• Les gilets roses ont d’abord décoré les escaliers de la place de Strasbourg.

    Une quarantaine de gilets roses ont manifesté, samedi matin, à partir de la place de Strasbourg. Les assistantes maternelles ont commencé par décorer l’œuvre de Didier Faustino, baptisée « Les Jetées ». Ces escaliers sans destination ont reçu des dessins de nounours et bébés, à la craie, des grandes guirlandes faites de bouteilles de lait ou de papiers roses.

    « Nous sommes toujours mobilisées. Ce qui nous inquiète, actuellement, c’est le fait que tous nos députés : Jean-Charles Larsonneur, Sandrine Le Feur, Didier Le Gac ou Graziella Melchior, qui ont posé des questions écrites au gouvernement sur notre situation, n’ont à ce jour reçu aucune réponse », analyse Anne Créac’h, du mouvement des gilets roses. Leurs revendications portent sur le maintien de l’indemnisation pour activité réduite, alors que les partenaires sociaux renégocient actuellement le cumul emploi chômage. Les assistantes maternelles peuvent perdre du jour au lendemain des revenus, lorsqu’une famille décide de ne plus confier son enfant. Jusqu’à présent, cette précarité était atténuée par le mécanisme de l’allocation d’aide au retour à l’emploi qui permet à une assistante maternelle de toucher environ 70 % du salaire brut, correspondant au contrat perdu.

    Un pique-nique courant mai

    La manifestation a pris le chemin de Kergaradec, où les gilets roses avaient prévu d’aller tracter dans les magasins pour mieux faire connaître leur mouvement. « Les assistantes maternelles ne sont pas les seules concernées. On voudrait fédérer les autres professions qui ont de multiples employeurs. Cela peut concerner les femmes de ménages ou les formateurs isolés, qui n’ont pas les moyens de créer leur réseau ». Une prochaine mobilisation est annoncée pour le mois prochain : ce sera un pique-nique le samedi 18 ou le dimanche 19 mai.


    source: https://www.letelegramme.fr/
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  • Quimper. Deux grèves à venir aux finances publiques  (LT.fr-26/04/19-20h22)Les syndicats Solidaires, Force Ouvrière, CFDT et CGT Finances publiques, se mobilisent pour "défendre le service public de proximité"

    Lors d’une mobilisation, ce vendredi 26 avril, l’intersyndicale du centre des impôts Ty Nay, à Quimper, a annoncé deux grèves à venir, les 9 et 23 mai.

    L’intersyndicale du centre des impôts Ty Nay à Quimper (Finistère) s’est mobilisée ce vendredi 26 avril. Le matin, ils ont distribué des tracts aux usagers. Ils souhaitent mettre en garde contre les suppressions d’emplois et fermetures de trésoreries prévues par le gouvernement d’ici 2022.

    « Nous, on défend le service public de proximité. Les usagers ont besoin d’avoir un agent qui leur délivre l’information tout de suite », détaille Stéphane Douet, du syndicat Solidaires.

    « Nous, ce qu’on veut c’est que les trésoreries continuent d’accueillir du public », ajoute Éric Guerry, de Force ouvrière (FO).

    Les représentants syndicaux de la CFDT, CGT, FO et Solidaires annoncent que deux grèves sont prévues en mai. Le 9 mai, c’est toute la fonction publique qui se mobilisera.

    Le 23 mai, les agents des finances publiques se rassembleront à Brest.

     

    source: https://www.ouest-france.fr/bretagne/quimper-29000/quimper-deux-greves-venir-aux-finances-publiques-6325429://www.ouest-france.fr/bretagne/quimper-29000/quimper-deux-greves-venir-aux-finances-publiques-6325429

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  • Les gilets jaunes avec les gilets roses samedi matin, 27 avril 2019, avant leur Acte XXIV à Brestt (Côté Brest 26/04/19-19h37)Les gilets jaunes de Brest ont installé des banderoles dans plusieurs endroits de la ville jeudi soir, 25 avril 2019, à l’issue de l’allocution télévisée du président Emmanuel Macron

    Samedi 27 avril 2019, les assistantes maternelles, qui portent le gilet rose, manifesteront le matin à Brest. Des gilets jaunes y seront, avant leur rassemblement de l'après-midi.

