• Avant le départ de la  parisienne, entretien avec F Kassem

    Quelques images du cortège très dynamique et motivé du PRCF, emmené par la banderole des jeunescommunistes des

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  • La macronie l’avait promis avec parcoursup: 

    « aucun candidat à l’université ne recevra un “non” “

    et pourtant la macronie a menti :

    Les premiers résultats sont arrivés et alors qu’avec le précédent système APB 80% des lycéens avaient une proposition d’admission début juin, bien avant le Bac, la moitié des impétrants bacheliers 2018 peuvent réviser les classiques napoléoniens : à la consultation des résultats c’est Trafalgar et Waterloo.

    Il n’est pas difficile de s’imaginer les sentiments qui peuvent passer par la tête d’un futur bachelier qui observe un tel désastre quand bien  même ce serait sur l’écran de son aie phone, cela doit disrupter à mort

    Bienvenue dans le monde des RIENS

    Sélection à l’université: recette pour 400 000 lycéens refusés

    • Ne pas tenir compte du baby boom de l’an 2000 et ne pas ouvrir de places pour les dizaines de milliers de bacheliers supplémentaires, cela permet de tailler dans le budget de l’enseignement supérieur et de rentrer dans les critères d’austérité de l’Euro et de l’Union Européenne (300 000 étudiants supplémentaires sont attendus dans les dix prochaines années).
    • Montrer du doigt les problèmes que ce sous-investissement chronique cause: 1% d’élèves concernés par un tirage au sort après la procédure APB. Incomparable avec le désastre du système Parcoursup de sélection à l’entrée promu par la macronie mais avec un gros plan sur BFM TV ça passe…. Reconnaissons qu’il est vrai qu’avec APB les victimes du tirage au sort pouvaient être des fils de bonne famille ce qui fait désordre. Avec Parcoursup, ils n’ont pas de soucis à se faire.
    • Bien sûr ne pas expliquer qu’APB  ne peut pas inventer les places inexistantes dans les universités déjà surchargées.
    • Démolir APB et le remplacer par  la loi de la jungle  parcoursup: c’est-à-dire permettre à tous les établissements du supérieur de sélectionner leurs étudiants sur des critères connus d’eux seuls parmi lesquels:
      • Prestige et taux de réussite du Lycée d’origine (Merci les banlieusards et les provinciaux mais on ne compte pas sur vous…)
      • Inscription dans un club ou une association (Yacht club de France ça fait combien de points?), voyage à l’étranger…
      • “valeur du bac” (prière d’obtenir son S et l’an prochain de prendre les bonnes majeures/mineures!)
      • appréciation du Chef d’établissement (tu as fait grève contre la loi ORE: dommage…)
      • Qualité du C.V (sic transit gloria mundi, quitte à faire du latin…) et de la lettre de motivation (re-sic). Ça permettra de rattraper les gamins des beaux quartiers
    • Rassurer les inquiets en demandant aux recalés de rester connectés et de recevoir les alertes: au moins cela les prépare aux humiliations de Pôle Emploi ou des concertations made in Loi Travail. Et  ils seront toujours mieux devant leurs smartphones qu’avec les “gauchos” du Lycée Arago, ces centaines de lycéens embastillés pendant 48h dans des conditions indignes pour avoir osé manifester.

    On l’aura compris c’est la sélection sociale la plus dure et la plus honteuse qui est à l’œuvre et cela dans un pays qui, d’après un rapport du Conseil national d’évaluation du système scolaire en date de  septembre 2016, est le plus inégalitaire en matière d’éducation parmi les 35 membres de l’OCDE.

    De fait parcoursup c’est la macronie en application dans le monde de l’éducation:

    Tout pour LES PREMIERS DE CORDÉES qui voient toutes leurs demandes acceptées, un coup de pied au cul pour les RIENS.

    On vous voit venir bandes de fainéants et de cyniques avec vos passions tristes…avec parcoursup la macronie récompense les futurs young leaders, les initiés qui se sont donné tant de mal pour naître dans les bonnes familles qui les ont inscrits dans les bons lycées et leur ont permis de faire un beau parcours, un parcours (de) supérieur, un parcoursup. Rassurez- vous ceux qui ne sont rien gardent le droit de les admirer en attendant que dans leur grande mansuétude les premiers de cordées leur laissent quelques miettes dans les formations les moins demandées des établissements les moins prestigieux.

