• Le mouvement de grève se poursuit à Bibus. La liste des départs non assurés est disponible sur le site Internet www.bibus.fr. Cependant, des modifications de dernière minute peuvent intervenir. Le syndicat CFDT Bibus a en effet déposé un préavis de grève : le réseau Bibus est perturbé chaque jour, du lundi au vendredi, par une grève de 59 minutes. Chaque conducteur pouvant faire grève à n'importe quelle heure de la journée, Bibus n'est pas en mesure de donner dans les détails les services assurés aujourd'hui (environ 85 % d'entre eux le seront cependant). Un geste commercial Suite au mouvement de grève en cours, Keolis a mis en place un geste commercial pour les usagers, pour le mois de mars. Ainsi, pour les abonnés un mois, une remise de 10 % sera effectuée sur leur forfait du mois de mars lors du rechargement (à la boutique Bibus, sur bibus.fr, rubrique boutique en ligne, aux distributeurs automatiques de titres et dans tous les relais B, Pimms). Pour les abonnés « Formule B' », le montant du prélèvement bancaire de mars tiendra compte de cette même réduction. Enfin, les abonnés « Pass annuel étudiants » recevront individuellement par courrier postal un avoir. Le site Internet de Bibus informe par ailleurs que d'autres gestes commerciaux pourront avoir lieu en fonction de l'évolution du conflit social.
     
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    Dans le cadre des négociations annuelles qui ont débuté ce jeudi, à l'appel de la CGT, une centaine de salariés de chez Bigard étaient, ce matin, rassemblés à l'entrée de l'abattoir, à Quimperlé. Ils réclament, notamment, un salaire de base qui ne soit pas inférieur à 1.950€ bruts. N'acceptant pas de discuter sous la pression, la direction a suspendu la réunion de travail rassemblant tous les délégués du groupe : Bigard, Socopa, Charal...
     

    source: letelegramme.fr/
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  • De gauche à droite, les délégués syndicaux de la fondation lldys: Bruno Baron (CGC/CFE), Stefano De Blasio et Pascal Le Page (Sud) et Franck Monfort (CGT), Absent Mohammed Derdoukh (CFDT)

    Le centre de soins de suite et de réadaptation de Perharidy va voir son budget amputé de 33 % en cinq ans. Très inquiets, les syndicats préparent des actions.

    À la fondation Ildys, qui compte plus de 1 300 salariés à Roscoff, Landivisiau et Brest, les syndicats CGT, la CFE CGC, la CFDT et Sud sont inquiets pour l'activité sanitaire. « On n'a pas pu sécuriser le financement sur les SSR (services de soins et de réadaptation) de Roscoff, et de pédiatrie à Roscoff et Brest, expliquent les délégués syndicaux. Avec le nouveau mode de financement fixé par l'État, la tarification à l'acte, Roscoff perdra 10 millions d'euros en cinq ans. »

    Une marche citoyenne le 25

    Cette année, le gouvernement a plafonné à 1 % de baisse. « Mais en cinq ans, l'établissement perdra 33 % de son budget. On a des craintes sur la pérennité de l'emploi à Roscoff. » Où 600 personnes sont salariées. « La direction ne pourra pas remplacer les départs à la retraite. Mais il y a aussi des emplois induits, des familles, tout un lien social et économique qui sont menacés. Tout comme la qualité des soins liés à la spécialité de nos activités... »

    Tous les SSR de Roscoff sont concernés, comme la cardiologie ou la neurologie, et la pédiatrie de Roscoff et de Brest. « Pour répondre au cahier des charges de l'ARS (agence régionale de santé), du personnel qualifié a été embauché. L'ARS était d'accord sur tout, et cette réforme budgétaire dit le contraire. Or l'ARS est une déconcentration du ministère de la Santé... »

    Pour les syndicats, l'heure est à la mobilisation. « Les salariés, la population, les politiques... C'est un véritable enjeu pour l'offre de soins dans le Finistère. » Une pétition a été mise en ligne sur le site change.org et une marche citoyenne aura lieu à Roscoff le 25 mars. Des réunions d'information et des distributions de tracts sont aussi prévues. « On a demandé rendez-vous au ministère et on rencontrera nos députés. » Un combat pour lequel syndicats et direction tirent dans le même sens. « Tant que la direction demandera des financements pérennes, on la soutiendra ! »

    Yannick LE COQUIL.

