• Les salariés des centres d'action sociale de Carhaix et de Châteauneuf dénoncent la réorganisation des pôles de direction.Les salariés des centres d'action sociale de Carhaix et de Châteauneuf dénoncent la réorganisation des pôles de direction.

    Le personnel du Centre départemental d’action sociale de Carhaix (Finistère) s’est mis en grève ce vendredi matin. Une mobilisation pour dénoncer le plan de restructuration des directions territoriales. Selon la CGT le redécoupage met à mal le personnel médico-social et les bénéficiaires de l’accompagnement.

    Une trentaine de femmes tiennent le piquet de grève devant le Centre départemental d’action sociale de Carhaix (CDAS) (Finistère). Les salariés de Carhaix et de Châteauneuf-du-Faou dénoncent la surcharge de travail dans le suivi des dossiers et le manque de personnel pour venir en aide aux enfants et aux personnes âgées.

    Du retard dans le traitement des dossiers

    Depuis le 1er janvier 2017, les sept territoires d’action sociale ont été réorganisés en trois pôles de direction (Morlaix COB, Brest et Quimper Cornouaille). Le centre de Carhaix est rattaché à la direction de Morlaix COB. 

    « Le personnel doit maintenant s’occuper des dossiers de l'ancienne communauté de communes du Yeun Elez. Les délais de traitement sont rallongés et nous n’avons pas de moyens humains supplémentaires », répond l’éducatrice spécialisée et cégétiste Monique Courtois. « Les retards peuvent atteindre un mois. »

    Une équipe gruyère

    Selon la CGT, l’antenne de Châteauneuf-du-Faou est aussi mise à mal. La secrétaire doit assurer l’accueil des usagers entre Carhaix et Châteauneuf. La permanence n’est plus en continue. « Nous sommes une équipe gruyère », illustre Pascale Riec, secrétaire au CDAS de Carhaix.

    source: ouest-france.fr

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  • Pour cause de grève, il n'y aura pas de vols Hop ! ce vendredi 7 avril à l'aéroport de Brest-BretagnePour cause de grève, il n'y aura pas de vols Hop ! ce vendredi 7 avril à l'aéroport de Brest-Bretagne

    par Sabine NICLOT-BARON.

    Trois syndicats du personnel de la compagnie aérienne Hop ! Air France (syndicats de personnel au sol, d’hôtesses de l’air et de stewards) appellent à la grève les vendredi 7 et samedi 8 avril. Cela aura un impact direct à l’aéroport de Brest-Bretagne, vendredi 7 avril, où tous les vols Hop ! pour Lyon et Paris sont annulés. La grève doit se poursuivre aussi samedi 8 avril.

    Les syndicats CGT, CFDT et Unsa dénoncent ce qu’ils appellent « l’échec de la fusion entre Airlinair, Britair et Regional ». Ils reprochent à la direction de tenter d’imposer des « accords collectifs low-cost en détruisant les garanties sociales et salariales », au lieu « d’harmoniser les conventions des salariés de Hop !, Lyon Maintenance, Hop Training, Airlinair, Brit’Air et de Regional ».

    Les syndicats estiment l’avenir de la compagnie menacé.

    Tous les vols Hop ! annulés

    Même si la compagnie aérienne prévoit d’assurer 85 % des vols prévus ce vendredi, premier jour de grève, l’aéroport de Brest-Bretagne est particulièrement impacté, avec 100 % des vols annulés.

    Les vols de 6 h 35, 13 h 20 et 17 h 45 vers Lyon sont annulés ainsi que le vol pour Paris-Orly de 17 h 10.

    Les vols en provenance de Lyon, à 10 h 15, 17 h 05 et 21 h 30, sont eux-aussi annulés, tout comme celui de 16 h 15, en provenance de Paris-Orly.

    Les annulations de vols du samedi 8 avril seront annoncées vendredi, dans la journée. La compagnie invite à se rapprocher des services de réservation Hop ! et Air France pour échanger gratuitement ses billets.

    Pour les Brestois, cette grève arrive au plus mauvais moment, juste au début des vacances scolaires de Pâques. Mais elle fait déjà un gagnant : Easyjet. La compagnie low-cost britannique assurera normalement son vol direct pour Lyon, ce vendredi.

