• Une très grande l’importance est donnée au costume  traditionnel en Bretagne. Avec l’aide des confédérations et des passionnés, nous avons choisi de présenter l’histoire des coiffes et costumes les plus spectaculaires et typiques de Bretagne. Le costume Breton est un signe de reconnaissance. Pour le français, il reste un fort élément d’identification régionale. Les Bretons sont souvent assimilés à leur costume mais  quelquefois hélas, de façon péjorative. Les caricaturistes de la presse parisienne présentant les hommes avec un chapeau breton et les femmes avec une coiffe bigoudène. Ne pouvant présenter en 52 minutes la totalité des costumes de la Bretagne, nous en avons choisi par quelques uns par pays, faisant référence à l’esthétique ou la beauté du costume, à l’aspect historique, voire  l’anecdote. Les zones géographiques maritimes, terriennes, les activités professionnelles des autochtones ont déterminées et influencées les choix précis de style, de forme et de couleur.La trame de ce documentaire historique de 52 mn nous permettra de découvrir également sur différentes périodes, ce qui fait le charme de ces traditions, mais aussi ce renouveau « celtique » depuis une dizaine d’année, prouvé par le nombre croissant de ces jeunes sur les listes d’attente pour intégrer cercles et Bagadoù.

    source: tvr.bzh

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  • Triste fin d'année 2015 sur le front de l'emploi. Le nombre de chômeurs a augmenté en décembre dernier. Et sur l'ensemble de l'année, ce sont 89.900 personnes sup- plémentaires qui ont poussé les portes d'une agence Pôle emploi.

    Après une baisse en novembre, le nombre de demandeurs d'emploi sans activité a augmenté de 15.800 personnes (+ 0,4 %) en décembre, concluant l'année 2015 sur un record de 3,59 millions de chômeurs en métropole. Sur l'ensemble de l'année 2015, Pôle emploi a accueilli 89.900 chômeurs supplémentaires (+2,6 %). Le chômage atteint également des records en incluant les demandeurs d'emploi ayant exercé une activité réduite au cours du mois (5,48 millions, +0,6 % sur un mois) et l'outre-mer (5,78 millions, +0,6 %).

    De fortes variations

    Ces derniers mois, l'indicateur de Pôle emploi a connu de fortes variations, mais, au-delà des évolutions mensuelles, réputées très volatiles, la courbe du chômage révèle une réelle tendance à la hausse, avec 42.800 chômeurs de plus en catégorie A (sans activité) en métropole au quatrième trimestre. Selon une analyse récente de la Dares, le service des statistiques du ministère, les chiffres de Pôle emploi sont révélateurs d'une tendance de fond à partir d'une évolution trimestrielle de 35.000. En Bretagne, l'année n'a pas bien fini, avec une progression de 0,3 %. On compte désormais 156.090 demandeurs d'emploi en catégorie A. Malgré un coup d'arrêt en décembre (+1,4 %), la situation des jeunes Bretons s'est améliorée sur un an (-1,6 %) par rapport à fin 2014. En revanche, la situation des seniors se dégrade inexorablement (+0,2 % sur un mois, +9 % sur un an).


    source:letelegramme.fr
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  • Pouldergat-Fermeture de classe : il manque un enfant ! (OF 28/01/2016) Les parents d'élèves, avec le soutien du maire, ont manifesté devant l'entrée de l'école, ce mercredi matin.

    Branle-bas de combat des parents d’élèves, hier matin, à l’école publique Yves-Riou. L’académie a décidé de fermer la 4e classe à la rentrée prochaine. L’école comptera 74 élèves, il en faudrait au minimum un seul de plus pour éviter cette fermeture.

    « Les parents ne savent pas qu’il faut inscrire les enfants dès aujourd’hui pour la prochaine rentrée de septembre », constate Bérengère Le Brun, la présidente de l’association des parents d’élèves. « Il faut surtout informer les gens car nous avons une chouette école avec une qualité d’accueil exemplaire », souligne le maire Gaby Guellec, venu soutenir les parents.