    Dans ces conditions, on comprend mieux pourquoi:

    • tant de lycéens et d’étudiants se sont mobilisés courageusement en dépit des coups de matraques ordonnés par le sinistre ministre Collomb bloquant facultés et lycées au risque de se faire maltraiter comme au lycée Arago ,
    • des universitaires courageux ont refusé de participer à cette mascarade injuste et honteuse, le syndicat Snesup-FSU ayant par exemple appelé, dès le 27 mars, les enseignants à classer les candidats selon seulement deux critères : l’obtention future du bac, qui « prouvera que les attendus sont possédés », et la demande d’inscription, qui « témoigne de la motivation suffisante ». Ce qui a été fait par plusieurs dizaines de commissions  comme à Nantes, Paris 1, Rouen ou Lille. De nombreux universitaires ont aussi soutenu leurs étudiants en lutte et en butte à une répression policière féroce en faisant grève.

    Rappelons quand même à ceux qui défendent la mascarade parcoursup en le présentant comme “plus humain” face à l’algorithme APB que consacrer 3 minutes pour examiner chacun des 7 millions de vœux représente 350 000 heures de travail, soit l’équivalent de 2300 postes à temps plein pendant un mois: hypocrisie à tous les étages donc. Dans la réalité, les lourds dossiers remplis par les lycéens auront fini à la poubelle, la sélection se faisant sur un unique critère, celui de la “note de gueule” du lycée. Les jeunes des quartiers populaires en faisant les frais. De nombreux témoignages remontent indiquant que dans certains établissements classés zep, près de 80% des lycéens se voient refuser la totalité de leurs vœux.

    Et ce n’est pas fini…

    On le voit parcoursup est anxiogène et injuste, rassurez-vous la macronie va l’améliorer. Grâce à la destruction du baccalauréat national par Blanquer, dès l’an prochain les perfides algorithmes maison des établissements supérieurs pourront aller se servir dans les banques de notes des épreuves devenues locales et s’effectuant en contrôle continu du nouveau Bac ni anonyme ni national : 

    LE TRI SERA PARFAIT!

    Il est toutefois impossible de terminer cet article sans poser une question qui fâche: les directions syndicales eurobéates (ne parlons jamais de la stratégie de Lisbonne…) et PScompatibles (Mé-na-geons Ha-Mon…) du monde éducatif qui ont depuis trente ans entrenu l’ambiguïté entre massification de l’enseignement secondaire et véritable démocratisation, protestant à peine face à la diminution des horaires et des contenus instaurée par l’idéologie européenne des compétences,  restant l’arme au pied quand la hiérarchie de l’éducation nationale a sommé les enseignants de brader le Baccalauréat à coups de notes gonflées et d’injonction à la “bienveillance”, permettant à Macron de remplacer le “mérite républicain” par le tri social en se drapant dans la bannière du “mérite et du travail”. 

    Quoiqu’il en soit,  suivant l’exemple des courageux jeunes en lutte depuis des mois, il faut se mobiliser tous ensemble et en même temps pour faire échec à la loi ORE et au bac Blanquer et pour que cette lutte puisse gagner il faut combattre la tenaille de l’U.E  et de la stratégie de Lisbonne dont Macron se sert (comme ses prédécesseurs ) pour défaire la France, de la SNCF aux hôpitaux en passant par les universités.

    source: https://www.initiative-communiste.fr

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  • Communiqué de la Confédération CGT

    Occurence- Un comptage indépendant du nombre des manifestants … très aléatoire (28/05/2018-cgt.fr)

    Plusieurs medias relaient depuis quelques semaines des chiffres de participation aux manifestations issus d’un comptage réalisé par une société privée. Même si OCCURRENCE est une société d’organisation d’événements et de conseils pour des grandes entreprises, nous ne mettons pas en doute leur volonté d’indépendance en matière de comptage des manifestants.

    C’est pourquoi la CGT a souhaité pouvoir vérifier la méthode utilisée. Après plusieurs demandes restées sans réponses, nous avons enfin obtenu de pouvoir assister au comptage aux côtés des techniciens de cette entreprise lors de la manifestation du 22 mai à Paris.

    Si le matériel utilisé semble fiable, nous avons constaté quelques zones « d’ombre » dans la méthode certainement liées à un manque de connaissance des « pratiques manifestantes ».

