• La liste UDSEA-Confédération paysanne, menée par Benoit Collorec, éleveur à Hanvec.La liste UDSEA-Confédération paysanne, menée par Benoit Collorec, éleveur à Hanvec

    Quel sera le syndicat majoritaire à la Chambre d’agriculture du Finistère lors des prochaines élections, en janvier ? L’UDSEA-Confédération paysanne présente sa liste.

    Les élections à la Chambre d’agriculture approchent. Dans à peine un mois seront élus les 33 membres qui la composent. L’UDSEA-Confédération paysanne présente sa liste. Tous les types de production sont représentés : lait, porc, maraîchage, bovin viande… Les candidats ont de 29 à 60 ans et il y a autant d’hommes

    que de femmes. « C’est la première fois que nous sommes à la parité », informe Benoit Collorec, la tête de liste. C’est aussi le seul syndicat à atteindre ce quota. « Nous voulons que les paysans vivent bien et soient nombreux. »

    Le revenu des agriculteurs

    Et pour cela, ils souhaitent que les agriculteurs gèrent les volumes produits, « dont le rythme est aujourd’hui dicté par les industriels » et que ces volumes soient régulés.

    Des terres pour les nouveaux agriculteurs

    Ils sont également pour que le contrôle des structures - qui décide de l’affectation des terres agricoles - favorise davantage la reprise des terres par les nouveaux paysans que l’agrandissement des fermes existantes. « Aujourd’hui, on sait que ce n’est pas la priorité, regrette Ronan Le Cleach, éleveur laitier à Tréméoc. Nous souhaitons permettre aux nouveaux un meilleur accès au foncier. » Ils insistent aussi sur l’accueil et l’intégration des agriculteurs qui ne sont pas issus du milieu agricole.

    Des fermes à taille humaine

    Leur constat : les jeunes qui s’installent cherchent des fermes à taille humaine. « Aujourd’hui, les exploitations deviennent tellement énormes que leur transmission est extrêmement complexe » , constate Benoit Collorec. « Ces grandes fermes concentrent une grande partie de l’argent public, qui provient de l’aide à l’investissement ou des aides de la Politique agricole commune (Pac) » , poursuit Jérôme Jacob, éleveur de porcs à Quimper, qui défend des fermes plus petites et plus autonomes.

    La méthanisation ? Pas une solution

    Pour ces agriculteurs, la méthanisation qui permettrait d’assurer un revenu complémentaire grâce à la production d’énergie, n’est pas une solution. « Cette pratique nécessite du volume et le nombre d’animaux qui va avec , souligne Ronan Le Cleach. C’est peut-être une solution énergétique mais sûrement une solution écologique. »

    L’export ? Ce n’est pas une priorité

    « Chaque pays doit être autonome sur son alimentation avant de parler d’export. » Et si c’est le cas, les prix doivent être corrects. « Des projets comme l’usine Synutra, c’est de l’emploi mais c’est aussi de la casse pour les agriculteurs ! Les marchés à l’export sont fragiles. »

    Répondre à la demande sociétale

    Les militants font remarquer que les questions d’alimentation bio et de bien-être animal sont des thèmes sur lesquels ils travaillent depuis des années. « Nous sommes à l’écoute de ces demandes, nous souhaitons une montée en gamme des produits vendus mais aussi une reconnaissance de la part des consommateurs, qui doivent accepter de payer le prix. À nous de leur montrer la différence. »

    La liste complète de la Confédération paysanne

    Voici les noms de la liste présentée par l’UDSEA-Confédération paysanne pour les prochaines élections à la Chambre d’agriculture du Finistère.

