•  Venezuela : 6 ans d'attaques du système d'électricité (bolivarinfos 27/03/19)Centrale d'El Guri au Vénezuela 

    Pour provoquer le chaos et déstabiliser la société vénézuélienne, le 7 mars dernier1, le système électrique vénézuélien a été à nouveau victime d'une attaque criminelle.

    Il s'agit d'une attaque du système de la Centrale Hydroélectrique Simón Bolívar, connue sous le nom d'El Guri, qui fournit l'énergie à 80% du pays avec des armes électromagnétiques. 

    Les manœuvres pour soumettre le peuple – une attaque considérée comme attaque par arme géophysique – planifiées et exécutées depuis les Etats-Unis et appuyées par l'extrême-droite vénézuélienne ont été mises en œuvre de 3 façons : informatique comme celle concernant le cerveau du barrage El Guri et Caracas, électromagnétique : c'est ainsi qu'on a interrompu la distribution et la transmission et aussi le processus de réparation en cours, et enfin l'incendie de stations et de sous-stations électriques qui a renforcé l'attaque physique.

    Les attaques du système de production de l'électricité au Venezuela ne sont pas nouvelles : elles datent de plus de 5 ans et ont des buts politiques.

     

    2013

    En septembre, les habitants du District de la Capitale et ceux d'au moins 10 autres villes ont subi une panne inattendue produite par un sabotage sur la ligne 765 située entre San Gerónimo et La Horqueta, dans l'état de Guárico. 

    Le 2 décembre, on tente à nouveau de couper l'électricité dans une partie du pays au moment où le chef de l'Etat faisait un discours avant les élections municipales. L'attaque a lieu sur la même ligne.

     

    2015

    En octobre 2015 un groupe d'individus armés sont entrés dans l'usine Alfredo Salazar, dans l'état d'Anzoátegui, a quelques 324 kilomètres de Caracas et ont volé du matériel électrique.

    Un mois plus tard, le Président dénonçait 17 attaques du système d'électricité en seulement 1 mois, en particulier dans les états de Zulia, Táchira et Falcón où on a trouvé un camion plein de tonnes de câbles volés au système d'électricité de l'ouest du pays.

     

    2016

    En février, une partie de Caracas est à nouveau privée d'électricité après l'incendie d'une réserve de câbles souterrains. 

    En mars, l'extrême-droite sabote à nouveau le système dans le sud du pays. Ce sabotage fait 1 mort et 1 personne est arrêtée en flagrant délit.

    Un mois plus tard, environ 20 individus cagoulés ont attaqué les installations de la sous-station San Cristóbal I, sur la frontière avec la Colombie.

    Entre fin avril et mi-mai, 2 nouvelles attaques ont lieu : la première sur une tour de câbles et la seconde dans l'état de Bolívar.

    En juin, un incendie se déclare dans la sous-station de Barinas 3.

     

    2017

    Depuis le mois d'août, la population de l'état de Zulia devient la principale cible de ces attaques : 3 en 5 mois. Les sous-stations de Punta Iguana, Punta de Palma et El Tablazo ont été victimes de vol de matériel stratégique. Selon les données du Ministère du Pouvoir Populaire pour l’Énergie Electrique, pendant cette année, 42 personnes sont mortes à cause de sabotages du Système d'Electricité.

     

    2018

    Zulia est à nouveau victime de vandalisme. Pendant le mois de janvier, 2 attaques ont eu lieu, 3 en février, 2 en avril, 2 en mai, 1 en juin et 1 en août. Entre août 2017 et août 2018, 130 personnes ont été arrêtées et 5 sont mortes au cours de ces sabotages 

    Depuis le début de la guerre de l'électricité qui s'est intensifiée sous le Gouvernement du Président Nicolas Maduro, plus de 200 personnes sont mortes en participant à des actes de sabotage et 150 sous-stations de CORPOELEC ont été affectées.

    Une conspiration nord-américaine planifiée

    Dans la récente attaque, il s'agit de « technologie de haut niveau que seul le Gouvernement des Etats-Unis possède (…) Ils produisent des attaques électromagnétiques contre les lignes de transmission » et interrompent le processus de reconnexion des différentes stations, a indiqué le Président. 

    Une attaque électromagnétique (EMP) peut être déclenchée de plusieurs façons et a des conséquences directes et indirectes. Les premières sont dues au « choc » électromagnétique et à la tension provoquée sur les systèmes électriques dans la Terre.

    Les contrôles électroniques endommagés et détruits, les dégâts s'étendent sur les systèmes qui leur sont connectés, rapportent les médias internationaux. Selon le site Mission Vérité, l'Armée de l'Air des Etats-Unis a publié début 2018 un rapport sur les conséquences éventuelles d'une attaque électromagnétique. 