    Par exemple, le 22 mai, le comptage était placé en amont du départ de la manifestation, ce qui fait « quelques » manifestants en moins. Quid des milliers de personnes qui bordent la manifestation tout au long du parcours sans jamais traverser le mécanisme de comptage ?

    Enfin, plusieurs problèmes techniques demeurent. De l’avis même des salariés de l’entreprise OCCURRENCE, il faudrait plusieurs points de comptage sur la manifestation pour avoir un chiffre.

    Dans l’état actuel, on peut estimer au moins à 40% en dessous de la réalité les chiffres de manifestants fournis par l’entreprise OCCURRENCE.

    En toute indépendance avec beaucoup d’objectivité !

    Montreuil, le 28 mai 2018

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  • #mareepopulaire : Forte mobilisation et tous ensemble pour opposer un front populaire aux attaques de Macron-UE-MEDEFEn 2016, alors que les manifestants se mobilisaient par millions pour refuser la Loi Travail, traduction des ordres de l’Union Européenne pour faire sauter le code du travail et satisfaire ainsi aux volontés du grand patronat, les communistes du PRCF appelaient pour permettre aux travailleurs de passer à la contre-offensive à la construction d’un large front antifasciste, populaire progressiste et écologique. Un FRAPPE pour faire face à la fascisation en cours et faire gagner les droits des travailleurs : droits sociaux, droits démocratiques, droit écologique. Et en termes de méthode de lutte, de proposer pour accélérer le et en même temps une grande manifestation nationale à Paris, et également de stopper l’opposition et la division stérile entre action syndicale et perspective politique.

    En mars dernier, le PRCF a lancé un appel pour le tous ensemble et en même temps. Un appel répondant à une large aspiration populaire.

    De fait, du 5 mai avec la manifestation nationale de la Fête à Macron au 26 mai et sa – alors que d’une même voix la CGT de la Chimie et le porte-parole de la France Insoumise appellent à un Front Populaire – force est de constater que ces idées, analyses et propositions sont largement reprises. Une grand mouvement peut se lever dans le pays. Oui, le régime Macron attaque tout azimut.  Pour suivre les ordres de Bruxelles et du MEDEF, mais également pour tenter de briser et d’isoler les résistances  populaires en écrasant chacun à leur tour travailleurs du privé, cheminots, étudiants et demain les fonctionnaires avant de s’en prendre à tous avec la casse de la Sécu et des retraites prévues en 2019. Mais oui, la colère gronde et les Français savent qu’ils sont plus de 80% à ne pas avoir voté pour Macron et encore moins à avoir voté pour ses députés fantoches. Non, Macron n’est pas légitime, oui, ce banquier est ultra-minoritaire, et il compense sa faiblesse démocratique par un gouvernement violent, autoritaire, totalitaire et de plus en plus ouvertement fascisant. Oui, il est possible de le stopper, et sans attendre 2022. En répondant tous présents pour un vrai front populaire empêchant l’euro-destruction et la vente à la découpe du pays, de son appareil de production et de ses services publics. Les centaines de milliers de manifestants qui ce 26 mai à travers tout le pays ont repris en cœur des slogans tels que “c’est pas au patronat de faire la loi, la vraie démocratie elle est ici”, lancé en 2010 par le PRCF ou “Même macron même combat” et surtout le très opérationnel “grève générale quoi de plus normal” sont le signe que la mobilisation populaire peut changer le rapport de forces à l’avantage de la classe des travailleurs. Macron, l’Union Européenne et le MEDEF, ils détruisent le pays, le peuple peut les stopper en bloquant leurs profits. En aidant à la grève des cheminots et en s’activant pour accélérer le lancement de mouvements de grèves interprofessionnelles, à la base, à travers des assemblées générales réunissant les travailleurs de tous les secteurs.

    La présence du PRCF aura été remarquée et visible, en témoigne par exemple les images du JT de France 2 où le drapeau du PRCF était visible dans la manifestation à Marseille.