     

    1. Benoit Collorec, 44 ans, lait à Hanvec. 2. Ronan Le Cleach, 57 ans, lait à Tréméoc. 3. Gaëlle Kerleguer, 37 ans, chèvres, lait et viande à Tregarvan. 4. Jean-François Conan, 54 ans, lait à Guilligomarc’h. 5. Christophe Sammiez, 46 ans, arboriculture à Briec. 6. Armelle Gelebart, 55 ans, porc à Plourin. 7. Stéphane Brelivet, 41 ans, porc à Dirinon. 8. Monique Jannes, 57 ans, bovin viande à Saint-Evarzec. 9. Alice Blaimont, 29 ans, polyculture élevage à Kerlaz. 10. Pierre Queniat, 32 ans, lait à Guerlesquin. 11. Jérôme Jacob, 39 ans, porc à Quimper. 12. Marie-Cécile Conq, 49 ans, serriste à Landuvez. 13. Christophe Ulve, 45 ans, lait à Rédéné. 14. Marie-Christine Boussard, 56 ans, bovins viande et volailles à Landevennec. 15. Simon Tonin, 39 ans, lait à Landevennec. 16. Bastien Moysan, 38 ans, pêcheur à pied à Daoulas. 17. Marrie-Annick Guiffes, 56 ans, lait à Saint-Goazec. 18. Claude Lefebvre, 60 ans, maraîchage à Bannalec. Suppléant. 19. Mado Kerglonou, 58 ans, lait à Lampaul-Ploudalmezeau. 20. Jean-Charles Huon, 60 ans, lait à Plouigneau.

    Flora CHAUVEAU

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Des représentants des gilets jaunes ont débarqué au conseil municipal de Brest ce mercredi.

    Ce mercredi après-midi, des représentants des gilets jaunes, délogés ce matin des ronds-points de Pen-ar-C’hleuz et du Spernot, se sont invités au conseil municipal de Brest. Calmement, ils ont tenu à interpeller les élus sur leurs connaissances du mouvement et leur ressenti quant à leurs revendications et le RIC (référendum d’initiative citoyenne).

    François Cuillandre, maire, leur a tendu la main, leur proposant une rencontre « quand ils le voudraient ». Il a également répondu favorablement à leur souhait d’avoir un local, leur proposant une salle à la Maison du peuple.

    S’en est suivi un débat, chaque groupe politique y allant de son diagnostic. Beaucoup pour exprimer qu’ils étaient conscients des difficultés rencontrées par la population, qu’ils comprenaient la légitime colère sociale et assurer qu’ils faisaient bien la différence entre gilets jaunes et casseurs…

     

    À 17 h, l’ordre du jour n’était toujours pas abordé…

    source: https://www.letelegramme.fr/

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  • Les Gilets jaunes à l’Eau Blanche ce mercredi matin.Les Gilets jaunes à l’Eau Blanche ce mercredi matin.

    Ce mercredi, les Gilets Jaunes de Quimper ont poursuivi leurs barrages filtrants sur les giratoires notamment en fin de matinée à l’Eau Blanche où de gros embouteillages ont eu lieu. La veille, ils ont obtenu de la mairie la promesse d’une salle municipale. C’est l’Espace Grand Chantier au rez-de-chaussée du Théâtre de Cornouaille, côté médiathèque, qui devrait leur être affecté selon des horaires et un protocole encore à préciser à partir de jeudi après-midi. La salle est assez vaste pour accueillir des groupes et dispose de toutes les commodités.

     

    Rappelons aussi que les Gilets Jaunes quimpérois attendent une manifestation départementale à Quimper samedi.

    source: https://www.letelegramme.fr/

     

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  • Gilets jaunes à Quimper. L’acte V mobilise moins (OF.fr-15/12/2018-

    Environ 300 Gilets jaunes se sont rassemblés dans une ambiance apaisée, place de la Résistance à Quimper, ce samedi 15 décembre pour l’acte V du mouvement. La mobilisation s’essouffle.

    Certains s’abritent de la pluie sous l’abri de bus. D’autres font face aux gendarmes mobiles qui empêchent l’accès à la préfecture du Finistère, boulevard Dupleix, à Quimper (Finistère). Dans le calme. Ce samedi 15 décembre, environ 300 Gilets jaunes sont rassemblés depuis 14 h, place de la Résistance, pour l’acte V du mouvement.