    Brest s’apprête à vivre un nouveau samedi de manifestations. Le 27 avril, le collectif des assistant(e)s maternel(le)s en colère du 29 a programmé un rassemblement. Le rendez-vous est donné à 10h30 place de Strasbourg cette fois-ci, et non pas place de la Liberté comme auparavant.

    Une nouvelle journée de mobilisation nationale contre le projet de l’État de revoir le mode de calcul des allocations chômage à la baisse. 

    Lire aussi : Les gilets roses du Finistère ont lancé la journée de mobilisation à Brest, samedi 9 mars 2019

    Le mouvement touchera donc de nombreuses villes en France, et en Bretagne. À Rennes, par exemple, un rassemblement est prévu à 10h place de la République, à Nantes à 10h place du Commerce. 

    Acte XXIV des gilets jaunes

    Des  gilets jaunes de Brest, mobilisés depuis le 17 novembre 2019, ont annoncé qu’ils accompagneront les gilets roses.

    Dans le cadre de la convergence des luttes. Nous soutenons aussi les stylos rouges (enseignants en colère), les Citoyens pour le climat, les jeunes du mouvement Youth for climate Brest…

    Après la manifestation du matin, ils ont appelé à un nouveau rassemblement l’après-midi, à 13h30 place de Strasbourg.


    L’Acte XXIV de leur  mouvement de contestation, le jour du Printemps des sonneurs à Brest, mais aussi du match de football du championnat de France de Ligue 2 au stade Francis-Le Blé entre le Stade brestois 29 et le RC Lens. En cas de victoire et en fonction des autres résultats, les Rouge et Blanc pourraient être assurés, à l’issue des rencontres de la 35e journée, d’accéder en Ligue 1 dès la saison prochaine. 

    Lire aussi : Samedi 20 avril 2019 à Brest : Plastik attack pour le climat et Acte XXIII des gilets jaunes

    «Nous allons redoubler d’efforts»

    La prestation du président de la République lors de sa conférence de presse télévisée de deux heures et demie jeudi 25 avril ne les a visiblement pas convaincus.

    Lire aussi : Après les mesures annoncées par Emmanuel Macron, le gouvernement se met au travail

    Et l’un des porte-voix d’expliquer :

    Notre cher président nous prend pour des imbéciles. Nous allons redoubler d’efforts pour continuer à manifester notre mécontentement car il n’a toujours pas compris ce que nous demandons et il ne parle pas des sujets les plus importants.

    Des banderoles installées le soir même

    Les gilets jaunes avec les gilets roses samedi matin, 27 avril 2019, avant leur Acte XXIV à Brestt (Côté Brest 26/04/19-19h37) 
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les gilets jaunes avec les gilets roses samedi matin, 27 avril 2019, avant leur Acte XXIV à Brestt (Côté Brest 26/04/19-19h37)
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les gilets jaunes avec les gilets roses samedi matin, 27 avril 2019, avant leur Acte XXIV à Brestt (Côté Brest 26/04/19-19h37)
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les gilets jaunes avec les gilets roses samedi matin, 27 avril 2019, avant leur Acte XXIV à Brestt (Côté Brest 26/04/19-19h37)
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les gilets jaunes avec les gilets roses samedi matin, 27 avril 2019, avant leur Acte XXIV à Brestt (Côté Brest 26/04/19-19h37)
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les gilets jaunes de Brest ont installé des banderoles dans plusieurs endroits de la ville jeudi soir, 25 avril 2019, à l’issue de l’allocution télévisée du président Emmanuel Macron
     