    Les chiffres : 280 000 manifestants dans toute la France

    Avec plus de 80 000 manifestants à Paris, 65 000 à Marseille et des centaines de milliers dans les plus de 200 manifestations en France, c’est bien une première marée populaire qui s’est levée en France ce 26 mai. La rengaine des chiens de garde des médias ne doit leurrer personne. S’ils mordent c’est parce qu’ils ont peur de la colère populaire. Et les petites méthodes minables des rédactions des médias aux ordres du régime Macron et de ses milliardaires sont assez grotesques. À l’image de ce journal télévisé de 20h de France 2 annonçant une baisse du nombre de manifestants, en comparant les chiffres douteux de l’officine de propagande “Occurence” et de ses capteurs de supermarchés, entre le 5 mai, jour de la manifestation nationale unique de la Fête à Macron, avec ceux d’aujourd’hui. Passant sous silence les cortèges qui ont fait le plein partout en France. Alors place aux chiffres, des chiffres qui témoignent d’une mobilisation en hausse, supérieure à celle du 22 mai.

    • Paris : 80 000 manifestants
    • Marseille : 65 000 manifestants
    • Toulouse : 20 000 manifestants
    • Lille : 8 000 manifestants
    • Nantes : 6 000 manifestants
    • Montpellier : 5 000 manifestants
    • Grenoble : 5 000 manifestants
    • Nice : 4 000 manifestatns
    • Strasbourg : 4 000 manifestants
    • Nancy : 4 000 manifestants
    • Perpignan : 3 500 manifestants
    • Rouen : 3 000 manifestants
    • Toulon : 3 000 manifestants
    • Lyon : 2 000 manifestants
    • Tours : 2000 manifestants
    • Le Havre : 2 000 manifestants
    • Avignon : 2 000 manifestants
    • Clermont Ferrand : 2 000 manifestants
    • Angoulème : 1 500 manifestants
    • Tarbes : 1700 manifestants
    • Saint Etienne : 1 500 manifestants
    • Dijon : 1 000 manifestants
    • Annecy : 1 000 manifestants
    • Cherbourg : 1 000 manifestants
    • Chambéry : 1 000 manifestants
    • Metz : 1 000 manfestants
    • Roanne : 700 manifestants
    • Rodez : 600 manifestants
    • Narbonne : 600 manifestants
    • Agen : 500 manifestants
    • Albi : 500 manifestants
    • Pamiers : 500 manifestants
    • Auxerre : 300 manifestants
    • etc.

    source: https://www.initiative-communiste.fr

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  • BREST

    Petit coefficient pour la Marée populaire annoncée à Brest (OF.fr-26/05/18-17h21)

    Environ 700 personnes ont manifesté, samedi après-midi à Brest, contre la politique du gouvernement. Dans presque tous les viseurs : le président de la République.

    Environ 700 personnes, bien moins que les 4 000 rassemblées mardi dernier pour la défense de la Fonction publique, ont rallié, samedi après-midi dans le centre-ville de Brest, le rassemblement « Marée populaire », pour « l’égalité, la justice sociale et la solidarité. »

    Si une cinquantaine d’associations, partis politiques et collectifs avaient appelé à manifester, afin de protester contre la politique du gouvernement, ils étaient aussi nombreux, à Brest, à s’être mobilisés juste « en tant que citoyens ».

    Environ 700 personnes ont défilé pour la "Marée populaire", samedi après-midi à Brest, demandant "l'égalité, la justice sociale et la solidarité". | Yves-Marie Quemener

     « On en a marre, on en a ras le bol, c’est tout ! », résument des gens, « pas spécialement politisés, ni syndiqués, ni encartés », issus de générations et de professions différentes. « Tout est possible, on a des cerveaux, on a des ressources, on peut s’en sortir, solidaires, avec ou sans les politiques, tout en restant optimistes », estime Ellie, 26 ans.

     Aux côtés des bannières et drapeaux connus et de couleurs vives des syndicats ou des partis, sont brandies de nombreuses pancartes artisanales plus originales que le classique « Interdit d’interdire » comme : « Non à l’extrême centre », « cadences infernales = misère générale ».

     En tête du cortège, une grande banderole : « Ni Macron, ni Matraque, ni GLI-F4 », du nom de série de cette grenade lacrymogène et assourdissante utilisée à Notre-Dame des Landes. Une banderole est portée par de jeunes anonymes, venus « dénoncer les violences policières, la violence, insupportable, de l’État ».

    Suivent des étudiants qui se revendiquant « anti-sélection » « Les jeunes ne sont pas tous des délinquants ». Une lycéenne brandit un panneau de carton : « La Zad partout ! »

    D’autres manifestants encore se montrent très précis, comme ces conseillères en évolution professionnelle ou spécialistes des congés individuels de formation, descendues dans la rue pour « garder leurs postes et leurs compétences aux services des entreprises et des salariés ».