    La mobilisation est bien moins importante qu’une semaine auparavant : 2 500 Gilets jaunes avaient manifesté en centre-ville, dans une ambiance apaisée. L’acte V serait-il celui de trop ? Ce n’est pas l’avis de Tristan, dans le mouvement depuis la première heure : « On va poursuivre. Les annonces du Président, c’est du pipeau. Un sapin est installé sur le rond-point de Troyalac’h. On compte y fêter le premier de l’an. » Des tracts expliquant le référendum d’initiative citoyenne, que réclament certains Gilets jaunes, ont été distribués.

    Gilets jaunes, acte V à Quimper, samedi 15 décembre 2018.

    Défilé le long des quais

    Parmi les manifestants, on note la présence de militants du collectif S’unir pour ne pas subir qui réunit associations, syndicats et organisations politiques.

    À 15 h 30, les quelque 300 manifestants ont défilé le long des quais, toujours dans le calme.

    Nelly CLOAREC

    source: https://www.ouest-france.fr/

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  • Photos de la marche des gilets jaunes  du 15/12 à Brest

    Photos de la marche des gilets jaunes  du 15/12 à Brest

    Photos de la marche des gilets jaunes  du 15/12 à Brest

     

     

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  • Environ 1 600 Gilets jaunes réunis à Brest, ce samedi après-midi (OF.fr-15/12/18-16h32)Le rassemblement des Gilets jaunes a commencé sur la place de Strasbourg

    Environ 1 600 personnes ont défilé dans les rues de Brest (Finistère), ce samedi après-midi 15 décembre, affublés de gilets jaunes. L’ambiance était calme, la circulation n’a pas été bloquée. Le rassemblement s’est terminé vers 16 h 30, devant la mairie.

    Alors qu’il pleuvait à torrent, ce samedi 15 décembre, quelque mille Gilets jaunes se sont réunis, à 13 h 30, sur la place de Strasbourg. Ils y ont tenu trois minutes de silence, en hommage aux victimes de l’attentat de Strasbourg, ainsi que pour les personnes tuées dans le cadre des manifestations des Gilets jaunes.

    Ils ont ensuite commencé à défiler dans la rue de Valmy, évitant volontairement les rues les plus commerçantes, afin d’épargner les boutiques du centre-ville, impactées par les précédents mouvements. Dans une ambiance calme, la foule a grossi peu à peu, pour atteindre environ 1 600 personnes. Parmi eux, de nombreuses personnes venaient pour la première fois.

    Au cours de la marche, une dizaine de casseurs ont rompu les rangs pour se diriger vers la place de la Liberté. La grande majorité des Gilets jaunes s’en sont désolidarisés. Face aux CRS, ces casseurs semblent avoir abandonné leurs projets.

    Le rassemblement s’est terminé vers 16 h 30 : il ne restait plus que 200 Gilets jaunes sur la place de la Liberté, devant l’hôtel de ville.

    source: https://www.ouest-france.fr

     

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  • Brest. Rassemblement contre les mesures annoncées par Macron (OF.fr-14/12/18-13h12)150 personnes ont répondu à l’appel de la CGT à se mobiliser ce vendredi midi

    150 personnes se sont rassemblées devant la sous-préfecture du Finistère, ce vendredi 14 décembre, à l’appel de la CGT. Ils demandent la hausse des salaires.

    La CGT n’est pas convaincue par les dernières annonces du président. Pour le faire savoir, 150 personnes se sont rassemblées devant la sous-préfecture du Finistère, ce vendredi midi. « Nous voulons répondre à Macron par cette journée de mobilisation nationale , a entonné Olivier Le Pichon, secrétaire local de la CGT. Malheureusement, il a entendu du bruit mais n’a répondu à rien du tout » .

    Le syndicat demande la hausse généralisée des pensions, des salaires et du point d’indice, l’augmentation du Smic à 1 800 €, le rétablissement de l’ISF, la relance de l’industrie et des services publics répondant aux besoins de tous.

