• Superbe hommage à Jean FERRAT (FR3 8/06/2015)Celle

    "... dont vous usurpez aujourd'hui le prestige

    elle répond toujours du nom de Robespierre ..."

    Superbe hommage hier sur FR3 de Henry-Jean Servat, l'émission étant encore visible durant 6 jours à l'adresse :

    http://pluzz.francetv.fr/videos/hommage_a_jean_ferrat_,123522922.html

    _______________

    A l’occasion du cinquième anniversaire de la mort de Jean Ferrat, Henry-Jean Servat a retracé le parcours du chanteur et poète engagé dans Hommage à Jean Ferrat ce lundi 8 juin en première partie de soirée sur France 3.

    De « Que serais-je sans toi ? », à « La Montagne », en passant par « Ma France », le programme est revenu sur les morceaux qui ont marqué la mémoire collective. Ce retour sur une carrière hors du commun à travers des images d’archives et les témoignages de ses proches a captivé 3.02 millions de Français.

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  • Rêver d’un « Syriza » hexagonal ou bâtir le Front antifasciste, patriotique et populaire contre l’UE atlantique ?A l’occasion du congrès du PS (le futur « parti démocrate » pendant des pseudo-« républicains » sarkozyste ?), le « Club des socialistes affligés » propose de mettre en place une coalition des « frondeurs », des Verts et du Front de gauche. Et au front de gauche comme chez les Verts, certains s’agitent aussi dans ce sens dans la perspective des régionales.

    A défaut de dire un seul mot sur la reconquête de la souveraineté nationale – sans laquelle toutes ces promesses ne sont que bavardage rosâtre – tout ce joli monde jure de s’occuper des salariés, de rompre avec l’austérité (comment ?) et de sauver la « gauche » en perdition.

    Bien entendu, le « modèle » implicite de tous ces re-compositeurs de la vraie gauche est, tantôt le mouvement grec Syriza, tantôt le mouvement espagnol Podemos. Aucune analyse critique sur le fait que, faute d’être sorti de la dictature européenne, Syriza avale couleuvres sur boas et qu’en Espagne, la montée de Podemos est contrebalancée par les difficultés de la Gauche unie, dont nombre de militants s’orientent désormais, et pour cause, vers l’idée d’une rupture avec l’UE et l’euro.

    La proposition du PRCF est tout autre : on ne peut sortir de l’austérité et de la décomposition nationale que notre pays subit dans le cadre de l’intégration maastrichtienne, sans :

    • SORTIR de l’euro, ce dispositif conçu de A à Z pour priver les peuples de souveraineté budgétaire, favoriser l’hégémonie de Berlin et l’exportation de son « modèle » mortifère sur tout le continent et écraser les salaires et les acquis sociaux conquis dans le cadre national ;
    • SORTIR de l’UE, cette prison des peuples qui est aux antipodes d’une Europe des nations libres et égales ; la « construction » européenne, c’est la destruction du « produire en France » au nom de la « concurrence non faussée ouverte sur le monde » (Maastricht, art. VI), c’est la destruction  des services publics, de la Sécu et des retraites, c’est le basculement de toute l’Europe à la langue et à la culture américaine, c’est la marche en avant vers l’Union transatlantique qui achèvera de détruire les spécificités positives de notre pays
    • SORTIR de l’OTAN, cette machine de guerre aux mains de l’Oncle Sam qui entraîne les peuples dans des conflagrations terribles au Proche-Orient ou aux marches de la Russie et de la Chine ;
    • In fineSORTIR du capitalisme, ce système à bout de souffle qui creuse les inégalités en semant partout la guerre, l’intégrisme, voire le néonazisme (Ukraine) ;

    La mise en place d’un « Syriza français » n’affrontant aucune de ces questions apporterait de nouvelles désillusions, en alimentant le FN, dont le projet est porteur d’une sanglante guerre intercommunautaire qui peut mettre un point final déshonorant à l’histoire de France. Le seul « avantage » qui résulterait, pour les dirigeants du PCF (qui se sont enchaînés au Parti de la Gauche Européenne, pro-euro) de ce rassemblement rouge pâle, vert, rose, c’est qu’ils pourraient finir d’extirper ce qui reste de racines communistes dans leur parti « muté » et dénaturé… Qui peut penser qu’un parti intitulé « Europe-Ecologie », qui est contre la République une et indivisible (n’est-ce pas M. Mélenchon) et pour l’Europe fédérale des régions et dont le « penseur » s’appelle Cohn-Bendit, voudrait désobéir le moins du monde à l’UE et à son maître berlinois ?