    Celui-ci conclut que e système ou le réseau électrique de n'importe quel Etat peut être interrompu pour longtemps par une attaque électromagnétique. Cela est dû à l'interconnexion des systèmes et des infrastructures informatisés.

    Cette situation est proche de celle qui est survenue à el Guri, qui a subi une attaque informatique du contrôle automatique de régulation Ardas, une espèce de cerveau électronique informatisé qui réglé les 20 machines du système hydroélectrique, a expliqué le vice-président pour le secteur de la Communication, de la Culture et du Tourisme, Jorge Rodríguez. 

    Ce document indique, en outre, une autre conséquence possible d’une attaque d'un pays par les Etats-Unis : une révolte sociale dans « les heures » et des conséquences technologiques sur de nombreux équipements et circuits d'ordinateurs, des pannes d'électricité « pendant longtemps » et il précise qu'il faudrait au moins 18 mois pour remplacer les éléments clef du réseau ou du système endommagé. 

    « Ils ont pris la guerre de l'électricité comme une guerre d'usure économique et contre le peuple, » a déclaré Maduro. Cette escalade putschiste met en évidence le fait que l'extrême-droite ne s'intéresse pas à l'ordre du jour de dialogue et de paix proposé par le Président, c’est pourquoi mardi dernier, il a annoncé la formation d'une Commission Présidentielle pour enquêter sur cette attaque multiforme perpétrée contre le SEN, une instance qui sera dirigée par la vice-présidente exécutive de la République Delcy Rodríguez. 

    (Note de Presse de La iguana)

     

    traduction Françoise Lopez pour Bolivar Infos

    NOTE de la traductrice:
    (1) Et à nouveau le 25 mars !

    Source en espagnol :

    http://www.resumenlatinoamericano.org/2019/03/26/venezuela-maniobras-con-fines-politicos-6-anos-de-embestidas-electricas-fotos-del-incendio-en-el-guri-ya-esta-controlado-completamente/

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  • Entretien avec Gilliatt de Staërck, responsable national de la commission Jeunes pour la Renaissance Communiste en France, durant la manifestation du 16 mars 2019 des gilets jaunes.

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  • Déclaration de Léon Landini, président du PRCF, et de Georges Gastaud secrétaire national – 19 mars 2019 

    LE RÉGIME MACRON PRÉFÈRE STRANGULER LES LIBERTÉS PLUTÔT QUE DE RÉPONDRE AUX REVENDICATIONS DE JUSTICE SOCIALE ET DE SOUVERAINETÉ POPULAIRE (IC.fr-19/03/19)

     

     

    Le PRCF condamne la nouvelle escalade liberticide et fascisante d’un pouvoir macronien. De plus en plus honni par le peuple travailleur, ce pouvoir des Macron, Castaner et autre Benalla est ouvertement aiguillonné contre le mouvement populaire des Gilets jaunes par Berlin et par toute la droite versaillaise, des chefs LR aux aboyeurs permanents du Point et de Valeurs actuelles : interdiction gouvernementale de manifester au moindre soupçon de violence « possible », traçage des manifestants censément violents par ADN (plus la moindre référence au pouvoir judiciaire…), nomination d’un préfet de police connu pour sa volonté d’en découdre avec un maximum de brutalité, sans parler de la criminalisation de l’ensemble des manifestants en Gilet jaune, du matraquage d’un député de la France insoumise, du recours désormais officiel aux troupes militaires de « Sentinelle », de la qualification d’ « émeutiers » pour désigner les gilets jaunes et du réemploi prévu d’armes éborgneuses qui ont déjà mutilé des GJ parfaitement pacifiques comme Jérôme Rodriguez. 

    Il ne s’agit certes pas de justifier les exactions aveugles de certains individus dont on se demande bien qui les commandite. Encore moins de disculper l’équipe au pouvoir, aussi incompétente qu’arrogante et antidémocratique. Mais surtout, il faut revenir au fond : cela fait des dizaines d’années, et plus encore depuis le Traité de Maastricht de 1992 parrainé par Chirac et Mitterrand, que notre peuple est agressé sans trêve, au nom de la sacro-sainte « construction » euro-atlantique du capital, avec son cortège sans fin de délocalisations industrielles, de casse sociale sans fin, de privatisations des services publics, de recul du pouvoir d’achat populaire, de misère, d’inégalités et de chômage de masse, de démontage du logement social et de l’Éducation nationale, de saccage de la souveraineté nationale et populaire, comme on l’a vu en 2007 avec le viol du Non populaire à la constitution européenne. C’est d’autant plus vrai que, parachevant des décennies de casse « européenne » du pays et s’asseyant par avance sur les résultats de son « grand débat » postiche, Macron prépare et accentue pour 2019 des contre-réformes qui tendent à disloquer ce qui reste de la fonction publique et de ses statuts, de l’Éducation nationale et des retraites par répartition (« retraite à points »).  