    « La 4e classe a été ouverte il y a trois ans. Et on veut déjà la fermer », s’indigne une mère de famille, en brandissant le calicot. « Vingt enfants par classe, c’est bien, reconnaît la présidente. On sait que onze naissances sont attendues cette année, ce qui ferait passer les effectifs à 85 élèves. »

    Le maire précise que cinq lots du nouveau lotissement ont été vendus et une promesse a été signée pour le 6e lot. Les parents sont inquiets de la décision définitive qui sera prise par l’académie, ce jeudi 28 janvier.

    source: ouest-france 28/01/2016

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  • Poher : les parents d’élèves se mobilisent (OF 28/01/2016)  Les parents d'élèves de Plounévézel mobilisés ce mercredi midi, contre la fermeture d'une classe

    À Motreff et Plounévézel, des classes sont menacées de fermeture. Les parents d’élèves espèrent enrayer le processus.

    « Énervé » .« Choqué » .« Un déchirement » . Hier midi, à Plounévézel, près de Carhaix, les mêmes mots revenaient dans la bouche des parents d’élèves, brandissant banderoles et pancartes devant l’école, avec le soutien du maire Xavier Berthou.

    Lundi, ils ont appris qu’une classe de leur école maternelle et primaire Jean-Marie Le Gall était menacée de fermeture, selon le projet de carte scolaire de la Direction des services départementaux de l’Éducation nationale (DSDEN) du Finistère. Dans cet établissement, où 106 élèves sont répartis cette année en cinq classes, la DSDEN prévoit pour la prochaine rentrée un effectif de 94 élèves, avec donc une classe de moins.

    Scène à peu près similaire à Motreff, ce mardi, où l’une des trois classes de l’école des Hirondelles est menacée au même titre. « C’est la pérennité de l’école qui, à terme, est mise en jeu » , lançait alors José Le Guélaff, maire de la commune, lui aussi mobilisé avec les parents.

    À Plounévézel, les parents espèrent encore inverser la tendance. « Il nous manque une dizaine voire une quinzaine d’enfants pour conserver notre classe, indique Kevin Coignat, coprésident de l’association de parents d’élèves. Et 21 enfants habitant à Plounévézel sont scolarisés à l’extérieur. Il faut qu’ils reviennent. »

    « Notre objectif, c’est d’être au dessus de 100 à la rentrée », indique de son côté Xavier Berthou. « On se rappelle des cas de Landeleau et Berrien : nous avons jusqu’à la rentrée pour faire bouger les lignes », tempère le député (PS) Richard Ferrand. « Il ne peut y avoir un double discours qui consisterait d’un côté à ce que certains élus se disent favorables à la ruralité en laissant penser que des moyens lui seront accordés, et de l’autre de supprimer des postes dans les écoles qui sont la vie de ces mêmes communes », réagissent de leur côté Christian Troadec et Corinne Nicole, conseillers départementaux du canton.

    La suppression d’une demi-classe est également prévue à Plouyé. En attendant, les prévisions de nouvelle carte scolaire doivent être entérinées ce jeudi.

    William LECOQ.

    ouest-france 28/01/2016

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  •  Inquiétude sur la privatisation de Guerlédan (OF 21/01/2016)

    EDF pourrait être contrainte d'abandonner la concession du barrage de Guerlédan, sous la pression de Bruxelles.

    La semaine dernière, la centrale hydroélectrique de Guerlédan a repris du service après six mois d'arrêt. Sous le giron d'EDF depuis 1946, elle pourrait bien changer de mains dans les années à venir.

    En cause ? La loi de transition énergétique votée l'été dernier. Elle prévoit l'ouverture des concessions hydrauliques à la concurrence.

