• Nouvelle grève chez Bibus samedi prochain (OF.fr- 18/12/2016)

    Un mouvement de grève a perturbé le trafic des bus et tramways, ce samedi. Il sera reconduit le 24 décembre.

    Réunis en assemblée générale hier matin, 70 salariés de Keolis (sur les 72 présents) ont décidé la poursuite de leur mouvement de grève, pour samedi prochain.

    Ce samedi, déjà, le trafic a été fortement perturbé puisque 86 % des 365 chauffeurs de bus devant travailler ont pris part au mouvement de grève. « Cela représente 63,6 % du total des salariés de l'entreprise », nuance Jean-Luc Bouhadana, directeur de Kéolis, qui gère le réseau Bibus.

    « Pour la première fois depuis des années, on a réussi à faire rouler des bus un jour de grève, se félicite toutefois ce dernier. Il y a des conducteurs qui ont pris conscience des services qu'ils devaient offrir. »

    Revendications salariales

    Les revendications de la CFDT, à l'origine de la grève, sont d'ordre salariales. Le syndicat reproche à la direction de Keolis d'avoir attribué huit points supplémentaires à l'ensemble des 18 régulateurs (personne qui travaille dans les postes de commandement) de l'entreprise.

    « On n'est pas contre ces huit points, mais on n'est pas d'accord sur la forme, expliquait il y a quelques jours Luc Daniel, délégué CFDT (Ouest-France du 1er décembre). Les négociations salariales doivent se faire avec les partenaires sociaux. S'il y a une augmentation, tous les salariés doivent en bénéficier. »

    « Les décisions que j'ai prises allaient dans le sens d'une revalorisation salariale et de la responsabilité. Pour moi, ce mouvement est incompréhensible », réagit Jean-Luc Bouhadana.

    Il ne comprend donc pas non plus le mouvement prévu le samedi 24, veille de Noël. « J'espère qu'on arrivera à avoir suffisamment de chauffeurs pour qu'on puisse assurer un service. »

    Mickaël LOUÉDEC.

    source: ouest-france.fr

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  • Quimper. La CGT Métallurgie revendique un statut unique du salarié (OF.fr-16/12/2016)Daniel Pico, délégué syndical et Laurent Le Godec, animateur région Bretagne pour la métallurgie, défendent une convention nationale harmonisée vers le haut.

    Depuis septembre, une négociation est ouverte entre la CGT Métallurgie et l’Union des industries et des métiers de la métallurgie (IUMM). Ils ont 18 mois pour trouver un accord. Le syndicat souhaite la fin des conventions collectives territoriales qui creusent les écarts salariaux et sociaux entre les salariés. A Quimper, les métallos de Cummins veulent une convention nationale harmonisée vers le haut.

    La CGT Métallurgie de Cummins, entreprise de Quimper, rejette les conventions collectives territoriales, sources d’inégalité entre les salariés des différents départements et régions. Depuis septembre, les négociations sont ouvertes pour 18 mois afin de rédiger une convention unique.

    Rémunération, couverture sociale...

    La campagne nationale du syndicat sensibilise les salariés sur des conditions de rémunération, de couverture sociale et sur une jeunesse démotivée. Le manque d’attractivité est conforté par le peu d’évolution de carrière, le manque de formation et le départ des aînés qui ne peuvent pas transmettre leur savoir.

    source: ouest-france.fr

    A lire également: Métallurgie-Tour de chauffe de la CGT-par Ronan LARVOR (Le Télégramme du 17/12/2006-Edition de Quimper)

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  • Poullaouen. Le dossier Marine-Harvest aux Prud’hommes mercredi  (OF.fr 16/12/2016)

    En 2013, Marine-Harvest, l'entreprise de découpe de saumon de Poullaouen cessait ses activités. L'affaire, qui compte 109 dossiers, sera plaidée devant le conseil des prud'hommes, à Brest, mercredi.