    Sans surprise, il est déjà complet dans les deux sens…

    source: ouest-france.fr

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  • L'avenir du bureau de La Poste de la commune est bien sombre. Les élus appellent à une mobilisation le samedi 8

    Refusant la fermeture programmée du bureau de La Poste, à l'été, les élus lancent une pétition et appellent à un rassemblement.

    La fermeture du bureau communal de La Poste, annoncée en conseil municipal le 23 mars, entraîne une vive réaction de l'ensemble des élus du conseil municipal : « Nous lançons, dès aujourd'hui une pétition, en mairie, relaie Pascal Prigent, adjoint en charge du dossier. La population est invitée à venir la signer, et ce jusqu'au 30 avril. »

    Le conseil invite tous les usagers du service à une manifestation devant La Poste, le samedi 8, à 10 h. « Nous remettrons le texte de la pétition au personnel présent », poursuit Pascal Prigent. Les élus de Pont-de-Buis, chef-lieu de canton de 4 000 habitants, demandent « avec force, le maintien du service actuel de La Poste ».

    Un projet planifié en plusieurs étapes, dénonce l'élu.

    Depuis 2011

    2011 a marqué la première étape du plan de la restructuration : ouverture réduite à cinq matinées par semaine. « Très vite, des fermetures inopinées et cavalières ont fragilisé un service déjà très réduit. »

    Une pétition de 4 000 signatures et une manifestation importante n'ont pas infléchi la tendance. « Bien au contraire, poursuit l'élu. La Poste a poursuivi et conforté l'érosion du service, le rendant moins accessible et peu attractif à l'usager. »

    En 2016, nouvelle étape avec le départ des facteurs et du courrier à Pleyben. « Un déménagement effectué dans des conditions inacceptables pour le personnel. »

    Aujourd'hui, étape ultime de ce plan, la fermeture du bureau actée dans deux mois. « La Poste se repose sur la municipalité pour pérenniser le service. Après la perte de la délivrance par la commune des cartes nationales d'identité, c'est un nouveau coup dur porté aux services publics de proximité. »

    Samedi 8, à 10 h, rendez-vous devant la mairie pour la manifestation.

    source: ouest-france 5/04/2017

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  • CGT Centre Hospitalier du Pays de Morlaix : « Nous irons au tribunal s'il le faut » (OF-5/04/2017)

    « C'est un plan social qui ne dit pas son nom, explique la CGT du centre hospitalier du Pays de Morlaix (CHPM). Il y a des suppressions de postes, de lits... Des contractuels qui ne sont pas renouvelés. La direction se plaint d'un problème de recrutement mais il faudrait s'interroger sur les conditions de travail et l'attractivité. Nous irons au tribunal dès qu'on pourra, à chaque fois qu'il y aura atteinte aux droits. Nous pouvons le faire, on l'a déjà fait et on le refera, la direction est prévenue. »

    C'est hier que se tenait le congrès du syndicat. Le bureau de la commission exécutive, autrement dit l'organisme directeur, a été élu : Christophe Boudrot, secrétaire ; Julie Hamon, secrétaire adjointe ; Jocelyne Urpin, secrétaire à la politique financière ; Annick Le Guern, adjointe à la politique financière ; Eric Philipponneau, secrétaire à l'organisation ; David de Peru, adjoint à l'organisation ; Françoise Morvan, secrétaire à la communication ; Madenn Gruat, adjointe à la communication.

    source: ouest-france 5/04/2017

     

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  • Finistère-FO finances publiques contre les fermetures (OF 5/04/2017)Eric Herry à gauche, Florence Javelot, secrétaire générale adjointe nationale et William Thubert, élu national, au Vieux-Bourg de Chateaulin.