    L’immense colère populaire exprimée par les Gilets jaunes, et portée aussi par les journées d’action à fort retentissement possible des 19 et 30 mars, est donc légitime et ce sont au contraire ces régimes oligarchiques et maastrichtiens qui désossent la France et ses acquis sociaux qui sont dépourvus de toute légitimité démocratique réelle: le peuple travailleur ne le sait que trop d’ailleurs puisqu’au second tour des législatives de 2017, qui ont donné 80% des sièges au parti pro-oligarchique des LAREM, 56% des électeurs se sont abstenus.

    Plus que jamais, pour défendre les acquis sociaux, les libertés démocratiques et la France populaire, la convergence est indispensable entre syndicalistes de lutte, militants progressistes et gilets jaunes : pourquoi ne pas programmer ensemble une immense journée commune de manifestations et de grèves avec manifestation centrale à Paris pour appeler les travailleurs et la jeunesse à engager résolument une grève interprofessionnelle jusqu’à satisfaction des revendications ? Il faut tout faire pour que cette exigence salvatrice monte dans les luttes du 19 et du 30 mars prochain sans crainte que claque le slogan populaire « Macron démission ! », n’en déplaise aux sociaux-démocrates et aux étranges « marxistes » qui ont rabattu sur Macron le 6 mai dernier, pour prétendument faire barrage à l’extrême droite fascisante ! 

    Par ailleurs, il est indispensable que les militants franchement communistes comprennent tous l’urgence absolue qu’il y a pour notre peuple à reconstruire un parti communiste de combat, porteur d’une stratégie de délégitimation radicale de la dictature européenne et de sortie carrée, sans circonlocutions, de la France de l’euro, de l’UE, de l’OTAN et du capitalisme.  C’est à quoi travaillent les militants du PRCF.

    le 19/03/2019

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

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  • Sentinelles : pas un seul jeune militaire pour la répression bourgeoise ! (JRCF-22/03/19)

    Le gouvernement bourgeois aux abois face aux mobilisations de masse du peuple travailleur, à la radicalisation du mouvement dû à l’exaspération de plus en plus grande de la classe laborieuse (exaspération à laquelle la farce du « grand débat » - la plus grande opération de propagande organisée depuis Vichy -  était censée répondre !) vient d’annoncer l’utilisation du dispositif « anti-terroriste » Sentinelle; pour l’acte XIX des Gilets jaunes, samedi prochain.

    L’opération intérieure armée Sentinelle qui était prétendument exclusivement dédiée à la lutte « anti-terroriste » va être donc être détournée de sa mission « originaire » pour être tournée contre le mouvement populaire et affectée à la protection de bâtiments officiels, au nom de la lutte contre un « ennemi intérieur » !

    Confronté à une fronde populaire qui ne faiblit pas et à l’épuisement des forces de police et de gendarmerie, le gouvernement envoie désormais l’armée contre le peuple !

    L’armée comme supplétif au « maintien de l’ordre » avait déjà été employée lors de l’acte 4 du mouvement des Gilets jaunes, avec utilisation de véhicules blindés à roues de la gendarmerie [VBRG] dans les rues de Paris, avec renforcement des effectifs de gendarmes, en plus du dispositif policier initial.

    Une telle décision fait tomber encore un peu plus le masque du caractère fascisant et dictatorial de ce gouvernement au service des monopoles capitalistes et de l’Union européenne. Le gouvernement commis du grand patronat ne reculera devant rien pour briser l’élan populaire en cours, et tout nous indique qu’il est capable du pire. En cette fin du mois de mars où nous célébrons les premiers jours de la Commune de Paris, nous n’oublions pas les déclarations abjectes de Macron, qui osa affirmer que « Versailles fut jadis l’ultime bastion de la République », s’inscrivant ainsi directement dans le sillon du nabot sanglant Adolphe Thiers, fossoyeur s’il en est du peuple héroïque en lutte. Voilà de quoi Macron est le nom ! Voilà sa conception de l’ « ordre républicain » ! 

    Les jeunes militaires sentinelles ne doivent en aucun cas tourner leurs armes (ne serait-ce que de manière « préventive » ou « dissuasive ») contre les travailleurs, chômeurs, jeunes précarisés venus défendre leur dignité et demander le départ du gouvernement ! 

    Pour le gouvernement bourgeois actuel en parfaite voie de fascisation et pour les intérêts des capitalistes que celui-là sert, la « pacification du pays » et le « rétablissement de l’ordre républicain » impliquent de faire de la jeunesse enrôlée la main armée tournée contre des milliers d’autres jeunes actuellement pris au piège de la misère, du chômage, de la précarité auxquels les condamnent les contradictions du système capitaliste obsolète. Nous alertons à nouveau sur le rôle dangereux que pourra jouer très bientôt le Service Universel National de Macron, dans le formatage idéologique bourgeois, européiste, anti-populaire et donc anti-national de la jeunesse de France, dans son endoctrinement au service d’une armée aux mains des intérêts capitalistes, et bientôt estampillée « défense européenne ». La menace d’une fracture violente au sein même de la jeunesse populaire est à combattre par tous les moyens.

