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    À l'appel du syndicat CGT, une soixantaine de salariés bretons ont mené une action, hier, à la mi-journée, à Mûr-de-Bretagne (22), au pied du barrage de Guerlédan, devant la centrale EDF. Une opération qui s'inscrit dans le cadre des « Mardis de la colère », débutés le 14 février, à Saint-Brieuc. « On est là pour défendre nos emplois et le service public », a indiqué Stéphane Le Roux, secrétaire général du syndicat CGT Mines Énergies pour le Morbihan. « EDF a récemment annoncé 5.000 à 7.000 suppressions d'emplois en comité central d'entreprise, et la fermeture de 77 boutiques en France d'ici 2019. Ce qui signifie qu'il n'y aura plus d'accueil du public ». Autres revendications : une revalorisation annuelle des salaires et la création d'un pôle public de l'énergie, sous tutelle des pouvoirs publics, qui regrouperait les acteurs de l'énergie. À noter qu'une opération baptisée « Entreprises mortes », à l'initiative de cinq fédérations syndicales, devrait avoir lieu la semaine prochaine.
     
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  • Brest -Jean-Luc Mélenchon a rempli l'Arena (Côté Brest 1/03/2017)

    Le candidat de la France insoumise à l'élection présidentielle a fait le plein pour son meeting brestois. Il a développé des thèmes chers aux bretons comme l'agriculture et la mer.

    Beau succès à Brest pour le meeeting de Jean-Luc Mélenchon à l’Arena, mardi 28 février 2017. Le candidat de La France Insoumise pour l’élection présidentielle a rassemblé 3500 personnes dans la salle et un peu plus de 500 dans le hall. Quand d’autres n’ont pas pu y accéder.

    Dans son discours, Jean-Luc Mélenchon a notamment évoqué des thèmes chers aux Brestons comme :

    - l’agriculture, pour fustiger le productivisme et promouvoir le bio et l’ «harmonie avec la nature» ;

    - l’aéroport de Notre-Dame des Landes, «Avec moi c’est fini !» a-t-il prévenu ;

    - la mer qu’il souhaite mettre au cœur de son plan de relance économique et écologique en misant par exemple sur les énergies marines renouvelables et la production d’algues. Jean-Luc Mélenchon avance que 300 000 emplois pourraient être créés à l’avenir grâce à la mer.

    Le meeting en vidéo

     

    140 Boulevard de Plymouth, 29200 Brest, France
     
    Martine De Saintjan  
    source : cotebrest.fr
     
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  • Salaires à Air France. Les syndicats appellent à la grève le 7 mars (OF.fr-28/02/2017)

    Les syndicats d' Air France appellent à la grève le 7 mars 2017.

    Plusieurs syndicats d’Air France, essentiellement au sol, appellent à la grève le 7 mars pour « peser sur les négociations salariales », alors que la compagnie tente de mettre fin à une polémique sur la rémunération de ses dirigeants.

    Les négociations salariales annuelles s’ouvrent le 7 mars chez Air France dans un contexte troublé par le cafouillage lié à la rémunération du comité exécutif. La direction avait d’abord évoqué en comité central d’entreprise (CCE) une hausse de 67 % puis 41 % en 2016, avant de revoir le montant à la baisse (17,6 %).

    La CGT, FO, SUD et Alter, syndicat minoritaire du personnel navigant technique, appellent à la grève, ainsi que l’Unsa-Aérien à la maintenance, ont fait savoir leurs représentants.

    Une intersyndicale est prévue mardi à 14 h à Roissy pour « définir les modalités » de la grève, selon Sud et FO. La CFDT se décidera à l’issue de la réunion.

    Les syndicats des personnels navigants, pilotes et hôtesses et stewards (Spaf et Unac), n’appellent pas à la grève. Le SNPNC sera cependant présent aux rassemblements organisés le 7 mars.

    Incompréhension des salariés

    Dans une lettre ouverte aux salariés, le directeur général d’Air France a tenté mardi de répondre à « cette émotion légitime » née d’une « grossière erreur de calcul et de présentation ».