    Le dossier de Marine-Harvest, l’ancienne entreprise de découpe de saumon de Poullaouen, près de Carhaix (Finistère), sera plaidé au conseil des prud’hommes mercredi 21 décembre, à 14 h, à Brest.

    109 dossiers

    Pour des raisons de place l’audience se déroulera dans la salle du tribunal correctionnel. En effet, l’avocat des anciens salariés de l’usine, Me Potin, est en charge de 109 dossiers.

    Les anciens salariés contestent le motif économique des licenciements. Malgré un mouvement social d’ampleur, l’entreprise, n° 1 mondial du saumon, avait décidé de cesser toute production sur son site de Poullaouen à partir de 2013.

    source: ouest-france.fr

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    Le tribunal de commerce de Brest a étudié les trois offres de reprise de Tilly-Sabco, basé à Guerlesquin. Il a finalement décidé de retenir l’offre néerlandaise, celle de Wegdam qui concerne 61 salari

    Le tribunal de commerce de Brest a étudié les trois offres de reprise de Tilly-Sabco, basé à Guerlesquin. Il a finalement décidé de retenir l’offre néerlandaise, celle de Wegdam qui concerne 61 salariés. 134 personnes seront licenciées.

    Corinne Nicole : « Ce n’est pas à moi d’annoncer à mes collègues qu’ils vont être licenciés. »

    Pour certains salariés, l’attitude de la CCI, devenue unique actionnaire, ne passe pas : « La CCI n’a pas pris ses responsabilités, » commente-on, amère.

    D’autres regrettent que des actions ne soient pas menées.

    134 personnes licenciées

    Le tribunal de commerce de Brest a retenu l’offre de l’entreprise néerlandaise Wegdam, ce vendredi matin.

    Il avait fait évoluer son offre passant de 45 à 61 salariés repris.

    Le repreneur ne conserve que l’activité saucisses. 134 personnes sont licenciées.

    Les réactions des salariés

    « C’est un beau temps pour un enterrement », avait lancé un salarié avant de rejoindre l’assemblée générale. « Cette fois-ci c’est la dernière réunion », s’exclamait une autre.

    Suite au jugement, « la famille Tilly a besoin de se retrouver pour échanger », a déclaré Corinne Nicole, déléguée syndicale.

    Adem, salarié depuis 24 ans, est également dégoûté : « C’est une catastrophe. Les gens licenciés vont devoir changer de région pour trouver du travail. Il n’y a plus rien ici. Les gens ont des emprunts, ils ont construit de maisons… J’espère que les personnes licenciées vont avoir un maximum de dédommagements. Certains ne réalisent pas encore, ils ont espoir de faire partie des 61, lorsqu’ils vont recevoir les lettres de licenciement, ils vont être choqués ».

    La Région et Morlaix communauté se mobilisent

    Depuis cette annonce, la Région et Morlaix communauté ont fait savoir, par communiqué, qu’ils se mobilisaient pour « l’accompagnement des salariés et du repreneur. » Ils affirment que les collectivités sont « prêtes à déployer des moyens exceptionnels, en particulier sur la formation, pour les salariés qui vont perdre leur emploi. »

    La formation avait été un axe critiqué au moment du reclassement des salariés de Gad (Lampaul-Guimiliau), car cela permettait aux pouvoirs publics de ne plus les faire apparaître dans la catégorie demandeurs d’emploi. Les ex-Gad n’ont pas tous retrouvé d’emploi pérenne depuis la fermeture de l’entreprise en 2013.