    Comme à toute époque du mode de production capitaliste, les lois de sécurité intérieures ne servent en dernière instance qu’à protéger et à défendre les intérêts de la classe dominante bourgeoise : aujourd’hui son gouvernement-serviteur a recours à la force militaire pour réprimer si besoin les travailleurs en lutte.

    En lui-même, le déploiement de l’armée à des fins de surveillance et de maintien de l’ordre sur le territoire national représentait un fait sans précédent depuis la répression impérialiste française durant la guerre d’Algérie. Les chiffres de 2017 faisaient état d’environ 7 000 militaires déployés en permanence sur tout le territoire (dont la moitié en région parisienne) et ce depuis les attentats de 2015, à Paris.

    Depuis la mise en place des dispositifs ultra-sécuritaires que la bourgeoisie justifiait par l’ « état d’urgence » (désormais inscrit dans la Constitution), le PRCF n’a cessé d’alerter sur le fait que les mesures d’exception de militarisation, de surveillance et de surenchère sécuritaires ne servait qu’à diminuer l’espace des conquêtes démocratiques, et se retournera tôt ou tard contre les possibilités mêmes de toute mobilisation sociale, syndicale, en bref, de toute mobilisation de classe du peuple travailleur !

    La généralisation de l’opération Sentinelle sur tout le territoire, puis son utilisation présente à des fins d’ « encadrement » et de répression du mouvement en cours démontre une fois de plus que l’ « anti-terrorisme » n’est qu’un prétexte de renforcement de tous les dispositifs répressifs, au service des intérêts de la bourgeoisie et de son état.

    Au même moment, le gouvernement châtie les responsables administratifs parisiens accusés de ne pas avoir été suffisamment « efficace » dans le matage des dernières manifestations. Le préfet de police de Paris, Delpuech, va être remplacé par le sinistre Lallement, ancien préfet de Nouvelle-Aquitaine, qui fit montre d’une main de fer lors des récentes répressions. Le gouvernement a également demandé le départ du directeur de cabinet du préfet de Paris ainsi que du directeur de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne, afin d’y placer ses hommes de mains les plus violents. 

    Le premier ministre Philippe avait déjà annoncé, pour l’acte prochain des Gilets jaunes, une série de mesures exceptionnelles : manifestations déclarées illégales dans certains quartiers de Paris, de Toulouse et de Bordeaux, « autonomie » accrue (entendre impunité totale) pour les forces de maintien de l’ordre, renforcement de l’appareil de la PJ [police judiciaire]sur le terrain, recours augmenté à l’article 40 du code pénal pour les personnes suspectés de« légitimer » ou « d’encourager » les violences. A la mobilisation des forces Sentinelles s’ajouteront également l’utilisation d’un arsenal répressif hors du commun comme des brigades anti-casseurs, l’utilisation de drônes, de produits chimiques indélébiles permettant de « marquer » les individus de façon durable pour mieux pouvoir les « cueillir » ensuite, des barrières de filtrage en amont des manifestations.

    PAS UN SEUL JEUNE MILITAIRE POUR LA REPRESSION BOURGEOISE ! 

    CONTRE LA FASCISATION DU REGIME ET LA REPRESSION DE CLASSE : 

    FRONT ANTIFASCISTE, POPULAIRE, PATRIOTIQUE ET ECOLOGIQUE !

    SOCIALISME OU BARBARIE, NOUS VAINCRONS !

     

    source: http://jrcf.over-blog.org/

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  • Ouest-France.fr: Quimper : les Gilets jaunes s’estiment« pas responsables » des difficultés du centre-ville

    letelegramme.fr: Quimper-Gilets Jaunes: ils répondent aux commerçants

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  • Macron se félicite des violences contre Geneviève Legay et démontre sa fascisation (IC.fr-26/03/2019)

    A la violence Macron ajoute l’ignominie. Non content d’avoir fait fracasser le crane d’une dame de 73 ans par une charge de ses policiers, le banquier qui occupe l’Elysée, sortant de son séjour dans le luxe de la Cote d’Azur s’est permis de se moquer de la porte parole d’Attac très grièvement blessée.

    L’image de Geneviève Legay et les mots de Macron devrait définitivement convaincre ceux qui refuse d’entendre l’alerte lancée depuis des mois par le les communistes avec le PRCF contre la qui s’accélère.