    Les gilets jaunes ont d’ailleurs exprimé leur détermination en installant des banderoles en divers endroits de Brest (marche de l’hôtel de ville côté place de la Liberté, locaux des syndicats, belvédères du square de Bazeilles, permanence du député Jean-Charles Larsonneur…) jeudi soir, juste après l’allocution d’Emmanuel Macron

    Sur lesquelles on pouvait lire :

    «Macron fait son allocution, nous lui offrons la révolution. #GJ29»

    «Macron garde le cap. Nous, on garde la rue. #GJ29»

    «LREM : la révolution en marche.»

    «Vous ne lâchez rien, nous non plus. Bon 1er mai.#GJ29»

    Mercredi 1er mai, les gilets jaunes prévoient de prendre part à la manifestation mise en place par les syndicats. Tout comme les jeunes du mouvement Youth for climate Brest, les Citoyens pour le climat…

    Ils ont également programmé un grand pique-nique, samedi 4 mai.

     

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  • Brest. Une action nocturne des Gilets jaunes avant une manifestation, ce samedi (OF.fr-26/04/19-7h01)À Brest, les Gilets jaunes ont mené une action d’affichage en ville en réaction au discours prononcé par le président de la République, jeudi 25 avril. Ici, sur le parvis de l’hôtel de ville.

    Dans la nuit du jeudi 25 au vendredi 26 avril, les Gilets jaunes brestois ont réagi aux annonces du président de la République en déployant plusieurs banderoles en ville. Ce samedi 27, ils iront au-devant de la population en centre-ville.

    Une poignée de Gilets jaunes étaient à pied d’œuvre dans les rues de Brest, jeudi 25 avril. « On a réagi au discours de Macron en déployant cinq banderoles pour créer un petit électrochoc, même s’il s’agit de messages éphémères », explique Sébastien, porte-voix.

    Des banderoles installées de nuit

    Les banderoles ont été installées entre 22h et 23h30 à la mairie, la sous-préfecture, la permanence du député Larsonneur, la Banque de France et devant les syndicats FO et CFDT. Rapidement ôtées, elles portaient les inscriptions « Vous ne lâchez rien, nous non plus, RDV le 1er mai », ou encore « Qui finance la misère ? » L’objectif de cette opération est aussi de remettre sur le devant les revendications initiales du mouvement.

    Un rendez-vous sur la place de la Liberté, samedi

    En attendant la grande manifestation du 1er mai, les Gilets jaunes et leurs sympathisants ont rendez-vous ce samedi 27 avril, à 13h30, place de Strasbourg. Ils rejoindront ensuite la place de la Liberté, où se tiendra le Printemps des sonneurs. « On discutera avec les gens afin de les motiver pour rejoindre nos rangs », ajoute Sébastien, qui insiste sur la nécessité de «  donner un nouveau sens au mouvement et remettre en avant nos revendications ».

    Christine PENNEC

    source : https://www.ouest-france.fr/

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  • Construire des le 27 avril une « grande mobilisation nationale » c’est l’objectif d’un large collectif, dont fait partie le PRCF, pour opposer le front populaire du tous ensemble et en même temps à la guerre de classe menée par le régime MACRON – Union Européenne – MEDEF contre les travailleurs.

    C’est bien le sens d’un large appel commun réunissant syndicats , partis et associations (PRCF, France Insoumise, …) et les  dont notamment Jérome Rodriguez et Priscilla Ludovski à une manifestation nationale à Paris le 27 avril à Paris qui est prévue de Concorde à Nation

    Avec pour objectif de constituer un « front commun » réunissant « tous les acteurs du mouvement social » face à un gouvernement qui « veut tout détruire ». Faire gagner le peuple en faisant « conforter et faire converger toutes les luttes en cours ».

