• La ville de Ploërmel a six mois pour procéder au retrait de la croix a indiqué le Conseil d’État. La statue en elle-même n’est pas remise en cause pas plus que son arche.La ville de Ploërmel a six mois pour procéder au retrait de la croix a indiqué le Conseil d’État. La statue en elle-même n’est pas remise en cause pas plus que son arche.

     

     Le Conseil d’État a donné six mois à la ville pour retirer la croix qui surplombe une statue de Jean-Paul II. Les réactions s’enchaînent, une marche de soutien se profile en décembre.

    Le verdict est tombé mercredi. Le Conseil d’État confirme l’injonction, prononcée en première instance, de retirer la croix qui surplombe la statue de Jean-Paul II, au nom du respect de la loi de séparation des Églises et de l’État.

    Le Conseil d’État s’exprime

    Ultime arbitre, la plus haute juridiction administrative, donne, en partie raison, au tribunal administratif de Rennes, en expliquant : « Dès lors que la croix constitue un signe ou un emblème religieux, au sens de l’article 28 de la loi du 9 décembre 1905, et que son installation par la commune n’entre dans aucune des exceptions ménagées par cet article, sa présence dans un emplacement public est contraire à cette loi. »

    Par contre, le Conseil d’État estime « que l’arche ne saurait, par elle-même, être regardée comme un signe ou emblème religieux », au sens de la loi.

    Du côté de la Libre-Pensée

    « Nous sommes heureux de constater que la justice défend la laïcité et la loi de 1905. C’est une reconnaissance du droit du privé en rapport avec l’ordre public. Nous restons persuadés que les citoyens ploërmelais sont respectueux de la loi, ou alors c’est un autre état », partage André Le Béhérec, président de la Fédération Morbihannaise de la Libre-Pensée.

    La section ploërmelaise de la Ligue des Droits de l’Homme se félicite également de l’arrêt définitif rendu par le Conseil d’État. Non sans s’étonner qu’il faille solliciter la plus haute juridiction pour faire respecter la loi. « C’est une leçon de laïcité pour les élus de la ville », partage la section ploërmelaise.

    Du côté de la municipalité

    Elle est rejointe par Béatrice Le Marre, membre de l’opposition, ancienne maire de Ploërmel. « Cette décision de justice n’est une surprise pour personne. La loi de 1905 s’applique à tous. Elle assure le vivre ensemble mais aussi la neutralité des institutions et des services publics. »

    Pour elle, Paul Anselin, maire au moment de la mise en place de la statue en 2006, et son équipe dont Patrick Le Diffon faisait partie, « ont sciemment dérogé à cette loi et organisé cette provocation en érigeant cette statue sur l’espace public. Il était grand temps d’y mettre un terme et de faire respecter la loi. »

    Des propos qui risquent de hérisser Patrick le Diffon et Paul Anselin. Ce dernier s’interroge, « n’est-ce pas un précédent pour enlever toutes les croix mises en place après la guerre ? En attendant, c’est un coup de massue, une peine terrible, au-delà de Ploërmel cette statue offerte par l’artiste russe Zourab Tsereteli est un symbole. »

    L’ancien maire reproche à Patrick Le Diffon, maire actuel, « d’avoir refusé la proposition de l’association Touche pas à mon pape qui se proposait de racheter le terrain afin qu’il devienne privé. Notre association va organiser une marche interreligieuse en soutien à la statue en décembre, en veillant à aucune récupération politique. » La statue va donc encore faire parler d’elle.

    « Traiter cette décision de façon apaisée »

    Le maire, Patrick Le Diffon, s’est exprimé sur la situation. « Cette décision m’affecte, la statue du pape Jean-Paul II fait partie du paysage ploërmelais et de son patrimoine. Nous avons acté que nous avons six mois pour obtempérer, je souhaite traiter cette décision de façon apaisée et ne veux pas me précipiter. »

    Il ajoute : « Il faut savoir qu’en enlevant la croix, nous risquons une procédure en civil car l’artiste serait en droit de nous poursuivre si nous touchions à son œuvre. Nous allons donc le contacter afin de lui signifier le jugement. Le déclassement de l’emplacement ne se fait pas d’un claquement de doigt. Cette procédure passe par une enquête publique. Nous pouvons aussi rétrocéder l’ensemble de cet espace dans le cadre de la réhabilitation du Sacré-Cœur. »

    Avant de finir : « Une autre piste sera d’obtenir le soutien des Ploërmelais. Nos habitants sont attachés à cette statue qui a plus de sympathisants que de détracteurs. Une troisième piste pourrait nous amener à déplacer la statue en rétrocédant l’œuvre à un privé à condition que sa visibilité soit égale. Enfin, je n’exclus de porter l’affaire devant la Cour européenne des droits de l’homme. »

    Dominique Le Lay

    source: https://www.ouest-france.fr

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  • Ploërmel-Le pape perd sa croix (LT.fr-25/10/2017)

    Le Conseil d’Etat considère que la croix surplombant la statue du pape Jean-Paul II contrevient à la loi de séparation de l’Église et de l’Etat. Les juges ont ordonné le retrait de ce symbole religieux.