    « Ça n'annonce rien de bon »

    A cela s'ajoute que la commission européenne a mis en demeure l'État français, en octobre dernier. Elle estime qu'EDF est en position de monopole sur ce secteur : « Elle aurait donc demandé qu'EDF ne soit pas candidat à sa propre succession. On ne sait pas encore les termes exacts de l'injonction, mais ça n'annonce rien de bon », assure Stéphane Le Roux, secrétaire général CGT Mines énergie du Morbihan.

    Un coup dur pour l'opérateur qui vient d'y investir 4 millions d'euros. EDF vient en effet d'y effectuer des travaux d'entretien, nécessitant la vidange complète du lac et près de six mois de travaux. Mais surtout, la concession des chutes de Guerlédan et de Saint- Aignan a été renouvelée en 2008 à EDF pour une durée de 40 ans... « Cela pourrait être remis en cause. »

    Autre inquiétude : l'avenir des salariés du site. « Dix agents, qui vivent aux alentours de Pontivy et Mûr-de-Bretagne travaillent sur le barrage de Guerlédan. Que vont-ils devenir ? Et leurs familles ? », complète le secrétaire général.

    Des actions sont envisagées dans les semaines à venir pour dénoncer cette ouverture à la privatisation. Un rassemblement régional des syndicats de l'énergie est en préparation.

    Stéphanie HANCQ.

    Ouest-France 21/01/2016

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  • Billet Rouge-Badinter, ou la peine de mort pour le Code du travail – par Floréal (IC.fr -27/01/2016)Il est juste de le rappeler, l’avocat socialiste Badinter a joué un rôle majeur dans l’abolition de la peine de mort en France ; il n’en est que plus injuste d’oublier que le premier homme d’Etat à exiger l’abolition fut… Maximilien Robespierre. Prenant de loin le relais de l’Incorruptible assassiné, la Commune de Paris décida en 1871 d’envoyer la guillotine à la casse. Hélas, dans les deux cas, l’abolition, décidée en son principe, ne put avoir de suite effective et immédiate : en 1793, l’invasion étrangère conjuguée à l’insurrection vendéenne contraignit le Comité de salut public à mettre en pratique dans toute sa rigueur la devise révolutionnaire aujourd’hui bien édulcorée « liberté, égalité, fraternité ou la mort ». Quant aux généreux Communards, assiégés par Bismarck et promis au par Thiers à l’extermination (laquelle fut mise en pratique lors de la « Semaine sanglante »), ils n’eurent d’autre choix que de prendre les armes face aux affameurs et aux massacreurs de Versailles…

    Certes, depuis ses envolées parlementaires de 1981, Robert Badinter n’a pas brillé par ses positions progressistes : membre du Conseil constitutionnel, il a entériné sans états d’âme, non seulement la cassation des très rares lois vaguement favorables aux travailleurs votées sous Sarko ou sous Hollande ; il a même scandaleusement validé, comme ses pairs, le principe antinational selon lequel les traités européens priment sur le droit français… Constitution comprise. En conséquence de quoi, le Conseil constitutionnel n’examine plus que les lois d’origine française et il ferme royalement les yeux sur les 80% de textes restants qui ne sont que la « transposition » en droit français des directives supranationales et néolibérales émanant de Bruxelles…

    N’empêche, Badinter, et surtout son épouse, la philosophe Elisabeth, restaient encore, à tort ou à raison, des figures de la « gauche morale », à défaut d’avoir jamais brillé sur le terrain principal, celui du conflit capital/travail. Le moins qu’on puisse dire est d’ailleurs que Badinter n’a jamais brillé en tant que spécialiste du Droit du travail…

    C’est pourquoi, alors que Valls prend de front la vraie gauche sur toute une série de sujets (état d’urgence à rallonge, loi intrusive sur le renseignement, casse du Code du travail, de la durée légale du travail, des statuts publics, de la justice prud’homale, du collège, etc.), alors que la « justice » s’acharne sur les ouvriers CGT de Goodyear ou d’Air France, c’est une nouvelle ignominie morale de la part de MM. Hollande/Valls que d’avoir obtenu de Mr Badinter, bientôt âgé de 88 ans, qu’il couvre de son nom encore prestigieux la casse du Code du travail exigée par le MEDEF et parrainée par « Bercy-Macron ».

