• Landivisiau-Les syndicats de Celtys appellent à la grève (OF.fr-12/03/2017)La CGT et la CFDT appellent à se rassembler devant l'entreprise Celtys de Landivisiau, lundi matin à 9 h. « Un débrayage est prévu lundi, à 9 h, devant l'entreprise. Cela fait suite aux négociations annuelles », informait la CGT.

    source: ouest-france.fr

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  • Épaulés par Maître Ronan Garret (à gauche), avocat au barreau de Quimper, les employés contractuels et les représentants de la CGT poursuivent le combat.Épaulés par Maître Ronan Garret (à gauche), avocat au barreau de Quimper, les employés contractuels et les représentants de la CGT poursuivent le combat

    Afin de protester contre le non-versement de leurs primes, les employés contractuels de l’hôpital de Carhaix la jouent collectif. Jeudi, ils faisaient le point sur le dossier.

    L’affaire dure depuis plus de dix ans maintenant. Et Pierrick Raoul, membre du bureau syndical de la Confédération générale du travail (CGT), prévient : « Vous allez encore entendre parler de nous pendant un moment ».

    Depuis tout ce temps, le syndicat fait face à la direction du Centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Brest pour faire entendre les droits des contractuels de l’hôpital de Carhaix.

    Trois exceptions

    En présence de Me Ronan Garret, avocat au barreau de Quimper, les contractuels et les représentants des syndicats ont fait le point sur la situation en annonçant notamment la création d’un collectif pour manifester contre l’absence de versement des primes aux employés contractuels de l’établissement hospitalier.

    « Les demandes individuelles ont échoué, sauf trois dossiers qui ont obtenu gain de cause », précise Pierrick Raoul.

    Solidaires

    Parmi eux, celui de Lucie, infirmière depuis 2006 à Carhaix. « Ma demande de prime a pu aboutir, et j’ai réussi à toucher environ 2 100 € nets sur les trois années, 2007, 2008 et 2009. »

    150 cas potentiels

    Si elle a reçu sa prime, l’intéressée affirme néanmoins vouloir poursuivre le combat aux côtés de ses collègues. « Ils sont potentiellement 150 concernés par cette demande », chiffre Pierrick Raoul. « Pour le moment, nous comptons une trentaine de contractuels dans le collectif. La CGT n’est qu’un outil, maintenant il faut que les gens réagissent eux-mêmes. »

    Affaire à suivre

    Chargé du dossier, Me Ronan Garret, avocat au barreau de Quimper, indique d’ailleurs que plusieurs fautes auraient été commises dans l’affaire. Selon lui, « la direction n’a pas respecté la procédure de notation. Au vu des règles et des appréciations, les contractuels auraient dû recevoir une note au-dessus de la moyenne, à savoir 12,5. Dans le cas présent, on a à faire à une notation discriminatoire et vexatoire », déclare l’avocat. Affaire à suivre, donc.

    Alexandre HOGUIN.

    source: ouest-france.fr

     

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  • SNCF. Une enquête interne après le suicide d’un délégué syndical (OF.fr 14/03/2017) Le cheminot était entré en 1999 à la SNCF

    La SNCF a ouvert une enquête interne après le suicide d’un de ses délégués syndicaux qui accuse l’entreprise d’en être responsable.

    Une enquête interne a été lancée lundi à la SNCF trois jours après la mort d’un délégué du personnel du syndicat SUD-Rail, qui accuse l’entreprise d’être responsable de son suicide.

    Selon la SNCF, une enquête a été demandée par le Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) pour « déterminer s’il peut exister une relation entre les faits survenus et la relation au travail » du salarié, employé au service d’escale de la gare Saint-Lazare.

    Plusieurs années de conflit

    En arrêt maladie depuis juillet 2016, le cheminot décédé, responsable opérationnel des services à Saint-Lazare, âgé de 42 ans, était depuis plusieurs années en conflit avec sa hiérarchie.

    Il avait obtenu en 2012 aux prud’hommes la condamnation de la SNCF pour discrimination salariale et harcèlement. Ce jugement avait été confirmé en appel en 2015, et les dommages et intérêts alourdis, mais l’arrêt de la cour d’appel a été annulé par la Cour de cassation en septembre 2016.

    Depuis, le délégué était lui-même accusé de « harceler » des collègues, selon la SNCF, et avait pour cette raison écopé d’une mise à pied de 12 jours, dernier avertissement avant licenciement, suite à un conseil de discipline tenu en octobre. Il faisait également l’objet d’une procédure de mutation.