    Cette fois la messe est dite. Après onze années de débats, de disputes et de recours en tous genres, la justice a tranché la question de la statue du pape Jean-Paul II, érigée en 2006 par la mairie de Ploërmel sur une place publique de la commune.

    L’initiative n’avait pas été du goût de la Fédération morbihannaise de la libre pensée, qui avait demandé le retrait du monument, auquel la mairie avait par ailleurs adjoint une arche et une croix, faisant culminer l’ensemble à 7,50 m de hauteur. Entendus une première fois par le tribunal administratif de Rennes, qui avait enjoint au maire de Ploërmel, le 30 avril 2015, de faire procéder au retrait de la statue, les libres penseurs avaient ensuite été défaits devant la cour administrative d’appel de Nantes.

    Le Conseil d’Etat, lui, a jugé que la croix, et seulement elle, "constitu(ait) un signe ou emblème religieux dont l’installation est contraire à l’article 28 de la loi du 9 décembre 1905 concernant la séparation des Églises et de l’État".

    "Assurer la neutralité des personnes publiques"

    Tout en confortant, pour des raisons de procédure, la décision de la cour d’appel de ne pas autoriser le retrait de la statue du pape, les juges ont donc analysé le devenir du reste du monument à la lumière de la loi de 1905, qui indique notamment qu’ "il est interdit, à l’avenir, d’élever ou d’apposer aucun signe ou emblème religieux sur les monuments publics ou en quelque emplacement public que ce soit, à l’exception des édifices servant au culte, des terrains de sépulture dans les cimetières, des monuments funéraires ainsi que des musées ou expositions".

    Cet article, estiment les juges"a pour objet d’assurer la neutralité des personnes publiques à l’égard des cultes" et fait donc "obstacle à l’installation par celles-ci, dans un emplacement public, d’un signe ou emblème manifestant la reconnaissance d’un culte ou marquant une préférence religieuse".

    "La croix constitue un signe ou un emblème religieux"

    Or, ont considéré les magistrats, "l’argumentation de la commune qui faisait valoir, pour justifier cette installation (…) le fait que la croix constituerait l’expression d’une forte tradition catholique locale" et évoquait "l’intérêt économique et touristique du monument pour la commune" ne saurait masquer le fait que "la croix constitue un signe ou un emblème religieux au sens la loi du 9 décembre 1905 et que sa présence dans un emplacement public est contraire à cette loi".

    Le Conseil d'État a donc "confirmé l'injonction prononcée par le tribunal administratif dans son jugement du 30 avril 2015" et demandé le retrait de la croix, la statue et l’arche échappant la sentence.

    source: http://www.letelegramme.fr

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  • Billet Rouge-Stupéfiant: "Télérama" se convertit au léninisme! – Par Floréal (PRCF)

    Stupéfiante Une de Télérama cette semaine : la revue « culturelle » de l’anticommunisme « de gôôôche », de l’antisoviétisme et de l’anti-castrisme impénitents titre de manière fort insolite : « Lénine assassiné » ; mais tout est dans le sous-titre qui jouxte un buste de Lénine enfoui sous la cendre noirâtre des contre-révolutions : en effet, par qui Vladimir Oulianov a-t-il été assassiné ? Vous pensez peut-être spontanément : « par Gorbatchev », l’homme qui a bradé son pays au nom de sa fumeuse « nouvelle pensée » notoirement anti-léniniste ? « Par Eltsine ? », l’un des traîtres les plus flamboyants de l’histoire, en comparaison duquel Judas fait figure de gentil repenti (du moins ce dernier est-il censé s’être pendu après sa félonie !) ? « Par la course aux armements épuisante que l’Ouest n’a cessé d’infliger à la première expérience socialiste de l’histoire » ? Vous n’y êtes pas : « Par Poutine ! », répond triomphalement Télérama, qui veut bien pour une fois défendre (en apparence !) la révolution soviétique passée pourvu que ce soit contre la Russie… actuelle !