    Ainsi le vieil homme sortira-t-il de la vie politique, non sur son aura de 1981, mais sur une saloperie antisociale ; oubliés Voltaire et Hugo, Badinter finira en une sorte d’Ambroise Croizat à l’envers

    Bravo donc, M. Hollande, pour votre nouveau « coup politique » si bien ajusté contre la vraie gauche. Après tout, quand on ose invoquer Jaurès, le Front popu ou le CNR pour « couvrir » une politique social-impérialiste, social-maastrichtienne et social-liberticide (sociale en paroles, impérialiste, maastrichtienne et liberticide en fait), cela ne coûte pas cher que de compromettre de son vivant un vieil homme qui méritait peut-être de terminer moins salement sa carrière de défenseur des droits.

    Floréal le 27/01/2016

    source: initiative-communiste.fr

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  • Pays Bas : le SP fait campagne pour le NON à l’accord d’association UE-Ukraine ! (IC.fr-26/01/2016)Les s’apprêtent à infliger une leçon de démocratie à l’. Le peuple y a arraché le droit de voter par referendum contre l’accord d’association entre l’ et l’, à l’issu d’une campagne de pétition recueillant plus de 420 000 signature soit près de 50% de plus que le seuil de 300 000 nécessaire pour la tenu de ce referendum. Il est utile de préciser que le gouvernement néerlandais (minoritaire de droite, pro UE) s’était empressé de ratifier cet accord, ce qu’à également d’ailleurs fait en catimini le gouvernement français sans que les français ne soient consulté. En France, les médias du système capitaliste n’ont pas parlé de la ratification de cet accord intervenu en catimini par la voix parlementaire. Depuis, c’est la panique aussi bien à la Commission Européenne qu’à la Haye devant cette irruption du peuple risquant de refuser à nouveau ce diktat de l’ du Capital. De quoi donner des idées ici en France où les militants du PRCF conduisent une campagne pour là aussi donner la parole au peuple, pour que ce soient les travailleurs qui décident et pas les banquiers, avec une pétition exigeant un referendum pour la sortie de l’Euro et de l’Union Européenne.

    pétition

    Le (gauche socialiste) – qui n’est pas membre du PGE – est l’un des partis moteurs dans la campagne pour le NON. selon les sondages, environ trois quarts des électeurs néerlandais voteront “probablement ou certainement” contre l’accord.

    Pays Bas : le SP fait campagne pour le NON à l’accord d’association UE-Ukraine ! (IC.fr-26/01/2016)Jean-Claude Juncker, qui avait déclaré il y a quelques mois qu’”il ne [pouvait] y avoir de choix démocratique contre les traités européens“, est en train de réaliser que le peuple peut encore faire irruption sur la scène politique à l’échelle de l’Union. Inquiet, il a appelé les Néerlandais à ne pas s’opposer à l’accord et fait remarquer qu’une réponse négative pourrait “déboucher sur une grave crise continentale, qui dépasserait largement le cadre néerlandais” (Reuters).

    La portée du vote sera d’autant plus symbolique, que ce se tiendra alors que les Pays-Bas, état central dans l’Union européenne dont c’est un des pays fondateur, assure la présidence tournante depuis le 1er janvier et alors que les Pays Bas sont avec la France l’un des pays où le peuple s’est déjà prononcé par referendum contre l’Union Européenne en 2005.

    l’accord d’association avec l’Ukraine menace contre la paix, outil de dumping social

    Le rapprochement plus marqué de l’Union européenne et de l’Ukraine augure d’un dumping social sans précédent en , déjà largement initié par l’Allemagne dans ses usines. L’Ukraine compte une des plus importantes populations d’ – 46 millions d’habitants – pour un salaire moyen de 250 euros par mois et un salaire minimum de… 50 euros par mois. Ce rapprochement risque de causer un tsunami social dans toute l’ de l’Ouest où le travail, de plus en plus rare et précaire, est dévoyé par le déferlement des « travailleurs détachés » – nom pudique donné en à la légalisation de l’exploitation la plus dure faisant sauter les conquêtes sociales obtenues dans chaque pays et notamment en France par des décennies de luttes.