    Ouest-France 16/02/2017

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  • Alexandre Moumbaris sur Donald Trump : enfin un point de vue communiste (RC 14/02/2017)Alexandre Moumbaris est un militant communiste et anticolonialiste sud-africain d'origine grecque, emprisonné pendant l'Apartheid, évadé, membre de l'ANC et du PC sud-africain, qui édite aujourd'hui en France les dossiers du BIP. Il est aussi le fondateur de l'Association Staline. https://dossiersdubip.wordpress.com/

    Les élections étasuniennes nous ont interpellés avec une très grande intensité. Le risque d’une guerre nucléaire était notre première préoccupation. Nous ne pouvions pas assumer une pseudo-pureté idéologique et condamner les deux candidats de la même manière – attitude répandue parmi des «communisants» d’extrême gauche – ou ce qui au fond revient quasiment au même, s’enfoncer la tête dans le sable et attendre que l’orage passe.

    Notre principal raisonnement était le suivant: comment éviter le pire et choisir ce qui était le mieux pour le mouvement ouvrier. Ce qui nous est apparu comme étant le primordial était que la candidate pro-guerre Hilary Clinton ne gagne pas. Il y eu aussi d’autres raisons pour nous rendre Trump plus «sympathique», tout capitaliste, milliardaire, sioniste, un peu bigot, souvent grossier, vulgaire, raciste, sexiste, même un peu fascisant… qu’il soit. Sa position visant à chercher à améliorer les relations des États Unis avec la Russie, le renvoi de tous les ambassadeurs y compris de Victoria «fuck the E.U» Nuland, néoconservatrice très impliquée dans le coup d’État de Maïdan en Ukraine, annonçaient d’importants changements, un progrès dans l’apaisement au moins partiel des conflits. Malheureusement ses positions vis-à-vis de la Chine, de la Corée du Nord, de l’Iran et de la Palestine restent hostiles. Quant au rapprochement avec la Russie il pourrait être soit une diversion pour diviser l’alliance russo-chinoise, soit répondre à une autre stratégie malicieuse.

    Il est à noter que depuis octobre 2016 un projet de Loi (Bill) a été introduit pour interdire au Président des États-Unis de déclencher une guerre préventive sans l’approbation du Congrès. Selon ses auteurs son objet était d’éviter que Donal Trump, qui ostensiblement n’avait pas leur confiance, puisse avoir cette possibilité. Ce projet de Loi «H.R.669» a été soumis au Congrès le 24 janvier 2017. Il n’a donc pas encore été adopté. Donald Trump a déclaré le soutenir. Ce qui est étrange c’est qu’en octobre lorsque ce projet de loi a été introduit, il n’était pas possible de prévoir lequel des candidats serait élu. La conclusion à en tirer est que les divers conflits opposant essentiellement les États-Unis à la Russie et à la Chine ont atteint un tel niveau de dangerosité, qu’ils ont poussé le Congrès étasunien à – maladroitement et tardivement – mettre un frein – en dépit des néoconservateurs post-trotskistes – à leur politique d’agression permanente. Le bon sens aurait quelque peu prévalu et montré qu’aux États-Unis il y a quand-même beaucoup de gens sensés qui tiennent à la vie.

    Sur le plan intérieur, le positif réside dans la pénalisation par une taxe de 20% ou 30% des produits d’entreprises délocalisées, moyen de décourager les importations et de favoriser la production interne. De telles mesures, ne peuvent que faire du bien à la production nationale, à l’emploi, aux salaires avec pour conséquence une hausse du pouvoir d’achat des salariés. Des dispositions douanières identiques en France seraient les bienvenues.

    Concernant les restrictions de l’immigration clandestine, par le fait même qu’elle soit clandestine elle est illégale. Or il faut tenir compte de la misère ouvrière aux États-Unis. Detroit entre autres, une ville où les plus démunis n’ont même pas d’eau potable à boire, et comme chacun sait c’est le propre du capitalisme de se délecter d’un grand réservoir de chômage (la France ne manque pas de misère non plus). Par ailleurs cet arrêt brutal d’entrées, de ressortissants provenant de Libye, de Somalie, du Yémen, d’Irak, de Syrie ne peut être considéré, dans des circonstances normales, que comme scandaleux. Toutefois les circonstances ici ne sont pas tout à fait normales. Nous sommes très dubitatifs quant aux motivations des personnes qui voudraient entrer aux États-Unis, considérant que leurs pays n’ont cessé d’être bombardés, tuant et handicapant des centaines de milliers de leurs compatriotes dans des guerres faites ou soutenues par les États-Unis eux-mêmes. Pour faire un parallèle, c’est comme si pendant l’occupation, des Français avaient voulu immigrer ou visiter l’Allemagne nazie.