    C’est pourquoi le PRCF qui a participé le 30 mai au rassemblement unitaire des Assises des communistes devant l’Assemblée nationale, appelle plus que jamais

    • unir les communistes dans l’action de classe anti-UE atlantique, 
    • fédérer les syndicalistes de classe qui refusent de suivre la Confédération Européenne des Syndicats (pro-Maastricht), à s’unir dans les luttes, à sortir du pseudo-« dialogue social » avec Valls-MEDEF ; pour cela, refusons les excommunications scandaleuses entre syndicalistes de classe, car elles font seulement le jeu des appareils euro-formatés.
    • A rassembler les républicains patriotes dans l’esprit du programme du Conseil national de la Résistance, dont les principes réactualisés pourraient fédérer 80% de notre peuple contre l’oligarchie, pour l’indépendance nationale, la coopération internationale, la nationalisation des banques et des entreprises stratégiques, la ré-industrialisation du pays, la relance de sa langue, de sa culture, de sa recherche scientifique, sans oublier la restauration de la protection sociale dégradée par les gouvernements maastrichtiens successifs ;

    Sans demander à l’ensemble des républicains anti-UE d’aller jusqu’à cette conclusion révolutionnaire, le PRCF considère que l’application d’un tel programme favorable au monde du travail et aux couches moyennes se heurterait au sabotage du capital financier, du Parti Maastrichtien Unique sark-hollandien, sans oublier les fascistes. La classe ouvrière serait amenée à prendre la tête du combat et, à la lumière de sa propre expérience, notre peuple pourrait remettre à l’ordre du jour, pour reconstruire la Nation en danger de mort, la question du socialisme pour la France. 

    C’est sur la base de cette stratégie cohérente, aussi éloignée du sectarisme impuissant que de l’union de la gauche en faillite, que le PRCF appelle celles et ceux qui veulent rester, devenir ou redevenir communistes, à rejoindre notre organisation combative, démocratique et unitaire. 

     

     DOCUMENT :

    Les frondeurs du PS doivent fonder une coalition avec les Verts et le Front de Gauche

    Rêver d’un « Syriza » hexagonal ou bâtir le Front antifasciste, patriotique et populaire contre l’UE atlantique ?

    Le Monde | 05.06.2015 à 12h11 –  Par Liêm Hoang-Ngoc et Philippe Marlière 

    Le congrès de Poitiers était le congrès de la dernière chance pour réconcilier le peuple de gauche avec le Parti socialiste (PS). Il est un nouveau congrès pour rien.

    La fronde, a échoué. Le PS restera contrôlé par ceux qui n’entendent pas remettre en cause le virage néolibéral imposé par le chef de l’Etat. Pour ses vainqueurs, le congrès de Poitiers n’aura pas été, pour autant, un congrès de clarification. La direction n’a pas assumé au grand jour la ligne sociale-libérale du gouvernement, dont tous les membres ont signé la motion portée par le premier secrétaire. Ce dernier a esquivé le débat, en plagiant les propositions économiques de l’opposition de gauche, afin de ratisser large. Pire, cette manœuvre de congrès de la direction, devenue classique depuis que le PS d’Epinay existe (« un congrès se gagne à gauche », disait-on), décrédibilise une nouvelle fois le discours politique dont se détournent désormais nos concitoyens. Les électeurs sont de moins en moins dupes d’un double langage consistant, au Bourget et à Poitiers, à asséner des slogans de gauche (la réforme fiscale, la réforme bancaire), pour les dénigrer ensuite au profit de déclarations d’amour au Mouvement des entreprise de France (MEDEF) et de la mise en œuvre des « politiques de l’offre » et autres « réformes structurelles » que la droite elle-même n’a jamais osé mener aussi loin.

    Sans changement de cap en faveur des salariés, les électeurs socialistes, observant que la différence avec le discours économique de feu l’Union pour un mouvement populaire (UMP) sera désormais encore plus mince qu’aux Etats-Unis entre républicains et démocrates, ont peu de raison de revenir aux urnes. L’épouvantail de l’extrême droite est d’ores et déjà brandi pour les mobiliser. L’hypothèse d’un nouveau 21 avril 2002 (où le candidat socialiste fut éliminé dès le premier tour) hante à l’évidence l’Elysée. Elle n’est pas la moins improbable. Les jours du PS d’Epinay sont désormais comptés. Faute d’une alternative progressiste crédible, l’existence même de la gauche est à court terme menacée.

    L’aile gauche du PS est désormais au pied du mur. Elle partage avec les écologistes et le Front de gauche le rejet des politiques d’austérité, ainsi que la promotion de la planification écologique et de la démocratisation des institutions. Forte d’un tiers des militants du parti, elle n’a pas décidé de faire du congrès de Poitiers un nouveau congrès de Tour (où les familles socialistes et communistes s’étaient séparées en 1920), qui aurait pu accoucher d’une scission entre socialistes et sociaux-libéraux. Elle peut certes se prévaloir d’avoir exercer une influence relative dans la mesure où ses thèses ont fini par infuser le texte de la direction. Mais elle sait que la politique qu’elle recommande ne sera pas appliquée. En rentrant dans le rang, la gauche du PS est condamnée à servir de caution à une politique poussant les salariés à la déshérence électorale… et le candidat du PS à l’élimination au premier tour de la prochaine élection présidentielle.

