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  • Une quarantaine de militants et sympathisants de La France insoumise ont participé, samedi matin, place Saint-Corentin, à une casserolade quimpéroise contre la réforme du Code du travail et le "coup d’État social". 

    Quelques militants ont interprété des saynètes, sur le ton de l’ironie, à propos de la santé, de l’environnement, du travail, des riches… Chacune d’elles a été saluée par un petit charivari à la façon des mouvements de protestation des opposants au régime de Louis-Philippe dans les années 1830 ou des contestataires du régime de Pinochet au Chili après le coup d’État de 1973. Pour mémoire, à droite, les Poujadistes ont également donné de la casserole dans les années 1950, tout comme les activistes de l’OAS qui défendaient, dans la rue, l’Algérie française.

    source: http://www.letelegramme.fr

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  • Halte à la fascisante répression de Mariano Rajoy en Catalogne ! (IC.fr-30/09/2017)

    Communiqué de la commission internationale du PRCF –

    29 septembre 2017

    Halte à la fascisante répression de Mariano Rajoy en Catalogne ! (IC.fr-30/09/2017)

    On se reportera si besoin aux raisons déjà explicitées pour lesquelles le PRCF regarde avec le plus grand scepticisme l’« indépendantisme » de la bourgeoisie catalane inféodée à Bruxelles, à Berlin et à l’OTAN. Mais pour l’heure, c’est le comportement fascisant de l’Etat monarchique espagnol en général qui doit d’abord alerter tous les démocrates, tant les méthodes utilisées par Rajoy pour empêcher le référendum d’autodétermination en rappellent la période franquiste ; et disons-le tout net, ce « centralisme » policier, monarchiste et militariste, aux antipodes du centralisme démocratique cher à la Robespierre, puis à Lénine, est encore pire que le séparatisme bourgeois (que d’ailleurs il alimente a contrario !) pour diviser les peuples et les pousser artificiellement à la détestation mutuelle au seul bénéfice des forces du capital.

    L’unité fraternelle des peuples d’ ne se fera pas plus par la contrainte policière madrilène que l’unité combative des travailleurs de France, Pyrénées-Orientales évidemment incluses, ne se fera sous l’égide du « pacte girondin » porté par Macron, le destructeur acharné de la « République sociale, une et indivisible ».

    C’est au contraire dans la lutte commune contre l’euro, cette austérité continentale faite monnaie, contre l’UE, cette prison des peuples destructrice des Etats historiquement constitués, contre l’OTAN, cette machine de guerre impérialiste et, bien entendu, contre le capitalisme, ce système de plus en plus fascisant et mortifère, que les travailleurs de chaque pays et de tous les pays pourront œuvrer ensemble à la solidarité de classe dans chaque pays et entre tous les pays.

    source: https://www.initiative-communiste.fr

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  • Le seul vrai "talent" de Macron: le mépris de classe – Par Floréal (IC.fr-30/09/2017)

    Persiste et signe ! Ce président mal élu, tout dévoué aux riches et 100% méprisant pour la classe ouvrière, vient encore d’affiche son arrogance de caste.

    C’est plus fort que lui : justifiant aujourd’hui (29 septembre 2017) devant les caméras son budget de guerre sociale, Macron a froidement asséné que son but était d’ « aligner la France » (car bien sûr, l’idée que notre pays puisse avoir sa personnalité propre exaspère ce financier anglomane…) sur la fiscalité européenne de manière à « retenir les talents en France ». Car il est clair, a ajouté notre Marie-Antoinette en costume, que « les talents les plus innovants » ne cessent de quitter cette triste France qui les décourage…

    En clair, vous tous, ouvriers, employés, agriculteurs, artisans, enseignants, cheminots, ingénieurs, chercheurs scientifiques scandaleusement sous-payés, vous qui êtes sottement demeurés dans ce pays moisi, hexagonal, franchouillard et pour tout dire franco-français, vous n’êtes pas seulement « irréformables », « fainéants », « cyniques » ou « extrêmes » – telles étaient les aimables épithètes qu’avait jusqu’alors décernées aux Français l’ex-« trader » qui siège à l’Elysée : vous êtes, en outre, des sans-talent. Et le président « de tous les Français » d’ajouter que l’essentiel n’est pas de savoir si l’on est riche ou pauvre « d’une manière statique », mais si « le talent » est récompensé ou pas au cours d’une existence.