    Rassemblement devant la gare Saint Lazare

    Pour SUD-Rail, il s’agit d'« accusations fantaisistes » sur la base de « témoignages anonymes et non datés ». La SNCF précise que la procédure a été menée « sous couvert de confidentialité » par sa direction de l’éthique.Le syndicat dénonce un « acharnement de la direction » à l’encontre de son délégué, « victime de la répression syndicale ».

    Il appelle à un rassemblement mercredi à 10 h 30 devant la gare Saint-Lazare « pour rendre hommage et demander justice pour notre camarade Edouard ».

    « La direction de la SNCF doit prendre conscience que ses pressions managériales, les restructurations perpétuelles et la répression syndicale qu’elle mène depuis plusieurs dizaines de mois poussent à bout des agents », affirme le syndicat.

    Le cheminot, qui s’est selon SUD-Rail « jeté sous un train » sur son lieu de travail, dans la nuit de vendredi à samedi, était entré en 1999 à la SNCF avec une reconnaissance de statut de travailleur handicapé.

    source: ouest-france.fr

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  • Quimperlé. La CGT appelle à débrayer pour défendre la psychiatrie (LT-11/03/2017)La CGT appelle dans un communiqué : « les personnels à débrayer et à se mobiliser lors du prochain comité technique d'établissement, mercredi, à 14 h 30, pour dénoncer le manque de transparence et de concertation dans la décision de suppression de lits et de réorganisation au sein des services de psychiatrie et de psychogériatrie. Cette situation entraîne un sentiment de rejet et de mal-être chez les agents concernés ». La CGT demande « à la direction de définir une ligne de conduite ne laissant pas de place à une improvisation journalière proposée aux équipes par l'encadrement, ce que nous constatons actuellement, dans la gestion et les pressions misent sur les personnels de psychogériatrie et de psychiatrie (planning, repos, congés....) ». « Cette maltraitance institutionnelle des personnels est inacceptable au regard du travail et des responsabilités de ces professionnels ».

    source: letelegramme.fr
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  • Brest-Les syndicats de Thales ne décolèrent pas (LT 9/03/2017)Les organisations syndicales CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT et SUPper de Thales Brest dénoncent, dans un communiqué, la politique salariale « en chute libre depuis trois ans, alors que les résultats du groupe sont en augmentation constante ». Engagées depuis janvier sur ce sujet, les organisations syndicales appellent les salariés de Thales Brest à « amplifier le mouvement », lors de la journée nationale d'action programmée aujourd'hui.
     
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  • Brest. Les agents d'entretien des piscines ne désarment pas  (LT-9/03/2017)Les 20 agents d'entretien du réseau de piscines brestoises ont débrayé, hier midi, entraînant la fermeture des équipements, pendant deux heures.

    « Fermé pour grève ». Hier midi, les nageurs brestois ont trouvé ce mot sur les portes closes des piscines du réseau. En cause, la colère des agents d'entretien du service, qui ne bénéficient pas de la nouvelle bonification indiciaire (NBI) « accueil » en quartiers prioritaires, à Recouvrance. Résultat : les 20 agents d'entretien ont tous débrayé hier, après une rencontre infructueuse avec Marc Coatanéa, la veille. L'élu considère, en effet, que le service d'accueil n'est que complémentaire de leur mission. « Ces agents font chaque jour de l'accueil, c'est même inscrit dans leur fiche de poste. Ils s'occupent du public, des écoles, des assos... C'est la même chose pour les autres piscines du réseau, ou ils n'ont pas non plus la NBI accueil. La polyvalence a bon dos, car l'employeur ne la reconnaît pas », déplore Fabrice Bernard, secrétaire adjoint FO Brest métropole.
     
    Des fermetures ponctuelles
     
    « On a l'impression d'être rien du tout, méprisé », soufflait un agent de Recouvrance, hier. Elle aura l'occasion de le redire : le mouvement devrait être reconduit, dans les prochains jours, et engendrer des fermetures ponctuelles des piscines brestoises.

    source:  letelegramme.fr
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  • Robert Sylvestre, Marceline Sévérac (secrétaire générale du syndicat), Maguy Sylvestre, Hervé Le Gall, Gilbert Phelep (secrétaire USR29) et Daniel Édelin.Robert Sylvestre, Marceline Sévérac (secrétaire générale du syndicat), Maguy Sylvestre, Hervé Le Gall,  Gilbert Phelep (secrétaire USR29) et Daniel Édelin.

    L’union syndicale des retraités CGT du Finistère organise, jeudi 9 mars, au centre Gradlon, une réunion publique afin de procéder à une synthèse des besoins et des problèmes rencontrés par les retraités.

    Jeudi 9 mars, au centre Gradlon, l’union syndicale des retraités CGT du Finistère organise une réunion publique afin de procéder à une synthèse des besoins et des problèmes rencontrés par les retraités.