    Notre attitude n’est pas sans «danger», au sens où, dans l’avenir des «camarades purs ou neutres», nous la reprocheront et nous tiendront pour responsables de tous les actes malfaisants de Trump. Mais notre analyse se fait sur la base d’un raisonnement établi à un moment donné. Nous ne prophétisons en rien le comportement ultérieur de Donald Trump.

    Mais il y a deux choses qui sont très claires. La première est que Trump n’aurait pu être plébiscité sans l’appui du prolétariat pauvre, présumé blanc. La deuxième, qui est réjouissante, est d’entendre les media à la solde du système, piquer des crises d’hystéries à propos de la défaite du camp Clinton/néoconservateurs soutenu par Obama.

    L’avancée triomphale accélérée et avide, ces dernières décennies du Nouvel ordre mondial, de la Mondialisation, de la Globalisation, des sociétés transnationales et surtout des banques prédatrices, des néoconservateurs, des néolibéraux et des sociétés multinationales quasiment apatrides, sur les entités nationales, semblent s’être heurtée à des résistances de plus en plus fortes, telle une vague de fond mondiale qui augure de leur déclin. La défense de la souveraineté nationale, est une notion qui prend de plus en plus de l’ampleur, surtout quand elle a pour moteur les intérêts allant de ceux de la bourgeoisie nationale jusqu’à ceux du prolétariat pauvre. De ce courant ont su profiter Trump,  Marine le Pen et quelques autres. Malheureusement les partis communistes européens sapés de l’intérieur, soumis au matraquage médiatique, bourgeois social-fasciste, l’absence de clarté, de direction et de pragmatisme dans leur discours, ainsi que leur démoralisation, n’ont pas su se mettre à la portée, donner confiance à leurs prolétariats et les mobiliser pour défense leurs intérêts. «Inspirés» par les media et le discours ambiant, ils adoptent parfois les positions des adversaires de classe, même des agresseurs impérialistes, telle que l’exemple flagrant de la participation du PCF à un gouvernement social-démocrate pendant la guerre d’agression contre la Yougoslavie. Ils ont eu dès lors du sang sur les mains.

    Essentiellement il y a deux camps qui se confrontent, ceux qui bénéficient de la globalisation et ceux qui en pâtissent. D’un côté il y a les transnationales étrangères et même des sociétés nationales plus ou moins délocalisées, qui fourguent sur le marché intérieur des produits fabriqués à l’étranger, faits dans des conditions de production plus profitables à cause du coût inférieur de la main-d’œuvre, de l’absence de réglementation…; et de l’autre la bourgeoisie et la petite-bourgeoisie commerçante, les agriculteurs, les artisans et les travailleurs, qui respectivement ne peuvent concurrencer des prix aussi bas; n’arrivent pas à vendre leur produits agricoles à un prix normal; subissent la concurrence des produits importés à bon marché auxquels s’ajoute la baisse de revenus de leur clientèle, et les travailleurs qui ne récoltent que le chômage, et qui par voie de conséquence voient leurs salaires tirés vers le bas. Des pans entiers de secteurs ont été happés par des entreprises internationales, comme dans la restauration rapide, pas chère et malsaine: McDonalds, KFC, Quicks…; l’électroménager ou les marques françaises deviennent rares,……, sans parler des prises d’intérêt dans des sociétés par actions. Par ailleurs il est difficile de savoir si une société «française» l’est par son siège, son lieu de fabrication, son marché, la nationalité de ses propriétaires ou si la destination de ses profits n’est pas un paradis fiscal.

    Notre place à nous communistes est d’assumer nos devoirs et de nous appliquer à agrandir cette brèche, et non pas abandonner nos positions sur le terrain de la lutte à d’autres. Mais rien ne peut s’accomplir sans la souveraineté nationale couplée à l’indépendance économique et militaire.