    « Nous voulons voir cette date du 27 avril comme un tournant majeur dans les mobilisations en cours depuis des mois et des mois, dans la rue, sur les ronds-points, dans les entreprises » explique Emmanuel Lépine (CGT chimie). « Il est grand temps de coordonner nos luttes respectives », « le 27 avril n’est pas une fin en soi, mais bien la construction d’un processus de mobilisation qui doit aller crescendo. »

    « C’est un appel à l’union autour d’un message clair, la justice sociale et la meilleure répartition des richesses » pour Amar Legha (fédération CGT commerces et services).

    Une date du 27 avril qui s’inscrit en préparation du 1er mai et du 9 mai et des rendez vous des samedis déjà programmés. « Si on a un 27 avril réussi, ce sera une bonne base de lancement pour le 1er mai » souligne Cédric Quintin, de l’union départementale CGT Val-de-Marne et Olivier Mateu, de l’union départementale Bouches-du-Rhône va dans le même sens : l’objectif c’est « d’être tous ensemble pour aller au combat contre ce gouvernement ».

    Gouvernement et MEDEF veulent tout détruire ! Dès le 27 avril 2019, opposons leur un Front Populaire et citoyen.

    Face à un gouvernement minoritaire qui agit dans l’intérêt dune poignée de riches privilégiés, l’urgence sociale nous impose d’agir ensemble, dans l’unité la plus large, pour concrétiser la convergence des luttes et des mobilisations en cours. C’est la condition aujourd’hui indispensable pour gagner l’amélioration immédiate des conditions de travail et de vie des travailleurs et de la population.

    Les moyens financiers existent pour le faire. Il nous faut aller chercher ensemble les richesses que nous produisons et qu’on nous vole. Nous partageant tous les mêmes souffrances, les mêmes difficultés et les mêmes inquiétudes. Parce qu’un peuple uni ne sera jamais vaincu, les premiers signataires exigent :

    – L’augmentation immédiate de 300 euro des salaires, traitements et minimum sociaux. L’indexation des  salaires sur l’évolution des prix et l’indexation des retraites sur le salaire moyen.

    – La justice fiscale par l’arrêt des cadeau fiscaux, le rétablissement de l’ISF, la baisse de la TVA les services et produits de première nécessité, les produits BIO à matières recyclées.

    – L’arrêt de la casse de notre sécurité sociale et de nos systèmes de retraite.

    – La sortie du secteur marchand de l’énergie, l’eau, le raffinage, la santé, l’éducation, le transport, les télécommunications et activités postales et bancaires…

    – Le développement/renforcement des services publics, nationalisation et renationalisation (pour les autoroutes, aéroports, le rail, les barrages hydrauliques…) et l’abrogation des loi et projets de la loi BLAQUER, DUSSOPT.

    – L’accès à un logement digne de tous.

    – La revalorisation des métiers du système éducatif, relancer l’attractivité pour la branche.

    – L’instauration de vrai bonne conditions d’apprentissage pour les élèves mais aussi de meilleures conditions de travail les professeurs favorisant ainsi le bon accomplissement de leur mission.

    – L’abrogation des lois et réformes qui détruisent les droits et garantie des salariés (MACRON,REBSAMEN,EL KHOMRY).

    – L’abrogation des lois et mesures répressives. L’amnistie et l’arrêt des poursuites envers les manifestants et syndicalistes et le rétablissement du droit de manifester.

    – Des politiques économiques et sociales qui répondent aux besoins et respectueuses de l’environnement.

    – De mettre le citoyen au cœur du système politique : Référendum d’initiative citoyenne (RIC°, pris en compte du vote blanc et nul.

    – Des profil irréprochables pour les élus et autres fonctions politiques; Fin des privilèges.

    – Des mesures fortes et engageante en matière de préservation de l’environnement : mettre en route sans plus attendre la transition sociale, énergétique et écologique nécessaire pour éviter le dérèglement profond et irréversible des mécanismes du climat. Soutenir l’agriculture bio, sanction pour les entreprises pollueuses, soutenir  les circuits courts.