    Ces doléances auront vocation à être portées ensuite par l’union syndicale auprès des décideurs publics.

    Retraites, pensions, allocations, minima sociaux, etc.

    « Il ne faut pas laisser 30 % de la population se débrouiller toute seule, clame Daniel Édelin, retraité de la Sécurité sociale. Tous les sujets peuvent être évoqués : transports, logements, accès aux soins, mutuelles, etc. »

    L’USR29 publie par ailleurs un courrier trimestriel où sont répertoriés en détail les évolutions des retraites, des pensions, des allocations et des minima sociaux.

    Jeudi 9 mars, de 10 h à 12 h, centre Gradlon, impasse Jean-Quéré, à Pouldavid.

    source: ouest-france.fr

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    Quelque 300 salariés du secteur de la santé, du social et du médico-social ont participé, hier, à la journée nationale d'action, avec manifestation à Paris. À Quimper, une même mobilisation pouvait cacher deux rassemblements. À part deux ou trois écussons collés sur les coupe-vent de manifestants, la CGT a été la grande absente de la mobilisation quimpéroise, hier. Et pour cause, le syndicat appelait à un rassemblement départemental à Brest. C'est donc dans la préfecture du Finistère que la CFDT a organisé son rassemblement.
     
    CFDT d'un côté, Sud et FO de l'autre
     
    Dans ce contexte de désunion syndicale, Sud et Force Ouvrière ont, eux, finalement décidé d'appeler leurs troupes à se rassembler dans... les deux villes. Et, mis à part le partage d'une sono, le mot d'ordre n'a pas vraiment été au rassemblement. Une délégation de la CFDT avait demandé à être reçue en préfecture. Sud et FO ont fait la même démarche conjointe. Si la CFDT a bien été reçue, la demande de la deuxième délégation a, elle, été refusée pour une vague histoire de signature non conforme déposée sur un formulaire. Ce qui a engendré la colère de Jean-Paul Sénéchal, le secrétaire départemental de Sud-santé : « Nous n'avons pas été reçus pour une question de formalisme alors qu'il y a tant de difficultés et de détresse du personnel », a fustigé le syndicaliste du Centre hospitalier intercommunal de Cornouaille. La manifestation de la CFDT avait été précédée par une opération escargot menée depuis Briec par les militants brestois du syndicat. Une trentaine de véhicules est ainsi arrivée sur les quais à grands renforts de klaxons, peu avant 14 h. Le syndicat avait appelé l'ensemble de la profession à se mobiliser (hôpital, Ehpad publics, santé, sociale, médico-sociale, aides à domicile mais aussi salariés du privé : laboratoires, cliniques, cabinets médicaux).
     
    La fracture de la loi Travail et des GHT
     
    Deux mots d'ordre pour le syndicat. D'abord les conditions de travail, notamment dans les hôpitaux, les structures associatives et dans le secteur du handicap. Les salaires ensuite. « Ils n'ont pas augmenté depuis six ans. Pour la convention 66 (établissement pour personnes inadaptées et handicapées), il n'y a rien depuis 1995. Des gens sont en dessous du Smic », a indiqué Denis Théréné. « Nous avons eu 1 % dans le maintien à domicile il y a deux ans. Nous devions avoir 1 % cette année, nous n'avons rien. Beaucoup de femmes sont à temps partiel imposé, il y a beaucoup de travailleurs pauvres », a poursuivi Christine Jacq. Si la CFDT a fait bande à part hier, c'est parce qu'elle ne partage pas les critiques de Sud et de Force Ouvrière contre la loi Travail et les groupements hospitaliers de territoires (GHT) mis en place dans la loi de modernisation de la santé.
     
    « Contre la cure d'austérité du gouvernement »
     
    « Nous sommes ici pour la défense des services publics, contre les cures d'austérité du gouvernement, contre les pressions exercées sur le personnel de l'hôpital public et dans le médico-social », a énuméré Marc Guilloux, secrétaire du syndicat Sud à Gourmelen. « À Gourmelen, le turnover ne cesse d'augmenter. 18 % du personnel est contractuel (10% il y a 5 ans) : au bout d'un moment, ce n'est plus possible, on n'est plus sur du soin ». « Dans le privé à but non lucratif, nous avons perdu 20 % de pouvoir d'achat depuis vingt ans, nous n'avons aucune revalorisation de salaires depuis 2010 », a affirmé Hubert Donval, de Force Ouvrière, salarié de l'Hôtel-Dieu de Pont-l'Abbé. Son syndicat milite pour que le CITS, l'équivalent du CICE pour les associations, soit reversé intégralement pour les revalorisations de salaires. « Tous les personnels des services à la personne sont en détresse, que ce soit les Atsem (agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles), les agents sociaux qui livrent les repas à cause des baisses de budget ou les personnels des Ehpad. Nous avons peur qu'on dise que les agents soient maltraitants alors que ce sont les structures qui les maltraitent », pour Béatrice Colliou, des Territoriaux FO 29. Un représentant de l'Ordre des infirmiers, qui avait apporté son soutien à cette mobilisation du 7 mars, était également présent devant la préfecture.