    Passons sur le fait que la vision du monde du « jeune » président – décidément très, très vieux dans sa tête : il parle comme Guizot ! – n’est que compétition acharnée, concurrence « libre et non faussée », lutte  sans fin pour le fric et le pouvoir. Où donc est la solidarité, où est l’humanité dans cette conception bestialement égoïste du sens de la vie ? Et qui croit vraiment que les plus grands génies qu’ait produits l’humanité, les Beethoven, Rousseau, Kant, Galois, Marie Curie, Einstein, Niemeyer, etc., aient eu pour souci majeur d’amasser un magot « défiscalisé » (« et un coffre-fort plein de Rolex », eût ajouté Sarkozy !) pour preuve irréfragable de leur irremplaçable « talent » ?

    En outre la vision soi-disant « dynamique » du jeune « trader », lui-même issu de la bonne bourgeoisie friquée d’Amiens, n’est qu’un rideau de fumée idéologique : n’est-il pas évident que la redistribution des revenus par l’impôt reste un levier essentiel  – même s’il n’est pas le principal (la socialisation des moyens de production reste indispensable si l’on veut que « le développement de chacun » devienne « la clé du développement de tous », comme le disait Marx) – pour que les fils et petits-fils à papa n’engendrent pas à l’infini de nouveaux « héritiers »… Pendant que les fils de prolos auront tous les obstacles à franchir, économiques, sociaux, culturels, scolaires… pour ne pas devenir eux-mêmes de la chair à profit, pardon, « des gens qui ne sont rien » (le mot est aussi de Macron, parlant de ces personnes que l’on croise dans les gares !). Mais Macron, qui se flatte d’avoir étudié le philosophe Paul Ricoeur, a-t-il seulement lu ce que Saint-Exupéry écrivit jadis à propos des millions de petits pauvres sacrifiés que ce grand écrivain humaniste qualifiait de « Mozart qu’on assassine » ?
    Décidément, Mélenchon a frappé juste quand, dans son discours du 23 septembre, il a signalé que même les rois n’avaient jamais parlé du peuple français avec le mépris de caste qu’affiche Macron à l’encontre de notre pays : car les rois prétendaient au moins « aimer paternellement » ces « petites gens » dont les labours et les pâtures formaient « les deux mamelles de la France ».

    Et si à l’inverse de Macron, on n’essayait pas de retenir à coups de milliards les prétendus « talents » qui planquent dans les paradis fiscaux les milliards prélevés sur notre talent collectif ? Et si le seul vrai « talent » des parasites de la finance était de détruire notre pays à coups de privatisations, de délocalisations, de tout-anglais managérial et de démolition du lien social ? 

    Au fait, les Golden Macron’s qui dirigent notre pays savent-ils comment a fini certaine « Autrichienne » dont le « talent » principal était d’écraser les « sans talent » d’alors (Hollande parlait plutôt des « Sans-dents » : du moins s’exprimait-il ainsi en privé) sous son incroyable insolence de classe ?

    Floréal  -le 29/09/2017

    source: https://www.initiative-communiste.fr

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  • Les ordonnances permettent la remise en cause, entreprise par entreprise, de "toutes les primes" qui jusqu'à présent étaient garanties par les conventions collectives.Les ordonnances permettent la remise en cause, entreprise par entreprise, de "toutes les primes" qui jusqu'à présent étaient garanties par les conventions collectives.

    Les syndicats estiment n'avoir "rien obtenu de concret" ce jeudi soir, à la sortie des négociations avec la Ministre des transports et les fédérations patronales. Ils ont plutôt appris "avec stupeur, que les ordonnances venaient impacter les frais de route".