    Mais dans le cortège, descendu de la place de la Liberté vers la rue de Siam, la très grande majorité des manifestants pointent le président de la République, qui a « réussi à faire l’unanimité contre lui » : « Macron frappe un grand coup, en attaquant tous les secteurs en même temps. Il sévit rapidement, fortement et violemment », expliquent les syndicalistes. Macron est en train de faire un véritable coup d’État social ! »

    « Qu’il s’agisse de l’hôpital, des cheminots, de l’éducation, des retraites, je suis concerné par toutes ces revendications et ces inquiétudes, je les partage, confie Mohammed, simple militant « anti-idéologie libérale ».

    « Les manifs, on marche, on crie des slogans mais ça ne sert à rien, ça ne va rien donner ! observe un retraité venu défiler néanmoins. Si les gens ne sont pas contents, qu’ils commencent donc par voter ! »

     

    Frédérique GUIZIOU

    source: https://www 

    Environ 700 manifestants à la « Marée populaire » (LT.fr-26/05/18-15h45)

    (Photo Jean-Luc Padellec / Le Télégramme)

    Trois semaines après la « fête à Macron » qui avait mobilisé 600 manifestants dans les rues de Brest, ils sont à peine 100 de plus ce samedi à battre le pavé « pour l’égalité, la justice sociale et la solidarité » et contre la politique du président Macron.

    Après les premières prises de parole, place de la Liberté, la « marée populaire » doit notamment descendre vers la rue de Siam.

    source: http://www.letelegramme.fr/

     

    QUIMPER

    Environ 700 personnes à la "Marée populaire" (OF.fr-26/05/18)

     
    Environ 400 personnes étaient réunies devant la gare de Quimper (Finistère) ce samedi 26 mai pour dire "non" à la politique d'Emmanuel Macron.
    Environ 400 personnes étaient réunies devant la gare de Quimper (Finistère) ce samedi 26 mai pour dire "non" à la politique d'Emmanuel Macron. | Ouest-France

    Environ 700 personnes se sont réunies ce samedi 26, à 15 h, devant la gare de Quimper (Finistère) pour dire "non" à la politique menée par le Président Macron. Plusieurs organisations, partis politiques, syndicats et associations appelaient à ce rassemblement baptisé "Marée populaire".

    Point de rassemblement, fortement symbolique : la gare. Ce samedi après-midi, ils étaient environ 700 manifestants à se réunir avant d’entamer un parcours balisé à travers les rues de Quimper (Finistère) : La Poste, le palais de justice, l’hôtel de ville…

    Dénoncer la "casse du service public", dénoncer "la remise en cause du droit du travail", "faire converger les luttes en rassemblant les cheminots, les fonctionnaires, les lycéens" : telles étaient les ambitions des organisations de la "gauche élargie" qui appelaient à cette "marée populaire".

     
     

    Près de 700 personnes à la « Marée populaire » (LT.fr-26/05/18-

     

    250 personnes à la « Marée populaire »

    (LT.fr-26/06/2018-12h07)

    Marée humaine à Morlaix. 250 personnes dans les rues.

    250 personnes ont participé, ce samedi 26 mai, à la « Marée populaire » de Morlaix. Ils ont défilé entre la gare, la permanence de la députée En Marche et l’hôpital.

    C’est une petite marée de 250 personnes qui a déferlé sur Morlaix, ce samedi 26 mai. Avant de cheminer en ville en entonnant « Hôpital, solidarité, cheminots, solidarité, migrants, solidarité, étudiants, solidarité, précarité, solidarité », le cortège s’est retrouvé à la gare où un texte national écrit pour cette « marée populaire » a été lu. Un représentant des cheminots a également pris la parole. Ensuite, direction la permanence de Sandrine Le Feur, place Charles-de-Gaulle, où Morlaix Libertés a lu un texte en soutien aux migrants. Franck Deveaux, le suppléant de Sandrine Le Feur a été interpellé sur de nombreux sujets et les manifestants n’ont pas manqué de lui rappeler leur opposition à la « politique de Macron ». Le défilé s’est terminé dans la rue de Brest, au pied de l’hôpital où le collectif de soutien au CHPM a rappelé les difficultés que rencontre l’établissement. 

    source: http://www.letelegramme.fr/

     
    QUIMPERLE
     

      200 personnes à la Marée populaire       (OF.fr-26/05/18-16h49)

    La marée populaire en finistère vue par la PQR 

    Près de 200 personnes ont participé, samedi matin, à la Marée populaire, place de Gaulle à Quimperlé (Finistère). Pour dire non à la politique d’Emmanuel Macron.