    M. Alimi, avocat de Mme Legay a porté plainte pour “violence en réunion avec arme par personnes dépositaire de l’autorité publique contre personne vulnérable, une plainte qui vise aussi le préfet en sa qualité de donneur d’ordres” .

    Ce dernier a immédiatement et malgré les images accablantes publié un communiqué de soutien aux policiers.

    Les images le montrent, les mots le démontrent : le régime Macron est toujours plus violent, toujours plus fascisant

    Les images sont édifiantes. Elles ont choqué la France entière. A , alors qu’une centaine de personnes était rassemblée pacifiquement aux abords de la place Garibaldi pour défendre le droit de manifester, le commissaire R Souchi a ordonné à ses policiers de charger de façon ultra violente. Des provoquant plusieurs blessés. Dont un blessé grave.

    Geneviève Legay, porte parole d’Attac à Nice, portant un drapeau Paix aux couleurs arc en ciel, 73 ans est violemment chargé. Poussée elle heurte très violemment dans sa chute le mobilier urbain. Elle est très grièvement blessée.

    Plusieurs fractures du crane et des hématomes au cerveau. Loin d’interrompre leur charge les policiers la piétinent. Leur commissaire se hâte d’interpeller et d’emmener en garde à vue les secouristes présents sur place qui auraient pu lui porter secours. Geneviève Legay arrive entre la vie et la mort à l’hopital.

    Une dame de 73 ans, pacifique, non violente, est la nouvelle victime des violences du régime Macron, chaque jour plus violent, chaque jour plus fascisant.

    Les images choquent la France entière. Tandis que les médias des milliardaires se taisent, sur les réseaux sociaux le peuple s’active pour briser la censure (à l’image du compte twitter du PRCF). Devant l’ampleur de l’indignation, le procureur de Nice, aux ordres de la ministre de la justice qui applaudit les violences policières, fait mine de déclencher une enquête. Une enquête qui n’est pas menée en toute indépendance. En effet, et la ministre de la justice et macron, chefs de ce procureur ont immédiatement déclaré que Geneviève Legay n’avait pas été la victime des policiers. Le procureur, tout en prétendant ne pas “voir” de policier la faire tomber, reconnait que Geneviève Legay n’est pas tombée toute seule…

    les secouristes interpellés pour empêcher de porter secours, des pressions exercés contre l’hopital

    “Le commissaire nous a empêchés de passer et nous a embarqués. On a tous été placés dix heures en garde à vue“, explique Thierry Paysant, medic qui était présent sur les lieux des violences. Pompier volontaire, secouriste diplômé, ce niçois travaille à l’hopital universitaire de Nice et il faisait partit de l’équipe de premier secours de médis, venu pour apporter secours et soins aux victimes de l’ultra répression du mouvement social dans le rassemblement des gilets jaunes qui se tenait pour l’acte 19 à Nice.

    ” R. SOUCHI arrive et cri : « embarquez moi ça !» en parlant de nous. Il appelle la BAC alors que nous souhaitions intervenir pour les premiers soins de Geneviève. Il nous a empêché de y’aller ! D’aller porter secours à cette femme qu’avait le crâne en sang ! ”

    Un témoignage confirmé par la vidéo suivante, qui est interrompu par une violente intervention d’un policier empêchant le reporter de filmer.

    La famille de Geneviève Legay témoigne également de ses difficultés à avoir des informations à l’Hopital, en raison des pressions exercées par le préfet.

    L’avocat de la famille Legay annonce par ailleurs déposé une plante pour “subornation de témoin”, une policère étant venue faire pression sur Mme Legay sur son lit d’hopital pour tenter de lui faire dire que c’était un caméraman qu l’avait bousculée et non les policiers.

    Un arrêté d’interdiction XXL de manifester caché par la préfecture

    Annoncé dès le 20 mars par la préfecture des Alpes Maritimes un arrête d’interdiction de toute manifestation a bien été signé par le préfet. Sur le compte twitter de la préfecture, unique endroit où il en a été question, sa publication était d’ailleurs annoncée dans la soirée.

    L’arrêté préfectoral portant interdiction de #manifester sur la voie publique sur un périmètre défini sur le territoire de la commune de @VilledeNice sera publié dans la soirée de ce mercredi 20 mars 2019.


    — PréfetAlpesMaritimes (@prefet06) 20 mars 2019

    En réalité il ne sera pas publié ce soir là. Ni le lendemain d’ailleurs. Si on trouve rapidement sur le site internet de la préfecture tous les arrêtés interdisant la circulation sur les routes dans les ports et les chemins de fer pour la venue de Xi Xinping le président chinois, il faut être un expert pour retrouver une trace de l’arrêté préfectoral d’interdiction de manifester.