    Nous proposons de former un Front Populaire et Citoyen, qui se matérialisera par une manifestation nationale à Paris le 27 avril 2019 à 13h regroupant tous les acteurs de la société que nous sommes : salariés du privé, chômeurs, retraités, fonctionnaires, étudiants, organisations syndicales, associations, collectifs, partis politiques, Gilets Roses, Gilets jaunes, chauffeurs VTC, Blouses Blanches, Robes Noires, journalistes, agriculteurs, forains, personnes à mobilité réduite ou handicapée… Tous unis, formons un bloc pour la justice fiscale, sociale et climatique.

    Premiers signataires : Les fédérations FNIC-CGT, Commerce CGT, Union départementales CGT : 94, 04, 59, 41, 66, 95, 1,8 13, ANC, Gilets Roses, La France insoumise, PRCF, NPA, des représentants des gilets jaunes M. Rodriguez Jérome, Mmz Priscillia Ludosky et M. Faouzi Lelouche …..

    Avec le soutien  du PCF et de la  Fédération CGT des Services publics.


     

    Appel-pétition

    pour un printemps 2019 d’espoir jaune et rouge

    Initié par le Front Syndical de Classe

    signer la pétition en ligne :https://www.change.org/p/appel-p%C3%A9tition-pour-un-printemps-2019-d-espoir-jaune-et-rouge

     

    Tous ensemble en même temps, c’est maintenant. 27 avril, 1er mai, 9 mai… (IC.fr-24/04/2019)

    Depuis plusieurs mois, malgré la répression qui les frappe, les Gilets jaunes ont construit le plus puissant mouvement social depuis 1968 avec le soutien affiché des deux tiers de la population. Parti d’une colère populaire contre les taxes injustes, ce mouvement s’est développé autour de revendications proches de celles de nombreux militants syndicaux et travailleurs : justice fiscale, hausse des salaires et des pensions, défense des services publics de proximité, fin des privilèges, démocratie directe…

    S’il a pour le moment insuffisamment mis en cause le Medef et l’UE, le mouvement des GJ a néanmoins soudé dans une action combative diverses fractions des classes populaires (ouvriers et employés, précaires, petits et moyens agents publics, retraités, petits commerçants, artisans…) toutes maltraitées depuis des années par le pouvoir inféodé aux grands groupes capitalistes. Il a mis en cause la confiscation du pouvoir par une élite oligarchique, dénoncé son illégitimité et mis en lumière la fascisation accélérée de ce régime pourrissant. Se référant aux traditions combatives de la Révolution française, ce mouvement a également mis l’accent sur la volonté de lutter collectivement et de faire société fraternelle contre la dictature de l’argent, la concurrence sans merci entre les travailleurs et l’inégalité.

    Hélas, les états-majors confédéraux de nos syndicats sont longtemps restés réservés voire hostiles aux Gilets jaunes : pas seulement la CFDT dans son rôle habituel de chien de garde du système, mais aussi P. Martinez qui déclarait le 17 novembre ne pas vouloir manifester avec les GJ assimilés à l’extrême-droite, au lieu de s’appuyer sur les aspirations, les revendications démocratiques et anti-oligarchiques présentes dès le départ dans le mouvement social naissant … Cette attitude a favorisé les manœuvres de division et les tentatives de mainmise sur le mouvement de l’extrême droite, semblant aussi justifier les préventions de nombreux GJ contre les « syndicats et la politique ».

    Depuis, les choses ont évolué dans de nombreux départements, surtout à l’initiative des bases combatives de la CGT, débouchant sous cette pression à un début de convergence positif le 5 février dernier qu’il importe à présent de porter au plus haut niveau afin d’infliger une défaite majeure au pouvoir du CAC 40 et de l’Union européenne qui, incarné par Macron, est décidé à poursuivre son entreprise de destruction massive des conquis sociaux et démocratiques : retraites, allocations, chômage, Fonction Publique, santé, éducation, loi anti-manifestation et muselage des oppositions, fuite en avant dans une construction européenne négatrice de la souveraineté populaire tandis que la répression de masse atteint des proportions proprement totalitaires.