    source: letelegramme.fr/
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  • Brest. Rassemblement pour la santé, le social et les services publics (OF.fr-7/03/2017)

    Ce mardi, vers 11 h, environ 500 personnes venues d’horizons professionnels divers se sont réunies place de la Liberté.

    Ce matin, le cortège de manifestants de l’hôpital de la Cavale-Blanche est peu étoffé. Mais, lors du grand rassemblement, prévu à 11 h, place de la Liberté, il y a davantage de monde ! Entre 300 et 500, selon les syndicats. Et même 600, selon la police.

    "Je suis là pour défendre l’hôpital. Il faut faire quelque chose. Ce n’est pas normal d’attendre quatre heures aux urgences. On voit bien qu’il y a un manque de personnels", affirme Pascal Le Roy, une Brestoise.

    Globalement, les manifestatnts dénoncent la dégradation de leurs conditions de travail et les réductions d'effectifs. Et souhaitent aussi que les questions sociales et de santé soient davantage présentes dans la campagne présidentielle.

    Des manifestants du CHU, mais aussi des cliniques privées Keraudren, Pasteur et Grand-Large, ainsi que des Amitiés d’Armor et de la maison de retraite A petits Pas (Guillers). "Nous avons les mêmes difficultés que dans le public", assurre Julie Massieur, CGT, de la clinique Keraudren.

    Les structures du social et médico-social sont aussi de la partie : Don Bosco, Energence, Agheb, etc.

    Sans oublier les collectivités et services publics, comme Brest Métropole, Pôle Emploi, EDF-GDF, le centre de tri.

     

    Les professionnels santé sociaux manifestent à Lorient (56)

    source: ouest-france.fr

     

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  • Deux militants CGT ont également été condamnés à 500 euros d'amende.Deux militants CGT ont également été condamnés à 500 euros d'amende

    Plusieurs syndicalistes ont été condamnés ce mardi pour des faits d'entrave à la circulation dans le cadre d'une manifestation contre la Loi travail. Les amendes vont de 500 à 1 000 euros.

    Ces militants étaient poursuivis pour organisation d'une « manifestation non déclarée au préalable en préfecture » et « délit d'entrave à la circulation ».

    De 500 à 1 000 euros

    Jugés en correctionnelle, quatre des six syndicalistes, de la CGT, de Force ouvrière et de Solidaires, ont été reconnus coupables d'entrave à la circulation et condamnés à 1 000 euros d'amende, a indiqué Jacky Wagner, secrétaire général de la CGT du Bas-Rhin.

    Deux autres militants de la CGT ont été condamnés à 500 euros d'amende. Le parquet avait requis jusqu'à 2 000 euros d'amende, sans réclamer de peine d'emprisonnement, ni d'inscription au casier judiciaire.

    Quelques dizaines de militants s'étaient rassemblés mardi matin à l'extérieur du palais de justice pour soutenir les « six de Haguenau », arborant chasubles et drapeaux syndicaux. 

    Un appel possible

    Les six prévenus - cinq hommes et une femme - étaient poursuivis pour avoir participé le 19 mai 2016 à un rassemblement non déclaré contre la loi El Khomri, dans le cadre d'une journée nationale contre la Loi travail.

    Ceux-ci avaient participé à un rassemblement de près de 200 personnes dans une zone industrielle de Haguenau, commune située au nord de Strasbourg. Ils avaient décidé d'occuper spontanément le carrefour d'une rocade de la commune pour distribuer des tracts aux automobilistes, bloquant la circulation.

    En marge de leur procès, le 17 janvier, Laurent Feisthauer, secrétaire de la CGT du Bas-Rhin, avait dénoncé une « volonté de criminaliser le fait de manifester », en rappelant que manifester fait partie des « libertés fondamentales ».

    La CGT du Bas-Rhin n'exclut pas de faire appel du jugement. « Nous allons analyser les retours et prendre les décisions dans les jours à venir », a commenté Jacky Wagner.

    source: http://www.ouest-france.fr/economie/emploi/droit-du-travail/loi-travail/loi-travail-six-syndicalistes-condamnes-apres-des-manifestations-4840850

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