    Lors de son assemblée générale, hier mardi, au Vieux-Bourg à Châteaulin, le syndicat majoritaire dans les Finances publiques s'est élevé contre les diminutions d'emplois, « 30 par an depuis 2009, selon Éric Guerry, secrétaire départemental FO 29. En 10 ans, plus d'une dizaine de trésoreries ont fermé. Un nouveau plan de réduction d'horaires est en marche, notamment à Brest-Duquesne, deux après-midi par semaine. »

    Pour Force Ouvrière, « Internet n'est pas accessible à tous, surtout les sites des impôts. Cela pénalise les populations fragilisées. » FO a participé avec les autres syndicats au boycott du comité technique le 3 janvier, mais pas en mars. « Nous ne sommes pas pour un boycott systématique. Il faut se confronter à la direction, qu'elle sache ce que l'on pense. » Dans le département, 1200 agents travaillent aux finances publiques.

    source: ouest-france 5/04/2017

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  • Résultats électoraux dans le privé : Plus que jamais c'est le syndicalisme de classe et de lutte  qu'il faut renforcer !  (FSC.fr-1/04/2017)

    Les médias annoncent à grand renfort de superlatifs et d'insistance -et ce n'est sans doute qu'un début- que la CFDT est devenue le premier syndicat du pays devant la CGT : renversement historique, victoire, choc, changement démocratique , séisme, chute finale… les mots manquent à la presse aux ordres pour se réjouir.

    Pourtant, sur près de 6 millions de suffrages, moins de 80.000 voix séparent les 2 confédérations.
    Sur les suffrages exprimés, soit plus de 60 % du corps électoral concerné la CFDT obtient 26, 38 % et la CGT 24, 86.
    En 2013 les scores respectifs étaient de 26 % contre 26,77 % pour la CGT.

    L'écart demeure donc faible et sur le total cumulé public/privé la CGT est toujours en tête comme dans les Très Petites Entreprises récemment.

    Cette inversion du rapport de force dans le secteur privé et les grandes entreprises étaient annoncée et souhaitée de manière répétitive et lancinante depuis longtemps, par tous les médias au service de la collaboration de classe tel Les Echos, le Monde, Libération et tout l'establishment de droite et PS, gouvernement Valls/Hollande/El Khomri en tête.
    Ils vont donc utiliser en grand ce résultat pour prétendre que les travailleurs ont fait le choix de la collaboration de classe, du dialogue social, de l'esprit de compromis pour ne pas dire de compromission !

    Et tenter ainsi de peser sur les orientations de la CGT elle même en faveur des forces réformistes internes en prétendant que c'est ce qui demeure de sa culture de combat qui est responsable de ces résultats.
    Il s'agit donc de créer l'événement par un matraquage médiatique à des fins proprement politiques afin d'aller beaucoup plus loin encore dans un processus de « pacification sociale » et d'imposer la domination d'un syndicalisme de renoncement !

    Cela ne doit pas nous empêcher de nous interroger sur les résultats en recul de la CGT, surtout quand on les compare à ce qu'ils pouvaient être il y a 30 ou 40 ans où la CGT représentait en gros la moitié des suffrages.

    Quelles causes au recul de la CGT dans le privé?

    Philippe Martinez dans sa réaction attribue ce recul principalement à un déficit d'implantation en soulignant par ailleurs avec juste raison que les commentateurs ne devraient pas en tirer trop vite la conclusion d'une prise de distance avec l'attitude combative de la CGT durant le conflit contre la loi El Khomri.

    Les résultats électoraux récents chez RTE comme l'échec du scandaleux referendum du personnel déclenché par la CFDT et la CFE-CGC en attestent.

    Mais incontestablement, d'autres éléments doivent être pris en compte sur le long et moyen terme comme la politique de désindustrialisation massive, la destruction de pans entiers de l'économie comme le textile, la sidérurgie, la disparition de lieux de rassemblement importants de travailleurs où la CGT avait une forte influence, enfin, la politique d'intimidation, de répression et de discrimination à l'encontre des militants mise en œuvre par le MEDEF et qui a connu une accélération ces derniers temps sous le pouvoir PS.

    Néanmoins, d'autres évolutions de fond sont en jeu. En particulier, les réorientations imprimées ces 20 dernières années par Louis Viannet et amplifiées par Bernard Thibault ne peuvent être ignorées.

    L'adhésion à la CES, l'insertion dans le dialogue social, le syndicalisme rassemblé et les rapports privilégiés avec la CFDT à contrario des traits historiques qui marquent en profondeur le syndicalisme CGT ont affaibli la capacité d'intervention et de conviction de l'organisation. Et désorienté plus d'un militant !

    Cela dans une période marquée par l'aggravation de la crise du capitalisme, l'incapacité à distribuer quelque grain à moudre que ce soit et la remise en cause de tous les conquis issus de la Libération.