    Sur les 17,6 % d’augmentation des dirigeants, « 12 % proviennent d’une modification de la taille et de la structure du Comité Exécutif : ses membres ont été plus nombreux et plus "senior" en 2016 qu’en 2015 », justifie Franck Terner. « Les 5,6 % restants correspondent pour l’essentiel à l’augmentation des parts variables liée à l’amélioration des résultats » financiers, dit-il.

    Les syndicats en colère

    « Les dirigeants pensent-ils qu’une enveloppe même réduite à 4 millions d’euros et répartie sur 14 salariés ne suscite pas la même indignation et la même colère ? », s’interroge FO dans un tract.

    La CGT de son côté rappelle que les « salaires de base (sont) bloqués depuis 2012 » et demande à la direction de redistribuer les bénéfices enregistrés par Air France en 2016 « de manière équitable » entre tous les salariés.

     

    source: ouest-france.fr

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  • Quimper-Débrayage au Chic: piquée au vif, la direction réagit  (LT.fr 25/02/2017)Au lendemain du débrayage survenu au centre hospitalier de Cornouaille à l'appel de Sud Santé (notre édition d'hier), la direction du Chic a tenu à faire cette précision : « À l'occasion du mouvement du 23 février, la direction des ressources humaines a recensé 18 grévistes (ils étaient bien plus, rassemblés dans le hall, NDLR) pour une heure et a maintenu en poste onze professionnels pour la continuité du service. Pour mémoire, le Centre hospitalier de Cornouaille compte, au total, 70 unités de soins et 3.050 personnels ».
     
    « Le Chic a créé 35 postes »
     
    « Ce mouvement à l'appel d'une organisation syndicale concernait quatre services dont les situations sont très différentes et pour lesquelles des travaux sont en cours, portés par les médecins et les personnels soignants eux-mêmes. La direction n'a pas attendu pour mobiliser de façon positive le personnel. Ainsi, le travail concernant les quatre services a mobilisé plus de 120 participants au cours de six réunions depuis janvier 2017. En outre, des réunions relatives au dispositif des sorties le matin pour favoriser la fluidité des parcours sont prévues les 27 et 28 février : 150 médecins responsables d'unité médicale et des cadres de santé y sont conviés. À cet égard, les unités de soins du Chic bénéficient d'un renfort de bionettoyage pour soulager les soignants auprès des patients et favoriser la sortie de ces derniers dans les meilleures conditions et les meilleurs délais. Le nombre de patients pris en charge dans le service de la médecine post-Urgence a été diminué, soulageant, de fait, les soignants de ce service dont l'effectif a été maintenu. Il n'est pas envisagé de renforcer la médecine gériatrique au détriment, comme annoncé, de l'hospitalisation de jour pour les personnes âgées. Depuis 2009, il faut rappeler que le Chic a créé 35 postes médicaux et renforcé les effectifs soignants d'une soixantaine d'emplois supplémentaires, ce qui constitue une consolidation sans précédent de l'encadrement médical et soignant des patients. Sans nier la complexité des prises en charge et des organisations qui nécessitent un travail constant, le Centre hospitalier de Cornouaille continue d'assurer avec l'ensemble de son personnel ses missions de service public ».

    source: letelegramme.fr
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  • Syndicat CGT multiprofessionnel des retra ités-(LT.fr 24/02/2017) 

    René Briand, Claude Barré, Christine Maicas, Daniel Edelin du syndicat des retraités CGT multiprofessionnels.

     
    Dans l'organisation de la CGT des retraités, le syndicat multiprofessionnels est celui qui regroupe les retraités isolés, n'ayant pas disposé de section dans leurs entreprises ou administrations lorsqu'ils étaient en activité. À Quimper, ce syndicat (36 adhérents, dix de plus en un an) tiendra son assemblée générale mardi.
     