    C’est que ce dernier a été publié la veille au soir et il est imprécis ne permettant pas de délimiter la zone faisant l’objet d’une interdiction. Il ne mentionne que des nom de voies, sans établir un périmètre clair. Nous avons reporter sur l’infograpie ci dessous en rouge les voies cités par la décision du préfet. Un périmètre qui englobe la qualité totalité de la ville de Nice. Un périmètre illégal, qui n’est motivé que par la visite du président chinois et la menace terroriste. Un arrêté illégitime et illégal. Qui ne surprend pas de la part d’un prefet qui a été condamné a plusieurs reprise par la justice administrative pour ses violations de la loi.

    De fait l’arrêté a bien été publié en catimini dans une “édition spéciale” du recueil des actes administratif planquée au fin fond du site internet de la préfecture. Pour que personne ne puisse le trouver. Un arrêté publié le vendredi soir afin d’empêcher tout recours en justice, en référé notamment. Une publication qui interdisait de fait à des manifestants de connaitre le périmètre d’interdiction. Interviewé par CNews, Geneviève Legay indiquait quelques minutes avant de se faire briser la tête par les matraqueurs de Castaner et Estrosi, ne pas avoir eu accès à l’arrêté d’interdiction de manifester.

    La LDH qui voulait attaquer cet arrêté ne l’avait pas pu.

    Manifestation de solidarité à Nice

    Un appel à manifester a été lancé à Nice pour ce 25 mars. Ils étaient des centaines de niçois, choqués, scandalisés a être venu Place Garibaldi sur les lieux des violences du régime Macron pour témoigner de leur solidarité avec Geneviève Legray et pour défendre les libertés publiques, dont le droit constitutionnel de manifester.


    La sagesse et la lâcheté.

    par Antoine Manessis

    Macron est décidément un provocateur arrogant dont la morgue n’a d’égal que sa bassesse..
    Alors que ses flics blessaient grièvement Geneviève Legay qui manifestait pacifiquement à Nice
    Macron ose des commentaires indécents et obscènes. Jugez-en :
    “Je souhaite d’abord qu’elle se rétablisse au plus vite et sorte rapidement de l’hôpital, et je souhaite la quiétude à sa famille. Mais pour avoir la quiétude, il faut avoir un comportement responsable et “je lui souhaite un prompt rétablissement, et peut-être une forme de sagesse. Quand on est fragile, qu’on peut se faire bousculer, on ne se rend pas dans des lieux qui sont définis comme interdits et on ne se met pas dans des situations comme celle-ci. Cette dame n’a pas été en contact avec les forces de l’ordre”.


    Non seulement il insulte cette militante d’ ATTAC qui a été violemment bousculée par la police, non seulement il ment contre toutes les évidences mais surtout il développe une pensée pétainiste qui est un aveu consternant de ce qu’est la pensée de ce président au rabais.


    Ainsi la sagesse serait de se coucher, d’accepter le viol des libertés démocratiques dans notre pays ? D’accepter l’arbitraire d’un régime illégitime qui s’attaque au droit constitutionnel de la liberté de manifestation ? On devine avec effroi dans quel camp eut été Macron pendant la guerre.


    Du côté de ceux qui ne trouvaient pas sage de Résister aux nazis. De ceux qui respectaient les ordres de Vichy et de l’ Occupant. De ceux qui se courbent et se cachent au lieu de se lever et de se battre.


    Cela porte un nom qui n’est pas la sagesse mais la lâcheté.

     


     

    Les communiqués de Attac et de la LDH

    Geneviève Legay, porte-parole d’Attac 06, grièvement blessée par une charge policière

    [Actualisation] En plus de la plainte déposée par la famille de Geneviève Legay, Attac déposera plainte également ce lundi 25 mars à 14h pour « violence volontaire en réunion par personne dépositaire de l’autorité publique sur personne vulnérable ».
    Geneviève Legay, 74 ans, porte-parole d’Attac 06 et militante infatigable pour la paix, a été grièvement blessée par une charge policière, lors de l’acte 19 des Gilets Jaunes ce samedi 23 mars à Nice. Selon son avocat, elle était dimanche matin dans un état stable.

    Samedi vers 11h, les CRS ont procédé à une violente charge au cours de laquelle Geneviève est tombée au sol, sa tête heurtant un poteau métallique. De multiples images montrent Geneviève, gilet jaune sur le dos et drapeau arc-en-ciel « Pace » dans les mains, avec une attitude totalement non violente, scander « Liberté de manifester » peu avant la charge policière.
    Alors que les précédentes mobilisations des Gilets Jaunes à Nice n’avaient pas entraîné de dégradations, Christian Estrosi, maire de la ville, avait demandé et obtenu une interdiction de manifester dans une grande partie de la ville.
    L’interdiction par le préfet des manifestations et rassemblements dans une grande partie de Nice est illégitime et ne peut justifier d’utiliser la force contre des citoyenˑneˑs qui se rassemblent pacifiquement pour exprimer leurs opinions.
    Attac France condamne la répression des rassemblements pacifiques qui ont eu lieu ce samedi et s’indigne de la grave restriction des libertés publiques actuellement en cours en France. Ce n’est pas par la répression et les violences policières qu’Emmanuel Macron répondra à la légitime demande de justice sociale qui s’exprime partout dans le pays.
    Attac France exige que toute la lumière soit faite et que les responsabilités de ces actes de violence à l’encontre de Geneviève Legay soient clairement établies.
    Attac France apporte tout son soutien à Geneviève et à ses proches.


