurs regrettent majoritairement – les sondages le prouvent – les acquis perdus du socialisme défait. En France, ce sont les acquis du CNR, Sécurité sociale, retraites par répartition, Code du travail, nationalisations industrielles, conventions collectives nationales de branche, statuts publics, tout ce qui fut mis en place en 1945/47 par les ministres communistes, qui sont furieusement attaqués par les peu recommandables Fillon, Macron, Hollande, Le Pen, Hamon et Cie. Dans nombre de pays ce sont les acquis fondamentaux des femmes comme le droit à l’IVG, le mariage civil, l’égalité dans le couple, sans parler du principe essentiel « à travail égal, salaire égal » qui sont érodés ou détruits par la poussée des idéologies rétrogrades qui ont proliféré sur la base de l’anticommunisme.

    Dans ces conditions, nous adressons le salut du PRCF à toutes les femmes, à tous les travailleurs, à tous les citoyens progressistes et insoumis de notre pays et d’ailleurs. Rendons au 8 mars sa signification révolutionnaire. Face à l’inhumanité capitaliste, face aux guerres impérialistes et à la fascisation sous toutes ses formes, prolétaires, femmes, peuples opprimés du monde, unissez-vous !

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  • Le film-documentaire  « Aube dorée, une affaire personnelle »  et sa réalisatrice Angélique Kourounis en Finistère du 13 au 18 mars.

    Le film « AUBE DOREE, une affaire personnelle » (Que se passe-t-il dans la tête du néonazi de tous les jours ?) effectue en ce mois de mars 2017 un véritable Tour de l’Ouest de la France. Il sera projeté dans 15 salles en Bretagne (Locmiquélic, Baud, Lorient, Quimper, Quimperlé, à nouveau Quimper, Concarneau, Douarnenez, Brest, Berrien, Plourin-les-Morlaix, Saint-Malo, Auray, Rennes et Vannes) et 2 salles en Normandie (Alençon et Caen). A l'exception de la séance du 8 mars, chaque projection sera suivie d'un débat avec la réalisatrice Angélique Kourounis et accompagnée d'une collecte de médicaments non-périmés à destination des dispensaires solidaires et autogérés grecs.


    Le film : un documentaire de 90 minutes qui dissèque la montée du parti néo-nazi,l'Aube dorée, dans une Grèce ravagée par la politique austéritaire de l'Union européenne,

    Ce film de la journaliste-réalisatrice Angélique Kourounis a été produit par OmniaTV, Arte et Yemaya Productions, avec le soutien de Reporters Sans Frontières, Hellenic League for Human Rights et Rosa Luxemburg Stiftung (Grèce), Charlie-Hebdo, Politis et Econostrum.

    Synopsis

    « Mon homme est juif, un de mes fils gay, un autre anar et moi féministe de gauche, fille d’immigré. Si Aube Dorée vient  aux affaires notre seul problème sera dans quel wagon nous monterons ». Une journaliste enquête depuis des années sur l’organisation du parti néo nazi grec Aube Dorée.
    L’effondrement économique, l’instabilité politique et les relations familiales sont au premier plan de ce documentaire qui essaie de comprendre ce qui se passe dans la tête des Aubedoriens qui se posent en victimes du système.Une Aube Dorée qui ne s’est jamais cachée quant à son idéologie. Ses scores aux élections dans le passé  étaient peut être négligeables, mais cette idéologie défendue par une partie du clergé, cultivée par la plupart des média, et transmise par le système politique est devenue le terreau sur lequel l’organisation a pu se développer.
    « La réalisatrice approche la question d’Aube Dorée via ses propres obsessions, ses inquiétudes et ses peurs. Elle a dédié plusieurs années de travail à ses recherches autour du parti néo-nazi grec qui occupe toujours la troisième place sur l’échiquier politique grec après des décennies d’actions meurtrières. C’est son troisième film sur la question mais le premier documentaire d’auteure. »

    Après le prix spécial du jury  au festival de Los Angeles, Aube Dorée une affaire personnelle a reçu le prix Avéroès junior au Primed 2016 à Marseille et il vient d'être sélectionné au festival de Berlin. Il a été sélectionné dans 15 festivals, nominé à 14 reprises et primé 2 fois. En dehors du Grec, il a été traduit dans 6 langues : Français, Anglais, Espagnol (et Catalan), Italien et Allemand.

    Les projections du film ont lieu depuis un an en France mais aussi un peu partout  en Europe ainsi qu’au Canada, en Nouvelle Zélande et en Australie. Et, prochainement en Allemagne, Suisse, Autriche, Espagne, Italie et Chypre... Le film devait être projeté au Parlement européen ; la séance a été annulée...

     

    La bande-annonce :  https://goldendawnapersonalaffair.com/fr/

    Les sept projections-débats en Finistère et les diverses initiatives de solidarité concrète qui accompagnent chacune de ces séances

    Mercredi 8 mars 2017 : A 18H à Quimper, MJC-MPT de KERFEUNTEUN, 4, rue Teilhard de Chardin (projection seule)

    Lundi 13 mars 2017 : A 20 H.30 à Quimperlé, Salle Ellé, Centre de Coat Kaer, rue Coat Kaer (suivi d’un débat avec la réalisatrice)

    Mardi14 mars 2017 : A 20H30 à Quimper, MJC-MPT de KERFEUNTEUN, 4 rue Teilhard de Chardin (suivi d’un débat avec la réalisatrice)

    Mercredi 15 mars 2017 : A 20H30 à Concarneau, Maison des associations -26 rue du Maréchal Foch (suivi d’un débat avec la réalisatrice)