    Dans ces conditions, nous, syndicalistes, travailleurs, retraités, enseignants, étudiants, lycéens, privés d’emploi… nous réaffirmons la nécessité d’unifier les colères et d’entreprendre enfin la construction d’un rapport de forces conscient, utilisant toutes les formes de luttes sans les opposer (grèves, manifestations le samedi, blocage des profits capitalistes, manifestation pacifique nationale de masse « tous ensemble en même temps » un samedi sur les Champs-Elysées pour préparer la grève inter-pro reconductible…) afin de battre le gouvernement de l’oligarchie et de mettre en perspective une démocratie véritable agissant par le peuple et pour le peuple.

    Nous nous inscrivons aussi dans la préparation des congrès syndicaux CGT et FSU qui doivent se tenir cette année et qui doivent absolument permettre à ces organisations de retrouver au niveau national leur caractère de classe et de masse afin de reprendre le seul chemin gagnant : faire le lien entre toutes les contre-réformes, s’affranchir de la tutelle étouffante de la CFDT et de la Confédération européenne des syndicats (pro-Maastricht), travailler concrètement à préparer avec les salariés les conditions de l’affrontement de classes victorieux avec ce pouvoir destructeur, construire l’unité dans l’action des travailleurs, des démocrates et de la jeunesse.

    Bernard Colovray, ouvrier, 38

    Jean-François Dejours, enseignant, FSU, 62

    Giovanni Di Mino, FSU, 13

    Véronique Duval, Aide soignante Hôpitaux publiques, CGT, 74

    Benoit Foucambert, FSU, 81

    Danielle Gautier, UFR C.G.T. Métaux, USR C.G.T.,  UL C.G.T. DE RIOM, 63

    Cédric Géronde, FSU, 81

    Jo Hernandez, ancien secrétaire UD CGT 81

    Annie Lacroix-Riz, historienne, FSU, 75

    Philippe Marchetti, Cheminot retraité et CGT, 74

    Stéphane Martin, agent territorial, Cgt, 84

    José Minard, ouvrier militant , 62

    Jacky Omer, Syndicaliste CGT, ancien SG du syndicat des cheminots CGT d’Ivry S/Seine, 13

    Anna Persichini, CGT métallo, 06

    Laurent NARDI, CGT, 74

    Gilbert Rodriguez, CGT, 92

    Pascal Rolando, FSU, 28

    Joël Vuylsteker, FSU, 62

     

    source: https://www.initiative-communiste.fr

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  • Cette 1ère Rencontre des "Mardis Jaunes" est reportée à une date ultérieure (7 ou 14 mai)

    1ère Rencontre-Débat des "Mardis-Jaunes": la Sécu

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  • L'incendie de la Cathédrale de Paris érigée en "catastrophe nationale. L'oligarchie vole au secours des pierres....Comment osez-vous proposer un milliard d'euros pour reconstruire alors que l'urgence sociale sonne le tocsin ?

     

    Dimanche de Pâques en jaune. Aujourd'hui dimanche 21 avril à 10h . Contre l'ouverture des grandes surfaces le dimanche, CGT et Gilets Jaunes, salariés et consommateurs. Rassemblement de soutien aux salarié(e)s en grève (Casino super Quimper Ti Douar )

     
     
     
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  • Quimper. Ils sont contre l’ouverture dominicale du Petit Casino (OF.fr-21/04/19-17h52)Des employés du Petit Casino et leurs collègues syndiqués ont manifesté leur désaccord face à la volonté de la direction d'une ouverture dominicale

    Dimanche matin 21 avril 2019, devant les portes du Petit Casino d’Ergué-Armel, à Quimper (Finistère), une vingtaine des membres du personnel et du syndicat CGT ont affiché leur désapprobation envers l’ouverture dominicale du magasin.