    Évidement ici on ne parle pas des échanges nécessaires et mutuellement profitables entre pays, pas plus que de ceux qui s’y rattachent, bien qu’ils aient, strictement parlant, une fonction compradore. Cela étant dit nous réservons la qualification «compradore» pour cette couche de la bourgeoisie qui fourgue des produits qui auraient pu être fabriqués en France si les conditions de production étaient comparables et qui découragent l’autosuffisance du pays. L’autre problème réside dans leur poids économique, couplé aux poids politique, médiatique, publicitaire avec lesquels ils tentent d’atténuer, de masquer le caractère inacceptable de la production étrangère facilitant de plus en plus leur incursion économique, politique, linguistique, culturelle dans la vie du pays. Cette aberration pourrait être atténuée par des droits de douane à l’importation qui prendraient en compte le coût du chômage causé et des avantages sociaux non payés. Mais cela ne règle en rien les effets psychologiques, sociaux et par-dessus tout provoque une pression vers le bas des salaires et du niveau de vie des travailleurs et par extension des agriculteurs et des artisans….

    Nous sommes convaincus que nous vivons une période de lutte intense entre d’un côté l’alliance du pouvoir de la globalisation et de la couche compradore de la bourgeoisie et de l’autre l’alliance de la bourgeoisie nationale, des agriculteurs, des artisans et indispensablement le prolétariat national. Cette dernière alliance contient en son sein une contradiction entre classes, mais celle-ci dans les circonstances actuelle est une contradiction de moindre importance qui se résoudra ultérieurement.

    Alexandre MOUMBARIS

    source: reveilcommuniste.fr/

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  • Brest-Bibus. La grève se poursuit malgré des avancées dans les négociations  (LT.fr-15/02/2017)

    La grève se poursuit chez Bibus et l'on verra donc encore des bus, aujourd'hui, stationnés avec les feux de détresse près de la place de la Liberté. Et surtout des perturbations pour les usagers. Pourtant, les positions entre la CFDT et la direction se sont rapprochées ces jours-ci. Toutes deux sont d'accord sur le montant de l'enveloppe globale, dans le cadre des négociations annuelles obligatoires. Mais pas sur la répartition. Une question de répartition de l'enveloppe La direction propose, depuis vendredi matin, une prime de 200 € pour sortir du conflit, 1 % d'augmentation de la valeur du point pour 2017 et autant l'an prochain, pour l'ensemble des salariés. C'est là que le bât blesse pour le syndicat. Qui préférerait qu'il n'y ait pas de prime mais une hausse de deux points en 2017 et un point en 2018, seulement pour les salariés qui n'ont pas eu l'augmentation de huit points, récemment, après avoir été formés pour le téléphérique. On s'épargnera ici les impacts en euros de ces augmentations des indices ou bien de la valeur du point. La CFDT note toutefois, dans la dernière proposition de la direction, « qu'on sait maintenant qu'il y a de l'argent ». Par ailleurs, elle demande à ce que soit réglée dès que possible la question des erreurs de salaires (parfois des centaines d'euros) subie ces derniers mois par nombre de salariés. Avec une rencontre des salariés concernés sur leur temps de travail, la vérification de tous les bulletins de salaire sur les trois dernières années et le vote d'une expertise des salaires par un cabinet indépendant.

    source:  letelegramme.fr
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  • Les frais de scolarité des étudiants en école de kiné font à nouveau réagir. Depuis l'ouverture de l'école brestoise, en 2013, au sein de la faculté de médecine, les frais de scolarité ont été fixés à 6.000 €. Ce qui est cher pour une école publique, loin du montant habituel des droits universitaires. Mais la Région qui a la charge du financement des études a choisi de mettre les deux écoles bretonnes au même niveau de frais de scolarité, l'école rennaise étant privée. 18.000 € de frais sur trois ans Les étudiants brestois, ils sont 30 par promotion, ont décidé de monter à nouveau au créneau pour demander à la Région de prendre en charge ces frais. « Nous avons eu la surprise de voir que la Région qui a la charge du fonctionnement de l'Institut de formation en masso-kinésithérapie (IFMK) incluait nos frais de scolarité dans ses recettes. Lorsque la Région finance sans contrepartie d'autres formations paramédicales basées sur le même décret, nous autres étudiants en kiné devons payer 6.000 € par an ! La rentrée a été rude et certains ont renoncé aux études parce que c'est trop cher ! », explique Salomé Le Gall, étudiante en deuxième année. Les étudiants ont été reçus jeudi par les élus d'opposition à la Région. « Ils ignoraient le montant de nos frais de scolarité et nous ont dit qu'ils allaient nous soutenir ». Pas assez de contrats Certains étudiants peuvent signer un contrat de fidélisation avec la Région, les frais sont pris en charge et l'étudiant s'engage à travailler ensuite trois ans dans un établissement public où les salaires sont nettement plus faibles que dans le privé. « Mais seulement 25 % d'une promotion peut bénéficier d'un tel contrat. Beaucoup d'étudiants doivent souscrire des prêts, d'un montant de 23.500 € en moyenne ». « On veut rester dans une logique de dialogue, on ne veut pas en arriver à manifester. Mais on espère que la lettre ouverte que nous venons d'adresser au président de la Région Jean-Yves Le Drian ne sera pas sans réponse ».
     