    En rompant les rangs pour poser les fondations d’une coalition avec les écologistes de conviction et le Front de Gauche, elle pourrait offrir une alternative attractive et crédible à un parti d’Epinay à bout de souffle. Une telle initiative est susceptible de remobiliser, dès les prochaines échéances électorales, le bataillon des électeurs socialistes qui s’abstiennent et qui n’ont pas, jusqu’alors, reporté leurs suffrages vers Europe écologie les verts (EELV) ou le Front de Gauche. Une telle démarche déciderait peut-être ces formations à dépasser leurs différends pour s’entendre, comme les 18 composantes de gauche qui forment Syriza en Grèce. Elle pourrait favoriser l’émergence d’assemblées citoyennes, nécessaires pour mobiliser de nouvelles forces vives, telles que celles que Podemos a su mettre en mouvement en Espagne.

    Liêm Hoang-Ngoc et Philippe Marlière sont les fondateurs du Club des socialistes affligés.

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  • Pierre Stambul co-président de l'UJFP arrêté par le RAID cette nuit et gardé à vue pendant 7 heures m(UJFP 9/06/2015-18 h 40)

    Il est 1 h 30. Le téléphone fixe sonne longuement. Pierre décroche : personne au bout du fil.

    Le commissariat du 8ème arrondissement prend le relais.
    Pierre restera en tout sept heures en garde à vue. Il ne sera interrogé qu’une fois. Il sortira vers 11 h sans aucune excuse avec plusieurs portes défoncées.

    Ce n’est pas la première fois que l’on s’en prend ainsi aux militants de la solidarité avec la Palestine. Ce mode opératoire nous rappelle celui du hacker franco-israélien Grégory Chelli alias Ulcan qui a déjà défrayé la chronique.
    Il vise clairement à empêcher le développement de la campagne BDS et à tenter de bâillonner l’expression d’une voix juive pour la justice et l’égalité des droits.

    Nous tenons à remercier toutes les nombreuses personnes et associations qui nous ont témoigné ce matin leur solidarité.
    Ces intimidations ne nous ferons pas taire, bien au contraire, elles prouvent la faiblesse de ceux qui veulent entraîner les Juifs dans une voie suicidaire, celle de l’apartheid et de la négation du droit international.

    La réunion de Toulouse de ce soir organisée par l’UJFP aura bien lieu avec Pierre au lieu et à l’heure prévue.

    Le Bureau national de l’UJFP le 09-06-2015 à 18h40

    source: http://www.ujfp.org/spip.php?article4210

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  • APPEL PLURALISTE : Pour la dénonciation par la France du traité de l’Atlantique Nord et le retrait de ses armées du commandement intégré

     Pour la dénonciation par la France du traité de l’Atlantique Nord et le retrait de ses Armées du commandement intégré

     Le 21 mai 2015 à l’Assemblée Nationale, lors du colloque intitulé « La France peut-elle retrouver une diplomatie indépendante », un ancien ambassadeur de France et ancien secrétaire général du Quai d’Orsay a déclaré que l’OTAN n’aurait pas dû survivre à la disparition de l’URSS et à la dissolution du Pacte de Varsovie.

     Les initiateurs du présent appel de sensibilités républicaines et patriotiques diverses, ayant dans le passé, approuvé ou non l’existence de l’OTAN affirment unanimement, qu’en effet aujourd’hui, cette organisation n’a plus de raison d’être.

      L’OTAN s’est en réalité élargie en intégrant, contrairement aux engagements pris envers Gorbatchev, nombre de pays anciennement socialistes, avançant ainsi méthodiquement dans un processus d’encerclement de la Russie en multipliant les bases militaires étasuniennes dans ces pays.

      Cette politique ouvertement agressive s’est accompagnée de l’installation d’un bouclier de missiles anti-missiles à proximité de la Russie éventuellement destiné à permettre une première frappe nucléaire sur ce pays, en stérilisant ou en limitant de façon drastique ses possibilités de réplique.

      C’est dans ce contexte géopolitique que l’Ukraine a vécu la « révolution orange », téléguidée par les États-Unis et soutenue par l’UE, qui a permis la mise en place par la force d’un gouvernement hostile à la Russie avec la participation de néonazis notoires. Il est temps que la France se dissocie de cette politique antirusse provocatrice qui risque de déboucher sur une troisième guerre mondiale éventuellement nucléaire.

      Organisation politique et militaire, l’OTAN est tout à la fois l’instrument diplomatique et le bras armé qu’utilisent les Etats Unis avec la complicité des Etats vassaux au premier rang desquels se trouvent la France, la Grande Bretagne et l’Allemagne.

      Le gouvernement américain, fort d’une doctrine militaire incluant la guerre préventive et l’usage d’armement nucléaire en premier, doté de plus de 700 bases militaires réparties sur tout le globe, et décidé à combattre la menace terroriste sans la volonté d’en rechercher les causes, conduit l’OTAN et donc la France à participer, dans un chaos organisé, à une guerre permanente au mépris de nos intérêts et de notre propre sécurité. De la Yougoslavie à l’Irak, de la Syrie à la Libye, la France use son potentiel militaire et son crédit diplomatique et oublie les valeurs de son peuple, au profit d’une politique définie à Washington.