    Les syndicats sont sortis "effarés" jeudi soir d'une réunion avec la ministre des Transports, Elisabeth Borne, et les fédérations patronales, avec lesquelles les discussions ont été "très tendues", notamment sur l'application de la réforme du travail par ordonnances.

    Les syndicats (CFDT, CGT, FO, CFTC, CFE-CGC) n'ont "rien obtenu de concret" et, pire, ont appris "avec stupeur que les ordonnances venaient impacter les frais de route", ce qui représente un "coup de tonnerre" pour la profession, selon Jérôme Vérité (CGT), qui s'est dit "effaré" à la sortie du ministère.

    Entre 600 et 1200 euros par mois

    Ces indemnités (repas, frais de découcher,...) peuvent représenter jusqu'à "1 000 euros par mois sur la fiche de paie pour un conducteur zone longue", a-t-il expliqué à l'AFP, FO évoquant de son côté entre "600 et 1 200 euros par mois" selon le type de mission.

    Les ordonnances permettent la remise en cause, entreprise par entreprise, de "toutes les primes" qui jusqu'à présent étaient garanties par les conventions collectives, c'est-à-dire les frais de route, primes d'ancienneté ou encore le 13e mois dans le transport routier de voyageurs, a indiqué à l'AFP Christian Cottaz pour la CFDT.

    Les syndicats ont demandé à ce que les primes soient sanctuarisées, mais "le patronat ne veut rien lâcher", selon Patrice Clos de FO.

    "Très énervée", la CFDT a claqué la porte au cours de la réunion qui a duré 5 heures, décrivant des "discussions très tendues avec un patronat qui ne veut lâcher absolument rien".

    Une nouvelle rencontre est prévue le 4 octobre entre syndicats et fédérations patronales, qui ont quitté le ministère vers 21H00 sans commentaire.

    La rencontre pourra servir à "évoquer les éléments liés à la rémunération, sur lesquels il y a des inquiétudes, sur la question de l'ancienneté notamment", a déclaré plus tard à l'AFP Jean-Marc Rivera de l'OTRE.

    Dans un communiqué publié à l'issue de la réunion, la ministre a "pris acte" du fait que "de nouveaux sujets sont apparus lors de la discussion". "Ces sujets vont être expertisés, et le dialogue doit se poursuivre dans un esprit constructif et responsable", a-t-elle indiqué. 

    La grève pourrait se poursuivre la semaine prochaine

    L'expertise devra porter sur "les frais de déplacement spécifiques aux chauffeurs routiers", précise le communiqué, qui ajoute que Mme Borne a "proposé par ailleurs que les accords d'entreprise sur les rémunérations dans le transport routier fassent l'objet d'un suivi par les observatoires de la négociation, prévus par les ordonnances, en lien avec les instances nationales de branche".

    D'ici au 4 octobre, la CGT va faire "le tour des troupes" pour décider des suites à donner au mouvement reconductible qu'elle a lancé lundi avec FO, selon son représentant qui imagine "remettre un grand coup dès la semaine prochaine".

    FO "n'appelle pas à lever la grève" en cours, a indiqué pour sa part M. Clos.

    De leur côté, CFDT et CFTC laissent planer la menace d'une grève à partir du 10 octobre.

    source: https://www.ouest-france.fr

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  • BREST

      Brest. Près d’un millier de retraités dans la rue (OF.fr-28/09)

     

    "Nous ne sommes pas des nantis" scandent certains retraités devant la sous-préfecture.

    Hausse de la CSG, gel des retraites complémentaires, baisse des APL et du pouvoir d’achat. La coupe est pleine pour les retraités et ils le font savoir. Jeudi matin, ils étaient près d’un millier à battre le pavé dans les rues de Brest.

    C’est du jamais vu, ou presque à Brest. Jeudi matin, ils étaient près d’un millier de retraités à manifester contre les mesures fiscales annoncées par le gouvernement. Avec comme premier motif de grief : la hausse d’une taxe sur les revenus (la CSG, contribution sociale généralisée).