    Le Parti communiste, le NPA, la France insoumise, Attac, génération.s, les Faucheurs volontaires, la CGT, etc. Mais aussi des citoyens, comme le Mellacois Daniel Cudennec, connu aussi sous son nom de scène, Dany Trick, le magicien. Son discours, plein de verve, de truculence et de sincérité, a fait mouche.

    Samedi matin, près de 200 personnes ont répondu à l’appel des diverses forces de gauche, pour cette Marée populaire.

    Marée populaire dont l’objectif était de se faire entendre, haut et fort, pour dire stop à la politique menée par le gouvernement d’Emmanuel Macron.

    Les uns après les autres, les responsables ont pris le micro, sur le rond-point de la place Charles de Gaulle.

    Pendant près de deux heures, la circulation a été fortement perturbée en basse-ville.

    Il n’y a pas eu le moindre débordement, lors de ce rassemblement bon enfant, qui a débuté à 10 h 30 pour se terminer sur les coups de midi.
     
     
     

    Quimperlé. 200 manifestants à la « Marée populaire » (LT.fr-26/05/2018-12h24)

    La marée populaire en finistère vue par la PQR (OF.fr & LT.fr)

    Quelque 200 personnes ont pris part ce samedi matin à Quimperlé à la « Marée populaire ». Une quarantaine d’associations et partis politiques avaient appelé au rassemblement.

    source: http://www.letelegramme.fr

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  • L'Appel du Collectif "Fête à Macron" pour la marée populaire le 26....

    L'Appel du Collectif "Fête à Macron" pour la marée populaire le 26....

    L'Appel du Collectif "Fête à Macron" pour la marée populaire le 26....

     

    ....ET EN FINISTERE

    ♦ Brest: 15heures-Place de la Liberté

    ♦ Quimper: 15 heures-Place de la Gare

    ♦ Morlaix: 10 heures 30-Gare

    ♦ Quimperlé: 10h 30 Place C. De Gaulle

     

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  • Quimper. Refus de prélèvements ADN : les faucheurs OGM refusent leur peine (OF.fr-24/05/2018-15h33)

    Deux faucheurs volontaires étaient convoqués au tribunal de Quimper, ce jeudi 24 mai. En octobre 2015, ils avaient été interpellés pour avoir recouvert de tags un mur du port de Lorient. Interpellation lors de laquelle ils n'avaient pas voulu donner leur ADN et leurs empreintes. Ce jeudi, ils ont refusé la sanction proposée par le procureur de la République de Quimper et seront jugés en septembre prochain.

    Deux mois de prison avec sursis, six mois de stage de citoyenneté et 200 € d’amende chacun : c’est la peine, proposée ce jeudi 24 mai par le procureur de la République de Quimper (Finistère) aux deux militants anti-OGM, qui faisaient l’objet d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), procédure aussi appelée plaider-coupable.

    Dans le cadre de cette procédure, le procureur de la République propose à une personne soupçonnée d’un délit d’exécuter une ou plusieurs peines si elle reconnaît les faits. À la personne soupçonnée de choisir si elle accepte ou non cette peine.

    La peine refusée

    Dans le cas des deux faucheurs OGM, la réponse à la proposition du procureur a été négative. Le duo est poursuivi après avoir refusé le prélèvement de leur ADN. Cette demande des forces de l’ordre faisait suite à l’interpellation des deux hommes, en octobre 2015.

    À Lorient (Morbihan), au port de Kergroise, ils avaient recouvert un mur de tags contre le soja OGM. « Nous voulions dénoncer la dangerosité des OGM. Le port de commerce de Lorient est une des entrées principales du soja transgénique en France. Environ 550 000 tonnes, importées du Brésil et d’Argentine, y sont stockées, chaque année. Et ce soja est destiné à nourrir les animaux des élevages bretons », expose l’un des deux Finistériens.