      En réalité, les États-Unis mènent avec l’OTAN une politique d’agression et de guerre généralisée qui ne saurait demeurer plus longtemps celle de notre nation. Il est grand temps que la France recouvre la souveraineté de ses décisions et la liberté de choisir ses partenaires en conformité avec sa philosophie et les intérêts du peuple français.

      Nous appelons à la dénonciation par la France de son appartenance au traité de l’Atlantique Nord et au retrait de ses armées du commandement intégré. La France en redevenant libre devra exiger la dissolution de l’OTAN qui n’a plus de raison d’être !

      Paris le 1er juin 2015

     

    ***

    Cet appel est ouvert à la signature des citoyens et organisations qui souhaitent contribuer à cette initiative. Il est initié par le Comité Valmy ainsi que par des militants, des personnalités et des organisations de sensibilités diverses de l’arc républicain.

    Contact et signatures :

    Utiliser provisoirement cette adresse :info@comite-valmy.org


    Appel pluraliste pour la dénonciation par la France du traité de l’Atlantique Nord et le retrait de ses Armées du commandement intégré

    Premières signatures :

    Comité Valmy 
    Collectif Résistance et renouveau gaullien
    Pôle de Renaissance Communiste en France 
    Mouvement pour un socialisme du 21ème siècle
    Comité pour une Nouvelle Résistance – CNR
    Association NordSudPatrimoineCommun 
    Mouvement Républicain de Salut Public.
    Comaguer 
    Editions Démocrite

    • Michel Debray, vice-amiral en 2ème section, ancien président de l’Institut Charles de Gaulle 
    • Claude Gaucherand Contre-Amiral (2S)
    • Philippe de Saint Robert – Gaulliste - Ecrivain
    • Albert Salon, docteur d’Etat ès lettres, ancien ambassadeur
    • Michel Peyret Ancien Député de la Gironde
    • Jean-Claude Ramos - Comité Valmy – Ancien Député (ps) de la nation. 
    • Sylvain Roger ex. Secrétaire général de la CGT Renault Billancourt
    • Richard Labévière – Journaliste – Ex rédacteur en chef à Radio France internationale (RFI).
    • Alain Corvez - Conseiller en stratégie internationale – Résistance et Renouveau Gaullien
    • Pierre Lévy – Rédacteur en chef de BRN Ruptures
    • Claude Beaulieu Président du Comité Valmy
    • Henri Temple Universitaire, Avocat, Ecrivain
    • Bernard Conte – Comité Valmy - Economiste politique – Bordeaux
    • Alec Bizien, Professeur au Collège de médecine des Hôpitaux de Paris, 91090 LISSES - ancien élu communiste
    • Domenico Losurdo - Philosophe - Université de Urbino 
    • Yvon Grinda – MRC 06 –co-fondateur du Comité Valmy
    • Jean-Pierre Page, Syndicaliste
    • Jean Géronimo - Docteur en Économie - Spécialiste des questions économiques et géostratégiques russes - Université Pierre Mendès France, Grenoble II
    • Jean-Claude Théodore – Gaulliste – Comité Valmy 
    • Jean Lévy, Ancien responsable CGT – Comité Valmy
    • Claude et François Roddier – Comité Valmy – Astro-Physiciens, retraités
    • Chantal Dupille (dite eva R-sistons), journaliste-écrivain-blogueuse
    • Marie Christine Vendeville – Militante Communiste -Paris
    • Christian Teyssandier – Chevènementiste – Comité Valmy
    • Robert Clavijo – Ecologiste – Responsable d’association souverainiste – 34 Béziers 
    • Bassam Tahhan - Professeur de lettres arabes, islamologue et politologue.
    • Jean-Pierre Robert - Palestine Solidarité 
    • Mireille Delamarre pour Planetenonviolence
    • Lucien Pons – Président du Comité Nouvelle Résistance - CNR
    • Yves Vargas – Philosophe – 
    • Bernard Genet – Militant anti-impérialiste
    • Geneviève Blache – Comité Valmy – Animatrice de Résistance et Renouveau Gaullien
    • Jacques Maillard – Comité Valmy – Physicien
    • Danielle Lapierre – Militante associative
    • Alexandre et Marie-José Moumbaris – Démocrite
    • Alain Pruvost – Chevènementiste – Vallauris 06 – Co – fondateur du C.E.P.N.F 
    • Patrice Hemet – Mouvement pour un socialisme du 21ème siècle
    • Bernard Trannoy administrateur site www.pcfbassin.fr
    • Christian Schneider – Mouvement pour un socialisme du 21ème siécle
    • Thierry Delbos – Responsable souverainiste – Clermont-Ferrand 
    • Robert Hadjaj –Président du Mouvement Républicain de Salut Public
    • Isabelle Voltaire – Comité Valmy – Militante laïque 
    • Bruno Afeuille – Patriote républicain
    • Raphaël Berland – Cercle des volontaires 
    • Michel Dupuy- cadre retraité, syndicaliste - Thiais (Val de Marne)
    • Charles Gilbert – enseignant de philosophie retraité
    • Bernard Pignault - du Comité Nouvelle Résistance - CNR
    • Valentin Martin – Comité Valmy 
    • Armand Legay – Le Havre – Sociologue – Comité Valmy
    • Hervé Fuyet - 92240 Malakoff
    • Frédérik Brandi – Comité Valmy 06
    • Evelyne Janvier – militante républicaine et patriote
    • Thierry Laronde - Gaulliste – Comité Valmy– 74000 Annecy
    • René Isnard - Comité pour une Nouvelle Résistance – CNR 
    • Christiane Debrabant, 1820 Montreux/Suisse, retraitée, souverainiste
    • Claude Deroudilhe- 75004 PARIS 
    • Gilles Gomel
    • Bernard Maillard - Je rejoins votre appel pour que la France sorte de l’OTAN
    • Pascal Chauvet - CDR-RUE33