    Qui plus est, alors que la junte fasciste des oligarques mis au pouvoir à la faveur du coup d’état de Maidan à Kiev bombarde – grâce aux financement généreux de l’Union Européenne – les populations du Donbass, réprime les communistes, cet accord d’association est une grave menace contre la paix.


    Le Referendum sur l’Ukraine réduit le fossé avec les électeurs

    l’ancien politicien Bas de Gaay Fortman a avancé la semaine dernière dans le Times que le gouvernement devait désormais clarifier l’effet du referendum sur l’Accord d’Association avec l’Ukraine. Selon lui,l’obligation moral doit prévaloir si le gouvernement ne peut pas empêcher une réponse négative à la question de ce referendum. Cette attitude est bien singulière. Le fait que le referendum a un caractère consultatif ne signifie pas que le gouvernement ne devra pas tirer les conséquences d’un NON clair de la population.

    L’agenda de Gaay Forman est pour le moins étrange. La majorité du parlement, y compris la coalition du party PvdA a déjà déclaré qu’elle respecterait le résultat du referendum même si la majorité de la population vote contre l’accord d’association. Le gouvernement sera embarrassé, mais le Ministre des Affaires étrangères Koenders a déclaré que le gouvernement tiendra compte du peuple. Si le gouvernement prend cela au sérieux, ce qui signifie que la non ratification de l’accord est possible, c’est le contraire de ce que Gaay Fortman affirme.

    Gaay Fortman réduit la loi à une tétine

    Ce serait contraire à l’esprit même de la loi sur le referendum de définir en avance que son résultat sera ignoré. Après tout, ce nouvel outil démocratique donne aux citoyens l’opportunité de donner leur avis sur une décision du gouvernement qu’ils désapprouvent. Ce serait hypocrite si les referendum ne comptaient que pour des prunes. Le cœur de la loi est de donner au peuple un outil avec lequel il peut forcer le gouvernement de revenir sur une loi ou un traité. La proposition de de Gaay Fortman réduit la loi à un tétine (ndt bien utile pour empêcher le peuple de crier). Une tétine couteuse car le cout d’un referendum est estimé à 40 millions d’euros.

    Faut il lui prêter attention ?

    Gaay Fortman affirme que que le Sénat et la Chambre ont commis une « omission fatale » au sujet des traités européens qui n’ont pas été ajouté à la liste des sujets considérés comme ne pouvant faire l’objet d’un referendum. Une remarque curieuse, puisque cette question a été largement discuté lors du débat sur la loi sur le referendum consultatif. Grâce aux efforts de mon collègue Ronald Van Raak un amendement a été ajouté qui fait que les pétitionnaires peuvent obtenir un referendum sur les traités européens. Apparament, Gaay Formtman n’accorde pas assez d’attention au processus législatif. En écrivant sa tribune, il a a nouveau manqué à ses devoirs.

    Mon parti va mener campagne pour le NON

    Gaay Forman a écrit que les citoyens n’avaient pas de bonne raison de se rendre aux urne le 6 avril.Ici je veux dire que mon parti va mener une compagne pour le NON fondée sur la conviction que cet accord ne bénéficiera ni à l’unité ni à la stabilité de l’Ukraine. En aucune façon cet accord ne contribue à la résolution de la guerre civile en Ukraine mais certains ukrainien vont l’interpréter comme une étape vers l’adhésion à l’UE. De plus cet accord conduirait à l’intensification des relations avec un pays dont le gouvernement est responsable de graves violations des Droits de l’Homme et de crimes de guerre, et il y aura donc bientôt encore plus d’argent déversé par l’UE dans ce pays extrêmement corrompu. Comme le referendum de 2005 sur la Constitution Européenne (NDT, les néerlandais comme les français avaient voté NON il y a 10 ans) ce referendum va contribuer au débat publics dans les médias et en place public. Sans doute que malgré lui Gaay Fortman vient de donner un coup de pouce pour que le débat ai lieu.