    « Cette mobilisation est historique, se félicite Gilles le Mignon, délégué CGT. Cela montre qu’il y a une réelle prise de conscience sur ce qui est en train de se passer, à savoir une dégradation progressive de la "qualité" de vie des retraités. Que ce soit en termes de pouvoir d’achat ou de santé. »

    « Ras-le-bol »

    Un rassemblement à l’initiative de l’intersyndicale des retraités (CGT, FO, FGRFP, FSU, Solidaires et l’association LSR) qui demande aujourd’hui : le retrait de la hausse de la CSG à 8,3 %, la revalorisation des pensions, l’amélioration de la prise en charge de la perte d’autonomie et des moyens supplémentaires destinés aux Ehpad et aux maisons de retraite.

     

    « Ras-le-bol », « injustice », « colère »… Dans le défilé qui les emmène à la sous-préfecture, les retraités ne mâchent pas leurs mots. Et pour cause, tous ont fait leurs comptes pour évaluer le manque à gagner. « Avec mon mari, nous allons perdre entre 60 et 70 € par mois, ce qui représente plus d’une semaine de course », se révolte une retraitée. "Donc concrètement on fait comment ? On jeûne pendant une semaine ? "

    Et même s’ils sont tous prêts à retourner dans la rue dans les semaines à venir, beaucoup d’entre eux ne se font pas d’illusions sur la suite des événements. "Macron est tellement dans l’autosuffisance et l’autosatisfaction qu’il n’écoute et n’écoutera personne", s’emporte une dame qui ne souhaite pas donner son nom car « je ne compte pas dans cette société, je n’ai ni prénom ni âge… Je ne suis plus personne. »
     
     

    Brest. Un millier de retraités défilent jusqu'à la sous-préfecture (LT.fr-28/09)

    Les retraités dans la rue ce jeudi 28 septembre 2017 -compte-rendu de la PQR (OF.fr & LT.fr 28/09/2017)

    Près d'un millier de retraités dans la rue, on n'avait pas vu ça à Brest depuis très longtemps. "Face à une situation de plus en plus catastrophique, les retraités se prennent en main, c'est bien", s'est félicité Gilles Le Mignon, l'un des porte-parole de la CGT.

    L'appel à manifester avait été relayé par neuf organisations syndicales et associatives du Finistère.

    Une motion remise au sous-préfet

    Parti de la place de la Liberté, le cortège a emprunté le boulevard Clemenceau avant de rejoindre la sous-préfecture, où une motion intersyndicale demandant "le retrait de la hausse de la CSG à 8,3%, une revalorisation des pensions en liaison avec l'évolution des salaires, une amélioration sensible de la prise en charge de la perte d'autonomie, et des moyens supplémentaires pour les Ehpad et maisons de retraite" a été remise au cabinet du représentant de l'Etat.

    source: http://www.letelegramme.fr

     
     
     
    Morlaix

    Morlaix. Environ 400 personnes pour une revalorisation des retraites(OF.fr-28/09)

    Environ 400 personnes pour une revalorisation des retraites.Environ 400 personnes pour une revalorisation des retraites.

    À l’appel de l’intersyndicale des retraités du Finistère (CGT, FO, FGRFP, FSU, Solidaires et l’association LSR), environ 400 personnes manifestent à Morlaix.

    À l’appel de l’intersyndicale des retraités du Finistère (CGT, FO, FGRFP, FSU, Solidaires et l’association LSR), environ 400 personnes manifestent ce jeudi matin, en centre-ville de Morlaix.

    Les syndicats réclament, notamment, « la fin du gel des retraites et une véritable revalorisation des pensions et des retraites au 1er octobre 2017, en prenant en compte l’évolution du salaire moyen et le rattrapage du pouvoir d’achat perdu (+20 %) par les retraités ».