    Blogs et sites Internet

    - Canempechepasnicolas 
    - Commun COMMUNE Michel El Diablo 
    - Le site WikiStrike.com 
    - Planetenonviolence 
    - Cercle des volontaires

     

    source: http://www.communcommune.com

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  • J'aurais bien vu, Martha DESRUMAUX au Panthéon (IC.fr-7/06/2015)

    Quand j’étais enfant à Hénin-Liétard et que l’on parlait de déportés politiques, le nom de Martha Desrumaux revenait systématiquement.

    Martha naît en 1897 à Comines, une petite ville proche de Lille. Elle commence à travailler à neuf ans comme femme de ménage puis comme ouvrière dans le textile. Elle adhère à la CGT à treize ans, puis, deux ans plus tard, aux Jeunesses socialistes. En 1921, elle rejoint le Parti communiste. En 1917, elle prend la tête d’un mouvement de grève dans le textile. En 1925, elle dénonce la guerre coloniale au Maroc. En 1927, elle est la première femme élue au Comité Central du PCF.

    En 1936, elle est une figure de proue du Front populaire dans le Nord. Elle est la seule femme présente lors de la signature des accords Matignon. Elle organise la solidarité avec les forces républicaines espagnoles. Elle joue son propre rôle dans le film de Jean Renoir La vie est à nous.

    En août 1940, dans le nord de la France sous administration directe de l’armée allemande, elle organise la grande grève patriotique de mai-juin 1941. 100 000 mineurs débrayent, refusant de fournir du charbon pour l’occupant. Dénoncée par le préfet, Martha est arrêtée par la gestapo. Elle est mise au secret à la prison de Loos et déportée à Ravensbrück. Elle y organise l’entre-aide et la solidarité avec Geneviève De Gaulle-Anthonioz et Marie-Claude Vaillant-Couturier. Libérée par l’Armée rouge, elle est rapatriée par la Croix-Rouge en 1945 mais revient malade du typhus. Elle réintègre les organes dirigeants de la CGT.

    En 1944, elle est élue au conseil municipal de Lille. L’année suivante, elle est élue député communiste du Nord.

    La maladie l’oblige à ralentir ses activités. Elle continue cependant son action auprès de la Fédération nationale des Déportés, proche du Parti communiste.

    Elle meurt le 30 novembre 1982, le même jour que son mari, ouvrier métallurgiste et syndicaliste.

    Trop communiste pour entrer au Panthéon ? Comme Marie-Claude Vaillant-Couturier ?

    par B Gensane repris de legrandsoir.info
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  • Georges Gastaud – Marxisme et Universalisme

    Mardi 9 juin 19h30 ; 63 rue Raymond Losserand 75014 Paris

    Idées de lecture ? philosophie, histoire, politique, enquêtes, reportages [IC.fr-7/06/2015] Faut-il continuer d'opposer, comme y invite l’opinion dominante, l’universalisme des « droits de l’homme » au particularisme des classes sociales, des nations ou des « civilisations » ? À l’inverse, « la » nation et l’« humanité », et en conséquence, le patriotisme et l’humanisme, ne sont-ils pas secrètement divisés par des fractures de classes bien réelles dont doit tenir compte toute stratégie progressiste ? Quant à la lutte des classes, dans laquelle les dominants ont provisoirement conquis l’initiative historique, n’est-elle pas le levier paradoxal par lequel le genre humain peut réellement s’unifier au lieu de s’abandonner au faux universalisme de la « construction européenne » et du « transatlantique », ce particularisme du riche qui voudrait imposer au monde une seule pensée  Lire la suite…

    Domenico Moro Le groupe Bilderberg « l’élite » du pouvoir mondial

    Idées de lecture ? philosophie, histoire, politique, enquêtes, reportages [IC.fr-7/06/2015]Nombreux sont les premiers ministres, ministres et banquiers centraux qui, avant d’accéder à leurs postes, ont siégé ou ont été invités au Groupe Bilderberg ou à la Commission Trilatérale. Parmi eux, Emmanuel Macron, Christine Lagarde, Jean-Claude Trichet, Mario Draghi, Mario Monti, Angela Merkel, Bill Clinton, Tony Blair, David Cameron. On note aussi la présence de dirigeants de multinationales comme Bill Gates (Microsoft), Jeff Bezos (Amazon) ou David Rockefeller, mais aussi de piliers du pouvoir états-unien comme le général David Petraeus (ancien directeur de la CIA) ou Henry Kissinger.