    Concernant Tilly, une réunion devrait se tenir avec les différents acteurs concernés afin de décider quelles mesures mettre en place.

    source: ouest-france.fr

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  • Les travailleurs grecs ne se laissent pas faire :le 8 décembre ils ont déclenchés dans le public et dans le privé une énorme grève générale : les ferries sont ainsi resté à quai pour le 7e jours consécutifs

    8 décembre 2016 : les travailleurs grecs en grève générale contre l'austérité et la dictature de l'union européenne! (FSC 9/12/2016)Manifestation à Athènes-8 décembre 2016

    Des manifestations massives ont eu lieu dans tous le pays. Rassemblant 15 000 personnes à Athènes et plus de 5 000 à Thessalonique à l’appel du syndicat PAME (syndicat de lutte de classe proche du parti communiste grec KKE).

    le PAME avait organisé plus de 550 manifestations, meetings et mobilisations sur les lieux de travail dans toute la Grèce, le 6 décembre pour préparer les plus de 60 manifestations géantes du 8 décembre dans toutes la Grèce

    Dans la nuit de samedi à dimanche, Syriza veut faire voter le budget 2017 qui prévoit une augmentation de plus de 1 milliards des impots frappant les classes populaires avec des taxes de tous types sur les voitures, les téléphone, la télévision, le carburant, le tabac le café ou la bière. Tout en réduisant de près de 6 milliards les dépenses publiques et en lançant de nouvelles privatisations en 2017.

    Chacun pourra observer qu’après près de 10 ans d’euro austérité la dette grecque n’a cessé de croître, de même que les profits des multinationales qui grâce au chantage à l’euro étrangle la Grèce pour mieux mettre ses richesse et son appareil productif et ses infrastructures en coupe réglés et faire sauter les droits des travailleurs.

    source:  frontsyndical-classe.org

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    Une quarantaine d'agents postaux étaient mobilisés, hier matin, devant la Direction du réseau, à Créac'h-Gwen. Ils ont dénoncé la dégradation de leurs conditions de travail lors de cette journée nationale de mobilisation placée sous le signe de la souffrance au travail.
     
    Les agents de La Poste ont manifesté, hier matin, leur mécontentement devant la Direction du réseau, à Créac'h-Gwen. Une quarantaine de personnes a ainsi répondu présent à l'appel de l'intersyndicale (Sud, FO Com, CFTC Poste, CFE CGC, Unsa poste et CGT FAPT) pour cette journée nationale de mobilisation contre la souffrance au travail. Une mobilisation qui intervient alors que des négociations ont lieu depuis fin octobre entre la direction et les syndicats.
     
    « La mutation de La Poste entraîne une grave souffrance au travail pour nombre de salariés », explique Anne-Marie Guillermou de la CGT-FAPT. Une souffrance provoquée par le manque d'emplois : « La Poste a bénéficié d'un milliard d'euros en trois ans au titre du crédit d'impôts pour la compétitivité et l'emploi, en partie pour embaucher, mais elle a supprimé 100.000 emplois en dix ans ». D'après les syndicats, cette baisse d'effectif continue oblige les postiers à accepter des tournées supplémentaires qui allongent leur temps de travail.
     
    De plus, les agents mobilisés dénoncent un hiatus grandissant entre le travail prescrit (temps nécessaire à la réalisation de telle ou telle tâche estimé informatiquement) et le travail réel (pour effectuer cette tâche).
     
    Les syndicats demandent plus de moyens
     
    « Nous voulons notamment obtenir de la direction de nouvelles embauches en CDI et pas en contrats précaires, mais aussi des moyens de remplacements (un taux de 25 % de la masse salariale) et enfin une augmentation du pouvoir d'achat pour tous les salariés », poursuit Anne-Marie Guillermou. Le collectif Service public en Cornouaille, issu de la convergence nationale des Services publics, a, quant à lui, voulu attirer l'attention sur la politique de fermeture des bureaux de poste, aussi bien en ville qu'en campagne. « En ce moment même, le contrat tripartite de présence postale territoriale est en discussion entre l'État, La Poste et l'Association des maires de France. Ce contrat prévoit de ne plus solliciter l'accord du conseil municipal pour les transformations des bureaux de poste, mais seulement celui du maire », interpelle Hélène Derrien du collectif, « un grave recul de la démocratie locale annonçant de nombreux conflits dans les territoires ».

    source:   letelegramme.fr
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  • Incontestablement les luttes se développent :

    600 salariés de DCNS ont bloqué le pont de Recouvrance à Brest ce jeudi matin. Ils répondaient à l'appel de l'intersyndicale CGT, CFDT, FO pour la défense du statut d'ouvrier d'état. Après avoir libéré le pont, ils sont désormais à la sous-préfecture. 