    Contrairement à ce que Gaay Fortman écrit ce referendum est une opportunité pour combler le fossé entre les citoyens et la politique, un fossé qui s’agrandit. Si l’on suivait ce qu’il dit, et que le gouvernement indiquait qu’il ne tiendrait pas compte du vote contre, ce fossé ne pourrait que s’accroitre encore plus. Personne n’a besoin de cela.

    Harry van Bommel est député européen du SP et a été le dirigeant de la campagne pour le NON au referendum sur la constitution européenne en 2005. cet article a été publié le 21 décembre sur tpo.nl. traduction www.initiative-communiste.fr source

    Le parlement ne croit pas à un Oui au referendum sur l’Ukraine.

    Aujourd’hui, le parlement européen doit voter une résolution sur l’accord avec l’Ukraine, la Géorgie et la Moldavie. Le parlement européen a appelé à une libéralisation rapide des visas et une intensification de la coopération entre l’UE et ces pays. Dans sa résolution, le parlement européen exprime ses préoccupations au sujet du contexte dans lequel se tiendra le referendum sur cet accord avec l’Ukraine et déclare espérer que les néerlandais jugeront de façon positives l’accord pour l’UE et les Pays Bas. Le député européen du SPA Dennis De Jong a déclaré que » par le contexte le parlement ne fait pas allusion à autre chose que l’impopularité du gouvernement Rutte. Apparemment l’action du premier ministre cette semaine à Strabourg n’a pas donné confiance au parlement que le referendum se conclurait pas un OUI. Ce que Rutte ne peut pas garantir »

    La résolution contient d’autres points à noter. De Jong indique » Le parlement européen a explicitement accepté le droit pour tous les états démocratiques européen à rejoindre l’UE, s’ils respectent les droits de l’Homme. En conséquence, le parlement européen exprime clairement que ces traités sont une étape vers l’adhésion à l’UE. les partisans du OUI devraient donc arrêter de clamer que cet accord n’a rien à voir avec l’adhésion à l’Union Européenne. »

    Finalement le parlement veut que l’UE conduise dès que possible une mission qui inclura du déminage et l’accès libre pour les organisations d’aide humanitaire. De Jong commente » Cela a l’air de prime abord une décision humanitaire, mais cela veut en fait dire que les états membres de l’UE veulent un déploiement militaire en Ukraine. Ce qui est extrêmement alarmant ».
    Cette résolution a été voté par les Chrétiens et Sociaux Démocrates, les Conservateurs, les Libéraux et les verts. Le SP a voté avec le GUE contre cette résolution.

    21 janvier 2016 traduction www.initiative-communiste.fr d’après sources

     

    www.initiative-communiste.fr site web du PRCF vous propose la traduction de deux tribunes publiées par les camarades du SP néerlandais, engagés dans la campagne pour le NON.

     

    source: initiative-communiste.fr

     

     

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  • Quimper

    Fonction publique. 450 manifestants dans les rues de Quimper (ouest-france.fr) 

    26 janvier 2016-La journée de grèves et manifestations de la fonction publique vue par la presse quotidienne régionale

    A Quimper, 450 personnes ont répondu à l'appel de l'intersyndicale, ce mardi 26 janvier, jour de mobilisation de la fonction publique.

    Jacques est prof d'éducation physique et sportive au collège, Véronique est éducatrice spécialisée. Ce mardi 26 janvier, à Quimper (Finistère), tous deux ont côtoyé des infirmiers, des facteurs, mobilisés en ce jour de grève de la fonction publique.