    L’existence de ces organisations pose des questions décisives comme celle du contrôle démocratique sur les processus publics déci- sionnels. Est-il possible de répondre aux défis de notre temps avec des appareils de coordination contrôlés par des « élites » aussi restreintes ? D’autant Lire la suite…

    Michel Clouscard inédit –  Les Chemins de la praxis

    Idées de lecture ? philosophie, histoire, politique, enquêtes, reportages [IC.fr-7/06/2015]Les Chemins de la praxis expriment le dernier état, le dernier moment, de la pensée clouscardienne. Donc, à lire certes, mais, plus impérativement que ce n’est le cas pour aucun de ses ouvrages précédents, à relire, tant y est poussé, à des limites rarement atteintes, l’extrême concentration du propos. La fulguration des ellipses, aussi bien que, en sens inverse, l’explicitation inédite des concepts dialectiques fondamentaux, sous-jacents à l’ensemble de ses publications antérieures, témoignent de cette tension permanente entre une lutte à mort contre le temps (celui des premiers symptômes de la maladie qui devaient finir par l’emporter), et la prodigieuse richesse du matériau interrogé.

    « Le réel comme corollaire de la praxis est la proposition la plus radicale du concept de praxis. Celle-ci ne saurait être réduite à un quelconque réalisme du temps et de l’espace. Lire la suite…

    Danielle Bleitrach et Marianne Dunlop  –  « URSS vingt ans après. Retour de l’Ukraine en guerre »

    Idées de lecture ? philosophie, histoire, politique, enquêtes, reportages [IC.fr-7/06/2015]Qu’est-il advenu de l’Union soviétique, vingt ans après ? Loin de tout discours officiel, de la gloriole des « élites », c’est la parole des petites gens que nous avons recueillie dans toute une série de reportages en Crimée, au moment de son rattachement à la Russie en mai et juin 2014. Puis l’aventure s’est poursuivie à Odessa en octobre et novembre, peu de temps après le massacre dans la Maison des syndicats, puis en Moldavie, en Transnistrie et en Gagaouzie. Nous voulions connaître l’opinion de ceux dont les seules victoires, provisoi- rement acquises, se nomment « pain » et « abri pour dormir », étant entendu que tout est remis en cause le matin de chaque jour qui naît, quand la guerre est là, la pire des guerres la guerre civile… Ils ont dit ce que représentait l’Union soviétique pour eux, comment ils avaient vécu le Maïdan, la rébellion dans le Donbass et Lire la suite….

    Rémy Herrera – L’internationalisme cubain La révolution au-delà d’elle-même

    Idées de lecture ? philosophie, histoire, politique, enquêtes, reportages [IC.fr-7/06/2015]Aux Cordeliers, amphi Roussy ; 15 rue de l’école de médecine 75006 Paris ; jeudi 4 juin 17h-19h30

    A cette occasion, Rémy Herrera présentera le livre de Piero Gleijeses « Missions en conflit. La Havane, Washington et l’Afrique 1959-1976″, seul livre sur la période ayant bénéficié de l’accès aux archives cubaines. Ouvrage à paraître le jour de la conférence.

    Grover Furr – Khrouchtchev a menti et autres recherches sur l’Union soviétique

    Idées de lecture ? philosophie, histoire, politique, enquêtes, reportages [IC.fr-7/06/2015]Vendredi 5 juin 19h30 ; librairie Tropiques ; 63 rue Raymond Losserand 75014 Paris

    Dans son « rapport secret » de février 1956, Nikita Khrouchtchev a accusé Joseph Staline de crimes immenses. Le rapport a porté un coup terrible au mouvement communiste international, il a changé le cours de l’histoire. Grover Furr a passé une décennie à étudier le flot de documents provenant des anciennes archives soviétiques et publiés depuis la fin de l’URSS. Dans cette étude approfondie du rapport Khrouchtchev, il révèle les résultats étonnants de son enquête : pas une seule des « révélations » de Khrouchtchev n’est exacte ! Le discours le plus influent du axe siècle – sinon de tous les temps – s’avère une escroquerie. Les implications pour notre compréhension de l’histoire de la gauche  Lire la suite…

    Jean Salem Dans l’émission La marche de l’histoire

    Idées de lecture ? philosophie, histoire, politique, enquêtes, reportages [IC.fr-7/06/2015]Sur France Inter La marche de l’histoire, une émission de Jean Lebrun

    Pour écouter le podcast, cliquer sur « Jean Salem : comment être le fils d’Henri Alleg »

    http://radio-podcast.fr/podcast/france-inter/104/la-marche-de-l-histoire/Jean-Lebrun 

    source : http://editionsdelga.fr/

     

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  • APPEL URGENT A SOUTENIR UN JOURNALISTE EMPRISONNE A ODESSA

    Ukraine : Rompre le silence radio ! personne ne peut se taire !Traduit par Marianne Dunlop

    La vague d’épurations qui a déferlé sur Odessa en avril-mai de cette année a emporté avec elle un grand nombre de citoyens qui exprimaient à voix haute leurs opinions. La liste complète des personnes arrêtées n’est pas accessible au commun des mortels, la police ne communique pas sur ce sujet. C’est pourquoi plusieurs semaines après les faits continuent de remonter à la surface des détails choquants des sévices infligés par la junte de Kiev aux dissidents. Une de ces victimes, dont le nom n’apparaissait pas au départ, est un journaliste du site d’opposition « Infocenter », Vitali Didenko.