    Jugement en septembre

    « Nous refusons la peine du procureur car, ailleurs en France, des militants ont été relaxés pour avoir refusé de donner leur ADN ou leurs empreintes », réagit l’un des prévenus, ce jeudi après-midi. 

    Suite à cette décision, le procureur de Quimper a donc saisi le tribunal correctionnel. Les deux hommes feront l’objet d’un procès classique, le 20 septembre prochain. « Nous misons toujours sur une relaxe », précise l’un des deux hommes.

    Basile CAILLAUD

    source: https://www.ouest-france.fr

     

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  • NDDL-Main arrachée sur la Zad : le récit de l'étudiant blessé Maxime Peugeot (OF.fr-25/05/2018-9h57)Maître Hervé Gerbi, ici aux côtés d’Anne, la mère de Maxime Peugeot, a raconté le récit de l’accident de son client, qui a perdu une main dans l’explosion d’une grenade sur la ZAD

    Maxime Peugeot, qui a perdu une main à Notre-Dame-des-Landes, mardi, a raconté à son avocat, Maître Gerbi, les circonstances de l’explosion de la grenade GLI-F4 dans sa main. Le jeune étudiant de 21 ans dit ne jamais avoir voulu la jeter vers les gendarmes.

    Maxime Peugeot, qui a eu la main arrachée sur la Zad de Notre-Dame-des-Landes, mardi 22 mai, a raconté à son avocat les circonstances de son accident. Maître Gerbi a présenté son récit des faits lors d’une conférence de presse, qui s’est tenue à Nantes, ce jeudi 24 mai.

     

     

    Mardi, la première rencontre entre les zadistes et les forces de l’ordre aurait eu lieu vers 7 h. Les affrontements auraient duré toute la matinée, « avec des étapes de face-à-face durant lesquelles on se regarde, on s’épie, avec des provocations des uns et des autres, des phases de dispersion, des phases de charge, dont certaines très fortes. » L’une d’elles, plus forte, aurait fait rebrousser chemin à Maxime Peugeot.

    «Une munition que n’auront pas les forces de l’ordre»

    Il est alors un peu plus de 11 h lorsque l’étudiant ramasse une grenade. À ce moment-là, il se serait retrouvé seul avec une autre personne, dans un périmètre très large. Pourquoi ramasse-t-il la grenade ? « C’est une munition que n’auront pas les forces de l’ordre » , se dit-il. « Ce qui veut dire que lui ne sait pas qu’il ne faut pas ramasser une grenade », souligne son avocat.

    Maxime Peugeot est formel : il n’a jamais eu l’intention de jeter cette grenade sur les forces de l’ordre. « Elle a explosé quelques secondes après l’avoir ramassée, il avait les forces de l’ordre dans le dos » , rapporte Maître Gerbi.

    Il a travaillé en cuisine et dans les vergers

    Maxime est arrivé sur la Zad, « il y a quinze jours, trois semaines » avec un groupe d’amis étudiants de l’université de Lille 2, où il est en licence de sciences politiques. Il affirme être venu, sans contact préalable, « pour voir comment s’organisait cette Zad » . Il dit avoir travaillé en cuisine, dans les vergers, à désherber des potagers et à la reconstruction de ce qui avait pu être détruit.

     

    Maître Gerbi, au centre, entouré, à gauche, des parents de Maxime Peugeot, et de son frère et sa sœur, à droite. | Franck Dubray / Ouest France

    Ses parents, qui vivent à Marseille, ignoraient que leur fils se trouvait sur la Zad. Ils l’ont appris lorsqu’il a été blessé. Son père, ancien directeur de tour-opérateur, et sa mère, cadre administratif à France télévisions, ainsi que son frère, ingénieur, et sa sœur, qui travaille dans l’humanitaire, étaient présents lors de la conférence de presse. « Notre fils n’est pas un zadiste et il a toujours été pacifiste », ont martelé les parents.

    Stéphanie BAZILAK & Christophe JAUNET

    source: https://www.ouest-france.fr

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  • Appel du PRCF au succès du 26 mai 2018

    Après le camouflet réjouissant que les salariés d’Air-France ont infligé à leur PDG macroniste à propos du rattrapage salarial, après le NON quasi-unanime des cheminots à l’euro-projet de casse de Macron-Pépy, alors que la répression policière et la diffamation médiatique permanente ne suffisent pas à stopper la fronde des étudiants, la contre-offensive unitaire des fonctionnaires et la grève cheminote, après les succès du 1er mai et du 5 mai, il est essentiel de faire du 26 mai prochain un immense succès populaire.