    lundi 25 mars 2019, par Attac France


    Il est dangereux de manifester à 74 ans sous le gouvernement de M. Edouard Philippe


    Rien ne peut justifier qu’une femme de 74 ans se retrouve à l’hôpital avec de graves blessures parce qu’elle voulait exercer son droit de manifester.
    La violence avec laquelle cette femme âgée a subi, à Nice, la charge des forces de l’ordre est une des conséquences des consignes délivrées par le ministre de l’Intérieur.
    Que, de plus, la famille de Madame Legay ne puisse avoir toutes les informations utiles sur son état de santé interroge sur les raisons qui conduisent à cette situation.
    La LDH assure Madame Legay et sa famille de toute sa solidarité et exige qu’une enquête soit menée en toute impartialité et en toute transparence.
    Paris, le 24 mars 2019

    Ligue des Droits de l’Homme

     

    Recueil special 54.2019

    source: https://www.initiative-communiste.fr/

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  • Gilets jaunes. Septuagénaire blessée à Nice : Attac appelle à se rassembler à Brest (OF;fr-25/03/19-18h14)Le sigle bien connu de l’association Attac. Les militants brestois appellent à manifester, mardi 26 mars 2019.

    La militante altermondialiste Geneviève Legay a été blessée samedi 23 mars, à Nice, lors de la manifestation des Gilets Jaunes. L’association Attac organise un rassemblement pacifique pour la soutenir devant la sous-préfecture de Brest (Finistère), mardi 26 mars 2019.

    Le groupe local Attac Brest (Finistère) appelle à un rassemblement pacifique devant la sous-préfecture, ce mardi 26 mars 2019, à 18 h. Ils attendent que « toute la lumière soit faite » sur les conditions dans lesquelles Geneviève Legay, une de leurs membres, a été blessée, à Nice, samedi 23 mars. Geneviève Legay, 74 ans, militante pour la paix et porte-parole d’Attac dans les Alpes-Maritimes, a été hospitalisée à la suite de l’acte 19 des Gilets Jaunes samedi dernier. Dans le même temps, Attac appelle à manifester partout en France contre « la répression des rassemblements pacifiques » et s’indigne de « la grave restriction des libertés publiques » . L’association a déposé plainte cet après-midi à Nice.

    source: https://www.ouest-france.fr/


     
    RASSEMBLEMENTS DE SOUTIEN A GENEVIEVE LEGAY
    (a l'initiative des groupes locaux d'attac)
     
    Quimper-18h30-Place Saint-Corentin (mairie)
    Brest-18h-Sous-préfecture
     
    l'ARC29/PRCF soutient les inititiatives

     
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  • Samedi, la 19e journée de mobilisation des Gilets jaunes avait été interdite dans une grande partie de la ville de Nice. Des policiers en tenue d'intervention ont évacué les manifestants.

    Geneviève Legay, 73 ans, a été grièvement blessée à la tête lors d'une charge de la police alors qu'elle manifestait aux côtés des Gilets jaunes samedi à Nice. Sa famille va porter plainte, a indiqué ce dimanche son avocat. La justice a ouvert une enquête.

    « La famille de Geneviève Legay, 73 ans, va porter plainte pour violences volontaires en réunion avec arme par personnes dépositaires de l'autorité publique et sur personne vulnérable », a indiqué Me Arié Alimi ce dimanche matin sur l'antenne de France Info et auprès de l'Agence France Presse.

    L'avocat a précisé que la plainte, qui « sera déposée lundi à Nice », allait également « viser le préfet en qualité de complice par ordres ».

    Son état est stable ce dimanche matin

    « La charge de la police a été très violente. Mme Legay, qui est une militante d'Attac, a été très grièvement blessée. Elle est ce matin dans un état stable et pas dans le coma, comme on a pu le craindre », a-t-il ajouté.

    Le parquet précise ce dimanche qu'une enquête a été ouverte pour comprendre les circonstances dans lesquelles cette manifestante a été blessée. Le procureur de Nice Jean-Michel Prêtre a déclaré à l'AFP qu'il avait ouvert dès samedi après-midi « une enquête classique en recherche des causes des blessures ». « J'ai ordonné la saisie des images vidéo, par ailleurs d'excellente qualité, et fait des réquisitions auprès de l'hôpital Pasteur », a ajouté Jean-Michel Prêtre qui a aussi fait ausculter Geneviève Legay, 73 ans, samedi soir par un médecin légiste.