    Prise de parole d’Olivier Le Pichon, secrétaire de l’union locale de la CGT 
     

    Quelques lycéens dans le rassemblement

    Quelques lycéens brestois, de Kerichen, Vauban et de l’Iroise se sont unis au rassemblement, après avoir manifesté plus tôt dans la matinée. « Nous sommes venus pour protester parcoursup et les réformes du bac » , expliquent en chœur, Swanne, Théo, Marie et Kiam. « Les études supérieures sont hiérarchisées, elles ne sont pas accessibles à tous  », continue Swanne.

    source: 

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  • Lycées de Quimper. « Jeudi noir » sur la ville. Cinq manifestants interpellés. (OF.fr-13/12/2018-20h07)Les policiers faisant face aux manifestants ont notamment utilisé des fumigènes pour les faire fuir. Une stratégie qui n'a pas été payante aussitôt

    Dès l’aurore, ce jeudi 13 décembre 2018, à Quimper (Finistère), des lycéens ont manifesté tour à tour devant les lycées Chaptal, Brizeux et Le Likès avant de se rejoindre à la Résistance. Là, plusieurs centaines de personnes ont bloqué la place avant de se confronter aux forces de l’ordre.

    Reportage

    10 h 20, lycée Chaptal

    Le premier barrage des manifestants est déjà en place avenue des Oiseaux. Face à l’entrée de l’établissement scolaire, un feu a

    été allumé. Les lycéens décident de partir pour rejoindre le lycée Brizeux où d’autres manifestants commencent à barrer les rues. C’est le début du « jeudi noir » à Quimper, une mobilisation annoncée dans tout le pays.

    10 h 35, lycée Brizeux, place de la Tour-d’Auvergne

    Les jeunes de Chaptal grossissent les rangs de leurs camarades de Brizeux. Ils sont au moins 150 personnes. Un grand feu est déjà allumé sur un terre-plein, il s’étalera ensuite sur la route. La rue Bourg-des-Bourgs est inaccessible. Sont également présents quelques élèves du Likès.

    Les revendications sont identiques aux mouvements précédents. Opposition à Parcoursup, à la réforme du bac pour 2021, à la suppression de postes de professeurs, aux transports scolaires payants…

    Vers 11 h, le feu s’intensifie et un abri de bus est détruit par « des casseurs » selon certains lycéens qui se disent pacifistes. Cet incident conduit le mouvement à se séparer. La majorité décide de rejoindre le Likès pour aller y chercher d’autres opposants potentiels.

    Le mouvement des lycéens a débuté dans la matinée, notamment devant le lycée Brizeux, place de la Tour-d’Auvergne, où un barrage a été mis en place et un feu allumé.

    11 h 36, lycée Le Likès

    La frange plus « pacifiste » du mouvement arrive devant l’établissement scolaire mais la greffe ne prend pas véritablement. Notamment en raison de la surveillance de l’établissement mais aussi de la faim qui commence à tenailler l’estomac de certains. Les manifestants ne lâchent rien pour autant, chacun passe le mot d’ordre à son voisin : « Rendez-vous à la Résistance ! » Le nom du lieu s’y prête bien.

    12 h 30

    Il n’y a plus aucune trace visible des manifestants devant les lycées Chaptal et Brizeux, les feux ont été éteints et les débris enlevés.

    Résistance : le mouvement prend une autre dimension

    14 h 10, place de la Résistance

    Des centaines de lycéens bloquent en partie la place, on retrouve même des élèves du lycée Pierre-Guéguin de Concarneau. D’autres arrivants sont issus des lycées Cornouaille et Kérustum.

    Un premier feu est allumé. Un quart d’heure plus tard, on peut apercevoir une dizaine de policiers en tenue anti-émeute, surplombant la foule depuis les murs de la préfecture. Les premiers projectiles sont lancés par les manifestants, marquant le début des hostilités. Dans le même temps un deuxième feu est déclenché.

    Les policiers ont d’abord utilisé des lances d’incendie pour disperser les manifestants. 

    Les policiers installés dans la préfecture arrosent la foule et les feux avec des lances d’incendie. Des insultes, clamées en direction des forces de l’ordre par quelques manifestants, fusent ici et là. Les jets de munitions improvisées s’intensifient également. Une majorité des lanceurs sont masqués. La police riposte en utilisant la technique de la douche froide. Personne n’est épargné, pas même les journalistes.