    « D’après le siège de l’entreprise, il paraît que c’est un test pour savoir si la clientèle sera au rendez-vous d’une ouverture de ce supermarché le dimanche, révèle Patricia, membre du Comité social et économique (CSE) du Petit Casino, à Ergué-Armel. Par notre présence nous marquons notre désapprobation à l’ouverture du dimanche. Les gens ont toute la semaine pour faire leurs courses et faire travailler les petits producteurs qui viennent le dimanche matin sur le marché du Braden. »

    Sensibiliser la clientèle à leur démarche

    Devant les portes du magasin une vingtaine des membres du personnel et du syndicat CGT ont pris place en déployant une banderole destinée à sensibiliser la clientèle à leur démarche.

    « Le compte n’y est pas »

    À l’intérieur du supermarché une dizaine d’étudiants, une employée volontaire et une dizaine des cadres de l’entreprise reçoivent les clients. « Les conditions de rémunération ne sont pas les mêmes pour tous, s’insurge Patricia. Les cadres vont toucher 100 € nets par week-end travaillé avec possibilité de récupération. Pour les employés, c’est 20 € sans les récups. Pour nous, le compte n’y est pas et nous reviendrons tant qu’il n’y aura pas d’accord. »

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Travail le dimanche. Les employés de Casino-Quimper mobilisés contre l’ouverture (LT.fr-21/04/19-16hÀ l’entrée du magasin, les personnes de la CGT engagent la discussion avec les clients pour leur expliquer les raisons de leur manifestation.

    Le 7 avril, le supermarché Casino d’Ergué-Armel a ouvert pour la première fois ses portes un dimanche. Un choix que n’entendent pas les salariés, toujours mobilisés contre cette ouverture dominicale.

    « Il n’y avait pas de chocolat dans les magasins hier ? », demande une employée du supermarché Casino à deux retraitées, venues faire leurs achats ce dimanche. « C’est une urgence », répondent la nonagénaire et sa sœur. « Ils ont toujours une bonne excuse », soupire la salariée, quelque peu dépitée.

     

    Soutenus par quelques gilets jaunes et des membres de l’union locale de la CGT, ils sont une vingtaine au total à être venus manifester, de 10 h à 11 h, devant l’entrée de l’enseigne. C’est la deuxième fois après l’ouverture, inédite, le dimanche 7 avril. « À mon sens, il n’y a rien qui justifie cette ouverture le dimanche, assène Patricia, déléguée du comité social. Nous allons continuer à mener des actions régulières pour nous faire entendre ». Les employés dénoncent notamment les différences de statut entre eux, « payés 20 € de plus que d’habitude », et les managers, « qui gagnent 100 € chaque dimanche travaillé ».

    190 clients le 14 avril

    Contacté, le groupe Casino assure « qu’il ne force personne à venir le dimanche matin ». Cinq étudiants sont venus renforcer l’équipe en CDI et cinq autres personnes se sont volontairement proposées pour travailler le dimanche, « principalement dans l’encadrement », précise Casino.

    Par la voix d’une personne chargée des relations avec la presse, l’enseigne de grande distribution annonce que cette ouverture le dimanche « n’est pas une expérimentation ». Elle compte ainsis’aligner sur les concurrents pour répondre aux nouveaux modes de consommation. Casino en profite également pour donner les chiffres de la fréquentation : 99 clients se sont rendus dans le supermarché lors de la première ouverture, le 7 avril. Ils étaient 190 la semaine suivante. « À moins que la clientèle ne suive pas, il ne devrait pas y avoir de retour en arrière », conclut le groupe.

    Paul BOHEC
    source:  https://www.letelegramme.fr/
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