    Ouf ! on aurait presque pu croire qu’après des décennies de « journalisme culturel » entièrement tourné contre la Révolution d’Octobre, contre l’URSS, contre les communistes et les cégétistes français, contre Cuba socialiste, en un mot contre tout ce que le léninisme a séculairement apporté aux forces d’émancipation sociale, de lutte anticoloniale et d’égalité hommes/femmes, l’hebdo catho associé au « Monde » et à « la Croix » allait enfin faire sa révolution… copernicienne et rendre enfin un peu justice à la plus grande révolution prolétarienne de l’histoire. Rien de mal venu en pleine offensive thatchérienne de Macron contre l’ensemble des acquis de la Résistance antifasciste…

    Que nenni ! On l’aura compris, la Une menteuse de Télérama ne « défend » Lénine que pour mieux enfoncer la Russie actuelle, cette cible par excellence de la sacro-sainte Europe germano-atlantique…

    Bien entendu, Poutine est un contre-révolutionnaire revendiqué (même s’il sait habilement jouer de certains symboles soviétiques pour couvrir la restauration capitaliste) et nous, militants franchement communistes français, n’avons de cesse de soutenir contre sa nouvelle Russie blanche, le prolétariat et les Rouge de Russie trop souvent réprimés, calomniés et censurés. Mais cette fidélité « rouge » ne nous interdit nullement de combattre AUSSI la belliqueuse entreprise d’encerclement impérialiste de la Russie que mène l’OTAN, des Pays baltes à l’Afghanistan, en passant par la Pologne clérical-fascisante et par l’Ukraine désormais aux mains des néonazis de Kiev.

    Bref, contrairement aux Tartuffes de Télérama, nous sommes assez léninistes pour distinguer et articuler les deux fronts, anticapitaliste et anti-impérialiste, alors que le « léninisme » très conjoncturel et jetable de Télérama consiste à feindre très provisoirement de flatter la révolution prolétarienne d’hier pour la tourner contre la résistance actuelle à l’encerclement impérialiste des « ennemis de l’Occident ». Cet encerclement dût-il très chrétiennement nous mener à une troisième – et dernière ! – guerre mondiale archi-nucléarisée ! Bref, on l’aura compris, Télérama n’a feint momentanément d’abaisser son obsession anticommuniste que pour battre un nouveau record : celui de l’hypocrisie. Si Tartuffe ressuscitait, il n’aurait pas besoin de fonder une revue « culturelle » : elle existe déjà et elle se nomme Télérama !

    Floréal le 25/10/2017

    source: https://www.initiative-communiste.fr

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  • Lénine et Marcel

    Un documentaire programmé dans le cadre du centenaire de la révolution russe

    Documentaire Inédit-Lundi 23 octobre 2017, après le Grand Soir 3-Sur France 3 Nouvelle-Aquitaine

     

    "Lénine et Marcel"-Un témoignage extraordinaire sur la naissance de la Russie soviétique.(lundi 23 octobre après le Grand Soir 3  Sur France 3 Nouvelle-Aquitaine)En 1917, Marcel Body a 22 ans, il quitte sa ville de Limoges pour rejoindre le petit contingent de soldats français qui se trouvent à Moscou en raison de l'alliance franco-russe. Emporté par le vent de la révolution, il prend fait et cause pour les bolchéviques et côtoie les personnalités les plus importantes du nouveau régime. Il sera l'interprète de Lénine.

    Ses mémoires sont un témoignage extraordinaire sur la naissance de la Russie soviétique.

    Illustré de nombreuses archives filmées, peu connues ou inédites, "Lénine & Marcel" nous plonge dans les impressions d’un jeune militaire, loin de sa fiancée et de son métier de typographe, envoyé à Moscou parce qu’il parle russe, et qui va adhérer aux idéaux de la Révolution d’octobre.

    Marcel Body en uniforme

    Marcel Body en uniforme

     

    Réalisation : Marie-Dominique Montel & Christopher Jones
    Coproduction : France 3 Nouvelle-Aquitaine / Zoulou Compagnie avec le soutien du CNC et la participation d'Histoire


    Qui sommes nous ? - Limousin : Lénine et Marcel

    source:  http://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/emissions/qui-sommes-nous-limousin

    A voir également: Ecoutez Marcel Body (film de Bernard BAISSAT et Alexander SKIRDA, 1984)

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  • Pour un enseignement critique du fait religieux -par Yvon QUINIOU (OF.fr-23/10/2017)Point de vue. Par Yvon Quiniou, philosophe marxiste, auteur de Les chemins difficiles de l'émancipation.

    Comment enseigner le fait religieux à l'école ? Le sujet a refait surface récemment, suite à un incident pédagogique où un pédagogue aurait fait preuve de prosélytisme chrétien. Qu'il faille enseigner le fait religieux à l'école est évident. Mais cela se fait déjà dans de multiples matières (histoire, philosophie en particulier) et point n'est besoin d'en rajouter.

    C'est surtout l'esprit dans lequel cela doit être fait qui importe : ce ne peut être que sur la base d'une approche critique (au sens de l'esprit critique qui fait le tri entre ce qui vaut et ce qui ne vaut pas), sauf à considérer que les faits religieux sont neutres d'un point de vue normatif.