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  • Quimper. Une soixantaine de personnes rassemblées contre les violences policières (LT.fr 14/02/2017)

    À l'initiative du mouvement Nuit debout, une manifestation de « soutien à Théo » a rassemblé une soixantaine de personnes, hier soir à 19 h, place Saint-Corentin, au cri de « Bretagne ouverte, solidaire et fraternelle ». « On continue à faire entendre notre voix comme samedi (le 4 février contre la tenue d'une réunion de militants d'extrême droite), lorsque nous avons subi la charge des CRS aux halles Saint-François ou pour soutenir la faucheuse volontaire d'OGM, Marie Nicolas », expliquent Kévin et Antoine, deux membres du collectif quimpérois Nuit debout. Les deux jeunes militants y voient le lien « de l'injustice sociale, de la solidarité et de la volonté de porter un autre modèle de société ». Le rassemblement a réuni plusieurs collectifs cornouaillais et de simples citoyens. Ils se sont associés à l'appel à se réunir, comme partout en France tous les dimanches à 16 h, à partir du 19 février.
     
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  • Ajoutée le 13 févr. 2017

    Le dimanche 12 février, Jean-Luc Mélenchon était l'invité de BFM politique. De nombreux sujets ont été abordés au cours de cette émission : l'affaire Théo, le courant dégagiste dans notre pays, la 6e République et l'assemblée constituante, la situation en Syrie, l'indépendance de la France avec notamment la sortie de l'OTAN, la transparence en politique, le plan d'investissement de 100 milliards d'euros de la France insoumise, la sortie du nucléaire et le passage à 100% d'énergies renouvelables, la situation de Cédric Herrou, le projet d'impôt différentiel pour rendre impossible l'évasion fiscale. Jean-Luc Mélenchon a enfin évoqué ses propositions en matière de lutte contre le terrorisme dans le cadre d'un dialogue avec le juge antiterroriste Marc Trévidic.

     

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  • Cet article, reposté depuis le Blog Coco Magnanville est une version exceptionnelle d'un des titres majeurs de Lény Escudero

    Je t'attends  à Charonne

    "L'automne va mourir
    Et l'on entend déjà
    Le printemps refleurir
    Aux branches des lilas
    C'est une éternité
    Quand on est amoureux
    Tu verras mille étés
    Éclabousser ses yeux
    C'est aujourd'hui l'hiver
    Et c'est encore printemps
    La nature est au vert
    Lorsque l'on a vingt ans

    Marie, ô Marie, je t'aime
    Tu es mon premier baptême
    Marie, que l'amour me pardonne
    On m'appelle à Charonne

    On l'appelle à Charonne
    Et moi je reste là
    Ni Dieu ni la Madone
    N'ont plus d'amour que moi
    Ça me brûle le cœur
    D'une douleur si tendre
    Que c'est encore bonheur
    Pour moi que de t'attendre
    Je t'attends, je t'attends
    Comme l'oiseau qui mourut
    D'attendre le printemps
    Où il l'avait connue

    Marie, ô Marie, je t'aime
    Tu es mon premier baptême
    Marie, que l'amour me pardonne
    J'ai si peur à Charonne

    Il a peur à Charonne
    Mon Dieu, prends-lui la main
    Pour venir de Charonne
    Il est long le chemin
    Quelle est cette rumeur
    Venue du fond des temps ?
    J'ai si froid, j'ai si peur
    Daniel, oh ! Reviens-t'en
    Y a notre vie à nous
    Qui dort dedans mon ventre
    Les fleurs s' mettent à genoux
    Les fleurs te disent "Rentre"

    Marie, ô Marie, je t'aime
    Tu es mon dernier baptême
    Marie, que l'amour me pardonne
    Je t'attends à Charonne "

    Lény Escudero

     

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