    En automne 2014, le Rédacteur en chef du site « Infocenter » Yevguéni Anokhine a été arrêté soi-disant pour avoir des liens avec des terroristes. C’est-à-dire avec les Républiques de Donetsk et Lougansk. Le SBU (services secrets ukrainiens) a découvert dans son ordinateur une liste de gens pouvant faire l’objet d’un échange entre les républiques populaires et l’Ukraine. Dans la mesure où les organes de police n’avaient rien réussi à trouver de mieux comme motif de son arrestation, ils ont été obligés de jouer les imbéciles et prétendre ignorer qu’un journaliste a le droit de collecter ce genre d’information dans un but professionnel. Au bout du compte, Anokhine a été échangé contre des prisonniers des FAU, et, ses papiers d’identité confisqués, livré à la république de Lougansk, où il se trouve à ce jour.

    Après l’arrestation d’Anokhine, le journaliste Vitali Didenko qui travaillait déjà à « Infocenter » l’a remplacé au poste de Rédacteur en chef. Depuis ses années à la fac, Didenko sympathisait avec les idées communistes et avait une bonne connaissance du marxisme. Il s’est opposé au Maïdan, le considérant comme un mouvement réactionnaire et une arme aux mains des puissances impérialistes qui se battent pour le partage des sphères d’influence en Ukraine. Pour la même raison il n’a pas soutenu les nationalistes russes et s’est opposé au régime post maïdan à partir d’une plate-forme démocratique ouvrant sur une perspective socialiste. Cependant, son activité en qualité de journaliste d’Infocenter se bornait à une critique du régime instauré en Ukraine d’un point de vue de défense des valeurs démocratiques en général.

    Mais comme on sait, le régime instauré en Ukraine considère toute critique à son adresse comme du séparatisme, dès lors qu’elle ne s’appuie pas sur l’idéologie communément admise. Dans la mesure où  « Infocenter » et Vitali Didenko en personne ont toujours rejeté le bandérisme, ils étaient des cibles idéales. Sentant la menace, Didenko avait déjà changé d’adresse à la fin de l’année dernière, et peu avant son arrestation, il avait encore déménagé. Mais le SBU a retrouvé sa trace et, faisant pression sur le propriétaire, a mis son appartement sur écoute (illégale), et à l’aube du 29 avril a débarqué avec un mandat d’arrêt. Didenko a tenté de s’enfuir et s’est jeté du deuxième étage. L’opération a mal réussi : il s’est cassé un bras et deux côtes, devenant une proie facile pour ses persécuteurs.

    Comme on pouvait s’y attendre, Didenko a été accusé de séparatisme, malgré le fait que sur le site « Infocenter » n’aient jamais été publiés d’appels à la séparation de quoi que ce soit appartenant à l’Ukraine. En plus de son activité journalistique, on lui reprochait un soutien informationnel et organisationnel à la « Rada populaire de Bessarabie ». Cette « rada » est une association qui regroupe des représentants des minorités nationales dans le sud de la province d’Odessa. Elle a été créée en avril 2015 et dès le départ fait l’objet de répressions –  le régime de Kiev a vu en elle un organe séparatiste. Sans doute parce que la « Rada » rassemble des personnalités qui ne soutiennent pas la dictature post maïdan. Enfin, comprenant que les accusations portant sur les activités journalistiques et associatives ne suffiront pas pour mettre Didenko à l’ombre, au cours d’une perquisition on a « trouvé » chez lui de la cocaïne. Tous ses amis ont été profondément surpris de cette « trouvaille » : il menait un mode de vie sain, ne fume pas, ne boit de l’alcool que les jours de fête, et avant la crise politique jouait au football.

    Les services secrets avaient calculé juste. Les accusations de séparatisme étaient tellement bancales que le 15 mai la Cour d’appel a rejeté la décision d’arrêter Didenko. Mais le SBU l’a accusé de détention illégale de stupéfiants et arrêté de nouveau le 19 mai. L’avocat de Didenko a fait de nouveau appel, mais cette fois-ci, les « Maïdown » (partisans du maïdan) s’en sont mêlés. Le 27 mai ils ont intercepté le procureur et l’ont menacé de « lustration par la benne à ordures », si la Cour annule l’arrestation. Celle-ci a donc laissé Didenko derrière les barreaux.