    Pour une organisation syndicale se réclamant du syndicalisme de classe et de masse, en charge de la double besogne du mouvement d'émancipation des travailleurs la recherche de l'unité ne peut se faire que sur la base des revendications des travailleurs et de leurs intérêts et pas au prix de l'affadissement de son programme et de ses objectifs.

    Et plus que jamais dans la profonde crise que nous traversons, l'indispensable travail syndical quotidien au plus près des intérêts et des aspirations des travailleurs dans leur diversité ne peut être séparé de la lutte pour un changement radical de société.

    Car comment séparer par exemple, la lutte contre la loi travail, la lutte contre le dumping social, les délocalisations de la lutte contre la construction européenne et ses traités qui organisent la mise en concurrence systématique des travailleurs, l'écrasement des salaires, la désindustrialisation … ?

    A un moment où de plus en plus de salariés et les classes populaires se montrent extrêmement critiques à l'égard de l'UE, cessons d'entretenir la mortelle illusion d'une Europe social.

    Laissons résolument à la CFDT l'abandon de la lutte et l'approbation du MEDEF !C'est en défendant l'intérêt réel des travailleurs, l'intérêt de classe, en liant la défense quotidienne des conquis et la lutte pour le changement de société que la CGT a été la plus puissante et la plus utile à la classe ouvrière. 

    Aujourd'hui comme hier, plus que jamais donc tout doit être mis en œuvre pour renforcer la CGT et son influence chez les travailleurs, les précaires, les sans emploi en s'appuyant sur la combativité de nombreuses bases syndicales pour mettre à nouveau en cohérence son rôle historique largement reconnu et ses pratiques et orientations. 

    Le Front Syndical de Classe, 1er avril 2017

     

     

    Nombre de salariés inscrits

    13.244.736

    Nombre de votants

    5.664.031

    Nombre de suffrages valablement exprimés

    5.243.128

    Taux de participation

    42,76 %

    REPRÉSENTATIVITÉ SYNDICALE

    Le communiqué de la CGT

    Résultats électoraux dans le privé : Plus que jamais c'est le syndicalisme de classe et de lutte  qu'il faut renforcer !  (FSC.fr-1/04/2017)

    Le cycle électoral de 4 années destiné à mesurer la représentativité des organisations syndicales dans les entreprises de plus de 10 salariés, s’est achevé au 31 décembre 2016.

    Ces résultats agrégés au scrutin concernant les salariés des TPE établissent la représentativité des organisations syndicales pour les salariés du privé sur la période de janvier 2013 à décembre 2016.

    Le Haut Conseil du Dialogue Social vient d’en communiquer les résultats.

    Dans les entreprises dotées d’Institution Représentative du Personnel (IRP), 4 923 083 millions ont eu l’occasion de se prononcer au moins une fois sur une ou plusieurs listes présentées par des syndicats, soit près de 60% des salariés.

    Démonstration est faite que quand une élection est organisée dans des conditions normales, avec à la clé de véritables lieux de représentations des salariés, les salariés se mobilisent, ce qui ne fut pas le cas pour le scrutin TPE.

    En agrégeant les résultats des élections TPE et de l’ensemble des IRP, la CGT recueille 1 304 312 voix, soit 24,86 %.

    La CGT arrive en seconde position dans le secteur privé.

    Première organisation dans les TPE et première organisation auprès des 5 millions d’agents de la fonction publique, la CGT demeure première organisation sur l’ensemble du salariat du secteur privé et de la fonction publique avec une audience de 24,27%.

    Quand la CGT est présente à une élection elle enregistre le plus souvent de meilleurs résultats que ses homologues syndicaux. Cela ne suffit pas à compenser un écart de 500 000 électeurs avec la CFDT et les reculs électoraux dans quelques grandes entreprises.

    La CGT ne peut se satisfaire de ce résultat.

    C’est d’un déficit de présence auprès de l’ensemble du salariat auxquelles la CGT est confrontée pour prétendre demeurer être la première organisation syndicale du secteur privé.

    Tirant analyse de ces résultats, la CGT aura à cœur de mieux représenter les salariés dans leurs diversités.

    C’est une invitation pour toute la CGT à être encore plus présente, plus accessible, auprès de tout le salariat, toutes les catégories sociales du salariat.