    Ils souhaitent défendre le statut d'ouvrier d'état, 600 salariés de la DCNS à Brest ont manifesté ce matin, à Brest. Ils ont  d'abord bloqué le pont de Recouvrance pendant une demi-heure. Ils se sont ensuite rendus à la sous-préfecture où ils ont été reçus. Ils ont remis une lettre à destination du Premier Ministre. 

    Dans un communiqué, les syndicats dénoncent "le changement des règles de revalorisation salariales des ouvriers de l'Etat ainsi que la mise en extinction de nombreuses professions de la nomenclature et des filières de techniciens à statut ouvrier (TSO)"

    Ilx expriment leur attachement à ce statut et soulignent "contrairement à ce qu'affirment ses détracteurs, le "statut" actuel est moderne et a fait ses preuves. Ce statut permet d'attirer et de fidéliser les compétences exigées au maintien en condition opérationnelle des équipements et matériels indispensables à notre armée pour garantir notre souveraineté nationale et notre présence dans le spectre international."

    "Honorer les termes de ce statut, c'est pour l'Etat, ni plus ni moins que l'illustration du respect qu'il doit porter à ses agents devant l'importance des missions et activités régaliennes qu'ils exercent pour la nation."

    Ils réclament des négociations sur l'évolution de ce statut.

    source: frontsyndical-classe.org

     


    Brest. 600 salariés de DCNS et base de Défense... par Letelegramme

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  •  Le CGT rejoue Le Rallye des bradés en juin 2017 (OF 7/12/2016)

    Réunie en comité général à Châteaulin, hier mardi, l'union départemental des syndicats CGT du département a choisi de rejouer Le Rallye des bradés. Cette manifestation avait eu lieu en 1977. À l'époque, de nombreux secteurs industriels finistériens sont en crise. Les licenciements se multiplient. Pendant deux jours, la CGT et ses adhérents prennent la route. Ils traversent les principales villes du département.

    Les 1er et 2 juin prochains, ce sera l'anniversaire des 30 ans de cette manifestation. « Les choses n'ont pas beaucoup changé, regrette la secrétaire générale de l'UD CGT, Anne-Véronique Roudaut. Cette manifestation suivra les assises de l'industrialisation du syndicat en février, et la mobilisation pour « la conquête de l'industrialisation » en mars. « Il s'agit de proposer des projets pour développer l'économie, avec les salariés des entreprises. »

    source: ouest-france 7/12/0041

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  • Pour les salariés de Carrefour Quimper, le travail du dimanche doit rester exceptionnel.

     

    Pour les salariés de Carrefour Quimper, le travail du dimanche doit rester exceptionnel.

     

    Samedi, la CGT hypermarché a mené une action à Quimper (Finistère), pour informer le public et les salariés de la volonté de la direction de généraliser le travail du dimanche matin toute l’année. « Nous sommes contre l’idée d’ouvrir les hypers tous les dimanches en dehors des jours d’ouverture exceptionnelle qui induise des salaires majorés de 300 %, les dimanches 11 et 18 décembre », explique Michelle Laurent, déléguée syndicale.

    Samedi, la CGT hypermarché a mené une action pour informer le public et les salariés de la volonté de la direction de généraliser le travail du dimanche matin toute l’année. « Nous sommes contre l’idée d’ouvrir les hypers tous les dimanches en dehors des jours d’ouverture exceptionnelle qui induise des salaires majorés de 300 %, les dimanches 11 et 18 décembre », explique Michelle Laurent, déléguée syndicale.