    L'autonomie intellectuelle

    Or, ce n'est pas le cas et le meilleur de la pensée philosophique, depuis les Lumières avec Spinoza, Hume, Kant et Rousseau, a dénoncé tout ce qu'il y a, souvent, à la fois d'irrationnel dans les croyances, mais aussi, parfois, de déraisonnable dans leurs conséquences pratiques.

    Et ces philosophes l'ont fait tout en se réclamant souvent d'une foi rationnelle, indépendante de celle des Églises, donnant une leçon d'autonomie intellectuelle.

    Au XIXe siècle, Marx d'abord, mais aussi Feuerbach, Nietzsche et Freud parlaient de la religion comme d'une « aliénation multiple de l'homme ». Marx y voyait aussi une idéologie conservatrice et Freud une « névrose collective ».

    Bref, nous ne sommes pas ici devant des faits objectifs à la manière des phénomènes de la nature, que nous ne devrions pas juger mais seulement faire connaître et expliquer : nous devons largement les appréhender d'une façon critique, au nom de valeurs universelles engageant des intérêts humains incontestables.

    Nous devons notamment évoquer le mal qu'elles ont pu faire aux hommes par leur hostilité aux sciences ; les guerres qui les ont opposées ; les valeurs ascétiques qu'elles ont professées dans le domaine de la vie sensible.

    Cela n'empêche pas qu'elles ont pu aussi jouer un rôle positif, dans la pratique quotidienne de la charité, dans le domaine des arts, voire dans le domaine politique si l'on songe, par exemple, à la théologie de la libération en Amérique latine ou à d'autres révoltes populaires qu'elles ont pu inspirer.

    Respecter la foi intime

    Ce qui est en jeu, ce sont les religions dans tout leur poids de réalité historique, et non la foi intime que l'on doit respecter, même quand on ne la partage pas, et qui n'a rien à voir ici... Tout comme on doit respecter l'interrogation métaphysique dont tout homme est capable et qui mène certains à Dieu.

    Donc : oui à un enseignement exhaustif du fait religieux, mais non spécifique ou autonome et qui doit être un enseignement critique. Sinon, on tourne le dos à la vocation émancipatrice de l'enseignement républicain qui repose sur le rationalisme et la liberté d'examen dans tous les domaines.

    « Ose penser par toi-même », disait déjà Kant !

    source:  https://www.ouest-france.fr/reflexion/point-de-vue/pour-un-enseignement-critique-du-fait-religieux-5333524

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  • Quel drapeau au côté du drapeau tricolore de la Patrie républicaine ?

     
    celui des travailleurs ?

    Hommage au goût amer à la carrière des fusillés de Chateaubriant

    celui de la Sainte-Alliance du Capital ?
     

    Hommage au goût amer à la carrière des fusillés de Chateaubriant 

    La foule n'était pas au rendez-vous de ce 76ème hommage aux 27 fusillés de Chateaubriant. 700 à 800 personnes avaient fait le déplacement. La tempête qui avait emporté la scène, a dû faire s'envoler les représentants nationaux du Parti Communiste Français et de la  CGT. Le drapeau rouge des travailleurs était toujours interdit d'accès à la cérémonie alors que le drapeau de l'Union européenne rejeté en 2005 avec le traité constitutionnel par le Peuple de France flottait à l'entrée de la carrière...Merci aux jeunes communistes des JRCF d'avoir bravé l'interdit !

    Un poème d'Aragon, grand visionnaire, me revient à la mémoire:
     
    "Songez qu'on n'arrête jamais de se battre et qu'avoir vaincu n'est trois fois rienet que tout est remis en cause du moment que l'homme de l' homme est comptable
    nous avons vu faire de grandes choses mais il y en eu d'épouvantables
    car il n'est pas toujours facile de savoir où est le mal où est le bien

    et vienne un jour quand vous aurez sur vous le soleil insensé de la victoire
    Rappelez vous que nous avons aussi connu cela que d'autres sont montés
    Arracher le drapeau de servitude à l'Acropole et qu'on les a jetés
    Eux et leur gloire, encore haletants dans la fosse commune de l'histoire

    Je ne dis pas cela pour démoraliser, il faut regarder le néant
    En face pour savoir triompher. Le chant n'en est pas moins beau quand il décline
    Il faut savoir ailleurs l'entendre qui renait comme l'écho dans les collines
    Nous ne sommes pas seuls au monde à chanter et le drame est l'ensemble des chants

    Le drame il faut savoir y tenir sa partie et même qu'une voix se taise
    Sachez le toujours le choeur reprend la phrase interrompue" (louis ARAGON)
     
    "Vous tous qui vivrez, soyez dignes de nous les 27 qui vont mourir ! "
    (Guy MOQUET)
     
    Lysistrata-le 23/10/2017
     

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