    Plusieurs mots d'ordre les ont réunis : la défense du pouvoir d'achat, le "dégel" du point d'indice, la réforme du collège, les nouveaux programmes. 

    450 personnes se sont rassemblées place de la Résistance où les responsables syndicaux (CGT, Solidaires et FO) ont tour à tour pris la parole. 

    Les manifestants ont ensuite formé un cortège qui a défilé sur les quais.

    source: ouest-france.fr

    Quimper. 500 manifestants dans la rue (letelegramme.fr)

    26 janvier 2016-La journée de grèves et manifestations de la fonction publique vue par la presse quotidienne régionale

    500 personnes ont pris part ce mardi à midi au cortège qui a défilé dans le centre-ville à Quimper dans le cadre de la journée nationale de la fonction publique.

    Des fonctionnaires d'Etat, territoriaux et hospitaliers ont manifesté pour des augmentations de salaires et l'emploi. Côté enseignants la mobilisation a été marquée par l'opposition à la réforme du collège.


    Quimper. 500 manifestants dans la rue par Letelegramme

     

    Quimper-Manifestation des fonctions publiques place de la Résistance : faible mobilisation (cotequimper.fr)

    26 janvier 2016-La journée de grèves et manifestations de la fonction publique vue par la presse localePlace de la Résistance-11 heures

    Ce 26 janvier, les fonctions publiques ont manifesté place de la Résistance à 11 h. Une mobilisation contre le gel du point d'indice et la fermeture de différents services.

    Confédération Générale et Nationale du Travail (CGT et CNT), Force Ouvrière (FO), Solidaires… Nombreux étaient les groupes à manifester contre le gel du point d’indice et la fermeture de différents services publiques, place de la Résistance ce matin. Mais, finalement, peu de monde s’y est retrouvé ce mardi 26 janvier à Quimper.

    Parmi les 150 personnes mobilisées, Erick Guerry, secrétaire des finances publiques au FO  insiste sur la « difficulté d’effectuer les missions » due aux conséquences du gel sur les trésoreries.

    « Les budgets sont réduits, nous n’avons plus les moyens d’effectuer nos missions et d’offrir un service de qualité », poursuit Stéphane Douet, secrétaire Solidaire dans les finances publiques.

    Fermeture de services publics

    Ploudalmezeau, Pont-Aven, Saint-Pol-de-Léon, Plouescat… Une dizaine de trésoreries sont fermées dans le Finistère. Et pour cause, « le point d’indice n’a pas augmenté depuis six ans », déplore Stéphane Douet.

    De fait, la suppression d’emploi augmente et les services publics de proximité ferment, regrettent les manifestants. « Nous avons perdu 300 postes, soit 20 % de nos effectifs », souligne Stéphane Douet.

    Tous demandent à l’Etat de réévaluer le point d’indice pour permettre à ces services d’améliorer leurs conditions de travail et leur pouvoir d’achat et de conserver les emplois.

    Juliette SELLIN

     source: cotequimper.fr

    Brest

    Brest. Un millier de manifestants pour le service public (ouest-france.fr)

    26 janvier 2016-La journée de grèves et manifestations de la fonction publique vue par la presse quotidienne régionale

    A l'appel de l’intersyndicale CGT, FO, FSU et Solidaires du Finistère, les fonctionnaires ont manifesté ce mardi matin. Ils étaient plus d'un millier à Brest.

    Deux thèmes principaux de revendication étaient à l'ordre du jour ce mardi, à l'occasion de la mobilisation des fonctionnaires : les salaires tout d'abord, qui sont bloqués depuis 2010. Ce qui représente une perte de pouvoir d'achat d'environ 10% selon la CGT. 

    La question de l'emploi, et notamment la remise en cause des 35 heures, était aussi au cœur des préoccupations. 