    Le rôle des « Maïdown » dans l’affaire Didenko est remarquable à tous points de vue. Quand début mai le juge l’a placé pour la première fois en détention préventive, peu de gens étaient au courant. Seulement ses parents, le tribunal, les services secrets et… un groupe de Maïdown de la soi-disant association « Oberig ». Les identités de deux d’entre eux sont faciles à déterminer : il s’agit de la « journaliste » Vera Zaporojets et du militant Secteur droit à la réputation sulfureuse Mikola Dotsenko. Ils se sont présentés au tribunal et ont commencé à harceler moralement Didenko et son père. Ils en ont fait une vidéo https://www.youtube.com/watch?v=KAnFnvrKwIM&feature=youtu.be

    A en juger par leur discours, ils connaissent parfaitement le dossier de l’enquête, y compris les enregistrements réalisés au domicile du journaliste. Dans les couloirs du tribunal, ils ont joué le rôle de « procureurs bénévoles », s’efforçant de briser et de calomnier le prévenu, et en même temps de le rabaisser en public, afin de diffuser cette scène d’humiliation au monde entier, le privant par là-même de la sympathie et du soutien de l’opinion publique. Une circonstance assez pénible était aussi le fait que le père du journaliste est partisan du pouvoir à Kiev. Quoi qu’il en soit, la vidéo et le comportement inquisitoire des pro-maïdan dans les couloirs du tribunal ne jouent pas en leur faveur, car ce sont eux qui ont le mauvais rôle et non leur victime sans défense.

    Deux circonstances donnent un tour assez piquant à la situation. Premièrement, les inquisiteurs accusent Didenko de travailler non pour ses idées, mais uniquement pour de l’argent, alors que justement l’organisation « Oberig » a été exclue de « Pravy sektor » [Secteur droit, NdT] pour malversations financières, dont détournement de biens et d’argent. Et d’ailleurs il serait étrange que le rédacteur en chef d’un site d’information et dont c’est l’emploi principal ne reçoive pas de salaire. Deuxièmement, l’un des harceleurs moraux du journaliste d’opposition est recherché par la police pour avoir participé au passage à tabac du député Choufritch. Nous parlons de Mikola Dotsenko. Néanmoins, il se promène tranquillement à travers tout le bâtiment du tribunal et a même accès aux dossiers d’instruction des services secrets. Il est clair que sans un soutien direct du SBU, Zaporojets, Dotsenko et toute leur bande, qui se fait appeler « Oberig », n’auraient pas pu se comporter de cette manière.

    Ainsi, l’affaire Vitali Didenko témoigne clairement de l’arbitraire juridique et du caractère répressif du régime de Kiev. Un journaliste d’opposition, un homme de gauche a été accusé de séparatisme pour la seule raison qu’il n’accepte pas l’idéologie du pouvoir en place et qu’il collabore avec des associations en désaccord avec le régime. Lors de son interpellation on a placé de la drogue chez lui pour pouvoir l’accuser. Et après son arrestation, pour le discréditer moralement, on a utilisé des bandits et des trafiquants protégés par le SBU et qui couvrent leurs agissements de mouchards et d’inquisiteurs sous des accréditations journalistiques.

    Vitali Didenko est aujourd’hui détenu à l’hôpital d’un établissement pénitentiaire. Il souffre non seulement des blessures qu’il s’est faites en tentant vainement de fuir, mais aussi de harcèlement psychologique. Il a besoin de notre soutien moral. C’est pourquoi nous appelons tous ceux qui peuvent de diffuser largement ces informations sur la persécution d’un journaliste d’opposition, le mépris des droits civiques en Ukraine et les méthodes infâmes utilisées par les pro-maïdan pour faire pression sur le prévenu et sur la justice.

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  • Charte européenne des langues régionales : Refuser la contre-révolution linguistique et territoriale en marcheDans le droit fil de la charte européenne des langues régionales voulue et promue par l’Union Européenne des Patrons et à la suite de la balkanisation de la République Une et Indivisible via les lois d’euro-métropolisation et d’euro régionalisation (Loi MAPAM, Loi NOTRE …), le président de la République François Hollande vient de faire une annonce tonitruante d’une loi constitutionnelle pour modifier la Constitution et permettre la ratification – sans référendum évidemment – de cette charte européenne des langues régionale.

    Au-delà de la tentative de diversion à la veille des élections régionales, et alors que le chômage continue d’augmenter, c’est bien là la déclinaison de la stratégie de guerre de classe qui détruit le pays, stratégie ouvertement revendiqué par exemple par le MEDEF dans son manuel « Besoin d’Aires » … Euro-landerisation du pays, institution d’euro-métropoles qui ne sont que le retour des nouvelles féodalités, ethnicisation, il s’agit pour le Capital de diviser pour mieux régner, pour mieux mettre en concurrence et faire ainsi voler en éclat les droits des travailleurs. C’est bien là le but de la Réforme Territoriale qui dans le plus grand silence médiatique – et sans grande réaction syndicale pour l’instant – est en train de faire voler en éclat l’organisation territoriale des services publics qu’ils soient de l’Etat ou des collectivités territoriales. Qui connaît le contenu de la Loi Notre (nouvelle organisation territoriale de l’Etat) voté en début de semaine ?

    source: http://www.initiative-communiste.fr/articles/europe-capital/charte-europeenne-des-langues-regionales-refuser-la-contre-revolution-linguistique-et-territoriale-en-marche/

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