    Dans le périmètre interdit ou pas ?

    « Elle a été prise en charge par les pompiers avec une qualification d'urgence relative, et à son arrivée à l'hôpital, elle s'est retrouvée avec une appréciation médicale montée d'un cran, qualifiée de pronostic réservé », a-t-il précisé. « Elle a apparemment tapé fort sur un poteau (délimitant le parcours) du tramway. Cela s'est fait dans la phase de dispersion » du rassemblement, qui avait lieu dans un périmètre où les manifestations avaient été interdites, a ajouté le procureur.

    « Quand on se maintient dans une manifestation après les sommations réglementaires pour dire que les gens doivent se disperser, c'est un délit. Pour elle, ce n'est pas si net : là où ça s'est passé, c'était presque en dehors de la place, dans un mouvement confus des forces de l'ordre et des manifestants », a poursuivi le procureur. 

    Samedi, la 19e journée de mobilisation des Gilets jaunes avait en effet été interdite dans une grande partie de la ville de Nice. Dans la matinée, quelques dizaines de personnes avaient bravé l'interdiction de manifester sur la place Garibaldi, où la militante altermondialiste a été blessée en tombant pendant une charge de la police.

    Evacuée consciente 

    Les pompiers l'ont évacuée consciente, ont constaté des journalistes de l'AFP sur place. Sa fille a expliqué qu'elle était venue pour défendre le droit de manifester, avec un drapeau arc-en-ciel comme on peut le voir sur le reportage photo de l'AFP.

    Sa fille a expliqué qu'elle était venue pour défendre le droit de manifester, avec un drapeau arc-en-ciel comme on peut le voir sur le reportage photo de l'AFP.

     A sa fille qu'elle n'a d'abord pas reconnue, Geneviève Legay a raconté ce qui lui était arrivée en ces mots: « Je me souviens qu'un policier m'a chargée et après je ne me souviens de rien ».

    La militante souffre de plusieurs fractures au crâne et d'hématomes sous-duraux, et a été placée sous perfusion de morphine du fait de violents maux de tête, a précisé sa fille à l'AFP.

    source: https://www.ouest-france.fr/

     

    Gilets jaunes. Septuagénaire blessée à Nice : sa famille va porter plainte, une enquête ouverte (OF.fr-24/03/19-11h48)

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  • 14 h 30, ce samedi, le cortège quitte le rond-point de Chicago pour se diriger vers le centre-ville

    Ce samedi 23 mars, à Quimperlé (Finistère), ils étaient 80 Gilets jaunes à défiler de Kervidanou jusqu’en basse-ville

    On pensait sincèrement qu’ils seraient plus nombreux. Au départ du cortège, à 14 h 30, du rond-point de Chicago, ils étaient en fait 80. Des Gilets jaunes venus en famille, les enfants étaient de la partie. Avec des slogans hostiles au Président de la République, ils ont défilé tranquillement, accompagnés par les gendarmes et policiers municipaux. « On ne lâche rien » ont-ils répété en boucle en passant devant le rond-point de Soweto, leur QG durant de longues semaines au plus fort du mouvement. Bien entendu, quelques automobilistes ont dû prendre leur mal en patience. Comme Patrick, de Riec : « Je les comprends, mais ça devient compliqué de faire des courses maintenant. Ça s’arrête quand ? » Aucune idée Patrick.

    Un peu plus loin, au niveau du stade, certains clients de chez Leclerc ont cru que les Gilets jaunes allaient débouler dans l’hypermarché. Ils ont poursuivi leur chemin vers la rue de Pont-Aven. « Nous ne sommes pas là pour embêter le peuple, dit Sophie, jeune manifestante, nous voulons juste montrer à ceux qui nous gouvernent qu’on est encore là, tous les samedis. Ce n’est pas fini ! »

    Gilets jaunes et Gwen ha du. 

    Sur le parking du centre Leclerc, certains haussent les sourcils. « Moi aussi j’ai du mal à joindre les deux bouts. Mais voilà, faut bien avancer, ça sert à quoi tout ce bazar hein ? », dit ce père de trois garçons en rangeant ses courses dans le coffre de sa voiture.

    Sur les réseaux sociaux, certains craignaient que le défilé vienne perturber une autre manifestation : le carnaval en basse ville, venant du parking Sainte-Croix. Tout s’est bien passé.

    Et la suite ? « Rendez-vous samedi prochain, ici ou ailleurs, on ne lâche rien » , déclare un Gilet jaune motivé.

    source: https://www.ouest-france.fr/

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