    Après les prises de paroles des syndicats place de la liberté, les manifestants ont pris la direction de la rue Jean-Jaurès dans le calme. 

    source: ouest-france.fr

     

    Brest. Un gros millier de manifestants (letelegramme.fr)


    Brest. Un gros millier de manifestants par Letelegramme 

    Un bon millier de manifestants a pris part, ce mardi matin, à la manifestation interprofessionnelle de défense de la fonction publique, place de la Liberté. 

    Le cortège a ensuite emprunté une partie de la rue Jean-Jaurès, avant de se séparer vers 12 h 15

    source: letelegramme.fr

    Brest Manifestation : Kerhallet en force (cotebrest.fr)

    26 janvier 2016-La journée de grèves et manifestations de la fonction publique vue par la presse locale

    Grève dans la fonction publique mardi 26 janvier 2016. Un rassemblement a été organisé place de la Liberté. Dans lequel on remarquait particulièrement les représentants du collège.

    Rassemblement place de la Liberté à Brest mardi 26 janvier 2016 : les fonctionnaires étaient appelés à la grève ce jour partout en France. Sur le parvis de l’hôtel de ville : des agents du centre hospitalier, de l’Education, de Brest métropole, de la Défense… Principale revendication : les salaires, la fin du gel du point d’indice. « Les fonctionnaires ne sont pas des nantis », scandait un syndicaliste au micro.

    Particulièrement représenté dans la manifestation : le collège de Kerhallet, avec banderole, tee-shirts à message et ballons. « Nous sommes 85 % de grévistes », assurait Sounia Khalfaoui, conseillère principale d’éducation.

    "Nous manifestons contre le manque de moyens dont nous disposons pour conduire nos élèves vers la réussite."

    L’équipe éducative demande l’intégration du collège de Kerhallet au réseau d’éducation prioritaire renforcée (Rep +) : « Nos élèves des quartiers de Bellevue et Keredern sont en grande difficulté. Nous avons de nombreux projets et nous ne sommes pas contre la réforme du collège mais nous n’avons pas les moyens de les mettre en oeuvre ! Nous souhaitons par ailleurs la présence dans le collège d’une assistante sociale et d’un médiateur de sécurité comme c’est le cas en Rep +. »

    Sounia Khalfaoui s’inquiète aussi de voir « des classes de quatrième de 27 élèves alors que c’est un moment clé pour l’orientation des élèves. Nous souhaitons une division supplémentaire et des heures de plus pour faire de l’accompagnement personnalisé. » Pour elle, c’est une question d’« égalité des chances ».

    Martine De Saint-Jan

    Source: cotebrest.fr

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  • Chômage. Ça ne va pas beaucoup mieux (LT 25/06/2010)

    Après deux mois de baisse, le nombre de demandeurs d'emploi sans activité est reparti en légère hausse en mai (0,3 %) s'établissant à 3,52 millions de personnes en métropole pour la catégorie A. La hausse est plus marquée (+0,6 %) en incluant les demandeurs exerçant une activité, pour un total de 5,43 millions de demandeurs en métropole et de 5,73 millions en France entière. Cette augmentation était prévisible, certains observateurs redoutant un « effet de bascule » après un mois d'avril marqué par une « hausse inhabituellement forte » (+25 %) et « inexpliquée » des sorties pour défaut d'actualisation. À la fin de chaque mois, les demandeurs d'emploi sont tenus de déclarer leur situation à Pôle emploi, sous peine d'être désinscrits d'office. L'amélioration de la situation des jeunes a connu un coup d'arrêt, avec 4.400 chômeurs supplémentaires (+0,9 %). Mais la tendance reste bonne sur un trimestre (-1,8 %) et sur un an (-7,6 %). Quant aux seniors, leur horizon s'éclaircit pour le troisième mois consécutif (-0,1 % en mai, -1,3 % sur trois mois). La Bretagne est à contre-courant, avec un nombre de demandeurs d'emploi en recul : -0,4 %. Mais, comme au niveau national, les moins de 25 ans sont à la peine en ce moment sur le marché du travail.
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