    « Stop au système de dénigrement »
     
    « On dit de plus en plus que les retraités sont des nantis de la société française mais beaucoup ont les minima sociaux. On essaie d'opposer les actifs et les retraités, c'est un système de dénigrement », réagit Claude Barré. « Les pensions sont bloquées depuis quatre ans mais les futurs retraités filent, eux, vers une baisse des pensions », ajoute-t-il. Parmi les principales préoccupations du syndicat, le pouvoir d'achat donc, avec la revendication d'un minimum garanti équivalent au Smic, la santé, les places en Ehpad avec « le manque de personnels, alors que le conseil départemental vient d'augmenter les prix », le logement, les transports et l'accès à la culture. Pratique Assemblée générale mardi, à 14 h 30, à l'union locale CGT, à l'angle du 39, rue de Douarnenez. Ouvert aux non syndiqués.

    source:   letelegramme.fr
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  • Centre hpspitalier de Cornouaille. Débrayage très suivi dans quatre services  (LT.fr 24/02/2017) Les personnels de quatre services se sont mobilisés, hier après-midi. Manque de lit, de postes... Ils reprochent à la direction « d'être à côté de la plaque ».

    Les personnels de quatre services se sont mobilisés, hier après-midi. Manque de lit, de postes... Ils reprochent à la direction « d'être à côté de la plaque ». La majeure partie des personnels de médecine post-Urgences (MPU), de médecine gériatrique, des Urgences et du bloc opératoire ont débrayé une heure, hier après-midi, dans le hall du centre hospitalier de Cornouaille. À l'appel de Sud Santé, ils protestent contre leurs conditions de travail « de plus en plus tendues ». Le mouvement sera reconduit jeudi prochain, cette fois devant le bâtiment administratif.

    « Trop, c'est trop ! »

    « Bravo la direction ! » Sarcasmes et applaudissements ironiques ont ponctué la fin du rassemblement. Cet humour au second degré ne fait pas redescendre la colère qui gronde dans les quatre services sus-nommés de l'hôpital. Elle était apparue lors de l'assemblée générale du 16 février. « Trop c'est trop ! Ce n'est plus supportable de voir des brancards dans les couloirs des Urgences faute de lits de dégagement. Non, il ne faut plus fermer de lits pendant les congés scolaires pour faire des économies. Non, il ne faut pas déprogrammer les interventions chirurgicales en cas de pic d'activité », peut-on lire sur le tract distribué par Sud Santé.

    « La pression est très forte »

    Les prises de parole ont été du même tonneau. Tous reprochent à la direction de « tout le temps mettre un emplâtre sur une jambe de bois quand il y a un problème ». Une aide-soignante prend la parole : « On s'est battu pour avoir un poste supplémentaire. Nous l'avons obtenu, mais la personne est trois heures dans le service ! Et dès qu'il y a un arrêt de travail, c'est elle qui supplée ! C'est commode, comme ça la direction n'a besoin de rappeler personne ! » Même doléance de la part d'un soignant de médecine post-urgences (MPU) : « Nous, on demande une aide-soignante supplémentaire pour nous aider le midi et en fin de journée. Et tout ce que la direction a trouvé à nous donner, c'est un agent qui fera le ménage dans tout l'hôpital ! C'est à côté de la plaque. Les patients en MPU sont des profils assez lourds. Quand il faut les accueillir le matin alors qu'on est encore dans les repas et les toilettes, c'est ingérable. La chambre est prête, mais c'est tout ! Tout le monde se retrouve dans l'incapacité de faire du bon travail ». Une soignante du service gériatrique abonde : « Idem pour nous. Nous ne sommes que trois soignants pour 24 patients, dont 22 sont alités. La pression est très forte ». Les grévistes ont voté à l'unanimité la reconduction du débrayage pour jeudi prochain, cette fois devant le bâtiment de la direction, dont Sud s'étonne du silence. « On espère qu'ils seront là jeudi pour ouvrir les discussions afin d'éviter la grève ».

    Thierry CHARPENTIER

    source: letelegramme.fr/

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