    Réunion le 8 décembre

    « Une troisième réunion se tiendra le 8 décembre sur l’accompagnement du travail le dimanche matin. La notion de volontariat se transformera vite en une obligation, sans majoration salariale, ce que nous ne voulons pas pour les salariés. »

    Un jour de repos commun revendiqué

    La CGT revendique le droit à un jour de repos commun pour tous les salariés, le choix du dimanche permet à chaque famille de se retrouver. « Ces modifications de rythme de travail impactent aussi les entreprises partenaires, nettoyage et sécurité, dont les directions mettent déjà la pression pour satisfaire à ce travail supplémentaire. »

    source: ouest-france.fr

    Télécharger « 161203-tract cgt-carrefour-vous faites vos courses le dimanche.pdf »

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  • Le cortège s’est réuni à Stalingrad à 14 h 30, avant de se rendre à place de Clichy, à l’appel de la CGT et de trois associations de chômeurs.

    Plusieurs centaines de manifestants ont défilé samedi à Paris contre le chômage et la précarité, à l’appel de la CGT et de trois associations de chômeurs

    Plusieurs centaines de manifestants ont défilé, samedi 3 décembre à Paris, contre le chômage et la précarité. Le cortège, réuni à l’appel de la CGT-Chômeurs et des associations AC!, Apeis et MNCP, est parti de la place de Stalingrad vers 14 h 30 pour rejoindre la place de Clichy, dans le nord de la capitale.

    « Ce qu’il faut, c’est une véritable lutte pour l’emploi, et ne pas user d’artifices pour essayer de démontrer que le chômage baisse », a déclaré le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, avant le départ du cortège. Selon lui, les récentes baisses du chômage, « c’est de l’artifice ».

    « On ne se concentre que sur la catégorie A (de Pôle emploi), ceux qui sont complètement privés d’emploi, or on sait très bien que les stages, les temps partiels, ça permet de sortir des privés d’emploi de la catégorie A, tout en les laissant dans la précarité. »
    Augmenter la prime de Noël

    En tête de cortège, Jacqueline Balsan, présidente du MNCP, a estimé que la mobilisation était « plus que jamais d’actualité, à l’approche d’une élection présidentielle où beaucoup de candidats veulent tirer vers le bas le sort des chômeurs ».

    Sa principale revendication : « augmenter les minima sociaux et la prime de Noël, qui, contrairement à ce que disent certains, ne sert pas à payer des cadeaux aux petits, mais à payer l’électricité, le chauffage, à boucler les fins de mois ». Cette prime, attribuée chaque fin d’année depuis 1998 sous conditions de ressources, s’élevait en 2015 à 152,45 euros pour un célibataire sans enfant.

    « Dans un pays riche comme la France, on ne peut pas admettre que tous les minima sociaux soient sous le seuil de pauvreté », a renchéri Serge Havet, président de AC!. « Chômage, ras-le-bol ! Qui sème la misère, récolte la colère », ont notamment scandé les manifestants.

    « Moi, Daniel Blake »

    Parmi eux, des dizaines de personnes ont brandi des petites pancartes noires « Moi, Daniel Blake », en référence au film de Ken Loach, palme d’or à Cannes, sur la dégringolade d’un demandeur d’emploi broyé par le système.

    « Je me bats pour parvenir à une situation stable, mais ce n’est pas évident », a témoigné Melissa, 50 ans, mère de deux enfants venue de Mulhouse, qui suit une formation d’aide médico-psychologique. « J’ai beaucoup galéré, mais j’espère que le diplôme me permettra de sortir de la précarité. »

    Une centaine de manifestants ont aussi défilé dans le centre de Bordeaux, derrière une banderole verte affichant en rouge vif « Tous ensemble contre le chômage et la précarité ».

     source: lemonde.fr
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