    Jeudi 16 mars 2017 : A 20H30 à Douarnenez, Cinéma " Le K", 39 rue Louis Pasteur (suivi d’un débat avec la réalisatrice)

    Vendredi 17 mars 2017 : A 20H à Brest, Cinéma « Les Studios », 136 rue Jean Jaurès (suivi d’un débat avec la réalisatrice)

    Samedi 18 mars 2017 : A 14H30 à Plourin-Les-Morlaix, Centre social -Ti An Oll, 1 rue des genets (suivi d’un débat avec la réalisatrice)

    Samedi 18 mars 2017 : A 20H30 à Berrien, Salle Asphodèle (suivi d’un débat avec la réalisatrice)

    Entrée et participation libres (sauf dans les salles de cinéma)

    Chaque projection-débat sera accompagnée d'une collecte de médicaments non-périmés destinés aux dispensaires et pharmacies solidaires et autogérés en Grèce. Nous invitons les spectateurs à apporter tous les médicaments dont ils n'ont plus l'usage. 30 à 40 % de la population grecque ne disposent plus d'aucune protection, une autre partie n'a pas de ressources suffisantes pour se soigner.

     

    A NOTER QUE LE FILM EST MIS A DISPOSITION, GRATUITEMENT, POUR TOUTE PROJECTION DANS LES ECOLES.


    Contacts 29 :
     Avec Les Grecs-Cornouaille : <aveclesgrecscornouaille@gmail.com>
    Avec Les Grecs-Brest : < aveclesgrecs.brest@gmail.com >

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  • Brest. Rassemblement pour la santé, le social et les services publics (OF.fr-7/03/2017)

    Ce mardi, vers 11 h, environ 500 personnes venues d’horizons professionnels divers se sont réunies place de la Liberté.

    Ce matin, le cortège de manifestants de l’hôpital de la Cavale-Blanche est peu étoffé. Mais, lors du grand rassemblement, prévu à 11 h, place de la Liberté, il y a davantage de monde ! Entre 300 et 500, selon les syndicats. Et même 600, selon la police.

    "Je suis là pour défendre l’hôpital. Il faut faire quelque chose. Ce n’est pas normal d’attendre quatre heures aux urgences. On voit bien qu’il y a un manque de personnels", affirme Pascal Le Roy, une Brestoise.

    Globalement, les manifestatnts dénoncent la dégradation de leurs conditions de travail et les réductions d'effectifs. Et souhaitent aussi que les questions sociales et de santé soient davantage présentes dans la campagne présidentielle.

    Des manifestants du CHU, mais aussi des cliniques privées Keraudren, Pasteur et Grand-Large, ainsi que des Amitiés d’Armor et de la maison de retraite A petits Pas (Guillers). "Nous avons les mêmes difficultés que dans le public", assurre Julie Massieur, CGT, de la clinique Keraudren.

    Les structures du social et médico-social sont aussi de la partie : Don Bosco, Energence, Agheb, etc.

    Sans oublier les collectivités et services publics, comme Brest Métropole, Pôle Emploi, EDF-GDF, le centre de tri.

     

    Les professionnels santé sociaux manifestent à Lorient (56)

    source: ouest-france.fr

     

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  • Deux militants CGT ont également été condamnés à 500 euros d'amende.Deux militants CGT ont également été condamnés à 500 euros d'amende

    Plusieurs syndicalistes ont été condamnés ce mardi pour des faits d'entrave à la circulation dans le cadre d'une manifestation contre la Loi travail. Les amendes vont de 500 à 1 000 euros.

    Ces militants étaient poursuivis pour organisation d'une « manifestation non déclarée au préalable en préfecture » et « délit d'entrave à la circulation ».

    De 500 à 1 000 euros

    Jugés en correctionnelle, quatre des six syndicalistes, de la CGT, de Force ouvrière et de Solidaires, ont été reconnus coupables d'entrave à la circulation et condamnés à 1 000 euros d'amende, a indiqué Jacky Wagner, secrétaire général de la CGT du Bas-Rhin.

    Deux autres militants de la CGT ont été condamnés à 500 euros d'amende. Le parquet avait requis jusqu'à 2 000 euros d'amende, sans réclamer de peine d'emprisonnement, ni d'inscription au casier judiciaire.

    Quelques dizaines de militants s'étaient rassemblés mardi matin à l'extérieur du palais de justice pour soutenir les « six de Haguenau », arborant chasubles et drapeaux syndicaux. 

    Un appel possible

    Les six prévenus - cinq hommes et une femme - étaient poursuivis pour avoir participé le 19 mai 2016 à un rassemblement non déclaré contre la loi El Khomri, dans le cadre d'une journée nationale contre la Loi travail.

    Ceux-ci avaient participé à un rassemblement de près de 200 personnes dans une zone industrielle de Haguenau, commune située au nord de Strasbourg. Ils avaient décidé d'occuper spontanément le carrefour d'une rocade de la commune pour distribuer des tracts aux automobilistes, bloquant la circulation.

    En marge de leur procès, le 17 janvier, Laurent Feisthauer, secrétaire de la CGT du Bas-Rhin, avait dénoncé une « volonté de criminaliser le fait de manifester », en rappelant que manifester fait partie des « libertés fondamentales ».

    La CGT du Bas-Rhin n'exclut pas de faire appel du jugement. « Nous allons analyser les retours et prendre les décisions dans les jours à venir », a commenté Jacky Wagner.

    source: http://www.ouest-france.fr/economie/emploi/droit-du-travail/loi-travail/loi-travail-six-syndicalistes-condamnes-apres-des-manifestations-4840850

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