    Montreuil, le 31 mars 2017

     

     

     

     

     

     

     







     

     

     



     

     

     

     

     

     

     

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  • SOUTIEN À NOTRE CAMARADE ELIE DOMOTA

    Le 33ème Congrès de l’Union Locale de la Région Dieppoise réuni les 14 et 15 mars affirme sa solidarité avec Elie Domota, secrétaire de l’Union Générale des Travailleurs de Guadeloupe face à la répression déclenchée contre lui et les syndicalistes de Guadeloupe.

    (Notre camarade Elie Domota passera en procès au tribunal de Pointe à Pitre le 31 mai 2017, suite à une plante du patronat de BMW, l’accusant de « violence en réunion », ceci au moment où le patron de BMW licencie toute la section syndicale, sans autorisation de l’Inspecteur du travail).

    Le Congrès décide à l’unanimité d’envoyer le message suivant :

     

    A Monsieur Jean-Jacques Urvoas, Ministre de la Justice,

    Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, 13 place Vendôme, 75 042 Paris Cedex.

    A Monsieur le Procureur du Tribunal de Pointe à Pitre,

    Nous demandons l’abandon de la procédure infondée contre Elie Domota, secrétaire général de l’UGTG, convoqué au Tribunal suite à sa défense des salariés de Guadeloupe victime de l’injustice patronale.

     

    L’Union locale de la Région dieppoise

    Copie sera envoyée à nos camarades de l’UGTG (rue Paul Lacave – Assainissement – 97110 Pointe à Pitre, ugtg@wanadoo.fr)

    source: cgt-dieppe.fr

     

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  • Quimper-Débrayage au centre départemental de l'enfance (OF-1/04/2017)Une soixantaine d'agents du centre départemental de l'enfance et de la famille devant le siège à Quimper, vendredi après-midi.

    La mission des quelque 200 agents du centre départemental de l'enfance et de la famille est la protection de l'enfance. Vendredi, une heure avant le comité technique paritaire, une soixantaine d'agents, qui appartiennent à la fonction publique hospitalière, ont débrayé, à l'appel des deux syndicats représentés : la CGT et la CDFT. Les représentants syndicaux ont d'ailleurs décidé de ne pas siéger au comité : « Nous dénonçons l'absence de dialogue social, expliquent Nathalie Perrot, secrétaire générale de la CGT et Sandrine Kerberenes, de la CFDT. Nous demandons l'ouverture d'un espace de négociation. » Ces agents, qui travaillent sur cinq sites, à Quimper, Saint-Martin-des-Champs et Brest, dénoncent un « management vertical » mais aussi des « procédures de consultation non respectées » ainsi qu'un « manque de reconnaissance ».

    ouest-france 1/04/2017

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  • Alors que le peuple de Guyane se soulève pour défendre pacifiquement et démocratiquement ses droits, dénonçant le système d'exploitation capitaliste qui plonge le département dans la misère et le sous développement, la censure frappe dans les médias du système les travailleurs en lutte. Nos amis de C'est l'Heure de l'Mettre sur Radio Campus Lille ont pu donner la parole à l'Union des Travailleurs Guyanais, le syndicat des travailleurs en Guyane le 29 mars 2017. Une interview à écouter et partager pour multiplier partout le soutien tous ensemble et en même temps aux travailleurs en lutte.

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  •  Rassemblés pour défendre leur pouvoir d'achat, 500 retraités rassemblés ce jeudi matin à Quimper.Rassemblés pour défendre leur pouvoir d'achat, 500 retraités rassemblés ce jeudi matin à Quimper.

     

    Plusieurs organisations syndicales et associations appellent les retraités à manifester ce jeudi. A Quimper (Finistère), ils étaient 500 environ.

    Un rassemblement place de la Résistance, avec casse-croûte, deux rendez-vous, l'un à la préfecture, l'autre au conseil départemental, les retraités finistériens se sont rassemblés jeudi matin à Quimper (Finistère).

    De tout le département

    CGT, FSU, Solidaires et deux associations (FGRFP et LSR) ont appelé à cette mobilisation départementale. Les manifestants venaient de Brest, Morlaix, Quimperlé et Quimper.

    Mobilisation modeste

    La mobilisation a été modeste. Environ 500 personnes ont brièvement défilé sur les quais quimpérois

    source: ouest-france.fr

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