    Ils demandent aussi « l’abrogation des mesures fiscales régressives contre les retraités (1⁄2 part fiscale aux veuves et la fiscalisation de la majoration familiale) ».

    source: https://www.ouest-france.fr

    Morlaix. 350 retraités autour du mot d'ordre "Restons en colère !"(LT.fr-28/09)

    Les retraités dans la rue ce jeudi 28 septembre 2017 -compte-rendu de la PQR (OF.fr & LT.fr 28/09/2017)Morlaix. 350 retraités autour du mot d'ordre "Restons en colère !"

    Autour du mot d'ordre "Restons en colère !", quelque 350 manifestants ont pris part, ce jeudi matin, à Morlaix, au rassemblement des retraités mécontents de la hausse de la CSG au 1er janvier. Un rassemblement à la sous-préfecture, puis devant la permanence de la députée LREM Sandrine Le Feur. Une délégation n'a été reçue ni à la sous-préfecture, ni à la permanence de la parlementaire.

    source: http://www.letelegramme.fr

    Quimper

    600 retraités manifestent à Quimper pour défendre leur pouvoir d'achat

    600 personnes étaient présentes à la manifestation des retraités à Quimper (Finistère).
      
    600 personnes étaient présentes à la manifestation des retraités à Quimper (Finistère)

    Environ 600 retraités se sont rassemblés, place de la Résistance à Quimper (Finistère) à partir de 10 h 30, pour défendre leur pouvoir d'achat et leurs conditions de vie.

    Une intersyndicale des retraités du Finistère a appelé à la mobilisation ce jeudi 28 septembre, « pour la défense du pouvoir d’achat, des conditions de vie, la fin du gel des retraites et une véritable revalorisation des pensions et des retraites ». Force Ouvrière, la CGT retraités, la CFTC, FSU ou encore Solidaires en font partie.

    Une intersyndicale des retraités du Finistère a appelé à la mobilisation ce jeudi 28 septembre. L'un des enjeux de cette mobilisation : la défense du pouvoir d’achat.Une intersyndicale des retraités du Finistère a appelé à la mobilisation ce jeudi 28 septembre. L'un des enjeux de cette mobilisation : la défense du pouvoir d’achat.

    Par cette manifestation, le syndicat souhaitait dénoncer la perte du pouvoir d’achat des retraités lié à certaines mesures fiscales, l’augmentation de la contribution sociale généralisée (CSG) pour 60 % des retraités, le déremboursement de médicaments, franchises et dépassements d’honoraires, ou encore les restrictions des budgets sociaux départementaux, « pénalisant les publics qui ont le plus besoin de l’investissement public de proximité en santé, hébergement, mobilité et accompagnement ».

    Une délégation a déposé une motion à la préfecture.

    Flora CHAUVEAU

    source: https://www.ouest-france.fr

     

    Quimper. 600 retraités expriment leur ras-le-bol(LT.fr-28/09)

    Les retraités dans la rue ce jeudi 28 septembre 2017 -compte-rendu de la PQR (OF.fr & LT.fr 28/09/2017)

    Face à la hausse programmée de la CSG décidée par le gouvernement, quelque 600 manifestants, retraités pour la plupart, se sont réunis ce jeudi matin, vers 10 h 30, place de la Résistance à Quimper à l'appel de neuf organisations syndicales et associatives du Finistère. Un rassemblement important pour "protester contre l'attaque que subissent les retraités", explique Jean-Jacques Villalon, membre du bureau de l'Union syndicale des retraités de la CGT. 

    Un rendez-vous avec le préfet

     A 11 h, des représentants du mouvement avait rendez-vous avec le préfet pour remettre une motion intersyndicale demandant "le retrait de la hausse de la CSG à 8,3 %, la revalorisation des pensions en liaison avec l'évolution des salaires, une amélioration sensible de la prise en charge de la part d'autonomie et que des moyens soient donnés aux Ehpad et maisons de retraite". Le cortège a ensuite longé les quais avant de se diriger vers les locaux de la député Annaïg Le Meur (La République en marche), boulevard Amiral-de-Kerguelen.

    source: http://www.letelegramme.fr

     

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