    Le PRCF est signataire de l’appel à ces manifestations et chaque militant valide de notre organisation aura à cœur d’y être présent avec le matériel (affiches, tracts, autocollants…), le journal – Initiative – et les symboles de notre organisation qui, depuis des années, se bat pour le «  en même temps », pour le dépassement de la stérile opposition entre syndicalistes et militants politiques progressistes, pour la mise en cause radicale, non seulement de Macron-Thatcher, mais de l’UE supranationale du grand capital qui orchestre les mauvais coups à l’échelle du sous-continent européen. Il y a incompatibilité radicale entre la « construction » euro-atlantique du capital, entièrement tournée vers la destruction des conquêtes sociales et des souverainetés populaires, et la logique transformatrice issue du CNR dont le programme visait à « mettre le monde du travail au centre de la vie nationale » (programme « Les Jours heureux »).

    C’est dans cet esprit unitaire, et sans crainte de porter son message spécifique de reconstruction du , de consolidation du syndicalisme de classe, de démonstration de l’illégitimité complète de Macron pour détruire la France et ses acquis sociaux, de construction d’un large Front antifasciste, patriotique, populaire, écologiste pour affranchir la France de l’euro, de l’UE, de l’OTAN et du capitalisme, que les militants du PRCF et des JRCF participeront de manière responsable et combative aux marches du 26 mai.

    Il convient aussi d’y dénoncer la logique de guerre impérialiste et de surarmement qui caractérise le gouvernement atlantiste actuel, plus prompt à engager la France dans l’augmentation du budget militaire et dans les pires aventures impérialistes, qu’à satisfaire les revendications en matière d’emploi, de salaire, d’acquis sociaux et de services publics.

    Ces marches du 26 mai doivent être conçues, non pas comme un point d’orgue des luttes du printemps, mais comme un moment fort pour appeler au tous ensemble en même temps contre Macron-Thatcher afin qu’émerge dans la lutte une France Franchement Insoumise à l’UE-OTAN et au capitalisme.  

    Pour le secrétariat national du PRCF

    • Georges Gastaud, secrétaire national
    • Jo Hernandez, commission luttes
    • Antoine Manessis, commission internationale
    • Gilliatt de Staërck, JRCF

     

    le 24/05/2018

    source: https://www.initiative-communiste.fr

     ______________________________________________________________________________

    MAREE POPULAIRE EN FINISTERE

    ♦ Brest: 15heures-Place de la Liberté

    ♦ Quimper: 15 heures-Place de la Gare

    ♦ Morlaix: 10 heures 30-Gare

    ♦ Quimperlé: 10h 30 Place C. De Gaulle

    ___________________________________________________________________

    TRACT PRCF

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  • Grand Morlaix : les Insoumis veulent un débat et une consultation (OF.fr-22/05/2018-13h35)

    La France insoumise du pays de Morlaix a créé une pétition en ligne, à destination du préfet du Finistère.

    La France insoumise du pays de Morlaix réagit aux récentes prises de position, de la maire de Morlaix et de la députée, en faveur du grand Morlaix. « Il est proposé que les communes qui voudraient fusionner puissent le faire après délibération de leur conseil municipal. Or, ce projet n’était dans aucun programme des élus des communes concernées lors des municipales de 2014. »

    Les Insoumis demandent « que cette fusion de communes ne puisse se faire sans une consultation citoyenne précédée d’un débat ». À cet effet, ils ont lancé une pétition en ligne, invitant le préfet à organiser cette consultation.

    « Cela pourrait redynamiser le territoire »

    Ils demandent aussi « que soient rendues publiques toutes les études menées dans cet objectif par Morlaix communauté ». Lors d’une réunion de travail prévue le 28 mai avec les élus, la communauté d’agglomération présentera les résultats d’une première étude financière établie selon plusieurs scénarios. 

    « Nous pensons que la population est attachée aux services publics de proximité auxquels l’échelle communale a permis de satisfaire jusqu’à présent mais qu’en même temps, le grand Morlaix pourrait sans doute redynamiser et rendre attractif notre territoire. »

    source: https://www.ouest-france.fr

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