    Ici un manifestant s’est assis, en signe de protestation, défiant les policiers. Les lycéens l’ont grandement applaudi. 

    14 h 50

    La foule ne diminue pas, au contraire la situation semble empirer, des petits feux d’artifice sont tirés depuis le Mont-Frugy. À côté de ces apprentis artificiers, des lycéens, défendant un mode d’action sans violence, ont installé des banderoles et observent l’affrontement entre les manifestants plus radicaux et les forces de police.

    Cinq minutes plus tard, les forces de l’ordre lancent les premiers fumigènes pour disperser les manifestants. Bien que de prime abord cette tactique semble fonctionner, il apparaît finalement que la foule s’éparpille juste le temps que le nuage de fumée s’évapore.

    Les manifestants lançant des projectiles sur la préfecture et les forces de l’ordre, étaient majoritairement masqués. 

    17 h 20

    Il n’y a plus aucun manifestant à Résistance, la circulation a repris et les agents de la ville commencent à nettoyer la place.

    Le mouvement aura tout de même duré une journée et la situation fut plus tendue que samedi dernier, lors de l’action des Gilets jaunes, pourtant plus nombreux. Cinq manifestants ont été interpellés.

    Alexandre MARTEL

    https://www.ouest-france.fr/

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  • Les lycéens ont commis des dégradations à l’extérieur de l’établissement et blessé une policière à la jambe par un jet de projectiles

     

    Ce jeudi 13 novembre, des lycéens de Pierre-Guéguin ont commis des dégradations à l’extérieur de l’établissement. Une policière a été légèrement blessée à la cuisse.

    Une petite centaine d’élèves ont manifesté, ce jeudi matin 13 novembre, devant l’entrée du lycée Pierre-Guéguin, à Concarneau (Finistère). Ils ont notamment allumé un feu sur la chaussée. Certains ont, ensuite, lancé des pierres et des bouteilles sur les policiers, présents en nombre. Une policière a été légèrement blessée à la cuisse.

    Les forces de l’ordre n’ont toutefois pas riposté, et ont attendu que les lycéens finissent par lever le camp, vers 11 h 30. Aucune interpellation n’a eu lieu. La veille, des poubelles et des palettes avaient déjà été brûlées devant l’établissement par une quinzaine de lycéens.

    source: https://www.ouest-france.fr/bretagne/concarneau-29900/concarneau-du-grabuge-au-lycee-pierre-gueguin-6128590

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  • Mouvement de lycéens : manifestation devant Jean-Marie Le Bris à Douarnenez (OF.fr-13/12/18-13h17)Ce jeudi 13 décembre, une centaine de lycéens manifeste devant la cité scolaire Jean-Marie Le Bris

    Depuis 7 h 30 ce jeudi 13 décembre, plus d’une centaine de lycéens douarnenistes ont décidé de rejoindre le mouvement national. Ils manifestent « de manière pacifiste » devant l’établissement.

    Réforme du bac, Parcoursup, service universel, situation des étrangers en étude en France… Ce jeudi 13 décembre, depuis 7 h 30, une centaine de lycéens de la cité scolaire Jean-Marie Le Bris manifestent contre des réformes jugées « trop floues » . « On nous répète qu’il faut qu’on se projette dans l’avenir, lance un lycéen en terminale. Mais on ne nous facilite pas la tâche. »

     

    Devant le lycée, l’ambiance se veut « pacifiste » , avec de la musique. Des gendarmes sont présents. Ce matin, les manifestants ont laissé passer les collégiens ainsi que les professeurs. La mobilisation devrait durer toute la journée. « On sera encore là vendredi » , promettent plusieurs lycéens.

    EN VIDEO. Mouvement de lycéens : manifestation devant Jean-Marie Le Bris à Douarnenez
     

    source: https://www.ouest-france.fr/bretagne/douarnenez-29100/en-video-mouvement-de-lyceens-manifestation-devant-jean-marie-le-bris-douarnenez-6128071

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